L'approche participative de l'analyse des risques. Alain Piette, ergonome DG Humanisation du travail

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1 L'approche participative de l'analyse des risques Alain Piette, ergonome DG Humanisation du travail 1

2 L analyse des risques: législation Directive cadre de 1989 Directive 89/391/CEE du Conseil du 12 juin 1989 Les employeurs sont chargés, d une manière générale, d assurer la sécurité et la santé des travailleurs dans tous les aspects liés au travail. L évaluation des risques permet aux employeurs de prendre les mesures nécessaires L employeur met en oeuvre les principes généraux de la prévention: éviter les risques évaluer les risques qui ne peuvent pas être évités combattre les risques à la source adapter le travail à l'homme... 2

3 L analyse des risques: législation Directive cadre de 1989 Il incombe à l employeur: d assurer la sécurité et la santé des travailleurs dans tous les aspects liés au travail; d organiser l évaluation des risques; de choisir la personne (ou les personnes) qui effectuera l évaluation et de s assurer de sa compétence; d évaluer les risques et de mettre en œuvre des mesures de protection; de consulter les travailleurs ou leurs représentants au sujet de l organisation de l évaluation des risques, ainsi que les personnes effectuant l évaluation et mettant en œuvre les mesures de prévention; 3

4 L analyse des risques: législation Directive cadre de 1989 Il incombe à l employeur: d être en possession d une évaluation des risques; d établir des dossiers d évaluation en consultation avec les travailleurs et/ou leurs représentants, ou même en les impliquant dans le travail, et en mettant ces dossiers à leur disposition; de garantir que toutes les personnes concernées soient informées de toute source d accident ou tout danger auxquels elles risquent d être exposées, ainsi que de toutes les mesures de protection prises pour prévenir un tel danger. Obligation de résultats et non plus de moyens 4

5 L analyse des risques: difficultés 1.1 Framework directive 1.3 Temporary workers 1.2 Individual directives (within the meaning of Article 16 of Directive 89/391/EEC) Workplaces 1.5 Young people 1.4 Medical treatment on board vessels Use of work equipment 1.7 Transport activities Use of personal protective equipment 1.8 Explosive atmospheres Work with display screen equipment 1.9 Electrical equipment for use in potentially explosive atmospheres in mines susceptible to firedamp Manual handling 2. Protection of workers from risks related to exposure to chemical, physical and biological agents Carcinogens 2.1 Chemical agents Biological agents 2.2 Individual directives Safety signs Metallic Lead Pregnant workers Asbestos Mineral-extracting industries (drilling) Noise Mineral-extracting industries Banning Fishing vessels Indicative limit values Chemical agents 2.3 Vinyl chloride monomer Physical agents - vibration 3. Working time Physical agents - noise 4. Equal treatment for men and women (employment, training and working conditions) Temporary or mobile construction sites tous les aspects liés au travail 5

6 L analyse des risques: difficultés tous les aspects liés au travail Et on peut aussi ajouter Les problèmes psychosociaux: accord européen Les troubles musculosquelettiques: directive en cours Les nanotechnologies Législation lourde, complexe. Simplification mais même niveau de protection Par quoi et comment commencer dans son entreprise? 6

7 L analyse des risques: difficultés définition du risque: Probabilité de survenue d un effet d une certaine gravité, en tenant compte de l exposition au facteur de risque (ou danger) et de la probabilité de cet effet pendant cette exposition 7

8 L analyse des risques: difficultés Confusion entre analyse, évaluation, gestion des risques Factsheet 80, L évaluation des risques Rôles et responsabilités, Bilbao, 2008 Comment évaluer ( gérer) les risques: en 5 étapes Étape 1 Identification des dangers et des personnes menacées Étape 2 Évaluer les risques et les classer par ordre de priorité Étape 3 Déterminer les mesures préventives Étape 4 Adopter des mesures Étape 5 Contrôle et examen 8

9 L analyse des risques: difficultés Des outils, méthodes mais pour quoi faire? Pour identifier les dangers (check-listes?) Pour évaluer le risque (cf la définition: probabilité de ) Pour évaluer l exposition à un facteur de risque Pour trouver des solutions (prévention) Pour vérifier la gestion des risques (audit) Pour Confusion: Si j ai utilisé l outil, je suis en ordre, j ai fait mon analyse des risques Faux, quand on a les résultats de l outil, le travail ne fait que commencer 9

10 L analyse des risques: difficultés Nouveaux risques ou risques émergents (par ex les TMS, les problèmes psychosociaux ) Nombreux facteurs de risque à l'origine Même en diminuant l exposition voire en supprimant ces facteurs de risque, les douleurs ne vont pas disparaître du jour au lendemain effets bénéfiques à moyens et longs termes Acteurs pas encore suffisamment sensibilisés et informés d'où toute l'importance de leur donner une meilleure visibilité notamment au niveau réglementaire Implique de revoir la manière dont la prévention est gérée dans les entreprises 10

11 L analyse des risques: difficultés Les PME (rapport CE 2004) 90 % avec moins de 20 personnes. Forte rotation instabilité des conditions de travail. Structure organisationnelle informelle propriétaire et gérant prend en charge tous les aspects de la gestion: ventes, commercialisation, finances, production, ressources humaines, contrôle des stocks, etc., en ce compris la santé et la sécurité, fréquemment perçues davantage comme de coûteuses obligations plutôt que comme des aspects d une saine gestion. contrairement aux grandes entreprises, histoire moins longue et de rares antécédents en matière d accidents du travail. Mais si accident, touche souvent un travailleur qui est un ami, un parent ou un maillon indispensable au bon fonctionnement de l entreprise: hypothéquer la survie de l entreprise 11

12 L analyse des risques: difficultés Cela explique Analyse des risques peu réalisée Par exemple en France ou en Belgique: 25% Énorme différence entre la théorie (cadre et structures légales) et la pratique du terrain La demande de méthodes, d outils sectoriels pour aider les entreprises, les PME, qui une fois sensibilisées, ne savent pas comment faire, comment débuter 12

13 L analyse des risques: réponses Pour aider les entreprises et notamment les PME (rapport CE 2004) Simplification de la législation (directives obsolètes) Mieux faire appliquer les directives dans les PME Accès information et aide aux employeurs et travailleurs Faciliter l accès (coût) et collaboration avec les services de prévention (SePP) Stratégie de prévention efficace si participation de tous et notamment des travailleurs Gestion santé, sécurité doit faire partie intégrante de la gestion globale des entreprises 13

14 L analyse des risques: méthodes Agence Européenne OSHA de Bilbao Online Risk Assessment (ORA) Belgique SOBANE 14

15 Online Risk Assessment OIRA Outil informatique pour «analyser» les risques Petites entreprises: < 20 travailleurs Développé par les partenaires sociaux d un secteur Pour Sensibiliser Faire réfléchir aux principaux risques du secteur Faire réfléchir à des solutions sur base de recommandations générales Comment y inclure l aspect participatif? Faire OIRA de manière participative mais outil informatique Discuter les résultats de OIRA avec les travailleurs, sur base du rapport généré Outil de sensibilisation, lien vers des méthodes participatives possibles telles que SOBANE 15

16 Stratégie de gestion des risques professionnels Avec le soutien 16

17 Principes à la base de SOBANE 1. Primauté de la prévention 2. Les compétences disponibles sont complémentaires 3. Le travailleur est l acteur principal de la prévention 4. Formation vs Assistance 5. Tout est en tout: approche globale 6. Vision préventive vs vision légaliste 7. Evaluation vs quantification 8. Les PME 17

18 Partenaires Santé-Sécurité Salariés Management Préventeurs internes Médecins du travail Hygiénistes du travail Ergonomes Experts Santé Sécurité Situation de travail + 18

19 Stratégie SOBANE Sophistication Coût Expertise Expertise Analyse Analysis Observation Dépistage Screening Nombre de situations de travail Nombre de facteurs de risque 19

20 Niveau 1: Dépistage Guide de concertation Déparis Expertise Analysis PREVENTION Observation site Screening 20

21 Diffusion de SOBANE Dossiers sectoriels pour la mise en œuvre du guide Déparis 21

22 Diffusion de SOBANE 16 brochures papiers à exemplaires par brochure mais rapidement épuisées 22

23 Exemple 1: secteur métallique Fabrication d équipements portuaires et de stockage Chargeurs et déchargeurs de navires 30 travailleurs 23

24 Exemple 1: secteur métallique 24

25 Exemple 1: secteur métallique Situation de travail: Montage 1. Les aires de travail 2. L'organisation technique entre postes 3. Les emplacements de travail / travail sur écran de visualisation 4. Les risques d'accident 5. Les commandes et signaux 6. Les outils et matériel de travail 7. le travail répétitif 8. Les manutentions 9. La charge mentale 10. L'éclairage 11. Le bruit 12. Les ambiances thermiques 13. Les risques chimiques et biologiques 14. Les vibrations 15. Les relations de travail entre travailleurs 16. L'environnement social local et général 17. Le contenu du travail 18. L'environnement psychosocial 25

26 Exemple 1: secteur métallique N QUI FAIT QUOI? Coût 0, 1 Direction Fournir une genouillère pour les travaux à effectuer à genou 2 Direction Fournir un échafaudage pour le travail en hauteur Date projeté Quand? Date réalisé 3 Maintenance Vérifier l étanchéité de la porte au sablage 0 4 Direction Disposer de rack de rangement au stock à la scie 5 CP Etudier la sécurité des machines A Analyser 6 CP Rappeler les consignes de sécurité lors de 0 l utilisation de la cintreuse 7 Direction Fournir des vêtements spécialisés pour les soudeurs 8 Direction Participer aux frais des verres correcteurs pour les opérateurs devant utiliser des lunettes de protection personnelles 9 Maintenance Installer plus de prises électriques à proximité des tables de travail 10 CP Analyser l éclairage A Analyser 11 Direction Installer un air conditionné A Analyser 12 CP Analyser la thermique générale A Analyser 12 propositions d'amélioration 26

27 Exemple 2: secteur chimique Fabrication de : Produits industriels Produits domestiques 26 travailleurs 27

28 Exemple 2: secteur chimique 28

29 Exemple 2: secteur chimique Situation de travail: fabrication pastilles urinoirs 1. Les aires de travail 2. L'organisation technique entre postes 3. Les emplacements de travail 4. Les risques d'accident 5. Les commandes et signaux 6. Les outils et matériel de travail 7. le travail répétitif 8. Les manutentions 9. La charge mentale 10. L'éclairage 11. Le bruit 12. Les ambiances thermiques 13. Les risques chimiques 14. Les relations de travail entre travailleurs 15. L'environnement social local et général 16. Le contenu du travail 17. L'environnement psychosocial 29

30 N Exemple 2: secteur chimique QUI? FAIT QUOI? Coût 0, Quand? Date projeté Date réalisé 2 1 Direction Fournir un aspirateur Travailleur + CP 3 Direction 4 CP Réorganiser la surface de travail Avoir une table de 6 à 8 m² pour le rangement des billes Etudier les aides possibles en matière de manutention lors du chargement des machines 5 CP Analyser les protections machines 6 CP + travailleurs 7 CP + atelier Etudier les possibilités en matière de masques, tenir compte du personnel féminin Aux billes, avoir un tapis roulant qui achemine les caisses à bonne hauteur à la sortie de la machine 8 Travailleurs Pour le mélange, prendre les sacs à Direction Avoir des stores pour masquer le soleil 10 CP Etudier les solutions en matière de bruit dans l atelier 11 Direction Rappeler au personnel la consigne concernant la 0 fermeture des portes pour les courants d air A Analyser A Analyser A Analyser A Analyser 13 propositions A Analyser d'amélioration 12 CP Analyser la thermique générale A Analyser 13 CP Etudier les possibilités en matière de système d extraction et de réduction des émanations des produits chimiques A Analyser 30

31 Exemple 3: secteur tertiaire Agence bancaire 31

32 Exemple 3: secteur tertiaire Situation de travail: Guichet + accueil crédits 1. Les aires de travail 2. L'organisation technique entre postes 3. Les emplacements de travail / travail sur écran de visualisation 4. Les risques d'accident 5. Les commandes et signaux 6. Les outils et matériel de travail 7. le travail répétitif 8. Les manutentions 9. La charge mentale 10. L'éclairage 11. Le bruit 12. Les ambiances thermiques 13. L hygiène atmosphérique 14. Les relations de travail entre travailleurs 15. L'environnement social local et général 16. Le contenu du travail 17. L'environnement psychosocial 32

33 Exemple 3: secteur tertiaire N QUI? FAIT QUOI? Coût 0, Disposer d un listing papier avec les références des 0 fournitures Disposer d un listing papier des numéros de téléphone des 0 personnes de référence chez Réduire à 2 le nombre de lignes entrant et faire en sorte 0 que les téléphones sonnent dans les autres bureaux Disposer d un bras mobile pour le téléphone 1 Réaménager les guichets en tenants compte des hauteurs de tables, des tiroirs et des pc / Revoir l éclairage en fonction de ces emplacements Analyser les possibilités d un tiroir métallique pour transférer l argent et les documents vers le comptoir client Disposer d un SAS de sécurité 2 Date projeté Quand? Date réalisé A Analyser A Analyser 11 propositions Acheter un écran plat pour le bureau de direction 2 d'amélioration Réaménager les emplacements de travail dans le bureau A Analyser «crédits» Disposer éventuellement (si espace suffisant) de deux A Analyser bureaux dans le bureau crédit Respecter les stéréotypes dans les alarmes d intrusion 0 33

34 34

35 16. Le caractère participatif conduit à une surenchère de revendications Revendiquer signifie " Réclamer quelque chose comme un dû" Démarche Déparis orientée "solutions" plutôt que "plaintes«pas des échelles d'insatisfaction, de plaintes, mais au contraire d'organiser un débat, dans un esprit constructif, sur la façon dont la situation de travail pourrait être repensée de façon à fonctionner mieux pour les travailleurs (bien-être) et l'entreprise (santé économique). 35

36 17. Le processus participatif conduit à créer des attentes utopiques auprès du personnel Ne pas demander l'avis des travailleurs de manière à ne pas les décevoir par la suite!! Sensibilisation des acteurs AVANT: du CP, de la direction, de la ligne hiérarchique, des représentants des travailleurs, du CPPT s'il existe et des travailleurs eux-mêmes. Nécessité pour la direction d'informer le CPPT et la ligne hiérarchique de ses objectifs et de son engagement de tenir compte des résultats des réunions et des études. Le processus de décision (tableau final "qui fait quoi, quand?") doit être rapide (1 mois), sans quoi le processus participatif perd sa crédibilité auprès des travailleurs. 36

37 18. Les travailleurs ne sont pas qualifiés pour reconnaître les risques et ce sont souvent eux d'ailleurs qui les provoquent? Laissons cela aux spécialistes! L'idée du spécialiste omniscient, sauveur des hommes, et du travailleur bête et méchant date d'un autre âge! Il n'est pas possible de nier le fait que les travailleurs sont les seuls à savoir exactement ce qu'ils vivent, comment et pourquoi ils le vivent. Et le spécialiste passant occasionnellement dans la zone de travail ne pourra repérer que ce qu'il voit, entend, sent et ce qui se trouve sur sa liste de contrôle. Ceci s'est fait durant de nombreuses années et a certes permis de diminuer le nombre d'accidents et de maladies professionnelles. A l'heure où les risques majeurs ont dans une large mesure disparu et où des préoccupations plus sociales (stress, satisfaction ) se sont développées, cette approche par le spécialiste est simplement vouée à l'échec. 37

38 19. Si les travailleurs adoptent des comportements dangereux (par ex: travailler sans les protections d'une machine), ils ne vont pas en parler. Ceci est vrai si persiste au cours de la réunion la crainte de reproches. Sinon, la discussion portera utilement sur les raisons pour lesquelles les protections sont enlevées (difficultés du travail, fréquences des interventions ) et sur la façon dont le problème pourrait être résolu. Rappelons de plus qu'un CP doit en parallèle avec les réunions Déparis faire une visite des lieux de travail 38

39 20. Nous sommes dans une structure très hiérarchique. La participation, c'est l'inverse de ce que les gens connaissent et vivent au quotidien Hélas, ceci reste encore le cas. On peut rappeler cependant le commentaire de Deming, maître à penser du management moderne, en 1982 déjà: "Il n'y aura pas de place pour les managers qui ne savent pas travailler avec leur personnel pour produire des biens de bonne qualité à faible coût. --- Dans le monde compétitif du futur, les entreprises qui n'auront pas maîtrisé ces idées disparaîtront simplement, et il n'y aura pas d'excuses!" Comment amorcer le changement? Une réunion bien préparée, où, pour la première fois probablement, la hiérarchie locale et les travailleurs discutent de leur situation de travail et notamment du contenu du travail, peut en être le début. 39

40 Intérêt de la méthode Complémentaire à l analyse des risques «classique» Car les travailleurs ne maîtrisent pas, actuellement, toutes les notions de sécurité théoriques requises Car le conseiller en prévention ne perçoit pas toujours les risques lors de la pratique de l activité Participative Opportunité de s exprimer Opportunité de proposer des solutions concrètes 40

41 Intérêt de la méthode Formative Education à la santé et à la sécurité Idéal dans une entreprise composée de plusieurs petites structures géographiquement décentralisées Idéal pour lutter contre les incidents/accidents liés à des comportements Redistribue les rôles et les responsabilités de chacun en matière de prévention Base idéale pour construire le plan quinquennal de l entreprise Support méthodologique intéressant pour fixer les priorités d action 41

42 Difficultés de la démarche participative Compétences du coordinateur Bonne connaissance de la méthode Personnalité des participants Dynamique du groupe (leaders,.) Connaissance par les participants de la situation de travail Possibilité de se rendre au poste de travail Mobilisation des travailleurs Influence de la Direction 42

43 L analyse participative des risques : conclusions Revoir la gestion des risques Entreprises: pour elles, ne peuvent rien faire sans l'aide d'un spécialiste, par ex un ergonome pour les TMS Elles pensent souvent aussi qu'en payant un spécialiste elles vont être tranquilles à vie de ce problème Se débarrasser de la corvée, se décharger payer Et si pas d argent, on ne fait rien Jamais assez de spécialistes, par ex en Belgique 100 CP ergonomes, 110 CP psychologues du travail Baser la prévention sur ces spécialistes n'aurait qu'un impact très faible dans nos entreprises, essentiellement dans les grosses entreprises et peu dans les PME 43

44 L analyse participative des risques : conclusions Revoir la gestion des risques Parler de gestion dynamique et non que d évaluation ou d analyse: intégration dans la vie courante de l entreprise comme la gestion de la qualité ou de l environnement Approche globale des facteurs de risque (dangers) Utilisation de méthodes pour se prendre en charge, pour commencer l Analyse des risques, avec si nécessaire des spécialistes pour problèmes plus complexes Participation de tous et notamment des travailleurs, pour se baser sur la connaissance du travail, de l activité Prévention globale, structurée et participative, basée sur l analyse de l activité = démarche ergonomique dans l analyse des risques 44

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