Taux de pérennité annuel entre le premier et le troisième anniversaire des entreprises créées en 2002 Ages Années
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- Mauricette Lefrançois
- il y a 8 ans
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1 Taux de pérennité à 3 ans des créations pures de la génération 2002
2 Le taux de pérennité à trois ans des entreprises créées (créations pures) en 2002 est de 66 %. Autrement dit, pour 100 entreprises créées en 2002, 66 sont toujours en activité au moment de leur troisième anniversaire. La cessation d activité de ces entreprises se fait progressivement entre leur démarrage et le troisième anniversaire. Taux de pérennité annuel entre le premier et le troisième anniversaire des entreprises créées en 2002 Ages Le graphique ci-contre présente les taux de pérennité à chaque anniversaire (entre le premier et le troisième) des entreprises créées en Ainsi, à un an, le taux de pérennité est de 86 % et, à deux ans, il est de 76 %. Le taux de pérennité des entreprises est influencé par les entreprises dont le dirigeant prévoit dès le démarrage une cessation d activité rapide. Si on ne tient pas compte de ces entreprises, le taux de pérennité à trois ans s élève à 71 % Années Par définition, une entreprise non pérenne a cessé son activité. La cessation d activité n est pas systématiquement synonyme de problème économique. De multiples autres raisons peuvent amener à la fermeture administrative d une entreprise : cession de l entreprise (vente, donation, location-gérance ), raisons d ordre personnel (problèmes de santé, retour vers le salariat, création d une autre entreprise, raisons familiales ) par exemple. Il n est donc pas correct d assimiler les cessations d activité aux défaillances 1 comme il est fréquent de le voir. Une étude menée en 2004 par le Ministère des petites et moyennes entreprises a montré que la cessation administrative d une entreprise pour cause économique avant le cinquième anniversaire concerne 38 % des créations d une période donnée et non % comme il est coutume de le voir (ce chiffre correspond au taux de pérennité à cinq ans des entreprises et est très souvent assimilé au taux de défaillance), dont 15 % sont des défaillances. De nombreux phénomènes agissent sur la pérennité des entreprises. Ils sont liés soit aux caractéristiques des dirigeants, soit aux caractéristiques de leur entreprise, les deux étant bien souvent intimement liés. Ce document propose une analyse des facteurs favorables ou non à la pérennité des entreprises. 1 Une entreprise en situation de défaillance (ou de dépôt de bilan) est une entreprise pour laquelle est ouverte une procédure de redressement judiciaire. Cette mesure intervient pour les entreprises qui sont en état de cessation de paiement.
3 1- Analyse de la pérennité à trois ans des entreprises - Les barrières à l entrée de l activité Le secteur d activité est un élément déterminant de la pérennité des entreprises. Cet indicateur varie en fonction des «barrières» à l entrée de l activité, c'est-à-dire la facilité d accès à certains secteurs. La pérennité des entreprises varie de 77 % pour le secteur éducation/santé à 57 % pour celui des hôtels, cafés et restaurants. Graphique 1 : Taux de pérennité des entreprises par secteurs d activité % % 71 % % 69 % 68 % 67 % 66 % 63 % 59 % 57 % Education/santé Transports Services personnels Industrie Immobilier Services aux entreprises Construction Activités récréatives, culturelles et sportives Commerce de bouche Commerce Hôtels, cafés et restaurants Les activités peuvent être rassemblées en trois groupes distincts définis selon le type de «barrière» : - Les «barrières» liées à une réglementation professionnelle complexe ou à l obligation d appartenir à un ordre : parmi les activités qui ont une obligation d appartenir à un ordre, se trouvent les secteurs de la santé, les activités juridiques, les activités comptables Par ailleurs, les secteurs de l immobilier et des transports font partie des activités avec une règlementation professionnelle complexe : justification d une garantie financière suffisante pour le premier et conditions d honorabilité professionnelle et de capacité financière pour le second. Ces secteurs enregistrent une pérennité élevée : 88 % pour les activités comptables, 86 % pour les activités juridiques, 80 % pour le secteur de la santé (et 83 % pour les médecins), 79 % pour les activités d architecture, % pour les transports et 69 % pour l immobilier. - Les «barrières» de la maîtrise d un métier technique : ces métiers sont fréquemment appris par le biais d un diplôme professionnel (CAP, BEP, bac professionnel ou technologique, BTS, DUT ). Un diplôme et/ou une longue expérience professionnelle sont les conditions indispensables à la création de telles activités (qui sont très fréquemment des activités artisanales). Ces diplômes apportent une formation spécifique très généralement accompagnée d une expérience professionnelle. Ce groupe compte par exemple les secteurs de la construction et des soins de beauté (coiffure et esthétique). Les activités de ce groupe ont également un taux de pérennité élevé : 67 % pour la construction, 74 % pour les activités de soins de beauté et 79 % pour celui de la coiffure.
4 - Les «barrières» sont peu contraignantes voire inexistantes. Les activités concernées par ce groupe sont principalement des activités de services aux entreprises dits opérationnels (gardiennage, nettoyage de locaux ), des activités de type commerce (dont le commerce sur éventaires) et des hôtels, cafés et restaurants. Pour ce dernier secteur, il existe bien une règlementation liée aux autorisations d ouverture et au fonctionnement de l entreprise qui ne peut toutefois être assimilée à des «barrières» rigides comme c est le cas pour les deux catégories précédentes. Dans ce groupe, les taux de pérennité sont peu élevés notamment en raison de la facilité d accès à ces professions et donc la concurrence y est accrue : le taux de pérennité est de 59 % pour le commerce de détail, 57 % pour les hôtels, cafés et restaurants et 53 % pour le gardiennage. - L expérience du nouveau dirigeant L expérience professionnelle antérieure à la création du dirigeant est un atout important pour la pérennité des entreprises, que cette expérience soit dans le cadre de la pratique de son métier ou dans le cadre de la connaissance du monde entrepreneurial. La connaissance du monde entrepreneurial est un atout pour la pérennité des entreprises. Les dirigeants qui se trouvent dans cette situation sont déjà sensibilisés plus ou moins implicitement à la gestion de l entreprise et aux rebonds nécessaires à la pérennisation de l affaire. Ainsi, les dirigeants qui pratiquaient déjà une activité de chef d entreprise ou d indépendant au cours de l expérience professionnelle qui a précédé la création enregistrent une pérennité élevée (72 %). De même, ceux qui comptent un chef d entreprise dans leur entourage enregistrent une pérennité plus élevée ( %) que les dirigeants qui ne sont pas dans cette situation ( %). Par ailleurs, la connaissance du métier pratiqué dans l activité est également un atout non négligeable. En effet, les dirigeants qui pratiquent une activité identique à celle qu ils exerçaient dans leur expérience professionnelle antérieure connaissent une pérennité supérieure (72 %) à ceux dont l activité est différente (66 %). L apport de la pratique d une activité identique est d autant plus important que la durée de cette pratique est élevée. Graphique 2 : Taux de pérennité des entreprises selon la pratique de l activité antérieure 72 % 63 % 71 % 74 % 66 % Activité identique dont moins de 3 ans dont de 3 à 10 ans dont plus de 10 ans Activité différente Le niveau de formation est également un facteur déterminant dans la pérennité des entreprises. Alors que les dirigeants non diplômés enregistrent une pérennité peu élevée (63 %), en
5 revanche, pour les diplômés de l enseignement supérieur cet indicateur est plus important (73 %) et notamment pour les titulaires d un diplôme de niveau bac + 3 ou plus (72 à %). Toutefois, cette constatation est influencée par les dirigeants pratiquant une activité dans les secteurs de la santé, des activités juridiques, des activités comptables Si on excepte ces dirigeants, on constate que le taux de pérennité est relativement proche pour l ensemble des niveaux de formation (71 à 67 %), à l exception des entreprises dont le dirigeant n a pas de diplôme qui enregistrent une pérennité nettement plus faible (63 %). Ces derniers appréhendent moins aisément leur métier et la sphère économique dans laquelle ils évoluent, notamment par un manque de connaissance dans ces domaines. De plus, ils sont plus nombreux à créer leur activité dans le secteur du commerce et, plus précisément, dans le commerce de détail, secteur soumis à une très forte concurrence (cf. point précédent). - Des populations enregistrant un taux de pérennité peu élevé La précarité professionnelle est un élément déterminant de la pérennité des entreprises. Les dirigeants qui étaient chômeurs ou inactifs durant la période qui a juste précédé la création d entreprise enregistrent un taux de pérennité moins important. Graphique 3 : Taux de pérennité des entreprises des dirigeants demandeurs d emploi 72 % 66 % 63 % 66 % En activité Chômeurs de courte durée Chômeurs de longue durée Inactifs Les dirigeants qui étaient demandeurs d emploi ou inactifs avant la création de l entreprise sont plus fréquemment éloignés des réalités du monde du travail du fait de leur inactivité sur le plan professionnel. De ce fait, ils ont plus de difficultés à mettre leur projet et leur entreprise en adéquation avec la sphère économique. C est d autant plus vrai pour les chômeurs de longue durée dont le taux de pérennité est sensiblement moins élevé que celui des chômeurs de courte durée (63 contre 66 %). Certaines populations de créateurs enregistrent un taux de pérennité peu élevé ; c est le cas des très jeunes chefs d entreprise et des dirigeants de nationalité étrangère hors union européenne : - 59 % des entreprises dirigées par des moins de 25 ans sont toujours en activité trois ans après leur création contre à 73 % pour les autres tranches d âges, - 59 % des dirigeants de nationalité étrangère hors Union Européenne sont toujours en activité après trois ans contre 69 à 67 % pour les dirigeants de nationalité française ou de nationalité étrangère de l Union Européenne.
6 - L ambition du projet Plus les capitaux investis initialement sont importants, plus la pérennité des entreprises est élevée. Ainsi le taux de pérennité varie de % pour les entreprises qui ont investi moins de à 80 % pour celles qui ont investi ou plus. Graphique 4 : Taux de pérennité des entreprises selon les capitaux initiaux investis 80 % 66 % 68 % 72 % 74 % 78 % 80 % Moins de 2000 De 2000 à 3999 De 00 à 7999 De 8000 à De 100 à De 000 à et plus De plus, les dirigeants qui se situent dans une logique de développement de l emploi enregistrent un taux de pérennité plus élevé. Les dirigeants qui envisageaient de développer l emploi salarié dans les mois qui ont suivi la création connaissent une pérennité plus importante (73 %) que ceux qui n envisageaient pas de créer d emplois salariés supplémentaires (67 %). Dans cette même logique, les dirigeants qui employaient déjà des salariés au démarrage de l activité connaissent une pérennité sensiblement plus importante (69 %) que ceux qui ont démarré seuls ( %). Le fait de disposer de capitaux initiaux importants et/ou d employer des salariés au démarrage renvoient à la préparation inévitable, voire même minutieuse des projets ambitieux, alors qu elle est vraisemblablement moins travaillée ou peu présente pour ceux qui font état d un projet plus modeste. De plus, ces nouveaux dirigeants ont su faire aboutir leurs ambitions de développement car ils ont le plus souvent intégré les règles essentielles de la gestion pragmatique de l entreprise dans le contexte environnemental qui est le leur (compétitivité, contexte réglementaire, organisation du travail, gestion des ressources humaines ).
7 - Les appuis financiers et la prise de conseil Bénéficier d un emprunt bancaire est un atout pour la pérennité de l entreprise et, plus particulièrement, lorsque le prêt bancaire est contracté au nom de l entreprise Graphique 5 : Taux de pérennité des entreprises selon l accès au prêt bancaire 73 % 74 % 69 % 62 % Prêt bancaire dont au titre de l'entreprise dont en nom propre du dirigeant Pas de prêt bancaire Le filtre de la banque oblige le dirigeant à élaborer un plan d affaires pour accéder à ce mode de financement. Par ailleurs, les entreprises ayant bénéficié d un apport en capital d organismes de fonds propres et d autres sociétés poursuivent plus souvent leur activité au-delà de leur troisième anniversaire (respectivement 72 et 76 %). Bénéficier de l assistance de personnes ou d organismes dans le cadre de la mise en place du projet ou dans celui de la direction de l entreprise est un facteur favorable à la pérennité de l entreprise. Ainsi, les dirigeants qui codirigent leur entreprise avec une autre personne enregistrent une pérennité plus élevée (74 %) que ceux qui dirigent seuls leur entreprise (68 %) et, plus particulièrement, lorsque le ou les codirigeants sont l associé ou le conjoint (respectivement 76 et 74 %). De même, les entreprises dont le dirigeant a été assisté dans la mise en place du projet ont un taux de pérennité plus élevé (72 %) que celles dont le dirigeant était isolé dans le montage du projet (66 %). Cette pérennité est plus importante si l aide vient d un ancien collègue (76 %) ou d un membre de la famille, y compris le conjoint (72 %).
8 2- L importance des dirigeants qui prévoient de créer leur entreprise pour une durée limitée Certains créateurs prévoient dès le démarrage de leur activité que leur entreprise aura une durée de vie limitée ; c est le cas de 13 % d entre eux. De ce fait, le taux de pérennité des entreprises de ces dirigeants est nettement moins important que celui des entreprises créées durablement (56 contre 71 %). Ces entreprises à courte durée de vie programmée influencent notablement le taux de pérennité puisqu il n est que de 66 % pour l ensemble des entreprises. Toutefois, l influence de cette caractéristique se ressent très principalement sur les secteurs d activité et la nature juridique des entreprises. Ainsi, si l analyse se base uniquement sur les entreprises dont le dirigeant n a pas prévu une durée de vie courte pour l entreprise dès le démarrage, quatre secteurs se distinguent par une pérennité nettement plus importante : le commerce (67 contre 59 % pour l ensemble des entreprises), les hôtels, cafés et restaurants ( contre 57 %), l éducation/santé (85 contre 77 %) et les activités récréatives, culturelles et sportives ( contre 66 %). Toutefois, cette modification de pérennité ne modifie pas l analyse réalisée dans la première partie de ce document consacrée aux secteurs d activité. Elle atténue seulement les différences d indicateurs entre les divers secteurs mentionnés. Par ailleurs, les entreprises individuelles ont une pérennité nettement plus importante lorsque leurs dirigeants n avaient pas prévu une courte durée de vie (68 contre 59 % pour l ensemble des entreprises). Cette forte différence est compréhensible puisque les dirigeants qui envisagent d arrêter rapidement leur activité vont au plus simple pour immatriculer leur entreprise.
9 3- Evolution de la pérennité des entreprises depuis la génération 1998 Les entreprises de la génération 2002 enregistrent un taux de pérennité au troisième anniversaire sensiblement plus élevé que celui des entreprises de la génération 1998 (66 % contre 62 %). Cette différence de pérennité se retrouve pour la plupart des caractéristiques des nouvelles entreprises et de leur dirigeant et ne modifie pas l analyse proposée dans ce document pour la génération Autrement dit, on retrouve les mêmes points d analyse pour la génération La différence la plus importante concerne les secteurs d activité et, plus particulièrement, les secteurs des transports (taux de pérennité de % pour la génération 2002 contre 62 % pour la génération 1998), des services aux entreprises (68 contre %) et des services personnels (notamment coiffure, esthétique, soins du corps ; 71 contre 62 %). Il est très difficile d avancer une raison à cette augmentation du taux de pérennité entre la génération 2002 et la génération Cependant, certaines hypothèses peuvent être avancées : - Les nouveaux dirigeants sont peut-être plus informés sur l entrepreneuriat et sur la manière de créer et gérer une entreprise et, de ce fait, ils sont donc mieux armés face aux éventuels problèmes qu ils peuvent rencontrer. - Une partie des dirigeants de la génération 1998 qui cessent l activité de leur entreprise retournent au salariat. Le contexte économique moins favorable à l emploi salarié de ces dernières années rend probablement plus difficile cette réorientation professionnelle pour la génération 2002 dont les dirigeants sont probablement davantage amenés à poursuivre l activité de leur entreprise. - L analyse du développement des entreprises a montré que les dirigeants de la génération 2002 sont moins nombreux à avoir développé leur entreprise. Prennent-ils ainsi moins de risques susceptibles de conduire à la cessation de l activité?
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