Monument historique industriel Un comité scientifique constitué pour la sauvegarde de la mémoire du lavoir des Chavannes
|
|
- Lucien Turgeon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Monument historique industriel Un comité scientifique constitué pour la sauvegarde de la mémoire du lavoir des Chavannes Ce jeudi après-midi, l Hôtel de Ville de Montceau a accueilli une réunion de mise en place du comité scientifique qui a été constitué à la demande du Préfet par le biais de la DRAC pour la sauvegarde du lavoir des Chavannes. Il s agit pour ces chercheurs experts et historiens de réfléchir à la sauvegarde de la mémoire de ce site exceptionnel et symbolique pour Montceau qui ne peut être que voué à une déconstruction. Mme Jarrot, maire, a émis le souhait que les personnes qui y ont travaillé, puissent partager leurs souvenirs. Depuis sa fermeture, le lavoir des Chavannes est l un des derniers témoignages de la riche histoire de la mine, entamée en Bourgogne dès le XVIe siècle. «Le lavoir des Chavannes est un patrimoine qui appartient à l histoire et un patrimoine qui appartient aux Montcelliens et Montcelliennes, résumait Mme Jarrot, maire de Montceau, le faire revivre serait l idéal mais je crois qu il ne faut pas rêver.» Marie-Claude Jarrot a réaffirmé son souhait que la ville de Montceau «soit associée à cette préservation de la mémoire qui va être longue et délicate puisqu elle nécessite des fonds. Je demande une réflexion approfondie de ce comité scientifique et je formule le souhait que les personnes qui ont travaillé sur le site puissent être associées à cette préservation technique qui se rapprocherait de la modélisation en 3D comme celle réalisée pour l abbaye de Cluny. La population qui sait qu on ne peut continuer à avoir un tel édifice ne vivra pas mal cette démolition si elles sont associées à sa préservation». La ville de
2 Montceau souhaite «récupérer» des machines afin de conserver ce patrimoine à Montceau. Jocelyne Buchalik, maire-adjointe en charge de la culture, a dans son mot d accueil rappelé l histoire minière à Montceau. «Ce qui nous réunit aujourd hui, poursuit-elle, c est réfléchir et travailler à l avenir du lavoir des Chavannes. Nous savons aujourd hui qu une longue série de projets de reconversion, parfois peu réalistes, ont tous avorté. La ville de Montceau est très attachée au souvenir de ce lavoir qui est l un des derniers témoignages de la riche histoire de la mine et est inscrit à l inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis octobre 2000 en raison de sa représentativité et de sa particularité.» Conscient de l importance de ce patrimoine, l Écomusée du Creusot a commandé une étude sur la sauvegarde du lieu. Le lavoir des Chavannes est inscrit à l inventaire supplémentaire des monuments historiques en octobre 2000 en raison de sa représentativité en particulier des procédés de traitement centralisés du charbon et donc de son gigantisme. 4 millions d euros estimés pour la déconstruction Sébastien Dubois, chargé de mission DREAL Bourgogne, a rappelé que le lavoir était la propriété de l Etat comme d une partie des terrains et notamment du port (la CUCM d une autre partie) suite à la liquidation de Charbonnage de France. Fin de l exploitation en L état n a pas pris aucune décision actuellement à une éventuelle déconstruction, du fait de son coût très élevé estimé. «Le budget national ne permet pas de financer cette déconstruction.» Depuis 2010, l Etat a réalisé des travaux de mise en sécurité (clôtures, entrées bouchées par des parpaings) ont été nécessaires pour la sécurisation et l Etat investit chaque année entre 30 et pour parer aux dégradations. Philippe Sabourault, directeur du Bureau de Recherches de Géologie Minière (BRGM) Centre-Est, bureau maître d ouvrage délégué par l Etat pour la sécurité du site, a resitué le contexte. A la fin de Charbonnage de France, l Etat a souhaité assurer une pérennité des sites après les exploitations minières par la création d un département de prévention et de sécurité minière. Ses missions sont entre autres la mise en sécurité des anciens ouvrages miniers qui présentent des risques (ex effondrement). Une enveloppe annuelle de 7 millions d euros est dégagée par l Etat sur le plan national, ce qui explique les difficultés d engager les travaux de démolition estimés en 2014 à un montant de 4 millions d euros.
3 Autre mission : la surveillance des anciennes mines générant encore de la pollution (ce qui n est pas le cas pour le lavoir des Chavannes). 92 personnes travaillent au BRGM sur l ensemble de l Hexagone. «Nous essayons avec un coût raisonnable et acceptable d assurer la sécurité du site avec le souci d éviter tout accident. Nous n avons pas les moyens de prévenir toutes intrusions (nécessité de gardiens) ou de lutter contre les vols. Si un accident survient, c est que des personnes sont entrées sciemment sur le site en connaissant les risques.» Le lavoir des Chavannes se dégrade d année en année et devient de plus en plus dangereux. Cette situation s empire rapidement «ce qui pose des problèmes de sécurité publique.» Le BRGM n a aucune compétence en matière de sauvegarde de la mémoire industrielle «nous sommes là pour être des facilitateurs mais nous avons tout à apprendre de cette commission scientifique». Cécile Ullmann, conservatrice régionale des monuments historiques et représentant la directrice de la DRAC excusée, a quant à elle rappelé les missions de la DRAC. Le ministère de la culture a souhaité mettre en place un comité scientifique fait d hommes et de femmes de compétences diverses (chercheurs maîtres de conférence universitaires, ministère de la culture, écomusée ). Le lavoir des Chavannes (qui a démarré en 1929) est inscrit au titre des Monuments historiques en 2000 après la fermeture en Il a un statut exceptionnel en Europe : un des derniers sites liés au charbon, un site le plus grand d Europe, et avec une machinerie n ayant pas son équivalent en France (lavage, triage du charbon) le site à préserver la totalité de la chaîne technique et industrielle.
4 Un grand concours d idées a été lancé en 2000 sur une éventuelle reconversion du site, concours qui n a pas abouti du fait de la difficulté à reconvertir le site : problèmes de sécurité. Le Préfet de région a souhaité que se mette en place un comité de pilotage pour définir le devenir du site. L option de la démolition a été émise à la commission nationale des monuments historique. Il n y aura pas de décision de démolition sans plusieurs conditions selon la ministre de la culture : Une étude doit être réalisée pour la sauvegarde du lavoir (sauvegarde par l étude) et le maintien de l inscription au titre des monuments historiques jusqu à la démolition, ce qui permettra de protéger ce site. La DRAC a pour mission de réaliser cette étude pour la sauvegarde (non physique) avec la création d un comité scientifique qui puisse imaginer comment conserver la mémoire. Cette étude serait réalisée dans le courant de l année 2016 avec une restitution des résultats en fin d année. La Drac a également un rôle de financeur, une première enveloppe a été accordée sur les pour la constitution d un fonds documentaire par cette commission composée d experts et d historiens. Une opération de médiation sera menée envers les populations locales. Un inventaire a été réalisé en 1999 à la demande de la Communauté Urbaine. Laissé à l abandon depuis sa fermeture il y a quinze ans, le bâtiment fascine. Le colosse fait trente-cinq mètres de haut et occupe plus d un hectare. Après une longue série de projets de reconversion avortés, l immense usine, vestige de l histoire du charbon dans la région, devrait être voué à la déconstruction. À sa mise en service en 1927, l usine de tri du charbon est la plus grande et la plus moderne d Europe. Ses huit lignes de tri tournent 24 heures sur 24 et permettent de calibrer tonnes de brut par heure. Après la séparation entre la houille et les déchets de schiste, le charbon est versé directement dans des péniches ou des wagons garés sous le bâtiment, avant d être envoyé dans toute la France. La dernière ligne de nettoyage et de triage du charbon s arrête le 26 novembre Les gisements de houille se sont taris.
5
L archéologie préventive
L archéologie préventive Le code du patrimoine (livre V) : définit le patrimoine archéologique et l archéologie préventive, répartit les compétences entre les différents acteurs, décrit la mise en œuvre
Plus en détailMonsieur le Préfet, j ai porté une grande attention sur le chapitre relatif à la sauvegarde de l emploi et au développement économique.
Question de M. Michel PETIT, Conseiller Général du canton de Beaumetz-les-Loges, Président du groupe Union@ction.62, à M. Denis ROBIN, Préfet du Pas-de-Calais, sur les mesures en matière de soutien à l
Plus en détailParc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme. Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon
Parc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon Sommaire 1. Retour sur le processus de création du programme 2. Présentation
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détail3 e rendez-vous de l Eco-exemplarité. 1 er rendez-vous de l archivage exemplaire? 10 juin 2015 Saint-Saulge
3 e rendez-vous de l Eco-exemplarité 1 er rendez-vous de l archivage exemplaire? 10 juin 2015 Saint-Saulge Conserver les archives : pourquoi faire? La conservation des archives répond à un triple intérêt
Plus en détailPlan d accès. 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères
Plan d accès 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères Archives : Le terme s emploie toujours au pluriel pour désigner un ensemble de documents, produits ou reçus par toute personne physique ou
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détail01-APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU 10 JANVIER 2014 02-DECISIONS PRISES PAR DELEGATION DECLARATIONS D INTENTION D ALIENER
EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS SÉANCE DU 21 Février 2014 Nombre de conseillers en exercice... : 15 Nombre de présents... : 12 Vote par procuration... : 2 Nombre de votants... : 14 Date de convocation
Plus en détailLEGS > > > DONATIONS > > > ASSURANCE-VIE. Léguer, c est voir autrement, voir plus loin
LEGS > > > DONATIONS > > > ASSURANCE-VIE Léguer, c est voir autrement, voir plus loin Une empreinte dans le monde de demain Prendre le temps de désigner un héritier dont on partage les valeurs, dont on
Plus en détailMarseille/Le Corbusier : Quand l architecture se livre 3ème édition
Marseille/Le Corbusier : Quand l architecture se livre 3ème édition Jeudi 9 octobre en journée A l école primaire du square Michelet 13009 Marseille, ateliers et rencontre animés par l auteur de l ouvrage
Plus en détailJeune entreprise ou porteur de projet, vous recherchez l emplacement idéal
w w w. a l t i p o l i s. f r > Le Briançonnais Territoire accueillant au cœur des Alpes du sud Jeune entreprise ou porteur de projet, vous recherchez l emplacement idéal pour implanter votre activité.
Plus en détailAVIS. Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret n 2006-1267 du 16 octobre 2006 instituant un Conseil de l'immobilier de l'état ;
2013-29 Séance du 13 novembre 2013 AVIS Sur le suivi et la mise en œuvre du schéma pluriannuel de stratégie immobilière de l Agence de l environnement et de la maîtrise de l énergie (ADEME) Vu le décret
Plus en détailNos références. Mise à jour : Mars 2015
Nos références. Mise à jour : Mars 2015 Oriane Rebillard - Bureau d études 43 rue Saint-Pierre de Vaise 69009 LYON 06 24 48 13 34 contact@bureau-rebillard.fr SIRET : 538 641 630 00024 Patrimoine & Architecture
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailFICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES
LES AUTORISATIONS DE TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS QUESTIONS / RÉPONSES FICHE PRATIQUE 05 TRAVAUX EN ESPACES PROTÉGÉS COMMENT PRÉPARER LES DEMANDES? QUELLES SONT LES RÈGLES A RESPECTER? MINISTÈRE DE LA CULTURE
Plus en détailLe programme. @Reseau3D #Colloque3D
Le programme @Reseau3D #Colloque3D 1 Les parcours thématiques A Les données et leurs utilisations avancées Partant d une base existante, les données se construisent ou s obtiennent auprès de ceux qui les
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailMesdames et Messieurs,
Mesdames et Messieurs, Afin de rendre votre séjour à plus agréable et convivial, nous organisons pour vous un weekend découverte de la Vienne. En collaboration avec l Office de Tourisme, nous avons sélectionné
Plus en détailUn gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé
Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance
Plus en détailL émission de garanties environnementales par un Garant. CCI Champagne Ardenne Mardi 18 février 2014
L émission de garanties environnementales par un Garant CCI Champagne Ardenne Mardi 18 février 2014 Objectifs Qui sont les garants? Quelle différence entre un acte émis par une banque ou un assureur? Appétit
Plus en détailAménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse
Aménagements de l avant-gare de Paris Montparnasse préalables à l arrivée des lignes à grande vitesse Bretagne Pays de la Loire et Sud Europe Atlantique Pièce H Avis des Architectes des Bâtiments de France
Plus en détailPROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION. Monument Historique. Place de la République 72000 LE MANS
PROJET DE RESTAURATION DE L ANCIEN COUVENT DE LA VISITATION Monument Historique Place de la République 72000 LE MANS 01 PRÉSENTATION DE LA VILLE Le Mans Paris Rennes Nantes Le Mans À seulement 50 minutes
Plus en détailPERSPECTIVES DU SECTEUR MINIER A MOYEN ET LONG TERME
PERSPECTIVES DU SECTEUR MINIER A MOYEN ET LONG TERME PLAN N DE LA PRESENTATION N I. APERCU SUR LE SECTEUR MINIER MALIEN II. III. IV. SITUATION DE LA RECHERCHE ET DE L EXPLOITATION MINIERE PERSPECTIVES
Plus en détailDossier de Presse SYLOB
Dossier de Presse SYLOB 1 Table des matières 1 - SYLOB en Bref 3 2 L équipe dirigeante 5 3 Stratégie et positionnement 6 4 Une gamme de solutions ERP pour les PME industrielles 8 5 Les ERP SYLOB en mode
Plus en détailSynthèse de la CNCH du 19 juin 2008
ACTIONS EN MATIÈRE D'INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION Synthèse de la CNCH du 19 juin 2008 LE CONTEXTE La Commission nationale Culture-Handicap La
Plus en détailCréer ou reprendre dans la restauration. Valérie HUTTEAU CCI DE NÎMES
Créer ou reprendre dans la restauration Valérie HUTTEAU CCI DE NÎMES Partie 1 : Les chiffres clés de la restauration Une approche administrative avec les codes NAF 56 Restauration 5610A Restauration traditionnelle
Plus en détailLe Château de Kerjean est classé monument historique
restauration du château 7/06/06 18:13 Page 1 restauration du château 7/06/06 18:14 Page 2 Le Château de Kerjean est classé monument historique Ce classement a été effectué en 1911, lorsque le château a
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailConseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail
Conseils sur la conduite à tenir en cas de suicide d un salarié sur le lieu de travail Document réalisé avec l aide de Philippe BIELEC, Ingénieur Conseil à la Direction des risques professionnels de la
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailLe conseil d enfants La démocratie représentative à l école
Le conseil d enfants La démocratie représentative à l école Le conseil d école des enfants est un moment privilégié durant lequel les enfants deviennent acteurs au sein de leur école, en faisant des propositions
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailLA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET
LA BASE DE DONNÉES PATRIMOINE IMMOBILIER, MOBILIER ET IMMATÉRIEL DU QUÉBEC ET LE RÉPERTOIRE DU PATRIMOINE CULTUREL DU QUÉBEC. ÉTAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES POUR L INVENTAIRE DU PATRIMOINE IMMATÉRIEL.
Plus en détailLES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE
LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE La mise en place d une politique d archivage offre des solutions pour assurer une gestion pérenne des archives. Ce guide de procédure doit : - servir de base
Plus en détailINSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14
INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène
Plus en détailQUELLES DÉPENSES PEUT-ON FAIRE AVEC
, 18 boulevard Carnot 45150 JARGEAU Tel : 02 38 86 05 71 - Fax : 02 38 86 05 71 - Courriel : ad45@occe.coop Site Internet : http://www.occe.coop/ad45 QUELLES DÉPENSES PEUT-ON FAIRE AVEC L ARGENT DE LA
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE LA VILLE DE SAINT-CLOUD S OPPOSE A LA CONSTRUCTION SUR L HIPPODROME DE SAINT-CLOUD
DOSSIER DE PRESSE LA VILLE DE SAINT-CLOUD S OPPOSE A LA CONSTRUCTION SUR L HIPPODROME DE SAINT-CLOUD Conférence de presse Samedi 14 mars 2015 Contact presse : Alexia Dana / 01 47 71 54 96 / 06 18 04 02
Plus en détailDécret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France
Décret 2002-628 du 25 Avril 2002 modifié pris pour l application de la loi 2002-5 du 4 Janvier 2002 relative aux musées de France TITRE I er : HAUT CONSEIL DES MUSEES DE FRANCE Art. 1 er. - Le Haut Conseil
Plus en détailLe logiciel de gestion intégré conçu pour les Promoteurs Immobilier
Le logiciel de gestion intégré conçu pour les Promoteurs Immobilier Solution globale et intégrée qui couvre l'ensemble des principaux aspects de la gestion des projets immobiliers. Depuis l'étude d'une
Plus en détailDiscours d ouverture de Michèle Bourque présidente et première dirigeante Société d assurance-dépôts du Canada Ottawa mercredi 6 février 2013
1 Première conférence du Comité régional de l AIAD (Association internationale des assureurs-dépôts) pour l Amérique du Nord sur les règlements transfrontières et les institutions-relais Discours d ouverture
Plus en détailDossier de presse. La non-assurance routière en France en 2013
Dossier de presse La non-assurance routière en France en 2013 Dossier de presse Sommaire Le communiqué de presse Page 3 Quelle ampleur et quelle évolution? Page 5 Quel est le profil des non-assurés? Page
Plus en détailÉtude publique sur Montréal, métropole culturelle
Étude publique sur Montréal, métropole culturelle Présentation de Jean-Robert Choquet Directeur Direction du développement culturel Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et
Plus en détailEffectifs : 3 personnes
DÉLÉGATION RÉGIONALE AU COMMERCE ET À L'ARTISANAT Déléguée : Mme Dominique DURAND (depuis janvier 2007) Madame Joselyne FORTEA SANZ (jusqu en décembre 2006) 39 boulevard de la Trémouille 21 000 DIJON Tél.
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Élaboration du volet «éolien» du schéma régional du climat, de l air et de l énergie DREAL Nord Pas de Calais Service ECLAT CCTP volet éolien du SRCAE page 1
Plus en détailLa Médiation du crédit aux entreprises DOSSIER DE PRESSE. Juin 2014
La Médiation du crédit aux entreprises DOSSIER DE PRESSE Juin 2014 Sommaire 1. La mission de la Médiation du crédit aux entreprises 3 2. Comment saisir le Médiateur du crédit?.4 3. Les Tiers de confiance
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailMonsieur Manuel Valls Premier ministre
Cour des comptes Le Premier président Le à Monsieur Manuel Valls Premier ministre Réf. : no 68814 Objet : traitement du dossier des déchets de Stocamine, filiale à 100 % des Mines de potasse d'alsace (MDPA)
Plus en détailKatja Ingman. Être pro en anglais. Sous la direction de Marie Berchoud. Groupe Eyrolles, 2009 ISBN : 978-2-212-54352-0
Katja Ingman Être pro en anglais Sous la direction de Marie Berchoud, 2009 ISBN : 978-2-212-54352-0 Fiche 1 Grow Your English : autoévaluation et plan d action Passez à l action : définissez votre objectif,
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS INFORMATIQUES 2015
CATALOGUE DES FORMATIONS INFORMATIQUES 2015 INFORMATISATION ET ASSISTANCE CONTACTS : 2015 hotline@asadac73.com ou 04.79.68.53.20 LE SERVICE INFORMATISATION ET ASSISTANCE LE SERVICE INFORMATISATION ET ASSISTANCE
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailUsine frigorifique de la Société des Entrepôts Frigorifiques Lyonnais, actuellement société Socora
Usine frigorifique de la Société des Entrepôts Frigorifiques Lyonnais, actuellement société Socora 24 rue Seguin Confluent Lyon 2e Dossier IA69000067 réalisé en 2001 Copyrights Copyrights Auteurs Région
Plus en détailProcès-Verbal N 144 du 27/09/2013
Procès-Verbal N 144 du 27/09/2013 Acceptation du compte rendu N 143 du 22 juillet 2013 QUESTIONS DIRECTION Consultation du CE sur le plan d action du contrat de génération Mme Hareng nous explique que
Plus en détailUne école d ingénieur de référence, sous tutelle du Ministère chargé de l Écologie et du Développement durable.
Une école d ingénieur de référence, sous tutelle du Ministère chargé de l Écologie et du Développement durable. Une école qui forme des ingénieurs à la complexité de l acte d aménager les territoires dans
Plus en détailCours Systèmes d Information Géographique
Cours Systèmes d Information Géographique Durée : 55 h Intervenants : Pr. Amadou Tahirou Diaw 1-3, Dr Gualbert S. Dorégo 2-3, Dr Alla Manga 3, Ing. Aminata Diokhané 4, Dr El hadji Balla Dièye 5-3, Dr Cheikh
Plus en détailGUIDE DES BONNES PRATIQUES D ARCHIVAGE A L USAGE DES COMPOSANTES
SECRETARIAT GENERAL BUREAU DES ARCHIVES GUIDE DES BONNES PRATIQUES D ARCHIVAGE A L USAGE DES COMPOSANTES Université Paris Diderot-Paris 7 Responsable du Bureau des archives : Charlotte Maday (charlotte.maday@univ-paris-diderot.fr,
Plus en détailVOTRE TRANQUILLITÉ EST NOTRE PRIORITÉ
SOMMAIRE 1 - Présentation de la société 2 - Analyse des nouveaux produits 2.1 AC&S240 2.2 AC&S250 2.3 AC&S260 3 - Analyse du besoin 4 - Analyse de la concurrence 5 - Principales caractéristiques 5.1 AC&S240
Plus en détailMUSEE DEPARTEMENTAL DES ANTIQUITES MUSEUM MUNICIPAL D HISTOIRE NATURELLE
MUSEE DEPARTEMENTAL DES ANTIQUITES MUSEUM MUNICIPAL D HISTOIRE NATURELLE CONVENTION D UTILISATION COMMUNE DES INSTALLATIONS DETECTION-INCENDIE et INTRUSION 2 MUSEE DEPARTEMENTAL DES ANTIQUITES MUSEUM MUNICIPAL
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailEspace Babylone. Au cœur de Paris, un lieu pour. Formation Comité de direction Conseil Assemblée Conférence Réunion. 91, Rue de Sèvres, 75006 Paris
Espace Babylone Au cœur de Paris, un lieu pour Formation Comité de direction Conseil Assemblée Conférence Réunion 91, Rue de Sèvres, 75006 Paris Réservations Les demandes de disponibilité de salles peuvent
Plus en détailDOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE
DOSSIER PREALABLE AU LANCEMENT D UNE CAMPAGNE DE MOBILISATION DU MECENAT POPULAIRE Nom du délégué Fondation du Patrimoine local :.. PIECES A FOURNIR IMPERATIVEMENT POUR L INSTRUCTION DE VOTRE DOSSIER :
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailRegistre Santé et Sécurité au Travail Ecole
Registre Santé et Sécurité au Travail Tel : Mail : Directeur Circonscription Cachet de l école Assistant de prévention de circonscription Le guide pour la mise en place du registre santé et sécurité au
Plus en détailLes murs ont des voix PROJET NUMERIQUE D IMMERSION DANS LE PATRIMOINE INDUSTRIEL PAR LA LITTERATURE
Les murs ont des voix PROJET NUMERIQUE D IMMERSION DANS LE PATRIMOINE INDUSTRIEL PAR LA LITTERATURE Un endroit unique à faire parler Notre projet est né d une frustration : l impossibilité de pénétrer
Plus en détailPlan de communication SIG 2009 30 septembre et 1 er octobre. L intégration de la 3D dans l alerte des populations en cas de risques
Plan de communication SIG 2009 30 septembre et 1 er octobre L intégration de la 3D dans l alerte des populations en cas de risques Session Prévention / Sécurité Philippe JAUNEAU Courriel : contact@cii-industrielle.fr
Plus en détailCONTRAT DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DES FOURRIERES
CONTRAT DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DES FOURRIERES Entre les soussignés : - La commune de CLERMONT, Oise représentée par son Maire, Monsieur Lionel OLLIVIER, autorisé par délibération du conseil municipal
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR L admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de l organisation arrêtée par la collectivité
Plus en détailGESTION DES RISQUES GUIDE DE PRÉVENTION DES MÉTIERS DE LA SÉCURITÉ.
GESTION DES RISQUES GUIDE DE PRÉVENTION DES MÉTIERS DE LA SÉCURITÉ. Éditorial Prévoir rend le pas assuré Hazrat Ali Une entreprise de sécurité privée est exposée, au quotidien, à de nombreux risques dans
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailMémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l
Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l agglomération de Montréal Novembre 2014 Mémoire sur le
Plus en détailLa Commission. canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence nationale sur l assurance au Canada. suretenucleaire.gc.
La Commission Terry Jamieson Vice-président, Direction générale du soutien technique Commission canadienne de sûreté nucléaire Le 23 septembre 2014 canadienne de sûreté nucléaire Présentation à la Conférence
Plus en détailConvocation du Conseil Municipal adressée le 9 SEPTEMBRE 2011. pour la réunion du MARDI 20 SEPTEMBRE 2011 à 20 H 30
1 Convocation du Conseil Municipal adressée le 9 SEPTEMBRE 2011 pour la réunion du MARDI 20 SEPTEMBRE 2011 à 20 H 30 ORDRE DU JOUR : - Taxe sur l électricité - Transfert à la Communauté de Commune de la
Plus en détail1- LES CHUTES DE PERSONNES...
7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailObligations d information environnementale des entreprises après le Grenelle II
Obligations d information environnementale des entreprises après le Grenelle II Laurence Lanoy Mathieu Farge 28 mars 2011 Intersol Introduction Les obligations d information environnementale sont imposées
Plus en détailPRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE
PRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS «DES AIDES À DOMICILE 4 ÉTAPES POUR VOUS GUIDER Le Département des Risques Professionnels de la Carsat Nord-Est propose cette brochure aux structures d aide à domicile
Plus en détailLe Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP)
Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Comment le mettre en œuvre et vérifier qu il restera opérationnel? Bruno KEROUANTON RSSI Clear Channel France - CISSP 16 juin 2004 - Paris Introduction, définitions
Plus en détailVilla Cavrois 3D, application de visite sur tablette tactile mobile
Dossier de presse du 12 juin 2015 Villa Cavrois 3D, application de visite sur tablette tactile mobile Une coproduction CMN-AGP Conçue par Robert Mallet-Stevens, terminée en 1932, la villa Cavrois est considérée
Plus en détailHôtel de Caumont. Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT
Hôtel de Caumont Centre d Art - Aix-en-Provence DOSSIER DE MÉCENAT Ouverture printemps 2015 Un nouveau centre d art au cœur du patrimoine aixois Aix-en-Provence, capitale culturelle de la Provence au rayonnement
Plus en détailLA TENUE DES ARCHIVES
ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU BAS-RHIN Mise à jour : Avril 2013 GUIDE PRATIQUE POUR LA TENUE DES ARCHIVES RAPPEL DES NOTIONS ET PRINCIPES Tous les documents produits par un service constituent, quelle que
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité
Plus en détail1. Instruction des demandes de permis de construire et des demandes de dérogation aux règles constructives
ORDONNANCE N 2013-889 du 3 octobre 2013 relative au développement de la construction de logement FICHE N 6 : Instruction et motivation des demandes de dérogation 1. Instruction des demandes de permis de
Plus en détail»CHARGEURS LATÉRAUX À FORTE CAPACITÉ DE LEVAGE«
»CHARGEURS LATÉRAUX À FORTE CAPACITÉ DE LEVAGE« L ENTREPRISE Une technologie moderne, performante et fiable si HAMMAR est écrit sur votre chargeur latéral, vous êtes tranquille. Année après année. HAMMAR
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailMAIRIE de LACANAU REPUBLIQUE FRANÇAISE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA COMMUNE DE LACANAU
MAIRIE de LACANAU REPUBLIQUE FRANÇAISE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA COMMUNE DE LACANAU Département de la Gironde Arrondissement de Lesparre Canton de Castelnau de Médoc
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailviser une garantie de performance énergétique dans le neuf et l existant
Une démarche en construction à la Ville de Nîmes : viser une garantie de performance énergétique dans le neuf et l existant Colloque 2014 de la Fondation Bâtiment Energie «Fiabilité et massification des
Plus en détailCENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE
REPUBLIQUE FRANÇAISE CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de Cagnes-sur-Mer LOGEMENT-FOYER «LA FRATERNELLE» Livret d accueil Vous avez choisi le Logement Foyer «La Fraternelle». Nous vous remercions
Plus en détailCOMPTE RENDU : Programme Leader 2007-2013 -Bilan et évaluation
COMPTE RENDU : Programme Leader 2007-2013 -Bilan et évaluation Lieu : Salle des fêtes de Rosnay Date : le 27 juin 2013 Présents M. DARNAULT (Commune de Rivarennes) Mme GUILLEMOT (Ecomusée) M. BURDIN (CPIE)
Plus en détailFonds de soutien territorial à l'économie du livre en Alsace page 1/6
Fonds de soutien territorial à l'économie du livre en Alsace Protocole d'accord État-Région sur le soutien et le développement de la chaîne du livre en Alsace Entre l État, représenté par Monsieur Stéphane
Plus en détail1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?
FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,
Plus en détailIntroduction. 1. Les engagements de McGill
Introduction L Université McGill remercie le Conseil municipal et l Office de consultation publique de Montréal de tenir des consultations publiques sur le projet du Plan de protection et de mise en valeur
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailPédagogie : A Lyon 1 : DESS en informatique documentaire (avec Enssib), DEUST doc, IUP DIST, DEA SIC puis à Lyon 3
Présentation des offres de formation de professionnels de l IST Adaptation de l offre aux mutations technologiques et structurelles L intervenante Sylvie Lainé-Cruzel, PR à Lyon 3, actuellement responsable
Plus en détail