Représentations des patients à propos du traitement de leurs douleurs
|
|
- Nicolas Chevalier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Congrès Suisse de Physiothérapie Genève, mai 2012 Représentations des patients à propos du traitement de leurs douleurs C. Cedraschi, PhD, PD Service de Médecine Interne de Réhabilitation - Beau-Séjour & Centre multidisciplinaire de la douleur, Service de Pharmacologie et Toxicologie cliniques, Hôpitaux Universitaires de Genève
2 Lorsqu un individu est en traitement Société Relation patient-thérapeute Traitement Expériences personnelles Représentations Sensation
3 Savoir scientifique Savoir profane Définition du problème Elucider les mécanismes physiopathologiques Donner du sens à l atteinte /douleur
4 Savoir scientifique Fragmentation du corps en organes Dépersonnalisation du corps et de la maladie pour mieux les comprendre «Absence» de l individu singulier Valeur statistique du modèle Savoir profane Corps comme un tout Personnalisation Individu singulier au premier plan Organisation spécifique de ce savoir chez chaque individu ou groupe
5 Représentations Connaissance qui se constitue à partir de nos expériences, mais aussi à partir des informations que nous recevons par la communication sociale, au sens large Connaissance pratique qui vise à maîtriser notre environnement, comprendre et expliquer notre univers Forment un savoir, distinct des connaissances scientifiques Jodelet D. Représentation sociale: phénomènes, concept et théorie. In: Moscovici S (Ed.) Psychologie sociale. Paris: PUF, 1984
6 Comment les patients voient leur dos? Différentes manières d accéder à ces représentations L une de ces manières = dessins: Fonction diagrammatique Représentation syncrétique, i.e. objet considéré comme un tout quels éléments sont pertinents comment ces éléments sont organisés Accès à une dimension qui échappe (au moins en partie) au langage
7 Mme A, 54 ans, douleurs dans la nuque et le bas du dos «C est toute la colonne qui fait mal, mais le problème c est surtout mon cervelet douloureux et aussi la vertèbre cervicale»
8 «Oh là là, j ai pas fait beaucoup de science. Carrément le dos ou juste la colonne? Ça c est la colonne, je pense que plus haut c est, plus fine elle est, mais c est peut-être le contraire. Ça, cette partie-là (le bas du dos) où on a toujours mal quand on a mal»
9 «Je suis souvent assis, je sais que mon dos il est pas comme il devrait alors; bombé, pas droit. J ai dessiné un peu la colonne, je la vois bombée. J ai peutêtre pas assez exagéré la courbe. Un petit moment on y pense, on se redresse»
10 Comment je vois le futur?... Ça me semble très clair: je vais finir en chaise roulante! M. O, 51 ans, LBP
11 Ni juste ni faux Représentations comme une manière de comprendre la manière de penser du patient plutôt que comme juste ou faux Peut être non-congruent avec le savoir biomédical Pas seulement lombalgies Patients avec un BPCO sévère, sous oxygéno-thérapie à long-terme, avec des répercussions très importantes de leur maladie respiratoire sur leur qualité de vie Dessin du corps et des limitations et difficultés liées à la respiration
12 «* + plus rien passe par le nez ou la bouche, ça tire sur les côtes, c est les muscles qui sont trop courts» Patient 11 (male 69 years) Luthy et al, submitted
13 «C est les poumons qui deviennent petits, trop petits, tout petits, je ne peux pas respirer» Patient 08 (female 77 years) Luthy et al, submitted
14 Au-delà du corps anatomique et débordant l ensemble du contexte «Etre à bout de souffle c est ça, c est un peu cru mais c est bien ça, être au bout du bout» Patient 21 (male 43 years) Luthy et al, submitted
15 Point de vue et préférences des patients à propos de leur dos et du traitement de leurs douleurs Importance de l évaluation centrée sur le patient, dont : Les représentations Les attentes à propos du traitement La satisfaction Le sens de la récupération du point de vue du patient
16 Modélisation des relations entre symptômes, attentes et évaluation du traitement Vulnérabilité perçue Expériences préalables Connaissances acquises Réassurance? Intérêt pour le patient? Explications? Ecoute attentive? Perception des symptômes Interprétation des symptômes: Intensité Durée Handicap Gravité perçue Attentes du patient: réponse qu il désirerait Comparaison réponse reçue et réponse désirée Evaluation du traitement Incertitude Stress Vulnérabilité Expériences du patient Demandes du patient Comportement du clinicien perçu par le patient Comportement effectif du clinicien Représentations Réactions émotion-nelles du patient D après Kravitz, Ann Intern Med, 2001
17 L importance des attentes Rôle des attentes dans le résultat de deux interventions, acupuncture et massage, chez patients LBP chroniques Questions sur les attentes avant la randomisation dans l un ou l autre groupe Amélioration statististiquement et cliniquement plus importante chez les patients qui ont reçu le traitement qui avait leur préférence. Kalauokalani et al, Spine 2001 Même importance des attentes dans une méta-analyse des effets antalgiques de l acupuncture: attentes comme meilleur prédicteur d efficacité, indépendamment de la randomisation (effectif ou sham). Linde et al, Pain 2007
18 L importance des attentes - dans l effet placebo Procédure d administration ouverte-cachée («open-hidden» study design) du traitement médicamenteux illustre l importance du contexte psychologique et relationnel. Traitement dispensé soit: de manière à reprendre une situation clinique habituelle (traitement ouvert) où le médecin injecterait par exemple le médicament au vu et au su du patient, en l accompagnant d interactions verbales et contextuelles en injectant le médicament par le biais d une pompe, en l absence de thérapeute et de contexte thérapeutique (traitement caché), les patients étant uniquement avertis qu ils vont recevoir un médicament
19 L importance des attentes - dans l effet placebo Composante placebo dans la procédure d administration ouverte-cachée = différence entre effet du traitement ouvert et effet du traitement caché, même si aucun placebo n a été administré. Colloca et al, Lancet Neurol 2004 Résultats avec antalgiques fréquemment utilisés (e.g. morphine, buprénorphine, tramadol): diminution de la douleur nettement moins importante dans la condition traitement caché, chez des volontaires sains dans une situation de douleur expérimentale et chez des patients souffrant de douleurs postopératoires Amanzio et al, Pain 2001; Finniss et al, Lancet 2010
20 L importance des attentes - dans l effet placebo Colloca & Benedetti, Nat Rev Neurosci 2005
21 Attentes des patients Diagnostic de la cause des maux de dos Information and recommandations Soulagement de la douleur, examen physique Davantage de tests diagnostiques Référence à des spécialistes Confirmation que la douleur est réélle Relation de confiance Verbeek et al, Spine 2004 Bonne consultation-dos : caractéristique principale = être pris au sérieux Laerum et al, J Rehabil Med 2006
22 Qu est-ce que avoir récupéré? Sens de la récupération Récupération quand du point plus de vue des patients étude qualitative : de symptômes. Mais Scores de douleur Facteurs absence sociaux de douleur et de handicap: (vie sociale, pas ne pas forcément dépendre de alignés sur n indique pas récupération l auto-évalaution de la récupération l aide des autres) permanente Sommeil (retour à la normale) vie acceptable Domaines qui entrent dans la définition 7 thèmes: de travail, la récupération: soins Santé physique (moins de fatigue, plus d énergie) personnels, ménage, Atténuation Santé des psychologique symptômes (idées : disparition positives sur complète capacités or conduite, marche et pos incomplète des symptômes fonctionnelles) assise, exercice, et loisirs Amélioration fonctionnelle Qualité de vie acceptable Perception la récupération dépend de l évaluation de l impact des symptômes sur les activités et les rôles sociaux plus que de la présence/absence de la douleur Diminution intensité de la douleur. Acceptation douleur pour qualité de Hush et al, Arthritis Rheum 2009
23 Objectifs qui font du sens Focus du traitement peut être la récupération ou l amélioration fonctionnelle plutôt que la guérison de la douleur D autres objectifs doivent donc être élaborés Doivent être réalistes et faire du sens pour le patient
24 Communication autour de la douleur comme transaction sociale Processus d évaluation Facteurs contributifs Totalité du phénomène douloureux (sensoriel, émotionnel, cognitif)- subjectif, non-accessible au thérapeute Patient Biologiques Socioculturels Psychologiques Expérience Contextuels Type d atteinte, handicaps, Age, sexe, SEC patient et Représentations thérapeute, de la douleur, Implique tous les moyens confiance/méfiance, contrôle, peur, d évaluation tableau compétences relationnelles, clinique (gravité, Evaluation intensité, de ce qui Expériences Barrière de préalables, langue, stress, répercussions se de passe Choix douleur pour d un empathie, le compétences charge de travail, cliniques, en termes de patient qualité traitement dynamique de vie, (ou pas Interface entre patient et thérapeute, signes et cpts associés à l évaluation de la douleur (y.c. auto-évaluation) handicap, ) et répétable de traitement) Thérapeute Stimulus douloureux Expérience (sens pour le patient) Expression Evaluation Décision (sens pour le clinicien) Intervention Facteurs cliniques (Verbal/non-V) Etapes intercurrentes Présupposé de réciprocité Manifestations (absence /exagération) Consensus (dissonance/ congruence) Douleur=raison de la recherche de soins et donner des Résultats soins=raison d être (négatifs du thérapeute /positifs) D après Schiavenato & Craig, Clin J Pain 2010
25 Communication autour de la douleur comme transaction sociale Patients: pourquoi ils ne le disent pas Incapacité à communiquer Peur de conséquences négatives Peur d indiquer une aggravation Eviter ttts pénibles ou rôle de malade Sauver la face/garder le contrôle Peur d inquiéter les proches Rôle culturel Perception perte d autonomie Scepticisme/méfiance thérapeute Schiavenato & Craig, Clin J Pain 2010; Tait et al, Pain Med 2009
26 Communication autour de la douleur comme transaction sociale Patients: pourquoi ils ne le disent pas Incapacité à communiquer Peur de conséquences négatives Peur d indiquer une aggravation Eviter ttts pénibles ou rôle de malade Sauver la face/garder le contrôle Peur d inquiéter les proches Rôle culturel Perception perte d autonomie Scepticisme/méfiance thérapeute Thérapeutes: pourquoi ils ne l entendent pas Confiance en d autres méthodes Suspicion/ méfiance Insensibilité institutionnelle Représentations de la douleur Manque d empathie Charge de travail Stéréotypes / préjugés Manque de compétences Evaluation critique Schiavenato & Craig, Clin J Pain 2010; Tait et al, Pain Med 2009
27 La définition des objectifs et la cohérence du message sont donc un enjeu Eviter les malentendus Non-congruence Mettre entre l accent les points de vue et les attentes du patient, du thérapeute, sur la de l entourage, peuvent avoir un impact négatif communication sur les résultats de la prise en charge Définition des buts selon les différents points Insister de vue sur au début de la prise en charge le rôle du patient Ce qu est un résultat «acceptable» doit être négocié avec le patient Avoir un langage Une approche commun multidisciplinaire & des buts peut être utile pour mieux comprendre les partagés différents aspects de la situation et se mettre d accord sur des buts réalistes et qui fassent du sens
28 Un savoir parmi d autres Efficacité de la magie - trois aspects complémentaires: croyance du sorcier dans l efficacité de ses techniques celle du malade qu il soigne, ou de la victime qu il persécute, dans le pouvoir du sorcier lui-même confiance et exigences de l opinion collective Lévi-Strauss, Anthropologie structurale, 1958 ou de l utilité de partager sa pensée
29 Une offre de la Société Suisse pour l Etude de la Douleur (SSED) pour une contribution à la réflexion multidisciplinaire. Dieses Angebot existiert auch auf deutscher Sprache: "Schmerztherapie nach Schmerzmechanismus"
Comment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailCritères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction
Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailLa supervision en soins infirmiers
La supervision en soins infirmiers (article en deux parties : version jumelée) La pratique de la supervision en soins infirmiers étant peu courante en France et les écrits la concernant de même, bien que
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailLe Modèle Conceptuel de Virginia Henderson. P. Bordieu (2007)
Le Modèle Conceptuel de Virginia Henderson P. Bordieu (2007) Postulats qui l étayent (= fondements) Valeurs qui le justifient Éléments qui le composent: - But poursuivi - Cible - Rôle de l infirmière -
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détaild évaluation de la toux chez l enfant
Validation d un questionnaire d évaluation de la toux chez l enfant Mémoire présenté par Caroline TROCCY Pour l obtention du diplôme de master(e) en kinésithérapie Promoteur: Monsieur G. Reychler Année
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailMaladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1
Maladies psychosomatiques Dr Yves ZERBIB Département de Médecine Générale UCBL1 Cas de Madame N. B. Mme N. B. vient vous voir. Elle a mal au dos, «comme d habitude, en bas du dos comme une barre dans les
Plus en détailAvec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose
Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailDouleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au
Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailMON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS
MON DOS AU QUOTIDIEN COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS COMPRENDRE, ÉVITER ET SOULAGER LE MAL DE DOS Le mal de dos? Nous sommes pratiquement tous concernés! En effet, plus de 80% de la population
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailMieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie!
Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête mieux dans sa vie! Pathophysiologie BPCO: Le cercle vicieux du déconditionnement VEMS Déconditionnement Dyspnée Immobilité Dépression Isolement social impairment
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailTrouble d anxiété généralisée
Les troubles anxieux Le choix d une thérapie simple ou combinée est un choix personnel. Pour faire un choix éclairé, adapté à votre condition actuelle et répondant à vos besoins, oser poser toutes vos
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailEtude de la place de la prise en charge des troubles musculo-squelettiques (TMS)chroniques par acupuncture en milieu hospitalier à l AP-HP
Etude de la place de la prise en charge des troubles musculo-squelettiques (TMS)chroniques par acupuncture en milieu hospitalier à l AP-HP Dr Annie Felten, Dr Olivier Duhamel, Dr Marie Koechlinet Dr Thierry
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détaill ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue
l ETP est elle compatible avec La télésurveillance de l observance à la PPC? Dany Baud CHSPneumologie Chevilly Larue Surveiller et punir/ le panoptisme Michel Foucault Un assujettissement réel nait mécaniquement
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailRespiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée
Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailDroits des malades en fin de vie. Connaître la loi Leonetti et l appliquer
Droits des malades en fin de vie Connaître la loi Leonetti et l appliquer Lorsque la médecine trouve ses limites et que la personne, avec ses proches, se situe dans la perspective d une échéance annoncée,
Plus en détailLa meilleure façon de traiter le mal de dos : Redevenir actif. Selon les dernières recherches. Le Guide du DOS
La meilleure façon de traiter le mal de dos : Redevenir actif Selon les dernières recherches Le Guide du DOS Publié par TSO (The Stationery Office) et disponible : En ligne www.tsoshop.co.uk Par Courrier,
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailLa fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter
La fibromyalgie Mieux l'évaluer pour mieux la traiter Dr Patrick GINIES, Anesthésiste, Centre d'évaluation et de traitement de la douleur CHU MONTPELLIER Patient partenaire et soignant partenaire Le rôle
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détailPrévalence des céphalées à travers l enquête décennale Santé 2002-2003
Ministère de l Emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la Santé et des Solidarités Près d une personne sur deux âgée de 15 ans et plus déclare être sujette à des maux de tête. Ceux-ci
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD
PRISE EN CHARGE DES DOULEURS DU POST-PARTUM ET DES DOULEURS POST-CHIRURGICALES MARTINE CORNILLET-BERNARD Douleurs du post-partum : Douleurs cicatricielles (déchirures ou épisio) Dyspareunies orificielles
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS
Qu est ce que l ergonomie d un poste de travail? ERGONOMIE au bureau lutter contre les TMS Un poste de travail ergonomique est un poste qui offre un environnement et des équipements permettant de créer
Plus en détailBienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels
Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de
Plus en détailCohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement
TITRE DU CONSORTIUM : Cohorte Observatoire Musculosquelettique (COMETT) Pénibilité et Vieillissement RESPONSABLES : Alexis Descatha, UMS 011, Villejuif ; Yves Roquelaure, LEEST, Angers ; Bradley Evanoff,
Plus en détailI. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture
148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailPage1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE
Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de
Plus en détailCe livret a été élaboré par le département d ergothérapie de L Hôpital d Ottawa, Campus Général.
GÉRER VOTRE FATIGUE Gérer votre fatigue Guide pratique destiné aux personnes atteintes de cancer et à leur famille Cette brochure contient des renseignements généraux qui ne sont pas spécifiques à vous.
Plus en détailLA PNL. Programmation Neuro Linguistique
LA PNL Programmation Neuro Linguistique Définition : Programmation «A partir des expériences que nous vivons depuis notre enfance (et peut être avant), nous nous créons des programmes de fonctionnement
Plus en détailDenis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective
Le budget santé d une entreprise Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective Notre mission Faire de l assurance collective un outil de gestion de la santé Objectif: Outiller
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailTrousse à outils contre la douleur. Trousse à outils contre la douleur
Trousse à outils contre la douleur Trousse à outils contre la douleur La trousse à outils contre la douleur est conçue pour les personnes qui vivent en permanence avec des douleurs. Les douleurs permanentes,
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailLa Menace du Stéréotype
La Menace du Stéréotype Fabrice GABARROT Bureau M6158 - Uni Mail Université de Genève 40, Bld du Pont d'arve CH-1205 Genève SUISSE Courriel : Fabrice.Gabarrot@pse.unige.ch Les stéréotypes sont, pour simplifier,
Plus en détailLa prise en charge des lombalgiques
La prise en charge des lombalgiques Approche au Grand-Duché de Luxembourg Dr Nicole Majery Service de Santé au Travail Multisectoriel FMP, Bruxelles,17.4.08 Plan: Projet STM: 2001-2007: Financement Contenu
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailCOR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR
COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR SABRINA CAMPANO DIRECTION: NICOLAS SABOURET ENCADREMENT : NICOLAS SABOURET, VINCENT CORRUBLE, ETIENNE DE SEVIN SOUTENANCE
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailSAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN
SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN QUE SIGNIFIE "ÊTRE CENTRÉ"? Etre centré signifie être aligné entre Ciel et Terre. C'est-à-dire connecté à l'énergie du Ciel et ancré dans l énergie de la Terre;
Plus en détailLES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE
LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailÀ l écoute des personnes touchées par la SP. Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP
À l écoute des personnes touchées par la SP Sondage à l intention des personnes en attente d un diagnostic probable de SP Notre mission : «Être un chef de file dans la recherche sur le remède de la sclérose
Plus en détail