Item 300 : CONSTIPATION CHEZ L ENFANT (et l adulte*) AVEC LE TRAITEMENT
|
|
- Floriane Robert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Item 300 : CONSTIPATION CHEZ L ENFANT (et l adulte*) AVEC LE TRAITEMENT Objectifs pédagogiques : - Devant une constipation chez l enfant argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents - Argumenter l attitude thérapeutique et le suivi du patient Objectifs de l auteur : - Décrire les mécanismes physiopathologiques mis en jeu dans l enfance. - Enumérer les signes évocateurs de constipation chez le nourrisson et l enfant. - Reconnaître une constipation fonctionnelle et une constipation de cause organique - Indiquer les investigations paracliniques selon l âge et la situation clinique. - Détailler les mesures hygiéno-diététiques et les principes du traitement Auteur : Professeur J-P. OLIVES Référent : Professeur J-P. OLIVES ( olives.jp@chu-toulouse.fr ) Points importants : - La constipation n est pas une maladie mais un symptôme - Il convient de différencier constipation fonctionnelle et constipation organique - Fréquence : la prévalence de la constipation fonctionnelle est estimée à % des enfants d age scolaire, celle de la maladie de Hirschsprung à 1/ Les constipations fonctionnelles se caractérisent par un rectum plein (rétention) alors que la majorité des constipations organiques ont un rectum vide (défaut de propulsion) - Les médicaments à base de macrogols (Poly Ethylène Glycol : PEG) sont très efficaces dans le traitement de la constipation fonctionnelle, ils peuvent être utilisés chez l enfant à partir de l âge de 6 mois, *Ce chapitre ne traite que ce qui concerne l enfant PLAN Introduction 1- Diagnostic positif 2- Examen clinique 5- Constipations organiques 3- Orientation diagnostique 6- Principes du traitement 4- Constipations d origine fonctionnelle 7- Tableau résumant les principaux signes
2 La constipation chez l enfant peut se définir par une émission trop rare des selles, habituellement difficile et douloureuse. Le plus souvent d origine fonctionnelle, l interrogatoire et l examen clinique doivent chercher à éliminer l hypothèse éventuelle d une cause organique qui nécessiterait des examens complémentaires. POINT IMPORTANT A COMPRENDRE La constipation n est pas une maladie mais un symptôme. Même «opiniâtre» et installée depuis longtemps, cet état est transitoire si des mesures thérapeutiques et/ou diététiques simples sont suivies. DIAGNOSTIC POSITIF 1. Définition a) Le caractère douloureux et difficile de l exonération des selles est un élément facile à apprécier à l interrogatoire des parents ou de l enfant. Par contre, l intervalle entre deux selles chez l enfant reste difficile à définir, mais l on peut retenir en fonction de l âge, pour porter le diagnostic de constipation : chez le nourrisson moins de 3 selles par semaine chez le grand enfant, moins de 2 selles par semaine Le volume des selles peut également être retenu comme critère de diagnostic : selles très volumineuses (véritables moules coliques) ou au contraire minuscules (petites billes dures). 2. Circonstances de découverte Le plus souvent, la constipation est le motif de la consultation, et les parents exposent la symptomatologie consistant en l émission tous les 2 à 3 jours, voire moins, de selles le plus souvent dures dans un contexte parfois douloureux. La présence de quelques stries sanglantes sur la selle est également parfois signalée. Parfois le diagnostic peut être moins évident, l enfant étant amené en consultation pour une fissure anale une encoprésie (pertes de selles, souillures dans la culotte) une diarrhée (colite réactionnelle, fausse diarrhée des constipés) des douleurs abdominales un prolapsus rectal récidivant des douleurs anales ou un état sub-occlusif avec fécalome EXAMEN CLINIQUE 1. Interrogatoire Il est fondamental et doit orienter d emblée vers une étiologie organique. les antécédents familiaux, notamment de colite spasmodique, doivent être recherchés, de même que les antécédents personnels doivent être détaillés avec notamment la notion d une intervention chirurgicale digestive (cure de malformation anale). le régime doit être détaillé également concernant les farines, les épaississants, les fibres.
3 la notion de traitement ou d automédication, pouvant paraître anodine pour les parents (sirop antitussif), doit être systématiquement recherchée. la date d apparition de la symptomatologie est précisée, de même que les circonstances déclenchantes si celles-ci sont rapportées par les parents. En effet, une constipation à début très précoce doit d emblée faire envisager une cause organique digestive (date d élimination du premier méconium). l aspect des selles est noté, des selles en «ruban», très fines peuvent en effet faire évoquer une sténose du canal anal. la recherche à l interrogatoire de sang dans les selles doit être également systématique. Les signes associés tels qu un ballonnement abdominal, une alternance de diarrhée/constipation, des douleurs abdominales ou une asthénie doivent également être soigneusement notés, de même que d éventuels troubles mictionnels. le contexte psychologique familial et de l enfant est appréhendé. 2. Examen Physique l étude du poids et de la taille exprimée en déviations standard ainsi que l analyse de la courbe de croissance staturo-pondérale de l enfant et l appréciation de son état nutritionnel sont fondamentales, toute anomalie devant faire évoquer d emblée une cause organique. l examen de l abdomen recherche dès l inspection un ballonnement, et la palpation permet de retrouver éventuellement la présence de fécalomes dans le côlon. La palpation peut également retrouver une corde «colique» évocatrice d une colopathie fonctionnelle. l examen de l anus permet, d une part, de noter la position (l anus est habituellement à midistance entre la pointe du coccyx et les organes génitaux. Une anté-position est souvent associée à la constipation) et, d autre part, de mettre en évidence une inflammation locale, voire une fissure. Le toucher rectal doit être systématique et permet d apprécier le diamètre du canal anal, le tonus du sphincter et, enfin, d objectiver la présence de selles ou d un éventuel fécalome dans le rectum (constipation à rectum plein). l examen clinique doit être complet (tonus musculaire, développement psychomoteur, signes neurologiques). ORIENTATION DIAGNOSTIQUE Ainsi, à l interrogatoire et l examen clinique on peut schématiquement opposer deux tableaux. Le plus fréquent concerne un enfant ayant une constipation apparue après plusieurs années d un transit normal, en parfait état nutritionnel, sans ballonnement abdominal et présentant éventuellement des douleurs abdominales ou une alternance diarrhée/constipation et fait évoquer en premier lieu une constipation fonctionnelle. En dehors, éventuellement, d un cliché de l abdomen sans préparation, aucun examen complémentaire n est nécessaire. Le second concerne un enfant se présentant avec une constipation apparue dès les premiers jours de vie avec ballonnement abdominal et mauvaise croissance staturo-pondérale et doit faire évoquer d emblée une cause organique (surtout si le rectum est vide au toucher rectal). Les principaux signes permettant de différentier les constipations fonctionnelles et les constipations organiques sont résumées dans le tableau 1 ( fin du texte). Néanmoins, cette description est schématique et, bien que les causes fonctionnelles soient les plus fréquentes, la vigilance doit rester de mise. CONSTIPATIONS D ORIGINE FONCTIONNELLE
4 Ce sont les plus fréquentes. 1. Erreurs diététiques C est à l interrogatoire détaillé que ces erreurs seront mises en évidence. Ces dernières peuvent être en rapport avec un régime pauvre en résidus et/ou trop riche en féculents. Ailleurs, c est une insuffisance dans les apports hydriques qui peut être en cause. Enfin, une anorexie, voire une sous-nutrition, peuvent être à l origine de la constipation. Citons enfin les erreurs de dilution dans la préparation des biberons. 2. Constipations iatrogènes Ici encore, c est l interrogatoire qui permet de retrouver un éventuel traitement parfois négligé par les parents à l origine de la constipation. Outre les sirops antitussifs à base de codéine, citons la cholestyramine, les phosphates d alumine, la smectite, les diurétiques, les atropiniques, les épaississants et les antispasmodiques. 3. Constipations fonctionnelles et tableaux symptomatiques Ce sont les plus fréquentes, et différents facteurs peuvent intervenir dans la génèse de ces états de constipation. La constipation de l enfant nourri au sein : La constipation de l enfant nourri au sein est bien connue ; elle est à l origine d une diminution du volume et du nombre des excrétions fécales et peut inquiéter les parents. Il s agit en réalité d une «fausse constipation», liée au faible volume des résidus intestinaux, s accompagnant d une prise pondérale normale, de l absence de ballonnement ou de douleurs abdominales. Dans le cadre du syndrome du côlon irritable, les antécédents familiaux du même ordre sont souvent retrouvés. Ailleurs, des facteurs psycho-affectifs ou socio-éducatifs paraissent prédominants et sont à l origine du phénomène initial fondamental consistant en une opposition à la défécation. La crainte de l éxonération (ou syndrome de refus du pot) peut être en rapport avec une douleur à la défécation (fissure et création d un cercle vicieux), attitude rigide de la mère avec éducation sphinctérienne trop précoce, difficulté de la relation mère-enfant ou, enfin, retenue de l éxonération du fait de contraintes particulières (peur des toilettes à l école, jeu...). Cette rétention fécale volontaire, en rapport avec une contraction du sphincter externe au moment où le besoin apparaît, abouti à la longue à une distension du rectum et peu à peu à un émoussement du réflexe initiateur de la défécation qui pérennise le trouble et entretien ainsi le cercle vicieux. Cette constipation primitive se voit habituellement chez l enfant âgé de quelques années mais peut se voir également chez le très jeune enfant. L état général est conservé, l état nutritionnel est parfait et l examen clinique normal, sans ballonnement, retrouve parfois une fissure anale qui pérennise le trouble. Aucun examen complémentaire n est justifié dans la majorité des cas. Seul l échec d un traitement symptomatique bien conduit devra motiver la prescription d un bilan (manométrie anorectale, lavement baryté, voire biopsie rectale). Encoprésie
5 L encoprésie est l émission régulière de selles formées ou semi-formées dans les sousvêtements ou des endroits «inhabituels» (sur le sol...) après l âge de 4 ans. Dans la grande majorité des cas, ce symptôme résulte de la conjonction d un terrain de constipation ancienne et d un comportement rétentionnel. CONSTIPATIONS ORGANIQUES Elles sont rares mais doivent néanmoins systématiquement être envisagées lors de la consultation, surtout chez le jeune enfant car elles nécessitent un traitement spécifique. Deux causes doivent être suspectées, la clinique pouvant être prise en défaut dans ces cas : la maladie de Hirschsprung et l hypothyroïdie. 1. Causes colorectales La maladie de Hirschsprung est au premier rang. Elle doit être automatiquement évoquée chez le nouveau-né ou le jeune enfant dont la constipation est ancienne, rebelle aux thérapeutiques entreprises et parfois associée à une débâcle diarrhéique. L examen clinique peut retrouver un mauvais état nutritionnel ou un ballonnement mais, de nos jours, le tableau classique de maladie de Hirschsprung négligé et méconnu est rare. Le toucher rectal, systématique, retrouve classiquement un rectum vide. C est donc sur des arguments cliniques que le diagnostic sera évoqué, mais la maladie de Hircshsprung ne peut être exclue ou affirmée par la seule clinique, et sa suspicion justifie un bilan paraclinique. La radiographie de l abdomen sans préparation montre une distension colique et l absence d air dans le rectum. Le diagnostic est affirmé par le lavement baryté qui met en évidence une distension du côlon en amont d un segment rétréci non distensible, et par la manométrie anorectale qui montre une absence de reflexe recto-anal inhibiteur. La confirmation est apportée par la biopsie rectale à la sonde de Noblett qui mettra en évidence l absence de cellule ganglionnaire et l hyperplasie schwannienne au niveau des plexus myentériques. Autres causes : à côté de la maladie de Hirschsprung, il faut citer : les neuropathies et myopathies digestives rentrant dans le cadre du syndrome de pseudoobstruction intestinale chronique dont le diagnostic est histologique ; les sténoses coliques, rares, pouvant rentrer dans le cadre de séquelles post-chirurgicales après cure d imperforation anale. Elles peuvent faire suite à une entérocolite ulcéronécrosante ou, enfin, de manière exceptionnelle, rentrer dans le cadre d une compression extrinsèque en rapport avec une tumeur abdomino-pelvienne ; le rétrécissement anorectal congénital au toucher rectal. 2. Causes neurologiques A côté de l agénésie sacrée dont le diagnostic est fait sur l analyse du cadre osseux de l abdomen sans préparation, les myéloméningocèles et compressions médullaires peuvent être à l origine de constipation qui ne sera alors qu un élément du tableau où les troubles neurologiques sont prédominants. Les états d encéphalopathie graves sont souvent accompagnés d une constipation opiniâtre en rapport avec un régime déséquilibré, un état grabataire et une absence de tonus abdominal lors de la défécation.
6 Enfin, citons les myopathies du muscle strié (myopathie de Duchenne de Boulogne, maladie de Steinert) dans lesquelles des études récentes montrent une atteinte du muscle lisse digestif pouvant être à l origine d une constipation. 3. Causes générales L hypothyroïdie, avec pour conséquence une diminution de la motricité digestive, doit être systématiquement évoquée notamment chez le nouveau-né ou le tout jeune nourrisson, mais également chez le plus grand enfant dans le cadre d une hypothyroïdie acquise, le traitement spécifique s imposant sans retard. L hypokaliémie et l hypercalcémie peuvent être également à l origine d une constipation mais rentrent dans le cadre d un tableau clinique riche, et sont rarement méconnues. Enfin, une authentique maladie coeliaque peut être révélée non par une diarrhée chronique mais par une constipation chez un enfant présentant un abdomen ballonné avec une cassure secondaire de la courbe de poids. PRINCIPES DU TRAITEMENT CONSTIPATIONS D ORIGINE FONCTIONNELLE 1. Mesures hygiéno-diététiques Dans tous les cas, ces dernières visent à corriger les erreurs diététiques qui auront pu être mises en évidence lors de l interrogatoire. Chez le nourrisson, les biberons doivent être correctement préparés (une mesure de lait pour 30 ml d eau). On peut proposer une introduction précoce des jus de fruits et des légumes dont les fibres constituent un résidu fécal qui améliore le transit intestinal. L utilisation d une eau déminéralisée une à deux fois par jour pour la préparation des biberons (Vittel source Hépar) permet également d améliorer le symptôme. Chez l enfant, outre la dédramatisation du symptôme, les conseils visent à augmenter les apports hydriques et à équilibrer l apport en résidu (prescription de son, légumes cuits (courgettes, haricots verts), pruneaux). On peut également proposer un apport supplémentaire en lipides (huile végétales) permettant une «lubrification» des selles. Enfin, ces mesures sont complétées par des horaires de repas bien aménagés et une activité physique soutenue. 2. Traitements médicamenteux Ceux-ci ne doivent pas être systématiques en première intention de manière à ne pas pérenniser le trouble en le médicalisant. On peut néanmoins être amené à recourir de façon intermittente à l huile de paraffine (Lansoyl gelée, Laxamalt 2 à 4 cuillères à café par jour). Les laxatifs osmotiques de type Lactitol (Importal ) ou lactulose (Duphalac ) peuvent également être employés mais sont parfois à l origine de douleurs abdominales par (par production de gaz et ballonnement), notamment dans le cadre du syndrome du côlon irritable.
7 Dans les formes sévères la prescription de petites doses de macrogol sous forme de polyéthylène-glycol (PEG) peut être proposée : 3 grammes de 1 à 3 ans, 5 grammes de 3 à 8 ans, 10 grammes à partir de 8 ans (Transipeg, Forlax, Movicol ) La trimébutine à la dose de 5 à 10 mg/kg/j par voie orale peut également s avérer efficace tant sur la constipation que sur les douleurs abdominales. 3. Encoprésie Le premier temps de son traitement est l évacuation totale du rectum, condition nécessaire pour une rééducation rectale de la sensation de besoin. Cette évacuation colique peut être effectuée par des lavements osmotiques (Normacol, 70 ml pour les enfants de moins de 7 ans, et 130 ml pour les enfants de plus de 7 ans). Les mesures hygiéno-diététiques, les conseils concernant les habitudes de défécation nécessaire, et le traitement médicamenteux doivent prendre le relais immédiatement après l évacuation des fécalomes. Une rééducation par bio-feed-back consistant, grâce à l aide de la manométrie anorectale, en un réapprentissage de la sensation de besoin et de la défécation peut également être tentée. Enfin, dans certains cas, un soutien psychologique, voir psychiatrique, est indispensable dans la prise en charge de ces enfants. CONSTIPATIONS ORGANIQUES 1. Maladie de Hirschsprung Le traitement de la maladie de Hirschsprung est chirurgical. Le principe consiste en l ablation du segment aganglionnaire avec mise pour une durée variable (12 à 18 mois) en iléostomie ou colostomie, suivie d une remise en continuité des 2 extrémités coliques saines selon différentes techniques ayant pour objectif de respecter la continence anale. 2. Autres causes colorectales ou anales Elles justifient un traitement chirurgical spécifique en fonction des lésions. 3. Hypothyroïdie Elle nécessite un traitement de supplémentation par hormones thyroïdiennes régulièrement surveillé. CONCLUSION Symptôme fréquent et le plus souvent transitoire et bénin, la constipation de l enfant ne doit pas faire méconnaître une cause organique.
8 TABLEAU 1 PRINCIPAUX SIGNES PERMETTANT DE DIFFERENCIER LES CONSTIPATIONS FONCTIONNELLES ET ORGANIQUES CONSTIPATIONS FONCTIONNELLES CONSTIPATIONS ORGANIQUES Encoprésie Fréquente Exceptionnelle Synd. Obstructifs Exceptionnels Fréquents Habituels Fréquents Selles Volumineuses Fréquentes Rares Episodes d entérocolite Jamais Signes à la naissance Rares Ampoule rectale Pleine Vide
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLa constipation occasionnelle chez l adulte
Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailMI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008
Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSolar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives
M E D I C A L M E A S U R E M E N T S Y S T E M S Solar GI Manométrie digestive évolutive Diagnostic complet de la motricité Base de données universelle MMS Configurations évolutives M A K E S M E A S
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailL INCONTINENCE ANALE
L INCONTINENCE ANALE Une publication de L Association d Aide aux Personnes Incontinentes Ouvrage collectif Octobre 2006 Association loi 1901 Siège social : AAPI 5 avenue du Maréchal Juin 92100 Boulogne
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailEXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE
EXAMEN CLINIQUE D UN TROUBLE DE LA STATIQUE PELVIENNE Pr Claude Hocké Pôle Gynécologie- Obstétrique-Reproduction Hôpital Pellegrin CHU Bordeaux 1 INTERROGATOIRE IL RESTE FONDAMENTAL ET PEUT ÊTRE DIVISÉ
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailNOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine
NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailL incontinence anale la fable du médecin sourd et du patient muet
L intestin dans tous ses états L incontinence anale la fable du médecin sourd et du patient muet Mickael Bouin 5 M me Dutrou,50 ans,adore le golf.toutefois,à chaque effort,elle risque de tacher ses sous-vêtements
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailBESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.
BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLa déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure
Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailRééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris
Rééducation périnéologique dans les troubles de la statique pelvienne Indications et principes de rééducation JP. DENTZ Cds-Mk Paris Illustration : Max Claude Cappelletti Le plancher pelvien LA STATIQUE
Plus en détailREEDUCATION DU POST-PARTUM
Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailNOTICE. TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé
NOTICE ANSM Mis à jour le : 15/07/2014 Dénomination du médicament Encadré TRIMEBUTINE MYLAN CONSEIL 100 mg, comprimé Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détailTraitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008
Traitement médical de l incontinence SIFUD PP FMC 11 01 2008 Traiter un symptôme Position du problème Ampleur de la plainte Histoire naturelle Mode de prise en charge actuelle Règles hygiéniques Rééducation
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailPage 1/15 - L incontinence urinaire en détail
02/01/2013 L incontinence urinaire en détail En France, 3 millions de personnes souffrent d'incontinence, qu'elle soit urinaire ou fécale. Ce dossier présente les causes de cette affection, les divers
Plus en détailL ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE
L ABC POUR SE PRÉPARER À UNE COLOSCOPIE SOMMAIRE 1 La coloscopie, c est quoi?.......................... 4 2 Les objectifs de l examen........................... 5 3 Se préparer à l examen en toute securité...............
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailMaladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1
Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1 Cas de Madame N. B. Mme N. B. vient vous voir. Elle a mal au dos, «comme d habitude, en bas du dos comme une barre dans les
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détail1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie
1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailUNIVERSITE PARIS XII VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ******************
UNIVERSITE PARIS XII VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ****************** ANNEE 2012 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : Médecine Générale ------------- Présentée
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailLE TRANSIT INTESTINAL
LE TRANSIT INTESTINAL ALIMENTS FAVORISANT LE TRANSIT INTESTINAL : LES LEGUMES VERTS Artichauts, Aubergines, Asperges, Betteraves rouges, Blettes, Carottes (crues seulement), Courgettes, Epinards, Haricots
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : memoires@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailGamme PHENIX Portable. Toute l électrothérapie dans un portable
Gamme PHENIX Portable Toute l électrothérapie dans un portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les exclusivités de la gamme PHENIX Portable PHYSIO PHYSIOSTIM URO Les PHENIX Portable sont les seuls appareils portables
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailBulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,
Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailRééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats. Guy Valancogne
Rééducation de la rééducation de l Incontinence Urinaire de l homme : Résultats Guy Valancogne Depuis la fin des années 90 : études pour le cas spécifique de l incontinence masculine, - certaines d entre
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailL agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détail