EXCLUSIVEMENT SOLIDAIRE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013

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1 EXCLUSIVEMENT SOLIDAIRE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013

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3 SOMMAIRE RAPPORT MORAL 5 FICHE D IDENTITÉ L ASSOCIATION IMPLANTATION DONNÉES CLEFS ENGAGEMENTS ET ORIENTATIONS GOUVERNANCE 13 ACTIVITÉ 2013 BILAN ET PERSPECTIVES RESSOURCES HUMAINES DES SERVICES, DES ÉQUIPES ÉLÉMENTS ÉCONOMIQUES ET FINANCIERS LES TEMPS FORTS DE L ANNÉE LES PERSONNES ACCUEILLIES 29 BILAN DES PÔLES 57 RAPPORTS FINANCIERS 2 de couverture : Le Carré des biffins est un espace de vente solidaire de 100 places organisé du samedi au lundi sous le pont de l avenue de la Porte Montmartre pour permettre l activité des biffins. Cette expérimentation créée en 2009, à l initiative de la Mairie du XVIII e arrondissement de Paris, a été confiée à Aurore qui est chargée d organiser l occupation des places et de proposer un accompagnement social aux vendeurs. 1

4 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 RAPPORT MORAL Côté innovations, nous avons achevé la montée en charge du programme expérimental Un chez soi d abord et développé une équipe mobile vers les locataires en rupture de lien chez cinq bailleurs sociaux. En 2013, Aurore a poursuivi son développement, dans un contexte de crise persistant. Sur le terrain, nos équipes sont les témoins, chaque jour, des difficultés sociales grandissantes, d emploi et de logement notamment. C est pourquoi il faut investir aujourd hui dans l accompagnement à la réinsertion des personnes précaires et exclues, et réaffirmer notre attachement à la solidarité. En 2013, deux associations nous ont rejoints : Aide au Choix de Vie en juillet organisme de formation et d aide à la recherche d emploi - et Escale entreprise d insertion - en décembre. Par ailleurs, Aurore a achevé la mise en œuvre de projets programmés de longue date, dont notamment : deux résidences sociales, trois pensions de famille, un ensemble résidence sociale et pension de famille de quarante logements qui ont vu le jour au sein du pôle Habitat. L épicerie sociale créée à Montreuil par le pôle Insertion permet depuis octobre à des ménages en difficulté de faire leurs courses alimentaires à moindres frais (10 à 25% du prix de vente en grande surface classique). Les pôles Urgence et Hébergement ont quant à eux participé à l accueil en urgence de sans abri durant la campagne hivernale Même si nous nous réjouissons des moyens financiers consacrés par les pouvoirs publics à l urgence, nous redoutons la loi du thermomètre et la remise à la rue au printemps de personnes avec lesquelles un travail social prometteur a été commencé. INNOVER ET TRAVAILLER EN PARTENARIAT Dans un environnement difficile, Aurore reste un acteur majeur de la solidarité qui s attache à multiplier les innovations et inventer de nouvelles formes de soutien aux plus exclus. Dès que cela est possible, l association travaille en partenariat. Ainsi, elle est partie prenante au sein de groupements de coopération sociale et médico-sociale (GCSMS) à Paris, dans les Hauts-de-Seine et à Soissons (Aisne). Elle bénéficie également de l énergie d une centaine de bénévoles, œuvrant en complémentarité des équipes professionnelles. Par son développement, Aurore offre plus de possibilités de mobilités internes, qu elles soient géographiques ou sectorielles, à ses salariés. Concernant la formation professionnelle, l accent a été mis en 2013 sur les actions collectives. Enfin, les échanges et travaux entrepris avec les représentants du personnel ont permis, entre autres, de signer un accord diversité et égalité des chances. RÉAFFIRMER LA NÉCESSAIRE SOLIDARITÉ Le colloque Les angles morts de la solidarité de l automne - un temps de réflexion entre acteurs qui sera renouvelé en a permis de réaffirmer la nécessaire solidarité qui doit être mise en œuvre pour ceux qui passent à travers toutes les mailles du système social. Nous avons, à cette occasion, redit la nécessité du décloisonnement des dispositifs, l autonomie de gestion et la confiance dont les associations ont besoin pour accomplir au mieux leurs missions, avec le sens de la responsabilité qui les caractérise. Les comptes de notre association sont sains, et notre vigilance gestionnaire permanente. Les pouvoirs publics, d Etat comme locaux, continuent à nous accorder leur confiance, tout comme certaines fondations et partenaires privés que nous souhaitons ici remercier. 2

5 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 RAPPORT MORAL Nous tenons également à remercier les administrateurs et les citoyens qui s engagent à nos côtés, les équipes pour leur exigence au quotidien, et les bénéficiaires de nos actions qui se font de mieux en mieux entendre. Nous saurons leur proposer plus d espaces de parole, notamment au sein de notre conseil d administration, dès Ceci implique mobilité, adaptabilité et ouverture d esprit. Nous sommes déterminés dans la continuité de ce qui nous réunit depuis Pierre COPPEY, Président Eric PLIEZ, Directeur général Dans un contexte de contraintes budgétaires fortes, nous devons savoir repenser nos modes d intervention. L avenir est aux plates-formes partenariales agissant de concert auprès de personnes logées de manière pérenne, à l échelle de la Métropole. L accueil de jour Emile Zola de Bezons dans le Val d Oise accueille de manière inconditionnelle toute personne adulte en grande précarité. La structure - qui propose les petit-déjeuner et déjeuner, des douches, une laverie et une permanence sociale - a accueilli 260 personnes en

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7 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ FICHE D IDENTITÉ 6 L ASSOCIATION 7 IMPLANTATION 8 DONNÉES CLEFS 9 ENGAGEMENTS ET ORIENTATIONS 10 GOUVERNANCE L activité de l association, créée en 1871, se concentre autour de trois grandes missions : héberger, soigner, insérer. En 2013, près de personnes ont été accompagnées par des équipes pluridisciplinaires de professionnels, une centaine de bénévoles venant quotidiennement en appui des actions pour compléter l offre d accueil et d accompagnement proposée. Aurore est amenée chaque année à répondre aux besoins croissants des personnes en situation d exclusion en proposant de nouveaux services, de nouvelles actions, toujours menées en partenariat avec les financeurs et les acteurs locaux. Des sans abri aux chômeurs très éloignés de l emploi, des personnes souffrant d addiction aux jeunes migrants, des malades chroniques aux femmes victimes de violences, Aurore propose un hébergement et un accompagnement professionnel aux personnes touchées par la précarité sociale. Page de gauche : Au Carré des biffins, les vendeurs sont des adultes en très grande précarité sociale et économique, justifiant de la nécessité d un complément de ressources et s engageant à ne vendre que des produits de seconde main issus de la récupération. Ils ont adhéré à la charte du Carré. 5

8 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ L ASSOCIATION Organisées autour de trois missions, hébergement, soin et insertion, ses activités sont multiples : maraudes, centres spécialisés dans l accueil et l hébergement de personnes rencontrant des problèmes d addiction, activités de réinsertion professionnelle à destination de personnes en rupture d emploi ou handicapées, hébergement de personnes en souffrance psychique. S appuyant sur son expérience, Aurore propose, impulse et expérimente des formes innovantes de prises en charge qui s adaptent à l évolution des phénomènes de précarité et d exclusion. L association travaille en partenariat avec l Etat et les collectivités locales, régions, départements et communes. Le dialogue avec les autorités qui financent les actions est permanent, en cohérence avec les besoins recensés sur ses territoires d intervention. Aurore se développe en privilégiant la création ou la reprise de petits services à taille humaine. Autonomes dans leur fonctionnement, ils s inscrivent tous dans le cadre du projet stratégique de l association, régulièrement revisité. Le développement par fusion avec des associations souhaitant pérenniser leur activité se fait sur la base de valeurs et d une vision stratégique partagées. Aurore, le plus souvent délégataire de missions, emploie plus de personnes et anime un réseau de bénévoles. 6

9 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ Val d Oise Hauts-de-Seine Seine-et-Marne Seine-Saint-Denis PARIS Val-de-Marne IMPLANTATION Essonne Aisne BUCY-LE-LONG Loire-Atlantique Île-de-France NANTES REFFANNES Deux-Sèvres BRANTÔME PÉRIGUEUX Dordogne PARIS (75) II E ARRONDISSEMENT Résidence sociale Bonne nouvelle IV E ARRONDISSEMENT Suzanne Képès Bureaux du Siège V E ARRONDISSEMENT Restaurant social & ESAT Santeuil VIII E ARRONDISSEMENT Secrétariat du pôle Hébergement IX E ARRONDISSEMENT Equipe mobile Coordination des maraudes parisiennes secteur ouest CHRS Siloë Club de prévention Siloë X E ARRONDISSEMENT Résidence Magenta Itinérances Plan ATLAS bus XI E ARRONDISSEMENT Résidence Accueil Les papillons Résidence accueil Ménilmontant CHRS Le Lieu dit XII E ARRONDISSEMENT Service Petite Maintenance Maraude est Auberge Raguinot Equipe de rue et coordination maraudes secteur ouest de paris Halte Femmes Halte Jeunes 16/25 Halte Mazas Halte sociale Secrétariat du pôle Urgence XIII E ARRONDISSEMENT Secrétariat du pôle Accueils et soins psychiques SAVS XIII e Appartements de coordination thérapeutique Espace Rivière Mijaos ESAT 10/18 ESAT Espace Aurore PRISM (service d accompagnement allocataires RSA) La Maison Cœur des femmes Plan ATLAS bus Restaurant social chevaleret Secrétariat du pôle ESAT XIV E ARRONDISSEMENT LOGIS Espace Jeunes Le Miroir Centre de stabilisation Pasteur Centre de stabilisation Pierre Petit XV E ARRONDISSEMENT La Conversation thérapeutique Centre psychothérapique Dutot Foyer Cévennes Foyer Labrador Hopital de jour Cévennes Hopital de jour Labrador ITEP L Éveil SESSAD L Eveil Résidence Apollinaire SAVS XV e Pension de famille et résidence sociale Boucicaut Pension de famille et résidence sociale Vaugirard Résidence sociale Cévennes CHRS Antenne Aurore CHRS Etoile du matin CHRS SARAH XVII E ARRONDISSEMENT Plan ATLAS bus XVIII E ARRONDISSEMENT Pension de famille et résidence sociale Aubervilliers Pension de famille et résidence sociale Belliard Logements d insertion Relais Cœur de femmes CAARUD et CSAPA EGO Résidence accueil Primavera Espace Emploi Le Carré des biffins PLIE Paris nord est XIX E ARRONDISSEMENT PANGEA PHASE Résidence sociale Ramponneau XX E ARRONDISSEMENT CSAPA Menilmontant Espace jeunes Taos Amrouche Secrétariat du pôle Insertion professionnelle Pension de famille Julien Lacroix CHRS Soleillet Espace Emploi - Contrat d Autonomie SEINE-ET-MARNE (77) MITRY-MORY EDI Cap Sourire ESSONNE (91) PALAISEAU Pension de famille et résidence sociale HAUTS-DE-SEINE (92) BOULOGNE-BILLANCOURT Centre de stabilisation L Olivier CHRS La Colombe Pension de famille Diaz CLAMART Pension de famille FONTENAY-AU-ROSES Pension de famille La Cavée SÈVRES Pension de famille Les Sables VILLE D AVRAY Résidence sociale Villa Esmeralda SEINE-SAINT-DENIS (93) AUBERVILLIERS CAARUD Aubervilliers Communauté thérapeutique Aubervilliers AULNAY-SOUS-BOIS FIRST GAGNY Chantier d insertion Prélude CSAPA Clémenceau Lits Halte Soins Santé Résidence sociale La Montagne CHRS La Talvère Secrétariat du pôle Addictions GOURNAY Résidence sociale La Marne LE RAINCY Résidence sociale La Fontaine Epicerie sociale Odyssée : plateaux techniques restauration Louez Solidaire Pension de famille Molière Résidence accueil Branly S PASSE 24 La Maison bleue LIVRY-GARGAN EDI l Odyssée Espace Emploi MONTREUIL Baux glissants et logements temporaires Secrétariat du pôle Habitat Solibail SEVRAN Les jardins du Pont blanc VILLEMOMBLE Appartements de coordination thérapeutique Seine-St-Denis VAL-DE-MARNE (94) CHENNEVIÈRES Logements Relais LA VARENNE SAINT-HILAIRE Résidence Albert 1 er LIMEIL-BREVANNES Logements Relais MAISON-ALFORT Résidence acceuil Le Clos NOGENT-SUR-MARNE Résidence sociale jeunes SUCY-EN-BRIE Logements Relais VALENTON Maison Husson VILLENEUVE-LE-ROI Escale VAL D OISE (95) ARGENTEUIL Résidence sociale Le Chalet BEZONS Accueil de jour Emile Zola CHRS Rives de Seine CERGY SAINT-CHRISTOPHE ACT Bords de L Oise Appartements thérapeutiques Dune GARGES LES GONESSE ASLL Hébergement temporaire Studios jeunes GONESSE CHRS Le Phare AISNE (02) BUCY-LE-LONG Centre APTE DORDOGNE (24) BRANTÔME Communauté thérapeutique Brantôme PÉRIGUEUX Appartements de coordination thérapeutique LOIRE-ATLANTIQUE (44) NANTES SCAMPS Appartements de coordination thérapeutique L Entr act DEUX-SÈVRES (79) REFFANES Foyer de vie Le Berceau Page de gauche : L accueil de jour Pangea a pour mission d apporter un cadre protecteur adapté à des jeunes mineurs isolés étrangers. Le service offre un accompagnement éducatif, sanitaire, social et psychologique ainsi qu un appui à leur quotidien. 7

10 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ EN DONNÉES CLEFS PERSONNES HÉBERGÉES ET/OU ACCOMPAGNÉES, DONT : PÔLE URGENCE : Maraudes auprès de personnes à la rue, accueil et hébergement de stabilisation PÔLE HÉBERGEMENT : Hébergement et accompagnement à la réinsertion sociale PÔLE HABITAT : Logements et accompagnement pour ménages en fin de parcours de réinsertion PÔLE ADDICTIONS SANTÉ-PRÉCARITÉ : Prise en charge de personnes souffrant d addictions ou de maladies chroniques PÔLE ACCUEILS ET SOINS PSYCHIQUES (347 adultes et 97 enfants) : 444 Lieux de soins, de soutien à l autonomie, et hébergement pour personnes en souffrance psychique PÔLE ESAT (nombre de travailleurs handicapés formés) : 166 Établissements de formation pour adultes handicapés psychiques PÔLE INSERTION : Formation et accompagnement vers l emploi REPAS SOCIAUX SERVIS (1 031/JOUR) : PLACES D HÉBERGEMENT À L ANNÉE (hors plan hivernal) : LOGEMENTS : SERVICES ET ACTIVITÉS : 127 SALARIÉS : BÉNÉVOLES : 110 TOTAL DES CHARGES : TOTAL DES PRODUITS : AURORE EST PRÉSENTE DANS : 35 VILLES 10 DÉPARTEMENTS 5 RÉGIONS 15 ARRONDISSEMENTS PARISIENS 8

11 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ ENGAGEMENTS ET ORIENTATIONS L association Aurore, qui intervient principalement en Îlede-France et a développé ses activités dans quatre autres régions, promeut une approche globale de l accompagnement des personnes exclues. Aurore est en recherche permanente d innovation pour mieux répondre aux nombreuses formes de l exclusion. Cette recherche se conduit avec les personnes accueillies elles-mêmes, avec leurs familles, avec les équipes de terrain, avec les citoyens associés à nos projets et avec des partenaires universitaires. Elle nous amène à proposer régulièrement des dispositifs nouveaux, transversaux, à nos partenaires et financeurs et à être pionnier sur de nombreux sujets. Elle nous conduit également à revisiter et réorienter régulièrement nos différents projets d établissement et à accompagner les salariés de l association dans les mutations de compétences nécessaires à ces évolutions. Nous concevons nos interventions de façon pragmatique, à l abri, autant que faire se peut, des préjugés idéologiques, ancrée dans nos principes humanistes, laïques et solidaires. Si nous savons que l hébergement est le préalable de toute démarche de réinsertion, nous développons toutes les fois où cela est possible une approche pluridisciplinaire qui mobilise les compétences de l association dans le domaine sanitaire, dans le domaine social, dans le domaine de la formation ou de l insertion. Cela nous conduit à promouvoir des approches transversales au sein de l association pour mobiliser les compétences de ses différents services au bénéfice de personnes accueillies, mais cela nous conduit aussi à développer des partenariats avec d autres associations ou des services publics. 9

12 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ GOUVERNANCE LE CONSEIL D ADMINISTRATION BUREAU : Pierre Coppey, Président, Xavier Huillard, 1 er Vice-Président, Maurice Mallet, 2 nd Vice-Président, Pierre Abgrall, Secrétaire Général, Sylvain Duranton, Trésorier, François Fassy, Trésorier adjoint. AUTRES MEMBRES : Dino Belkacem, Jean Blocquaux, Gladys Bournique, Pierre- Michel Chaudru, Ghislaine de Chevigny, Gérard Delacroix, Françoise Foret, Philippe Goujon, Hélyette Lefevre, Sylviane Leger, Virginie Legrand, Anne-Marie Maffre- Sabatier, Catherine Meut, Jacques Toubon. Le conseil d administration détermine les orientations stratégiques d Aurore et veille à leur mise en œuvre. Le directeur général est le représentant permanent du conseil d administration et le pilote de l association. Le siège coordonne et veille à l application des stratégies en terme de finances, de ressources humaines, de qualité, de juridique et de communication. Il est un lieu de ressources et d appui aux pôles. Maurice Mallet, vice-président et Anne-Marie Maffre- Sabatier, administratrice, animent un groupe au service du développement de l expression des personnes accueillies. Au cours de l année, la mission interministérielle d inspection du logement social (MILOS) est venue contrôler la gestion des pensions de famille et des résidences sociales de l association. Trois administrateurs Francois Fassy, Pierre-Michel Chaudru et Sylviane Léger ont été associés aux réflexions internes liées à cet audit. EN bureaux 3 conseils d administration 2 assemblées générales 12 comités de direction 2 séminaires cadres Aurore a choisi de fonctionner en mode déconcentré, laissant aux pôles et aux services une grande autonomie dans leur travail, au quotidien. Les directions de terrain ont ainsi une délégation et des responsabilités ainsi que l outillage nécessaire pour fonctionner de manière réactive, au service des personnes accueillies. Les membres du conseil d administration, bénévoles, sont impliqués dans la gestion de l association et participent à différentes instances de réflexion et de prise de décisions. Pierre Coppey, président, est responsable du bon fonctionnement de la gouvernance et le représentant politique de l association. Sylvain Duranton, trésorier, valide la gestion financière globale en lien avec la directrice financière. Pierre Abgrall, secrétaire général veille sur la bonne gestion administrative et juridique de l association, sur sa gouvernance et sur le pilotage des dossiers immobiliers d Aurore. 10

13 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 FICHE D IDENTITÉ ORGANIGRAMME CONSEIL D ADMINISTRATION FINANCES DIRECTEUR GÉNÉRAL SECRÉTARIAT GÉNÉRAL RESSOURCES HUMAINES QUALITÉ COMMUNICATION PARTENARIAT JURIDIQUE HÉBERGER SOIGNER INSÉRER URGENCE 18 SERVICES ET ACTIVITÉS ADDICTIONS SANTÉ-PRÉCARITÉ 18 SERVICES ET ACTIVITÉS ESAT 3 SERVICES ET ACTIVITÉS François Morillon, Directeur de pôle François Hervé, Directeur de pôle Jean-Luc Franzoni, Directeur de pôle HÉBERGEMENT 23 SERVICES ET ACTIVITÉS ACCUEILS ET SOINS PSYCHIQUES 13 SERVICES ET ACTIVITÉS INSERTION PROFESSIONNELLE 19 SERVICES ET ACTIVITÉS Armando Magallanes, Directeur de pôle Claude Magdelonnette, Directeur de pôle Olivier Febvre, Directeur de pôle HABITAT 33 SERVICES ET ACTIVITÉS Sandrine Afchain, Directrice de pôle * La liste des services et activités est disponible page 7. 11

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15 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 BILAN ET PERSPECTIVES RESSOURCES HUMAINES UN ENVIRONNEMENT SOCIAL QUI CONTINUE D ÉVOLUER Cette année, deux associations, Escale et Aide au Choix de Vie (ACV) ont rejoint Aurore. La Convention Collective 51, majoritaire au sein de l association, avait subi de fortes évolutions avec la mise en place d une recommandation patronale. En 2013, sa mise en application est venue directement impacter le passage des sauts d ancienneté et de technicité, la récupération des jours fériés, etc. Un avenant à la convention, signé en fin d année 2013 pour une application en 2014, permettra la restauration du socle conventionnel. LA MOBILITÉ ET LE RECRUTEMENT EXTERNE L association souhaite encourager la mobilité interne, qu elle soit géographique ou fonctionnelle, car elle est source de richesses tant au niveau des compétences, que de la connaissance de différents publics ou de l échange de bonnes pratiques. Ces mouvements internes supposent le respect de règles, qui ont été formalisées dans une charte de mobilité. Pour gagner en efficacité, une procédure recrutement a été mise en place afin de clarifier les rôles de chacun (encadrement, service administratif de pôle, siège ) dans le dispositif. L effectif de l association a augmenté de 14%, passant de 929 salariés à 1057 à fin salariés ont été embauchés en CDI et 345 en CDD et contrats aidés. Nos objectifs Communiquer sur les outils : charte de mobilité et procédure recrutement, - Recueillir les souhaits de mobilité et pouvoir proposer des postes en conséquence. LA QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL ET LA PRÉVENTION DES RISQUES Pour améliorer la protection sociale des salariés, l association a proposé une mutuelle à tous les salariés présents en juin 2013 qui le souhaitaient. Cette couverture santé complémentaire est rendue obligatoire pour les nouveaux recrutés après 4 mois d ancienneté. Conformément à notre obligation légale et pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des salariés, un document unique d évaluation des risques professionnels (DUERP) est rempli par les chefs de service et les directeurs. Son support a été révisé pour s adapter davantage aux spécificités du secteur d activité. Il s agit de l ajout d une partie relative aux risques psycho-sociaux, reprenant notamment la relation avec le public accueilli. Notre objectif Mettre en place une démarche paritaire «risques psycho-sociaux (RPS)» avec la mise en place d un comité de pilotage au niveau de l association, des cellules de veille RPS au niveau des pôles, permettant d établir des plans d actions et des groupes de travail dédiés. LA GESTION PRÉVISIONNELLE DES EMPLOIS ET DES COMPÉTENCES (GPEC) ET LA FORMATION PROFESSIONNELLE En fin d année 2013, le comité de direction s est réuni pour travailler à la refonte du support et de la procédure des entretiens professionnels individuels qui auront lieu tous les deux ans. Parmi plus de 400 formations dispensées en 2013, 20% sont qualifiantes (BTS, DE aide médico-psychologique, CAFDES, CAFERUIS, Certificat d habilitation électrique ). Comme annoncé dans les orientations stratégiques de la formation à Aurore, les actions auprès de l encadrement ont débuté en 2013 avec des formations collectives orientées sur la rédaction du rapport d activité, du projet d établissement et sur les rôles, missions et attentes du management à tous les niveaux de la hiérarchie. Des salariés ayant peu ou pas de qualification (niveau V et infra) sont entrés en 2013 dans un dispositif formation dit «socle de base» reprenant les fondamentaux (français, mathématiques et informatique) appliqués à l emploi occupé. Ils concernent environ 25 personnes. Ces actions se poursuivront en Nos objectifs Exploiter les entretiens professionnels individuels en termes de souhaits de formation et de mobilité, - Continuer le recentrage de la formation vers plus d actions collectives. Page de gauche : Pangea fait partie du pôle Insertion d Aurore qui a formé et accompagné vers l emploi plus de personnes en

16 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 LE DIALOGUE SOCIAL Des accords d adaptation ont été signés avec les partenaires sociaux concernant les associations récemment fusionnées avec Aurore (Loginter, EGO, SILOË, Le Berceau, Aide au Choix de Vie) pour garantir une égalité de statut social à l ensemble du personnel. L accord sur la diversité et l égalité des chances, comprenant 3 volets (l égalité homme-femme, les dispositions prises vis-à-vis des seniors, des juniors et des travailleurs handicapés) a été signé au cours de l année Il marque la volonté de l association d offrir à chacun de ses salariés, à compétences égales, les mêmes possibilités d accès à l emploi et de construire son parcours professionnel. Un travail de suivi avec des indicateurs est mené avec la commission égalité du comité d entreprise. Nos objectifs Signer un accord GPEC, - Mettre à plat les différentes organisations de travail et signer un accord sur le temps de travail. Plusieurs outils ont été mis en place durant l année passée. En 2014, il sera question de communiquer largement sur ces derniers et les faire vivre pour qu ils puissent remplir leurs missions. Leur objectif est d anticiper les évolutions tout en maîtrisant la réalité du moment, en associant l intérêt général et l intérêt particulier, en aidant chaque salarié à évoluer et se former, à son profit et au bénéfice de l association. Dans ce sens, l association a souhaité mettre à la disposition de tous, un document reprenant la politique RH menée au sein de l association. ZOOM SUR DEUX AVANCÉES DE L ACCORD DIVERSITÉ ET ÉGALITÉ DES CHANCES Les travailleurs handicapés En 2013, une communication auprès de tous les salariés a permis d augmenter le nombre de salariés reconnus handicapés aux effectifs, passant de 20 à 32 personnes. Pour Aurore, c est à la fois mieux remplir son obligation légale et aussi assurer son rôle d employeur responsable. Les contrats emplois d avenir En 2013, l association a signé une convention avec l Etat pour l embauche de 30 jeunes en contrat emploi d avenir. Pour donner le maximum de chances de réussite à ces jeunes souvent éloignés de l emploi, un animateur a été missionné au sein d Aurore, pour aider les jeunes, les équipes qui les accompagnent et créer une dynamique de groupe. 14

17 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 LA FORMATION : UNE PRIORITÉ Les actions formation doivent permettre de gérer les mutations relatives aux évolutions des outils de travail, des nouvelles réglementations, des métiers et des organisations. Elles ciblent également le renforcement des compétences et expertises des professionnels dans leur métier et filière. Les formations ont été légèrement moins nombreuses en 2013 qu en Cependant, leur durée a été plus grande en 2013, ce qui s explique notamment par le taux élevé de formations certifiantes et qualifiantes (plus de 20%). NOMBRE DE SALARIÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 : 1 057* *Les données sociales présentées ne tiennent compte ni des effectifs des salariés travailleurs handicapés en ESAT, ni ceux issus des fusions Aide au Choix de Vie et Escale survenus en 2013, en raison de leur implémentation dans le logiciel paie Aurore en janvier ÉVOLUTION DU NOMBRE DE SALARIÉS FORMÉS ÉVOLUTION DU NOMBRE D HEURES DE FORMATION Nombre de salariés Heures de formation RÉPARTITION DES FORMATIONS PAR TYPE D ACTIONS DE FORMATION 60 % 54 % 50 % 45 % 40 % 33 % 30 % 28 % 20 % 10 % 0 1 % 4 % % 6 % 1 % % Bureautique Langue Management Sécurité Techniques profesionnelles 15

18 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 EN salariés en formation initiale (alternance) 88 salariés en formation qualifiante (diplôme ou certificat) ÉVOLUTION DE LA RÉPARTITION DES POSTES À TEMPS PLEIN ET À TEMPS PARTIEL (SALARIÉS EN CDI) 80 % 70 % 73,5 % 75,5 % 77 % 60 % ÉVOLUTION DE LA RÉPARTITION DES SALARIÉS EN FONCTION DU TYPE DE CONTRATS 50 % 40 % 100 % 90 % 89 % 86 % 88 % 30 % 20 % 26,5 % 24,5 % 23 % 80 % 70 % 60 % 10 % Temps plein Temps partiel 50 % 40 % 30 % 20 % 10 % 6 % 5 % 9 % 5 % 7 % 5 % ETP CDI ETP CDD 0 ETP CUI + alternance PYRAMIDE DES ÂGES PAR GENRE (TOUS CONTRATS CONFONDUS) < 25 ans de 25 à 29 ans de 30 à 34 ans de 35 à 39 ans de 40 à 44 ans de 45 à 49 ans de 50 à 54 ans de 55 à 59 ans de 60 à 64 ans ans Hommes : 435 Femmes :

19 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 PYRAMIDE DES ANCIENNETÉS PAR GENRE (TOUS CONTRATS CONFONDUS) < 1 an de 1 à 3 ans de 4 à 6 ans 27 de 7 à 9 ans de 10 à 12 ans de 13 à 15 ans de 16 à 18 ans 9 20 de 19 à 21 ans > 2 2 a n s Hommes Femmes EN 2013 Taux de fréquence des accidents du travail : 2,36 pour Taux de gravité des accidents du travail : 0,84 pour TAUX D ABSENTÉISME (MALADIE ET ACCIDENT DE TRAVAIL) Le taux d absentéisme est constant malgré un nombre de jours d absence plus important. Cela s explique par l accroissement concomitant de l effectif ETP moyen. SALAIRE BRUT MOYEN (CDI TEMPS PLEIN UNIQUEMENT) Rémunération moyenne brute du mois de décembre Hommes Femmes Taux d absentéisme 4,4 % 4,3 % 4,3 % ÉGALITÉ DES CHANCES Pourcentage de cadres (tout contrat) Les hommes cadres représentent 40 % de l effectif cadre (contre 60 % pour les femmes). 50% des cadres en position hiérarchique sont des femmes (versus 50 % pour les hommes). EN 2013 Embauche de moins de 25 ans : 65 personnes Embauche de plus de 50 ans : 86 personnes Recrutements en CDI suite à CDD : 37 personnes Embauches en CDD Plan hivernal (structures de l urgence et de l hébergement) : 50 personnes 17

20 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 DES SERVICES, DES ÉQUIPES LE RESTAURANT SOCIAL CHEVALERET À PARIS Pôle Insertion «Nous servons tous les soirs, toute l année, 360 repas chauds et assis dans un réfectoire. C est un public d habitués. Nous travaillons avec eux et les accompagnons vers une réinsertion. Nous recevons beaucoup de retraités pour lesquels les fins, voire les milieux, de mois, sont difficiles. Par ailleurs, nous ressentons les problèmes qui se posent à l autre bout de la terre : des problèmes au Mali et nous voyons plus de maliens par exemple.» Radhouane Babouche, Chef de service. À écouter sur : «Affluence dans les restaurants sociaux d Aurore. RTL a rencontré les bénéficiaires du restaurant Chevaleret». APPARTEMENTS DE COORDINATION THÉRAPEUTIQUE (ACT) DE PÉRIGUEUX Pôle Addictions santé-précarité Accompagnement de personnes originaires d Aquitaine, atteintes de maladie chronique invalidante. «Les ACT de Dordogne comptent 10 places. Cela nous per- met de réunir régulièrement les usagers lors d actions collectives, ce qui apporte une dimension familiale qui rassure notre public et développe l entraide mutuelle. Notre service a également la particularité de fonctionner à flux tendu : le parc locatif de Périgueux ne connaissant pas l engorgement d autres régions, les usagers restent peu de temps dans nos appartements. Une fois devenus autonomes dans leur relation au soin, ils accèdent facilement à un logement et ne restent pas captifs du dispositif». Philippe Van Melle, directeur. 18

21 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 ESAT SANTEUIL Pôle ESAT L ACCUEIL DE JOUR PANGEA Pôle Insertion Restaurant social pour un public en précarité. Ouvert 7j/7, midi et soir, le restaurant sert plus de 600 repas. «Le restaurant Santeuil a pour particularité de poursuivre une double mission sociale : il s agit à la fois d un ESAT pour personnes handicapées par la maladie mentale et d un restaurant social destiné à un public en très grande précarité, dont de nombreux sans-abri. En général, les clients ne savent pas qu il s agit d un ESAT et ignorent donc le handicap des travailleurs de la structure. Ces derniers, en revanche, sont conscients de la précarité des clients. C est quelque chose qui compte beaucoup pour eux, car cela leur permet ainsi de passer «d aidés» à «aidants»». Evgen Serre, chef de service. L ACCUEIL DE JOUR ÉMILE ZOLA DE BEZONS Pôle Hébergement Apporter un cadre protecteur adapté à de jeunes migrants isolés. «La spécificité de l accueil de jour Pangea réside dans son public : de jeunes mineurs étrangers arrivés clandestinement en France. Au titre de leur minorité, ils sont pris en charge par l Aide Sociale à l Enfance (ASE), qui peut éventuellement prolonger cet accompagnement après leur majorité. Outre son statut administratif spécifique, ce public a également pour particularité d être socialement isolé : arrivés seuls en France, ces jeunes n y ont donc aucun soutien familial. En partenariat étroit avec l ASE et les établissements où ces jeunes sont scolarisés, nous leur apportons un accompagnement éducatif, sanitaire, social et psychologique, ainsi qu un appui quotidien.» Nadine Chambert, chef de service. PENSION DE FAMILLE JULIEN LACROIX Pôle Habitat Petit déjeuner et repas de midi, laverie, douches et permanence sociale pour hommes, femmes, couples avec enfants en grande précarité. «Nous notons une nette augmentation des demandes cette année, avec notamment l arrivée de familles avec des enfants de 6 à 10 ans non scolarisés car sans domiciliation. Nous faisons le nécessaire pour qu ils puissent aller à l école.» Candice Manza, agent d accueil. La pension de famille permet d inscrire des ménages en grandes difficultés dans un logement durable et accompagné. «Nous avons une salle commune dans laquelle les résidents des deux parties de l immeuble familles monoparentales d une part etpersonnes isolées d autre part se croisent. Nous mettons en place des activités communes dans cet espace et cela les mobilise. Ils s échangent services et conseils, cela les rapproche de la réalité de ce qu est la vie entre citoyens». Mimouna Ouchani, assistante sociale. À lire sur aurore.asso.fr : «Les pensions de famille en voyage grâce au concours de l agence nationale des chèques vacances». 19

22 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 ÉLÉMENTS ÉCONOMIQUES & FINANCIERS ÉVOLUTION DES CHARGES ET PRODUITS D EXPLOITATION ENDETTEMENT SUR CAPITAUX PROPRES 100 M 90 M 80 M 70 M 60 M 50 M M 17,5 M 15 M 12,5 M 10 M (48,89 %) (51,49 %) (45,02 %) 40 M 7,5 M 30 M 20 M 5 M 10 M Charges Produits 2,5 M Capitaux propres Dettes/Emprunts RÉPARTITION DES CHARGES D EXPLOITATION DÉTAIL DES CHARGES D EXPLOITATION TOTAL : ,90 % 61,74 % 61,45 % Salaires et charges + intérim : Loyers & charges locatives : Amortissements : Autres charges : ,10 % ,26 % ,55 % 2013 DÉTAIL DES PRODUITS D EXPLOITATION TOTAL : Ventes/prestations : Redevances/ aides au logement : Subventions/DG : Aides au poste : Autres produits : Salaires et charges + intérim Autres DÉTAIL DES FINANCEMENT SUBVENTIONS/DG EN 2013 Total des charges : Total des produits : DRIHL/DDCS : 43,97 % ( ) ARS : 36,85 % ( ) DASES : 8,86 % ( ) Autres : 10,32 % ( ) 20

23 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 LES TEMPS FORTS DE L ANNÉE CRÉATION DE L ÉPICERIE SOCIALE DE MONTREUIL Pôle Insertion UN LIEU DE PARTAGE ET DE SOLIDARITÉ L épicerie permet à des familles montreuilloises orientées par les services sociaux d accéder à une alimentation de qualité, à moindre coût. Parallèlement à l accompagnement individuel dont chaque client de l épicerie fait l objet, la structure a mis en place des actions collectives éducatives et socio-culturelles : jardinage, chant, informatique, gestion de budget... Aux côtés de l équipe, une vingtaine de bénévoles anime le lieu qui a été inauguré le 26 novembre À lire sur aurore.asso.fr : «Le Parisien découvre l Epicerie Solidaire d Aurore à Montreuil» AMÉNAGEMENT DU CENTRE D HÉBERGEMENT D URGENCE SAINT-PÉTERSBOURG Pôle Urgence UN «SQUAT LÉGAL» EMBLÉMATIQUE Les m 2 des anciens bureaux de l Institut National de la Propriété Industrielle ont été mis à disposition par l Etat, permettant ainsi de mettre à profit certains des nombreux m 2 de bureaux vides en Île-de-France. Le centre d hébergement, qui accueille 120 personnes, a été visité en décembre par Mme Duflot Ministre du logement. À lire sur aurore.asso.fr : «Cécile Duflot chez Aurore. La Ministre s est rendue dans un centre d hébergement d urgence de l association» 21

24 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 FUSION AVEC L ASSOCIATION AIDE AU CHOIX DE VIE Pôle Insertion UNE ANNÉE D ACTIVITÉ POUR LE SCAMPS À NANTES Pôle Addictions santé-précarité UNE INNOVATION QUI PERMET DE MAINTENIR DES MALADES PRÉCAIRES DANS LE SOIN RÉAFFIRMER L IMPORTANCE DE L ACCÈS À L EMPLOI ET À LA QUALIFICATION DES PERSONNES EN DIFFICULTÉ Créée en 1981, ACV, implantée en Essonne, à Paris et en Seine-Saint-Denis, a pour mission la formation et l accompagnement vers l emploi de personnes fragilisées. Depuis le 1er juillet, elle a rejoint Aurore. Un rapprochement qui reconfigure le pôle Insertion et lui permet de gagner en efficience. Aurore réaffirme avec cette fusion son engagement dans les activités d insertion professionnelle des publics très éloignés de l emploi. CRÉATION DE L ÉQUIPE MOBILE Pôle Hébergement À Nantes, le service de coordination et d accompagnement médico-psycho-social (SCAMPS) accompagne en ambulatoire des personnes malades nécessitant une coordination médico-sociale, quel que soit leur hébergement : autonome, centre d hébergement, maison de retraite Les personnes restent ainsi dans des lieux familiers. Un dispositif innovant, expérimental et qui rempli ses objectifs, financé par l agence régionale de santé (ARS), l institut national du cancer (INCa), La Ligue contre le cancer, et avec le soutien de la FNARS Pays de la Loire. À lire sur aurore.asso.fr, le dossier consacré à Scamps par le magazine Actualités Sociales Hebdomadaires : «Plus loin que le soin.» INAUGURATION DE LA RÉSIDENCE BELLIARD À PARIS Pôle Habitat UN PARTENARIAT GAGNANT AVEC LES BAILLEURS, AU SERVICE DES LOCATAIRES EN DIFFICULTÉ L équipe mobile mobilise les compétences d une coordinatrice et de psychologues pour intervenir auprès de locataires du parc social en difficultés - à la demande des bailleurs sociaux avec lesquels elle est en partenariat - et mobiliser un réseau de partenaires locaux autour de la personne. Enfin, des modules de sensibilisation sont proposés chez les mêmes bailleurs aux gardiens d immeubles, aux gestionnaires de patrimoine PROPOSER DES LOGEMENTS ET UN ACCOMPAGNEMENT ADAPTÉ À l image du dynamisme du pôle, qui a ouvert trois structures résidentielles mixtes résidences sociales/pensions de famille (163 logements) en 2013, Aurore a inauguré en septembre la résidence Belliard. Il s agit d un bâtiment comportant une pension de famille et une résidence sociale totalisant 41 logements, ainsi qu un commerce. Le tout est certifié «bâtiment basse consommation» et «habitat et environnement». 22

25 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 EXPÉRIMENTATIONS ET BILANS D ACTION Aurore est en recherche constante d offres permettant de répondre aux besoins, nouveaux ou déjà identifiés, des personnes et familles en difficultés que ce soit en terme d hébergement, de logement, d emploi, de santé Avec l aide de partenaires, des expérimentations voient le jour chaque année. Concernant l hébergement et le logement, Aurore s est engagée dès ses débuts dans l intermédiation locative - Louez solidaire à Paris et Solibail en Ile-de-France -, un dispositif qui fait ses preuves depuis respectivement 2007 et L objectif est d héberger en logements privés des familles accompagnées par l association et relogées au terme de 18 mois maximum. À la fin de l année 2013, le pôle Habitat d Aurore gérait 530 logements par le biais de ces dispositifs financés par la Ville de Paris et l Etat. Aurore se positionne comme un acteur du Logement d abord éviter le «parcours du combattant» de l héber- gement et proposer un toit avant toute autre démarche sociale ou de soin, ces actions étant mises en place dans un second temps - notamment avec la coordination nationale de l expérimentation parisienne Un chez soi d abord : des volontaires sont recrutés et inclus dans la recherche selon trois critères : être sans abri, souffrir de troubles mentaux sévères et avoir des besoins élevés en termes d accompagnement. Parmi ces personnes, la moitié bénéficiera de l accompagnement de l équipe dédiée au programme expérimental Un chez soi d abord et l autre moitié pour- suivra son parcours dans le droit commun. Les deux groupes sont suivis 24 mois par l équipe de recherche. Il s agit de comparer les effets de l offre habituelle de services (équipes de maraude, dispositifs d hébergement en escaliers, structures médico-sociales, équipes de secteurs sanitaires et sociaux,...) et de cette offre associée à l accompagnement spécifique Un chez soi d abord afin d en évaluer la plus-value. À lire sur aurore.asso.fr : «Un chez soi d abord. Le programme en mots, en photos et en vidéos» un article de VivaPresse.fr Les jeunes sont également très touchés par les difficultés d accès au logement. C est pourquoi, en partenariat étroit avec la mairie et la mission locale de Villiers-le-Bel, et le bailleur Val d Oise Habitat, le pôle Hébergement propose des studios à 16 jeunes de 16 à 25 ans en difficultés engagés dans un projet d insertion professionnelle. Pour leur permettre de débuter sereinement dans la vie. Le même pôle Hébergement a reconduit et pérennisé durant l hiver son expérimentation d accompagnement, au centre d hébergement L Olivier, de personnes hébergées en hôtel. Les conclusions positives - effets positifs de la mixité des publics hôtels/centre d hébergement amenés à se croiser notamment lors des repas sur leur mobilisation au service de leur projet de vie, amélioration de l hébergement avec une offre de repas, meilleur accompagnement et sorties mieux préparées et plus adaptées - ont conduit direction régionale et interdépartementale de l hébergement et du logement des Hauts-de-Seine (DRIHL) à renouveler l expérience pour le plan hivernal et à pérenniser ensuite les 20 places du service dénommé Les Alizées. L association sert plus de 1000 repas par jour dans ses restaurants sociaux. Des repas chauds, proposés en réfectoire et jamais dans la rue pour permettre aux personnes en grande précarité, souvent sans abri, de se poser, de se reposer. Pour que la distribution des repas au restaurant de la Porte de la Villette ne s arrête pas pendant les vacances d été, la mairie de Paris a sollicité Aurore pour prendre le relais, en juillet 2013, des Restos du Cœur pour le service du midi, et en août celui de l association La Chorba pour le service du soir. Une continuité importante puisque plus 350 personnes sont bénéficiaires chaque jour des plateaux repas de la Villette. Le restaurant constate une forte proportion de migrants, venus des quatre coins du monde, au gré des conflits naissants. Pour aider une partie de ces migrants les plus fragilisés, les mineurs isolés étrangers de plus de 17 ans, le pôle Insertion a ouvert la structure Pangea, un accueil de jour qui les accueille et les accompagne dans leur quotidien comme dans leur projet de vie. Le même pôle, qui a pour objectifs la formation et l accompagnement vers l emploi, a monté en 2013 le chantier Prélude. Composé de dix-huit salariés en insertion et de quatre encadrants techniques il propose une activité déménagement et petite logistique d une part - rattachée elle au pôle Urgence - et une activité peinture d autre part. Engagés en contrat unique d insertion, les salariés apprennent un métier et travaillent à la stabilisation de leur situation. Le chantier intervient très majoritairement au sein de l association et travaille en collaboration avec l entreprise d insertion Escale, qui a fusionné avec Aurore en

26 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 L année 2013 a été également marquée par la poursuite des évaluations externes. La deuxième vague d établissements et services s est engagée dans un processus d évaluation externe de plus en plus complexe. L Agence nationale de l évaluation des établissements sociaux et médico-sociaux (Anesm) ayant accru ses exigences dans ce domaine. Les équipes ont dû s adapter au fur et à mesure de l évolution des textes. Un énorme travail de mise en conformité des outils a été réalisé dans un temps parfois contraint. Les projets d établissements ou de service, les livrets d accueil, les contrats de séjour, les règlements de fonctionnement, et les projets personnalisés ont parfois été totalement refondus et retravaillés par les professionnels. La traçabilité de la participation effective des usagers au fonctionnement du service, la traçabilité de l expression de leurs attentes et de leurs besoins dans des outils formalisés a obligé les équipes à fournir un véritable travail de construction d outils spécifiques. En 2013, une dizaine d établissements et services ont réalisé avec succès leur évaluation externe. Les évaluateurs ont repéré pour chaque service des pratiques professionnelles remarquables au bénéfice de l usager. Ces pratiques propres à chaque service confirment au travers d une dynamique collective la recherche de bientraitance de la part des professionnels. La poursuite du processus en 2014 va confirmer le souci de chacun d offrir une prise en charge de qualité à chaque usager. DES PARTENAIRES À NOS CÔTÉS Aurore fait partie du Collectif hébergement et accompagnement de personnes en aménagement de peine pour raison médicale, qui œuvre pour que les détenus ne vivent plus leur maladie et ne meurent plus en prison. Le groupe a été entendu en 2013 par le groupe interministériel Santé-Justice. Aurore a également contribué, par ses propositions, à la conférence de consensus «Prison, éviter la récidive» de février À lire sur aurore.asso.fr : «Détenus malades chroniques. Des propositions pour améliorer leur prise en charge». «Conférence de consensus. Les propositions d Aurore pour éviter la récidive». À lire sur Médiapart et aurore.asso.fr : «La prison m a rendue sauvage : le témoignage de Vanessa». L agence nationale des chèques vacances a permis en 2103 à 350 usagers de partir en vacances. Ce partenariat important pour les personnes accueillies existe depuis plus de 4 ans et représente une vraie plus-value dans l action éducative menée par les travailleurs sociaux. L ANCV intervient également dans le cadre des projets CIVAM en collaboration avec la fédération nationale des centres d initiatives pour valoriser l agriculture en milieu rural (FNCIVAM) qui proposent à des personnes en grande exclusion de vivre 10 jours au sein d une exploitation agricole. Le projet expérimental Formation Action-Emploi financé par le fonds social européen (FSE) visait à renforcer l accompagnement des personnes accueillies vers l emploi ou la formation, en réalisant dans les services des ateliers hebdomadaires, co-animés par un formateur extérieur spécialisé et un travailleur social. Ce dispositif a concerné 12 groupes sur un an, dans 7 services d Aurore. Les résultats de cette expérience sont très encourageants : 62 % des personnes inscrites en 2013 ont obtenu une issue positive (emploi ou formation dans un dispositif de droit commun), ce qui représente une belle réussite pour nos publics dits «en difficulté», et ce grâce au travail remarquable et coordonné entre les travailleurs sociaux et les formateurs. Le projet FSE Grundtvig/Conseil régional d Île-de-France «Rien pour nous sans nous», a rassemblé partenaires régionaux et européens, travailleurs sociaux et personnes accueillies, autour d une réflexion commune et d échanges, en vue d améliorer nos pratiques en matière de participation citoyenne des personnes accueillies. Le groupe «atelier citoyen» s est investi dans de nombreuses activités, notamment : enquête dans différents services sur le niveau de participation citoyenne atteint à Aurore ; ateliers culturels ; CCPA (Conseil Consultatif des Personnes Accueillies) ; élections de 2 délégués personnes accueillies au CA d Aurore ; rencontres transnationales à Genève, Paris, Liège et Athènes À lire sur aurore.asso.fr : «Rencontres Grundtvig. Cultivons nos différences». Le coordinateur culturel d Aurore a accompagné les bénéficiaires à Genève, dans le cadre de la mise en place d une formation en médiation culturelle (en partenariat avec Cultures du cœur). La coordination a pour but de faciliter une réflexion permanente en matière culturelle, de créer du lien entre les services. Des actions sont ainsi proposées tout au long de l année. En 2013 : animations musicales dans les services ; participation au réseau Vivre ensemble associant les professionnels du champ social et les structures culturelles de Paris/Île-de-France ; organisation de sorties pour les bénéficiaires ; atelier chanson avec créations musicales et enregistrements de musique assistée par ordinateur (MAO) à la résidence Primavera, pour tous les bénéficiaires de l association. 24

27 AURORE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 ACTIVITÉ 2013 Enfin, Aurore a créé en 2012 deux associations, dont nous pouvons tirer les bilans après plus d une année de fonctionnement : - Cent voix!, dont la mission est de participer à la reconstruction des personnes en situation d exclusion et de précarité via des ateliers photo et vidéo, a présenté sa première exposition à Paris à la galerie Fait&Cause en mars et avril Elle a été exposée en octobre au CHRS La poterne des peupliers ainsi que dans le cadre de Paris Photo Off en novembre. De nouveaux photographes - Jean-Louis Courtinat, Laure Tiberghien et Alice Santini - sont intervenus aux côtés de Bertrand Meunier et de Sarah Moon. L association prépare une nouvelle exposition pour 2014, ainsi qu une vente aux enchères. - Forte d une centaine de bénévoles, Aurore souhaite, par le biais de l association Aurore Bénévoles et citoyens, fédérer toutes les forces vives, et notamment citoyennes, autour de son projet associatif et tisser des liens sur les territoires où elle est implantée a été une année de rencontres, d écoute, d état des lieux, de réflexion partagée. En 2014, l association a pour objectifs de développer et valoriser le bénévolat, renforcer les liens partenariaux, et inscrire davantage encore Aurore dans les réseaux liés à l activité du bénévolat. L association poursuit le même objectif avec, pour la deuxième année, l organisation des Ecrans d Aurore : un cycle de films ou documentaires traitant de sujets ayant trait au social et donnant lieu à un débat avec le réalisateur à l issue de la projection. Enfin, un des événements majeurs pour Aurore en 2013 a été l organisation de son premier colloque Les angles morts de la solidarité en octobre. L association a réuni plus de 500 personnes lors d une journée de réflexion qui a permis de mettre la lumière sur une population qui passe à travers les mailles du système social, ces «invisibles» qui se situent aux angles morts de la solidarité. La diversité et la complémentarité des participants (élus, médecins, travailleurs sociaux, chercheurs ) ont fait la richesse des débats de ces rencontres. Les intervenants ont chacun à leur tour alerté sur les risques engendrés par la sur-exclusion. À lire : la synthèse du colloque en ligne sur colloqueaurore.com ÉVÉNEMENTS Nous notons cette année l organisation de sept inaugurations : la première pierre de la résidence Vertbois à Paris, la rénovation des locaux de l espace de socialisation pour jeunes Spass 24 à Montreuil (93), une épicerie sociale dans la même ville, le foyer LOGIS et la résidence Belliard à Paris, enfin, la Maison Husson à Valenton (94). Les inaugurations sont l occasion de rassembler, autour du président de l association, les partenaires financiers et sociaux, autour de la concrétisation d un projet. Notre maillage territorial s exprime au quotidien dans le travail de terrain mais aussi lors d événements particuliers tels que les Conférences de L Olivier organisées au centre d hébergement L Olivier dans les Hauts-de-Seine depuis plusieurs années. Avec des thèmes toujours percutants, le cycle a une fois de plus rassemblé salariés d Aurore, partenaires du département et résidents. 25

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