Le bulletin CAPGENES SOMMAIRE. Bulletin d information de l Organisme de Sélection - Novembre 2014

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1 N U M É R O 1 2 Le bulletin CAPGENES Bulletin d information de l Organisme de Sélection - Novembre 2014 SOMMAIRE DOSSIER : LE PROJET EUROPÉEN FLOCK-REPROD à Présentation du projet et des acteurs Objectifs et déroulement du projet... 2 à Les protocoles finaux mis en place et les résultats obtenus à Diffusion de résultats LANCEMENT DE CAMPAGNE À 12 Les accouplements programmés de la campagne 2014 : Série L Projet CASDAR : Maxi Mâle LE POINT À 14 Impact de la nouvelle réglementation Tremblante sur les accouplements programmés à 14 ACTUALITÉ Fertilité nationale à l IA Du changement dans l équipe Capgènes Perspectives : les suites du projet Flock-Reprod AGENDA Le Salon International de l Agriculture.. 16 Capr Inov Le Comité International Ovin et Caprin... 16

2 le projet européen Flock-Reprod 1 - Présentation du projet et des acteurs Initié en 2009, Flock-Reprod est un programme de recherche européen sur la reproduction caprine, rassemblant des PME et des structures de recherche de 7 pays européens. Pays Portugal Espagne France Italie Croatie Races Serrana Murciano-granadina, Malagueña Alpine, Saanen Alpine, Saanen, Sarda Saânen Roumanie Carpathian White of Banat Grèce Capa prisca Damascu, Scopelos Flock-Reprod s est finalisé en décembre 2013 après 4 ans de recherche. Le projet a été cofinancé par le 7 e programme Cadre de Recherche et Développement Technologique de la Commission Européenne dans la catégorie Capacités «Recherche au bénéfice des associations de PME». Quinze partenaires européens (une PME et un institut de recherche pour chaque pays), originaires de 7 pays différents, ont été impliqués dans le projet Flock-Reprod : la Croatie, l Espagne, la France, la Grèce, l Italie, le Portugal et la Roumanie. En France, l INRA et Capgènes étaient porteurs du projet. La recherche s est concentrée sur les 11 races de chèvres principalement utilisées par l industrie laitière européenne, avec les races très saisonnées du Nord de l Europe (l Alpine, la Saanen, la Carpathian et la Blanche de Banat) et les races modérément saisonnées du Sud de l Europe (La Damascus, la Scopelos, la Capra Prisca, la Murciano- Granadina, la Malagueña, la Serrana et la Sarda). En France, la partie Recherche a été menée par l INRA de Tours (PRC) et de Rouillé (FERLus). La mise en place a été réalisée par Génoé dans 20 élevages dont 4 issus du réseau INRA. 2 - Objectifs et déroulement du projet L objectif du projet L objectif du projet est le développement de méthodes durables de reproduction par Insémination Animale (IA) des chèvres en toute saison, pour conforter le marché européen du lait de chèvre. Les protocoles développés dans le cadre du projet visent ainsi à limiter l utilisation d hormones exogènes. 2

3 Ces protocoles sont essentiellement basés sur l utilisation de l effet mâle associé ou non à un traitement lumineux. Pour parvenir à remplir cet objectif, la démarche adoptée sur les 4 années de projet se décompose en 6 modules de travail appelés «Work Packages». OBJECTIFS DU PROJET Recherche pour les PME : Maîtriser l effet bouc combiné ou non à des traitements lumineux Développer des traitements lumineux sans mélatonine Développer des protocoles d IA sans progestagène Démonstration : Démontrer la faisabilité technique, opérationnelle et économique des méthodes proposées Dissémination : Le Work Package 1 : Synchronisation des ovulations hhla tâche 1.1. Variations saisonnières de l activité sexuelle des mâles et des femelles Cette première étape a permis de valider les périodes d activité sexuelle réelle de l ensemble des races impliquées dans le projet. Développer des supports de formation (DVD et guide pratique) Déposer une marque communautaire Flock-Reprod Créer un groupe technique européen Insémination artificielle après effet mâle WP1 WP3 Pour les races Alpine et Saanen, l ensemble des expérimentations ont été réalisées sur des femelles hors production laitière et hors présence des mâles. 3 Nouveaux traitements photopériodiques sans mélatonine Hors saison sexuelle Pendant la saison sexuelle Nouveaux protocoles d IA sans progestagène IA après effet bouc et prostaglandines IA après effet mâle seul Protocoles finaux WP4 Démonstration Validation technique et économique des nouveaux protocoles à grande échelle WP5 Pour les autres, cette étude a permis de réactualiser les données préexistantes. Les résultats sont synthétisés pour chaque race dans le tableau ci-contre. WP2 Variations saisonnières de l activité sexuelle L effet mâle avec ou sans traitements lumineux Améliorer, simplifier, standardiser En effet pour certaines races, les périodes d activité et d anœstrus étaient mal connues. Ces résultats étaient essentiels pour la suite du projet en permettant la détermination des moments d application possibles pour les protocoles de l effet mâle et des traitements lumineux. Haut niveau de synchronisation des ovulations Transfert des technologies Guide pratique, DVD formation, marque «FLOCK-REPROD», groupe technique européen WP6 Management Hiver Déc. FRANCE ITALIE CROATIE Janv. Printemps Fév. Mars Avril Été Mai Juin Juill. Automne Août Sept. Oct. Nov. Alpine Saanen Carpathian ROUMANIE Blanche de Banat Malagueña ESPAGNE Murciano Granadina PORTUGAL Serrana Scopelos GRÈCE Damascus Capra Prisca mois où 90 à 100 % des femelles sont cycliques = saison sexuelle naturelle mois où 11 à 89 % des femelles sont cycliques mois où 0 à 10 % des femelles sont cycliques = repos sexuel saisonnier

4 En condition d élevage, des variations peuvent par conséquent être observées à cause notamment de la présence de mâles à proximité des femelles. WP1.1. : variation saisonnière de l activité sexuelle des mâles et des femelles Objectif : Redéfinir les périodes réelles d activité et d inactivité sexuelles pour l ensemble des races impliquées dans le projet, afin de déterminer à quelle période de l année l effet mâle peut être appliqué. Résultats : En France, pour les races Alpine et Saanen, la période d anœstrus s étend entre les mois d avril et de septembre. Les chèvres sont en activité sexuelle de novembre à février. hhla tâche 1.2. L effet mâle avec ou sans traitement lumineux Cette seconde étape a permis de déterminer le moment d application optimal de l effet mâle en fonction des races, ainsi que la nécessité ou non de la mise en place d un traitement lumineux en fonction des périodes d application. WP1.2. : moment d application de l effet mâle avec ou sans traitement lumineux Objectif : Déterminer l efficacité de l effet mâle en fonction du moment d application, de la race et de l utilisation ou non d un traitement lumineux. Résultats : En France, pour la race Saanen, il a été prouvé que l utilisation d un traitement lumineux (jours longs puis mélatonine) sur les mâles et les femelles est nécessaire pour une efficacité optimale de l effet mâle sur les mois d août-septembre. hhla tâche 1.3. Améliorer, simplifier et standardiser le protocole de l effet mâle Le dernier volet du Work Package 1 avait pour but d améliorer, de simplifier et d optimiser le protocole de l effet mâle. Sur la voie femelle : les effets d une supplémentation énergétique sur l efficacité de la réponse à l effet mâle Les effets d une supplémentation énergétique à courts termes ont été évalués sur le degré de synchronisation de la réponse ovulatoire après après effet bouc. Afin de définir la période de supplémentation, l étude a été basée sur les travaux menés en caprin au Mexique par De Santiago-Montes et al. (2008) et Fitz-Rodriguez et al. (2009) afin de définir la période de supplémentation. Un complément alimentaire à base de propylène glycol (composé gluco-formateur) a été choisi. Il est commercialisé sous forme de granulés notamment en caprins (NUTRI AP ENERGIE GRANULES, Alliance Pastorale), ce qui facilite son administration aux chèvres et permet d envisager une application terrain. L étude a été menée à l INRA de Bourges, sur 2 années, avec au % cumulé de chèvres lot témoin (n = 27) lot supplémenté 60 g/j (n = 30) lot supplémenté 120 g/j (n = 17) p 0,02 (test log-rank) Source : Fréret et al., 3R J5 J6 J7 J8 J9 Jours et heures depuis l'introduction des boucs (= J0) Distribution des chèvres (n = 74) selon le moment d apparition du pic pré-ovulatoire de LH au moment du cycle normal, parmi les chèvres présentant un profil cycle court-cycle normal après effet bouc (n = 82) 4

5 total 100 chèvres et 20 boucs adultes de race Alpine. Toutes les chèvres ont reçu la même ration de base, composée de foin de dactyle-luzerne à volonté et d un concentré de production. Des lots de chèvres homogènes (âge, poids, note d état, production laitière, stade de lactation, délai depuis la mise-bas précédente) ont été constitués : le lot témoin n a reçu que la ration de base (n = 40 chèvres), les deux autres lots ont reçu soit 60 g/j (n = 40) soit 120 g/j (n = 20) du complément alimentaire, pendant les 7 jours qui ont précédé et les 7 jours qui ont suivi l introduction des boucs. Les résultats chez les chèvres présentant un profil de type Cycle Court - Cycle Normal (CC- CN) après effet mâle (n = 82), concernant à la fois le moment d apparition du pic pré-ovulatoire de LH (voir graphique en page 4) et la montée de progestéronémie après introduction des boucs, suggèrent un avancement des ovulations induites par l effet mâle (au moment du cycle normal, fertile, sur lequel les chèvres peuvent être inséminées), et une plus grande synchronie de ces ovulations chez les chèvres supplémentées. Les perspectives de ce travail sont de définir et de tester des protocoles d IA (nombre d IA, moment d IA après introduction des boucs, avec ou sans détection de chaleurs), qui prennent en compte la chronologie de la réponse ovulatoire observée chez les chèvres CC-CN supplémentées, puis d évaluer les effets de la supplémentation énergétique sur la fertilité après Photo : Flock-Reprod IA et sur la prolificité. Dans le cadre du projet Flock-Reprod, il a été convenu au sein du consortium que les résultats de cette étude n étaient pas suffisants pour conseiller une supplémentation énergétique systématique des femelles avant effet mâle pour les essais terrain lors de la phase de démonstration. Source : Fréret et al., Rencontres Recherches Ruminants, 2013, 20, reproduction_s_freret.pdf Sur la voie mâle, quatre pistes d amélioration et de simplification ont été suivies hhl impact de la libido des mâles sur l efficacité de l effet bouc : Les essais ont été menés à l INRA de Rouillé en France sur une dizaine de mâles qui ont été suivis tout au long de l année par des tests de comportement afin d évaluer leur niveau de libido. Suite à ces tests, des boucs de libido faible, moyenne et forte ont été identifiés. Ils ont été ensuite mis en contact avec des femelles, pour observer leur réponse à l effet mâle. Aucune différence significative de réponse n a été observée entre les femelles exposées à des mâles de libido haute et celles exposées à des mâles de libido basse ou moyenne. En revanche, une tendance positive à l avancement de l œstrus et de la réponse ovulatoire a été observée chez les femelles exposées à des mâles de forte libido. Suite à ces résultats, la préconisation retenue pour le projet était d utiliser des boucs de forte libido. Ce critère est un bon indicateur de leur activité sexuelle et permet d assurer un bon marquage des femelles lors de leur venue en œstrus. hhle ratio mâle/femelle : Le moment d apparition du premier œstrus en réponse à l effet mâle a été comparé en fonction du ratio mâle/femelles utilisé. Trois ratios ont été testés : 1 mâle pour 10, 20 ou 40 femelles. Les résultats mettent en évidence l impact du ratio mâle/ femelles sur la réponse à l effet bouc. 5

6 1/10 1/20 1/40 p % œstrus (de J0 à J13) 90 % (9/10) a 60 % (12/20) ab 40 % (16/40) b P < 0.05 Jour moyen d apparition de l œstrus de J0 à J13 (Moyenne ± ET) Jour moyen d apparition de l œstrus de J0 à J26 (Moyenne ± ET) 11.0 ± 0.7 a n = 9 12± 3.2 a n = ± 0.6 b n = ± 2.1 b n = ± 1.0 b n = ± 5.1 c n = 40 P < 0.05 P < 0.05 La plupart des chèvres (90 %) présentent un œstrus dans les 13 jours suivants l introduction du mâle, lorsque l on utilise le ratio 1/10, contre 60 et 40 % d œstrus observés à la même période, lorsque le ratio est de 1/20 ou 1/40. De plus, lorsque le ratio diminue, le premier œstrus a lieu plus tardivement et avec une synchronisation moindre. hhle nombre de jours de contact permanent entre le mâle et les femelles (4, 8 ou 14 jours) : Deux expérimentations ont été menées en Croatie dans trois troupeaux différents. La première expérience visait à comparer la réponse à l effet mâle selon le nombre de jours de mise en contact (4 ou 14 jours consécutifs). La seconde expérience comparait la réponse à l effet mâle entre une exposition de 8 ou 14 jours. Les résultats montrent qu une mise en contact de 4 jours engendre un pourcentage de chèvres qui vont développer un cycle normal fertile dans les 13 jours après l introduction des boucs, qui est inférieur par rapport aux femelles mises en contact pendant 8 ou 14 jours. La réponse des femelles en contact pendant 8 ou 14 jours était en revanche similaire. Pour la suite des protocoles, le nombre de jours de contact a ainsi été fixé entre 8 et 14 jours jusqu au moment de l IA. hhla durée de contact journalier minimale (6 h, 12 h, 24 h) : Cette étude a été menée à Lusignan par l INRA de Rouillé en France. Les réponses de femelles mises en contact avec des boucs de libido moyenne pendant 24, 12 ou 6 h pendant 14 jours ont été comparées. WP1.3. : améliorer, simplifier et standardiser le protocole de l effet mâle Objectif : Améliorer et simplifier le protocole de l effet mâle Les résultats montrent qu une mise en contact de 6 ou 12 h par jour est moins efficace qu un contact permanent (24 h) pour induire l œstrus et l ovulation dans les 14 jours qui suivent l introduction des boucs. C est le temps de contact 24 h/24 qui a été retenu, en tant que recommandation pour la suite du projet et des protocoles utilisant l effet mâle. Le Work Package 2 : Nouveaux traitements photopériodiques sans mélatonine Résultats : Supplémentation énergétique des femelles : nécessité de tester des protocoles d IA qui prennent en compte la chronologie de la réponse ovulatoire observée chez les chèvres présentant un profil CC-CN et supplémentées, puis d évaluer les effets de la supplémentation énergétique sur la fertilité après IA. Pas de recommandation retenue pour la phase de démonstration du projet Flock-Reprod. Le niveau de libido des boucs : tendance positive en faveur des mâles à forte libido. Il est préférable d utiliser des mâles avec une bonne libido pour assurer un bon marquage des femelles en chaleur. Ratio mâle/femelles : la meilleure réponse est obtenue avec le ratio 1/10. Lorsque le ratio diminue, la qualité de la réponse et de la synchronisation de l œstrus est moindre. Nombre de jours de contact permanent : un contact jusqu au moment de l IA, soit de 8 à 14 jours, permet d obtenir d avantage de cycles fertiles suite à un effet mâle. Durée de contact journalier : contact effectif et permanent (24h/24) pendant toute la durée du protocole de l effet mâle. 6

7 Ce second Work Package était axé sur le développement de nouveaux traitements photopériodiques n utilisant pas la mélatonine, pouvant être appliqués dans des bâtiments ouverts et susceptibles d améliorer la réponse à l effet mâle en saison et hors saison sexuelle. Deux approches ont été menées : L effet mâle à contre-saison sans mélatonine : s affranchir de la mélatonine en créant des jours très longs pour que les jours d été soient perçus comme des jours courts. L effet mâle en saison sexuelle sans mélatonine : l effet mâle seul ne peut pas synchroniser les femelles en saison, le principe est donc de rendre les femelles inactives en saison. hhla tâche 2.1. : Effet mâle en contre-saison sans mélatonine Cette expérimentation a été menée à l INRA PRC sur deux années consécutives. Pendant ces deux années, les traitements lumineux suivants ont été testés : Les résultats montrent que des jours longs de 18 ou 20 h de lumière par jour sont capables d inhiber l activité ovulatoire spontanée des chèvres, mais WP2.1. : effet mâle en contre-saison sans mélatonine Objectif : Développer de nouveaux traitements photopériodiques, applicables en bâtiments ouverts et permettant une reproduction en été sans mélatonine. Résultats : Les jours longs de 18 ou 20 h inhibent l activité sexuelle mais sont moins efficaces que des jours longs de 16 h. Une diminution de 4 h de lumière suite à des jours longs très longs (18 ou 20 h) ne suffit pas à stimuler l activité sexuelle des chèvres. sont moins efficaces que des jours longs de 16 h de lumière. De plus, la diminution de 4h de durée du jour suivant les jours longs de 18 ou 20 h n a pas permis d induire l activité sexuelle des chèvres. Par conséquent, les traitements lumineux testés dans ces expérimentations n ont pas été retenus dans la suite du projet. hhla tâche 2.2. : Effet mâle en saison sexuelle sans mélatonine Menée également en France sur deux ans à l INRA (unités PRC et FERLus), cette étude visait à développer un nouveau traitement photopériodique pour inhiber l activité sexuelle des chèvres en saison, afin de pouvoir grouper les chaleurs par un effet mâle sans utiliser de mélatonine. Un protocole a été mis en place pour tester une stratégie basée sur l alternance en continu de 3 mois de jours longs et 3 mois de jours naturels. Quatre lots de 6 chèvres ont été constitués pour tester les protocoles suivants : Les résultats montrent que ce traitement est capable de retarder le début de la saison sexuelle naturelle chez la chèvre Alpine et permet ainsi l utilisation de l effet mâle début novembre. Ce protocole a par conséquent été utilisé dans la suite du projet pour les essais en élevage. WP2.2. : effet mâle en saison sexuelle sans mélatonine Objectif : Inhiber l activité sexuelle naturelle des chèvres en saison, pour permettre l utilisation de l effet mâle à l automne pour grouper les chaleurs des chèvres. Résultats : L alternance de 3 mois de jours longs, 3 mois de jours naturels en continu, permet de retarder le début de la saison sexuelle et l application d un effet mâle au mois de novembre. 7

8 3 - Les protocoles finaux mis en place et les résultats obtenus en France : WP3 et WP4 L ensemble des essais réalisés dans les Work Packages 1, 2 et 3 ont permis de mettre au point trois protocoles d Insémination Animale expérimentaux, qui ont été testés dans les élevages du réseau INRA (WP3), puis dans des élevages de la zone Génoé (WP4). Ils sont tous basés sur l utilisation de l effet mâle, des traitements lumineux et sur l utilisation de la prostaglandine pour deux d entre eux. Une fois établis, ces trois protocoles ont été testés sur le terrain pendant deux ans dans des élevages français, roumains, espagnols, grecs, croates, portugais et italiens. Le protocole PG2 Le but de ce protocole était de permettre une synchronisation des œstrus des femelles en saison sexuelle pendant la période où 90 à 100 % des femelles sont naturellement cycliques, sans utilisation préalable d un traitement photopériodique. Le principe de ce protocole est basé sur l effet mâle et sur une double injection de prostaglandine qui permet d induire la lutéolyse. L avantage de ce protocole étant de limiter l utilisa- tion d hormones par rapport au traitement hormonal classique (pas de progestagène), tout en assurant une bonne synchronisation des femelles, grâce à la lyse des corps jaunes éventuels par la prostaglandine, combinée à un effet mâle. De nombreux essais ont été réalisés au cours du WP3, pour déterminer les moments d injection de prostaglandine et le moment de l IA avant d aboutir au protocole testé sur le terrain. RÉSULTATS : Ce protocole a été testé en Roumanie, en Espagne et en Grèce avec 5 races, dans 9 élevages pour un total de 714 animaux. Les résultats de fertilité (% de mises-bas) ont été comparés à ceux d un lot témoin, présent dans chaque élevage, utilisant le traitement hormonal standard (THS). CONCLUSIONS : Avec une fertilité moyenne de 54 % sur mises-bas, les résultats de fertilité pour ce protocole sont plutôt encourageants, malgré une différence de fertilité de 8 % de moins par rapport au lot témoin et une variabilité importante des résultats entre les élevages (de 30 à 76 % de fertilité). Cette variabilité est également observée avec le Traitement Hormonal Standard. Une optimisation du moment de l IA pourrait permettre d améliorer encore ces résultats. On peut également se demander si l utilisation de l effet mâle est vraiment nécessaire dans le cadre de ce protocole. Le protocole PG1 Ici encore, de nombreux essais ont été nécessaires au cours de la période de recherche pour déterminer le moment de l IA et de l injection de prostaglandine, avant d aboutir au protocole testé sur le terrain. Le but était ici de permettre la synchronisation des œstrus : en saison après un traitement lumineux alternant 3 mois de jours longs, 3 mois de jours courts, 3 mois de jours longs et 3 mois de jours courts, de façon à ce que les femelles soient devenues inactives mais réceptives au moment de l effet mâle. en contre-saison après un traitement photopériodique classique. Le principe de ce protocole est basé sur l effet mâle et une injection de prostaglandine qui permet d induire la lutéolyse. RÉSULTATS : Ce protocole a été testé en France, en Espagne, en Italie, au Portugal, en Croatie, en Roumanie et en Grèce avec 8 races, dans 34 élevages pour un total de animaux. Les résultats de fertilité (% de chèvres diagnostiquées gestantes par échographie) ont été comparés à ceux d un lot 8

9 témoin, présent dans chaque élevage, utilisant le traitement hormonal standard (THS). CONCLUSIONS : La fertilité moyenne de 45 % sur mises-bas est nettement inférieure à celle obtenue avec le traitement hormonal standard, avec 10 à 30 % d écart de fertilité. On observe de plus une variabilité importante des résultats entre les élevages avec des taux de gestation allant de 34 à 68 %. Ce protocole a été ressenti par les éleveurs comme étant très coûteux en temps, avec 20 jours de manipulation des boucs. La question de la gestion des retours en œstrus après IA se pose également dans le cadre de ce protocole, les chèvres semblaient en effet ne pas bien revenir en chaleur après l insémination. Dans la continuité de ce protocole, une étude visant à modifier le jour d injection pourrait permettre d améliorer ces résultats. Le protocole Hormone Free Le dernier protocole développé dans le cadre du projet Flock- Reprod est basé uniquement sur l effet mâle et la détection des chaleurs, qui est impérative. RÉSULTATS : Ce protocole a été testé en France, en Espagne, en Italie, en Roumanie et en Grèce sur 6 races, dans 21 élevages pour un total de 592 animaux. Les résultats de fertilité (% de chèvres diagnostiquées gestantes par échographie) ont été comparés à ceux d un lot témoin, présent dans chaque élevage, utilisant le traitement hormonal standard (THS). CONCLUSIONS : Avec une fertilité moyenne de 58 %, le protocole Hormone Free présente des résultats intéressants. Néanmoins, dans certains élevages le nombre de chèvres en chaleur n était pas suffisant pour que le protocole soit mis en place. Il fallait de plus prévoir le double de chèvres à l IA, ce qui mobilise beaucoup d animaux. Enfin, le moment de l IA n est pas prédéterminé ce qui réclame une certaine souplesse dans l organisation de la mise en place, qui pourrait être compliquée sur des lots de grande taille (> 100 IA). Certains éleveurs se sont de plus inquiétés d attendre trois jours entre l introduction des boucs et le moment de l insémination des chèvres, alors que certaines étaient déjà en chaleur. En France, les protocoles Flock- Reprod mis en place sur le terrain ont reçu un accueil mitigé de la part des éleveurs impliqués dans le projet, qui les ont globalement trouvés coûteux en temps, pour des résultats moins bons que ceux du traitement hormonal standard. L ensemble des remarques pour chacun des protocoles a été recueilli et certaines ont été restituées sous forme de témoignages dans le support DVD. Remarques générales sur les protocoles : La plupart des éleveurs ont trouvé l application du protocole d effet mâle compliquée à mettre en place. Les éleveurs désaisonnés ont en revanche trouvé que le réajustement des traitements lumineux avait été bénéfique sauf pour les lots de lactations longues. Les éleveurs reproduisant en été, ont trouvé gênant et peu naturel d éclairer pendant l été prenant cela comme une perte d énergie. Il a pour but de grouper les œstrus en saison sexuelle suite à un traitement lumineux alternant 3 mois de jours longs, 3 mois de jours courts, 3 mois de jours longs, 3 mois de jours courts, ou en contre-saison après un traitement lumineux classique. La mise en place terrain, essentiel dans la réalisation de ce projet européen, a été rendue possible grâce à la participation des éleveurs et à la mobilisation de techniciens Génoé que nous tenons à remercier pour leur application. Une réunion de restitution des résultats a été organisée par Génoé et l INRA début septembre pour les éleveurs ayant participé au projet. 9

10 Enfin, pour les éleveurs reproduisant en saison, le nouveau traitement photopériodique alternant 3 mois de jours longs, trois mois de jours courts, trois mois de jours longs et trois mois de jours courts, semble avoir été mal supporté par les chèvres qui étaient plus fatiguées et présentaient une diminution de leur production laitière. 4 - Diffusion de résultats : WP5 Un DVD et un guide pratique ont été développés pour servir de supports de diffusion des résultats du projet européen Flock-Reprod. Ils constituent des supports pédagogiques intéressants sur les méthodes de gestion de la reproduction caprine avec des rappels sur les traitements lumineux, l effet mâle et la physiologie de la chèvre. Toutefois, en vue des résultats de terrain, il a été convenu à la fin du projet que leur diffusion ne se ferait que dans le cadre de formation technique, afin que les protocoles soient présentés conjointement avec les résultats techniques obtenus. 5 - Perspectives : les suites du projet Flock-Reprod En France, Capgènes fondait beaucoup d espoir dans le projet européen Flock-Reprod, appuyé par une volonté forte de la filière et des professionnels caprins français. Aujourd hui les résultats du projet ont permis d approfondir les connaissances et de mieux appréhender les limites des techniques de reproduction alternatives au traitement hormonal standard (effet mâle). Bien que peu de différences existent au niveau économique entre les différents protocoles par rapport au traitement hormonal [1], les résultats techniques, à travers la fertilité, sont encore trop hétérogènes et inférieurs en comparaison de ceux des traitements hormonaux classiquement utilisés en France. Capgènes reste conscient de la nécessité de valoriser les travaux réalisés dans ce projet même si l on n est encore qu à mi-parcours. La robustesse et la répétabilité des protocoles Flock-Reprod ne sont pas encore suffisantes pour qu une utilisation de ces protocoles en routine soit préconisée. Pour que de telles dispositions soient prises, une optimisation de la fertilité et de la répétabilité des protocoles sont nécessaires. En effet, si la performance technique égale celle des traitements hormonaux, et même si le protocole sans hormone reste plus cher, les objectifs seront atteints. Pour cela, les travaux doivent continuer pour repréciser les questions qui se posent encore aujourd hui. Du temps et du travail sont donc encore nécessaires pour que des protocoles alternatifs aussi efficaces et performants que les protocoles hormonaux soient développés et préconisés en élevage. La constitution d un groupe scientifique européen permettra une réflexion collective sur l optimisation des protocoles. Capgènes et l INRA souhaitent poursuivre ces travaux qui restent une priorité pour la filière. Cette volonté de poursuivre est conditionnée par le fait que la France dispose aujourd hui d une éponge dosée à 45 mg qui ne nécessite pas de délai d attente pour le lait. Cette situation peut toutefois évoluer dans le temps. La perte économique engendrée alors par les traitements hormonaux pourrait ne pas être supportable pour les élevages, d où l intérêt de trouver des protocoles alternatifs. [1] 35,08 par femelle inséminée pour le traitement hormonal, contre respectivement 33,93, 31,69 et 43,30 pour les protocoles PG2, PG1 et HF 10

11 Lancement de campagne Les accouplements programmés de la campagne 2014 Photo : Flock-Reprod Série L : Un nouvel objectif de sélection En 2014, l objectif des accouplements programmés était d acheter environ 200 jeunes boucs de niveau génétique élevé pour constituer une série de testage de 85 mâles. Pour atteindre cet objectif, accouplements ont été programmés (580 en Saanen et 590 en Alpin) et pour la première fois, les cellules ont été prises en compte dans l objectif de sélection. Le choix des mères à boucs Les femelles retenues pour les accouplements programmés sont issues de 450 troupeaux adhérents Gènes + présentant un niveau de connexion suffisant pour que les index soient fiables. Les femelles sont choisies en fonction de : L âge (millésimes ). Race et type racial. Sans problèmes de reproduction. Qualification A ou P. Niveau génétique (Cellules, IPC, ICC). La Sélection à Parenté Minimum (SPM) a de nouveau été utilisée pour obtenir le moins de parenté possible tout en fixant le progrès génétique souhaité au préalable. Le niveau génétique des femelles retenues pour les accouplements programmés est présenté dans le tableau ci-dessous. Le choix des pères à boucs Une attention particulière a été portée sur les points suivants cette année dans le choix des pères à boucs : Limiter le poids des males pénalisants sur le lait en Saanen. Augmenter le poids des mâles hétérozygotes K dans le cadre de la résistance à la Tremblante. Race Saanen (n = 580) Race Alpine (n = 590) Moyenne Écart-type Moyenne Écart-type Index Lait Index Taux Protéique Index Taux Butyreux Index Cellules IPC IMC ICC Performances des primipares lait (312 j) : kg TP : 33,6 g/kg TB : 39,8 g/kg lait (302 j) : kg TP : 35,0 g/kg TB : 40,4 g/kg Performances moyennes des adultes lait (308 j) : kg TP : 33,8 g/kg TB : 36,7 g/kg lait (301 j) : kg TP : 35,2 g/kg TB : 39,3 g/kg 11

12 Lancement de campagne Au final, ce sont donc 24 boucs en Saanen et 21 en Alpin qui ont été retenus avec le niveau génétique suivant : Race Saanen Race Alpine Moyenne Ecart-type Moyenne Ecart-type Index Lait : Index Taux Protéique : Index Taux Butyreux : Index Cellules Index Production Caprin (IPC) Index Morphologique Caprin (IMC) Index Combiné Caprin (ICC) Les accouplements programmés En 2014, 1170 accouplements ont été retenus avec le niveau génétique suivant : Effectifs Lait TP TB Cellules IPC IMC ICC Consang. Saanen % Alpine % Projet CASDAR : Maxi Mâle Initié en 2013 et accepté fin 2014, le projet Maxi Mâle a pour objectif de produire des outils utilisables pour les schémas de sélection des petits ruminants afin d optimiser la gestion des mâles reproducteurs candidats au testage. Des phénotypes tels que les échographies testiculaires ou le comportement social des mâles vont être mis en lien avec la production de semences sur deux séries de testage. L objectif est d établir des prédicteurs de la précocité sexuelle, de la production de semences à l âge adulte et de faciliter ainsi les pratiques d entraînement et de collecte. Ce programme doit aussi permettre l évaluation génétique de ces caractères, afin de les prendre en compte dans l orientation des accouplements programmés. Capgènes sera impliqué dans la collecte de données comportementales des jeunes boucs du Centre, ainsi que dans la collecte de données en élevage, concernant les pratiques d élevage des jeunes mâles destinés au Centre. Les premiers résultats de ce projet sont attendus dès

13 Le point Photo : Flock-Reprod Impact de la nouvelle règlementation Tremblante sur les accouplements programmés La nouvelle règlementation La Tremblante est une encéphalopathie spongiforme transmissible qui passe souvent inaperçue en élevage caprin, avec des signes cliniques peu caractéristiques. Il n existe actuellement pas de traitement. Depuis juillet 2013, la règlementation concernant cette maladie a évolué. En cas de détection d un cas positif dans un élevage, l abattage systématique de l ensemble du troupeau reste cependant toujours valable. La modification en juillet dernier du Règlement Européen concernant les Encéphalopathies Subaigües Spongiformes Transmissibles, a conduit la France à s interroger sur la nécessité de mettre en place deux niveaux de certification : Élevage «à risque contrôlé», après trois ans de suivi, Élevage «à risque négligeable», après sept ans de suivi. Suite à différents échanges avec les professionnels, la certification «Élevage à risque contrôlé après trois ans de suivi» a ainsi été retenue. Dans le cadre de la nouvelle gouvernance sanitaire sur le territoire national, la Tremblante a été catégorisée comme un Danger Sanitaire de 1 re catégorie (D.S 1) et, Impact sur le schéma de sélection En tant qu Entreprise de Sélection et Centre de collecte de semences, Capgènes est soumis à la règlementation européenne. Les élevages dont les jeunes mâles sont issus d accouplements programmés, devront attester d une adhésion au CSO Tremblante d au moins trois ans pour que le jeune bouc puisse entrer en station de quarantaine. Les comptages suivants permettent de se rendre compte de l impact de cette nouvelle règlementation sur le schéma et sur les accouplements programmés dans les années à venir : Effectifs d élevages adhérents Gènes+ par statut CSO : Nombre d élevages Nombre d élevages Inscrits depuis plus de 3 ans Inscrits depuis moins de 3 ans Non inscrits au CSO Inscrits depuis plus de 3 ans à ce titre, est sous la responsabilité de l Etat. Néanmoins, les mesures de police sanitaire ne s appliquent plus qu à la Tremblante classique (en 2012, deux cas repérés sur plus de animaux testés). Effectifs d élevages en accouplements programmés en 2014 en fonction de leur statut CSO : Inscrits depuis moins de 3 ans Non inscrits au CSO

14 Le point Il est donc essentiel en vue de ces conditions, qu un maximum d éleveurs Gènes + s inscrive dès maintenant au CSO Tremblante. Plus le nombre d éleveurs inscrits depuis plus de trois ans sera élevé, plus le schéma de sélection sera performant, en assurant un progrès génétique meilleur tout en conservant la diversité des origines. La mise en place de la convention CSO Tremblante présente un double intérêt à la fois individuel et collectif pour les éleveurs sélectionneurs caprins, elle permet : De permettre la vente de reproducteurs vers un élevage de même statut sanitaire ou un autre Etat membre de l UE (échanges intracommunautaires) ou un pays tiers (exportations). D attester qu il n y a pas de problème de Tremblante dans l élevage au travers de la surveillance qui est mise en place (prévalence très faible). De répondre aux contraintes exigées par la réglementation pour l entrée des jeunes boucs en Centre de production de semences. De ce fait, l adhésion est maintenant une obligation pour les élevages engagés dans le schéma de sélection susceptibles de participer aux accouplements programmés, et ceci dans les meilleurs délais car la certification ne s obtient qu après 3 ans de suivi. Dispositions Les dispositions à prendre par l éleveur sont les suivantes : Inscription volontaire auprès des DDPP : ce dispositif reste une démarche volontaire des éleveurs, même si actuellement certaines mesures (tests effectués systématiquement à l équarrissage) s appliquent à tous les élevages caprins. L éleveur doit faire une demande de convention d inscription au contrô le sanitaire officiel Tremblante. En s inscrivant au CSO Tremblante, l éleveur s engage à respecter l ensemble des mesures suivantes pendant un délai minimum de 5 ans: Une visite annuelle du vétérinaire sanitaire : elle est à la charge de l éleveur, mais doit pouvoir être couplée avec d autres interventions dans l élevage, notamment les opérations de prophylaxie. Pas de pâturage en commun avec un cheptel qui n est pas lui-même en CSO. Introduction dans le cheptel uniquement d animaux issus d élevages eux-mêmes certifiés conformes au CSO : ce point devrait être facilité par la délivrance d une attestation particulière aux élevages bénéficiant de la certification. Le non-respect de ces exigences engendre une radiation d office de l élevage. En cas de résiliation de l éleveur ou en cas de radiation avant 5 ans, l éleveur doit de plus attendre un délai de trois ans avant de pouvoir s inscrire à nouveau au CSO Tremblante. 14

15 Actualité Pourcentage de fertilité 80 Évolution de la fertilité nationale Fertilité en alpin Fertilité en saanen Nombre d IA validées Nombre d IA validées Fertilité nationale à l IA Années Saanen Alpine Croisée Poitevine Total Statistiques nationales de fertilité MB sur IA fécondante MB sur retour ,8 % ,3 % ,4 % ,0 % ,6 % ,1 % 12 75,0 % 3 18,8 % ,5 % ,1 % Taux de mise-bas total 81,6 % La fertilité nationale après insémination animale est calculée à partir des femelles inséminées en 2013 dans les troupeaux inscrits au Contrôle Laitier Officiel. Le traitement de ces données a été réalisé en mai Ainsi, 90 % des effectifs inséminés sont intégrés dans les statistiques. La fertilité annoncée est calculée sur les mises-bas déclarées ce qui signifie qu elle est sous-estimée de l ordre de 2 à 3 %. La fertilité après IA est supérieure à l an dernier pour les mises-bas d IA et légèrement inférieure pour les mises-bas de retour. MB sur IA fécondantes Fertilité nationale ,5 % MB sur retour ,1 % Taux de mise-bas total ,6 % Du changement dans l équipe Capgènes Entrée à Capgènes en 2011, Mathilde TUAUDEN quittera notre organisme en novembre prochain. Elle était en charge des missions de communication et de reproduction au sein de Capgènes : élaboration et rédaction des supports lité ont été particulièrement bas. On observe un tendance à la hausse chez les deux races depuis les trois dernières années. Ces résultats s expliquent en partie par une meilleure maîtrise et un suivi des conditions d application des protocoles d insémination dans les troupeaux. La différence de fertilité entre les races est toujours observée en faveur de la race Alpine. Cet écart varie entre 4 et 6 points selon les années. En résumé, depuis 2001, la fertilité à l IA reste stable avec une exception en 2003, année de la canicule où les résultats de fertide communication, participation aux projets reproduction au niveau national, et avait également en charge l animation des pôles caprins. Nous la remercions pour ces qualités mises au service des adhérents de Capgènes et des partenaires, et lui souhaitons bonne réussite dans son nouvel avenir professionnel. 15

16 Agenda Capr Inov Capr Inov Photo : Capgènes La cinquième édition de ce salon spécialisé dans la production caprine se déroulera les jeudi 26 et vendredi 27 novembre prochains au parc des expositions de Niort. La participation de Capgènes se fera dans le même esprit que les éditions précédentes avec : Une présentation des mères à boucs et des filles issues d insémination pour illustrer les résultats du schéma. Une démonstration de pointage morphologique par des techniciens référents Capgènes. Pour la seconde fois une participation des races à faibles effectifs. Cette année plusieurs races seront ainsi présentes sur le salon avec quelques individus représentatifs de la race. Un stand Capgènes, situé à proximité du ring, où vous pourrez rencontrer et échanger avec vos techniciens référents. Le Salon International de l Agriculture L e Salon International de l Agriculture se tiendra du samedi 21 février au dimanche 1 er mars Pour cette nouvelle édition du salon, la chèvrerie revient dans le Hall 1 à coté du stand de l ANICAP. Cette année, les chèvres seront à l honneur avec l édition pour le Le Comité International Ovin et Caprin : Le Carrefour International Ovin - Caprin se tiendra les 8 et 9 Avril 2015 à Saint- Affrique dans l Aveyron. Salon d une nouvelle collection de Timbre La Poste à l effigie des races caprines françaises. Nous tenons à remercier l ensemble des associations de races qui ont participé à ce projet. Le CIOC témoignera de l importance du maintien de la diversité des races locales de petits ruminants en France et à l international. Il sera l occasion de partage, d échanges d informations et d expériences entre les différents pays. Organisme Entreprise de Sélection caprin multiracial Agropole , Route de Chauvigny MIGNALOUX-BEAUVOIR Tél. : 33 (0) Fax : 33 (0) capgenes@capgenes.com LE BULLETIN DE CAPGÈNES Bulletin annuel d information de l Organisme de Sélection Ce bulletin est réalisé avec l appui du Ministère de l Agriculture Responsable de la publication : M. Tuauden Rédaction : P. Boué, M. Tuauden, P. Martin, M. Pellicer (INRA), A. Fatet (INRA), K. Boissard (INRA), S. Freret (INRA) Photos : Capgènes, Flock-Reprod Création & réalisation : RéflexOne Impression : Mégatop 16

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