Une simulation de réseau neuronal capable d apprendre et de reproduire certains éléments psychopathologiques

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1 Une simulation de réseau neuronal capable d apprendre et de reproduire certains éléments psychopathologiques Par Hamid Naveripoor 18 octobre Introduction Depuis la description du neurone formel par Mc Culloch et Pitts (Mc Culloch et al, 1943) il y eut d énormes progrès dans la conception et utilisation des réseaux neuronaux artificiels. La question principale des spécialistes de l intelligence artificielle reste pourtant ouverte : de quelle façon concevoir une structure artificielle capable d apprendre et d être spontanée. Le modèle le plus parfait pourrait être le cerveau humain. Le défi des psychiatres est de découvrir la perturbation du fonctionnement du cerveau à l origine de la schizophrénie. Cette maladie est caractérisée principalement par des hallucinations, des délires et des troubles du cours de la pensée. A notre avis une hypothèse peut répondre à ces questions : chaque unité conceptuelle dans la sphère cognitive, correspond à une unité neuronale dans le cerveau. Afin d illustrer la puissance explicative de cette hypothèse nous avons créé un réseau neuronal artificiel avec les caractères suivants : - capacité d apprentissage - spontanéité - possibilité qu une perturbation unique entraîne certains signes de la schizophrénie (hallucinations, délires et écholalies.) Pour utiliser cette hypothèse afin de concevoir un réseau neuronal artificiel nous avons fait le processus inverse, à savoir créer des neurones correspondant à toutes les unités conceptuelles, théoriquement maniables par le réseau. Dans ce réseau il y a des neurones correspondant aux lettres d alphabet, aux mots reconnaissables par le réseau et aux combinaisons de mots. Ces dernières sont dans la limites de celles correspondant aux concepts théoriquement maniables par le réseau. 2. Hypothèses sous-jacentes à la conception du réseau Notre hypothèse de travail est que chaque unité conceptuelle dans la sphère cognitive correspond à une unité neuronale dans le cerveau.

2 Ici le concept est pris dans son sens le plus large et par unité conceptuelle nous entendons les schémas perceptifs, les bribes d information (sèmes), les signifiés et les concepts correspondant aux phrases (les faits). Ou plutôt exprimé par les catégories, les couleurs Pour décrire cette hypothèse nous nous contentons de donner les exemples suivants : Prenons des données perceptives brutes que sont des points alignés dans une ligne droite. Cela active le concept «ligne» dans l esprit. Il y a sûrement un neurone qui est activé, cela est le neurone correspondant au concept «ligne». Pour concevoir un réseau neuronal selon cette hypothèse il faut définir autant de neurones que les concepts, théoriquement maniables par le réseau. Un exemple peut illustrer le processus proposé. Pour faire un réseau capable d apprendre la classification de 5 items (chaise, table, chat, chien, cheval) en 2 catégories (chose, animal) il est possible de définir 10 neurones correspondant à 10 possibilités d «item-catégorie». Dans un réseau fait de 10 neurones correspondant à ces 10 possibilités, le défi est de faire en sorte que l entrée d un item-catégorie rende possible l activité de son neurone correspondant et que chaque neurone actif puisse afficher à la sortie l association de son item et de sa catégorie. Il existera par exemple, des neurones correspondant aux concepts «chaisechose» (la chaise est une chose) et «chaise-animal» (la chaise est un animal). Aucun de ces neurones n est activable au départ, donc aucun de ces concepts n est appris. Après l entrée des deux mots chaise et chose, le neurone correspondant au concept «chaise-chose» sera activable et le réseau pourra désormais afficher à la sortie «chaise-chose» chaque fois que le mot chaise est entré. Nous pouvons dire que le réseau a appris que la chaise est une chose. 3. Possibilités d apprentissage du réseau L entrée et la sortie de ce réseau sont en forme de conversation par phrases simplifiées. Les phrases peuvent être affirmatives ou interrogatives (suivies par point ou point d interrogation.) Dans le premier cas le réseau apprend la phrase et dans le deuxième cas il répond à la question. Ce réseau peut avoir une spontanéité : poser des questions sur les choses qu il n a pas encore apprises ou répéter des phrases qu il a apprises. La spontanéité sera en fonction des paramètre d activation et d inactivation d un groupe de neurones au sein du réseau. 2

3 Des perturbations dans les paramètres d activation et d inactivation des neurones du réseau peuvent entraîner des réponses assimilables aux symptômes psychiatriques. En fonction de la perturbation et de l endroit affecté nous pouvons avoir : des délires, des hallucinations, des écholalies, des obsessions, des réponses logorrhéiques ou une insuffisance/absence de communication. 4. Un exemple de conversation avec le réseau C est un exemple de conversation avec ce réseau neuronal. Le réseau ne sait rien au départ mais il apprend les concepts au fur et à mesure de la conversation. Les phrases dites au réseau sont écrites ici en italique et les réponses du réseau en gras. Toutes les phrases ne sont pas suivies de réponse. Moi homme. Toi ordinateur. Homme sur terre. Ordinateur sur terre. Moi qui? Toi homme. Toi quoi? Moi ordinateur. Moi où? Toi sur terre. Soleil étoile. Etoile lumineux. Etoile dans ciel. Dieu bon. Dieu gentil. Dieu dans ciel. Etoile comment? Etoile lumineux. Dieu comment? Dieu bon. Dieu gentil. 3

4 5. Description du réseau 5.1. Les couches de neurones Ce réseau est composé de sept couches de neurones. Pour faciliter la description et démontrer l hypothèse principale de cet article nous donnons à chaque neurone un nom : une lettre, un mot ou un combinaison de mots. NOTE. Les noms qu on donne ici aux neurones ne sont pas inscrits dans le programme. Le programme n est qu une simulation des unités neuronales- des entités qui reçoivent de la stimulation et si activés stimulent les autres entités. La couche 1 a autant de neurones que les caractères que l on veut utiliser. Nous pouvons les appeler n(a), n(b), n(c) n(z) et n(é), n(è), n(ù), et n(.) et n(?). Dans la couche 2 il y a autant de neurones que les mots par lesquels nous voulons communiquer avec le réseau. A chaque neurone dans cette couche nous donnons un nom, ce nom sera un des mots que nous voulons utiliser. Par exemple nous avons les neurones n(moi), n(toi), n(soleil), n(chaise), n(chose) Chacune des couches 3, 4 et 5 a autant de neurones que toutes les combinaisons faites selon une règle simple (voir en bas) avec les mots de la couche 2. Nous pouvons nommer ces neurones n(a,b,c,d,e). a est un nom ; b est soit «pas» soit absence de mot ; c est une proposition ou absence de mot ; d est un nom, un adjectif ou un verbe ; et e est le numéro de la couche. Par exemple nous avons dans la couche 3 les neurone n(moi, 0, 0, homme,3), n(moi, pas, 0, homme,3), n(moi, 0, sur, terre,3) et n(moi, pas, sur, terre,3) correspondant aux concepts «je suis un homme», «je ne suis pas un homme», «je suis sur la terre» et «je ne suis pas sur la terre» respectivement. Les couches 6 et 7 ressemblent respectivement aux couches 2 et Les relations synaptiques Les neurones de la couche 1 envoient des axones vers les neurones de la couche 2 dans le nom desquels ils figurent. Par exemple le neurone n(m) envoie des axones aux neurones n(moi), n(ami), n(méchant) etc. Le neurone n(moi) reçoit des axones des neurones n(m), n(o) et n(i). Les neurones de la couche 2 envoient des axones aux neurones des couches 3, 4 et 5 dans la combinaison desquels ils figurent. Par exemple le neurone n(moi) envoie des axones aux neurones n(moi, 0, 0, homme, 3), n(moi, 0, 0, homme, 4) et n(moi, 0, 4

5 0, homme, 5) aussi aux neurones n(moi, 0, 0, animal, 3), n(moi, 0, 0, animal, 4) et n(moi, 0, 0, animal, 5) etc. Le neurone n(moi, 0, 0, animal, 3) reçoit des axones venant des neurones n(moi) et n(animal). Le neurone n(moi, pas, 0, animal, 3) reçoit des axones venant des neurones n(moi), n(pas) et n(animal). Les neurones de la couche 3 envoient des axones à leurs semblables dans la couche 4 et 5. Le neurone n(moi, 0, 0, animal, 3) par exemple envoie des axones aux neurones n(moi, 0, 0, animal, 4) et n(moi, 0, 0, animal, 5). Les neurones de la couche 4 envoient des axones à leurs semblables dans la couche 5. Les neurones de la couche 5 envoient des axones aux neurones de la couche 6 qui ont un nom faisant partie de leurs noms. Le neurone n(moi, 0, 0, animal, 3) par exemple envoie des axones aux neurones n(moi) et n(animal). Les neurones de la couche 6 envoient des axones aux neurones de la couche 7 qui ont un nom faisant partie de leurs noms. Avec deux exceptions : le neurone n(moi) envoient des synapses non pas aux neurones n(m), n(o) et n(i) ; mais aux neurones n(t), n(o) et n(i). Le neurone n(toi) par contre envoie des synapses aux neurones n(m), n(o) et n(i) Les poids synaptiques Les poids synaptiques sont constants sauf dans les cas suivants : Quand l ordre de la lettre à l entrée est égal à celui de la lettre dans le mot. Dans ce cas le poids synaptique entre le neurone correspondant à la lettre dans la couche 1 et le neurone correspondant au mot dans la couche 2 se multiplie par deux (par exemple si la lettre o est la deuxième lettre à l entrée le poids synaptique entre n(o) et n(moi) se multiplie par deux). L autre cas est quand l ordre du mot à l entrée est égal à celui du mot dans le concept (la combinaison des mots). Dans ce cas les poids synaptiques entre le neurone correspondant au mot dans la couche 2 et le neurone correspondant à la phrase dans les couches 3 et 4 se multiplie par deux (par exemple si le mot moi est le premier mot entré, le poids synaptique entre n(moi) et n(moi,0,0,homme,3) se multiplie par deux). Le dernier cas est la phrase interrogative. Le caractère «?» à la fin de la phrase multiplie par deux les poids des synapses qui se terminent par des neurones de la couche 5. 5

6 5.4. Les charges neuronales et les seuils d activation La charge neuronale varie entre zéro et le seuil d activation. Le seuil est différent dans chaque couche mais est le même dans une couche. Le sens de la diffusion de l activité est de la couche 1 à la couche 7 sauf pour les conclusions logiques qui ne sont pas exposées ici. 6. Le cycle d activité des neurones et du réseau Les neurones reçoivent de la stimulation selon les relations synaptiques décrites ci-dessus. S ils atteignent le seuil d activation ils seront actifs, c est à dire ils enverrons de la stimulation aux autres neurones auxquels ils ont des relations synaptiques. Après la stimulation, les neurones (activés ou pas) seront inactivés. Dans la couche 4 les neurones qui atteignent un seuil particulier pré-établit auront une baisse du seuil d activation. Cette baisse de seuil est le principe d apprentissage dans ce réseau. 7. Fonctionnement normal du réseau L activité du réseau s effectue par impulsions. Avant chaque impulsion les neurones ont leur charge minimum. Une impulsion est produite par les lettres à l entrée et propagée en plusieurs étapes à travers les couches. Les neurones de la couche 7 font apparaître les lettres à la sortie du programme. Etape 1 : Cette étape est déclenchée par l entrée de chaque lettre. A l entrée du programme chaque lettre stimule et active son neurone correspondant dans la couche 1. Ces derniers stimulent les neurones de la couche 2 avec qui ils ont des relations synaptiques. Si l ordre de l entrée de la lettre est le même que l ordre de la lettre dans le nom du neurone de la couche 2 le poids synaptique entre les deux neurones se multiplie par deux. Exemple : avec l entrée des lettre du mot «moi» les trois neurones n(m), n(o) et n(i) sont activés. Chacun de ces trois neurones stimule les neurones dans la couche 2 dont le nom contient les lettres n, o ou i. Pour le neurone n(moi) les poids synaptiques avec les neurones n(m), n(o) et n(i) seront multipliés par 2. n(moi) sera stimulé plus que les autres neurones de cette couche. 6

7 Cette étape est terminée par l inactivation des neurones de la couche 1 qui seront prêts pour l entrée de la lettre suivante. Les neurones de la couche 2 gardent leurs charges. Etape 2 : Cette étape est déclenchée par le caractère espace après chaque mot. Les charges des neurones de la couche 2 sont comparées à leurs seuils d activation. Si le seuil est dépassé le neurone (c est un neurone correspondant à un mot) stimulent tous les neurones des couches 3, 4 et 5 avec qui ils ont des relations synaptiques. Si l ordre de l entrée du mot est égal à celui du mot dans le nom du neurone cible le poids synaptique sera multiplié par deux. Cette étape est terminée par l inactivation des neurones de la couche 2 qui seront prêts pour l entrée du mot suivant. Exemple : le neurone n(moi) activé, stimulera les neurones n(moi, 0, 0, homme, 3), n(moi, 0, 0, homme, 4) et n(moi, 0, 0, homme, 5) aussi aux neurones n(moi, 0, 0, animal, 3), n(moi, 0, 0, animal, 4) et n(moi, 0, 0, animal, 5) etc. Etape 3 : Cette étape est déclenchée par le caractère point qu on utilise après les phrases affirmatives (que le réseau va apprendre) ou après le caractère point d interrogation après les phrases interrogatives. Au début de cette étape les couches 1 et 2 sont inactivées. Mais les couches 3, 4 et 5 ont toujours leurs charges neuronales. Les charges des neurones de la couche 3 sont comparées aux seuils d activation. Si ces seuils sont dépassés ils stimuleront leurs neurones correspondants dans les couches 4 et 5. L activation des neurones de la couche 3 est équivalente à ce qui est entendu par le réseau. Ce sont les premiers neurones correspondant aux phrases entendues. Il est possible de les faire afficher pour évaluer les hallucinations. Les charges des neurones de la couche 4 sont comparées ensuite à leurs seuils d activation. Si dans un neurone de cette couche le seuil d activation est atteint il y aura une diminution de ce seuil. Cette baisse est équivalente à l apprentissage. Le neurone sera plus facilement activable. La même comparaison aura lieu dans la couche 5. Les neurones activés seront exprimées pendant les étapes 4 et 5. Etape 4 : Cette étape est déclenchée chaque fois qu un neurone de la couche 5 est activé. Ce neurone va stimuler et activer les neurones de la couche 6 qui sont en relation synaptique avec lui. 7

8 Exemple : l activation du neurone n(moi, 0, 0, homme, 5) entraînera l activation des neurones n(moi) et n(homme). Etape 5 : Cette étape est déclenchée chaque fois qu un neurone de la couche 6 est activé. Ce neurone va stimuler et activer les neurones de la couche 7 qui sont en relation synaptique avec lui. Exemple : l activation du neurone n(moi) entraînera l activation des neurones n(m), n(o) et n(i). activation de ces neurones entraînera l apparition de leurs noms (des lettres) dans la sortie du réseau. Neurones spéciaux : les neurones n(qui) et n(quoi) sont particuliers. Ils ne stimulent pas directement les neurones des couches 4 et 5. Par contre n(qui) active tous les neurones correspondant à une personne comme n(moi), n(toi) et n(dieu) ; n(quoi) active tous les neurones correspondant à une chose comme n(soleil), n(terre) etc. Une des étapes complémentaires : Une baisse de seuil d activation dans la couche 4 entraîne une hausse dans celui de son contraire qui sera désormais difficilement activable. L apprentissage du concept «je suis un homme» ( le neurone n(moi, 0, 0, homme, 3) ) déclenche un hausse du seuil d activation du neurone le neurone n(moi, pas, 0, homme, 3) (concept «je ne suis pas un homme»). 8. Spontanéité du réseau Nous avons dit que dès la conception de ce réseau il existe dans chacune des couches 3, 4 et 5, autant de neurones que les combinaisons conceptuelles (dans les limites précisée en haut); et cela avant que les concepts soient appris. L affichage («l expression») de ces concepts ne dépend pas de l apprentissage. Si un des neurone de la couche 5 est activé par un autre moyen que stimulation venant des couches supérieurs, son équivalent conceptuel sera affiché dans la sortie du réseau. Cela peut être considéré une spontanéité, c est à dire que le réseau spontanément pose une question. L affichage d une phrase dans la sortie est en forme affirmative si le concept est appris ou interrogative s il ne l est pas. Le résultat est qu avec une activité neuronale spontanée il y aura une activité conceptuelle spontanée. Cette spontanéité a bien sur les limites suivantes : - elle est seulement en forme de phrase. 8

9 - elle est dans la limite du vocabulaire du réseau. - elle est dans la limite des structures conceptuelles/grammaticales du réseau. Une activité spontanée des neurones de cette couche peut venir - impulsion spontanée des neurones - baisse d inactivation entraînant une accumulation d une charge neuronale - trop de stimulation dépassant les limites d inactivation 9. Fonctionnement pathologique du réseau Le fonctionnement normal de ce réseau neuronal peut être résumé comme la suite: Une phrase entrée dans le réseau déclenche une chaîne d activation neuronale qui peut finir par une phrase à la sortie. Une phrase est «entendue» dans la couche 3, «appris» dans la couche 4 et «exprimée» dans la couche 5. Dans ce réseau il est possible de changer les paramètres d activation et d inactivation des neurones. Si un ou plusieurs neurones sont insuffisamment inactivés (l activité du réseau se fait par cycle d activation/inactivation) il est possible qu ils atteignent le seuil d activation d une façon inadaptée. Une activation inadaptée est une détection inadaptée de phrases c est à dire des hallucinations, dans la couche 3 ; un concept appris d une façon inadaptée c'est-à-dire un délire dans la couche 4. La persistance d activité dans les couches 6 et 7 se traduit par la répétition des mots ou des phrases dans la sortie (des écholalies.) Pour évaluer des hallucinations nous avons créé un lien entre l endroit ou la phrase entrée est détectée et une deuxième sortie. Cela oblige le réseau à répéter toutes les phrases qu il entend. Une fois ce mécanisme activé nous pouvons voir ce que le réseau entend et il sera facile de détecter des hallucinations. Si la baisse de l inactivation est affectée aux neurones de la couche 3 le réseau détecte des phrases qui ne lui sont pas dites. En fonction des neurones affectés ces phrases «hallucinatoires» peuvent avoir des contenus différents. Elles peuvent être mélancoliques (toi mauvais, toi méchant, toi ordure), mégalomaniaques (toi bon, toi gentil, toi génial) 9

10 Il est aussi possible de faire délirer le réseau en diminuant l inactivation des neurones de la couche 4. En réponse à la question «toi comment?» le réseau n a rien a dire avant qu on lui apprenne des phrases au sujet de lui-même, mais si trois neurones spécifiques de la couche 4 sont affectés par une baisse de l inactivation, il y aura les réponses suivantes avant tout apprentissage sur lui : Moi bon. Moi gentil. Moi génial. (délire mégalomaniaque) Ou si ces trois neurones sont dans un autre endroit de la même couche : Moi mauvais. Moi méchant. Moi ordure. (délire mélancolique) Ces délires peuvent être très variés en fonction des neurones affectés et prendre des formes comme moi dieu, toi dieu, moi pas exister, monde pas exister L affectation de la baisse d inactivation aux couches 6 et 7 aura comme conséquence une répétition d une partie de la sortie du réseau (écholalie). En fonction de l endroit et le degré de l inactivation une partie ou toute la sortie. Insuffisance d inactivation des neurones de la couche 2 ou stimulation trop forte venant de cette couche obsessions Insuffisance d inactivation des neurones de la couche 5.. logorrhée 10. Discussion Ici nous avons présenté un réseau neuronal conçu selon une hypothèse de travail qui est la correspondance entre les unités conceptuelles et les unités neuronales. L architecture du réseau Les relations synaptiques dans le réseau sont programmées dès la conception et ne changent pas pendant son fonctionnement. L entrée du réseau et sa sortie sont en forme de lettres d alphabet. Les lettres sont acceptables par le réseau en forme de mots. La particularité structurale de ce réseau est l existence des neurones correspondant - aux lettres d alphabet - aux mots faisant partie du vocabulaire du réseau - aux combinaisons de mots. Les combinaisons sont faites avec les mots faisant partie du vocabulaire du réseau et sont dans la limite de ses connaissances linguistiques/conceptuelles. 10

11 Les neurones spécifiques pour entendre et apprendre une phrase sont activés si cette phrase est dite au réseau. Le neurone spécifique pour l expression d une phrase est activé si l entrée du réseau est en forme interrogative ou si sa charge est assez grande pour atteindre le seuil d activation. Ce pattern d activité est possible grâce à l architecture des relations synaptiques. Malgré le pouvoir de ce réseau pour apprendre les concepts simples et simuler les éléments psychotiques, nous sommes loin de penser que cela est le seul mécanisme de fonctionnement du cerveau. La stimulation n est pas la seule relation entre les neurones. L ajout d autres relations comme l inhibition pourra perfectionner notre réseau. Au niveau technique il est possible de concevoir selon le même principe d autres modules pour perfectionner le fonctionnement de ce réseau et/ou ajouter des fonction perceptive et motrice. Dans ce réseau il existe une certaine spontanéité qui se traduit par des phrases (en forme affirmative ou interrogative) à la sortie du système. L équivalent de cette spontanéité dans un réseau plus complexe et muni des fonctions perceptive et motrice peut être une autonomie. Les concepts Ici les concepts sont considérés comme des unités non-divisibles et holistiques. Ces points de vue ne sont pas étrangers pour les philosophes et linguistes. Certains linguistes, en accord avec Benveniste ne voient pas de signe unique (donc pas de sens unique) dans la phrase. Mais généralement c est l idée de Saussure qui est admise. Saussure, inventeur du terme syntagme pour désigner les groupes de mots, voyait des signes uniques dans des phrases (Baylon et al, 2002). L idée de correspondance entre le sens (concept) et le neurone peut être une façon de trouver un substratum matériel pour l unité de sens. Le holisme sémantique est une doctrine selon laquelle le contenu sémantique (le concept) d un mot, d une phrase ou d une pensée dépend de la place qu il occupe dans un système auquel il appartient (Block, site Internet). Ce réseau neuronal avec ces correspondants conceptuels est clairement un système holistique. Chaque unité est caractérisée par sa place précise dans le réseau. Le neurone correspondant au concept «moi homme» (je suis un homme) est caractérisé par ses relations avec les neurones correspondant aux concepts moi et homme dans les couches d entrées est sortie. Réseau sémantique Le réseau sémantique est une cartographie conceptuelle représentant les concepts et les relations entre eux. Pour produire cela il est possible de représenter les concepts par des nœuds et les relations conceptuelles par des arcs (Hand, 1991). 11

12 En se basant sur notre hypothèse il est possible de schématiser un réseau sémantique parallèle au réseau neuronal décrit ici. Ce réseau neuronal aura deux grandes différences avec ceux décrits par les spécialistes de ce domaine. D abord dans ce réseau sémantique les nœuds ne se limitent pas aux concepts correspondant aux mots mais aussi aux concepts correspondant aux phrases. Une autre différence est que dans ce réseau sémantique il y a un seul type de relation entre les concepts qui est la stimulation. Appuies neurobiologiques Les études neurobiologiques montrent que l apprentissage et la formation de la mémoire sont en relation avec le phénomène «long-term potentiation»(blitzer et al, 2005). Ceci est une sensibilisation des neurones aux stimulations. Le neurone affecté par ce phénomène répond plus facilement aux stimulations. La diminution du seuil d activation des neurones utilisée dans notre réseau pour modéliser l apprentissage peut être un des mécanismes impliqués dans le long-term potentiation. Simulation des éléments psychopathologiques Dans ce réseau l insuffisance d inactivation des unités neuronales et donc leurs correspondants conceptuels entraîne des délires, des hallucinations et des écholalies. Dans la clinique cette idée n est pas incompréhensible. Certains signes de la schizophrénie sont clairement des éléments qui ne sont pas inactivés. La persévération, la catatonie et l écholalie sur le plan descriptif sont respectivement, une idée, un geste ou une action, et une séquence de mots qui persistent- ils ne sont pas inactivés quand il le faut. 11. Conclusion 1- Un réseau neuronal conçu selon l hypothèse de la correspondance entre les unités conceptuelles et les unités neuronales a des capacités d apprentissage et de spontanéité. Il serait utile d utiliser des moyens techniques plus importants pour réaliser des programmes plus puissants. 2 Dans le réseau décrit ici, l insuffisance de l inactivation des neurones peut entraîner des réponses assimilables aux signes cliniques de la schizophrénie. Il serait opportun de considérer la possibilité de ce mécanisme dans cette maladie. Bibliographie 1- C.Baylon, X. Mignot. Initiation à la sémantique du langage Nathan. 2- Blitzer R. D., Iyengar R., Landau E. M. Cellular cogwheels underlying long-term plasticity. Biol Psychiatry Jan 15;57(2): Postsynaptic signaling networks: 12

13 3- Hand D.J. Intelligence artificielle et psychiatrie Presses, Universitaire de France 4- W. S. Mc Culloch, W. Pitts. A logical calculus of ideas immanent in nervous activity. Bull. Mathematical Biophysics, 5:-133, alsemanticholism.html 13

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