VALORISER LES PRAIRIES
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- Marie-Hélène Labranche
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1 RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA VALORISER LES PRAIRIES Autonomie alimentaire et valorisation des prairies dans les élevages ovins de l Ouest LA PLUPART DES SYSTÈMES SONT HERBAGERS La valorisation des prairies est un des principaux moyens de maîtrise des coûts de production. Malgré des niveaux d intensification très différents, la plupart des systèmes ovins de l Ouest (Bretagne, Pays de Loire, Poitou-Charentes) sont herbagers, particulièrement les spécialisés. C est-àdire que les prairies constituent l essentiel de leurs ressources fourragères : le maïs ensilage et les autres cultures fourragères, les coproduits et les surfaces additionnelles (dérobées ) demeurent marginaux. > Tableau 1 : Ressources fourragères des fermes de références Source : Réseau ovin Ouest 2008 Système Nombre % prairie Cultures Dérobées /SFP fourragères Spécialisés 100 % herbe % 0 ha 0,4 ha Autres spécialisés 3 90 % 4,2 ha 0 ha Ovins et cultures 6 99 % 0,3 ha 4,5 ha Ovins et hors-sol 6 97 % 1,1 ha 0 ha Ovins et bovins viande % 4,8 ha 0 ha Ovins et bovins lait 5 70 % 23,4 ha 1,7 ha COMMENT ESTIMER L ÉNERGIE VALORISÉE? Les besoins théoriques des brebis sont fonction de leur gabarit, de leur mode d élevage (temps passé en bergerie ou au pâturage), du mode de reproduction (si forte accélération), de la productivité pondérale et du mode de finition des agneaux (finition plus rapide en bergerie). De ces besoins théoriques sont déduits tous les apports alimentaires provenant d autres sources : concentrés achetés ou produits, fourrages achetés, cultures fourragères principales ou dérobées, etc. On obtient ainsi l énergie valorisée, mesurée en Unités Fourragères par hectare de prairie. Il faut la distinguer de l énergie produite. La valorisation finale tient compte de l ensemble des pertes : gaspillage au pâturage, pertes à la récolte et à la conservation, refus à la distribution, etc. Exemple : 450 brebis en semi-plein air (chargement de 8 brebis/ha SFP), d un poids moyen de 70 kg taux de mise bas de 94 % et productivité pondérale de 25,2 kg/brebis 34 % d agneaux d herbe Energie valorisée par hectare de prairie (UF/ha) = Besoins théoriques des brebis - Energie apportée par les autres ressources alimentaires - soit des besoins théoriques calculés de 583 UF/brebis. 29 % de ces besoins sont couverts par le concentré acheté, 10 % par le concentré prélevé, soit 61 % de couverture par les prairies (absence de cultures fourragères), - d où une valorisation de UF/ha, - soit l équivalent de 4,6 tonnes de matière sèche de foin à 0,65 UF/kg, - ou encore la consommation de 5 brebis qui pâtureraient toute l année (moyenne de consommation par brebis de 1,7 kg de matière sèche d herbe à 1 UF/kg MS). Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes 1
2 ADAPTER LE CHARGEMENT POUR CONCILIER VALORISATION DES PRAIRIES ET AUTONOMIE ALIMENTAIRE Comme le montre le graphique ci-contre, la valorisation des prairies (courbe bleue) est souvent liée au chargement. Ainsi pour les élevages les plus extensifs (chargement < 1,1 UGB/ha SFP), la valorisation des prairies est en moyenne de l ordre de UF/ha, contre UF/ha pour les plus intensifs (chargement > 1,4 UGB/ha). Mais attention, un chargement trop élevé par rapport au potentiel des prairies se traduit par une dégradation de l autonomie alimentaire, mesurée par la part des ressources produites dans la couverture des besoins théoriques. Au sein des fermes de références spécialisées de l Ouest, l autonomie alimentaire totale des élevages extensifs, cultures autoconsommées comprises, est de 83 %, dont 72 % assurée par les prairies. Elle est un peu plus faible pour les plus intensifs : 75 %, dont seulement 58 % assurée par les prairies, avec une place plus importante du maïs ensilage et des cultures prélevées. > Graphique 1 : Spécialisés : autonomie alimentaire et UF valorisées/ha d herbe selon le chargement Source : Réseau Ovin Ouest 2008 % autonomie 100% 95% 90% 85% 80% 75% 70% 65% 60% 55% 50% < <<1.4 >1.4 Chargement UGB/ha SFP UF/ha céréales prélevées maïs ensilage prairies UF valorisées/ha herbe LA VALORISATION DES PRAIRIES EST L UNE DES COMPOSANTES DES RÉSULTATS ÉCONOMIQUES L importance de la valorisation des prairies et de l autonomie alimentaire dans les résultats économiques est illustrée par le tableau 2 où les élevages spécialisés sont triés par Excédent Brut d Exploitation par hectare croissant. Les meilleurs EBE correspondent à des productivités numériques plus élevées, ainsi qu à des chargements très légèrement supérieurs. Ils coïncident également avec les meilleures valorisations des surfaces en herbe : plus d UF valorisées par hectare, avec moins de concentré consommé par brebis et surtout par kg produit (effet de la productivité). Cette meilleure valorisation est obtenue avec des fertilisations minérales azotées un peu plus élevées. > Tableau 2 : Résultats moyens des élevages spécialisés triés selon l EBE/ha de SAU Source : Réseau Ovin Ouest, campagne 2008 EBE Marge brute UGB PN kg de concentré Unités N UF valorisées /brebis /ha /brebis /ha /ha SFP /brebis /brebis /kg produit /ha herbe /ha herbe Tiers inf Tiers méd Tiers sup
3 LA VALORISATION DES PRAIRIES VARIE BEAUCOUP SELON LES ÉLEVAGES Pour un même niveau de chargement la valorisation des prairies peut être très variable, comme le montre le graphique ci-contre (élevages spécialisés ovins). Ainsi pour les élevages entre 1,1 et 1,4 UGB/ha, soit de l ordre de 7 à 9 brebis/ha, les UF valorisées varient presque du simple au double : de à UF/ha. Deux éleveurs de ce groupe ont accepté de témoigner sur leurs pratiques. > Graphique 2 : Valorisation des prairies des élevages spécialisés triés selon le chargement Source : Réseau Ovin Ouest 2008, campagne 2008 UF valorisées/ha < <<1.4 >1.4 Chargement UGB/ha SFP minimum maximum moyenne 3
4 TÉMOIGNAGE DE ROSELYNE ET JEAN-MICHEL BARRANGER, EN NORD VENDÉE 1100 BREBIS SUR 137 HA DE SFP, SOIT 8 BREBIS/ HA Des bâtiments sur chaque îlot «Notre exploitation compte 137 ha, tout en herbe : des prairies âgées maintenant de 15 à 18 ans et composées de Trèfle Blanc, Ray Grass Anglais, pâturin, brome mou, agrostis et houlque. Le parcellaire est composé de 4 îlots, tous dotés de bâtiments. Le bloc principal est sur des terres peu profondes et hydromorphes, alors que l îlot isolé est sur du schiste, ce sont des sols plus précoces. D où globalement un potentiel agronomique plutôt faible par rapport à la moyenne de la Vendée.» 7 lots d agnelage «Nous sommes engagés dans une démarche Label Rouge, aussi nous fractionnons les agnelages, pour étaler les ventes d agneaux... du coup le travail est mieux réparti. Nous accélérons un peu le rythme d agnelage, avec en gros 10 à 11 mois d intervalle entre deux mises bas. L objectif est d obtenir 7 lots de 160 brebis agnelées répartis de septembre à mai.» Les brebis pâturent toute l année «Chaque parcelle est réservée à une catégorie d animaux, et celles desservant des bâtiments sont destinées aux lots à forts besoins : brebis en fin de gestation, en lactation, agnelles. Avant la mise bas, chaque lot est mis dans le champ près de la bergerie d agnelage, pour faciliter la surveillance. Les brebis sont mises en case d agnelage puis laissées en petits groupes quelques jours jusqu à une parfaite adoption. Les mères et agneaux sont ensuite remises au pré jusqu au sevrage qui a lieu à environ 2 mois.» Mais les agneaux sont finis en bergerie «Nous rentrons les agneaux et les brebis tous les soirs dans un tunnel, pour éviter les problèmes de prédation et pour habituer les agneaux au concentré. Les agneaux sont ensuite rentrés en bergerie d engraissement et nourris avec un aliment complet et de la paille jusqu à la vente. Les brebis reçoivent une complémentation au champ (maïs grain), en fonction de la saison et de la quantité d herbe disponible, à partir de 3 semaines avant l agnelage et jusqu au sevrage.» Le quad et le chien indispensables «La surveillance des brebis et agneaux au pâturage se fait en quad avec un chien : c est plus rapide et cela rend les interventions plus faciles. Mais nous sommes obligés de prendre la voiture pour aller soigner les animaux situés sur l îlot isolé.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis 544 UF valorisées/ha herbe Autonomie fourragère /exploitation 77% Chargement/ha SFP 8,1 PN/brebis 1,26 Kg concentré /kg carcasse 6,1 4
5 TÉMOIGNAGE DE NADIA ET PATRICK QUELIN, EN CHARENTE LIMOUSINE 580 BREBIS SUR 99 HA DE SAU DONT 78 DE SFP, SOIT 7,4 BREBIS/HA SFP Un parcellaire favorable au pâturage «Le parcellaire de l'exploitation est assez regroupé, avec des chemins et peu de routes à fort passage. La parcelle la plus éloignée n est qu à 2 km, et toutes sont clôturées en fixe. L'exploitation compte plusieurs points d'eau (sources, étangs, etc.) et est entourée de bois (avec présence de prédateurs).» Réduire le temps en bergerie «Les brebis sont presque tout le temps dehors : moins de 2 mois en bergerie en moyenne. Les brebis ne rentrent en bergerie que 8 jours avant l agnelage et elles ressortent dès que possible. La transition alimentaire se fait sur plusieurs jours, limitée à quelques heures de pâturage au début, avec un affouragement et une complémentation en bergerie la nuit.» Toutes les prairies sont déprimées «Les brebis et leurs agneaux dépriment en priorité les parcelles de fauche, avec une rotation très rapide entre parcelles. Ces parcelles sont à base de trèfle blanc, trèfle violet, dactyle, RGA, et reçoivent du compost en février. A l automne, les brebis et leurs agneaux bénéficient aussi des repousses de colza grain (environ 10 ha).» Les repousses de fauche pour les agneaux «Les agneaux sevrés au printemps pâturent en priorité des repousses de fauche (enrubannage puis foin). Les agneaux de moins de 25 kg sont triés et mis sur les meilleures parcelles. Les parcelles fauchées reçoivent 30 unités d'azote et les agneaux les pâturent environ 1 mois après, par lots de 60 à 80, pour des parcelles de 4 à 5 hectares et une durée de 10 à 15 jours. Ils sont complémentés à l herbe (mélange 60 % granulés - 40 % orge) et rentrés en bergerie dès que l'herbe vient réellement à manquer.» Une attention particulière au ph «Depuis 10 ans, nous chaulons 20 à 25 ha tous les ans, et le ph, d une moyenne de 5,5 au départ, a été relevé jusqu à 6,8 sur les meilleures parcelles. Cela nous permet d avoir des prairies plus productives, plus pérennes et plus riches en légumineuses. Depuis deux ans, nous avons même pu implanter des luzernes (5 ha aujourd hui). Le foin de luzerne sera donné en priorité aux brebis allaitantes, avec un apport de céréales, ce qui va nous permettre de faire des économies sur le complémentaire azoté.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis 531 UF valorisées/ha herbe Autonomie PN/brebis 1,14 Chargement/ha SFP 7,7 fourragère 66% % agneaux d herbe 40% Kg concentré/kg carcasse 8,6 Exploitation 89% 5
6 TÉMOIGNAGE DE STÉPHANE GITEAU, DU GAEC DE LA BOUILLÈRE, EN NORD MAINE-ET-LOIRE LITRES DE QUOTA, DONT LITRES VALORISÉS PAR LES VEAUX LABEL, ET 200 BREBIS, SUR 129 HA DONT 102 DE SFP, SOIT 1,3 UGB/HA SFP Les génisses et les vaches taries pâturent avec les brebis en fin de printemps «Les vaches et les brebis sont sur 2 sites différents, mais en fin de printemps (mai-juin) les génisses et les vaches taries rejoignent le site des brebis. Les bovins régulent la hauteur d herbe, ils sont retirés lorsque cette hauteur devient optimale pour les brebis, et ceci me permet d obtenir des repousses de qualité. Dans mon système avec un agnelage unique de saison et une production d agneaux d herbe, c est particulièrement important de conserver une bonne qualité d herbe le plus longtemps possible, d où l intérêt de la régulation effectuée par les bovins.» > Résultats moyens Besoins théoriques/brebis605 UF valorisées/ha herbe Autonomie PN/brebis 1,48 Chargement/ha SFPO 6,6 fourragère 83% % agneaux d herbe 100% Kg concentré/kg carcasse 4,1 Exploitation 92% UTILISER LES COMPLÉMENTARITÉS DES OVINS ET DES BOVINS Les complémentarités des ovins et des bovins sont bien connues, mais pas toujours pleinement exploitées. Ainsi il est fréquent de voir des brebis pâturer l hiver l herbe d automne non valorisées par les bovins rentrés en stabulation. De même c est assez classique de réserver le meilleur foin aux ovins qui n ont pas la même capacité de valorisation des fourrages grossiers que les bovins. Il est plus rare de voir ces complémentarités utilisées au printemps, pour limiter les refus et le parasitisme, comme c est pratiqué Outre Manche. Les exemples de pâturage mixte simultané sont peu courants en France, mais ils existent, à l image du témoignage présenté cidessus. Ce travail a été réalisé par le Réseau d Elevage Ovin de l Ouest : Nathalie AUGAS Chambre d agriculture de Charente Alain GOUEDARD Chambre d agriculture d Illeet-Vilaine Gilles CLENET Chambre d agriculture de Loire- Atlantique Laurent FICHET Chambres d agriculture du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Sarthe Daniel INGREMEAU Chambre d agriculture des Deux-Sèvres Stéphane MIGNE Chambre d agriculture de Vendée Olivier PAGNOT Chambre d agriculture de la Vienne Guillaume BAHIER Chambre d agriculture de la Vienne Vincent BELLET Institut de l Elevage Crédit photos : Corinne Maigret - Création : Bêta Pictoris - Réalisation : Corinne Maigret - Stéphane Migné (CA 85) - Impression : xxxxxxxxxx LES RÉSEAUX D ÉLEVAGE Les Réseaux d Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Élevage. LES PARTENAIRES FINANCEURS Ce document a reçu l'appui financier de : Octobre 2010 Document édité par l Institut de l Élevage -149 rue de Bercy Paris CEDEX ISBN : PUB IE :
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