La méthode du séminaire praxéologique. Robert Lescarbeau

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1 CHRONIQUE MÉTHODE La méthode du séminaire praxéologique Robert Lescarbeau La formation est une activité professionnelle qui consiste à aider une personne ou un groupe de personnes à acquérir des compétences nécessaires à l exercice d une profession, d un métier ou d une activité. Cette activité de formation s adresse habituellement à des personnes qui sont ou qui ont déjà été sur le marché du travail. À titre d exemples, un milieu de soins de santé désire développer chez ses intervenants les compétences requises à la pratique multidisciplinaire. Un autre veut que ses chefs d équipe deviennent de meilleurs animateurs de réunion. Un autre enfin désire que les assistantes infirmières-chefs développent des habiletés d encadrement du personnel. Qui dit compétences entend aussi bien le développement des connaissances et des attitudes que celui des habiletés. Bien que dans la tradition des relations humaines, la formation vise surtout, le développement d habiletés personnelles et interpersonnelles (Lescarbeau, Payette et St-Arnaud, 2003), le formateur devra parfois passer par les attitudes et influencer le savoir pour modifier le savoir-faire. Ainsi, pour être efficace, le formateur devra avoir l aptitude à choisir les méthodes de formation appropriées aux objectifs qu il poursuit. Plusieurs méthodes s offrent à lui. Si son but consiste à mettre l emphase sur le développement d habiletés particulières, l atelier, la méthode du laboratoire en sciences humaines, la formation par l action, la simulation, le coaching, l atelier de praxéologie centrée sur l autorégulation sont des méthodes éprouvées qu il pourra utiliser avec profit. Par ailleurs, si on lui demande d apporter du soutien à des intervenants, le groupe de codéveloppement ou le groupe de soutien pourraient s avérer avantageux. En revanche, s il doit sensibiliser un auditoire à un enjeu particulier ou à des problématiques particulières comme, par exemple, l éthique au travail, la qualité de vie au travail, l équilibre travail et famille, la mobilisation du personnel,

2 138 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée quelles méthodes va-t-il employer? Il devra choisir entre la conférence, le colloque, le panel, l entrevue de groupe, le groupe de discussion, la méthode du dialogue ou le séminaire praxéologique. Cette chronique porte sur cette dernière méthode. Ainsi, une définition du séminaire sera proposée et les types de discussion rencontrés dans la pratique seront esquissés. Puis, la structure du séminaire praxéologique et le rôle du formateur dans ce type de séminaire compléteront l article. Le séminaire et les types de discussion En formation, la méthode du séminaire est très peu utilisée. La plupart des formateurs maîtrisent assez bien l exposé, en connaissent les principes qui en font un succès. Mais il en est tout autre pour la méthode du séminaire. Selon McCormick et Kahn (1982), le séminaire est «un échange dirigé, sur un sujet donné, qui implique tous les membres d un groupe, y compris le professeur qui agit à titre de modérateur de la discussion» (p. 16). Ce dernier peut donner la parole, relancer le débat, orienter la discussion dans une voie qui lui apparaît prometteuse, corriger des perceptions, donner la parole, faire des synthèses, objectiver certaines interventions. Bien sûr, il y a différents types de discussion dans le cadre d un séminaire et chacun comporte des particularités qui vont affecter les résultats obtenus. Il y a les discussions de type compétitif, celles qui sont du type «parade de mode» et, enfin, celles du type «cafétéria». Chacun de ces types a ses limites lorsqu il s agit d approfondir un sujet et de parvenir à une position articulée en étant conscient des avantages et des inconvénients qu elle représente. Le type compétitif Notre culture nous a enseigné à argumenter et à rechercher la faiblesse dans la position défendue par un opposant. Le séminaire est parfois structuré de façon à ceque chaque participant se perçoive en compétition avec les autres, cherchant à démontrer son leadership par son argumentation, la cohérence et l articulation de son discours, la profondeur de sa pensée et sa force de caractère. Dans un milieu de travail, surtout en la présence d un supérieur immédiat, certains participants peuvent chercher à se faire remarquer et à s imposer aux autres ou à leur faire perdre la face. Ce type de séminaire résulte en une situation où le groupe sera perdant puisque les idées n auront pas toutes été explorées à fond. Si quelqu un réussit à s affirmer, ce sera probablement au détriment des autres. La pensée de l un domine celles des autres.

3 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée 139 Le type «parade de mode» Le deuxième type de discussion que l on retrouve dans un séminaire s apparente à une parade de mode. Les idées sont émises pour exposer sa culture, l articulation de sa pensée, la profondeur de ses réflexions. À la différence du type qui précède, le présentateur cherche à susciter l admiration. Un fois ses idées ou ses synthèses exposées, il se retire pour articuler et mûrir une autre démonstration. S il écoute les propos des autres présentateurs, c est pour mieux étoffer le sien. Ici aussi, c est chacun pour soi. La production du groupe en souffre, le groupe ne cherche pas à produire quelque chose ensemble. Tant mieux si on parvient à approfondir un sujet pour répondre aux besoins qui ont amené la mise en place du séminaire. Le type cafétéria Le troisième type de discussion que l on retrouve dans un séminaire est du type cafétéria. Le groupe travaille un peu plus en fonction de cibles communes qui se succèdent. Il n y a pas une seule cible, une production qui rallie tous les participants. Il n y a pas un objectif vers lequel tous les efforts convergent. Dans le type cafétéria, le participant expose un contenu, que ce soit un principe, un modèle, une idée ou une méthode. Les autres explorent le sujet durant un certain temps en posant des questions, en apportant des précisions à partir de leurs propres lectures ou synthèses, en relevant les inconsistances ou les ambiguïtés que soulèvent la discussion ou la présentation. Lorsque le groupe a l impression d avoir fait le tour du sujet, quelqu un d autre offre d explorer un autre thème. L opération reprend jusqu à ce que l on ait épuisé les sujets disponibles. Cet exercice ne permet pas vraiment d approfondir une question et d articuler sa pensée sur un sujet donné. Tout au plus permet-il d obtenir de l information sur un ou plusieurs sujets en se donnant l impression qu on les a étudiés avec soin et qu on les possède. Peut-on corriger ces lacunes et faire en sorte que la méthode du séminaire soit efficace en formation? Pour être efficace, elle devra permettre aux participants d articuler leur savoir, de travailler de concert à approfondir un sujet, de produire un nouveau savoir bien adapté à leur situation. Une hypothèse qui est en voie d expérimentation est le séminaire praxéologique. Le séminaire praxéologique Le séminaire praxéologique intègre trois théories complémentaires : la relation coopérative, la praxéologie et le dialogue. La première postule qu un groupe de

4 140 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée participants sera plus efficace s il s efforce d interagir en respectant les règles de la coopération plutôt que de miser sur la compétition. La deuxième cherche à faire la science du particulier, en considérant que l action ou l expérience des participants précède le savoir et que toute théorie est une hypothèse à valider dans l action. La troisième s efforce de créer un «espace» où les participants vont mettre leurs ressources en commun pour articuler leur propre réflexion et développer une position commune sur un sujet ou une problématique particulière. Dans le dialogue, le dilemme servira à créer ou à produire une synergie qui deviendra un mécanisme de dépassement, de concertation et de création pour le groupe. Trois conditions sont requises pour qu un groupe fonctionne en s appuyant sur les principes de la relation coopérative. D abord, tous les membres doivent interagir en fonction d un même but que chacun valorise et qui est clairement explicité. C est la cible commune. Ensuite, les ressources de chacun doivent être mises à contribution en fonction de son champ de compétence. Dans le séminaire praxéologique, l expérience de chacun lui attribue une compétence et chacun devrait intervenir en fonction de son expérience du milieu ou des situations qu il a connues. La référence au milieu sera privilégiée puisqu il constitue un point de référence commun, en dépit des différences de perception. Pour satisfaire ces conditions, le séminaire praxéologique se structure autour de trois parties : une préparation et un «contrat» avec les participants, un processus ou un déroulement et, enfin, un suivi. La préparation et le «contrat» Une première opération que le formateur doit effectuer est de clarifier l objectif que le milieu poursuit et de s assurer que le séminaire praxéologique est la méthode qui convient. Après avoir exposé au client sa compréhension de la situation, la proposition qu il lui soumet et en être venu à une entente, le formateur devra déterminer avec celui-ci quelles personnes constituent le système-client potentiel. Les objectifs de la démarche seront alors communiqués à ces personnes de même que les principes qui régissent le séminaire praxéologique et les engagements que les participants prendront. Ensuite, on procède à l inscription au séminaire. La participation doit être libre, compte tenu de la nature même du séminaire; il faut éviter d avoir de l énergie résiduelle si on veut que le groupe soit à l aise et qu il produise. Les «touristes», c est-à-dire ceux qui viennent «voir» doivent être évités. Tous les participants doivent se sentir interpellés par la cible. Voici, à titre d exemple, une cible qu un groupe de gestionnaires pourrait poursuivre dans le cadre d un séminaire praxéologique : améliorer la mobilisation des équipes.

5 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée 141 On procède ensuite à la sélection des participants pour la formation des groupes. Selon les objectifs, on recherchera l uniformité ou la variété dans l application de différents critères, par exemple : la provenance, les années d expérience, le sexe, les niveaux de gestion. Le nombre maximum de participants dans un groupe doit se limiter à 15 si on désire que chacun puisse s exprimer. Avec ce nombre, si certains abandonnent en cours de route, le groupe pourra quand même poursuivre son cheminement. L opération suivante est de choisir un texte de départ approprié. Le formateur fera une première sélection. Avec quelques personnes, il pourra faire le choix final du texte qui servira de déclencheur et qui sera utile pour se donner un vocabulaire commun afin de traiter le sujet. Ce texte doit être suffisamment large et accessible. Il pourrait provenir d un rapport de recherche ou d un document d introduction qui fait le tour de la question. Dans l exemple qui précède, le formateur pourra choisir un texte qui clarifie le concept de mobilisation, fournit des exemples de moyens qui se sont avérés une source de mobilisation et fait état d une expérience vécue. Le texte sera ensuite transmis à chacun des participants en leur demandant d en faire la lecture et de formuler une question que lui suggère la lecture du texte et qui va permettre au groupe d approfondir le sujet de la mobilisation des équipes. Les questions seront transmises au formateur qui en fera la liste, après avoir requis des précisions du proposeur si nécessaire. Cette liste sera anonyme. Le processus ou déroulement du séminaire praxéologique Le processus ou déroulement du séminaire praxéologique comporte huit étapes distinctes. Ces étapes sont les suivantes : 1- Ouverture du séminaire, accueil des participants, rappel des règles, présentation des étapes et activité «brise glace» afin d instaurer un climat propice aux échanges. 2- Révision de la liste de questions qui ont été soumises par les participants et entente sur le sens à donner à chacune des questions, si nécessaire. Énonciation et regroupement des questions complémentaires. 3- Choix d une question à considérer par vote indicatif. Cette question devient la question du groupe et non celle de la personne qui l a soumise. Le vote indicatif est une technique qui permet d identifier des préférences. Chacun des participants peut voter pour chacune des questions qui

6 142 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée représente un intérêt ou une source de stimulation pour lui. Le groupe retiendra la question qui suscite le plus d intérêt. Dans l exemple donné plus haut, une des questions aurait pu être : quelles sont les méthodes de mobilisation qu il est réaliste de considérer dans notre contexte? Une autre question aurait pu être : y a-t-il des méthodes qu il faut éliminer d emblée? Une troisième aurait pu être : peut-on mobiliser des équipes ou faut-il chercher à mobiliser les personnes? 4- Chacun répond à la question en partageant ses réflexions personnelles. On ne s adresse pas à quelqu un en particulier, mais à l ensemble du groupe. Chacun des participants présente ces idées à partir des interventions des autres. Dans la mesure du possible, chaque intervention puise dans l expérience de celui qui la fait. On évite les positions purement théoriques. Si quelqu un utilise des aspects théoriques sans les référer à son expérience, il les formule sous forme d hypothèses à expérimenter ou à valider dans le quotidien du milieu. 5- Lorsque la réflexion sur une question semble terminée, chacun fait la synthèse des principaux points qu il retient. On note les similitudes et les oppositions. Les participants sont alors invités à considérer les dilemmes qui sont issus de ces échanges. Un dilemme est constitué de deux positions contradictoires. Cet exercice de réconciliation des oppositions peut permettre au groupe de produire une nouvelle connaissance ou un nouveau savoir qui serait applicable dans le milieu en cherchant comment tenir compte à la fois de ces deux positions. 6- On choisit ensuite une autre question à débattre et le processus reprend. On peut aussi décider de reformuler quelques questions pour tenir compte des échanges qui sont survenus. Lorsque toutes les questions ont été considérées, le groupe s entend sur les suites qui seront données à cette réflexion. Le suivi Le suivi consiste à procéder à une expérimentation dans le milieu pour valider quelques éléments qui ressortent des échanges. Chaque participant peut décider d expérimenter un aspect différent. Il devra se donner des critères qui lui permettront d évaluer l efficacité de l hypothèse qu il expérimentera. L élément important à retenir concernant le suivi, c est que chaque expérimentation doit contribuer au développement des connaissances du groupe. Par conséquent, il y aura une ou plusieurs rencontres de suivi où chacun fera rapport au groupe des résultats qu il a obtenus. Si c est utile, certains scénarios pourraient être testés dans le groupe afin de trouver des hypothèses de solu-

7 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée 143 tions dans le cas où des embûches ont été rencontrées par un des membres du groupe lors de l expérimentation. On pourra ainsi chercher à améliorer les stratégies relationnelles ou les pratiques de communication qui ont été mises de l avant. Le groupe pourrait aussi se mettre à produire des stratégies alternatives à celle qui aurait été déployée en vain. Quoiqu il en soit, ce sera toujours la personne concernée qui devra formuler une requête au groupe pour que celui-ci investisse des énergies à chercher d autres avenues de solution. La démarche se terminera par une évaluation des retombées pour le milieu. Un rapport pourra alors être remis au client et à chacun des membres du groupe. Le rôle du formateur Dans le cadre du séminaire de praxéologie, le formateur a pour fonction de structurer et d encadrer la démarche. Il aura pour principales fonctions de clarifier le besoin du milieu, de choisir un ou des textes initiaux et de faciliter la production du groupe. À titre de facilitateur : Il s assurera que le processus se déroule dans le respect des règles que le groupe aura adoptées. Il fera en sorte que les participants ne perdent pas de vue la question sur laquelle le groupe travaille. Si quelqu un semble s en éloigner, il lui demandera d établir les liens avec la question initiale. Il évitera que les échanges soient polarisés entre quelques participants. Il invitera d autres membres à partager leurs réflexions avec le groupe. Il invitera les participants à construire sur les interventions qui précèdent en s abstenant de s opposer à ce qu un autre vient de dire. S il le fait ce sera en livrant sa propre réflexion de façon constructive. Il objectivera les interventions qui le nécessitent afin d enlever le jugement de valeur ou la charge émotive qui les teinte. Il identifiera les dilemmes qui se présentent et il invitera le groupe à considérer une des dimensions du dilemme en profondeur et de traiter ensuite la dimension opposée, puis de réunir les arguments ou les éléments les plus intéressants qui ressortent de chacune des positions dans une synthèse qui rapproche les deux parties.

8 144 La recherche qualitative : introduction à la théorisation ancrée Il donnera la parole et incitera les membres silencieux à contribuer aux travaux du groupe en étant à l affût des signes non verbaux qui démontrent qu ils ne sont pas neutres face à ce qui est considéré par le groupe. Il s assurera que la synthèse qui est produite reflète ce qui a été dit. Il verra également à ce que chacun retient des échanges traduit adéquatement ce qui a été discuté ou qu il assume la responsabilité d une orientation divergente qu il pourrait retenir, en reconnaissant que sa position traduit l état actuel de sa réflexion ou de ses préférences du moment. Conclusion Le séminaire praxéologique offre des avenues très intéressantes à explorer. C est une méthode qui mise sur la coopération et qui redonne le pouvoir aux acteurs qui sont préoccupés par un problème ou un situation particulière plutôt que de mettre l emphase sur un expert. Le texte sert uniquement à susciter des questions. En cours de discussion, si les participants y réfèrent, ce sera de façon accessoire. Le séminaire praxéologique mise surtout sur l expérience des participants en considérant que l action précède le savoir et en valorisant l action comme source de connaissance. La formule proposée ici sera sans doute améliorée avec le temps. L auteur invite à l expérimenter et, dans une perspective praxéologique, à lui faire part de toute expérimentation qui serait en convergence avec les principes exposés plus haut et qui pourrait alimenter la réflexion des praxéologues. Robert Lescarbeau Université de Sherbrooke Références Lescarbeau, R., Payette, M. et St-Arnaud, Y. (2003). Profession : consultant. 4 e édition. Boucherville : Gaëtan Morin Éditeur. McCormick, D. et Kahn, M. (1982). Barn raising : Collaborative group process in seminars. Exchange, 7 (4),

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