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1 Publication financière trimestrielle N 6 - Octobre 2011 Lors de nos publications, nous vous présentons brièvement en première page, des actualités à propos de notre approche de la gestion du patrimoine. Vous avez également la possibilité de consulter notre site internet sous la rubrique gestion de fortune ou nous commander gratuitement nos brochures. Les pages suivantes sont dédiées à notre point de vue des marchés financiers. Si vous le souhaitez, vous pouvez sans autre transmettre cette publication financière à d autres personnes intéressées. Il est également important de noter que nous restons à votre entière disposition pour tout complément d information ou un conseil personnalisé. Bonne lecture. Roberto Salvi Conseiller financier avec brevet fédéral Nos services du conseil patrimonial - Un conseil personnalisé - Une proximité - Une transparence - Une indépendance - Polyreg - GSCGI - Finma N Nous sommes membre de RS Finance conseils & gestion Chères lectrices, chers lecteurs, vous avez entre les mains le bulletin Financier n 6. Place Pury 3 CP 2943 CH-2001 Neuchâtel T : F : contact@rsfinance.ch w w w.rsfinance.ch VOTRE RÉUSSITE FINANCIÈRE, ENSEMBLE OFFRONS-LUI UN AVENIR REVUE DES MARCHÉS Chers investisseurs, La baisse de notation des Etats-Unis, le psychodrame de la dette grecque et de la dette souveraine de plusieurs économies, le problème de capitalisation des banques et les craintes liées aux perspectives de croissance ont provoqué un ouragan. Les turbulences du marché tient les investisseurs en haleine depuis des mois. Le rôle de valeur refuge qu assumait le franc suisse a connu un revirement. Il y a un mois, le franc suisse s appréciait presque à parité avec l euro et à 0,70 face au dollar américain, avant que la Banque nationale suisse n intervienne énergiquement pour enrayer la hausse. Le 6 septembre, la BNS fixé un taux minimum de 1.20 CHF pour un euro. Un peu de répit! C est ce que nous ont offert ces dernières semaines, après un été particulièrement agité marqué par une brusque dégradation des perspectives économiques. Cependant, la légère amélioration du sentiment a été provoquée par une pause dans les mauvaises surprises. L espoir de voir les dirigeants européens enfin prendre les décisions radicales nécessaires pour dissiper un peu le nuage d incertitudes. Une fois encore, les attentes se sont cristallisées autour du sommet européen du 23 octobre dernier pour réglé le problème de la dette grecque, les problèmes de capitalisation des banques européennes et les défaillances institutionnelles de la zone euro. Le grand plan européen à présenté un plan complet pour répondre aux tensions actuelle, néanmoins, ces annonces me modifient pas structurellement le cadre à long terme et le défis perdurent pour renforcer la confiance des marchés.. ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE Les perspectives de l économie mondiale se sont brutalement détériorées au cours de l été et le scénario ainsi que l espoir en début d année savairent une chimère. Au lieu d une accélération progressive de la croissance, c est plutôt un scénario de croissance molle, qu il a fallu intégrer. Les dirigeants européens ont dû faire face à une la crise des dettes souveraines européennes aux pays d Europe périphérique de la zone euro. Par ailleurs, un manque de confiance certain est palpable face aux capacités de relance puisque les taux d intérêt sont déjà au plus bas et que, sur le plan budgétaire, les finances publiques sont mal en point après les efforts consentis en pour sortir de la crise. L action coordonnée des banques centrales et des gouvernements a permis d éviter le pire scénario envisageable, l effondrement du système financier et de stabiliser la conjoncture. RS FINANCE, C EST AVANT TOUT UN PARTENAIRE FONDÉ SUR LA CONFIANCE 1

2 Au Etats-Unis, en septembre, le flux de nouvelles macro-économiques s est quelque peu stabilisé. Les indices ISM se sont maintenus au-dessus du niveau de 50, signalant une activité en expansion dans les services comme dans l industrie. Le rapport sur l emploi a décrit un marché du travail toujours en croissance, même si le nombre de créations d emplois reste nettement inférieur au niveau nécessaire pour faire reculer le taux de chômage. Les ventes au détail ont également progressé, tandis que les indices de confiance des ménages se stabilisaient certes à un niveau très bas. Si ce constat peut être considéré comme rassurant, il ne permet malheureusement pas de se réjouir excessivement non plus. En effet, la perte de confiance des chefs des entreprises sont de mauvaises augure et les anticipations manufacturières sont à des niveaux bas. En somme, les statistiques des dernières semaines permettent d espérer que l économie de l économie américaine sera faiblement positive. En Zone Euro, il y a des divergences importantes entre les Etats membres. L Italie, 3ème économie de l union monétaire et 1er émetteur de dette européen se retrouve aspiré dans la crise des dettes souveraines. Cet événement a contribué à une significative dégradation du sentiment de confiance. Au point que les indices PMI des secteurs manufacturiers et des services se trouvaient tous deux à des niveaux synonymes de contraction de l activité déjà marqué par un sensible ralentissement de la croissance. Néanmoins, le grand plan européen du 23 octobre n a pas déçu et le conseil Européen à présenté un plan complet pour répondre aux tensions actuelle. Le prochain sommet européen du G 20 cristallisent désormais les attentes, avec l espoir de voir enfin proposé une solution viable et convaincante à la crise financière qui mine le système financier européen. En hors zone euro, l appréciation du franc suisse continue à peser sur la croissance économique Suisse en dépit de fondamentaux sains. La Banque nationale suisse (BNS) a dû également employer les grands moyens, d abord en injectant massivement des liquidités en annonçant un seuil de tolérance du CHF fasse à l Euro. Ses prévisions conjoncturelles dès le second semestre prévoit un ralentissement de la croissance en raison des difficultés des exportations (franc fort) et de la moindre dynamique de la conjoncture mondiale. Toutefois, l économie suisse est en bonne santé cars elle n était pas surendettée avant la crise. Au Royaume-Uni, la croissance, déjà anémique depuis la fin 2010, a encore ralenti durant l été, le chômage remonte et la production industrielle ne progresse plus. Au point que les objectifs de réduction du déficit public risquent d être manqués faute de croissance suffisante. Là encore, la banque centrale doit jouer le rôle d ultime recours. Dans les pays émergents, les indicateurs économiques confirment le relativement de la conjoncture chinoise mais ne s avère pas trop prononcée. Ailleurs, les pays émergents affichent des croissances raisonnables à l exception du Brésil, où la hausse des taux et du real commence à ralentir plus fortement l activité économique. Dans ce contexte, le gouvernement à mis fin à la hausse des taux, mais sans avoir complétement maîtrisé l inflation. Au Japon, le croissance économique a enregistré un léger rebond après le tremblement de terre du mois de mars, mais en-dessous des attentes. Les perspectives de croissance mondiale, combinée à la force persistante du yen, a pesé sur les indices d activité en raison sur dépendance de l économie nippone aux exportations de biens manufacturés. Globalement, les pays émergents resteront encore un socle de soutien à la croissance mondiale et aidant à ce que la crise actuelle ne dérape pas en récession. Évolution économique géographique En conclusion, les récentes révisions à la baisse de la croissance mondiale pour 2011 et 2012 enregistre un fléchissement et s annonce molle et devrait pas aboutir à une à une récession généralisée. Dans ce contexte, les banques centrale occidentales maintiendront les taux au plancher au moins jusqu au milieu de l année prochaine, y compris en Suisse. Données économiques géographiques Source : Bloomberg PIB = Produit intérieur brut YoY = Comparatif sur 1 an 2

3 Évolution économique - Sénario principal Les prochaines semaines seront cruciales pour les marchés, ceux-ci s attendent à une solution globale à la crise de la dette souveraine lors du sommet du G20. Globalement, nous tablons sur un affaiblissement de la croissance des résultats dans le monde et en particulier en Europe au cours du prochain trimestre. Nous continuons de plaider pour la prudence. MARCHÉS Actions : Ces dernières semaines et mois, deux thèmes majeurs ont entraîné les marchés financiers sur les montagnes russes et ont évolué dans un couloir large. Ceux-ci continuent d osciller entre craintes et retour d optimisme caractéristique des phases de retournement. Les anticipations de dénouement politique en Europe suite au sommet du 23 octobre dernier, des données économiques rassurantes aux Etats-Unis ainsi qu un début de saison de résultats meilleur que prévu ont contribués à doper le sentiment de marché. Au troisième trimestre, les entreprises de l indice américain S&P 500 ont affiché une croissance des résultats à deux chiffres en glissement annuel ont progressés d environ 10%. En termes sectoriels, nous avons assisté à une reprise des valeurs à beta élevé. A l inverse, les titres défensifs ont subi quelques prises de profit. Les valeurs technologiques continuent de tirer leur épingle du jeu dans le sillage de bons résultats trimestriels. Les turbulences des marchés financiers eu un impact négatif sur les résultats des banques. Toutefois, en raison d une méthode de valorisation plus favorable de leurs engagements, elles ont réussi à afficher quand même une bonne croissance des résultats par rapport au troisième trimestre de l année dernière. Évolution du marché action européen et vix Obligations : Le mouvement de baisse des taux d intérêt à long terme s est poursuivi au mois de septembre, porté par des anticipations de politiques monétaires encore plus accommodantes (taux directeur resterait à 0% au moins jusqu à mi-2013 au Etats- Unis) de part et d autre de l Atlantique. En Europe, le revirement de la BCE, qui a mis un terme aux anticipations de hausse de taux. La volatilité observée actuellement sur les marchés obligataires mondiaux est liée au risque de contagion à d autres pays de la périphérie de la zone Euro et au secteur bancaire. Les récentes propositions présentées par les dirigeants européens ont offert un certain répit mais ni les perspectives ni les événements politiques ne devraient dissiper les craintes. L incertitude continuera sans doute d alimenter la nervosité des marchés et de peser sur les rendements actuellement très faibles. Les valeurs refuge telles que les emprunts d État américains, allemands et suisses devraient rester prisées tant que les investisseurs redouteront un défaut de la Grèce qui conduirait à un désastre sur les marchés financiers ou à une sévère récession en Europe. Dans un tel contexte même si les rendements obligataires semblent orientés à la hausse à long terme, nous conseillions aux investisseurs prudents de privilégier les obligations à court/moyen terme, rester sélectifs à l égard des émetteurs souverains, envisager des obligations d organisations supranationales et ordre émises par des entreprises multinationales. Les fondamentaux du secteur privé restent sains et justifient une prime de risque plus faible à l heure actuelle et dans une croissance molle il est généralement favorable. Taux gouvernementaux à 10 des pays développés CDS depuis 2009 des souverains PIIGS 3

4 Courbe des taux US en début d année et aujourd hui Immobiliers en Suisse : Même après une longue période haussière, les prix de l immobilier suisse continuent de grimper. La croissance démographique et la rareté de l offre engendrent une situation tendue sur le marché du résidentiel, notamment dans les centres économiques. La phase des taux extrêmement bas qui, selon toute prévision, devrait encore durer, va continuer à soutenir l immobilier durant les trimestres à venir. Néanmoins, le marché évolue maintenant à des niveaux de prix qui laissent entrevoir un potentiel de correction à long terme. L immobilier suisse (-1%) a légèrement sousperformé les actions suisses (+2,5%) ce mois mais conserve une bonne longueur d avance. L annonce début août par la Banque nationale suisse (BNS) d une nouvelle injection de liquidités sur le marché a soutenu les cours. Les rendements sur dividendes de 4% environ sont encore plus attrayants au regard des faibles taux d intérêt actuellement prévus. Dans ce contexte incertain, l immobilier suisse semble un placement pertinent. Toutefois, un retournement de marché s accompagnant, par exemple, d un regain d aversion au risque et d une hausse des taux plus marquée que prévu devient un risque croissant en raison de la valorisation élevée. Évolution des fonds immobilier suisse cotés Matières premières : Le recul des cours des matière ces trois derniers mois été principalement provoqué par les prises de bénéfices et les craintes inflationnistes, mais elles sont ont mieux résisté que les actions grâce à un bon comportement des métaux précieux et à la résistance de l agriculture. Sur la une base de performance protégée contre le risque de change, elles affichent un bilan toujours positif depuis le début de l année. Les métaux industriels et l énergie se stabiliseront dès que l horizon conjoncturel se sera à nouveau éclairci. Toutefois, vu la dégradation des perspectives économiques pour 2012, les cours pourraient encore baisser. A son niveau actuel, nous considérons l or comme un produit de diversification intéressant. En outre, nous maintenons notre engagement sur les placements fortement diversifiés. Performances des matières premières - Indice DCI Hedge funds : La plus part des stratégies ont été malmenées dan un environnement caractérisé par une actualité marco-économique médiocre, des incertitudes politiques et en raison des risques systématique ainsi de la faible liquidité du marché. Les stratégies d investissement Event Driven visent à exploiter les distorsions de prix qui peuvent accompagner faillite, fusion, acquisition ou scission d entreprises. Les gérants de ce type de hedge funds mettent en oeuvre des stratégies conçues pour profiter de chaque phase du cycle économique. Dans le contexte morose actuel, les arbitrages de fusion nous semblent prometteurs. Au vu des hausses de trésorerie des entreprises et de l amélioration des marchés financiers, les sociétés ciblent des acquisitions pour compenser une croissance anémique. En outre, les stratégies liquides modérément exposées au marché, comme les fonds global macro, devraient être en mesure de résister à la tendance baissière. Taux de change : Sur le marché des changes également, la résolution du dernier épisode de la crise grecque a eu un impact sensible. Cette aversion pour l euro avait été particulièrement visible face au franc suisse, dont le rôle de valeur refuge face aux péripéties de l union monétaire a encore été vérifié. Alors que les craintes 4

5 sur la Grèce atteignaient leur paroxysme, la devise helvétique a enregistré un nouveau record contre l euro, se rapprochant de 1.17 EUR/CHF. Une fois les craintes sur la Grèce et la Zone Euro levées, l euro rebondira logiquement pour revenir vers 1.23, son plus haut niveau depuis la fin du mois de mai. Il est vrai que la devise européenne est tiraillée entre deux forces opposées : d un côté, les craintes sur la pérennité même de l Union monétaire qui, en période de tensions, provoquent des mouvements de fuite vers la qualité incarnée par le franc suisse. Contre le dollar, le différentiel de taux favorable continue à soutenir la devise européenne. Alors que la Banque d Angleterre, pour sa part, semble de moins en moins encline à entamer un cycle de normalisation monétaire, l euro c est apprécié contre la livre sterling. CONCLUSION Les signes d une reprise de l économie mondiale ont continué à s estomper au troisième trimestre Dans l ensemble, les données fondamentales en provenance des principaux marchés affichaient un tableau plutôt morose, alors que la crise de la dette en Europe était toujours dans l attente d une solution durable. Les rendements obligataires se sont stabilisés à de bas niveaux. La plus part des banques centrales ont reporté à un avenir lointain un relèvement de leurs taux directeurs; l Europe pourrait même renouer avec une politique monétaire expansionniste. Aux niveaux actuels, nous n entrevoyons cependant pratiquement plus de potentiel pour les obligations. Suite à la vague de désengagements en ces deux derniers mois, les cours des actions intègrent maintenant un grand nombre de ces facteurs négatifs. Aux niveaux actuels, nous entrevoyons la possibilité d une reprise momentanée; la tendance négative à moyen et long terme ne s en trouverait néanmoins pas interrompue. Après l intervention déterminée de la Banque nationale suisse, le potentiel de renchérissement du franc par rapport à l euro et au dollar est, selon nous, limité. Les matières premières industrielles devraient rester sous pression tant qu une reprise économique durable n est pas en vue. Les métaux précieux et tout particulièrement l or nous paraissent en revanche à nouveau attrayants au terme de la dernière correction. Le marché suisse de l immobilier continue à bénéficier de la hausse structurelle de la demande et du bas niveau des taux d intérêt. En tant qu alternative aux obligations, l immobilier peut constituer un intéressant com plément même si certains indicateurs signalent une surévalu- Investissements : é. En outre, les obligations convertibles High Yield Bond Fonds diversifié sont une bonne alternative. STRATÉGIE D INVESTISSEMENT Étant donné les éléments décrits ci-dessus, nous préconisons une stratégie d allocation d actif comme ci-dessous. Classes d actifs Liquidités Obligations gouvernementales Obligations d entreprises Emprunts convertibles Immobilier Actions Matière première Hedge Funds CHF EURO USD OPTIMISEZ VOTRE PATRIMOINE DE FAÇON DURABLE Pondération Souspondération (zone euro) Souspondération Performances de l indice PB du 3ème trimestre 2011 : Benschmark de cinq banques suivant une stratégie similaire. Existe également en Euro et USD. Une question sur votre portefeuille? Souhaitez-vous analyser vos placements? Voulez-vous en savoir plus? Contactez-nous. Responsabilité : Les informations contenues dans ce document ont été obtenus de sources dignes de foi à la date de la publication. Les performances antérieures ne garantissent pas une évolution actuelle ou future. Elles ne n engagent pas la responsabilité d RS Finance conseils & gestion. Absence de conseil : Nous vous recommandons de prendre contact avec nous pour un examen approfondis de votre situation personnelle avant toute décision prise sur la base de ce document. Droit d auteur : Ce document est soumis au droit d auteur et ne peut être reproduit que mentionnant la mention de son auteur du copyright et de l intégralité des informations qu il contient. Une utilisation de ce document à des fins commerciales nécessite une autorisation préalable écrite de RS Finance conseils & gestion. Source : RS Finance conseils & gestion/datastream/reuters Thomson Financial/bloomberg 5

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