VALORISER LES PRAIRIES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "VALORISER LES PRAIRIES"

Transcription

1 RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA VALORISER LES PRAIRIES Autonomie alimentaire et valorisation des prairies dans les élevages ovins de l Ouest LA PLUPART DES SYSTÈMES SONT HERBAGERS La valorisation des prairies est un des principaux moyens de maîtrise des coûts de production. Malgré des niveaux d intensification très différents, la plupart des systèmes ovins de l Ouest (Bretagne, Pays de Loire, Poitou-Charentes) sont herbagers, particulièrement les spécialisés. C est-àdire que les prairies constituent l essentiel de leurs ressources fourragères : le maïs ensilage et les autres cultures fourragères, les coproduits et les surfaces additionnelles (dérobées ) demeurent marginaux. > Tableau 1 : Ressources fourragères des fermes de références Source : Réseau ovin Ouest 2008 Système Nombre % prairie Cultures Dérobées /SFP fourragères Spécialisés 100 % herbe % 0 ha 0,4 ha Autres spécialisés 3 90 % 4,2 ha 0 ha Ovins et cultures 6 99 % 0,3 ha 4,5 ha Ovins et hors-sol 6 97 % 1,1 ha 0 ha Ovins et bovins viande % 4,8 ha 0 ha Ovins et bovins lait 5 70 % 23,4 ha 1,7 ha COMMENT ESTIMER L ÉNERGIE VALORISÉE? Les besoins théoriques des brebis sont fonction de leur gabarit, de leur mode d élevage (temps passé en bergerie ou au pâturage), du mode de reproduction (si forte accélération), de la productivité pondérale et du mode de finition des agneaux (finition plus rapide en bergerie). De ces besoins théoriques sont déduits tous les apports alimentaires provenant d autres sources : concentrés achetés ou produits, fourrages achetés, cultures fourragères principales ou dérobées, etc. On obtient ainsi l énergie valorisée, mesurée en Unités Fourragères par hectare de prairie. Il faut la distinguer de l énergie produite. La valorisation finale tient compte de l ensemble des pertes : gaspillage au pâturage, pertes à la récolte et à la conservation, refus à la distribution, etc. Exemple : 450 brebis en semi-plein air (chargement de 8 brebis/ha SFP), d un poids moyen de 70 kg taux de mise bas de 94 % et productivité pondérale de 25,2 kg/brebis 34 % d agneaux d herbe Energie valorisée par hectare de prairie (UF/ha) = Besoins théoriques des brebis - Energie apportée par les autres ressources alimentaires - soit des besoins théoriques calculés de 583 UF/brebis. 29 % de ces besoins sont couverts par le concentré acheté, 10 % par le concentré prélevé, soit 61 % de couverture par les prairies (absence de cultures fourragères), - d où une valorisation de UF/ha, - soit l équivalent de 4,6 tonnes de matière sèche de foin à 0,65 UF/kg, - ou encore la consommation de 5 brebis qui pâtureraient toute l année (moyenne de consommation par brebis de 1,7 kg de matière sèche d herbe à 1 UF/kg MS). Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes 1

2 ADAPTER LE CHARGEMENT POUR CONCILIER VALORISATION DES PRAIRIES ET AUTONOMIE ALIMENTAIRE Comme le montre le graphique ci-contre, la valorisation des prairies (courbe bleue) est souvent liée au chargement. Ainsi pour les élevages les plus extensifs (chargement < 1,1 UGB/ha SFP), la valorisation des prairies est en moyenne de l ordre de UF/ha, contre UF/ha pour les plus intensifs (chargement > 1,4 UGB/ha). Mais attention, un chargement trop élevé par rapport au potentiel des prairies se traduit par une dégradation de l autonomie alimentaire, mesurée par la part des ressources produites dans la couverture des besoins théoriques. Au sein des fermes de références spécialisées de l Ouest, l autonomie alimentaire totale des élevages extensifs, cultures autoconsommées comprises, est de 83 %, dont 72 % assurée par les prairies. Elle est un peu plus faible pour les plus intensifs : 75 %, dont seulement 58 % assurée par les prairies, avec une place plus importante du maïs ensilage et des cultures prélevées. > Graphique 1 : Spécialisés : autonomie alimentaire et UF valorisées/ha d herbe selon le chargement Source : Réseau Ovin Ouest 2008 % autonomie 100% 95% 90% 85% 80% 75% 70% 65% 60% 55% 50% < <<1.4 >1.4 Chargement UGB/ha SFP UF/ha céréales prélevées maïs ensilage prairies UF valorisées/ha herbe LA VALORISATION DES PRAIRIES EST L UNE DES COMPOSANTES DES RÉSULTATS ÉCONOMIQUES L importance de la valorisation des prairies et de l autonomie alimentaire dans les résultats économiques est illustrée par le tableau 2 où les élevages spécialisés sont triés par Excédent Brut d Exploitation par hectare croissant. Les meilleurs EBE correspondent à des productivités numériques plus élevées, ainsi qu à des chargements très légèrement supérieurs. Ils coïncident également avec les meilleures valorisations des surfaces en herbe : plus d UF valorisées par hectare, avec moins de concentré consommé par brebis et surtout par kg produit (effet de la productivité). Cette meilleure valorisation est obtenue avec des fertilisations minérales azotées un peu plus élevées. > Tableau 2 : Résultats moyens des élevages spécialisés triés selon l EBE/ha de SAU Source : Réseau Ovin Ouest, campagne 2008 EBE Marge brute UGB PN kg de concentré Unités N UF valorisées /brebis /ha /brebis /ha /ha SFP /brebis /brebis /kg produit /ha herbe /ha herbe Tiers inf Tiers méd Tiers sup

3 LA VALORISATION DES PRAIRIES VARIE BEAUCOUP SELON LES ÉLEVAGES Pour un même niveau de chargement la valorisation des prairies peut être très variable, comme le montre le graphique ci-contre (élevages spécialisés ovins). Ainsi pour les élevages entre 1,1 et 1,4 UGB/ha, soit de l ordre de 7 à 9 brebis/ha, les UF valorisées varient presque du simple au double : de à UF/ha. Deux éleveurs de ce groupe ont accepté de témoigner sur leurs pratiques. > Graphique 2 : Valorisation des prairies des élevages spécialisés triés selon le chargement Source : Réseau Ovin Ouest 2008, campagne 2008 UF valorisées/ha < <<1.4 >1.4 Chargement UGB/ha SFP minimum maximum moyenne 3

4 TÉMOIGNAGE DE ROSELYNE ET JEAN-MICHEL BARRANGER, EN NORD VENDÉE 1100 BREBIS SUR 137 HA DE SFP, SOIT 8 BREBIS/ HA Des bâtiments sur chaque îlot «Notre exploitation compte 137 ha, tout en herbe : des prairies âgées maintenant de 15 à 18 ans et composées de Trèfle Blanc, Ray Grass Anglais, pâturin, brome mou, agrostis et houlque. Le parcellaire est composé de 4 îlots, tous dotés de bâtiments. Le bloc principal est sur des terres peu profondes et hydromorphes, alors que l îlot isolé est sur du schiste, ce sont des sols plus précoces. D où globalement un potentiel agronomique plutôt faible par rapport à la moyenne de la Vendée.» 7 lots d agnelage «Nous sommes engagés dans une démarche Label Rouge, aussi nous fractionnons les agnelages, pour étaler les ventes d agneaux... du coup le travail est mieux réparti. Nous accélérons un peu le rythme d agnelage, avec en gros 10 à 11 mois d intervalle entre deux mises bas. L objectif est d obtenir 7 lots de 160 brebis agnelées répartis de septembre à mai.» Les brebis pâturent toute l année «Chaque parcelle est réservée à une catégorie d animaux, et celles desservant des bâtiments sont destinées aux lots à forts besoins : brebis en fin de gestation, en lactation, agnelles. Avant la mise bas, chaque lot est mis dans le champ près de la bergerie d agnelage, pour faciliter la surveillance. Les brebis sont mises en case d agnelage puis laissées en petits groupes quelques jours jusqu à une parfaite adoption. Les mères et agneaux sont ensuite remises au pré jusqu au sevrage qui a lieu à environ 2 mois.» Mais les agneaux sont finis en bergerie «Nous rentrons les agneaux et les brebis tous les soirs dans un tunnel, pour éviter les problèmes de prédation et pour habituer les agneaux au concentré. Les agneaux sont ensuite rentrés en bergerie d engraissement et nourris avec un aliment complet et de la paille jusqu à la vente. Les brebis reçoivent une complémentation au champ (maïs grain), en fonction de la saison et de la quantité d herbe disponible, à partir de 3 semaines avant l agnelage et jusqu au sevrage.» Le quad et le chien indispensables «La surveillance des brebis et agneaux au pâturage se fait en quad avec un chien : c est plus rapide et cela rend les interventions plus faciles. Mais nous sommes obligés de prendre la voiture pour aller soigner les animaux situés sur l îlot isolé.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis 544 UF valorisées/ha herbe Autonomie fourragère /exploitation 77% Chargement/ha SFP 8,1 PN/brebis 1,26 Kg concentré /kg carcasse 6,1 4

5 TÉMOIGNAGE DE NADIA ET PATRICK QUELIN, EN CHARENTE LIMOUSINE 580 BREBIS SUR 99 HA DE SAU DONT 78 DE SFP, SOIT 7,4 BREBIS/HA SFP Un parcellaire favorable au pâturage «Le parcellaire de l'exploitation est assez regroupé, avec des chemins et peu de routes à fort passage. La parcelle la plus éloignée n est qu à 2 km, et toutes sont clôturées en fixe. L'exploitation compte plusieurs points d'eau (sources, étangs, etc.) et est entourée de bois (avec présence de prédateurs).» Réduire le temps en bergerie «Les brebis sont presque tout le temps dehors : moins de 2 mois en bergerie en moyenne. Les brebis ne rentrent en bergerie que 8 jours avant l agnelage et elles ressortent dès que possible. La transition alimentaire se fait sur plusieurs jours, limitée à quelques heures de pâturage au début, avec un affouragement et une complémentation en bergerie la nuit.» Toutes les prairies sont déprimées «Les brebis et leurs agneaux dépriment en priorité les parcelles de fauche, avec une rotation très rapide entre parcelles. Ces parcelles sont à base de trèfle blanc, trèfle violet, dactyle, RGA, et reçoivent du compost en février. A l automne, les brebis et leurs agneaux bénéficient aussi des repousses de colza grain (environ 10 ha).» Les repousses de fauche pour les agneaux «Les agneaux sevrés au printemps pâturent en priorité des repousses de fauche (enrubannage puis foin). Les agneaux de moins de 25 kg sont triés et mis sur les meilleures parcelles. Les parcelles fauchées reçoivent 30 unités d'azote et les agneaux les pâturent environ 1 mois après, par lots de 60 à 80, pour des parcelles de 4 à 5 hectares et une durée de 10 à 15 jours. Ils sont complémentés à l herbe (mélange 60 % granulés - 40 % orge) et rentrés en bergerie dès que l'herbe vient réellement à manquer.» Une attention particulière au ph «Depuis 10 ans, nous chaulons 20 à 25 ha tous les ans, et le ph, d une moyenne de 5,5 au départ, a été relevé jusqu à 6,8 sur les meilleures parcelles. Cela nous permet d avoir des prairies plus productives, plus pérennes et plus riches en légumineuses. Depuis deux ans, nous avons même pu implanter des luzernes (5 ha aujourd hui). Le foin de luzerne sera donné en priorité aux brebis allaitantes, avec un apport de céréales, ce qui va nous permettre de faire des économies sur le complémentaire azoté.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis 531 UF valorisées/ha herbe Autonomie PN/brebis 1,14 Chargement/ha SFP 7,7 fourragère 66% % agneaux d herbe 40% Kg concentré/kg carcasse 8,6 Exploitation 89% 5

6 TÉMOIGNAGE DE STÉPHANE GITEAU, DU GAEC DE LA BOUILLÈRE, EN NORD MAINE-ET-LOIRE LITRES DE QUOTA, DONT LITRES VALORISÉS PAR LES VEAUX LABEL, ET 200 BREBIS, SUR 129 HA DONT 102 DE SFP, SOIT 1,3 UGB/HA SFP Les génisses et les vaches taries pâturent avec les brebis en fin de printemps «Les vaches et les brebis sont sur 2 sites différents, mais en fin de printemps (mai-juin) les génisses et les vaches taries rejoignent le site des brebis. Les bovins régulent la hauteur d herbe, ils sont retirés lorsque cette hauteur devient optimale pour les brebis, et ceci me permet d obtenir des repousses de qualité. Dans mon système avec un agnelage unique de saison et une production d agneaux d herbe, c est particulièrement important de conserver une bonne qualité d herbe le plus longtemps possible, d où l intérêt de la régulation effectuée par les bovins.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis605 UF valorisées/ha herbe Autonomie PN/brebis 1,48 Chargement/ha SFPO 6,6 fourragère 83% % agneaux d herbe 100% Kg concentré/kg carcasse 4,1 Exploitation 92% UTILISER LES COMPLÉMENTARITÉS DES OVINS ET DES BOVINS Les complémentarités des ovins et des bovins sont bien connues, mais pas toujours pleinement exploitées. Ainsi il est fréquent de voir des brebis pâturer l hiver l herbe d automne non valorisées par les bovins rentrés en stabulation. De même c est assez classique de réserver le meilleur foin aux ovins qui n ont pas la même capacité de valorisation des fourrages grossiers que les bovins. Il est plus rare de voir ces complémentarités utilisées au printemps, pour limiter les refus et le parasitisme, comme c est pratiqué Outre Manche. Les exemples de pâturage mixte simultané sont peu courants en France, mais ils existent, à l image du témoignage présenté cidessus. Ce travail a été réalisé par le Réseau d Elevage Ovin de l Ouest : Nathalie AUGAS Chambre d agriculture de Charente Alain GOUEDARD Chambre d agriculture d Illeet-Vilaine Gilles CLENET Chambre d agriculture de Loire- Atlantique Laurent FICHET Chambres d agriculture du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Sarthe Daniel INGREMEAU Chambre d agriculture des Deux-Sèvres Stéphane MIGNE Chambre d agriculture de Vendée Olivier PAGNOT Chambre d agriculture de la Vienne Guillaume BAHIER Chambre d agriculture de la Vienne Vincent BELLET Institut de l Elevage Crédit photos : Corinne Maigret - Création : Bêta Pictoris - Réalisation : Corinne Maigret - Stéphane Migné (CA 85) - Impression : xxxxxxxxxx LES RÉSEAUX D ÉLEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de : Octobre 2010 Document édité par l Institut de l Élevage -149 rue de Bercy Paris CEDEX ISBN : PUB IE :

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR

POURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre

Plus en détail

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois

Plus en détail

Trajectoires laitières

Trajectoires laitières Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

Renc. Rech. Ruminants, 2006, 13

Renc. Rech. Ruminants, 2006, 13 Conséquences d une maximisation de la part du pâturage sur les performances techniques d un troupeau ovin allaitant E. POTTIER (1), L. SAGOT (1), L.M. CAILLEAU (2) (1) Institut de l Élevage, Ferme Expérimentale

Plus en détail

LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE

LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE DES RÉFÉRENCES POUR LE CONSEIL NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE ET NORMANDIE

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Des territoires laitiers contrastés

Des territoires laitiers contrastés Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

DAIRYMAN aux Pays-Bas

DAIRYMAN aux Pays-Bas DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière

Plus en détail

Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants

Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants collection l essentiel Concevoir un libre-service à fourrages en bâtiment pour bovins allaitants Fiche technique bâtiment d élevage n 2 Depuis quarante ans, le monde de l élevage voit sa main d œuvre disponible

Plus en détail

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES!

FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! FAIRE DU BON FOIN POUR LES CHÈVRES! INTRODUCTION Dans un contexte économique tendu pour la filière caprine, la valorisation des fourrages dans la ration est un levier important pour gérer le coût alimentaire

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,

mon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection, Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement

Plus en détail

4. Verdissement, une PAC plus verte

4. Verdissement, une PAC plus verte 4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

Les systèmes équins du Grand Ouest

Les systèmes équins du Grand Ouest Les systèmes s du Grand Ouest Repères techniques et économiques 0 SOMMAIRE SOMMAIRE... PRÉSENTATION... 3 LE DISPOSITIF RÉFÉRENCES ET DE RÉSEAU ÉQUIN... 3 CONTEXTE 0 ET CONJONCTURE... 3 TYPOLOGIE NATIONALE

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Produire des veaux bio de qualité

Produire des veaux bio de qualité LOIRE ATLANTIQUE GAB 44 02-40-79-46-57 gab-44@wanadoo.fr MAINE ET LOIRE GABBAnjou 02-41-37-19-39 gabbanjou@wanadoo.fr MAYENNE CIVAM Bio 53 02-43-53-93-93 La filière veaux bio est à la recherche d une certaine

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS

LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS > Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre

Plus en détail

PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91

PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91 CERTIFICATION DE LABEL : PLAN DE CONTRÔLE Référence : LA1791 / P300-1. VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91 Indice n 1 Page 1/63 PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE

Plus en détail

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique

Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique INRA Prod. Anim., 2012, 25 (1), 67-76 Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique B. LELYON 1, V. CHATELLIER 2, K. DANIEL 2,3

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions

DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour

Plus en détail

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn

COMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs

Plus en détail

Référentiel Diversification 2007

Référentiel Diversification 2007 Référentiel Diversification 2007 E L E V A G E D E CHAMBRES D'AGRICULTURE C H E V A U X D E T R A I T LORRAINE A R D E N N A I S CONDITION DE RÉUSSITE DU PROJET DONNÉES GÉNÉRALES Temps de travail Investissement

Plus en détail

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements

Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...

Plus en détail

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage

Préface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Journée des partenaires de la filière laitière

Journée des partenaires de la filière laitière Journée des partenaires de la filière laitière Grands troupeaux : comment accompagner les éleveurs? Réseau bovins lait Poitou-Charentes 23 Juin 2015 Programme Grands troupeaux : état des lieux en Poitou-Charentes

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)

Merci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments) 15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages

Plus en détail

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1 n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION

Plus en détail

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés

Plus en détail

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Biogaz et méthanisation

Biogaz et méthanisation Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05

Plus en détail

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne)

SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) SAGE nécessaires ( Disposition 13A-1 SDAGE Loire Bretagne) L élaboration Mise en œuvre du Plan : le lancement Installation de la CLE Travaux de la commission «Marée vertes et littoral» - Flux d azote,

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008 C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008

Plus en détail

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.

D après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture. Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final

Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final Université catholique de Louvain Faculté d'ingénierie biologique, agronomique et environnementale Unité d économie rurale Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne Rapport final

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio!

Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Des échanges pour cultiver l autonomie des fermes bio! Catalogue des outils du réseau FNAB pour favoriser les échanges directs entre éleveurs et polyculteurs édition décembre 2014 Sommaire 3 Edito 4 5

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE

PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Modèle document national Version du 17/03/2015 PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Cadre réservé à l'administration Date de dépôt du dossier : / / 1. RENSEIGNEMENTS SUR LE CANDIDAT Identification Nom / Prénom : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

CONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne

CONVENTION. Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne. Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne CONVENTION Syndicat des éleveurs limousins de la Vienne Syndicat des éleveurs charolais de la Vienne 1 Préambule La filière viande bovine subit depuis plusieurs années des crises successives, mettant beaucoup

Plus en détail

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC?

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? Daniel LEFEBVRE, Ph.D., agronome PATLQ inc. Sainte-Anne-de-Bellevue Conférence préparée en collaboration avec : Doris PELLERIN, Ph.D., agronome Professeur en sciences

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Amélioration des conditions de travail en élevage laitier

Amélioration des conditions de travail en élevage laitier Mise à jour le 11 janvier 2007 Amélioration des conditions de travail en élevage laitier Simplifier les conduites en Auvergne, des expériences positives mises en place par des éleveurs S équiper ou automatiser

Plus en détail

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015

Réunion d'information PAC 2015. Février 2015 Réunion d'information 1 Programme de la réunion Introduction L'appui à la télédéclaration Les paiements découplés Le verdissement L admissibilité des surfaces GAEC et accès aux aides économiques de la

Plus en détail

6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique

6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique 6 NOVEMBRE 2003. - Arrêté du Gouvernement wallon relatif à l'octroi d'aides à l'agriculture Biologique Le Gouvernement wallon, Vu la loi du 28 mars 1975 relative au commerce des produits de l'agriculture,

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

Portrait technico-économique et financier des meilleures entreprises ovines au Québec

Portrait technico-économique et financier des meilleures entreprises ovines au Québec Maîtriser la production ovine pour mieux en vivre Le vendredi 29 septembre 2006 Portrait technico-économique et financier des meilleures entreprises ovines au Québec Martial TREMBLAY 1, agronome Conseiller

Plus en détail

CONSEIL D'EXPLOITATION 12 NOVEMBRE 2014

CONSEIL D'EXPLOITATION 12 NOVEMBRE 2014 Lycée d Enseignement Général et Technologique Agricole Le Chesnoy - Les Barres CONSEIL D'EXPLOITATION 12 NOVEMBRE 2014 Brebis au pâturage Eté 2014 Démonstration d'agriculture de précision aux membres de

Plus en détail

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées. Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque

Plus en détail