Réponse Rapide aux Mouvements de Population (RRMP) Rapport d Evaluation Multisectorielle. Komanda

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1 Réponse Rapide aux Mouvements de Population (RRMP) Rapport d Evaluation Multisectorielle Pour plus d information, Contactez : John BANGUTU : Responsable programme RRMP po.rrmp.rp@solidarites-rdc.org Tél. : +243(0) est.rrmp.coo@solidarites-rdc.org Tel. : ou consultez : Territoire d Irumu Zone de Santé Rurale de Collectivité des Walese Vonkutu Population : ménages : Habitants Période d évaluation 01 au 03 novembre 2014 A gauche, le site spontané des déplacés de Mandibe au quartier Vingazi à et à droite, un lieu de couchage pour certains déplacés dans une Eglise.

2 1. Table des Matières 1. Table des Matières Table des acronymes Résumé Contexte Synthèse des résultats de l enquête Introduction à l évaluation Contexte General... 8 Mouvements de Population Déplacement Retour Résultats de l évaluation AME Abri Education Eau, hygiène et Assainissement Santé et Nutrition Sécurité Alimentaire et Moyens de Subsistance Annexes Liste de Tableaux et Graphiques / 38

3 2. Table des acronymes AGR Activité Génératrice de Revenus ALPC Alliance de Libération du Peuple Congolais AME Articles Ménagés Essentiels ARV Anti Rétroviraux ASC Agent de Santé Communautaire BAT British American Tobacco BCZ Bureau Central de la Zone BP5 Biscuit Protéines CESVI Coopération et Développement CFW Argent Contre Travail COGELA Comité de Gestion de Latrine COGEPE Comité de Gestion de Point d Eau COPA Comité des Parents CPN Consultation Prénatale CPS Consultation Préscolaire CS Centre de Santé CSB Corn Soya Blend(Aliments à Haute Valeur Nutritionnelle) DNH Do No Harm DRC Conseil Danois pour les Réfugiés DTC Diphtérie, Tétanos, Coqueluche EAFGA Enfant associé Aux Forces et Groupes Armées EHA Eau, Hygiène et Assainissement ENA Enfant Non Accompagné EP École Primaire FAO Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture FARDC Force Armée de la République Démocratique du Congo FC Francs Congolais FFW Nourriture Contre Travail FRPI Front de Résistance Patriotique de l Ituri GPS Système de Positionnement Satellite GSM Système Global de communications Mobiles IDPs (DPI) Personnes Déplacées Internes ISPASC Institut supérieur panafricain de santé communautaire IRA Infections Respiratoires Aigües ISS Indice Simplifié de Stratégie de Survie IST Infections Sexuellement Transmissibles IT Infirmier Titulaire LF Latrine Familiale MII Moustiquaire Imprégnée d Insecticide MSA Evaluation Multi Sectorielle MSF-B Médecins Sans Frontières Belgique MSF-CH Médecins Sans Frontières Suisse MST Maladies Sexuellement Transmissibles MUAC Circonférence du Bras à Mi-Hauteur NC Nouveau Cas ONG Organisation Non Gouvernementale PAM Programme Alimentaire Mondial PB Périmètre Branchial PCCMA Prise en Charge Communautaire de la Malnutrition Aigue PEP Prophylaxie Post ex positionnelle PEV Programme Élargi de Vaccination PGM Programme de gestion médicale PNC Police Nationale Congolaise 3 / 38

4 PNLP PRONANUT PS RDC RRMP SCA SRO TPI UNICEF UNHCR UNOCHA UPDF VAM VAR VIH VVS Programme National de Lutte contre le Paludisme Programme National de Nutrition Poste de Santé République Démocratique du Congo Réponse Rapide aux Mouvements de Population Score de Consommation Alimentaire Sel de Réhydratation Orale Traitement Présomptif Intermittent Fonds des Nations Unies pour l Enfance Haut - Commissariat des Nations unies pour les réfugiés Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires Forces de Défense Populaire de l Ouganda Valeur Alimentaire Maximale Vaccin Anti Rougeoleux Virus d'immunodéficience Humaine Victime de la Violence Sexuelle 4 / 38

5 3. Résumé 3.1. Contexte Sécurité : La présence des militaires des FRDC rassure les habitants de bien qu actuellement l effectif des unités combattantes est peu important. Ces dernières sécurisent cette localité conjointement avec les PNC (Police Nationale Congolaise) basées au centre de cette localité. Par ailleurs les casques Bleus de la MONUSCO y organisent régulièrement des patrouilles à partir de leurs bases localisées dans cette même localité. Accessibilité : La localité évaluée est facilement accessibilité par véhicule de tout tonnage en toute saison. Elle est située au carrefour des axes routiers Bunia - Beni et Bunia - Kisangani à environs 80 km au sud de Bunia. Contexte spécifique : La localité continue à accueillir des personnes déplacées en provenance de certaines localités du district de l Ituri et même du Nord Kivu. Actuellement, elle abriterait environs ménages dont 640 IDPs arrivés depuis le mois d octobre 2014 en plus de ceux qui sont arrivés au mois de mai de l année encours. La capacité des familles d accueil est fortement affaiblie à cause de l accueil récurrent des ménages déplacés. Les seules sources de revenu de populations déplacées sont le travail contre la nourriture et le travail contre l argent. L incertitude sécuritaire dans les zones de provenance ne permet pas aux populations déplacés de faire des mouvements pendulaires pour chercher des biens alimentaires. Suite à son positionnement géographique, accueille non seulement des personnes déplacées par les crises humanitaires, mais aussi les «migrants économiques» qui y arrivent et passent en fonction de l exercice de leurs activités. Enfin, il est à noter que l agriculture, le petit commerce et l exploitation forestière sont les principales activités exercées dans la zone et constituent les principales sources de revenu des ménages vivant à. Mouvement de Population : En plus des habitants des localités Mandibe qui ont trouvé refuge à suite à l attaque sur leur localité par les présumés milices de FRPI depuis le mois de Mai de l année en cours, 640 autres ménages venus de la province du Nord Kivu sont présents à depuis le mois d octobre de cette année. Ils n ont manifesté aucune volonté de regagner leurs localités d origine Synthèse des résultats de l enquête Population actuelle TM = Taille moyenne des ménages Ménages Habitants TM Estimation PSH Ménages retourné s Population en mouvement Ménages déplacés Famille d accueil , Sources : Autorités locales, comité des déplacés,... Biens Non alimentaires AME Valeur Alerte Score AME global 3,6 3,5-3,7 Score AME pour les déplacés 3,8 5 Abris 4 5 / 38

6 Proportion des ménages qui n'habitent pas dans leurs propres maisons Pourcentage de ménages vivant dans des abris en mauvais état Proportion de ménages hébergeant au moins un autre ménage déplacé ou retourné depuis plus de trois mois 44% 38-51% 7% 2-12% 23% Education : 5école(s), dont 0fermée(s) Valeur Alerte Elèves Pourcentage d enfants déplacés de 6 à 11 ans non scolarisés 52,1% 5 Proportion d enfants de la communauté d accueil de 6-11 ans non scolarisés Pourcentage d enfants de 6 à 11 ans qui allaient à l école mais n y vont plus (enfants déscolarisés au sein des ménages enquêtés) 32% 3 56% (47% - 66%) Pourcentage d élèves parcourant plus de 4km pour atteindre l école 5% - Nombre total d élèves en situation d handicap 11 - Enseignants Pourcentage d Enseignants qui encadrent plus de 55 élèves/classe 5% - Infrastructures Pourcentage de salles de classe avec toitures ou murs détruits 7% - - Eau, Hygiène, et Assainissement Valeur Alerte % d enfants de moins de 5 ans ayant eu la diarrhée au cours des 2 dernières semaines Pourcentage de ménages qui utilisent une source d'eau à boire salubre (puits protégé, source aménagé, eau de robinet, eau d'urgence amenée par camion) 28% 2 86% 1 Pourcentage de ménages qui ont accès à une latrine hygiénique 26% 1 Pourcentage des ménages avec accès au savon 47% 1 Pourcentage des ménages connaissant au moins 3 moyens de transmission de la diarrhée 25% 1 Santé et Nutrition Valeur Alerte Mortalité globale (décès/10.000/jour ; seuil >1/10.000/jr) 0,05 1 Mortalité des enfants moins de 5 ans (décès/10.000/jour ; seuil >2/10.000/jr) 0,28 1 Couverture vaccinale DTC3 chez les enfants de mois de 1 an (0 11 mois). > 100% 1 Couverture vaccinale contre la rougeole chez les enfants de mois de 1 an (0 11 mois) VAR 197% 1 Taux d utilisation des services curatifs (Nombre de Contact par Habitant et par An) 0,67 4 Taux d utilisation des services curatifs chez les moins de 5 ans (Nombre de Contact par Habitant et par An) 0,29 5 Taux de consultations prénatales 237% 1 Taux d accouchements assistés > 100% - Pourcentage d enfants de 6 à 59 mois avec PB<125 mm en consultations curatives Nombre nouvelles admissions des <5 ans avec MAG 3-17% 4 Sécurité Alimentaire Valeur Alerte 6 / 38

7 Score de consommation alimentaire des ménages 28,6 (27,3-29,9) Pourcentage de ménages avec une consommation alimentaire pauvre 53% - Indice simplifié de Stratégie de Survie (ISS) Générale Déplacés Résidents 36,9 (32,8-41,1) 39,2 (34,7-43,6) 26,3 (16,2-36,3) / 38

8 4. Introduction à l évaluation Le présent rapport fait un diagnostic multisectoriel des conditions de vie des populations dans la zone de. La vulnérabilité des populations est mesurée grâce au calcul d indicateurs clés dans les secteurs de l abri et biens non-vivres (NFI), de l eau hygiène et assainissement, de l éducation, la santé, la nutrition, et la sécurité alimentaire. Un système de scoring et de cotes d alerte est appliqué à ces indicateurs clés en vue de standardiser l analyse des vulnérabilités, et mieux prioriser le ciblage des zones et bénéficiaires à assister. En effet, les cotes d alerte dans ce rapport fournissent un degré de vulnérabilité par rapport aux indicateurs pour montrer de manière globale si la situation est préoccupante ou non. une cote de 4 à 5 signifie un seuil d action prioritaire qui nécessite une intervention rapide ; une cote de 1 à 3 signifie que la situation est moins alarmante. Elle est probablement inquiétante mais ne justifie pas une intervention d urgence au sens humanitaire du terme. 5. Contexte General La zone enquêtée : Axe Bunia - Beni ; Territoire de Irumu ; Collectivité de Basili ; Groupement de Bandiamusu Latitude : n.d. Longitude : n.d. Sur le plan social, les infrastructures scolaires et sanitaires sont suffisantes et proches de la plupart des villages évalués dans la localité de. Les bénéficiaires de ces services ne sont pas obligés à fréquenter celles des zones périphériques. 9 écoles primaires, 2 centres de santé et 1 hôpital général de référence (HGR) desservent la population de. L explosion démographique suite à l arrivée de plusieurs migrants économiques dans cette localité d une part et d autre part l accueil récurent des personnes déplacées qui exercent une pression importante sur les ressources hydrauliques et d autres ressources vitales à ont été largement observées. L économie de la zone est dominée par l agriculture suivie de l exploitation artisanale du bois de la forêt. Aucunes difficultés d écoulement des produits des champs n ont été constatées sur le marché local. En plus, les échanges commerciaux sont assez intenses grâce à la route nationale n 4 qui traverse cette localité. Cependant, actuellement l insécurité qui se vit vers l est de cette localité limite l accès aux champs à certaines populations. Enfin, il est à noter que les ménages déplacés n ont pas encore exprimé le besoin de retourner dans leurs localités de provenance actuellement. Ils craignent pour leur sécurité étant donné que l activisme des présumés rebelles d ADF/NALU continuent dans d autres villages non loin de leurs provenances. Ils ont révélé qu ils resteront sur place jusqu à ce que la situation s améliore dans leur zone de provenance. Tableau 1 -Liste des villages et population dans la zone enquêté Localité administrative Pop Avant Déplacementménages Population Actuelle m=ménage ; p=personne Groupement Village Total Déplacés Retournés PSH (janv 2014) (m) (m) (m) (p) Bandiemusu Les coordonnées géographiques de ces villages sont disponibles en ligne sur le site internet du programme ou sur demande en format électronique à Solidarités International. Tableau 2 Synthèse démographique Ménages Population actuelle Taille Habitants moyenne des ménages Estimation PSH Ménage déplacés dans la zone Population en déplacement Ménages retournés Ménages en déplacement hors de la zone , / 38

9 Tableau 3 Les personnes en situation de handicap au sein des ménages Personnes en Situation de Handicap PSH Valeur IC %Ménages avec au moins une PSH 3% 0-5% % Ménages avec une PSH comme chef de ménage 1% 0-3% % PSH exerçant une activité génératrice de revenue parmi les PSH chef de ménage 0% - % PSH avec difficulté d accès au point d eau 100% - % PSH avec difficulté d accès à la latrine 100% - Tableau 4 : Organisations actives dans la Zone Nom d Organisation CESVI Catégorie d Organisation ONG Internationale Domaine d Activité Watsan PPSSP ONG Nationale Protection Commentaire CESVI met en place un projet de construction des ouvrages hydrauliques, des latrines et des points de chloration. Tableau 5 Services étatiques dans la Zone Service Services Hygiènes Services Environmental-Parques / ICCN Services Agricoles-Veterinaires Services de Développment Ruraux Commentaire Tous les services étatiques sont présents dans la zone. Cependant, dans l ensemble ils ne s occupent que de la perception des taxes au près de la population. Communication : Une radio communautaire (Radio Référence) est fonctionnelle dans la localité d autre part, la couverture du réseau téléphonique y est totale. Les opérateurs Vodacom, Airtel, Orange et Tigo couvrent la localité et ses environs. Bref, les canaux et les supports communicationnels sont présents à. Mouvements de Population 5.1. Déplacement En plus des ménages qui sont arrivés à au mois de mai 2014 en provenance de la localité Mandibe dans la collectivité des Walese Vonkutu, actuellement 640 autres ménages venus de l axe allant d Eringeti jusqu à Beni vivent en déplacement selon le comité des déplacés et la société civile locale suite à l activisme des présumés rebelles d ADF/NALU dans cette région. Durant le même mois, une attaque des présumés milices des FRPI a été enregistrée sur la localité d Apihinzi qui a également occasion de mouvement de déplacement de la population. Ce mouvement est encours. Tableau 6 - Vagues de déplacement des autochtones hors de la zone. Mois et année de déplacement Premiers retours Durée (mois) Cause Aucune - - Aucun déplacement n a eu lieu hors de cette localité. Tableau 7 -Vagues de déplacement de ménages accueillis dans la zone Mois et année d arrivée Premiers départs Durée (mois) Cause 4 au 14 mai Peur de représailles de FRPI après la mort de deux de leurs éléments tués par la population de la localité Mandibe. 18 au 25 mai Affrontements entre FRPI et FARDC (mandibe). 9 / 38

10 Mois et année d arrivée Premiers départs Durée (mois) Cause Octobre L activisme de présumés ADF/NALU sur la population Retour Les ménages déplacés n ont pas encore exprimé le besoin de retourner dans leurs localités de provenance actuellement. Ils craignent pour leur sécurité étant donné que l activisme des présumés rebelles d ADF/NALU continuent dans d autres villages non loin de leurs provenances. Ils ont révélé qu ils resteront sur place jusqu à ce que la situation s améliore dans leur zone de provenance. Tableau 8 - Assistance individuelle aux retournés ou aux déplacés Date Organisation Type d Assistance Nombre de Ménages Aucune Aucune Aucune Aucune Commentaire Aucune assistance n a été apportée aux ménages de la zone depuis l arrivée des Idps. 10 / 38

11 6. Résultats de l évaluation 6.1. AME Méthodologie L évaluation des besoins en Articles Ménagers Essentiels a été effectuée sur base d une enquête auprès de 116 ménages (dont 67% déplacés, et 33%résidents). Les besoins en ustensiles de cuisine, récipients de stockage d eau, literie, outils aratoires, et en habits ont été évalués en attribuant un score de 0 (faible vulnérabilité relative) à 5 (forte vulnérabilité) en fonction du nombre et la qualité des articles et pour certains articles de l effectif du ménage. Le score AME globale correspond à la moyenne des scores calculés par ménages. Les résultats sont fournis avec des intervalles de confiance à 95%, c'est-à-dire des intervalles qui ont 95% de chances de contenir la vraie valeur recherchée. Résultats Quand bien même les familles nouvellement déplacées à sont venues des endroits différents, elles ressentent des besoins similaires en Articles Ménagers Essentiels (AME) comme l indique le résultat de l enquête consigné dans ce rapport. Dans la majorité, elles ont fui à l improviste en abandonnant leurs biens ménagers. En outre, les villages de provenance étant éloignés du lieu d accueil (2 à 3 jours de marche), la majorité d entre elles n était pas à mesure de transporter des lourds fardeaux. Cependant, une minorité des ménages qui s est déplacée en véhicule a amené quelques articles ménagers. Nonobstant, cette dernière déclare qu en raison de coût élevé de transport, elle n a pas pu amener suffisamment des biens ménagers. Des familles qui se sont déplacées à pied ont par contre privilégié le transport des enfants et des quelques habits et/ou items de couchage. C est ainsi que les scores d habits et d items de couchages paraissent peu criant chez les IDP s à l instar d autres articles. Ces scores se présentent comme suit : Habit pour les femmes : 3,2 ; habits pour les enfants : 3,5 ; couverture ou drap : 3,3 et natte/matelas : 3,6. Il a été constaté cependant que, ces articles demeurent insuffisants pour la survie ou le bien-être de ces IDP s. Pour combler le gap, la plupart des ménages déplacés de la nouvelle vague utilisent des biens ménagers des familles hôtes. Tableau 9 - Résultats de l enquête AME Score AME Valeur (Intervalle Confiance 95%) Global Bidon Rigide Casserole Bassine Outil aratoire Support couchage (natte, matelas) Couverture et drap Habit femme Habit Enfant 3,6 3,7 3,6 3,7 4,6 3,5 3,2 3,0 3,4 3,5-3,7 3,4-3,9 3,3-3,8 3,5-4,0 4,4-4,7 3,3-3,7 3,0-3,4 2,8-3,2 3,3-3,5 La majorité des ménages déplacés venus de Mandibe depuis le mois de mai de l année en cours a été assistée en AME par l ONG Solidarités International à travers la distribution en foire en fin juillet Ces articles sont perceptibles dans les ménages récipiendaires. Grâce à cette intervention, ces IDP s ont enregistré des scores inferieurs à 4, tel que décrit ci-dessous le Figure 4 relatif à la durée du mouvement de population et score AME. En effet, bien que les articles ménagers soient disponibles au marché de et à de prix abordable, les revenus modiques issus des travaux journaliers exercés par les IDP s, ne leurs permet pas de s en procurer. Selon ces IDP s, ces revenus sont consacrés qu au besoin alimentaire. 11 / 38

12 % ménage % cumulé de score AME RRMP - Evaluation multisectorielle Figure 1 - Score AME par article et par statut des ménages 3,6 3,8 3,7 3,8 3,6 4,0 3,7 4,1 4,9 4,6 3,3 3,5 3,6 3,2 3,2 3,4 3,5 3, Déplacés Population général Figure 2 - Répartition des ménages par score AME 100% 80% 60% 40% 20% 0% 30% 36% 50% 20% 56% 7% 20% 80% Général Déplacés Résidents Score <=3 Score >3 et <=4 Score >4 et <=5 Figure 3 - Durée du mouvement de population et score AME 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 39% 54% 7% Déplacés <=3 mois 83% 17% Déplacés >3 mois Score >4 et <=5 Score >3 et <=4 Score <=3 Figure 4 - Courbe des inégalités en AME (LORENZ 1 ) 100% 80% 60% 40% 20% -20% Gini : 0,30 Courbe Lorenz Egalité parfaite 0% 0% 14% 28% 41% 55% 69% 83% 97% Cumul des menages (%) Nb : on considéra que l inégalité dans la répartition des AME entre les ménages est forte si l indice de Gini est >0.5 Réponse Tableau 10 - Assistance en Article Ménagers Essentiels Date Fin juillet 2014 Organisation Solidarités International Type d Assistance Articles ménagers à travers la foire Statut ménage Les ménages déplacés venus de Mandibe depuis mai 2014 et les familles d accueil Nombre de Ménages 971 Commentaire Les ménages nouvellement déplacés du Nord-Kivu n ont jusque - là reçu aucune assistance en AME Courbe de Lorenz et Indice de Gini : permet d avoir une idée visuelle de l inégalité de la répartition des articles AME au sein des ménages enquêtés. Plus la courbe de Lorenz se rapproche de la droite d «égalité parfaite», moins cette inégalité est grande. L indice de Gini, compris en 0 (égalité parfaite) et 1(inégalité totale), quantifie cette inégalité : plus l indice est élevé, plus l inégalité est forte 12 / 38

13 6.2. Abri Méthodologie L évaluation des besoins en logement a été effectuée sur base d une enquête auprès de 116 ménages. Les enquêteurs ont observé le type, l état et la superficie des habitations, et ont aussi analysé le degré d encombrement des personnes dans ces abris. Résultats La localité de est un lieu d accueil récurent des personnes déplacées venus souvent de la chefferie des Walendu Bindi et de village Mandibe. Depuis le mois d octobre dernier, les IDP s du territoire de Beni en province du Nord - Kivu ont afflué cette localité. Outre les ménages déplacés, reçoit régulièrement des migrants économiques en provenance des divers endroits (Nord-Kivu, Bunia, Mambasa, ). En revanche, grâce à la disponibilité des maisons en location, la capacité d absorption en logement y est importante. Cependant, la plupart de ménages déplacés venus de Mandibe depuis le mois mai dernier, sont regroupés dans un site spontané au quartier Vingazi autour de l école primaire Adventiste ainsi que dans le village Ngombenyama (4 Km de ). Une partie des IDPs habite sous des tentes qui leurs ont été distribuées par UN HCR et les autres vivent dans des cabanes couvertes par des bâches distribuées par l ONG Samaritan s Purse. D après ces IDP s, certaines tentes commencent déjà à suinter et aucune alternative n est jusque-là prise. Selon les représentants de ce site, 13 ménages nouvellement déplacés y sont accueillis dans des conditions précaires. Concernant les IDP s arrivées récemment du Nord-Kivu, elles sont logées en familles d accueil, dans des maisons attribuées par leurs proche, dans des maisons de location et 20 autres ménages sont logés à l église la Charité au quartier Katanga. Il ressort des observations directes menées lors des enquêtes que, ce sont les IDP s habitant des maisons de location, logeant à l église la Charité et celles accueillies au site spontané qui éprouvent de sérieux problème de logement. Le payement de loyer pose déjà problème pour les unes et les autres logées à l église ou au site font face à l encombrement. À part l appui temporaire de la communauté hôte, les ménages déplacés du Nord-Kivu n ont pour l instant reçu aucune assistance externe en abri. En fin, les enquêtes révèlent que, 44% des ménages sont logés dans des maisons qui ne leurs appartiennent pas.cette proportion est donc constituée en grande majorité par de personnes déplacées. A gauche, le site spontané des IDP s de Mandibe au quartier Vingazi à et à droite l illustration de type de couchage des IDP s de la nouvelle vague logées à l église la charité. 13 / 38

14 Tableau 11 - Résultats d enquête Abri Indicateur Valeur Alerte Proportion des ménages qui n'habitent pas dans leurs propres maisons Pourcentage de ménages vivant dans des abris en mauvais état Proportion de ménages hébergeant au moins un autre ménage déplacé depuis plus de trois mois 44% 38-51% 7% 2-12% 0% Figure 5 - Pourcentage des ménages selon le statut d occupation de l abri Figure 6 - Repartition des ménages selon l état de l abri 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 56% 11% 10% 3% 0% 2% 18% Mauvai s 7% Moyen 51% Bon 42% Figure 7 :- Repartition des ménages selon le nombre de personnes par pièce à coucher Figure 8 : - Repartition des ménages en fonction de la surperficie des abris en metre carré/personne 4% 43% 15% 42% 1-2 pers. /pièce 3-4 pers. /pièce +4 pers. /pièce 22% 34% 40% % ménage avec <=2 m2/pers. % ménage entre m2/pers. % ménage avec >=3.5 m2/pers. Non précisé Réponse. Tableau 12 - Assistance en Abri Date En mai 2014 Organisation UN HCR Type d Assistance Tente Statut ménages Les ménages déplacés en provenance de Mandibe Nombre de Ménages 260 selon le comité ces IDP s 14 / 38

15 Date Organisation Type d Assistance Statut ménages Nombre de Ménages En juin 2014 Samaritan s Purse Bâche Les ménages déplacés en provenance de Mandibe Donnée non disponible 6.3. Education Méthodologie L évaluation des besoins en éducation a été effectuée à partir d entretiens avec les directeurs des écoles primaires, les représentants de parents d élèves, les autorités locales et les élèves. L équipe a effectué des visites dans les écoles primaires accessibles de la zone afin d apprécier l état des infrastructures par observation directe et recueillir des données statistiques grâce à une revue documentaire. Résultats Cinq (5) écoles primaires sur les 9 que compte la localité de ont été évaluées. Il s agit de l Ep Mandibe, Ep Mbalimasu, Ep Tuungane, Ep Tusongembele et l Ep Makutano (c est une école de la localité Mabuo à Mont Oyo qui était délocalisée depuis le mois de juin 2013 à suite à l insécurité persistante dans cette partie. Elle fonctionne présentement dans les infrastructures de l Ep Mandibe après-midi avec 149 élèves tous déplacés). Ces écoles n ont accueillies jusque là qu environs 191 enfants déplacés de la dernière vague. Toutefois, lors de l évaluation une réunion de sensibilisation était organisée par les autorités politico-civiles aux directeurs des écoles de komanda à intégrer les enfants déplacés dans leurs écoles même s ils n ont pas d argent. Globalement, un faible taux de scolarisation a été observé dans les écoles visitées environs 20%. Tandis qu il est de 48% pour les enfants IDPs. Alors que les enquêtes menées dans la localité estiment à enfants en âge scolaire. Cette situation s explique par l insuffisance de moyen financier des parents. Concernant les infrastructures, bien qu étant structurelles les fortes vulnérabilités ont été constatées dans toutes les écoles. Une moyenne de 6 élèves par pupitres/ bancs, de 94 enfants par latrine et d environs 71 élèves par salle de classe a été observée. Les fournitures scolaires pour les élèves et pour les enseignants sont quasiment insuffisantes. Ainsi au regard de tout ce qui précède, la situation éducative à komanda n est donc pas satisfaisante et mérite un appui. Impact humanitaire Impacte de l urgence sur le system éducatif en générale Conditions des enfants Les enfants Situation enfants déplacés scolarisés Situation enfants déplacés non scolarisés La dernière vague des déplacés n a pas impacté négativement le système éducatif de la localité. Etant donné que les écoles n avaient intégré qu environs 191 enfants déplacés de la dernière vague en dehors de ceux de l Ep Makutano. Par contre il faut souligner le sureffectif des élèves qui pose le problème. Certainement pendant les jours avenir lorsque la majorité d enfants déplacés vont intégrer les écoles suite à la sensibilisation des autorités politico-locales, il se poserait un problème. Les enfants qui se trouvent dans la localité de komanda scolarisés ou non vivent dans des conditions difficiles. accueille deux écoles des localités de déplacement. Il s agit de l Ep Tekele qui fonctionne à l Ep Mwangaza et de l Ep Makutano qui abrite les infrastructures de l Ep Mandibe. Les enfants déplacés qui ont intégré les écoles à étudient dans des conditions pénibles suite à l insuffisance des fournitures scolaires, mais également les uniformes. L insuffisance des moyens financiers de leurs parents est la raison principale de non scolarisation de ces enfants. A cela s ajoute le fait que 15 / 38

16 Les enfants Situation des enfants de la communauté d accueil scolarisés Situation enfants communauté d accueil non-scolarisés Facteurs générales qui ne favorisent pas la scolarisation Facteurs générales qui favorisent la scolarisation Situation abandon scolaire ces personnes avaient quitté leurs villages dans la précipitation et avaient tout abandonné. La vulnérabilité des enfants de la communauté d accueil étant d ordre structurel, ces enfants éprouvent d énormes difficultés sur le plan infrastructure. Ils n ont pas suffisamment des pupitres, des latrines et ils manquent des fournitures scolaires ainsi que les uniformes. Les parents des enfants de la communauté d accueil ne disposent pas de moyen conséquent pour scolariser leurs enfants, on observe un bon nombre d enfants en âge scolaire errés dans les rues. Le faible pouvoir d achat des parents de la communauté locale et l insuffisance des sources de revenu pour les parents déplacés sont des facteurs qui défavorisent la scolarisation des enfants dans la localité. L existence des plusieurs écoles viables dans la localité motive la scolarisation des enfants. Aucun cas abandon n a été signalé dans ces écoles, par contre on constate une augmentation liée à la présence des enfants déplacés. Les écoles Nombre d écoles sur place et leur fonctionnement Etat des infrastructures et équipements Occupation des écoles Protection et bien-être Proximité des structures militaires ou présence des explosifs rapportés Menaces et risques de protection pour les enfants en dehors et à l école Présence des enfants vulnérables et enfants avec des besoins spécifiques Considérations spécifiques pour des enfants en situation d handicap 9 écoles primaires au total fonctionnent actuellement à. Il s agit de : l Ep, Ep Tuungane, Ep Tusongembele, Ep Umodja, Ep Mbalimasu, Ep Mwangaza, Ep Mandibe, Ep Makutano et Ep Tekele. La plus part des bâtiments des écoles de la localité de est construite en tôle et en briques cuites/adobes pour les unes et en pise pour les autres. Les pavements sont en terre battue. Aucune des salles de classes de ces écoles évaluées ne pose de risque pour les enfants. Aucune des écoles évaluées n est occupée par des ménages déplacés ou par des groups armés. Pas de structure militaire à proximité des écoles évaluées. Egalement, aucune présence d engins explosifs n a été rapportée. Aucune menace au risque de protection contre les filles et garçons à l école ou en dehors n a été signalée. La présence de 97 enfants Orphelins et de13 enfants en situation d handicap a été rapportée dans les Cinq écoles évaluées. Tandis qu aucune présence d enfants non accompagnés ou sortis des forces ou groups armés n a été signalée. Aucun obstacle n empêche les enfants en situation d handicap d accéder à l éducation dans la localité évaluée. Les enseignants, les parents et la communauté Présence des enseignants Implication de la communauté et des parents dans la gestion de l école Besoin prioritaire d assistance Les principaux besoins immédiat liés à l éducation 43 enseignants au total dont 17 femmes ont été dénombrés dans les écoles évaluées. La communauté locale est impliquée dans la gestion des écoles par les initiatives des réfections et constructions des infrastructures scolaires par le biais des comités des parents. Les besoins prioritaires pour les écoles évaluées sont les suivantes : 1. Construire des bâtiments d urgence et les équiper pour les écoles délocalisées, 2. Construire des salles supplémentaires pour les écoles de la place, 16 / 38

17 Besoin prioritaire d assistance 3. Construire des latrines pour les élèves et les enseignants, 4. Doter les écoles des matériels didactiques et récréatifs, 5. Distribuer les fournitures scolaires aux élèves, 6. Ajouter des pupitres supplémentaires, 7. Recycler des enseignants de l Ep Tusonge Mbele, 8. Construire des points d eau à proximité des écoles. A gauche, des élèves dans une salle de classe de l Ep Mandibe et à droite, les latrines (non hygiéniques et délabrées) utilisé par les élèves de l EP Mandibe. A gauche, des latrines en cours de construction financées à l EP Tuungane et à droite les salles de classe de l EP Tusonge Mbele Tableau 13 - Aperçu statistique de l éducation dans la zone Education : 5école(s), dont 0fermée(s) Valeur Alerte Elèves Pourcentage d enfants déplacés de 6 à 11 ans non scolarisés 52,1% 5 Proportion d enfants de la communauté d accueil de 6-11 ans non scolarisés 32% 3 Pourcentage d enfants de 6 à 11 ans qui allaient à l école mais n y vont plus (enfants déscolarisés au sein des ménages enquêtés) 56% (47% - 66%) Pourcentage d élèves parcourant plus de 4 km pour atteindre l école 5% - Nombre total d élèves en situation d handicap / 38 -

18 Nombre d'éleves Nombre d'éleves Alerte RRMP - Evaluation multisectorielle Enseignants Pourcentage d Enseignants qui encadrent plus de 55 élèves/classe 5% - Infrastructures Pourcentage de salles de classe avec toitures ou murs détruits 7% - Tableau 14 - Récapitulatif du nombre d'élèves Catégorie d enfants scolarisables (6-11 ans) Estimation de l effectif scolarisable (6-11 ans, 18% population total) Enfants d inscrits à l école % de 6-11 ans non Filles Garçons Total scolarisés Total ,3% 5 Déplacés ,1% 4 Communauté d accueil % 5 Tableau 15 - Récapitulatif du nombre d'enseignants Nombre et Catégorie Total Enseignants % % Mécanisés % Formés (dans d enseignants Femme Homme Total Qualifiés Payés Non payés les 12 derniers mois) Total % Déplacés % Communauté d accueil % Figure 9 : - Nombre d élèves inscrits pour l ensemble des écoles évaluées Figure 10 : - Nombre d élèves déplacés inscrits actuellement 2500 Filles Garçons 400 Filles Garçons Inscrit au début d'année Inscrit actuellement Déplacés inscrits 18 / 38

19 Agrée Mécanisé Double vacation Accessibilité camion Comités Actifs Cellule Pédagogique Suivi Inspecteur Cantine Scolaire Inscrits Actuellement Taux d abandon % filles inscrites % d élèves déplacés et retournés Nb. Enfants en situation d Handicap Nb. Total % Femmes % qualifiés Nb. Formés dans le dernière 12 mois Elèves/ Enseignant Nb. Salles de Classe % Salles détruites Elèves / Salle Elèves / pupitre Elèves/Latrine Latrines séparées Latrines pour ens. Brigade Hygiène Source de l eau protégée (à <500 m) Nb. Orphelines/Non-accompagnées Enfants sortis des groupes armées Nb. Elèves parcourant > 4 KM RRMP - Evaluation multisectorielle Tableau 16 - Résumé statistique des écoles évaluées Généralités Elèves Enseignants Infrastructure Eau et assainissement Protection Ecole EP Makutano Protestant. EP Mandibe Protestant.. EP Mbalimasu Protestant.. EP Tusonge Mbele Protestant.. EP Tuungane Protestant.. oui oui non oui oui oui oui oui 149 0% 47% 100% % 100% n.d oui non oui oui non oui oui oui oui oui 344 8% 45% 1% % 100% n.d oui 0 oui non oui oui non oui oui oui oui oui 460 0% 45% 21% n.d 7 43% 100% n.d oui 0 oui non n.d 0 35 oui oui non oui oui oui oui oui 681 0% 55% 10% % 100% n.d oui 0 oui non oui oui non oui oui oui oui oui 622 0% 52% 4% % 100% n.d oui 0 oui non Taux global d abandon : 0% des enfants ayant abandonné l école par rapport au nombre d inscrit en début d année 19 / 38

20 Réponse Tableau 17 - Assistance en Education Ecole Date Organisation Recyclage Appui matériel Fourniture scolaire Réhab. / Construction Autre type assistance Ep Makutano, Ep Mandibe, EpMbalimasu, Ep Tusonge mbele, Ep Tuungane Nov 201 PAM PAM et son partenaire Samaritan s Purse assistent les élèves et les enseignants dans les écoles de la localité évaluée en cantine scolaire. Les denrées sont composées des farines de Maïs, les légumineuses (petits pois), l huile végétale et du sel Eau, hygiène et Assainissement Méthodologie L enquête sur l eau et assainissent a été effectuée autour de trois axes : 1) Enquête sur l approvisionnement en eau et les conditions d hygiène auprès d un échantillon de 116 ménages, 2) Contrôle des sources d eau potable et des sources potentielles d eau potable, et contrôle des infrastructures hygiéniques des écoles, des structures sanitaires, et des lieux publics, 3) Récolte des données épidémiologiques auprès des structures sanitaires. Résultats L ONG CESVI est présente à. Elle met en place un projet d urgence d eau, hygiène et assainissement avec le financement de l Union Européenne. Les activités de construction d ouvrages hydrauliques et/ou d assainissement n ont pas encore débuté. C est ainsi que les enquêtes sources n ont pas été réalisées. Le résultat présenté dans ce rapport ressort uniquement des enquêtes ménages. Tableau 18 - Indicateurs clés en Eau et Assainissement Indicateur % d enfants de moins de 5 ans ayant eu la diarrhée au cours des 2 dernières semaines 18% 2 Pourcentage de ménages qui utilisent une source d'eau à boire salubre (puits protégé, source aménagé, eau de robinet, eau d'urgence amenée par camion) Alerte 26% 3 Pourcentage de ménages qui ont accès à une latrine hygiénique 10% 3 Pourcentage des ménages avec accès au savon 17% 4 Pourcentage des ménages connaissant au moins 3 moyens de transmission de la diarrhée 25% Morbidité - Diarrhée (données épidémiologiques sur les 3 derniers mois) Nouveaux cas de diarrhée pour 1000 par mois NC/1000/mois 1,6 2 Nouveaux cas de diarrhée pour 1000 par mois chez les moins de 5 ans 5,9 5 Morbidité - Choléra (données épidémiologiques sur les 3 derniers mois) 20 / 38

21 Ménages enquêtés % Ménages RRMP - Evaluation multisectorielle Indicateur Nouveau cas de choléra 0 1 Nouveau cas de choléra chez les moins de 5 ans 0 1 Alerte La morbidité globale moyen des maladies diarrhéiques (1.6NC/1000/mois) et infantile élevé (5,9NC/1000/mois) au niveau de centre de santé alors que le résultat des enquêtes ménages fait état d un taux de diarrhée moyen moins alarmant(18%) des enfants de moins de 5 ans au cours des deux dernières semaines qui ont précédées l évaluation. Ce taux peut évoluer vers des seuils alarmants dans les jours avenir en voir les résultats de pourcentage des foyers qui possèdent des latrines hygiéniques. A cela, s ajoute la faible adoption des règles de base hygiénique. Figure 11 :- Moments clés de lavage des mains par les ménages 120% 100% 80% 80,2% 95,7% 60% 40% 37,1% 35,3% 20% 0% 4,3% 5,2% A part le lavage de mains avant de manger et après toilette qui sont pratiqués par bon nombre des ménages, d autres moments clés de lavage de mains sont peu adoptés par la population. Cela peut être l une des causes de prévalence élevée de la morbidité diarrhéique au sein de la communauté. Figure 12 :- Perception des ménages des risques liés à l eau Figure 13 :- Pourcentage des ménages par distance à la source d eau de boisson 120% 100% 80% 60% 40% Non 100,0% moins de 1 km 11% entre 1 et 2 km 13% 20% 0% Rechercher de l'eau represente un danger? mois de 500 m 76% Tableau 19 - Eau et assainissement dans les structures sanitaires Structures sanitaires CS Accès eau protégée? Une source aménagée non protégée à environ 1200m de la structure sanitaire. Nombre de Latrines Un bloc latrine des 2 portes, superstructure en brique, toitures en tôle. 21 / 38

22 Tableau 20 - Eau et assainissement dans les structures scolaires Structures scolaires Accès eau protégée? Nombre de Latrines Elèves par latrine Latrines séparées? Brigade d hygiène? EP Tuungane EP Tusonge Mbele EP Mandibe EP Makutano EP Mbalimusu Une source aménagée non protégée à environ 800m de l école. Aucun Une source aménagée non protégée à environ 750m de l école. Une source aménagée non protégée à environ 750m de l école. Aucun Un bloc latrine des 4 portes, superstructure en pisé, toiture en tôle. Un bloc latrine des 4 portes, superstructure en pisé, toiture en tôle. Deux blocs latrines des 13 portes, superstructure en pisé, toiture en tôle. Deux blocs latrines des 13 portes, superstructure en pisé, toiture en tôle. Un bloc latrine des 3 portes, superstructure en pisé, toiture en tôle Aucune Aucune 24 3 Aucune 12 3 Aucune Aucune Hormis l EP Makutano et l EP Mandibe, les trois écoles restantes (EP Tuungane, EP Mbalimusu et Tusonge Mbele) ont des blocs latrines ne remplissant pas la norme de 50 élèves / latrine. En outre, l EP Tuungane a un bloc latrine de 4 portes inachevées par l ONG APEC Santé et Nutrition Méthodologie La vulnérabilité dans le secteur de la santé et nutrition a été analysée à partir des contacts avec les responsables du secteur sanitaire, une revue documentaire, des focus groups, une enquête ménage et des visites quand cela a été nécessaire dans les structures de santé desservant la zone enquêtée. Hors mis le taux de mortalité, Les indicateurs épidémiologiques ont été récoltés auprès des structures de santé. Le taux de mortalité été estimé grâce à un dénombrement des décès survenus dans la zone au cours des 3 derniers jours. Les données ont été collectées auprès de l équipe de santé, les chefs de villages, et autres informateurs clés. Résultats Deux structures sanitaires ont été évaluées : Le centre de santé Caritas et le dispensaire de Bey (de l Hôpital Général de Référence de ). 22 / 38

23 Situation géodémographique de la zone évaluée Organisation des services et capacité d accueil Le centre de santé Caritas Le centre de santé Caritas se trouve dans la zone de santé rurale de. Il est situé à 1 km au Sud est du Bureau Central de la Zone de santé de. Il est limité à l Est par la localité Bogi, à l ouest par la localité Buliki, au nord par la localité Patakula, du Sud vers le Sud - est il est limité par les localités Bey et Vingazi. Selon le recensement effectué au mois de janvier 2014, cette aire de santé couvre une population de habitants autochtones. L arrivée de plus de 3619 personnes déplacées depuis le mois d octobre dernier, soit une augmentation de 23 % de la population, exerce une pression sur les ressources de cette formation sanitaire. Les consultations, les soins curatifs, la maternité, les accouchements, les soins en ambulatoire, le suivi de cas mis en observation sont organisés par ce formation médicale. Il organise aussi des activités préventives et promotionnelles telles que les consultations pré et post natales. Les consultations préscolaires ainsi que la prévention de la transmission du VIH de la mère à l enfant (PTME) y également organisées. La pharmacie ainsi que les services de laboratoire sont également fonctionnels. Il a une capacité de 25 lits. Les soins sont payants pour tous. Il n a pas connu des jours de rupture de médicaments essentiels ce trois derniers mois grâce à l appui de Programme pour la Promotion des Soins de Santé Primaires(PPSSP), Programme d Appui au Plan d Action de Développement Sanitaire(PAPNDS), SANRU, PEV, MEDAIR 10eme FED, Action Damien et l église catholique qui l appuient en donnant des vaccins, médicaments, formations, achats des services de santé et autres matériels de soins. Le dispensaire de Bey et de l Hôpital Général de Référence de. Le dispensaire de Bey fonctionne à l enceinte de l Hôpital Général de Référence de. Ce complexe hospitalier se situe au sud-ouest de la localité de. L aire de santé de Bey couvre une population de habitants d après le dénombrement effectué au mois de janvier personnes déplacées sont arrivées dans l aire de santé de Bey au mois d octobre dernier. Les Aires de santé de Caritas et de Bey se partagent environ 7513 personnes nouvellement arrivées, soit une augmentation de 23 à 27 %.Tandis que l Hôpital Général de Référence couvre une population de personnes, chiffre qui représente la population totale de la zone de santé rurale de, hormis les personnes déplacées. Le dispensaire de Bey organise les consultations et les soins curatifs pour des patients qui viennent en ambulatoire. L Hôpital Général de Référence a reçu 876 malades en consultations curatives dont 424 enfants de moins de 5 ans. Les services de consultation pré et post natales ont reçu 7 patientes référées des centres de santé périphériques. Les services de la maternité et des accouchements étaient utilisés par 153 femmes dont 16 d entre elles étaient des personnes déplacées. La pédiatrie, la médecine interne (hospitalisations des femmes et des hommes) et la chirurgie ont accueilli 194 patients dont 81 personnes déplacées durant les trois derniers mois. La pharmacie, le stock ainsi que la pharmacie de distribution et les services de laboratoire sont également fonctionnels.. Il a une capacité de 60 lits sans moustiquaires. Il a reçu 309 malades transférés de structures périphériques dont 32 enfants déplacés de moins de 5 ans. Les soins sont payants pour tous. Les soins de personnes indigentes, les victimes de violence sexuelles, les enfants de moins de 5 ans qui nécessitent des transfusions sanguines, les femmes qui accouchent par césariennes et les personnes déplacées sont à moitié pris en charge par des organisations non gouvernementales. Ces formations sanitaires n ont pas connu des jours de rupture de médicaments essentiels sur toute la période évaluée, grâce 23 / 38

24 Etat des bâtiments Approvisionnement en eau et les installations sanitaires Les maladies courantes de la zone enquêtée La formation sanitaire de la Caritas fonctionne dans 5 bâtiments dont 4 sont construits en matériaux semidurables et des toits en tôles. Tandis que le bâtiment de la maternité est construit en matériaux durables et est en bon état. Une source est située à moins de1000 m. Insuffisance des récipients de transport et de conservation d eau au niveau de ce centre. Les anciennes latrines construites par l Organisation Non Gouvernementale Programme pour la Promotion des Soins de Santé Primaires(PPSSP) à l an 2009 sont remplies à plus de 80 %, tandis que les douches sont insuffisantes par rapport à la capacité d accueil de toute la structure. Le paludisme, les infections de voies respiratoires et les parasitoses intestinales (schistosomiase) sont les maladies couramment observées dans la localité. Les plus impactés sont les personnes déplacées (exposés aux intempéries faute d abris et de couchage convenables). à l appui de ces organisations non gouvernementales qui achètent les services de santé, les appuient en médicaments, matériels de soins et dispensent des formations à leurs membres du personnel. La formation sanitaire de Bey fonctionne dans l un de 5 bâtiments de l Hôpital Général de Référence qui sont construits en matériaux durables et sont en bon état. S approvisionne en eau de pluies recueillis dans des citernes. La source la plus proche est située à moins de 1000 mètres. Insuffisance des récipients de transport et de conservation de cette dernière. 5 anciennes portes de latrines construites PPSSP à l an 2009 sont remplies à plus de 80 %. Les 3 portes de douches sont en voie de délabrement et insuffisantes par rapport à la capacité d accueil de cet hôpital. Il dispose en outre d un incinérateur et d une fosse à placenta qui sont en bon état. Le paludisme, les infections de voies respiratoires et les diarrhées sont les maladies couramment soignées et observées dans ces formations sanitaires. La situation de la malnutrition Sur un total de 109 enfants venus en consultations préscolaires les trois derniers mois, 31 ont été dépisté avec la malnutrition sévère. Ils ont été réhabilités. L Unité Thérapeutique Intensive de l hôpital général a réhabilité 9 enfants sévèrement mal nourris dont 3 en sont décédés. Cette unité est appuyée par le Programme National de Nutrition(PRONANUT). Elle reçoit d habitude beaucoup d enfants qui viennent pour la réhabilitation nutritionnelle. 24 / 38

25 Tableau 21 - Indicateurs clés de la vulnérabilité en santé Population générale Population déplacées Indicateur Valeur Alerte Valeur Alerte Mortalité globale (décès/10.000/jour ; seuil >1/10.000/jr) 0,05 1 0,00 1 Mortalité des enfants moins de 5 ans (décès/10.000/jour ; seuil >2/10.000/jr) 0,28 1 0,00 1 Mortalité maternelle intra hospitalière 0% - - Couverture vaccinale DTC3 > 100% 1 n.d. - Couverture vaccinale VAR 197% 1 n.d. - Taux d utilisation des services curatifs (Nombre de Contact par Habitant et par An) Taux d utilisation des services curatifs chez les moins de 5 ans (Nombre de Contact par Habitant et par An) 0,67 4 1,17 2 0, Taux de consultations prénatales > 100% 1 750% 1 Taux d accouchements assistés Pourcentage d enfants de 6 à 59 mois avec PB<125 mm en consultations curatives > 100% > 100% 17% Nombre nouvelles admissions des <5 ans avec MAG 9 1 n.d - Il ressort du focus que les soins sont payants pour tous. C est ainsi que les personnes démunies de la localité recourent à l automédication ou à l utilisation des plantes médicinales. Toutefois, les personnes vulnérables (indigents, victimes de violence sexuelles, les enfants de moins de 5 ans qui nécessitent des transfusions sanguines, les femmes qui accouchent par césariennes et les personnes déplacées) payent la moitié de leurs factures de soins. L autre moitié est couverte par le Fond d Achat de Services de Santé(FASS), MEDAIR et le Programme de Promotion de Soins de Santé Primaires(PPSSP). Ainsi, le faible pouvoir d achat de la majorité et l augmentation de la population de l ordre de 23 à 30 % dans toutes les aires de santé situées le long de l axe - Luna suite à l arrivée massive des personnes déplacées exercent une pression ressentie sur les ressources sanitaires évaluées. On observe également des problèmes de santé liés à l assainissement du milieu et à la sous - utilisation des moustiquaires qui expliquent des nombreux cas de paludisme au sein de la population, malgré la campagne de distribution des Moustiquaires Imprégnés d Insecticide qui a eu lieu au mois d Aout 2014 dans toute la zone de santé. Des cas d infections des voies respiratoires aigües sont liés au mauvais état des abris ainsi que le type de couchage utilisé par la majorité de notre population enquêté. Les nombreux cas de diarrhées sont liés à l utilisation d eau polluée provenant des sources d eau non protégées ou sont conséquents au non-respect des règles d hygiène de base. A la date du 03/11/2014 correspondant à la fin des évaluations, il a été remarqué qu une majorité d enfants était vaccinée dans ces 2 aires de santé durant la campagne de vaccination qui a eu lieu du 30/10 au 02/11/ / 38

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