LE FONDS EUROSSIMA RAPPORT SEMESTRIEL : 30 JUIN 2013

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1 LE FONDS EUROSSIMA RAPPORT SEMESTRIEL : 30 JUIN 2013

2 EUROSSIMA 1. L environnement économique et financier en 2013 Après avoir ralenti à 3,3% sur 2012 (contre 3,8% en 2011) en raison notamment de la consolidation budgétaire dans les pays développés et de la baisse du commerce mondial, la croissance de l économie mondiale devrait s établir à un niveau comparable pour Le Fonds Monétaire International (FMI) a en effet revu ses hypothèses de croissance à la baisse en avril et mis en garde les pays avancés contre la persistance des dangers existants et contre l émergence de nouveaux risques. D après l organisme international, le monde s est engagé dans une reprise à «trois vitesses», divisée entre le dynamisme des pays émergents, la résistance des États-Unis et le décrochage persistant de la zone euro, sans générer suffisamment de croissance pour endiguer un chômage élevé «qui affecte les jeunes de façon disproportionnée». Dans ce contexte de stabilisation de la croissance mondiale, les politiques monétaires des banques centrales ont représenté l élément clef de l évolution des marchés financiers. Les premiers mois de l année ont été caractérisés par un retour de la confiance des investisseurs, rassurés par l arsenal de mesures non-conventionnelles dont dispose désormais la Banque Centrale Européenne (BCE) pour faire face à de nouveaux épisodes de tensions sur les marchés des emprunts d État en zone Euro, et par l amélioration de la conjoncture aux États-Unis où la catastrophe annoncée de la falaise fiscale en fin d année 2012 a été atténuée par un compromis de dernière minute entre démocrates et républicains. L apaisement du risque systémique a notamment permis aux marchés financiers de faire preuve d une forte résistance face à la résurgence des tensions au sein de la zone euro au cours du premier trimestre (crise bancaire chypriote, absence de majorité au lendemain des élections législatives en Italie ). Mais la perspective d un retrait prochain par la Réserve Fédérale américaine (Fed) de ses mesures exceptionnelles de soutien à l économie, programme d achat mensuel de 85 milliards de dollars de dettes immobilières et de bons du Trésor, a réveillé la crainte des investisseurs sur la fin du semestre. Le 22 mai, la Fed a en effet évoqué une possible réduction de ce «Quantitative Easing» en cas de confirmation de l amélioration des conditions économiques aux États-Unis avant d annoncer, le 19 juin, son arrêt possible d ici mi-2014, provoquant un fort repli sur les marchés financiers. Le CAC 40 clôture ainsi le premier semestre 2013 à 3739 points, en hausse de 3% depuis le début de l année mais en baisse de 5% sur le mois de juin, après avoir dépassé la barre des 4000 points courant mai. Les taux à 10 ans de l OAT ont quant à eux progressé de 34 points de base depuis le début de l année pour s établir à 2,3% à fin juin 2013, après avoir atteint leur plus bas historique à 1,66 % le 3 mai dernier. L annonce du président de la BCE, le 4 juillet dans un contexte de crise politique au Portugal, du maintien d une politique monétaire durablement accommodante, est toutefois de nature à apaiser les tensions sur les marchés. L institution financière s est en effet engagée pour la première fois sur la durée en affirmant que les taux directeurs resteraient bas «pour une période prolongée». 1.1 La zone euro L activité de la zone euro, entrée en récession en 2012 dans un contexte de crise de la dette souveraine et caractérisée par un taux de chômage record (de l ordre de 12% en mars 2013) est en voie de stabilisation. Les indices manufacturiers sont en progression sur le second trimestre 2013, le désendettement des secteurs publics et privés a permis d améliorer les soldes courants et les tensions au sein du système financier se sont apaisées avec un rééquilibrage des soldes bancaires. Les pays périphériques de la zone euro bénéficient de l apaisement du risque systémique depuis l annonce de la mise en place de l OMT (Outright Monetary Transaction) en septembre 2012 et d une plus grande souplesse en matière de politique budgétaire après la remise en question des effets sur la croissance des mesures d austérité imposées aux pays en difficultés. Les avancées en matière d union bancaire et notamment la mise en place d une supervision unique par la BCE et du Mécanisme Européen de Stabilité prévue pour le second semestre 2014, devraient améliorer la transmission de la politique monétaire et donc faciliter l'accès des entreprises au crédit (en particulier pour les Petites et Moyennes Entreprises). Le FMI table sur une seconde année de récession pour la zone euro en 2013 (-0,3%) mais prévoit un retour de la croissance dès 2014 (+1,1%), compte tenu des améliorations de ces derniers mois. 1.2 Les États-Unis Les indicateurs macroéconomiques des États-Unis se sont renforcés au cours du premier semestre 2013 dans un contexte de durcissement de la politique budgétaire. Le marché de l emploi reste solide avec un taux de chômage en légère baisse à 7,6% au mois de mai. L indice PMI manufacturier est repassé au-delà de la limite des 50 points depuis le début de l année, indiquant une expansion du secteur. 2

3 La demande des consommateurs reste solide en dépit de la hausse des cotisations de sécurité sociale, les conditions financières se sont améliorées et le secteur immobilier est en phase d expansion après six années de marasme. La réduction à venir du programme d achat de la Fed combinée aux hausses d impôts depuis le début de l année et à l entrée en vigueur le 1 er Mars de coupes budgétaires massives dans l optique de réduire le déficit américain, devraient toutefois limiter la reprise économique des États-Unis sur 2013 d après le FMI. L organisme international a ainsi confirmé en juin sa prévision de ralentissement de la croissance américaine pour 2013 (1,9% contre 2,2%) et a revu à la baisse le rebond attendu en 2014 (2,7% contre 3,0% en avril dernier). 1.3 Les pays émergents Bien qu en ralentissement, les économies émergentes demeurent les moteurs de la croissance mondiale. Elles devraient croitre de 5,3% en 2013 d après le FMI dans la lignée de 2012 (5,1%) mais en recul par rapport à la croissance de 2011 (6,4%). L organisme international a néanmoins récemment abaissé à 7,75% ses perspectives de croissance de l économie chinoise pour 2013 et 2014, du fait principalement de la détérioration de la demande extérieure. Au mois de mai, les exportations chinoises ont en effet enregistré leur croissance la plus faible depuis près d'un an (+1%), tandis que les importations ont affiché un recul inattendu de 0,3%, selon des chiffres publiés par le gouvernement. L indice PMI manufacturier qui avait connu un rebond en début d année, laissant envisager une expansion du secteur, est par ailleurs repassé sous la barre des 50 points au cours du second trimestre, sous l effet du ralentissement des investissements en capital fixe, l un des principaux moteurs de l économie chinoise. Le gouvernement chinois, qui s est fixé un objectif de croissance de 7,5% pour 2013, a assoupli sa politique monétaire en 2012 afin d'opérer un rééquilibrage de la croissance chinoise en soutenant davantage la demande intérieure. Mais cette réorientation peine pour l'instant à se matérialiser et le gouvernement a récemment affiché sa volonté d'assainir le secteur bancaire dans un contexte d expansion très rapide du crédit. 1.4 Évolution des principaux indices de marché sur l année 2013 TAUX 3 mois 2 ans 10 ans USA EURO USA France USA Japon Allemagne France 31/12/2012 0,306% 0,187% 0,242% 0,093% 1,750% 0,788% 1,299% 1,990% 28/06/2013 0,273% 0,218% 0,339% 0,361% 2,479% 0,843% 1,726% 2,352% Variation* -3 bps +3 bps +10 bps +27 bps +73 bps +6 bps +43 bps +36 bps * En point de base, 1 point de base = 0,01% ACTIONS En devises locales Dow Jones S&P 500 Nikkei CAC Dax Euro Stoxx 31/12/ , , , , , ,93 28/06/ , , , , , ,59 Variation (en %) + 13,78% + 12,63% + 31,57% + 2,69% + 4,56% -1,26% DEVISES EUR/USD USD/JPY EUR/JPY EUR/GBP 31/12/2012 1, , ,61 0, /06/2013 1, , ,39 0,8409 Variation (en %) -1,41% +14,28% +13,89% +2,86% Source : Reuters 3

4 2. Notre politique d investissement 2.1 Encours sous gestion au 30/06/ ,83 millions d euros (Valeur boursière) 2.2 Évolution de l allocation d actifs au 30/06/ % 80% 83,0% 86,3% 60% 40% Au 31/12/2012 Au 30/06/ % 0% 4,1% 4,1% 5,8% 6,6% Immobilier Actions Participations et autres 5,2% 1,6% 1,5% 0,3% 0,3% 1,2% Obligations Prêts Trésorerie Le contexte économique fragile de 2012 nous avait amenés à réduire de manière significative le poids des actifs risqués dans nos portefeuilles en diminuant la part d actions et de dette périphérique afin de réorienter notre exposition vers la dette souveraine domestique. Notre politique d investissement en début d année 2013 a été, dans la continuité de l année précédente, de réduire fortement la poche de trésorerie tout en limitant la dilution du rendement du portefeuille. Ainsi, dans un univers de taux historiquement bas et après avoir augmenté l allocation en dette gouvernementale française l année dernière, nous avons diversifié le portefeuille obligataire en privilégiant le crédit mais également en investissant en dehors de la zone Euro. Cette diversification, représentant 2,7% de l actif total, a essentiellement concerné des obligations d entreprises privées américaines et émergentes. Par ailleurs, la stratégie de réduction du poids des actions dans le portefeuille en 2012 n a pas été maintenue compte tenu du regain d intérêt des investisseurs pour cette classe d actifs. Ainsi, malgré un contexte réglementaire incertain et toujours peu favorable, la part d actions est en augmentation, notre aversion pour le risque ayant diminué suite à un premier semestre marqué par des marchés actions très performants. Notre gestion très active de cette poche nous a permis de prendre des bénéfices en début d année tandis que les achats ont porté sur des actions délivrant de forts dividendes ou sur des titres aux valorisations attractives ayant souffert du manque de visibilité de ces dernières années. Enfin, la part de l immobilier dans le portefeuille est, quant à elle, stable. Cette classe d actifs de détention long terme s inscrivant parfaitement dans la gestion d un fonds de d assurance vie, notre objectif est de l augmenter en fonction des opportunités. Nous continuerons donc à rechercher activement les investissements avec un profil de rendement stable sur le long terme. 4

5 3. La politique de gestion actions 3.1 Évolution des marchés actions sur ,6% ,7% +0,9% déc. 31 janv. 28 févr. 31 mars 30 avr. 31 mai 30 juin CAC40 S&P 500 EURO STOXX 3.2 Contribution à la performance de l indice Euro Stoxx Voyages et loisirs Santé Media Biens de consommation Assurance Grande distribution Services Financiers Alimentation Technologies Automobile Industrie Chimie BTP Immobilier Télécommunications Services aux collectivités Énergie Banque Matériaux de base -17,3% -3,7% -4,9% -5,8% -7,8% -9,8% 10,0% 8,4% 7,4% 6,8% 6,4% 5,3% 5,2% 4,9% 4,4% 3,0% 1,6% 1,1% 15,6% 5

6 3.3 Une gestion pragmatique dans un contexte incertain Après deux années consécutives de réduction de l allocation action, motivée par les incertitudes liées à la conjoncture internationale et un contexte réglementaire défavorable, notre politique de gestion sur 2013 s est caractérisée par une stratégie d achats sur repli dans un marché certes volatil, mais orienté à la hausse sur 2013 du fait du retour de la confiance des investisseurs. La part des actions dans le fonds est ainsi passée de 5,8% à 6,6% sur le premier semestre Nous avons bénéficié de la remontée des marchés pour réaliser des plus-values sur des titres ayant bien performé tels que Crédit Agricole, Cap Gemini, Lagardère ou encore Givaudan. Nos principaux investissements du semestre ont concerné le secteur financier (Allianz, Aviva, BNP, ING) qui a été fortement impacté par la crise de la dette souveraine depuis 2011 mais qui devrait bénéficier d un début de stabilisation de la zone euro. Nous nous sommes également positionnés sur des titres distribuant des dividendes importants comme Telenor afin de renforcer le rendement courant ainsi que des titres aux valorisations attractives tels que SAP ou encore la Deutsche Post, cette dernière étant très sensible au cycle économique américain. Pour être en mesure de tirer profit d un retournement du cycle économique, nous conservons une exposition significative aux domaines d activité exposés à la croissance des pays émergents tels que le secteur énergétique (Total, Royal Dutch Shell) ou des matériaux de base (BHP, Arcelor). Nous avons également maintenu nos positions dans le domaine des télécommunications (Deutsche Telekom, France Télécom) qui a souffert ces dernières années de l effritement de ses marges (baisse des prix dans un marché très concurrentiel) mais qui verse des dividendes toujours attractifs. Notre politique de gestion reste fondée sur l'analyse et la sélection de titres en privilégiant des valeurs très liquides, essentiellement de grandes capitalisations diversifiées géographiquement (exposition aux zones économiques en forte croissance). 3.4 Répartition du portefeuille d actions gérées en direct au 30/06/2013 Premières lignes actions Répartition géographique au 30/06/2013 ACTIONS MERCIALYS TOTAL SIEMENS ROYAL DUTCH SHELL VIVENDI ALLIANZ VILMORIN ET CIE DEUTSCHE TELEKOM BHP BILLITON AEROPORTS DE PARIS Allemagne : 22,1% Royaume-Uni : 13,7% Suisse : 5,2% Pays-Bas : 4,8% Luxembourg : 2,6% Norvège : 2,3% Espagne : 1,5% Suède : 1,2% Italie : 0,9% Finlande : 0,6% Portugal : 0,6% Irlande : 0,5% France : 43,8% Belgique : 0,2% 6

7 Répartition sectorielle au 30/06/2013 Immobilier (1) Matériaux de base Industrie Énergie Biens CC (2) Télécommunications Biens CCy (3) Services AC (4) Technologie (5) Banques Santé 2,9% 2,7% 3,5% 6,1% 5,8% 8,1% 9,2% 11,1% 12,2% 16,0% 22,4% (1) Immobilier coté et secteur financier hors banques (2) Biens de Consommation Courante (3) Biens de Consommation Cyclique (4) Services Aux Collectivités (5) Technologie de l information 4. La politique de gestion obligataire 4.1 Les marchés obligataires (taux 10 ans) 2,5% 2,48% 2,35% 2% 1,5% 1,73% 1% 0,84% 0,5% 0% 31 déc. 31 janv. 28 févr. 31 mars 30 avr. 31 mai 30 juin États-Unis France Japon Allemagne L apaisement du risque systémique conjugué aux actions des banques centrales depuis le second semestre 2012 et à l anticipation des flux de capitaux japonais vers les marchés obligataires européens et américains (résultant de la politique monétaire expansionniste de la Banque du Japon) ont favorisé la baisse des taux d intérêts au cours des quatre premiers mois de l année. Mais la crainte d un arrêt prématuré des rachats d actifs de la Fed a conduit, fin mai, à un regain de tension sur le marché de la dette souveraine. 7

8 4.2 Une gestion active et diversifiée Dans un environnement de taux «durablement bas» au sein de la zone euro selon la volonté de la BCE, l année 2013 a été marquée par une forte diversification de nos investissements obligataires. Alors que les flux en 2012 avaient essentiellement concerné la réorientation des emprunts d États vers la dette domestique, nous avons en 2013, rééquilibré nos investissements entre obligations d entreprises privées et obligations d État afin d avoir le meilleur équilibre entre rendement et risque. En effet, les achats ont porté pour un montant de 256 millions d euros sur des obligations d entreprises privées («corporates»), tout en restant particulièrement sélectif sur la qualité de signature, et pour 77 millions d euros sur des obligations d État (principalement françaises). Nos opérations d achats sur les obligations corporate ont principalement concerné des entreprises telles que France Télécom, Suez ou encore Autoroutes du Sud ainsi que des émissions bancaires sécurisées (Banco Sabadell, BPCE, Crédit de Financement Foncier). S agissant de la diversification obligataire, deux axes d allocation ont été mis en œuvre au cours du premier semestre 2013 : la recherche de zones géographiques diversifiantes et jugées économiquement prometteuses mais également des segments de marché spécifiques et différenciants. L Amérique du Nord est la principale zone géographique retenue, elle représente 70% de la poche de diversification obligataire. Les investissements ont également portés sur la zone des pays émergents et parmi celle-ci l Amérique Latine représente l exposition la plus importante, dont le Brésil et le Mexique. Les investissements ont été faits en majorité sur des obligations du secteur privé, pour partie en obligations de notation élevée jugées de première qualité et pour une partie sensiblement plus importante, en obligations de catégorie à rendements élevés, notamment les dettes des entreprises localisées dans les pays émergents. Cette diversification représente environ 3% de la poche obligataire au 30 juin La totalité de nos investissements obligataires sur le premier semestre représente 463 millions d euros. 4.3 Les principales lignes du portefeuille obligataire (hors OPCVM) au 30/06/2013 OBLIGATIONS OAT 3,50% OAT 6% OAT 4,25% OAT 3,50% BELGIUM 4,5% OAT 2,75% ITALIE 2,35% INFL.EU. OAT 3% OAT BELGIQUE 4,25% OLO 61 ITALIE 6,50%97-27 TBO 4.4 Répartition du portefeuille obligataire au 30/06/2013 Répartition État* - Secteur privé 49,7% Secteur privé 50,3% État* * État, garantie d État, agences et entreprises publiques et assimilés 8

9 4.5 Répartition géographique des emprunts d État et garanties d État, hors OPCVM taux et dérivés, en % du total d actifs France Belgique Italie Autriche Organismes supranationaux Portugal Allemagne Japon Espagne Irlande Slovaquie Pologne 4,5% 3,0% 2,1% 1,4% 1,0% 0,7% 0,6% 0,5% 0,3% 0,1% 0,1% 27,7% 4.6 Notation du portefeuille obligataire au 30/06/2013 Répartition par rating 10,6% AAA 44,5% AA 17,5% A 24,3 BBB 2,3% BB 0,1% B 0,7% NR Le rating moyen du portefeuille ressort à A 4.7 Maturité du portefeuille obligataire au 30/06/2013 Répartition par maturité +10 ans 39,3% 6-10 ans 32,9% 3-6 ans 19,0% 0-3 ans 8,8% 9

10 4.8 Duration du portefeuille obligataire (hors trésorerie) Duration au 31/12/2012 6,90 Duration au 30/06/2013 7, Investissement Socialement Responsable Après avoir mis en place dès 2006, pour la totalité de sa gestion d actifs financiers à l échelle mondiale, un filtre éthique excluant les titres des sociétés qui violent les droits de l homme ou qui portent gravement atteinte à l environnement, le Groupe Generali s est également engagé dans une démarche en Investissement Socialement Responsable (ISR) en se dotant d une méthodologie rigoureuse de sélection des actifs financiers. Cette approche est faite en amont de l'analyse financière fondamentale et intègre les critères Environnement / Social / Gouvernance (ESG). Elle vise à recenser toutes les sociétés qui respectent ces critères et qui mettent en place les développements nécessaires à l ISR, prouvant ainsi leur solidité et leur capacité à créer de la richesse. Les enjeux ESG différant selon les activités, le choix des critères et leur pondération sont adaptés à chaque secteur économique. La sélection des titres par la gestion est ensuite faite sur la base d un univers d investissement restreint par ces filtres éthiques et ESG. Pour résumer, cette méthodologie nous permet d examiner et d intégrer à nos décisions d investissements un ensemble de critères extra-financiers pouvant avoir un impact à moyen et long terme sur la performance économique et financière de nos actifs. À ce jour, plus de 94% de l encours actions en direct et 60% de celui des obligations d entreprises est suivi et analysé à l aune des 34 critères extra-financiers retenus comme pertinents pour chacun des 26 secteurs d activités. Sur cette base de titres, 77% des actions et 80% des obligations d entreprises reçoivent une notation supérieure à la moyenne de leur secteur et sont conformes à notre politique de sélection ISR. Notation Une société dont le score global est inférieur à la moyenne de son secteur d activité ne peut être intégrée dans le portefeuille. Une analyse complémentaire réalisée à l appui d échanges avec l entreprise concernée peut toutefois être menée sur les points soulevés par l analyse primaire, justifiant son maintien en portefeuille s il en ressort une démarche d amélioration. In fine, notre objectif est de faire progresser de manière continue le pourcentage de valeurs conformes à notre politique de sélection ISR au sein de ce portefeuille. Score des 10 premières lignes actions couvertes Société Secteur Score global de la société Score global moyen du secteur TOTAL SA Energy equipment & services; oil, gaz & consumable Fuels 48,2% 41,1% SIEMENS AG-REG Electrical Equipment, Industrial Conglomerates, Machinery 50,8% 45,6% ROYAL DUTCH SHELL PLC-A SHS Energy equipment & services; oil, gaz & consumable Fuels 45,8% 41,1% VIVENDI Media 41,7% 38,9% ALLIANZ SE-REG Insurance 40,6% 43,8% DEUTSCHE TELEKOM AG-REG Diversified Telecommunication Services 64,4% 50,0% BHP BILLITON PLC Metals & Mining 60,8% 47,7% ADP Transportation Infrastructure 53,1% 48,6% HEIDELBERGCEMENT AG Construction Materials 44,0% 53,4% AVIVA PLC Insurance 53,9% 43,8% 10

11 Score des 10 premières lignes obligations d entreprise couvertes Société Secteur Score global Score global de la société moyen du secteur ADP Transportation Infrastructure 53,1% 48,6% CREDIT AGRICOLE SA Commercial Banks 51,4% 45,3% ENEL SPA Electric, gas, water multiutilities & Energy traders 46,1% 47,8% COMPAGNIE DE SAINT-GOBAIN Construction & engineering 54,2% 50,8% INTESA SANPAOLO Commercial Banks 48,6% 45,3% FRANCE TELECOM SA Diversified Telecommunication Services 60,0% 50,0% HSBC HOLDINGS PLC Commercial Banks 47,7% 45,3% LLOYDS BANKING GROUP PLC Commercial Banks 42,1% 45,3% ENI SPA Energy equipment & services; oil, gaz & consumable Fuels 49,2% 41,1% CASINO GUICHARD PERRACHON Food & Staples Retailing 62,4% 50,7% 5. La politique de gestion immobilière 5.1 Données marché Investissement Avec près de 6,4 milliards d euros investis sur le marché au premier semestre 2013, les volumes sont en baisse de 5% par rapport au premier semestre de l année précédente. Le faible nombre d opérations de taille supérieure à 200 millions d euros explique en grande partie cette baisse. Les investissements en bureaux sont en baisse de 10% par rapport au premier semestre Toutefois, cette classe d actif concentre toujours 59% des montants totaux investis en immobilier non résidentiel. Les investissements dans Paris ont baissé de 15% au premier semestre au profit de la première et deuxième périphérie parisienne mais aussi des régions. En revanche, le secteur d affaires de l Ouest est encore en baisse par rapport à 2012 même si certaines opérations en cours de négociation pourraient faire évoluer cette situation au deuxième semestre. Les fonds d investissement restent les plus présents sur le marché mais ont tout de même perdu leur premier rôle. Les foncières cotées, les compagnies d assurances et caisses de retraite, SCPI et OPCI font leur retour en force et augmentent les montants engagés. Les taux de rendement à l acquisition ont eu tendance à baisser par rapport à 2012 dans le quartier central des affaires de Paris. Cependant, les actifs dont la situation locative est peu sécurisée commencent à afficher des taux de rendement très élevés. Activité locative Avec m² commercialisés au premier semestre de l année, la demande affiche une forte de baisse de 19% par rapport au premier semestre Cette performance est même inférieure de 4% par rapport à celle du premier semestre 2009, année du dernier «trou d air» du marché locatif. Un marché difficile dans lequel les prévisions de prise à bail pour l année pourraient afficher une baisse de 25 % par rapport à l année Cependant, les entreprises étant restées très attentistes pendant les premiers mois de l année, nous pourrions assister à un léger rattrapage au cours du deuxième semestre. 11

12 5.2 Constitution du portefeuille Le portefeuille d Eurossima est diversifié tant par sa typologie que géographiquement. Ainsi, il porte 64% de bureaux dont l immeuble Espace Seine pour 35% qui a été totalement restructuré en 2012 permettant l obtention de la certification HQE Exploitation et Bréeam one use. Il porte également 16% d immeubles résidentiels via la détention des parts de deux OPCI, 13% d un OPCI logistique et 7% de commerces majoritairement constitués de boutiques en pied d immeuble. Ventilation de la VM par nature d actifs Habitation : 16% Logistique : 13% Commerce : 7% Bureaux : 64% Ventilation de la VM par localisation géographique Ile-de-France hors Paris : 45% Paris : 41% Province : 13% Étranger : 1% WBM8381RPH - Septembre Document non contractuel - e-cie vie, Société Anonyme au capital de euros Entreprise régie par le Code des assurances RCS Paris Siège social : 7/9 boulevard Haussmann Paris Société appartenant au Groupe Generali immatriculé sur le registre italien des groupes d assurances sous le numéro 026

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