RECHERCHE DE REFERENCES EN PRODUCTION DE POMMES A CIDRE BIOLOGIQUES EN NORMANDIE

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1 RECHERCHE DE REFERENCES EN PRODUCTION DE POMMES A CIDRE BIOLOGIQUES EN NORMANDIE RAPPORT DE REALISATION 2014 Avec la contribution des producteurs de pommes à cidre du Service Vergers et Produits Cidricoles de la Chambre régionale d agriculture de Normandie Juin 2015

2 SOMMAIRE SOMMAIRE 1 PREMIERE PARTIE : RAPPORT DE REALISATION IDENTIFICATION DE L'ACTION 5 DESCRIPTION DU PROGRAMME 6 DETAIL DES ACTIONS MENEES EN ACTION 1 : maîtrise de l'alternance 10 A. Retour des essais d éclaircissage B. Essais d éclaircissage mis en place en ACTION 2 : maitrise des ravageurs et maladies 28 Action 2.1 : maîtrise de l anthonome (Anthonomus pomorum) 28 Action 2.2 : maîtrise de l hoplocampe (Hoplocampa testudinea) 36 Action 2.3 : maîtrise du puceron cendré (Dysaphis plantaginea) 48 Action 2.4 : maîtrise du carpocapse (Cydia pomonella) 55 Action 2.5 : maîtrise de la tavelure (Venturia inaequalis) 57 Action 2.6 : maîtrise du monilia sur fleur (Monilia laxa) 68 Action 3 : entretien du sol 70 Action 3.1 : fertilisation 70 Action 3.2 : entretien du rang 80 CONCLUSIONS 86 DEUXIEME PARTIE : SUITES DU PROGRAMME SYNTHESE ET PERSPECTIVES 90 DIFFUSION ET VALORISATION 95

3 RECHERCHE DE REFERENCES EN PRODUCTION DE POMMES A CIDRE BIOLOGIQUES EN NORMANDIE PREMIERE PARTIE : RAPPORT DE REALISATION 2014 Rapport d'activités

4 IDENTIFICATION DE L'ACTION 1. ORGANISME DEMANDEUR Chambre régionale d agriculture de Normandie - Comité Normand Cidricole (CNC) : instance des Chambres d Agriculture de Normandie réunissant les partenaires professionnels et techniques de la filière cidricole 6 rue des Roquemonts CS CAEN Cedex 4 2. COORDINATION TECHNIQUE Chambre d agriculture de Seine-Maritime Chemin de la Bretèque CS BOIS-GUILLAUME Cedex Contact : Nathalie CORROYER - mail : nathalie.corroyer@seine-maritime.chambagri.fr 3. ORGANISMES PARTENAIRES Chambre Régionale d'agriculture de Normandie - Service Vergers et Produits Cidricoles (SVPC) 6 rue des Roquemonts BP CAEN Cedex 4 Contact Basse-Normandie : Jean-Charles CARDON Contact Haute-Normandie : Bruno CORROYER Conseillers : Matthieu BENOIT, Alice DENIS et Gaël LEBON Stagiaire d avril à septembre 2013 : Harold DAUPHIN (Licence Productions végétales à Aurillac) IFPC - Station Cidricole - La Rangée Chesnel SEES - Contacts : Nathalie DUPONT et Jean LE MAGUET GRAB de Haute-Normandie - 9 rue de la Petite Cité - CS EVREUX Cedex Contact : Amélie VIAN GRAB de Basse-Normandie - 6 rue des Roquemonts CAEN Cedex 4 Contact : Claire BOUDEAU-BLANCHARD 4. PARTENAIRES SCIENTIFIQUES Groupe de Recherche en Agriculture Biologique (GRAB) à Avignon ITAB : Institut Technique de l Agriculture Biologique Fredon Nord Pas de Calais à Loos en Gohelle (62) Réseau arbo-ab coordonnée par Nathalie Rivière de la CA82 pour l APACA Unité Eco-Dev de l INRA PACA et le groupe vergers durables bio Station La Morinière à St Epain (37) Centre wallon de Recherches Agronomiques à Gembloux, Belgique 5. PARTENAIRES FINANCIERS France Agri Mer - CasDAR UNICID Participations professionnelles Note : la responsabilité du ministère chargé de l'agriculture ne saurait être engagée 5 Rapport d'activités 2014

5 DESCRIPTION DU PROGRAMME 1. CONTEXTE En pomme de table, il existe des études qui démontrent la faisabilité de la conduite d un verger de pommier en AB. Mais ces études doivent être adaptées aux spécificités de la pomme à cidre : matériel végétal et conditions pédoclimatiques complètement différents. En pomme à cidre, il n existe pas à ce jour de recherche spécifique dans les autres pays européens sur le pommier à cidre en AB. Ce programme constitue donc une des seules références techniques dans ce domaine. Cela est d autant plus important dans un contexte où l arboriculture biologique reste une production techniquement difficile à maîtriser ce qui constitue encore un frein à la conversion. En 2014, l Agence bio recense en Normandie 2139 ha de surfaces de vergers de fruits certifiés en AB en Normandie soit plus de 50 % des surfaces certifiées sur le bassin de production cidricole incluant la Bretagne (793 ha), les Pays de la Loire (850 ha) et la Picardie (184 ha). Cela montre la forte progression du verger biologique en Normandie puisque le verger certifié en AB n était que de 487 ha en 2009! Cette croissance traduit une demande toujours soutenue de la filière, en particulier pour les fruits à destination d élaboration de jus : depuis 5 ans, les ventes de jus de fruits bio ont augmenté de + 63 % en volume et la part de marché du bio pour les jus de fruits a doublé en 2 ans (source : Unijus). Pour la Normandie, cela se traduit par un nombre toujours croissant de producteurs biologiques adhérents au service technique du SVPC (Service Verger et Produits Cidricoles de la CRA Normandie) et donc une demande très importante de références techniques spécifiques à l AB. De même, le nombre d adhérents des GRAB (Groupements Régionaux d Agriculteurs Biologiques) de Haute et Basse-Normandie sollicitant des références techniques a augmenté. Par ailleurs, la demande des producteurs conventionnels de solutions biologiques est toujours réelle comme en témoignent les essais de ce programme réalisés chez des producteurs non engagés dans la certification en AB. Ce programme est mené en relation étroite avec les producteurs biologiques du SVPC, l IFPC (Institut Français des Productions Cidricoles) et les GRAB de Haute et Basse-Normandie. Les essai sont mis en place chez les adhérents du SVPC et des GRAB et sur la station de l IFPC. Les thématiques étudiées sont décidées en étroite relation avec les producteurs et les résultats sont largement diffusés sous forme de fiches techniques, notes dans les messages d avertissement, articles, journées techniques et interventions lors ce colloques. La problématique étant identique sur les deux régions, le programme est mené sur la grande région normande avec une répartition des actions entre les participants. Afin de mutualiser les compétences, les Chambres d agriculture et l IFPC ont confié la coordination du programme à une chargée de mission de la Chambre d agriculture de Normandie (mise à disposition de la CA 76). Les Groupements Régionaux des Agriculteurs Biologiques de Haute et de Basse-Normandie (GRAN BN et GRAB HN) sont associés à ce programme à différents niveaux : diffusion, réunions de coordination, participation à certains essais. Rapport d'activités

6 2. OBJECTIFS La problématique de ce programme est de créer des références spécifiques à la conduite d un verger de pommier à cidre en agriculture biologique. Ceci afin de répondre à diverses exigences : - Au niveau de la filière : une demande de plus en plus importante des industriels de la filière cidricole pour des pommes à cidre et à jus biologiques - Au niveau règlementaire : une adaptation à l objectif Ecophyto de réduction des intrants nécessitant d intégrer de plus en plus des nouvelles stratégies innovantes et/ou à base d intrants biologiques dans la conduite du verger - Au niveau technique : o une forte croissance des surfaces du verger de pommier à cidre biologique ces dernières années qui crée une demande importante de références sur le terrain o une demande de plus en plus importante des producteurs en PFI qui souhaitent intégrer des itinéraires type AB dans leurs pratiques - Au niveau sociétal : une demande de plus en plus importante des consommateurs pour les produits biologiques qui se retrouve au niveau de la consommation du cidre L objectif du programme de recherche de références en production en pommes à cidre biologiques en Normandie est : - d accompagner les producteurs en «AB», - mais aussi de transférer les techniques «AB» en vergers conventionnels. L objectif de ce programme est de proposer aux cidriculteurs normands des solutions techniques applicables en agriculture biologique et transposables en verger "conventionnel". Les solutions techniques développées en AB constituent aujourd hui pour l ensemble des producteurs de la filière des alternatives certes plus respectueuses de l environnement mais également performantes d un point de vue technico-économique. 3. PRESENTATION GENERALE DES ACTIONS MENEES EN 2014 Action 1 : maîtrise de l alternance L alternance est le principal verrou à la conduite d un verger de pomme à cidre en AB en raison de la forte alternance de la plupart des variétés. D un point de vue économique, l alternance n est pas compatible avec les demandes des industriels, à la fois en quantité et en qualité. En production fermière, c est un frein majeur pour élaborer un produit de qualité et à volume constant. Les essais menés dans les années précédentes montrent un certain succès des techniques d éclaircissage biologique testées avec une production plus régulière, même si on n est encore loin d atteindre une bonne régularité. Dans d autres cas, nous n avons obtenu aucun effet des techniques testées. Il reste donc à trouver des solutions efficaces et reproductibles. 7 Rapport d'activités 2014

7 Action 2 : maîtrise des ravageurs et maladies avec des techniques et/ou des produits biologiques L amélioration de la maitrise sanitaire du verger avec des produits et/ou des techniques biologiques et innovantes reste un point majeur de ce programme avec un choix de solutions relativement restreint à disposition des producteurs. Les actions menées en 2014 ont concerné les principaux problèmes rencontrés en production cidricole. Les thèmes généraux de cette action sont repris dans le tableau ci-dessous. N Action 2.1. Maîtrise de l anthonome 2.2. Maîtrise de l hoplocampe 2.3. Maîtrise du puceron cendré 2.4. Maîtrise du carpocapse 2.5. Maîtrise de la tavelure 2.6. Maîtrise du monilia sur fleur Thème Actions menées en 2014 Ce ravageur très inféodé aux vergers de la zone nord de la France cause localement des dégâts très importants dans certains vergers biologiques où il peut anéantir la quasi-totalité de la récolte. Depuis l interdiction de la roténone en 2011, les producteurs se retrouvent dans une certaine impasse technique et il est important de trouver rapidement des solutions. Les résultats des essais menés dans les années précédentes sont encourageants mais se heurtent à des problèmes règlementaires car le Spinosad et le Pyrèthre naturel autorisés par le règlement européen de l agriculture biologique n ont pas obtenu d autorisation de mise sur le marché en France. L agile calcinée en barrière physique pourrait constituer une alternative. Des résultats encourageants ont été obtenus en 2012 mais cela ne s est pas vérifié en Un autre produit à action de barrière physique ayant donné de bons résultats sur psylle du poirier à la station La Pugère a été testé en Ce ravageur est en recrudescence et il cause des dégâts importants en verger biologique, surtout depuis En «conventionnel», il existe un produit efficace mais, en agriculture biologique, la faible pression «insecticide» du verger ne permet pas de contrôler efficacement ce ravageur dont la pression croit d année en année en verger biologique en l absence de moyen de lutte spécifique. Les résultats des années précédentes montrent un intérêt possible de produits à base de plantes et du piégeage massif des adultes. Ces techniques nécessitent plusieurs années de recul avant d être validées, notamment en raison du cycle pluriannuel de l hoplocampe. Le puceron cendré reste un ravageur préoccupant en AB où il peut occasionner des pertes de rendement significatives et limiter fortement la vigueur en jeune verger. L utilisation de la roténone étant interdite depuis 2011 et le produit à base de Neem autorisé en AB et homologué dans d autres pays européens n ayant toujours pas obtenu d autorisation de mise sur le marché en France, il n existe à ce jour pas de solution applicable pour limiter le puceron cendré en verger biologique. Les travaux menés les années précédentes avec le Pyrèthre naturel montrent un intérêt limité de ce produit qui ne permet pas de contenir les populations à un niveau acceptable. L argile calcinée qui pourrait avoir un effet freinant sur la dispersion des colonies en saison (travaux de l INRA) a été testée en Le carpocapse cause des dégâts qui peuvent être relativement importants certaines années. Les piqûres sur les fruits sont des sources de pourritures pouvant entraîner la présence de patuline. La lutte contre le carpocapse est par conséquent essentielle dans le cadre des mesures prophylactiques à mettre en place au verger. Parmi les nouvelles pistes issues de travaux en pomme de table, le sucre à très faible dose pourrait avoir un rôle éliciteur des défenses du pommier et diminuer les dégâts (travaux de l INRA et du GRAB). Les essais réalisés en 2013 n ont pas permis de valider l intérêt de cette technique en raison de la présence trop faible de carpocapse sur la parcelle d essai. L essai a donc été reconduit en Principale maladie du pommier dans notre secteur, la tavelure est relativement bien maitrisée en AB mais la technique d intervention reste basée sur une stratégie préventive qui conduit à des interventions parfois non fondées si le risque tavelure annoncé (combinaison de la modélisation et de la météo) n a pas lieu. Les travaux de la station de Gembloux en Belgique sur pomme de table sont innovants car ils ont montré récemment un intérêt des produits utilisés en AB en intervention «durant contamination» qui permet d espérer une réduction du nombre de passages. Depuis 2012, cette technique est expérimentée dans nos conditions avec une certaine efficacité mais le nombre interventions n a pas pu être diminué en raison de la forte pluviométrie des printemps 2012 et Ces essais ont donc été reconduits en L autre piste est la réduction de l inoculum car plusieurs travaux en pomme de table montrent un intérêt du broyage des feuilles en hiver pour réduire le niveau d inoculum de tavelure présent sur les feuilles au sol. Depuis 2008, cette technique testée sur 2 vergers de pommier à cidre a mis en évidence l importance du niveau d inoculum dans la gestion de la tavelure l année suivante et cette technique a été également testé en Le pommier à cidre est particulièrement sensible à cette maladie qui cause de gros dégâts sur variétés sensibles. En l absence de nouveaux produits utilisables en AB, les essais avaient été suspendus sur cette thématique. Des travaux menés sur d autres espèces sensibles comme l abricotier montrent qu il existe des pistes nouvelles qui seront testées en Rapport d'activités

8 Action 3 : entretien du sol Action 3.1 : fertilisation Dans les régions de production cidricole, les sols sont globalement assez bien pourvus en matière organique ce qui peut contribuer à une alimentation satisfaisante des arbres en saison. Néanmoins, au printemps, les températures sont souvent insuffisantes pour la minéralisation de cette matière organique par les microorganismes du sol. On peut donc avoir un déficit d alimentation à la floraison qui se traduit par une mauvaise nouaison et des pertes de productivité. En verger biologique, on constate des rendements souvent inférieurs au potentiel des arbres, liés à une alimentation minérale insuffisante au moment de la floraison. Des apports d engrais biologiques au printemps pourraient remédier à ce problème. En verger conventionnel, ce type d engrais serait une alternative aux engrais minéraux. Des apports de différents types d engrais biologiques au printemps sont donc testés depuis 5 ans sur 2 sites d essai (vergers adultes). De nombreuses questions restent posées concernant le choix des engrais organiques, les quantités et les périodes d apport pour faire en sorte que les minéralisations des engrais organiques correspondent aux pics de besoin des arbres, sans influer sur la teneur en azote du jus dans le cas d élaboration de cidres non pasteurisés. Action 3.2 : entretien du rang En verger cidricole, l'entretien du pied des arbres (ligne de plantation) est une problématique fortement liée à la récolte des pommes au sol, qui est le plus souvent mécanique. Les pommes doivent tomber sur un sol nivelé et tassé, le plus sain possible afin de limiter les blessures et les souillures sur fruits qui entraînent des problèmes de conservation et peuvent engendrer des problèmes de mycotoxine dans les cidres (patuline). L'enherbement du sol sous la ligne de plantation est une solution intéressante permettant une meilleure conservation des fruits au sol (essais réalisés sur la station de l'ifpc). Cela est valable en verger adulte lorsque les arbres ont une vigueur suffisante permettant de supporter une certaine concurrence de l herbe au pied, surtout en Normandie où la pluviométrie n est pas forcément un facteur limitant. Cependant, cette technique doit être adaptée aux jeunes vergers plus sensibles à la concurrence herbacée et il reste à mettre au point d'autres couverts : herbacées moins concurrentiels, paillages, mulchs. Ceci est d autant plus important dans un contexte de «nouvelle vague» de plantation du verger cidricole. Différentes méthodes sont donc testées depuis 2009 avec des couverts alternatifs au désherbage chimique. Ces techniques pourraient présenter une alternative au désherbage en verger conventionnel. 4. DIFFUSION ET VALORISATION DU PROGRAMME Ce programme comprend un volet important de diffusion/valorisation auprès des producteurs adhérents du SVPC et des GRAB afin de favoriser la dynamique créée par ce programme autour des acteurs de la filière cidricole. Des visites, des formations et des journées d échanges sont organisées afin de restituer les résultats des essais et de favoriser l échange des pratiques des producteurs entre eux. De nombreux documents sont réalisés et diffusés à la fois auprès des adhérents des structures partenaires mais aussi auprès d un plus large public. 9 Rapport d'activités 2014

9 DETAIL DES ACTIONS MENEES EN 2014 ACTION 1 : MAITRISE DE L'ALTERNANCE Contexte L alternance est un souci majeur en pommes à cidre car beaucoup de variétés sont naturellement très alternantes. Cela engendre souvent une perte de productivité et une qualité moindre des fruits en année "plus". Cette alternance est très préjudiciable d un point de vue économique, autant pour les producteurs sous contrat et les industriels (quantités livrées variables d une année sur l autre) que pour les producteurs transformateurs (problème dans l assemblage de différentes variétés). En agriculture biologique, il n existe pas de produits éclaircissants comme c est le cas en conventionnel ; il faut donc trouver des alternatives. Les pistes testées en pommes de table sont expérimentées en les adaptant à la pomme à cidre compte tenu de sa plus forte sensibilité à l alternance. Objectifs Tester l efficacité éclaircissante de produits biologiques et de techniques mécaniques à la floraison ou au stade petits fruits.. Tester l efficacité de l association de ces différentes techniques Parcelle A. Retour des essais d éclaircissage Essai 1 Lieu : Ferme du Lavoir à Formigny (Calvados) Variété : Douce Moën Porte-greffe : MM 106 Année de plantation : 1993 Modalités étudiées 3 modalités T0 : Témoin T1 : Secouage seul T2 : Prev-B2 seul T3 : Secouage + Prev-B2 (engrais foliaire à base de terpènes d orange) Observations Observations année arbres/modalité et 2 branches/arbre pour taux de floraison et fructification récolte et poids moyen du fruit par l arbre Observations 2014 Indices de floraison et de charge avant récolte selon échelle de notation de 1 à 5 (1 = pas de fleur, 5 = «boule de neige») Récolte à l arbre Rapport d'activités

10 Rappel dates et stades d'intervention 2013 Dates T0 T1 T2 T3 27 mai 2013 : 15-20% de fleurs Prev-B2 Prev-B2 31 mai 2013 : F1-F2 Prev-B2 Prev-B2 3 juin 2013 : Début chute des pétales Prev-B2 Prev-B2 11 juillet 2013 Secouage secouage Conditions d intervention avec Prev-B2 : ppassage à la dose de 3 % de Prev-B2 à 500 l/ha. Conditions de secouage 2013 : l efficacité du secouage sur la modalité T1 (secouage seul) a été jugée visuellement moyenne malgré une pratique «poussée» jusqu à son maximum possible : chute de fruits et quelques bouquets entiers avec feuilles en partie haute des arbres. Aucune chute constatée en partie basse des arbres. Le secouage a été pratiqué de façon plus modérée dans modalité T3 (Prev-B2 + secouage) car il semblait «moins nécessaire» de faire encore tomber des fruits pour le retour Résultats Traitements Circ. (mm) Année N (2013) N+1 (2014) Poids du fruit (g) Kg/arbre Indice floraison (1 à 5) Indice charge (1 à 5) Kg/arbre Cumul Récolte T0 535,6 59, Non récolté 75 T1 526, Non récolté 72 «+» T2 535, Non récolté 63 T3 559, Non récolté 58 «+» Commentaires Les retours de floraison ont été faibles à moyens. La comparaison des indices de floraison permet de mettre en évidence un effet du secouage, mais pas du PrevB2. Par la suite, les taux d accrochage se sont révélés très décevants avec pour conséquence une absence totale de récolte ou des productions dont les niveaux ont fait juger inutile de ramasser. Ce défaut de nouaison généralisé aboutit à un cumul de production sur 2 ans défavorable aux modalités travaillées par rapport au témoin. Il est plus important pour les modalités avec PrevB2 en raison d un effet éclaircissage supérieur l année d intervention, mais non compensé par le retour de production Parcelle Essai 2 Lieu : EARL Cave de la fosse (Orne) Variété : Kermerrien Porte-greffe et distances de plantation : MM 106-5,5 m X 2,3 m Année de plantation : 2008 (6 e feuille en 2013) Modalités étudiées Trois modalités T0 : Témoin non éclairci T1 : éclaircissage mécanique avec Darwin T2 : Eclaircissage sur fleurs avec préparation à base d huile paraffinique + produit soufré à 80 % 11 Rapport d'activités 2014

11 Observations Observations année arbres/modalité et 2 branches/arbre pour taux de floraison et fructification récolte et poids moyen du fruit par l arbre Observations 2014 Indices de floraison et de charge avant récolte selon échelle de notation de 1 à 5 (1 = pas de fleur, 5 = «boule de neige») Récolte à l arbre et poids moyen du fruit/arbre sur 100 fruits Dates, contexte et nature des interventions 2013 Date T0 T1* T2 Stades B1 Stades B2 + BC 7 mai Darwin - - E-E2 14 mai ,6 l/ha* d huile + 6,7 kg/ha* de produit soufré. Volume d eau /ha : 864 l** - E3-F ; 3 à 5 % de fleurs ouvertes 22 mai ,5 l/ha* d huile + 6,6 kg/ha* de produit soufré. Volume d eau /ha : 851 l** E3 /quelques fleurs ouvertes G-H 27 mai ,9 l/ha* d huile + 6,1 kg/ha* de produit soufré. Volume d eau /ha : 790 l** E3 à F-F2 H * calculé : base 1000 l/ha ** calculé : base 121 m² traités, ramenée à l hectare. Conditions climatiques lors du traitement (huile + soufre) Date Heure du traitement Températures au moment du traitement Hygrométrie Climat 14 mai h30 9 C % nuageux 22 mai h00 18 C 80 % Ensoleillé avec quelques nuages 27 mai h50 22 C 60 % Ensoleillé Résultats Notes de floraison et de charge 2014 Traitements Note* moyenne de floraison Note* moyenne de charge T0 2,6 1,6 T1 3,95 3,2 T2 2,65 2,25 Production Traitements Poids moyen du fruit (g) Kg/arbre en 2014 Cumul kg/arbre ) Nb de fruits/arbre (calculé) en 2014 T0 71 9,2 36,5 130 T ,7 656 T ,2 44,3 332 Commentaires Les résultats de production de 2014 viennent confirmer un effet des interventions effectuées en L éclaircissage mécanique avec le Darwin offre la meilleure efficacité, avec un rendement cumulé ( ) presque doublé par rapport au témoin, non éclairci en Sur une base de 700 arbres /ha (référence), la modalité Darwin permet un gain de 20 tonnes /ha sur les deux années, approximativement. L effet du mélange huile + soufre a permis également de limiter l alternance. Sur la même base que celle citée dans le précédent paragraphe, cette modalité permet un gain de 6 tonnes /ha sur les deux années, par rapport au témoin. Rapport d'activités

12 Parcelle Essai 3 Lieu : Saint Aubin le Guichard (Eure) Variété : Petit Jaune Porte-greffe et distances de plantation : MM 106 5,5 m X 2,2 m Age du verger : 19 ans Modalités étudiées Trois modalités TO :Témoin T1 : Produit X (à base de soufre et de chaux) à la floraison en 3 passages T2 : Produit X à la floraison en 3 passages puis secouage au stade petit fruit Dose : produit X 45 kg/ha/passage Volume d eau : 1000 l d'eau/ ha Observations Notations sur séries de 10 arbres et 20 branches par série, soit deux branches par arbre taux de floraison des branches : le 15 avril 2014 récolte le 16 octobre 2014 : poids de fruits/arbre et poids moyen du fruit/arbre Interventions réalisées Dates Stades T0 T1 T2 8 mai % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha Produit X 45 kg/ha 15 mai % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha Produit X 45 kg/ha 22 mai % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha Produit X 45 kg/ha Prévu début juillet Petit fuit Secouage non réalisé Observation : le secouage n a pas été réalisé sur la modalité T2 en raison de la forte chute physiologique naturelle observée sur les arbres. Les modalités T1 et T2 sont donc identiques et regroupées en modalité T1-2 par la suite Rappel : la période d éclaircissage en 2013 avait a été caractérisée par un temps plutôt frais, peu favorable à la pollinisation et de fortes précipitations entre la 2 e et 3 e application. Résultats Modalités Poids du fruit (g) Année N (2013) N+1 (2014) Kg/arbre Taux floraison (%) Poids du fruit (g) Kg/arbre Cumul Récolte T0 30 a 59.3 a T b 22.3 b Rapport d'activités 2014

13 Commentaires Le retour sur le témoin non éclairci est quasi nul ce qui confirme l alternance de Petit Jaune. En revanche, le retour suer la modalité éclaircie avec le produit X est très bon et au final, la récolte 2014 compense la forte perte de récolte enregistrée en 2013 suite à un effet sur-éclaircissant du produit X favorisé par les conditions climatiques difficiles de la floraison 2013 Le produit X a donc montré une très bonne efficacité éclaircissante dans cet essai. Cet essai a également permis de montrer que, lorsque les conditions de pollinisation sont peu favorables (temps frais et humide), le nombre de passages du produit X devrait plutôt être réduit à 2 au lieu de 3 pour éviter un sur-éclaircissage. Parcelle Essai 4 Lieu : Heurteauville (Seine-Maritime) Variété : Kermerrien Porte-greffe et distances de plantation : MM 106 5,5 m X 2,2 m Age du verger : 15 ans Modalités étudiées Trois modalités T0 : Témoin T1 : Produit X (à base de soufre et de chaux) à la floraison en 3 passages T2 : Produit X à la floraison en 3 passages puis secouage au stade jeune fruits (secoueur à câble) Dose : produit X 45 kg/ha/passage avec adjonction d huile à 2 % Volume d eau : 500 l d'eau/ ha Observations Notations sur séries de 10 arbres et 20 branches par série, soit deux branches par arbre Taux de floraison : le 17 avril 2014 Récolte le 25 septembre 2014 : poids de fruits /arbre et poids moyen du fruit/arbre Interventions réalisées Dates Stade T0 T1 T2 12 mai % fleurs ouvertes 14 mai % fleurs ouvertes 16 mai % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Produit X 45 kg/ha + huile 2 % Prévu début juillet Petit fuit Secouage non réalisé Observation : le secouage n a pas été réalisé sur la modalité T2 en raison de la forte chute physiologique observée sur les arbres. Les modalités T1 et T2 sont donc identiques et sont regroupées en modalité T1-2 par la suite Comme sur l essai précédent, les conditions météorologiques ont été défavorables à la pollinisation et la pluviométrie relativement importante. Rapport d'activités

14 Résultats Modalités Poids du fruit (g) Année N (2013) N+1 (2014) Kg/arbre Taux floraison (%) Poids du fruit (g) Kg/arbre Cumul Récolte T T Commentaires En 2013, le produit X avait eu un effet sur-éclaircissant en raison des conditions climatiques peu favorables à la pollinisation. En 2014, la modalité éclaircie en 2013 a un très bon retour de production qui ne suffit cependant pas à compenser en production cumulée la forte baisse de récolte A la différence de l essai 4 ci-dessus, le témoin montre un assez bon retour en 2014 qui est lié à la variété (la variété Kermerrien étant moins alternante que Petit Jaune) et à un accrochage 2013 moyen en raison des mauvaises conditions de pollinisation. Cet essai a permis de montrer que le produit X a bien un effet éclaircissant qui peut même être trop important en année difficile pour la pollinisation sur des variétés moyennement alternantes comme Kermerrien. Parcelle Essai 5 Lieu : Tilleul Dame Agnès (Eure) Variété : Juliana Porte-greffe : MM 106 Modalités étudiées Deux modalités T0 : Témoin T1 : Prev B2 (engrais foliaire à base de terpènes d orange) Dose Prev B2 : 3 % Volume d eau : 500 l d'eau/ ha Observations Notations sur séries de 10 arbres et 20 branches par série, soit deux branches par arbre : Taux de floraison : le 15 avril 2014 Récolte le 16 octobre 2014 : poids de fruits /arbre et poids moyen du fruit /arbre Interventions réalisées Dates Stade T0 T1 16 mai % fleurs ouvertes Prev B2 à 3 % 18 mai % fleurs ouvertes Prev B2 à 3 % 21 mai 2013 Fin de floraison Prev B2 à 3 % Observation : aucune phyto-toxicité franche n a été observée avec le Prev B2. 15 Rapport d'activités 2014

15 Résultats Modalités Commentaires Poids du fruit (g) Année N (2013) N+1 (2014) Kg/arbre Taux floraison (%) Poids du fruit (g) Kg/arbre Cumul Récolte T T En 2013, les applications de Prev-B2 ont eu un effet éclaircissant significatif sur la nouaison et la fructification. Le témoin non éclairci était en sous-charge en raison des conditions de floraison très peu favorables de 2013 (temps froid et humide). En 2014, la modalité éclaircie montre un très bon retour en production. Le témoin montre également un retour du à la mauvaise nouaison Au final, les récoltes cumulées des 2 modalités sont voisines. Cet essai a permis de montrer que le Prev B2 à la dose de 3% a un effet éclaircissant très intéressant qui devra être vérifié sur d autres variétés. Parcelle Essai 6 Lieu : IFPC, Station Cidricole Sées (61) Variété : Douce Moën Porte-greffe et distances de plantation : M106 à 5,4m x 2m Age du verger : 6e feuille Modalités étudiées Quatre modalités T0 : Témoin non éclairci T1 : Produit X + huile T2 : Darwin précoce T3 : Darwin tardif Dose : produit X 15 kg/ha/passage. Adjonction d huile à 4 l/ha Volume d eau : 800 l d'eau/ ha Traitements et dates d'intervention Dates Jours /F2 T0 T1 T2 T3 30 avril j - passage Darwin - 16 mai j - passage Darwin Témoin non 22 mai j traité Produit X + huile 27 mai Produit X + huile - 3 juin j Produit X + huile - Réglages de la Darwin Inclinaison à en partie haute vers l intérieur de l arbre 6 km/h fils déjà utilisés moitié haute : tous les fils présents ; moitié basse : seulement 1 fil sur 3 1 passage à 380 tours /min à environ 1 m 1.20 des troncs (en bas des arbres) Rapport d'activités

16 Phénologie autour de la floraison C1-2 ou BBCH 53 le 29 avril 2013 D (E1) ou BBCH 56 le 9 mai 2013 E2-E4 (BBCH: 58) le 16 mai 2013 F2-30 à 50% de fleurs ouvertes (BBCH : 64) le 27 mai 2013 G3-G4 ou BBCH le 6 juin Conditions climatiques Les interventions sont matérialisées par des flèches. Observations 10 arbres par modalité (dispositif sur 2 rangs séparés d un rang de bordure ; un demi-rang de 18 arbres traités par modalité dont 10 arbres observés) et 20 branches/ modalité soit 2 branches/arbre. Résultats Modalités Description Taux de floraison Taux de nouaison Taux de fructification Taux de corymbes fructifères Taux de floraison T0 Témoin NT T1 T2 Produit X+ huile Darwin précoce T3 Darwin tardif Taux de floraison réalisé le 30 avril (avant passage de la Darwin) Taux de nouaison réalisé le 12 juin 2013 (après les applications de Produit X +huile) Taux de fructification et corymbes fructifères réalisés tardivement après chute physiologique le 23 août 2013 (chute physiologique en cours le 17 juillet) 17 Rapport d'activités 2014

17 cumul Modalités Description Circ. Troncs (mm) Kg/ arbre Poids du fruit (g) Nb de fruits/arbre (calculé) Kg/ arbre Kg/ arbre IP T0 Témoin NT 213 NC NC - NC NC T1 BSC + huile T2 Darwin précoce T3 Darwin tardif NC : non contrôlé Commentaires L année 2013 a été très particulière : les conditions climatiques froides au printemps ont entraîné un retard de phénologie très important notamment sur la variété Douce Moën (floraison le 1 er juin au lieu du 5-10 mai). Problème à la récolte sur la modalité témoin non traité d où l absence de résultats de production. Pas d efficacité de l association du produit X + huile, contrairement à l effet observé sur l essai en 2011 (même variété). Cela peut s expliquer par une dose insuffisante du produit X sur cet essai. Darwin précoce vs Darwin tardif : idem en termes de calibre et charge de l arbre taux de nouaison et de fructification inférieurs sur Darwin tardif Parcelle B. Essais d éclaircissage mis en place en 2014 Essai 1 Lieu : EARL Cave de la fosse (Orne) Variété : Kermerrien Porte-greffe et distances de plantation : M106-5,5 m X 2,2 m Année de plantation : 2011 (4e feuille en 2014) Modalités étudiées 3 modalités T0 : Témoin non éclairci T1 : Eclaircissage mécanique avec Darwin T2 : Eclaircissage avec un produit à base de chaux et de soufre (produit X) à la floraison en 3 passages Rapport d'activités

18 Dates et stades d'intervention Date T0 T1 T2 Stades B2 + BC* 22 avril Darwin - E2-E3 30 avril mai mai Conditions climatiques lors du traitement Date Heure du traitement 30 avril h 2 mai h 6 mai h Observations Températures au moment du traitement 17 C (T moyenne de 11 C) Produit X à 4 kg/hl volume de bouillie : 300 l/ha Produit X à 4 kg/hl volume de bouillie : 300 l/ha BSC à 4 kg/hl volume de bouillie : 300 l/ha Hygrométrie moyenne Pluviométrie cumulée du 1 er mai : 2,8 mm 15 C (T moyenne de 10 C) 18 C (T moyenne de 13 C) Pluviométrie cumulée du 6 mai : 4,4 mm Observations sur série de 10 arbres et 20 branches soit 2 branches/arbre. 50 % de fleurs ouvertes 70 % de fleurs ouvertes 90 % de fleurs ouvertes Climat 90 % Ensoleillé avec quelques nuages 90 % Nuageux % Ensoleillé Indice de floraison : de 1 (pas de fleur) à 5 (100 % des bourgeons à fleur). Le 18 avril Indice de charge de 1 (pas de fruits) à 5 (charge très forte). Le 19 septembre Résultats Chaque donnée est une moyenne sur un échantillon de 10 arbres de taille identique /modalité. Floraison Traitements Indice de floraison T0 4 T1 4 T2 4 Récolte Traitements Poids du fruit (g) * Indice de charge Kg/arbre Nb de fruits/arbre (calculé) T0 48 3, T1 40 2, T (*) Moyenne sur 100 fruits /arbre 19 Rapport d'activités 2014

19 Commentaires Les deux modalités éclaircissantes testés ont eu un net effet sur la réduction du nombre moyen de fruits/ arbre. On peut aussi penser qu il s agit de la cause principale, de baisse de production constatée, globalement divisée par deux par rapport au témoin. On ne peut toutefois pas négliger l incidence de la contamination tavelure observée sur le verger. Pour des raisons inexpliquées, elle est plus marquée sur les modalités éclaircies (notation = 3,2 selon échelle d intensité d attaque de 1 à 5) que sur le témoin (notation = 2). Elle impacte négativement le poids du fruit : 40 g environ pour les séries travaillées contre 48 g pour la modalité témoin. La notation de charge réalisée avant la récolte ne laissait pourtant pas présager de si gros écarts. Le niveau de production devrait à priori permettre un retour à fleur 2015 pour les arbres des modalités éclaircies. A voir, néanmoins les conséquences de cette contamination tavelure sur la mise en réserve alimentaire indispensable à la qualité des floraison et nouaison. Parcelle Essai 2 Lieu : Vaux-sur-Aure (Calvados) Variété : Douce Moën Porte-greffe et distances de plantation : M106 Année de plantation : 2009 Modalités étudiées Quatre modalités T0 : Témoin T1 : Secouage seul T2 : Prev-B2 seul T3 : Prev-B2 + secouage Dates et stades d'intervention Dates T0 T1 T2 T3 3 mai mai mai mai 2014 Prev-B2 (20 % de fleurs ouvertes) Prev-B2 (40-50 % de fleurs ouvertes) Prev-B2 (80 % de fleurs ouvertes) Prev-B2 (5 % de fleurs ouvertes) Prev-B2 (20 % de fleurs ouvertes) Prev-B2 (80-90 % de fleurs ouvertes) 23 mai 2014 Prev-B2 Prev-B2 2 juillet 2014 secouage secouage Rapport d'activités

20 Conditions climatiques lors du traitement Conditions d intervention avec Prev-B2 Passage à la dose de 3% de Prev-B2 à 500 l/ha. Aucune phyto-toxicité franche n a été observée le 23 mai Une forte floraison est apparue sur le bois d un an : l intervention du 23 mai 2014 a donc été réalisée afin que cette floraison n altère pas trop les résultats de cette année et surtout le retour à fleur de l année prochaine. Conditions de secouage Les conditions de secouage étaient excellentes. Il est à noter que les pommes de la modalité T3 (Prev-B2 + secouage) étaient visuellement plus grosses et moins nombreuses que celles de la modalité T1 (secouage seul). Le secouage a été pratiqué de façon plus modérée dans modalité T3 (Prev-B2 + secouage) car il semblait «moins nécessaire» de faire encore tomber de fruit pour le retour Observations Observations sur série de 10 arbres et 20 branches soit 2 branches/arbre. 21 Rapport d'activités 2014

21 Résultats Fructification (sur B2 et plus et BC) Traitements Taux de floraison 22/04/14 Taux de nouaison 17/06/14 Taux de fructification* 07/07/14 Taux de corymbes fructifères** 07/07/14 T0 89,7 a 210,1 b 154,4 b 78,6 T1 87,2 a 254,8 a 185,9 a 84,2 T2 90,9 a 196,3 bc 157,1 b 80,5 T3 (1) 76,7 b 177 c 157,5 b 77,4 Test de Neuwman-Keuls au seuil de 5 % S S S NS (*) après chute physiologique (fin juin) (**) = Nbre de corymbes avec au moins 1 fruit après la chute physiologique/nbre de bouquets initial (1) Comptages sur 18 branches Production Traitements Circonf. (mm) 16/04/14 Poids du fruit (g) 14/10/14 Kg/arbre 20/10/14 Nb de fruits /arbre (calculé) T ,1 a 27,7 b 679 a T ,6 b 32,1 ab 553 a T ,9 b 36,5 a 630 a T ,9 c 20,1 c 269 b Test de Neuwman-Keuls au seuil de 5 % Commentaires S S S La modalité T3 (Prev-B2+secouage) présente un taux de floraison plus faible par rapport au témoin : les arbres de cette modalité étaient moins fleuris au démarrage de l essai (hétérogénéité). Les interventions avec le Prev B2 (T2 et T3) montrent un effet significatif sur la diminution du taux de nouaison de 6 et 16 % respectivement par rapport au témoin. Mais cet effet n est plus observé sur les taux de fructification qui sont proches du témoin. La modalité T1 (secouage) présente un taux de nouaison supérieur à celui du témoin alors qu aucune intervention n a été effectuée (hétérogénéité). Même après secouage, on remarque que le taux de fructification est encore supérieur de 20 % au témoin. Au final, le taux de corymbes fructifères n a pas été modifié par les différents traitements (non significatif). Les paramètres de floraison/fructification montrent une diversité de réponses aux différents traitements. Les traitements T1 (secouage seul) et T2 (prev-b2) ont induit des résultats très comparables pour le poids de fruit, la production par arbre et le nombre de fruits par arbre. Tous les traitements ont montré un effet positif sur le poids des fruits, de 50 (T1 et T2) à 100 % (T3). Contrairement à ce que nous aurions pu attendre, toutes les modalités n ont pas montré des effets positifs pour la production par rapport au témoin : ainsi, T1 et T2 ont induit une augmentation de la production (respectivement de 16 et 32 %) alors que T3 a provoqué (comme attendu) une diminution de la production de 28 %. La modalité T3 (Prev-B2 + secouage) est la modalité la plus efficace. Rapport d'activités

22 Parcelle Essai 3 Lieu : Saint Aubin le Guichard (Eure) Variété : Petit Jaune Porte-greffe et distances de plantation : MM 106-5,5 m X 2,2 m Age du verger : 20 ans Modalités étudiées Deux modalités TO :Témoin T1 : Produit X (à base de soufre et de chaux) à la floraison en 3 passages Dose : produit X 45 kg/ha/passage Volume d eau : 1000 l d'eau/ ha Interventions réalisées Dates Stades T0 T1 25 avril % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha 28 avril à 60 % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha 9 mai 2014 Fin de floraison Produit X 45 kg/ha Observation : la dernière intervention est intervenue un peu tard. Conditions climatiques lors du traitement Date 25 avril avril mai 2014 Températures au moment du traitement 13 C (T moyenne de 12.2 C) Pluviométrie cumulée au 26 avril : 16.5 mm 10 C (T moyenne de 11 C) 15 C (T moyenne de 14 C) Pluviométrie cumulée du 8 mai : 44 mm Climat Nuageux Nuageux Ensoleillé Globalement bonnes conditions de pollinisation. 23 Rapport d'activités 2014

23 Observations Notations sur séries de 10 arbres Indice de floraison : de 1 (pas de fleur) à 5 (100 % des bourgeons à fleur). Le 24 avril 2014 Indice de charge de 1 (pas de fruits) à 5 (charge très forte). Le 17 juillet et 25 septembre 2014 Résultats Chaque donnée est une moyenne sur un échantillon de 10 arbres de taille identique /modalité. Floraison Traitements Indice de floraison T0 4-5 T1 4-5 Récolte Traitements Indice de charge T0 3,5 T1 3.5 (*) Moyenne sur 100 fruits /arbre Commentaires Aucun effet du produit éclaircissant testé dans cet essai. Ceci est sans doute dû à la 3e intervention trop tardive. Cet essai a permis de montrer que, sur une variété très alternante comme Petit Jaune, 2 interventions du produit éclaircissant X sont insuffisantes. Parcelle Essai 4 Lieu : Heurteauville (Seine-Maritime) Variété : Douce Coët Porte-greffe et distances de plantation :MM 106-5,5 m X 2,2 m Age du verger : 15 ans Modalités étudiées Deux modalités T0 : Témoin T1 : Produit X (à base de soufre et de chaux) à la floraison en 3 passages Dose : produit X 45 kg/ha/passage Volume d eau : 500 l d'eau/ ha Rapport d'activités

24 Interventions réalisées Dates Stades T0 T1 25 avril % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha 29 avril à 80 % fleurs ouvertes Produit X 45 kg/ha 3 mai 2014 Fin de floraison Produit X 45 kg/ha Observation : les interventions ont débuté alors que la floraison était déjà bien avancée et donc une partie des fleurs déjà pollinisée. Globalement, les conditions de pollinisation sur cet essai ont été bonnes. Observations Notations sur séries de 10 arbres Indice de floraison : de 1 (pas de fleur) à 5 (100 % des bourgeons à fleur). Le 22 avril 2014 Indice de charge de 1 (pas de fruits) à 5 (charge très forte). Le 29 septembre 2014 Résultats Chaque donnée est une moyenne sur un échantillon de 10 arbres de taille identique/modalité. Floraison Traitements Indice de floraison T0 5 T1 5 Récolte: Traitements Indice de charge T0 3,4 T1 3.4 (*) Moyenne sur 100 fruits /arbre Commentaires Aucun effet du produit éclaircissant testé dans cet essai. Ceci est lié aux interventions trop tardives. Cet essai a permis de montrer que, pour avoir un effet éclaircissant, les applications du produit X doivent absolument être démarrées dès le début de la floraison. 25 Rapport d'activités 2014

25 Parcelle Essai 5 Lieu : Criquiers (Seine-Maritime) Variété : Clos Renaux Porte-greffe : MM 106 Modalités étudiées Deux modalités T0 : Témoin T1 : Prev B2 (engrais foliaire à base de terpènes d orange) Dose Prev B2 : 3 % Volume d eau : 500 l d'eau/ ha Interventions réalisées Dates Stades T0 T1 9 mai à 30 % fleurs ouvertes Prev B2 3 % 12 mai % fleurs ouvertes Prev B2 3 % 14 mai % fleurs ouvertes Prev B2 3 % Conditions d intervention. Les interventions ont été réalisées au pulvérisateur à dos. Le 1 er traitement a dû être réalisé sans le jet porté en raison d une panne de l appareil. Pluie après le premier traitement : 5 mm Pluie après le second traitement 1.5 mm Pas de pluie après le 3 e traitement Globalement, bonnes conditions de pollinisation Observations Notations sur séries de 10 arbres et 20 branches par série, soit deux branches par arbre : Taux de floraison : le 5 mai 2014 Taux de nouaison : le 10 juin 2014 Taux de fructification; taux de corymbes fructifères (corymbe avec au moins 1 fruit) : le 7 juillet 2014 Récolte : poids de fruits /arbre et poids moyen du fruit /arbre : le 17 octobre Rapport d'activités

26 Résultats Phytotoxicité : présence d une phytotoxicité franche sur fleurs et sur très jeunes feuilles suite au 2 premiers traitements : peut-être un effet de remise en solution du produit favorisé par la pluviométrie suite à ces deux interventions? Fructification (sur B2 et +) Production Modalités Taux de floraison Taux de nouaison Taux de corymbes fructifères T0 90, a 22.9 a T b 4.1 b Test de Nuewmann Keuhls NS S S Traitements Poids du fruit (g) Kg/arbre Nb de fruits /arbre (calculé) T0 50 a 50.3 a 1006 T1 62 b 25 b 403 Commentaires Le Prev B2 a eu une forte efficacité éclaircissante dans cet essai à la dose de 3% et avec 3 interventions échelonnées sur toute la durée de la floraison. Par ailleurs, un effet phytotoxique a été observé qui a peutêtre contribué à l effet éclaircissant. L incidence de cette phytotoxicité sur la floraison 2015 devra être observée. 27 Rapport d'activités 2014

27 ACTION 2 : MAITRISE DES RAVAGEURS ET MALADIES Contexte Action 2.1 : maîtrise de l anthonome (Anthonomus pomorum) L anthonome du pommier est un ravageur préoccupant dans notre région en verger cidricole en agriculture biologique et dans certains vergers conventionnels. En 2014, la pression de ce ravageur a été plus importante que les autres années en raison des températures favorables à ce ravageur en début de saison au moment du pic d activité de l anthonome. La régulation naturelle par les auxiliaires et les oiseaux est insuffisante sur ce ravageur dont les populations croissent de façon importante d année en année. Il n existe aucun produit biologique homologué à ce jour : une solution alternative doit donc être trouvée. Des essais réalisés à la station La Pugère ont montré une bonne efficacité du lait de chaux (BNA= Badigeon Naturel à l Ancienne) en barrière physique sur le psylle du poirier dont le mode de dégât est semblable à celui de l anthonome. Objectif Tester l efficacité du lait de chaux (BNA = Badigeon Naturel à l Ancienne) en barrière physique pour limiter les piqûres et donc les dégâts sur fleur causés par l anthonome du pommier. Parcelle Essai 1 Lieu : GAEC du Haut Rocher. Saint Senier de Beuvron (Manche) Superficie : 1.5 ha Variétés : Judeline/Judaine sur MM 106 Porte-greffe : MM 106 Pression anthonome : assez élevée Modalités étudiées Trois modalités T0 = Témoin non traité T1 = BNA le 13/03/2014 T2 = BNA le 13/03/ Produit X le 19/03/2014 Interventions réalisées Date Conditions climatiques Stade Témoin BNA Produit X 13/03/2014 Temps frais et nuageux Temp moy = 8.1 C C Judaine C-C3 Judeline 100 l (un peu sous dosé, 15 % au lieu de 20 % préconisé) 19/03/2014 (environ 15 jours après le début du vol) Temps frais mais ensoleillé Temp moy : 11.6 C Remarque : 24.5 mm dans les 5 jours suivants, dont 9 mm le lendemain du traitement C-C3 Judaine C3-D Judeline 0,2 l/ha Volume d eau 750 l/ha (dont 100 l BNA) 500 l/ha Déclenchement des applications par suivi des populations d anthonome sur le verger par frappages. Méthode de frappage : 100 frappages à raison de 2 frappages/arbre sur 50 arbres choisis au hasard (frappage = frapper une branche 3 à 5 fois avec une matraque en caoutchouc pour récupérer les insectes qui tombent sur une plaque blanche). Seuil d intervention : 10 à 20 adultes sur 100 frappages; fréquence : 1 à 3 fois/semaine selon la période. Rapport d'activités

28 Dispositif expérimental Essai sur des blocs de quelques rangs/modalité (sauf arbres témoin laissés en bout de rang). Déclenchement des applications par suivi des populations d anthonome sur le verger par frappages. Méthode de frappage : 100 frappages à raison de 2 frappages/arbre sur 50 arbres choisis au hasard (frappage = frapper une branche 3 à 5 fois avec une matraque en caoutchouc pour récupérer les insectes qui tombent sur une plaque blanche). Seuil d intervention : 10 adultes sur 100 frappages; période de frappage de mi-avril à début mai ; fréquence : 1 à 3 fois/semaine selon la période. Observations Nombre d anthonomes recueillis par frappage et détermination du pic de présence. Contrôle visuel sur 1000 bourgeons à la floraison : nombre de corymbes atteints et nombre de fleurs atteintes/corymbe. Résultats Frappages Le 11/03/2014 : les frappages réalisés avant tout traitement indiquent 22% de frappages avec présence, le seuil d intervention est atteint. Le 19/03/2014 : pic de présence. Les frappages réalisés dans la partie témoin indiquent 100% de frappages avec présence (2 anthonomes par frappage). Ceux réalisés dans la partie BNA indiquent 30% de frappages avec présence, le seuil est dépassé d où la décision de traiter une partie avec le produit X. Contrôle visuel de 1000 corymbes Les comptages de dégâts ont été réalisés le 19/04/2014. Nombre moyen de fleurs atteintes / bouquet % de bouquets atteints (comptages sur 1000 bouquets) BNA % Efficacité par rapport au témoin* 35 % 25 % BNA + produit X % Efficacité par rapport au témoin* 82 % 82 % Témoin % * Efficacité par rapport au Témoin selon la formule de Abbott : Efficacité = (Résultat Témoin Résultat Produit ) / Résultat Témoin Essai Anthonome St Senier de Beuvron Corymbes attaqués (en %) 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 1,3 fleur attaquée /corymbe 0,85 fleur attaquée /corymbe 0,24 fleur attaquée /corymbe 10% 0% Témoin BNA BNA + produit X Commentaires La présence du ravageur était forte dans cet essai avec 2 anthonomes par frappage dans la partie témoin le 19/03/2014. L efficacité de l application de BNA sur le pourcentage de bouquets atteints est de 25 %. Celle 29 Rapport d'activités 2014

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