La Qualité extérieure des plants 1
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- Pierre Beaudet
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1 La Qualité extérieure des plants 1 par Pascal Balleux 2 et Philippe Van Lerberghe 3 Si la réussite d une plantation repose en tout premier lieu sur le choix d essences et de provenances génétiques adaptées à la parcelle à reconstituer, la qualité des plants introduits influence aussi la reprise des plantations. Sylviculture Principaux facteurs déterminant la reprise des plants forestiers à racines nues Les clés de la réussite Matériel de base sans défauts génétiques héréditaires : fibre torse, fourche ou brogne. Pépiniériste local de confiance : les pépinières volantes en forêt favorisent la production de plants rustiques et bien acclimatés. Chantier de boisement soigné. C. Vidal Plants frais de qualité irréprochable. Prévention des risques de dégâts du gibier. (d après GIRARD, 1996 et GARRIOU, 2000) 1 Article extrait du guide technique pour des travaux forestiers de qualité édité par le Ministère de la Région wallonne. Direction Générale des Ressources Naturelles et de l Environnement Division de la Nature et des Forêts. Fiche technique n Centre de développement agroforestier de Chimay, Laboratoire de la Fagne, UCL. 3 Institut pour le Développement Forestier, IDF. 27
2 La législation communautaire et wallonne stipule la fourniture de plants de qualité loyale et marchande, sans préciser pour autant des normes spécifiques précises à respecter. Nonobstant, la qualité d un plant doit être jugée sur deux séries de critères : ses qualités morphologiques : diamètre minimal au collet et fourchette de hauteur à un âge donné pour les plants à racines nues, volume minimum des godets pour les plants en conteneur ; ses qualités physiologiques : plants exempts d un certain nombre de défauts, leur qualité sanitaire et état de fraîcheur étant également déterminants. Les critères de qualité du plant forestier à vérifier lors de la réception sont l âge et les dimensions, la conformation des parties aérienne et racinaire ainsi que l état sanitaire et la fraîcheur. 1. Age Codification Vérification de l âge des plants Repérage des entre-nœuds du stade S 1 à S 2 Comptage des cernes annuels sur une coupe de la tige au niveau du collet L âge des plants est traditionnellement représenté par une codification de plusieurs lettres et chiffres : le premier chiffre indique le nombre d années (c est-à-dire de saisons de végétation) passé en pépinière à l état de semis (S) ; le deuxième chiffre indique le nombre d années passé en pépinière après le repiquage (R) ; le total des deux chiffres donne l âge du plant. D autres techniques culturales sont codifiées : plants soulevés ou dépivotés (O), plants en pot (P). Contrôle de l âge des plants Il est indispensable de contrôler l âge d un plant. Deux méthodes d évaluation peuvent être envisagées : si possible, repérer, sur la tige principale des plants, la présence d entre-nœuds (stries rapprochées sur l écorce) correspondant à chaque stade annuel de développement des bourgeons à bois ; sinon, prélever au hasard quelques plants, les sectionner au collet avec un sécateur et compter, si nécessaire à la loupe, les cernes dont le nombre doit correspondre à l âge indiqué. Les lots qui présentent des plants d âge différent de celui annoncé par le pépiniériste doivent être refusés. 2. Dimensions Normes Les dimensions prises en compte sont la hauteur et le diamètre au collet. Leur combinaison avec l âge définit des catégories établies pour chaque essence. Choix des dimensions des plants En attente de normes régionales wallonnes sur les caractéristiques dimensionnelles des plants à racines nues ou en godet (taille, diamètre minimum au collet, âge maximal, volume minimum des godets), il est possible de se référer aux normes adoptées par les organismes français de certification. Après s être renseigné auprès de pépiniéristes, le maître d ouvrage choisira de préférence : 28 Usage traditionnel pour la codification de l âge des plants forestiers en Wallonie (Communication DNF, 2003) Code Age Code Age Code Age S 1 1 an semis S 1 R 1 2 ans repiqués S 2 R 2 et S 1 R 3 4 ans repiqués S 2 2 ans semis S 2 R 1 et S 1 R 2 3 ans repiqués S 1 R 2 4 ans repiqués soulevés S 2 O 2 ans soulevés S 1 3 ans soulevés S 2 R 3 5 ans repiqués S 1 2 ans soulevés S 1 O 2 3 ans soulevés S 2 P 1 3 ans dont 1 en pot
3 les plants les plus jeunes possibles, pour un meilleur taux de reprise et une croissance plus rapide ; à âge égal, les plants les plus vigoureux ou ceux dont le repiquage est le plus récent ; à taille égale, les plus jeunes ; des plants de hauteur compatible avec le milieu à planter et la pression du gibier. Contrôle de la hauteur Pour les plants de hauteur inférieure à 30 cm, il est conseillé de mesurer au cm près pour classer les plants en catégories de hauteur de 2 en 2 cm. Il existe différents modèles de calibre sur le marché. La mesure se fait en introduisant le collet successivement dans toutes les encoches jusqu à la rencontre d une encoche dans laquelle il ne pénètre pas : la lecture du chiffre de la première encoche refusant le plant indique le diamètre minimum du plant. Précautions pour les plants en godet Lors de la réception de plants en godet, il est vivement conseillé de vérifier que la hauteur de la tige soit inférieure à 2 fois celle du godet et à 6 fois son diamètre. Sinon, outre les critères physiologiques (état sanitaire, défauts, fraîcheur), il est indispensable de contrôler 4 critères quantitatifs : d une part, la relation taille, diamètre minimal au collet et âge maximal, et d autre part le volume minimal du godet. La hauteur des plants se mesure toujours à partir du niveau du collet jusqu au bouton terminal. Pour ceux dont la hauteur est supérieure à 30 cm, celle-ci est mesurée à 2,5 cm près pour classer les plants en catégories de hauteur de 5 cm en 5 cm. Ces hauteurs peuvent être mesurées en plaçant le plant contre un mètre rigide, de telle façon que le bord inférieur du mètre se trouve au niveau du collet. Lors d un contrôle des dimensions des plants, il est indispensable de commencer par mesurer la hauteur et non le diamètre car celui indiqué dans les normes est un diamètre minimum. Contrôle du diamètre au collet La mesure conseillée du diamètre au collet est faite au moyen d un calibre normalisé au millimètre prêt à plusieurs encoches. 3. Etat physique Les critères d appréciation de la «condition physique» d un plant, à savoir sa conformation, son état physiologique (état de fraîcheur) et sanitaire sont souvent subjectifs et il convient d être attentif et prudent. Normes Un plant de qualité répond aux conditions suivantes : bon état physiologique et sanitaire, système racinaire abondant, bien conformé et bien pourvu de chevelu, partie aérienne de qualité, bien équilibrée, avec tiges non bifurquées, sans blessures. Vérification des normes qualitatives des plants Il est indispensable de se procurer des plants dont les critères relatifs à la conformation et à l état sanitaire résultent impérativement des normes qualitatives de l Union européenne qui précise, par groupe d essences, les principaux défauts physiques susceptibles de provoquer le refus d un lot de plants forestiers. En attente de normes adoptées par la Région wallonne, il est possible de se référer aux normes françaises. Conformation des plants Le maître d œuvre doit se préoccuper respectivement de l architecture du système racinaire, de la conformation de la partie aérienne et du bon équilibre racines/tige. Contrôle du système racinaire L appréciation du diamètre au collet avec un calibre est plus aisée. La culture en pépinière doit chercher à produire des plants à système racinaire abondant, bien conformé et concentré au collet, plutôt qu une racine principale de grandes dimensions. 29
4 Contrôle du système racinaire Hêtre : collet endommagé par blessures lors d entretiens manuels. Hêtre : déformations racinaires non rédhibitoires. Hêtre : racines principales blessées lors de l arrachage des plants. Hêtre : déformations racinaires rédhibitoires. Dans le cas des plants en godet, il est vivement conseillé d observer la présence de différents défauts de conformation induisant le refus des plants : racines primaires : suffisamment développées pour atteindre (mais pas dépasser) les parois de la motte d élevage et bien réparties sur toute la hauteur de la motte ; racines latérales : absence de colimaçon au contact des parois du godet qui présente un risque élevé d étranglement du pivot et des autres racines du plant : ce risque est limité si la durée d élevage de 1 à 2 ans est respectée avec des godets équipés à l intérieur de rainures permettant de diriger les racines vers le bas en les empêchant de s enrouler ; chignon au fond du godet : si le godet n est pas conçu pour favoriser l autocernage (arrêt spontané de croissance des racines au contact de l air) ou s il est posé sur une surface imperméable aux racines, le pivot et les autres racines arrivant au fond s enroulent et se déforment irrémédiablement, ce qu il faut éviter ; veiller à ce qu il n y ait pas d accumulation de racines au fond du godet : si c est le cas, on peut couper les 2 cm du fond du godet ; racines remontantes (ou crosses sur le pivot ou racines latérales en parapluie renversé) : elles sont souvent dues à des erreurs de repiquage dans la motte, d arrosage ou à des volumes de motte insuffisants par rapport à la durée d élevage. Chêne pédonculé élevé en godet : racines enroulées et remontantes dues à des volumes de godet insuffisants par rapport à la durée de culture ONF Défauts rédhibitoires de la racine principale Il est indispensable de vérifier l état physique des lots de plants et d écarter tout lot dont le système radiculaire est déficient. Dans le cas des plants à racines nues, il est vivement conseillé de : refuser les plants présentant des racines principales gravement enroulées ou tordues : défauts rédhibitoires en cas de racines principales enroulées, tordues ou déformées (racines en cor de chasse, en forme de «S», en «J» ou formant un angle égal ou inférieur à 110 avec la tige) ; Racine en «cor de chasse» Racine en «J» Racine en «S» refuser des plants présentant des structures racinaires déficientes : radicelles absentes ou gravement amputées, sauf pour les pins (Pinus) et les chênes indigènes et rouge d Amérique (Quercus robur, petraea et rubra) qui développent un système racinaire pivotant et ne développent pas de chevelu radiculaire important ; 30 vérifier la longueur du pivot des plants à racines pivotantes : elle doit être inférieure à 18 cm et présenter des ramifications secondaires importantes. Racine en «L» Racine formant un angle < 110 avec la tige
5 Contrôle de la partie aérienne La culture en pépinière doit chercher à produire des plants dont la tige est bien conformée (lisse, cylindrique, sans blessures, nécroses ou chancres), bien droite (non flexueuse ou fourchue), bien aoûtée avec un bourgeon terminal en bon état. Il est indispensable de vérifier l état physique des lots de plants et d écarter tout lot dont la partie aérienne est déficiente. En attente de normes adoptées par la Région wallonne, il est possible de se référer aux normes françaises. Il est indispensable de refuser les lots de plants présentant des défauts génétiques : Défauts génétiques rédhibitoires dans un lot de hêtre, le constat de fourches successives au niveau de la tige principale d une proportion importante de plants est un indice révélateur ; par contre, l apparition de quelques fourches en tête ou des tiges plus ou moins flexueuses peuvent être dues à des gelées tardives ou à des expositions excessives à la lumière ; chez le frêne et le douglas, la forte croissance de nombreux rameaux latéraux redressés indique un déterminisme génétique peu favorable ; chez le merisier, le port en «gobelet» (majorité des branches disposées en verticilles très marqués, insertion oblique, moindre dominance apicale confirmée par le test de courbure vers le haut des branches latérales qui dépassent nettement le bourgeon terminal de la flèche principale) doit être détecté et justifie le refus du lot de plants de forme «fruitier» et non «forestier». Il est possible d accepter un lot de plants présentant une proportion acceptable de défauts de cime si des facteurs non héréditaires peuvent l expliquer : un événement climatique exceptionnel peut en être la cause : le frêne, le hêtre et le douglas sont particulièrement sensibles à des gelées tardives et une forte grêle survenant lors du débourrement peut aussi provoquer des défauts de conformation ; par contre, la mort fréquente du bourgeon terminal provoquée par des stress hydriques justifie le refus des plants ; Fourches répétées sur la même tige Nombreux rameaux latéraux redressés Chêne pédonculé : cime multiple n excluant pas la qualité du plant. Ports en gobelets et verticilles marqués certaines essences comme les chênes indigènes présentent, au stade juvénile, des formes naturelles souvent défavorables : croissance polycyclique et dominance apicale peu marquée, nombreux bourgeons à l extrémité des pousses, rare rectitude parfaite. La taille des flèches en surnombre est autorisée avant commercialisation pour toutes les espèces, sous réserve d interventions mineures, justifiées par des «dégâts 31
6 stationnels d ordre climatique et non génétique», ou pour des essences à ramification diffuse : par ex., chez les chênes indigènes, la présence de plusieurs flèches (ou pousses terminales) n est pas un défaut excluant le plant de la qualité loyale et marchande. La livraison de lots de plants présentant des défauts marqués sur la tige doit être refusée : forte courbure : une courbure de la pousse terminale, en particulier chez le douglas (Pseudotsuga) ne peut être considérée comme un défaut rédhibitoire de même qu une courbure de la base de la tige d un érable comme une légère flexuosité de plançons de peuplier ; tige multiple : plusieurs tiges partent du collet du plant et sont susceptibles de se concurrencer en se développant. Contrôle des parties aériennes Epicéa : ramification absente ou nettement insuffisante Hêtre : double tige non acceptable Hêtre : forte courbure basale menant à l exclusion du plant Hêtre : courbure à la dernière pousse sans conséquence Il est possible de commander des plants livrés emballés et de les y maintenir jusqu au moment de la mise en terre, à condition de respecter certaines règles élémentaires de mise en œuvre : lieu de stockage à l ombre ou même dans un local frais ou une chambre froide et délais raisonnables lors d éventuelles périodes de réchauffement ou insolations intenses. Il est vivement conseillé de repérer des indices prouvant le dessèchement de la tige, des feuilles et des parties racinaires : pour l écorce : présence d éventuelles rides et après grattage à l ongle, constat d une mauvaise adhérence à la tige et d un état peu séveux ; pour les racines : présence sur leur section de taches de couleur brune, violacée ou marron, signes d un plant dépérissant, mort ou gelé ; pour le feuillage des résineux : feuillage de la dernière année de végétation incomplet et jaunissant (1/3 des aiguilles absentes ou endommagées). Les plants portant des blessures non cicatrisées sur la tige ou les rameaux (dégâts d insectes ou d animaux) et ceux endommagés au collet (étranglement) ou au niveau des principales racines (blessures d entretien ou d arrachage) doivent être refusés. (a) (b) Défauts rédhibitoires de la tige principale Epicéa commun : symptômes de dessèchement et de dépérissement sur écorce (a) et sur le feuillage (b). Etat de santé Il est vivement conseillé de refuser les plants présentant : ~ de graves dommages causés par des organismes nuisibles : attaques d insectes (défoliations, annélations, Forte courbure Tige multiple Flèche multiple Cime vivante déficitaire Etat physiologique et sanitaire Lors de la réception des plants, le maître d œuvre doit apprécier leur vitalité et état de santé. Etat de fraîcheur et blessures 32 Il est indispensable que toutes les précautions soient prises, lors du conditionnement, du transport et de la plantation, pour garantir le bon état de fraîcheur des plants. Chêne pédonculé : section nette en biseau des tiges.
7 incisions), de champignons ou bactéries (anthracnose, oïdium, chancres, rouilles...), de rongeurs ou gibiers : abroutissement, écorçage, frottis, rongement... ; ~ des indices d échauffement, de fermentation ou de moisissures consécutifs au stockage en pépinière ou au transport : élévation anormale de température dans les bottes de plants, odeur caractéristique de fermentation, changement anormal de coloration des aiguilles, présence manifeste de moisissures sur les parties aériennes et les racines. Chêne pédonculé : attaque intense d oïdium ralentissant la croissance des plants.
LA SYLVICULTURE D ARBRES «OBJECTIF» OU D ARBRES DE PLACE INTRODUCTION
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