BIENVENUE. ConfEPSYLON Prévenir les maladies chroniques. Rôle des activités physiques. Cycle de conférences grand public sur la prévention santé
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- Théophile Morency
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1 ConfEPSYLON 2012 Cycle de conférences grand public sur la prévention santé BIENVENUE Prévenir les maladies chroniques : Rôle des activités physiques Pr. Grégory Ninot Directeur du Laboratoire Epsylon EA 4556 Dynamique des Capacités Humaines et des Conduites de Santé 4 Boulevard Henri IV et Saint-Charles, Montpellier L équipe du laboratoire Epsylon (EA4556) Prévenir les maladies chroniques Enseignants-chercheurs Sociologie 1; 2% STAPS 7; 15% Médecine 4; 9% L activité physique : une nouvelle thérapie? Philosophie 1; 2% Psychologie 33; 72% UM3 72% UM2 2% UM1 22% UJM 4% 172 personnes : 46 enseignants-chercheurs 5 praticiens hospitaliers 66 doctorants (ED60, ED463) 1 ingénieur (contractuel) 44 associés (dont 4 prof. émérites) 7 invités (post-doc, professeurs invités) 3 personnels administratifs Le Figaro, 27 janvier 2012 Le Midi Libre, 27 février 2012 Le vieillissement de la population 2050, 1 personne sur 3 aura plus de 60 ans (INSEE, 2006) L avancée en âge L âge: un facteur de risque de contracter une maladie chronique Évolutions passée et future de l espérance de vie à la naissance des femmes et des hommes entre 2005 et 2050 selon 3 hypothèses (INSEE, 2006) Risques cumulés avec l avancée en âge (OMS, 2006)
2 Les prises en charges des maladies chroniques Progrès de la médecine et de la prévention Définition L Activité Physique - des mouvements du corps produits par les muscles squelettiques - une dépense d énergie qui varie de faible à élevé - une corrélation élevée avec la condition physique (Caspersen, Powell et Christenson, 1985) Organisation Mondiale de la Santé (2006) L Inactivité Physique - activité physique < 1 heure / semaine - dépense d énergie très faible - faible condition physique Facteur de risque majeur de maladie chronique non héréditaire (OMS, 2006) L inactivité physique avec l avancée en âge Temps moyen d activité physique quotidienne (min / jour) Le muscle Déclin de la fonction musculaire avec l âge (Baromètre Santé, 2008) (Paterson et al., 2007, ACSP) Le cerveau Déclin des performances cognitives avec l âge Le poumon Déclin de la fonction respiratoire avec l âge Raisonnement inductif Orientation spatiale Vitesse perceptive Capacités calcul Capacités verbale Mémoire verbale (Schaie, 1994, American Psychologist) (Fletcher et Peto, 1977, Br Med J)
3 La survie Diminution de la survie en fonction du niveau d activité physique Les mécanismes Myers (2002, NEJM) Les effets systémiques de l inactivité physique Un cercle vicieux Composante physiologique Diminution dose activité physique Sédentarisation (dont alimentation inappropriée) Déconditionnement musculaire et retentissement systémique Aggravation des symptômes Contraintes de vie Diminution de la motivation à pratiquer Diminution des capacités physique perçues Anxiété de la pratique Dépression mineure Composante psychologique qualité de vie et durée de vie maladies chroniques Pedersen et Saltin (2006, SJMSS) Préfaut et Ninot (2009) L inactivité physique, un vieux problème Homo Sapiens Sapiens ans Homo Sapiens Sapiens en 2012 N y a-t-il plus rien à faire? km / jour 3-5 km / jour < 1 km / jour si maladie chronique
4 Agir Agir Quelles preuves? Effets sur des marqueurs physiologiques Quelles preuves des bénéfices des activités sur la santé des patients malades chroniques? Densité osseuse Masse grasse Force Réponse à l insuline Sensibilité à l insuline HDL LDL Fréquence cardiaque de repos Pression systolique Pression diastolique VO 2 max Temps d endurance Inflammation Endurance - Force?? - -? - (Paterson et al., 2007, ACSP) Quelles preuves? Quelles preuves? Effets sur des marqueurs psychosociaux activité attentionnelle (Berher, 2009) mémoire (Belleville et al., 2010) anxiété (INSERM, 2008) dépressions mineures (INSERM, 2008) socialisation estime de soi adhésion au traitement survie sans incapacité? Effets sur des marqueurs socio-économiques vulnérabilité coûts directs de santé coûts indirects de santé temps de retour au travail 1 investi = 5 économisés?
5 «Au regard des critères habituellement considérés pour l évaluation de l efficacité des traitements médicamenteux, les études évaluant l efficacité des thérapeutiques non médicamenteuses [règles hygiénodiététiques, traitements psychologiques, thérapeutiques physiques] présentent pour la plupart des insuffisances méthodologiques.» HAS (avril 2011, p.40) Modèles issus de la recherche fondamentale (biologie, neurosciences) Phase I: Expérimentation humaine Mécanismes hypothétiques Création du Centre d Evaluation des Programmes de Prévention Santé (CEPS) à Montpellier Mars 2012 Phase 0: Etude exploratoire Cohorte Etude qualitative Phase III: NPRCT Preuves d efficacité, d efficience, de sécurité et de coûts/efficacité Phase II: NP(R)CT Preuves de faisabilité (de concept) de l intervention non médicamenteuse Besoins en prévention d une maladie chronique Valorisation (incubation, brevet, publication) Communication (information, formation) Applications (réhabilitation, services, TIC santé) Veille (méthodologique, juridique, technologique) Leviers permettant d agir sur le mécanisme Etudes de phase Exemple de protocole d essai randomisé contrôlé (RCT) Intervention expérimentale non médicamenteuse *** NS Intervention standard *** *** Groupe expérimental Groupe contrôle Evidence Based Medicine - Evidence Based Psychology Niveaux de preuve Grade A (forte) Grade B (moyenne) Grade C (faible) 10 0 Début Fin + 6 mois Niveaux de recommandation 1 (fort) 2 (faible) (Kaplan et al., 2008, Chest) Fatigue et activité physique Objectifs d un programme d activité physique adaptée (1) retarder l apparition d une maladie chronique induite par un comportement à risque (2) potentialiser les bénéfices de la médecine conventionnelle survie, efficacité des traitements, période de rémission rechutes et exacerbations (3) limiter les conséquences systémiques dues à une maladie chronique et ses traitements (comorbidités, état de santé, dépendances, qualité de vie, coûts) (Brown et al., 2011, Cancer Epidemiol Biomarkers Prev) Encore faut-il vérifier son efficacité et son ratio coûts/bénéfices?
6 Peu d essais randomisés contrôlés en France/Europe Avis des sociétés savantes Activité physique et fatigue Society for Integrative Oncology (2009) Grade B Deng et al. (2009). Evidence-Based Clinical Practice Guidelines for Integrative Oncology: Complementary Therapies and Botanicals. Journal of the Society for Integrative Oncology, 7(3), American College of Sports Medicine (2010) Grade B (Goedendorp et al., 2009) Schmitz et al. (2010). American College of Sports Medicine roundtable on Exercise Guidelines for Cancer Survivors. Med Sci Sports Exerc, 42(7), Essai clinique randomisé contrôlé à Montpellier Peu d essais randomisés contrôlé en France/Europe Du traitement d une maladie non réversible altérant la fonction respiratoire, la Broncho- Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO), à l accompagnement d une personne devant vivre avec (Goedendorp et al., 2009) Préfaut et Ninot (2009, Masson) Niveau de preuve = Grade B (Evidence Based Medecine/Psychology) Scepticisme sur leur intérêt clinique, et donc, leur financement Effets systémiques de la BPCO Comparaison de programmes de réentraînement à l effort Ré-entraînement expérimental (FC cible seuil ventilatoire) Ré-entraînement standard (50% FC max de réserve) 20 séances de 45 min. 5 séances / semaine 1 mois de programme Fabbri et al. (2008, ERJ) Vallet et al. (1997, ERJ)
7 Coûts / efficacité d un programme d éducation thérapeutique au CHU Efficacité d un réseau de post-réhabilitation : étude pilote Contrôle (n = 16) (95% CI: -891 to -70) 16 séances de 45 min. 4 séances / semaine 1 mois de programme CHU Montpellier Score Impact SGRQ (0-100) Réseau (n = 11) Une diminution du score correspond à une amélioration de la qualité de vie Sortie de réhabilitaton + 1 an Ninot et et al. (2011, RM) Score de qualité de vie (score «impact» du SGRQ) (Moullec et al., 2008) Depuis le début des années 2000 Quelle activité physique pratiquer? Expertise collective INSERM Recommandation 2,5 h d intensité modérée / semaine Recommandation 2,5 h d intensité modérée / semaine ou 1,5 h d intensité vigoureuse / semaine (INSERM, 2008)
8 Solution 1 : La vie d avant Expertise collective ACSM/AHA Recommandation Endurance : 2,5 h / semaine Force : 1h Souplesse : à volonté Equilibre : à volonté Obésité adultes ans Canadiens = 14,9% Américains (USA) = 30,9% Amish = 4% (Nelson et al., 2007, Circulation) Solution 2 : Le culte de l anti-âge La performance pour la performance Solution 3 : L activité physique pour sa santé Les activités physiques pour la santé (ou adaptées) L activité physique pour l activité physique? La persistance dans un programme d activité physique Bien-être 8 Pratiquants poursuivant l activité physique Activité 1 Activité physique 2 + physique Éducation thérapeutique (Desharnais et al., 1993) 50% 40% 6 mois 12 mois Attention à la fatigue causée par la maladie, idée contre-intuitive qu elle impose le repos! (Weinberg et Gould, 1997) Recommandation 1: comprendre ce que l on fait / bénéfice santé Recommandation 2: Préparer un climat pédagogique sécurisant et motivant
9 Bénéfices santé: toutes les activités physiques ne se valent pas Un point clé de l engagement à long terme Bénéfices santé Faible Modérée Intense Extrême Intensité (INSERM, 2008) Recommandation 3: Individualiser la dose (intensité, durée, fréquence) et nature Recommandation 4: Évaluer ses progrès Réalisme des perceptions des capacités physiques Estimation de ses capacités physiques Je me sens en pleine forme, comme à 20 ans 30% 30% 30% 30% 70% Je ne me sens plus capable 10% 40% 40% 20% Adulte «sain» Adulte «sain» Adulte malade chronique Recommandation 5: Tenir compte des sous et sur-estimations des participants Les cinétiques des bénéfices des activités physiques Effets systémiques d une maladie chronique, l exemple de la BPCO Bénéfices psychologique physiologique seuil clinique semaines (Ninot et al., 2006) (Fabbri et al., 2008) Recommandation 6: Indiquer les bénéfices psychologiques dès le début Recommandation 7: Agir sur les effets systémiques et les comorbidités
10 0 L instabilité psychologique du malade chronique Plasticité neuronale Homme (65 ans) Homme souffrant de BPCO (65 ans) (Ninot et al., 2011) Recommandation 8: S adapter à l état du moment Recommandation 9: Trouver de nouvelles manières de faire Ne plus être seul pour faire face à la maladie L activité physique, un moyen de construire des projets de vie (Bourbeau et al., 2009) (Bilard et al., 2000) Recommandation 10: Partager le vécu entre «pairs» (association de patients) Recommandation 11: Élaborer des projets individuels Après le diagnostic et le traitement, quelles priorités de santé? Quelle illustration? (OMS, 2005) Recommandation 12: alliance thérapeutique dont le médecin prend tout son rôle
11 Exemples à Montpellier Programme Résolution 50 Exemples à Montpellier Groupe de parole psychologue (1 / mois) Activités physiques adaptées enseignant en APA (1 / semaine) Marche au seuil ventilatoire enseignant en APA (1 / semaine) Education pour la santé Professionnel de santé (1 / mois) Conclusion Que conclure? Physique Endurance Force Souplesse Equilibre Par semaine: - 2,5 h aérobie - 1h de renforcement musculaire - Souplesse - Equilibre - But personnel / santé - social - Si possible supervisé - Régulier Psychosocial Estime de soi (compétences, efficacité ) Ressources cognitives (attention, mémoire ) Gestion du stress (symptômes anxio-dépressifs) Socialisation (projets de vie, sens / santé, aidant ) Conclusion 2 Causes? Activité physique et alimentation Activité physique et psychologie Homo Sapiens Sapiens ans Homo Sapiens Sapiens en 2011 Homo Sapiens Sapiens ans Homo Sapiens Sapiens en 2011
12 Soins adjuvants Relations circulaires Soins adjuvants «Comprehensive care» ou «accompagnement» Type d intervention complémentaire Merci de votre attention Menu alimentaire Education thérapeutique Geste corporel Télécharger le diaporama Complément alimentaire Méthode psychologique Programme d activité physique ConfEPSYLON LA MÉMOIRE, SES FAILLES ET SES RESSOURCES Mardi 3 avril : Denis Brouillet, Professeur de Psychologie VIEILLISSEMENT ET BIEN-ETRE Mercredi 9 mai : Raphaël Trouillet, Maître de Conférences en Psychologie LES GRANDES QUESTIONS ETHIQUES POSEES PAR LA PREVENTION SANTE Mardi 5 juin : Pascal Nouvel, Professeur de Philosophie ROLE DU STRESS DANS LA PREVENTION DES CANCERS Mardi 2 octobre : Florence Cousson-Gélie, Professeur de Psychologie L APPORT DES METHODES PSYCHOCORPORELLES DANS LA GESTION DU STRESS Mardi 6 novembre : Gisèle Lacroix, Maître de Conférences en Sciences du Sport PREVENTION DU STRESS AU TRAVAIL Mardi 4 décembre : Adalgisa Battistelli, Professeur de Psychologie
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