PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS"

Transcription

1 Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN ZnS E G λ (ev) (µm) ,5 1 0,65 0,5 0,35 A. Chovet P. Masson ECOLE POLYTECHNIQUE UNIVERSITAIRE DE MARSEILLE Dépatement Mico-électonique et Télécommunications

2

3 Avetissement Le pésent document est une vesion modifiée (et adapté à l Ecole Polytechnique Univesitaie de Maseille) du polycopie de cous de physique des semi-conducteus de l Ecole Nationale Supéieue d Electonique et de Radio Electicité de Genoble (ENSERG ) dispensé pa A. Chovet et co-écit pa A. Chovet et P. Masson. Les auteus tiennent à emecie pa avance les lecteus qui voudont bien faie pat de leus emaques et coections éventuelles concenant le fond et la fome du document. Comment nous joinde? Alain CHOVET Pofesseu IMEP/LPCS, ENSERG 3 ue des Matys, BP Genoble Cedex 1 Tél : Fax : chovet@enseg.f Pascal MASSON Maîte de Conféences LMP/Ecole Polytechnique Univesitaie de Maseille (MT) IMT, Technopôle de Château Gombet Maseille Cedex 0 Tél : Fax : pascal.masson@polytech.univ-ms.f Copyight 001 A. Chovet et P. Masson. Tous doits ésevés 1 èe mise à jou : août 004 3

4 4

5 Table des matièes Chapite I. Généalités I.1. Conducteu - Isolant - Semi-conducteu I.. Stuctue de l état solide I.3. Système cistallin et éseau cistallin... 1 Chapite II. Quelques popiétés II.1. Cistal cubique II.1.1. Semi-conducteus de la colonne IV (Ge, Si) - Réseau diamant 13 II.1.. Semi-conducteus composés (III-V ou II-VI) - Réseau Zinc-blende 14 II.. Bandes d énegie II.3. Gap diect ou indiect II.4. Conduction pa électon ou pa tou. Masse effective. Densité d états Chapite III. Semi-conducteu non dopé ou dopé III.1. Semi-conducteu intinsèque III.. Semi-conducteu extinsèque : dopage... 0 III..1. Semi-conducteu de type n 0 III... Semi-conducteu de type p 1 III.3. Semi-conducteu compensé... Chapite IV. Semi-conducteu à l équilibe... 3 IV.1. Concentation des poteus libes à l équilibe... 3 IV.1.1. Distibution de Femi-Diac. Niveau de Femi 3 IV.1.. Concentations à l équilibe, loi d action de masse 4 IV.1.3. Equation de la neutalité électique 6 IV.. Le niveau de Femi dans une stuctue à l'équilibe... 7 IV..1. Popiété fondamentale 7 IV... Illustations 8 IV..3. Application : ddp intene d'une jonction pn à l'équilibe 8 Chapite V. Equation de Poisson - Conséquences Chapite VI. Petubations faibles de l équilibe : tanspot de chages35 VI.1. Mobilité des poteus libes VI.. Conduction et conductivité VI.3. Diffusion des poteus VI.4. Couant de déplacement VI.5. Tanspot de chages en pésence de champs électique et magnétique. Effet Hall - Magnétoésistance

6 Chapite VII. Petubations fotes de l équilibe : céation et dispaition de poteus VII.1. Céation de poteus VII.1.1. Céation pa énegie lumineuse (pa photons) 45 VII.1.. Céation pa des paticules (ou adiations) ionisantes 46 VII.1.3 Céation pa poteus chauds (champ électique intense) 47 VII.1.4. Céation pa injection de poteus 47 VII.. Quasi-niveaux de Femi VII.3. Recombinaison (dispaition) et duée de vie des poteus libes VII.3.1. Expession de la duée de vie (cas de ecombinaison diecte) 50 VII.3.. Duée de vie dans le cas d'une ecombinaison indiecte 51 VII.3.3. Recombinaison en suface 5 VII.4. Photoconductivité... 5 VII.5. La luminescence VII.5.1. Photoluminescence 53 VII.5.. Cathodoluminescence 53 VII.5.3. Electoluminescence 53 Chapite VIII. Equations d évolution (espace et temps) VIII.1. Equations de continuité (ou équations de consevation de chaque type de poteus) VIII.. Equation de consevation de la chage VIII.3. Equation de continuité ambipolaie (ou généalisée) VIII.4. Exemples d application VIII.4.1. Duée de vie et longueu de diffusion 57 VIII.4.. Temps de elaxation diélectique et longueu de Debye 59 Chapite IX. Fluctuations et buit électique IX.1. Buit de genaille ( shot noise ) IX.. Buit themique (de Nyquist ou de Johnson)... 6 IX.3. Buit de généation - ecombinaison (GR) IX.4. Buit en 1/f (ou de scintillement ou Flicke noise ) Chapite X. Contact ente deux matéiaux difféents - Hétéostuctues X.1. Intoduction X.. Tavail de sotie - Affinité électonique - Baièe de potentiel X.3. Contact Métal - semi-conducteu éel X.3.1. L'oxyde natif 66 X.3.. Les états d'inteface (ou états de suface) 67 X.4. Desciption qualitative de la elation I(V) d'un contact M - SC X.4.1. Contact edesseu ( diode SCHOTTKY ) 68 X.4.. Contact ohmique 69 X.5. Hétéojonction X.5.1. Diagamme des bandes d'énegie 70 6

7 X.5.. Applications : localisation et tanspot des poteus 7 7

8 8

9 Table des symboles, notations et abéviations Symboles unité signification BC - Bande de Conduction BV - Bande de Valence Cox Fm - Capacité d oxyde Dn,p m s -1 Coefficient de diffusion des électons (indice n) ou des tous (indice p) E J (ou ev) Enegie EA J (ou ev) Niveau d énegie des états accepteus EC J (ou ev) Enegie du bas de la bande de conduction ED J (ou ev) Niveau d énegie des états donneus EF J (ou ev) Niveau de Femi EFi J (ou ev) Niveau de Femi du matéiau intinsèque EFM J (ou ev) Niveau de Femi d un métal EFSC J (ou ev) Niveau de Femi du semi-conducteu EG J (ou ev) Gap ou lageu de la Bande Intedite Ei J (ou ev) Enegie du milieu de la bande intedite (EC+EV)/ EV J (ou ev) Enegie du haut de la bande de valence E Vm -1 Champ électique fn(e) - Pobabilité d occupation d un niveau d énegie E pa un électon fp(e) - Pobabilité d occupation d un niveau d énegie E pa un tou Gn,p m -3 s -1 Taux de généation d électons (indice n) ou de tous (indice p) h Js Constante de Planck (6, J.s) h Js Constante de Planck éduite (h/π) j Am - Densité de couant flux m - s -1 Flux (de poteus) k JK -1 Constante de Boltzmann (1, J.K -1 ) Ln,p m Longueu de diffusion des électons (indice n) ou des tous (indice p) mn kg Masse effective des électons mp kg Masse effective des tous NA m -3 (ou cm -3 ) Concentation en impuetés (dopant) de type accepteu NA m -3 (ou cm -3 ) Concentation en impuetés ionisées de type accepteu NC m -3 (ou cm -3 ) Densité d états équivalente dans la BC, amenée en EC ND m -3 (ou cm -3 ) Concentation en impuetés (dopant) de type donneu ND + m -3 (ou cm -3 ) Concentation en impuetés ionisées de type donneu NV m -3 (ou cm -3 ) Densité d états équivalente dans la BV, amenée en EV n0 m -3 (ou cm -3 ) Concentation en électons libes à l équilibe themodynamique n(e) m -3 J -1 Densité énegétique des électons dans la BC nc(e) m -3 J -1 Densité d états dans la BC ni m -3 (ou cm -3 ) Concentation intinsèque de poteus libes nv(e) m -3 J -1 Densité d états dans la BV p0 m -3 (ou cm -3 ) Concentation en tous libes à l équilibe themodynamique p(e) m -3 J -1 Densité énegétique des tous dans la BV QD Cm - Chage de la zone de désetion QM Cm - Chage dans le métal Qinv (Qn, Qp) Cm - Chage de la zone d invesion Qox Cm - Chage dans l isolant (oxyde) QSS = Qit Cm - Chage due aux états de suface = d inteface 9

10 q C Valeu absolue de la chage de l électon (1, C) RH m 3 C -1 Coefficient de Hall Rn,p m -3 s -1 Taux de ecombinaison des électons (indice n) et des tous (indice p) T K Tempéatue absolue tox m épaisseu d oxyde v dn,p ms -1 (cms -1 ) Vitesse de déive des électons (indice n) ou des tous (indice p) v th ms -1 (cms -1 ) Vitesse themique des poteus V V Tension (ddp : difféence de potentiel) électique VG V Tension ente gille et substat ( bulk ) Vox V Chute de potentiel aux bones de l oxyde Vs V Potentiel de suface du semi-conducteu xd m Etendue de la zone de désetion xdm m Longueu maximale de la zone de désetion ε0 Fm -1 Pemittivité du vide (8, F.m -1 ) εox Fm -1 Pemittivité d un oxyde (εsio = 3,8ε0 4ε0) εsc Fm -1 Pemittivité d un semi-conducteu (11,9ε0 pou le Silicium) ϕf V Potentiel de Femi dans le volume du semi-conducteu Φb J (ou ev) Baièe (de potentiel) dite de Schottky ΦM J (ou ev) Tavail de sotie du métal χ J (ou ev) Affinité électonique du semi-conducteu µn,p m V -1 s -1 Mobilité des électons (indice n) ou des tous (indice p) µh m V -1 s -1 Mobilité de Hall (µnh, µph) ρ, ρ( ) Cm -3 Densité de chage (au point ) σ Sm -1 (Scm -1 ) Conductivité = 1/Résistivité (Ω -1 m -1 ) τ s Duée de vie des poteus libes τdiel s Temps de elaxation diélectique dans un matéiau = εsc/σ τ s Temps de elaxation su le éseau (temps ente deux collisions successives subies pa un poteu libe, ou temps de libe pacous ) 10

11 Chapite I. Généalités I.1. Conducteus - Isolants - Semi-conducteus Les matéiaux ayant la plus faible ésistivité à tempéatue ambiante, typiquement inféieue à 10-5 Ωcm, sont les métaux (cuive, o, agent, aluminium...). La conduction électique s effectue essentiellement pa les électons libes dont la concentation diffèe peu d un métal à l aute (de 10 à 10 3 cm -3 ) quelle que soit sa pueté. Une augmentation de la tempéatue povoque une légèe augmentation de la ésistivité, pouvant s explique pa le fait que les électons libes sont gênés dans leu déplacement pa les vibations (coissantes avec la tempéatue) des atomes du métal. Les matéiaux dont la ésistivité est typiquement supéieue à 10 8 Ωcm sont considéés comme isolants ; c est le cas pou le vee, le mica, la silice (SiO), le cabone (diamant). Cette fois l augmentation de la tempéatue peut povoque la libéation d électons (ainsi que de tous ) qui peuvent paticipe à la conduction électique, ce qui povoque une baisse de la ésistivité avec la tempéatue. Ente les métaux et les isolants se touvent les semi-conducteus (SC) dont la ésistivité vaie de 10-3 à 10 4 Ωcm (ou plus). La conduction électique se fait pa les électons et les tous, ou de façon péféentielle pa l un ou l aute type de poteus. Un semi-conducteu peut ête soit pu auquel cas il est dit intinsèque, soit dopé pa des impuetés (qui pemettent de contôle sa ésistivité) auquel cas il est dit extinsèque. Si on pend, pa exemple, du Silicium assez pu et qu on lui ajoute un atome de Boe ou de Phosphoe pou 10 5 atomes de Silicium, sa ésistivité passe de 10 3 à envion 10 - Ωcm. Le tableau (I.1) donne des exemples de matéiaux ou de composés semi-conducteus en fonction des éléments qui les constituent et de la position de ces éléments dans le tableau de Mendeléev. Colonne Semi-conducteu IV Ge, Si binaie GaAs, GaP, GaSb, InAs, InP, InSb III-V tenaie AlxGa1-xAs, GaAsyP1-y II-VI quatenaie binaie tenaie AlxGa1-xAsyP1-y CdS, HgTe, CdTe, ZnTe, ZnS CdxHg1-xTe Tableau I.1. Exemples de semi-conducteus. I.. Stuctue de l état solide Les matéiaux solides se classent en deux gandes catégoies qui sont : Les matéiaux cistallins où les atomes sont angés égulièement aux noeuds d un éseau péiodique ; la maille (ou motif) élémentaie se épète égulièement 11

12 Les matéiaux amophes où l ode n est que local et non épété à longue distance. On distingue essentiellement quate familles de solides cistallins : Les cistaux ioniques, pa exemple le Na + Cl - où les ions sont liés pa attaction coulombienne. Aucun électon n est libe ce qui end ces cistaux isolants et tès du (la liaison est tès solide). Les cistaux covalents (colonne IV : C, Si, Ge, Sn). Les quate électons péiphéiques sont mis en commun avec quate voisins et établissent des liaisons de valence. Ces liaisons sont moins fotes que les liaisons ioniques et les popiétés des cistaux vont dépende de la foce de ces liaisons (C diamant est isolant, Sn est conducteu). Les métaux (Li, Na, K, Cu, Ag, Au) conducteus électiques qui ont un électon libe pa atome. Leu tempéatue de fusion est moins élevée que celle des cistaux covalents. Les cistaux moléculaies. I.3. Système cistallin et éseau cistallin Un cistal peut ête epésenté à pati d une cellule de base qui est épétée péiodiquement, fomant ainsi le éseau cistallin. Selon la natue des opéations de symétie qui laissent la stuctue cistalline invaiante, on est amené à défini sept systèmes cistallins, pami lesquels le système cubique. 1

13 Chapite II. Quelques popiétés II.1. Cistal cubique La plupat des semi-conducteus cistallisent selon un système cubique. Le système cubique compend tois éseaux difféents possibles, selon la disposition des atomes comme l indique la figue (II.1) Cubique simple : les atomes sont aux sommets du cube (figue (II.1.a)). Cubique centé : identique au cubique simple mais avec un atome au cente du cube (figue (II.1.b)). Cubique face centée : identique au cubique simple mais avec un atome au cente de chaque face (figue (II.1.c)). a b c Figue II.1.a. Cubique simple. b. Cubique centé. c. Cubique face centée. z z z z (001) (010) (111) (110) (110) x (100) y x y x y x y Figue II.. Plans cistallogaphiques. La figue (II.) epésente cetains plans cistallogaphiques epéés pa leu indices de Mille. La diection pependiculaie au plan (h,k,l) se note [h,k,l]. II.1.1. Semi-conducteus de la colonne IV (Ge, Si) - Réseau diamant Les électons d un atome isolé pennent des valeus d énegie discètes et chaque niveau d énegie peut accueilli un nombe limité d électons. Ce nombe est égale à n où n coespond au numéo du niveau (couche) en patant du noyau. Les électons se épatissent en occupant d abod les niveaux les plus poches du noyau (ce qui coespond à l énegie minimale). Dans le cas du Silicium, qui a un numéo atomique Z égal à 14, il y aua électons su la pemièe couche (complète), 8 su la seconde (complète aussi) et 4 su la denièe qui n est donc pas pleine puisqu elle peut conteni jusqu'à 18 électons. La figue (II.3.a) donne une epésentation des niveaux d énegie et des électons qui les occupent. Cette epésentation est simplifiée à la figue (II.3.b) en considéant seulement les quate électons péiphéiques de la couche extene (qui paticipeont aux liaisons ente atomes). 13

14 a b c Figue II.3. Repésentations de l atome de Silicium faisant appaaîte. a. Les niveaux d énegie et électons les occupant. b. Le denie niveau d énegie. c. Les quate liaisons covalentes possibles. On constate qu un élément pésente une gande stabilité quand il a huit électons su sa couche extene (stuctue des gaz aes), ce qui n est pas le cas de l atome de Silicium isolé. Los de la fomation du cistal cet atome va gagne quate électons en fomant des liaisons covalentes qui coespondent à la mise en commun de ses électons péiphéiques avec les atomes voisins. Ainsi un atome de Silicium qui s associe avec quate autes atomes de Silicium vea huit électons su sa denièe couche. Une telle association est illustée aux figues (II.4). On constate que si aucune liaison n est bisée (pa exemple à 0 K), il n y a pas d électons libes, et donc le cistal est isolant. Le système cubique dans lequel va ainsi cistallise le Silicium, le Gemanium (ainsi que C, Sn) est le éseau diamant constitué de deux éseaux cubiques faces centées imbiqués (décalés du quat de la diagonale pincipale du cube). a Figue II.4. Repésentation de l association d un atome de Silicium avec ses quate voisins. a. En pojection plane. b. En tois dimensions. II.1.. Semi-conducteus composés (III-V ou II-VI) - Réseau Zinc-blende Un type de liaisons tès poche de celui qui vient d ête décit peut aussi se faie ente atomes de natue difféente pa exemple ente le Gallium (Z = 31) et l Asenic (Z = 33). La figue (II.5) donne la epésentation en deux dimensions du semi-conducteu GaAs dans lequel un atome de Ga pend quate atomes de As comme voisins et l As quate atomes de Ga. En éalité, le cistal se constuit à pati des ions Ga - et As + qui ont tous quate électons péiphéiques. b Gallium Ga - As + Ga - Figue II.5. Semi-conducteu composé : GaAs. Asenic As + Ga - As + Le éseau coespondant est celui de la blende (mineai de sulfue de zinc : ZnS) qui peut ête considéé comme une vaiante du éseau diamant : pou GaAs, il est constitué de deux éseaux cubiques faces centées (l un de Ga et l aute de As) imbiqués et décalés du quat de la diagonale pincipale. 14

15 II.. Bandes d énegie Les électons d un atome isolé pennent des niveaux discets d énegie (figue (II.3)), qui sont en fait constitués de sous-niveaux (ou sous-couches) ; mais losqu on appoche deux atomes ces niveaux (ou sous-niveaux) vont se dédouble. En étendant ce aisonnement à N atomes, cette dégénéescence fait appaaîte des bandes d énegie pemises, qui peuvent s intepénéte et se sépae à nouveau losque la distance inte-atomique diminue (cf. Fig. (II.6)), donnant des bandes d'énegie intedite, de lageu EG ( Gap ). Le tableau (II.1) donne quelques exemples de lageu de bande intedite ainsi que de distances inte-atomique. atome EG (ev) type de matéiau d (Å) C (Cabone) 5.5 isolant Si (Silicium) 1.1 semi-conducteu Ge (Gemanium) 0.7 semi-conducteu Sn(Etain) 0 conducteu Tableau II.1. Exemple de valeus du gap et de la distance inte-atomique ( constante du éseau = aête du cube du éseau = ( 4 / 3 ) distance au plus poche voisin). E Enegie des électons d 0 E G E V d 0 E C 4N états 0 électons (BC) N états/n électons (sous niveau «s») 4N états 4N électons (BV) d i (>>d 0 ) 6N états/n électons (sous niveau «p») d i Distance inteatomique Figue II.6. Appaition de bandes de valence, de conduction et intedite avec la diminution de la distance inte-atomique pou un matéiau de la colonne IV, quand on appoche N atomes identiques. La figue (II.6) illuste le cas des semi-conducteus du goupe IV (cas du Silicium) : la bande supéieue est appelée Bande de Conduction et, à 0 K, ne contient pas d électons contaiement à la bande inféieue, appelée Bande de Valence, qui contient 4N électons (donc qui est la denièe bande pleine). Ente ces deux bandes se touve une zone de lageu EG (en J ou en ev) intedite aux électons et appelée Bande Intedite ou Gap. Le fait que ces deux bandes (BC ou BV) soient entièement pleines ou vides implique que la conduction électique ne peut existe. Pou une tempéatue difféente de 0 K un électon de la BV peut ecevoi suffisamment d énegie pou passe dans la BC (un tou appaaît alos dans la BV) et ende possible la conduction électique. Le matéiau n est plus isolant ; mais plus EG sea gand plus le nombe de poteus libes (électons dans la BC ou tous dans la BV) sea faible, et plus le matéiau sea isolant. 15

16 II.3. Gap diect ou indiect Les coubes EC,V( k) dites aussi elations de dispesion où EC est le bas de la bande de conduction, EV le haut de la bande de valence et k le vecteu d onde associé à un électon (quantité de mouvement p = mv = hk ) font appaaîte deux types de semi-conducteu : ceux pou lesquels minimum de EC et maximum de EV se poduisent pou la même valeu de k, que l on appellea SC à gap diect, et les autes appelés SC à gap indiecte. BC E C (k) E G k E = E G k k Figue II.7.a. SC à gap diect. b. SC à gap indiecte. a BV E V (k) b La natue du gap joue un ôle fondamental dans l inteaction du semi-conducteu avec un ayonnement électomagnétique (en paticulie lumineux), et donc dans le fonctionnement des composants utilisés en optoélectonique. On peut emaque, pou l instant, que dans un SC à gap diect un électon du haut de la BV qui acquièe une énegie EG passe dans la BC sans change de quantité de mouvement ( p = h k = 0) ce qui n est pas le cas dans un SC à gap indiect. On appelle aussi que los de toute tansition ente niveaux d énegie, les lois de consevation de l énegie et de la quantité de mouvement doivent s applique et que la quantité de mouvement associée à un photon : p ph mc Eph hν h = mc = = = = = h k ph (II.1) c c c λ est typiquement 10 3 fois plus petite que celle coespondant aux vaiations k nécessaies dans un SC à gap indiect. Ainsi les photons ne peuvent pas y assue seul le tansfet de quantité de mouvement los des tansitions BC BV. II.4. Conduction pa électon ou pa tou. Masse effective. Densité d états E C E G E V la BC. Figue II.8. Tansition d un électon de la BV ves On peut bise une liaison de valence si on appote une énegie (themique ou lumineuse) suffisante : on aache ainsi un ou plusieus électons (pécédemment engagés dans ces liaisons). Ceci evient, dans le modèle de bandes d énegie utilisé, à faie passe ce ou ces électons de la bande de valence à un état situé dans la bande de conduction (à un niveau dépendant de l appot d énegie) : l électon est libe (il ne paticipe plus à une liaison cistalline) et peut, pa conte, paticipe à la conduction électique, voi figue (II.8). Il se compote comme une paticule quasi-libe dans le semi-conducteu ca il y subit l influence du éseau. On epésente cette paticule (électon) quasi-libe pa une quasi-paticule libe en lui affectant une masse effective mn difféente de la masse m0 (0, kg) de l électon libe dans le vide. 16

17 Electon libe Liaison bisée Tou libe Figue II.9. Appaition d un électon et d un tou libe los d une uptue de liaison covalente. Dans le même temps qu appaaît un électon libe dans la bande de conduction (devenu libe en bisant une liaison), appaaît une case (place) vide dans la bande de valence (coespondant à une liaison non assuée) qui peut ête occupée pa un aute électon de la BV (paticipant aupaavant à une aute liaison covalente). Ce phénomène est illusté à la figue (II.9). A cette place vide (qu on appelle tou) est affectée une chage positive +q (son déplacement sea opposé à celui des électons los de l application d un champ électique). La bande de valence étant toujous quasi-pleine (de N-1 électons de valence), l étude du mouvement des paticules dans cette bande sea simplifiée en ne considéant que le mouvement du tou auquel on affectea une masse effective mp. Au voisinage d un extemum des bandes (BV ou BC), on peut appoche les elations de dispesion E(k) pa un développement limité : pa exemple au voisinage d un minimum de la BC (appelé vallée ) on poua écie : E( k) d E EC k +... (II.) dk ou, ce qui est équivalent (avec la quantité de mouvement p = hk ) : 1 E p E ( p) EC p = (II.3) p mn (appoximation paabolique de la bande de conduction) ; o p m n est l énegie cinétique d un électon libe. Ainsi l énegie supplémentaie (pa appot à EC) des électons est une énegie cinétique et on déduit pa identification que la masse effective des électons dans la vallée considéée est donnée pa : E mn = p 1 (II.4) qui est l invese de la coubue de E(p). Densité d états : On peut calcule ensuite le nombe de places disponibles (occupées ou non) pa les électons (dans la BC) et les tous (dans la BV). Cette densité d états s obtient pa exemple pou les électons (dans la BC) en écivant : nc(e)de = nombe d états (m -3 ) dans la tanche d énegie E, E + de 17

18 (donc nc(e) en m -3 J -1 ou cm -3 ev -1 ), soit : ( ) ( ) n E de g k d k C = 3 (II.5) où pa définition, g(k) est la densité d états électoniques dans l espace écipoque ( espace des k ). Dans un espace à tois dimensions cette densité est égale à /(π) 3. On en déduit l expession de la densité d états dans l appoximation des bandes paaboliques en utilisant le fait que les sufaces isoénegétiques (E = constante), si mn est isotope, sont des sphèes dans 3 l espace des k (alos d k = 4πk dk et, d apès l éq.(ii.3), de = ( h / m ) n kdk ) : nc 3 1 m 1 π h ( E) = n ( E EC) (II.6) De même pou les tous dans la bande de valence, on obtient comme densité d états : nv 3 1 m 1 π h p ( E) = ( EV E) (II.7) 18

19 Chapite III. Semi-conducteu non dopé ou dopé III.1. Semi-conducteu intinsèque Un semi-conducteu est dit intinsèque losque le cistal n est pas pollué (volontaiement ou non) pa des impuetés pouvant change la concentation en poteus libes. Pou une tempéatue difféente de 0 K, des électons peuvent deveni libes c est à die passe de la bande de valence à la bande de conduction, où leu concentation est notée n. Ces électons laissent des tous dans la BV (avec une concentation notée p) eux-aussi libes de se déplace avec, de plus, une égalité ente les concentations n et p. Pou ce cas paticulie, on définit une concentation intinsèque ni (égale aux concentations n et p) pou laquelle on montea plus loin qu elle est donnée pa la elation : 3 E n = p = ni ( T) = AT G exp (III.1) kt où A est une constante spécifique du matéiau. L équation (III.1), illustée aux figues (III.1.a et b) pou le silicium, le gemanium et le GaAs, taduit le fait que plus la tempéatue est élevée, plus il est féquent qu un électon obtienne l énegie nécessaie pou fanchi la bande intedite. Mais plus le gap (EG) est gand et plus l énegie qu un électon doit acquéi devient impotante. Cette emaque implique qu un matéiau à gand gap a une meilleue stabilité en tempéatue ce qui le end intéessant pou l électonique de puissance. La figue (III.1.a ou b) monte qu en pemièe appoximation ln(ni) en fonction de 1/T est une doite de pente EG k ce qui donne la possibilité de déduie expéimentalement EG. Tempéatue (K) n i (cm -3 ) a Ge : E G = 0,7 ev Si : E G = 1,1 ev GaAs : E G = 1,4 ev Tempéatue (K) n i (cm -3 ) b Ge Si GaAs 0,001 0,00 0,003 0,004 0,005 1/Tempéatue (K -1 ) Figue III.1. Evolution de la concentation intinsèque en epésentation semi-log pou le silicium, le gemanium et le GaAs. a. En fonction de la tempéatue. b. En fonction de l invese de la tempéatue. 19

20 Remaque su la généation et la ecombinaison des poteus : Si, à une tempéatue donnée difféente de 0 K, il y a céation (ou généation ) themique pemanente de paies électon - tou conduisant à une concentation intinsèque ni(t), c est pace que, en égime stationnaie, il existe un phénomène invese de dispaition de poteus (pa paie) appelé ecombinaison : il coespond au passage d un électon de la bande de conduction à la bande de valence, où l électon va occupe une case vide (l électon libe va ête bloqué dans une liaison de valence). Il y a donc dispaition d une paie électon - tou. En égime pemanents les taux de généation gi(t) et de ecombinaison i(t) (en m -3 s -1 ) doivent ête égaux, et pou un semi-conducteu intinsèque : EG gi( T) = i ( T) ni exp (III.) kt III.. Semi-conducteu extinsèque : dopage L intoduction de cetaines impuetés dans un matéiau semi-conducteu pemet d y modifie le nombe de poteus libes, de choisi le type de conduction (pa électons ou pa tous) et de contôle la conductivité. électon libe Si Si Si Si Si Si Si Silicium Si P Si Si P + Si P Phosphoe Si Si Si Si Si Si a b chage fixe Figue III.. Silicium dopé au phosphoe. a. T = 0 K. b. T 0 K. E C E D E C E D Etat occupé Etat libe E V a b c d E V Electon libe Tou libe Figue III.3. Diagammes de bandes faisant appaaîte le niveau d énegie des états de type donneu et leu occupation. a. T0 = 0 K, n0 = p0 = 0. b. 0 < T1 < 50 K, les impuetés s ionisent (se dégèlent). c. 50 K < T < 500 K, n0 ND >> ni(t) >> p0. d. T3 > 500 K, n0 p0 ni(t3). III..1. Semi-conducteu de type n Pou un tel matéiau, des atomes (ou impuetés) de type donneu (d électons) ont été intoduits (en généal en faible quantité) afin de pivilégie la conduction pa électons plutôt que pa tous. Les atomes peuvent ête de la colonne V si le cistal initial est constitué d atomes de la colonne IV. La figue (III..a) donne l exemple de silicium dopé au phosphoe qui possède cinq électons su la couche extene. 0

21 Les quate atomes voisins de silicium pêtent un électon chacun à l atome de phosphoe qui lui-même met en commun quate de ses cinq électons péiphéiques. Un faible appot d énegie (0,04 ev), pa exemple dû à une tempéatue difféente de 0 K, peut libée le cinquième électon de l atome de phosphoe (figue (III..b)) qui se etouve alos ionisé positivement (chage fixe). Ce phénomène coespond à l appaition d un niveau d énegie ED dans la bande intedite (avec EC - ED = 0,04 ev), epésenté à la figue (III.3). Les atomes d impueté s ionisent pogessivement avec l augmentation de la tempéatue et à pati d envion 50 K toutes les impuetés sont dégelées. La concentation n0 en électons (appelée concentation en poteus majoitaies ) sea alos égale à la concentation en dopant ND (n0 = ND >> ni >> p0 concentation en tous, minoitaies) tant que le compotement intinsèque du matéiau ne epend pas le dessus (équation (III.1)) ce qui se poduit pou une tempéatue supéieue à 500 K (ode de gandeu usuel) et end à nouveau la concentation en électons dépendante de la tempéatue. III... Semi-conducteu de type p tou libe Si Si Si Si Si Si Si Silicium Si B Si Si B - Si B Boe Si Si Si Si Si Si a b chage fixe Figue III.4. Silicium dopé au Boe. a. T = 0K. b. T 0K. E C E A E V E C E A E V Etat occupé Etat libe Electon libe Tou libe a b c d Figue III.5. Diagammes de bandes faisant appaaîte le niveau d énegie des états de type accepteu et leu occupation. a. T0 = 0K, n0 = p0 = 0. b. 0 < T1 < 50 K, les impuetés s ionisent. c. 50 K < T < 500 K, p0 NA >> ni(t) >> n0. d. T3 > 500 K, n0 p0 ni(t3). Cette fois les impuetés sont de type accepteu d électons ce qui coespond aux atomes de la colonne III pou un cistal constitué d atomes de la colonne IV. La figue (III.4) donne un apeçu de ce qui se passe pou un cistal de silicium dans lequel on a intoduit des atomes de boe. L association avec ses quate voisins confèe à l atome de boe sept électons su la couche extene ce qui est insuffisant pou le ende stable et il est alos tenté d en subtilise un à un poche voisin qui lui même peut en pende un à un de ses voisins et ainsi de suite. Pou cela il faut un appot minimum d énegie qui peut ête founi pa les vibations themiques du cistal ; le boe se etouve ionisé négativement (chage fixe) et on assiste au déplacement d un tou (libe) d atome en atome. La concentation p0 en tous (poteus majoitaies) est égale à la concentation en dopant NA (p0 = NA >> ni >> n0) à pati d une tempéatue de l ode de 50 K; le caactèe intinsèque edevient dominant au-delà de 500 K envion (équation (III.1)). 1

22 Remaques : Le dopage minimum dépend du affinage du matéiau ; pa exemple pou le silicium on obseve des concentations ésiduelles de boe d envion atomes pa cm 3, si bien que le silicium intinsèque à tempéatue ambiante (où ni cm -3 ) est tès difficile à obteni. D aute pat, cetaines impuetés (métalliques) ou des défauts du éseau cistallin donnent des niveaux d énegies plus poches du milieu de la bande intedite ce qui a peu d intéêt au niveau dopage mais est susceptible de modifie les popiétés de ecombinaison ; on dit que ces niveaux pofonds constituent des centes de ecombinaison. III.3. Semi-conducteu compensé Les impuetés dopantes (ou même pofondes) de type difféent peuvent se compense, patiellement ou totalement. Le semi-conducteu aua le type de l impueté dominante. Si on aive à compense pafaitement (NA = ND), on obtient alos un semi-conducteu intinsèque pa compensation (...bien qu il contienne des impuetés dopantes). E C E D E C E D E A E A E V a E V b Figue III.6. Diagamme de bandes d un semi-conducteu de type n en patie compensé (NA < ND). a. T0 = 0K. b. T1 > 50 K : le dopage équivalent (à tempéatue ambiante ) est (ND NA) n0.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0. 7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test

Plus en détail

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6 D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était

Plus en détail

FINANCE Mathématiques Financières

FINANCE Mathématiques Financières INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.

Plus en détail

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.

Plus en détail

Chapitre 6: Moment cinétique

Chapitre 6: Moment cinétique Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae

Plus en détail

CONSTANTES DIELECTRIQUES

CONSTANTES DIELECTRIQUES 9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques

Plus en détail

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire 11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces

Plus en détail

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une

Plus en détail

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques. Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt

Plus en détail

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique

Plus en détail

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI) écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante

Plus en détail

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques

Plus en détail

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel

Plus en détail

DiaDent Group International

DiaDent Group International www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w

Plus en détail

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM. Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en

Plus en détail

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel ) Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony

Plus en détail

Roulements à billes et à rouleaux

Roulements à billes et à rouleaux Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact

Plus en détail

( Mecanique des fluides )

( Mecanique des fluides ) INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides

Plus en détail

Quelques éléments d écologie utiles au forestier

Quelques éléments d écologie utiles au forestier BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue

Plus en détail

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de

Plus en détail

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts

Plus en détail

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation

Plus en détail

Guide de l acheteur de logiciel de Paie

Guide de l acheteur de logiciel de Paie Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse

Plus en détail

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion

Plus en détail

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f

Plus en détail

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation

Plus en détail

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique (méthode de type A) Voir cours d'instrumentation G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),

Plus en détail

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)

Capacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS) apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé

Plus en détail

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2

Plus en détail

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis

Plus en détail

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE A TECHNOOGIE HOUARI BOUMEDIENNE INSTITUT DE PHYSIQUE DEPARTEMENT DES ENSEIGNEMENTS DE PHYSIQUE DE BASE DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS

Plus en détail

CLOUD CX263 MÉLANGEUR

CLOUD CX263 MÉLANGEUR COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF

Plus en détail

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse

Plus en détail

LE LOGEMENT AU NUNAVIK

LE LOGEMENT AU NUNAVIK SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination

Plus en détail

Magister en : Electrotechnique

Magister en : Electrotechnique انج س ت انجضائش ت انذ مشاط ت انشعب ت République Algéienne Démocatique et Populaie صاسة انتعه ى انعان انبحث انعه Minitèe de l Eneignement Supéieu et de la Recheche Scientifique Univeité Mohamed Khide Bika

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Préface. Le programme d électricité du S2 se compose de deux grandes parties :

Préface. Le programme d électricité du S2 se compose de deux grandes parties : Péface. Ce cus d électicité a été édigé à l intentin des étudiants qui pépaent, dans le cade de la éfme L.M.D 1, une licence dans les dmaines des Sciences de la Matièe et des Sciences et Technlgies. Il

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver)

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver) GE Money Bank DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Résevé aux paticulies) Exemplaie Client (à conseve) Vote Conseille Cachet du Conseille Le (date de l offe) O l'offe. N de poposition : N

Plus en détail

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes

Plus en détail

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org.

D'CLICS CONSO. ayez les bons réflexes! Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteur de votre consommation! www.crij.org. n 26 2013/2014 Jounal du Cente Régional d Infomation Jeunesse Midi-Pyénées D'CLICS CONSO ayez les bons éflexes! d o s s i e Logement, téléphonie, mobilité, budget : soyez acteu de vote consommation! www.cij.og

Plus en détail

2. De la Grâce à l action de Grâces Ph 1.3-7

2. De la Grâce à l action de Grâces Ph 1.3-7 De la Gâce à l action de Gâces Philippiens 1.3-7 2. De la Gâce à l action de Gâces Ph 1.3-7 Intoduction Cette semaine, j ai eu l occasion de emecie Dieu pou avoi pu appécie sa gâce en action. En fait,

Plus en détail

RESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY

RESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY LO 4 : SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY MTHO OTO. toductio Le théoème de oto va ous pemette de éduie u cicuit complexe e gééateu de couat éel. e gééateu possède ue souce

Plus en détail

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques

CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES

GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES GESTION DES RELATIONS HUMAINES ET COMPÉTENCES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion des elations humaines et des compétences? Photocopiez

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le

Plus en détail

Annexe II. Les trois lois de Kepler

Annexe II. Les trois lois de Kepler Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns

Plus en détail

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE)

GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) SAUVEGARDE DES DONNÉES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion de la sauvegade

Plus en détail

CONDUCTEURS EN EQUILIBRE ELECTROSTATIQUE

CONDUCTEURS EN EQUILIBRE ELECTROSTATIQUE Chapit II CONDUCTEURS EN EQUILIRE ELECTROSTTIQUE En élcticité, un conductu st un miliu matéil dans lqul ctains chags élctiqus, dits «chags libs», sont suscptibls d s déplac sous l action d un champ élctiqu.

Plus en détail

CARACTERISTIQUES DES SECTIONS PLANES

CARACTERISTIQUES DES SECTIONS PLANES CRCTERITIQUE DE ECTION PLNE OENT TTIQUE D UNE ECTION PLNE oient une aie pane et une doite Le moment statiue de a section pa appot à m est défini pa intégae : m ( ) ( ) δ d (doénavant, on note e moment

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques

CIGI 2011 Job shop sous contraintes de disponibilité des ressources : modèle mathématique et heuristiques CIGI 2011 Job shop sous cotaites de dispoibilité des essouces : modèle mathématique et heuistiques SADIA AZEM 1, RIAD AGGOUNE 2, STÉPHANE DAUZERE-PERES 1 1 Dépatemet Scieces de la Fabicatio et Logistique,

Plus en détail

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29

Semi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29 Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel

Plus en détail

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique Les déteminants de la diffusion d Intenet en Afique pa Benad Conte Maîte de Conféences, Cente d économie du développement Univesité Montesquieu-Bodeaux IV - Fance 6µWYQµ Les pogès apides des technologies

Plus en détail

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005

Les pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005 octobe 005 REUE PÉRIODIQUE D INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES DES THERMICIENS Les petes de chage dans les installations Le dimensionnement des mitigeus octobe 005 Sommaie Le petes de chage dans

Plus en détail

Considérations sur les contraintes liées à la gestion des données thermodynamiques en vue de la création de la base de données THERMODDEM

Considérations sur les contraintes liées à la gestion des données thermodynamiques en vue de la création de la base de données THERMODDEM Cnsidéatins su les cntaintes liées à la gestin des dnnées themdynamiques en vue de la céatin de la base de dnnées THERMODDEM Rappt final BRGM/RP-55118- FR Décembe 2006 Gnsidéatins su les cntaintes liées

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité IBM Softwae Guide 2005 des solutions patenaies logiciels GESTION commeciale (CRM) comptable et financièe logistique maketing de la qualité des elations humaines et compétences documentaie (GED) des appels,

Plus en détail

THÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique.

THÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique. N d ode: 005-7 ECOLE DOCTORALE 43 Ecole Nationale Supéieue d At et Métie Cente de Lille THÈSE péentée pou obteni le tite de DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS Spécialité: Génie Electique

Plus en détail

Les transistors à effet de champ.

Les transistors à effet de champ. Chapitre 2 Les transistors à effet de champ. 2.1 Les différentes structures Il existe de nombreux types de transistors utilisant un effet de champ (FET : Field Effect Transistor). Ces composants sont caractérisés

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID-TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES UNITE DE RECHERCHE MATERIAUX

Plus en détail

4. Un regard différent sur les circonstances Ph 1.12-14

4. Un regard différent sur les circonstances Ph 1.12-14 Un egad difféent su les ciconstances Philippiens 1.12-14 4. Un egad difféent su les ciconstances Ph 1.12-14 Intoduction N 1 Il y a quelques semaines, j ai eçu ce couie dans ma boîte aux lettes électonique.

Plus en détail

5. Les conducteurs électriques

5. Les conducteurs électriques 5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,

Plus en détail

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Dépatement d électonique L INTELLIGENCE ARTIFICIELLE APPLIQUEE AUX TELECOMMUNICATIONS Thème : Intelligence économique et télécommunication Poposé pa : D A/. KHIREDDINE

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance

Circuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite

Plus en détail

Rencontrez votre filleul... au Bangladesh

Rencontrez votre filleul... au Bangladesh Rencontez vote filleul... au Bangladesh Vote guide de visite Afin d oganise au mieux vote visite et de péveni l équipe locale ainsi que vote filleul de vote aivée, Contactez-nous 2 mois avant il est impotant

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

Flux Réseau et Sécurité

Flux Réseau et Sécurité Flux Réseau et Sécuité v1.01 Yann BERTHIER Spécialiste Sécuité Systèmes et Réseaux yb@bashibuzuk.net Nicolas FISCHBACH Senio Manage, Netwok Engineeing Secuity, COLT Telecom nico@secuite.og - http://www.secuite.og/nico/

Plus en détail

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE

MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE MODE D EMPLOI ENFANT MINEUR MONFINANCIER LIBERTE VIE Pou établi vote contat MonFinancie Libeté Vie pou un enfant mineu, nous vous emecions de bien vouloi éuni les éléments suivants : Le bulletin de sousciption

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE

RAISONNER L INVESTIGATION EN RHUMATOLOGIE NOVEMBRE L objectif de ce document est de guide le médecin omnipaticien dans le choix des modalités de laboatoie et d imageie pou l investigation d une condition humatologique. En effet, les analyses de

Plus en détail

Amélioration des performances des aérogénérateurs

Amélioration des performances des aérogénérateurs N d ode : Séie : الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية REPUBIQUE AGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPUAIRE MINISTERE DE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE A RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIERSITE CONSTANTINE I Faculté

Plus en détail

Conception. de systèmes électroniques. analogiques

Conception. de systèmes électroniques. analogiques Christian JUTTEN Conception de systèmes électroniques analogiques Université Joseph Fourier - Polytech Grenoble Cours de deuxième année du département 3i Janvier 2007 Table des matières Modèle mathématique

Plus en détail

ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S.

ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S. ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S. HERVÉ ACQUET Su un ésultat de Waldspuge Annales scientifiques de l É.N.S. 4 e séie, tome 19, n o 2 (1986), p. 185-229.

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Capes 2002 - Première épreuve

Capes 2002 - Première épreuve Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série

Plus en détail