SOMMAIRE N 35 MAI 2015
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- Nathalie Legaré
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1 N 35 MAI 2015
2 SOMMAIRE N 35 MAI 2015 À PROPOS DE LA LETTRE ÉCONOMIQUE Informations méthodologiques LE MARCHÉ DES CATALOGUES COMMERCIAUX 2 Production et facturation à février ÉCLAIRAGES Jessie Gelly, Directrice commerciale et Stéphane Gelly, Directeur du développement et de l innovation, nous présentent la stratégie de cette imprimerie familiale qui a su diversifier son activité. LE MARCHÉ DES PÉRIODIQUES Production et facturation à fin février 2015 et investissements publicitaires à fin janvier INDICATEURS DE CONJONCTURE GLOBALE Indicateurs généraux de conjoncture sur l économie française, le secteur des Industries graphiques en France et en Europe. LE MARCHÉ DU LIVRE Production et facturation à février LE MARCHÉ DES IMPRIMÉS PUBLICITAIRES Production et facturation des imprimés publicitaires adressés et non adressés début LE MARCHÉ DES IMPRIMÉS ADMINISTRATIFS ET COMMERCIAUX Production et facturation des imprimés administratifs et commerciaux personalisés et non personnalisés à fin février
3 ECLAIRAGES N 35 MAI 2015 Jessie Gelly, Directrice commerciale et Stéphane Gelly, Directeur du développement et de l innovation de l imprimerie Impressions modernes (07), nous présentent le positionnement cette entreprise familiale à la pointe. Pouvez-vous nous présenter votre entreprise? Impressions modernes est une entreprise familiale, créée en 1967 à Guilherand- Granges (07). L année dernière, nous avons réalisé un chiffre d affaires de 3,3 millions d euros, en hausse de 5% par rapport à Notre imprimerie, qui emploie une trentaine de salariés, est organisée en trois pôles d activité : la communication graphique, l impression offset et numérique, le développement Web et mobile. Nous avons pris un premier virage avec l impression numérique multi support un virage assez audacieux à l époque! Le fait de proposer ce type de prestation était un changement important pour un imprimeur. Nous avons toujours été attentifs aux évolutions technologiques et, en 2006, nous avons fait un autre choix déterminant en intégrant la technologie NFC. Celle-ci utilise une étiquette RFID, composée d une antenne et d une puce électronique. Elle peut être collée ou incorporée dans un produit et se sert des signaux de fréquences radio pour mémoriser ou récupérer des données à distance. C est une technologie dite «sans contact» qui permet, en autres, d accéder à des contenus multimédia, notamment via un Smartphone. Depuis 2009, nous commercialisons cette technologie sous la marque TAG&PLAY. Pourquoi avoir intégré la technologie NFC en 2004 alors qu elle n était pas encore très utilisée? Nous voulions donner une nouvelle dimension au papier et le rendre interactif. Au départ, l idée était d associer un contenu digital (sécurisé ou non) à un livre et plus largement à tous les supports que nous fabriquons. Ce contenu devait être accessible via un smartphone. Les éditeurs cherchaient des alternatives au tout numérique. Ils craignaient que les gravures, photos et droits d auteur ne soient menacés. Les téléphones n étaient pas encore tous équipés pour lire les tags NFC mais nous devions faire des choix et nous lancer dans une technologie nouvelle. C était un pari! 2
4 Dans un premier temps, nous nous sommes rapprochés du Pôle national de traçabilité et avons choisi la technologie NFC. Nos échanges avec cet organisme nous ont permis de nous assurer que nous étions les seuls sur ce projet et qu il était fiable. Nous avons heureusement pu bénéficier d un accompagnement technique car la famille du tag NFC impose de nombreuses normes à intégrer et respecter. Pour nous approprier cette technologie, nous avons dû apprendre à maîtriser le développement des logiciels et la conception d outils industriels. Nous avons établi les cahiers des charges et conçu deux lignes de production. Puis nous avons fabriqué la machine de A à Z : pour un imprimeur, c était une expérience inédite et un réel investissement. Nous avons dépassé les frontières de notre métier pour nous donner de nouvelles opportunités. Nous étions accompagnés par OSEO innovation et par le Conseil général de l Ardèche. Nos lignes sont opérationnelles depuis 2014 : l industrialisation est un processus long. Comment se développe l activité TAG&PLAY? Aujourd hui, TAG&PLAY représente 20% de notre chiffre d affaires. Les 80% restants proviennent de nos activités traditionnelles (livre, catalogue, brochure etc.). Les produits que nous vendons sous cette marque ont une forte teneur en technologie. Les clients ne regardent pas simplement le prix mais aussi le service et la qualité. Équiper un produit avec une puce nous permet d obtenir de nouveaux marchés. TAG&PLAY est un service complémentaire qui nous amène de nouveaux clients. De grandes entreprises du secteur bancaire et du luxe nous ont sollicités. Notre clientèle a évolué. Notre premier client était un éditeur mais aujourd hui nous travaillons surtout avec le secteur de l industrie, dans lequel nous signons des contrats qui courent sur deux ou trois ans, ce qui nous permet une meilleure visibilité et sécurise notre activité. Quelle offre la technologie NCF recouvre-t-elle aujourd hui? Nous proposons une offre à «tiroirs». TAG&PLAY doit nous permettre de travailler avec nos collègues imprimeurs et les agences qui peuvent revendre la marque. Nous pouvons leur vendre des étiquettes ou des logiciels, ou les deux, selon leurs compétences et leurs besoins et nous assurons la sécurité des systèmes d impression ainsi mis en place. La plateforme permet de proposer des offres de traçabilité et de «tracking» des clients. L industrie est très intéressée par tout ce qui a trait à la traçabilité. 3
5 Il existe des applications pratiques mais aussi ludiques. Nous avons eu des clients publics comme L Agence de Développement Touristique de l Ardèche et certains projets de municipalité pour les transports, par exemple (bornes que l on scanne pour connaître les horaires de bus). Nous avons réalisé des tags pour les aides à domicile. Grâce à des plaques disposées chez les patients, elles s identifient et indiquent les types de soins administrés. Les tags garantissent l authenticité des produits, notamment dans le luxe qui doit lutter contre la contrefaçon et le marché gris. Les afficheurs s intéressent à cette technologie pour géo-localiser les prospects. Les tags permettent aussi l animation des points de ventes. Lors du salon Marketing et Point de Vente, nous avions réalisé des totems avec des vidéos et des jeux animés Il y a tellement d applications possibles! Grâce au tag NFC, nous pouvons enrichir le support imprimé et ainsi valoriser le produit. Nous gardons notre savoir-faire tout en proposant des services complémentaires. Ce choix technologique vous a t il amené à intégrer de nouvelles compétences en interne? Dans un premier temps, nous avons intégré des compétences au niveau du bureau d études. Aujourd hui, nous employons trois développeurs. Nous avons eu du mal à les recruter car notre secteur n intéresse pas forcément ce type de profil. Dans un premier temps, nous nous sommes rapprochés d écoles comme ING Pagora et avons embauché des stagiaires, puis nous avons recruté des techniciens très pointus. Lorsque nos développeurs sont arrivés, ils ont pu découvrir tous les métiers de l imprimerie. Ils ont su faire preuve d une grande curiosité et adaptabilité pour découvrir les métiers de chacun. Ensuite, nous avons installé les lignes de production de tags. Le tag est un produit très spécifique qui exige un savoir-faire technique. L arrivée de cette technologie a permis de décloisonner les métiers et de réorganiser les services. L activité TAG&PLAY est transversale, elle concerne tous les services : développement, PAO, production et conditionnement. L ensemble du personnel est monté en compétences et est, aujourd hui, très polyvalent. Nous avons créé deux postes d opérateur spécialisé et les avons pourvus en interne. Puis nous avons recruté deux personnes pour la fabrication traditionnelle. Ces changements ont été très bien perçus par les salariés. Nous avons récemment embauché un ingénieur qualité et un responsable du suivi des dossiers de production. En cinq ans nous avons créé cinq emplois sans compter les contrats temporaires. Et nous ne voulons pas nous arrêter là. Si nous pouvions encore créer cinq postes dans les années à venir, nous aurions atteint notre objectif. 4
6 Comment le marché va-t-il évoluer selon vous? Le marché va fortement progresser dans les deux ou trois ans à venir. Tous les portables liront par exemple les tags NFC. Nous cherchons déjà à recruter de nouveaux profils en développement et en production. Nos clients habituels sont plutôt régionaux mais avec TAG&PLAY, notre activité prend une dimension nationale, voire européenne. Pour mieux exporter, nous continuons à nous former à l anglais et les salariés que nous avons embauchés récemment pratiquent tous cette langue. Nous fréquentons aussi des salons anglophones. Le Tag NFC ne connaît pas de frontières et la norme est internationale. Avec le renouvellement du prochain parc téléphonique, tous les téléphones vont être équipés de la technologie permettant de lire les tags NFC. La profession doit se saisir de cette opportunité et être présente sur ce marché. Nous pourrions nous associer avec d autres imprimeurs pour créer un réseau et utiliser nos savoir-faire, souvent complémentaires pour proposer une offre globale. La plupart des imprimeries sont familiales. Elles garantissent une prestation de qualité. Elles ne doivent pas avoir peur de se lancer. Nous sommes là pour les accompagner. L enrichissement du support imprimé est une solution pour garder ses clients et en attirer de nouveaux, notamment grâce aux prestations liées à la plateforme qui favorisent des relations durables. Les produits techniques, à forte valeur ajoutée, permettent de se démarquer des travaux réalisés dans les pays à faible coût de main d œuvre. L avenir se prépare dès aujourd hui. Nous imprimons moins mais les travaux que nous réalisons sont différents et les possibilités offertes par le tag NFC, multiples. 5
7 La France INDICATEURS DE CONJONCTURE GLOBALE N 35 MAI 2015 Grands indicateurs macroéconomiques (INSEE) Enquête de conjoncture dans l Industrie Période Evol. par rapport période précédente (mois ou trimestre selon indicateurs) PIB (CVS-CJO*) T ,1 % Indice production Industrie manufacturière (CVS-CJO) mars-14 +1,2 % Consommation des ménages en biens fabriqués (CVS-CJO) mars-15-0,2 % Opinion ("moral") des ménages (CVS) avr pts Indice prix pâte à papier importée (en devises) janv-15 +2,7 % Prix à la production (Produits manufacturés, pour marché intérieur) Prix à la consommation (CVS) janv-15-0,9 % janv-15-1,0 % Evol. sur un an +0,6 % (glissement annuel) +2,8 % (par rapport à mars 2014) +9 pts (par rapport à février 2014) +22,9 % (glissement annuel) -3,9 % (glissement annuel) -0,4 % (glissement annuel) (Avril 2015 ; extrait de la page web de l INSEE) Selon les chefs d'entreprise interrogés en avril 2015, dans l industrie, la conjoncture s améliore : ainsi, l indicateur synthétique du climat des affaires gagne deux points. Le solde d opinion des industriels sur leur activité passée rebondit et se situe à un niveau proche de sa moyenne de longue période. Les carnets de commandes globaux et à destination de l étrangers s améliorent par rapport au mois de mars : pour les premiers, le solde des opinions rejoint sa moyenne de long terme ; pour les seconds, il reste supérieur et atteint son niveau le plus haut depuis juillet Le solde des opinions sur les perspectives générales de production, qui correspond au ressenti des industriels sur l activité dans son ensemble, continue à progresser. Indicateur synthétique du climat des affaires 6
8 Le secteur de l imprimerie en France Production (en tonnes) et facturation (en euros) Détails par marchés Dans l imprimerie, la production a continué à baisser début 2015, avec des reculs de 5,5 % et 2 % sur les deux premiers mois de l année, comparés aux mêmes mois de L indice de production de l industrie manufacturière diminue en janvier et reste plutôt stable en février après une hausse de près de 4 % en décembre. 10% Evolution de la production Imprimerie et Industrie manufacturiere Par mois, par rapport au même mois de l'année précédente Source: Baromètre I+C (production imprimerie) et INSEE (Industrie manufacturière, série brutes) mise en forme IDEP Production Imprimerie Prod Ind Manuf Janvier - Février 2015/ Janvier- Fevrier 2014 (en %) Tendance annuelle Volume de production Production Facturation Production Global Imprimerie -3,8% -2,8% -2,5% Livres -1,5% -1,5% Périodiques -4,5% -4,0% dont Hebdomadaires -7,8% -6,1% -1,5% Catalogues -2,2% -2,1% -2,5% Imprimés publicitaires adressés 0,2% -1,1% -2,0% Imp.pub. non adressés - -2,6% - Imprimés de gestion personnalisés -1,5% -2,0% -2,0% Imp. adm. et com. non personnalisés -3,5% - 5% 0% -5% -10% 2,5% 2,1% 0,2% -0,2% -1,5% -4,0% -3,7% 3,1% 3,8% -0,2% -1,3% -1,5% -1,9% -1,5% -2,0% -3,2% -2,8% -3,5% -3,2% -4,5% -4,5% -4,5% -5,5% mars-14 avr.-14 mai-14 juin-14 juil.-14 août-14 sept.-14 oct.-14 nov.-14 déc.-14 janv.-15 févr.-15 Rappel : ce tableau indique des évolutions conjoncturelles. Début 2015, le volume imprimé a diminué sur l ensemble des marchés, exception faite de celui des imprimés publicitaires adressés. Au global, la production de l imprimerie baisse de 3,8% au premier bimestre 2015 par rapport à la même période de Les périodiques enregistrent la contraction en volume la plus importante. 7
9 L investissement publicitaire Évolution annuelle Evolution 2015/2014 janvier Evolution de la pression publicitaire (valorisée en millions d'euros bruts) Source Kantar Media, mise en forme IDEP PRESSE dont MAGS dont QUOT. NAT. -30% -20% -10% 0% 10% 20% 30% -10,8% -8,8% -12,0% -16,0% -6,7% -6,6% en valeur ( ) en vol (nb de pages) Évolution mensuelle Selon Kantar Media, la pression publicitaire (en euros bruts) progresse, en janvier, pour la télévision, la publicité extérieure et le cinéma. En revanche, pour la presse et la radio, la tendance est à la baisse. Au total en février, selon l indicateur AdTrend 1, le marché publicitaire cross media se chiffre à 665,7 millions d euros nets soit 1% de plus qu en février L analyse par média montre une progression pour la télévision (+ 3%) et le «display + search» (+4%) et des contractions notamment pour la presse (-8%) et la publicité extérieure (-4%). RADIOS -3,6% TELEVISION 12,2% PUBLICITE EXTERIEURE 3,0% CINEMA 23,9% Les investissements publicitaires sont valorisés en tarifs bruts non négociés, en euros courants. En valeur absolue, cette valorisation faite par Kantar Media est parfois assez éloignée de la réalité, car les négociations peuvent faire évoluer très fortement à la baisse le tarif catalogue (tout particulièrement en périodes de difficultés économiques). Source : Baromètre cross média de la publicité en net mensuel de Kantar média en partenariat avec France pub. Attention pour la publicité extérieure : Clear Channel a lancé une nouvelle offre le 4 Mars 2013, qui se décline en 4 Parcours Consommateurs. Cette nouvelle architecture entraîne une redéfinition des univers d affichage tels qu ils existaient jusqu alors. Compte tenu de la politique de tarification et des CGV du Mobilier Urbain, ces modifications feront mécaniquement chuter la valeur brute de l offre globale de Clear Channel sur la période de 4 mars au 31 décembre 2013 et impacteront donc les résultats d investissements publicitaires de la PUBLICITE EXTERIEURE, publiés par KANTAR MEDIA. 1 1 AdTrends est le résultat du rapprochement des données brutes de Kantar Media avec les données en net de France Pub. Le passage du brut au net de janvier s effectue par une modélisation qui prend en compte les clés de passage France Pub calculées par média et par famille d'annonceurs à fin Ce modèle sera réactualisé tous les trimestres par comparaison des données Kantar Media / France Pub. 8
10 Rappel : commerce extérieur 2014 (données provisoires*) Évolution annuelle En 2014, les importations enregistrent une baisse de 19 % en volume soit tonnes de moins qu en Les exportations affichent une baisse de 9 %, soit près de tonnes de moins qu en Commerce extérieur (en vol.) - Tous Imprimés Chapitre 49 Evolution en % 2014/2013 Source : Douanes Françaises, mise en forme IDEP -20% -15% -10% -5% 0% Les échanges en 2014 par trimestre : T 1 n/t1 n-1 T2 n/t2 n-1 Exportations (en vol.) - Tous imprimés Chap.49 Evolution trimestrielle en % 4T 2014/ 4T 2013 Source Douanes Françaises, mise en forme IDEP -30% -20% -10% 0% 10% -18% -13% T3 n/t3 n-1-19% -19% Importations T4 n/t4 n-1 3% Cumul -9% Exportations Importations (en vol.) - Tous imprimés Chap.49 Evolution trimestrielle en % 4T 2014/ 4T 2013 Source Douanes Françaises, mise en forme IDEP -30% -20% -10% 0% 10% *Enquête en cours concernant la mesure des flux des imprimés publicitaires (autour de 17% des volumes importés). T1 n/t1 n-1-24% T2 n/t2 n-1-26% T3 n/t3 n-1-20% T4 n/t4 n-1-9% 9
11 Le secteur de l Imprimerie dans quelques pays européens Production Allemagne Production Italie Au cumul, la production allemande enregistre une baisse de 3,3% durant le premier trimestre En mars, elle affiche une progression par rapport au même mois de L activité du secteur se dégrade et, au cumul, début 2015, la production recul de 7,2 %, par rapport à Allemagne - Evolution mensuelle indice Production Imprimerie labeur Source: Destatis, mise en forme IDEP 110 Italie - Evolution mensuelle indice Production Imprimerie labeur Source: Istat, mise en forme IDEP Cumul janv-mars: -3,3 % Cumul janv-mars: -7,2% 50 Janv Fév Mars Avril Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc 40 Janv Fev Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept Oct Nov Déc 10
12 LE MARCHÉ DES IMPRIMÉS PUBLICITAIRES N 35 MAI 2015 Production (en tonnes) et facturation des Imprimés publicitaires adressés 2 : une reprise en février Evolution 2014/2013 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP -5% -3% -1% 1% 3% 5% 5% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Imp. publicitaires adressés Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP 3,0% Production -3,8% Facturation -2,8% -1,1% 0,2% Imp publicitaires adressés Global Imprimerie 0% -5% - -4,0% 0,0% -2,0% 0,0% -5,0% -4,0% 0,0% CA à la tonne -1,3% -10% -7,0% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv.-15 Au cumul, sur les premiers mois de 2015, la production d imprimés publicitaires adressés est stable par rapport à la même période de Au mois de janvier, la production enregistre une baisse par rapport au même mois de l année précédente. En revanche, en février la production progresse de 3 %. 2 A noter que le cabinet I+C interroge sur ce marché aussi bien des imprimeurs de labeur que des routeurs et des filiales de grosses entreprises de la filière courrier, positionnés sur ce marché du Marketing Direct. 11
13 Production (tonnes) et facturation des Imprimés publicitaires non adressés : stabilisation en début d année Evolution 2015/2014 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP -5% -3% -1% 1% 3% 5% 5% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Imp. publicitaires non adressés Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP Production -3,8% - Imp. publicitaires non adressés 2,0% 2,0% Facturation -2,6% -2,8% Global Imprimerie 0% 0,0% CA à la tonne -1,6% -5% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv.-15 La production d imprimés publicitaires non adressés diminue seulement de 1%, au premier bimestre 2015 par rapport au premier bimestre Elle résiste mieux que la production moyenne (-3,8%). De janvier à mars 2015, le tonnage des imprimés publicitaires non adressé se stabilise, en baisse régulière de 1% par mois. 12
14 LE MARCHÉ DES CATALOGUES COMMERCIAUX N 35 MAI 2015 Production (tonnes) et facturation : une forte baisse en janvier Evolution 2014/2013 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP -5% -3% -1% 1% 3% 5% 5% 2,0% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Catalogues Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP Production -3,8% Facturation -2,2% -2,1% -2,8% Catalogues Global Imprimerie 0% -5% -5,0% -6,0% - -7,0% - -2,0% -6,0% CA à la tonne 0,1% -10% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv.-15 Début 2015, la production de catalogues commerciaux enregistre une baisse de 2,2%, par rapport à la même période de Au mois le mois, janvier marque une baisse importante de la production avant une reprise en février. 13
15 LE MARCHÉ DES PÉRIODIQUES N 35 MAI 2015 Production (tonnes) et facturation : un très net recul -4,5% Production -3,8% -4,0% Facturation -2,8% Evolution 2015/2014 cumul janv/février Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP -5% -3% -1% 1% 3% 5% Périodiques Global Imprimerie La production de périodiques continue à baisser et diminue plus fortement que la moyenne du secteur. En cumul, elle recule de 4,5% début 2015 par rapport à la même période de Elle affiche un recul marqué de 7% en janvier et de 2% en février. En janvier 2015, selon Kantar Média, la presse magazine enregistre une baisse de sa pagination publicitaire de 8,8 %. CA à la tonne 0,5% Evolution 2015/2014 janvier Investissements publicitaires (valorisés en millions d'euros bruts) Source Kantar Media, mise en forme Observatoire des marchés -20% -15% -10% -5% 0% 5% 10% 5,0% 2,0% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Périodiques Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP PRESSE dont MAGS -10,8% -8,8% -6,7% -6,6% en valeur ( ) en vol (nb de pages) 0,0% -5,0% - -5,0% -6,0% - -4,0% -6,0% -6,0% -2,0% -7,0% -2,0% dont QUOT. NAT. -16,0% -12,0% -10,0% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv
16 LE MARCHÉ DU LIVRE N 35 MAI 2015 Production (tonnes) et facturation : des évolutions contrastées Evolution 2015/2014 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Livres Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP Production Facturation CA à la tonne -5% -3% -1% 1% 3% 5% -3% -3,8% -1,5% -2,8% 1,5% Livres Global Imprimerie 5,0% 0,0% -5,0% -10,0% -4,0% -6,0% - 2,0% -5,0% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv Début 2015, le volume de livres imprimés diminue de 3 % par rapport à la même période de La production de livres recule de 5 % en janvier et de 1% en février. 15
17 LE MARCHÉ DES IMPRIMÉS ADMINISTRATIFS ET COMMERCIAUX N 35 MAI 2015 Imprimés administratifs et commerciaux non personnalisés : un mauvais mois de février Evolution 2014/2013 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP Imprimés de gestion personnalisés : une baisse relative Evolution 2015/2014 cumul janvier/février Source : Baromètre I+C, mise enforme IDEP -5% -3% -1% 1% 3% 5% -5% -3% -1% 1% 3% 5% Production -3,8% -1,5% Imprimés de gestion personnalisés Production -3,8% Imp. adm. et commerciaux non personnalisés Facturation -2,0% -2,8% Global Imprimerie Facturation -3,5% -2,8% Global Imprimerie CA à la tonne -0,5% CA à la tonne -0,5% La production d imprimés administratifs non personnalisés diminue de 3,0 % en cumul, début La production est stable janvier mais enregistre une baisse importante en février. La production d imprimés de gestion personnalisés recule moins que la moyenne de l imprimerie, tous marchés confondus. Elle suit la même tendance que celles des imprimés non personnalisés. Stable en janvier, elle enregistre une baisse en février. 10% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Imprimés administratifs et commerciaux non personnalisés Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP 10% Evolution mensuelle de la production (Evol n/n-1 en %) Imprimés de gestion personnalisés Source : Baromètre I+C, mise en forme IDEP 5% 0% -5% -10% 3,0% 3,0% 0,0% 0,0% - -2,0% -6,0% -6,0% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv.-15 5% 0% -5% -10% 0,0% 0,0% 0,0% - -5,0% -6,0% -8,0% mars-14 mai-14 juil.-14 sept.-14 nov.-14 janv
18 À propos PROPOS de DE la lettre LA LETTRE Économique ÉCONOMIQUE et de l'observatoire ET DE L'OBSERVATOIRE des marchés DES MARCHÉS N 25 - SEPTEMBRE N MAI ERREUR 2015! LIAISON INCORRECTE. N 27 - DECEMBRE 2013 ERREUR! LIAISON INCORRECTE. Informations sur la Lettre Économique Pour mémoire : Le Baromètre de conjoncture des Industries Graphiques, réalisé par le Cabinet I+C, est la source des données de la production et de la facturation. Coordonnées de l Observatoire : Valérie BOBIN CIEKALA, Directrice des opérations v.bobin@com-idep.fr Camille CUSSAGUET, Chargée d études c.cussaguet@com-idep.fr Rappelons que cette enquête de conjoncture donne des évolutions d activité à périmètre constant. Si une entreprise interrogée disparaît, elle sera remplacée dans le panel par une entreprise ayant des caractéristiques similaires. Le Baromètre n a donc pas vocation à mesurer l évolution de l activité structurelle du secteur d une année sur l autre, liée à des créations ou disparitions d entreprises. IMPORTANT Vous pouvez télécharger la Lettre Économique bimestrielle et le rapport annuel «Regards sur les marchés des Industries graphiques» sur le site de l IDEP (rubrique "veille économique" sur la page d'accueil du site). 17
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