LUTTE CONTRE LES INONDATIONS DANS LE VAR (83) : FONÇAGES AU MICROTUNNELIER - PASSAGE SOUS VOIES FERREES
|
|
- Pierre-Marie Lacroix
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LUTTE CONTRE LES INONDATIONS DANS LE VAR (83) : FONÇAGES AU MICROTUNNELIER - PASSAGE SOUS VOIES FERREES FLOODING PLAN IN VAR (83) PIPE JACKING (MICROTUNNELING) - UNDER RAILWAY Christophe SABATIER 1, Jean-Michel RESCOUSSIER 2 1,2 : ARCADIS, Marseille - France RÉSUMÉ Afin de lutter contre les inondations, des travaux de fonçage au microtunnelier ont été réalisés à Saint-Raphaël pour franchir les remblais des voies ferrées de la ligne Marseille Vintimille. Le contexte géotechnique particulier du site a nécessité en cours de travaux la réalisation d injections de façon à réduire la perméabilité localement élevée des sols suite à une perte totale de la boue de marinage dans le terrain, rendant impossible la poursuite du fonçage. Ces travaux ont nécessité la mise en place d un suivi topographique des tassements en surface. ABSTRACT In order to avoid flooding, microtunneling works have been done in Saint-Raphael city to cross railway fills of the line Marseille Vintimille. Due to the particular geotechnical environment of the site, injections were needed during the works to reduce soils permeability which was locally high. Indeed, the pipe jacking had been stopped because of a complete drilling mud loss in soils, and was restarted thanks to the injections. Those works needed the establishment of a topographic monitoring for surface settlements. 1. Description de l opération Suite aux graves inondations survenues en 2002, la ville de Saint-Raphaël a engagé un vaste programme de lutte contre les inondations. Dans ce cadre, un important projet hydraulique basé sur la crue centennale a été lancé, incluant notamment le recalibrage des vallons de l Armitelle et de la Péguière dans le quartier de Boulouris. De façon à faciliter l évacuation des eaux de ces deux vallons, franchis en remblais par la ligne SNCF Marseille - Vintimille, la ville de Saint-Raphaël a entrepris la création de nouveaux passages hydrauliques par fonçage de cinq buses béton destinées à doubler les ouvrages hydrauliques existants, de capacité insuffisante. Figures 1 et 2 - Ouvrage hydraulique existant 361
2 Les travaux, réalisés sur 2 sites distants d environ 500 m (respectivement au PK et de la ligne SNCF) comprenaient la réalisation de : - 3 nouvelles buses béton de 39 ml chacune, et de 1500mm de diamètre intérieur sur le site de l Armitelle, - 2 nouvelles buses béton de 36 ml chacune (diamètres intérieurs de 1400 et 1500 mm) sur le site de la Péguière. Figure 3 - Vue en plan du projet de fonçage Site de l Armitelle Les travaux ont démarré en octobre 2006 en parallèle sur les 2 sites, après notification des marchés respectivement aux Entreprises SMCE Forage et SPAC HDI, toutes deux spécialistes en micro-tunnelier. 2. Contexte géotechnique du projet Les terrains traversés avaient été préalablement reconnus par de nombreux sondages et essais géotechniques : sondages carottés, sondages destructifs avec enregistrement des paramètres de forage (vitesse instantanée d avancement, pression sur l outil, couple de rotation), essais pressiométriques et essais d eau type LE- FRANC, programme d essais de laboratoire... Ces sondages de reconnaissances, (réalisés fin 2004 début 2005) étaient alternativement verticaux, inclinés et horizontaux au droit de chacun des futurs ouvrages à réaliser. Ils ont permis de mettre en évidence la succession des terrains suivante : - des remblais ferroviaires avec présence de blocs de grès de dimensions parfois importantes (Dmax = 800 mm) dans une matrice sablo-argileuse plus ou moins abondante, - des alluvions récentes de nature essentiellement limono-argileuse, - un substratum rocheux constitué de grès et de pélites plus ou moins fracturés et altérés dans leur partie supérieure. La synthèse géotechnique a montré que les fonçages envisagés étaient situés au dessus du niveau de la nappe, à l interface entre les remblais ferroviaires et les alluvions récentes. La hauteur moyenne de couverture est de 7 à 8 m environ au droit de la plate-forme ferroviaire (cf coupe géotechnique en page suivante figure 4) 362
3 Figure 4 - Coupe géotechnique 3. Choix de la technique du microtunnelier AVN Compte tenu de la nécessité de maintenir les circulations ferroviaires en permanence pendant les travaux, ces ouvrages devaient être impérativement réalisés par une technique sans tranchée. Après analyse du contexte géotechnique des sites de travaux et étude du bilan avantages / inconvénients inhérents à chaque méthode, c est la technique de fonçage au microtunnelier qui a été retenue pour ces travaux. (voir schéma de principe ci-après figure 5) Figure 5 - Principe de fonçage au microtunnelier 363
4 Du fait de l hétérogénéité des terrains et de la présence des blocs de grès, une solution de fonçage «classique» à front ouvert a été rapidement écartée. Le choix technique s est alors porté sur un microtunnelier AVN (marinage hydraulique) à tête de coupe mixte «rocher / terrain meuble» (cf photo ci-contre). Etant donné la taille importante des blocs rencontrés (D max de l ordre de 0.80 m), l alternative d un microtunnelier à marinage mécanique par vis était exclue. Figure 6 - Tête de coupe du microtunnelier L utilisation d un microtunnelier à pression de boue permet d assurer le confinement du terrain au front et d évacuer les déblais abattus par marinage hydraulique. Figure 7 - Schéma fonctionnel d un micro-tunnelier AVN (source : Herrenknecht) Figures 8 & 9 - conduites de marinage & bâti de poussée 364
5 4. Déroulement des travaux sous voies SNCF en service Afin de garantir la sécurité des trains circulant sur les voies, les travaux ont été effectués avec mise en place d un ralentissement des trains par la SNCF (à 100 km/h puis 40 km/h) et d une surveillance topographique des voies en surface (voir paragraphe ci-après d analyse des tassements). Les travaux du site de la Péguière se sont déroulés dans de bonnes conditions, non sans quelques petits soucis normaux «d exécution» (position décalée de certains réseaux existants, légère déviation de trajectoire ). La fin des 2 fonçages de ce site a eu lieu le 20 novembre 2006, soit seulement 2 mois après le début des travaux. Pour le site de l Armitelle, les choses se sont avérées plus compliquées : dès le 1 er tir, le microtunnelier s est retrouvé arrêté après seulement 10 ml de foration, avec une perte totale de boue de forage dans le terrain. Compte tenu des pertes de boue importantes rencontrées dès les premiers mètres du fonçage, l Entreprise a travaillé avec une boue épaissie au maximum (densité atteinte de l ordre de 1.4 pour une valeur habituelle de 1.2), en étant toutefois limitée par une limite haute de densité pour permettre d assurer le retour de la boue chargée en déblais par les conduites de marinage. La perte totale de boue rendant impossible le retour des déblais excavés par la tête de coupe, le microtunnelier a ainsi dû être arrêté, après plusieurs tentatives de redémarrage sans succès (densité de boue encore augmentée, poussage «en force» de la machine sur quelques cm ). Plusieurs hypothèses sont alors avancées : présence d une cavité non reconnue (vide naturel ou ouvrage ancien : puits, galerie ), remblai ferroviaire drainant constitué de blocs L analyse de la situation menée par une visite au front et des reconnaissances complémentaires, en collaboration entre la Maîtrise d œuvre et l Entreprise, a montré que la cause des problèmes était la perméabilité localement très élevée des remblais. La solution retenue a donc été d injecter les remblais ferroviaires. 5. Travaux d injection des remblais ferroviaires Les injections ont été réalisées depuis l aval du talus SNCF par des forages horizontaux d une longueur variant entre 20 et 35 m. Un maillage spécifique a été prévu afin de créer dans un 1 er temps une enceinte délimitant la zone à traiter. Il a ainsi été injecté successivement dans le terrain un produit très expansif réagissant à l eau (de type résine polymère, CARBOSTOP) et un coulis de ciment (plus classique). Ces injections avaient pour but de réduire la perméabilité localement très élevée des remblais ferroviaires dont la composition réelle s est avérée être un empilement de blocs (matrice fine très peu présente) et non de renforcer mécaniquement le terrain, dont les caractéristiques étaient satisfaisantes. Les travaux de fonçage ont pu alors reprendre, moyennant un délai de quelques jours après la fin des injections, pour garantir la bonne prise des produits injectés. Le 1 er fonçage s est ainsi terminé le 20 décembre 2006 avec toutefois des pertes résiduelles de boue dans le terrain non négligeables. Ces pertes peuvent s expliquer par le fait que les injections n ont volontairement pas été menées jusqu au refus (remplissage complet des vides) par souci d économie. 365
6 Compte tenu du retard pris dans l exécution de ce 1 er fonçage et des impératifs de circulation sur la ligne ferroviaire, la SNCF a dû, fin décembre 2006, demander l arrêt des travaux car le maintien du ralentissement des trains sur ce tronçon (à 40 km/h) n était plus possible. Grâce à une étroite collaboration entre la Ville de Saint-Raphaël et la SNCF, les travaux de fonçage ont pu reprendre début mars 2007 (nouveau créneau possible pour le ralentissement des trains) et se sont achevés fin avril 2007 avec les tirs n 2 et 3, préalablement injectés. D autres entreprises ont ensuite pris le relai sur ce chantier avec notamment la création des ouvrages d entonnement, la réalisation des travaux de recalibrage des vallons ainsi que l élargissement des ponceaux routiers de franchissement de la route du littoral, dernier obstacle avant le débouché en mer des vallons. 6. Analyse des tassements en surface et surveillance des voies ferrées Un système de surveillance topographique a été mis en place sur les voies SNCF dans la zone des travaux. Les mesures traditionnelles (réalisées manuellement par un géomètre) ont été effectuées quotidiennement, avec une fréquence renforcée (2 à 3 mesures / jour) pendant les phases délicates de travaux. Suite aux incidents rencontrés, le site de l Armitelle a été par la suite (en novembre 2007) équipé d un système automatisé de mesures permettant d assurer une surveillance en continu des voies SNCF (un relevé toutes les 30 minutes, 7 jours sur 7, 24h/24). Figure 10 Prisme sur traverse SNCF Figure11 - Théodolite motorisé Les tassements mesurés en surface sur le site de la Péguière sont restés très faibles, de l ordre au maximum de 4 à 5 mm. Les modélisations aux éléments finis avaient d ailleurs permis d estimer correctement ces valeurs. Le principe retenu dans le calcul aux éléments finis pour estimer les tassements prévisibles a été un modèle en 2 dimensions selon un maillage étendu (resserré dans la zone des travaux) et d appréhender la 3 ème dimension (avancement du front) par la notion du taux de déconfinement des terrains. 366
7 Figure 12 - Estimation théorique des tassements modélisation aux éléments finis Pour l Armitelle, les tassements des voies SNCF se sont avérés plus importants (tassement cumulé de l ordre de 40 à 50 mm). Des interventions d agents de la SNCF ont ainsi été nécessaires à plusieurs reprises pour réhausser les voies (voir ci-après la figure 12 présentant l évolution des tassements maximums mesurés en surface) Ces tassements se sont produits en surface, malgré une couverture relativement importante de 7 à 8 m au-dessus des fonçages. Ils peuvent s expliquer en grande partie par une mise en mouvement (rotation) des blocs constitutifs des remblais ferroviaires à l avant du micro-tunnelier. Ce phénomène n avait pas pu être pris en compte dans les modélisations aux éléments finis, basées sur des caractéristiques moyennes des terrains, d où les écarts constatés avec les prévisions de tassements (tassement théorique calculé de 10 à 15 mm). Aucune apparition de fontis n a toutefois été à déplorer lors de ces travaux, grâce en particulier à l utilisation d un microtunnelier à pression de boue. Evolution rapide des tassements Intervention SNCF (remontée des voies) Intervention SNCF (remontée des voies) Figure 13 - Evolution des tassements (mesurés en surface) 367
8 7. Conclusion Les difficultés rencontrées lors de ce chantier «ordinaire» de fonçage ont montré les limites d emploi de la technique d un micro-tunnelier à pression de boue, très sensible hors nappe à une perméabilité localement très élevée des terrains (perte totale de boue empêchant le retour de marinage et entraînant donc un arrêt forcé du micro-tunnelier). Ces travaux rappellent que des aléas géologiques sont toujours possibles, et ce malgré la réalisation préalable d une campagne de reconnaissances géotechniques conséquente. Les injections effectuées dans les remblais ferroviaires ainsi qu une adaptation quasiment en temps réel des paramètres de pilotage du micro-tunnelier en fonction des mouvements observés en surface ont toutefois permis de terminer ces travaux dans de bonnes conditions, sans incidence notable sur la circulation ferroviaire (aucun arrêt de circulation des trains n a en effet était nécessaire durant la totalité du chantier). Coordination et communication entre les différents intervenants (Mo/Moe/Entreprises/SNCF ) constituent les clés de la réussite d une telle opération, notamment lorsque des difficultés sont rencontrées lors des travaux. Localisation : SAINT RAPHAËL (83) Quartier de Boulouris Maître d Ouvrage : Ville de ST RAPHAËL Maître d œuvre : Entreprises : Groupement CETIBA / ARCADIS / PINGAT SPAC H.D.I. SMCE Forage Montant des travaux (fonçage) 1,4 millions d euros Figure 14 - Fonçages terminés site de l Armitelle Durée des travaux 5 mois 368
CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailINSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES. du 15 janvier 2003
INSPECTION GÉNÉRALE DES CARRIÈRES du 15 janvier 2003 Travaux de consolidations souterraines exécutés par injection pour les carrières de Calcaire Grossier, de gypse, de craie et les marnières 3, AVENUE
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailDIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE
DIAGNOSTIC DE LA QUALITE DES PLATES-FORMES FERROVIAIRES : CAS DU RACCORDEMENT D UNE LIGNE NOUVELLE A GRANDE VITESSE SUR UNE LIGNE CLASSIQUE ANCIENNE RAILWAY TRACK QUALITY ASSESSMENT: CASE STUDY OF A NEW
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailCANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE
CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.
Plus en détailAuscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux
Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailMémoire de PFE : Maintenance des Installations Fixes de Traction Electrique Ferroviaire de Bourgogne Franche Comté
Résumé Mémoire de PFE : Maintenance des Installations Fixes de Traction Electrique Ferroviaire de Bourgogne Franche Comté Juin 2011 Raphaël DAVID INSA de Strasbourg - Spécialité Génie Electrique, Option
Plus en détailSéance du jeudi 22 novembre 2012 (13h30 16h30)
Séance du jeudi 22 novembre 2012 (13h30 16h30) Lieu : salle de sciences physiques, lycée français de Luanda Public : entre 6 et 12 élèves de 3eme, 2de et 1ereS (un des élèves ayant amené son propre robot
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détail1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à
Plus en détailCompagnie de Distribution des Hydrocarbures(CDH) Dépôt Pétrolier de Villette de Vienne (38) Incident «Fuite GO» Vendredi 23 juillet 2010
PRESENTATION CLIC FINORGA Compagnie de Distribution des Hydrocarbures(CDH) Dépôt Pétrolier de Villette de Vienne (38) Incident «Fuite GO» Vendredi 23 juillet 2010 Villette de Vienne - 15 Décembre 2010
Plus en détailassociation française du gaz
association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailLES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES
LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailGéotechnique DYWIDAG Boulons en roche
Géotechnique DYWIDAG Boulons en roche Matériel d installation et de mise en tension Installation Adaptateur rotatif pour le processus de malaxage et d enfoncement des tiges dans les cartouches de résine,
Plus en détailMesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations
Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailCommune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES
Réalisation Assistance Maître d Ouvrage Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES Cahier des prescriptions spéciales accompagnant le zonage des risques Date Avancement
Plus en détailMécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols
Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations
Plus en détailCIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES
V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES
ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des
Plus en détailSOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006
SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 1- Marché de services pour l entretien courant des cours d eau du Boulonnais (2007-2009)... page 2 2- Etude de définition des aménagements de prévention
Plus en détailJ.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE
LIGNE 16 : NOISY CHAMPS < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 17 : LE BOURGET RER < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 14 : MAIRIE DE SAINT-OUEN < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE BLEUE) DOSSIER
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détailContrôle des installations nucléaires de base. Inspection n INSSN-CAE-2012-0634 du 15 février 2012.
REPUBLIQUE FRANCAISE Division de Caen Hérouville-Saint-Clair, le 20 février 2012 N/Réf. : CODEP-CAE-2012-008140 Monsieur le Directeur de l Aménagement de Flamanville 3 BP 28 50340 FLAMANVILLE OBJET : Contrôle
Plus en détailwww.devico.com Vente Location Service Sales - Rentals - Service www.devico.com
Produits Devico products Devico www.devico.com www.devico.com Vente Location Service Sales - Rentals - Service Français English Carottage directionnel DeviDrill Le DeviDrill est un carottier à câble orientable.
Plus en détailAugmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert
Augmentation de la portance des pieux existants du Data Center à Pantin Serge Lambert www.keller-france.com Keller Fondations Spéciales 1 Présentation du projet Avenue du Général Leclerc Data Center de
Plus en détailContrôle et Monitoring
Contrôle et Monitoring De la conception jusqu au suivi de l ouvrage Philippe WELTER, SPW Direction de la Géotechnique (philippe.welter@spw.wallonie.be) Journée d étude SBGIMR 10/03/2015 Les techniques
Plus en détailSAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2
1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailEssais de charge sur plaque
Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant
Plus en détailMise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes
RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailBeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m
BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailLa réglementation et les obligations qui en découlent
Accessibilité en milieu urbain La réglementation et les obligations qui en découlent Actualités : les BEV La norme Afnor NF P 98-351 relative aux caractéristiques et essais des dispositifs podotactiles
Plus en détailRapport du Conseil communal au Conseil général
République et Canton de Neuchâtel COMMUNE DE L A T E NE Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de 53 000 francs pour la réfection des points d ancrage de trois
Plus en détailPose de la passerelle de la future gare «Entzheim-Aéroport»
DOSSIER DE PRESSE 24 juin 2008 Tram-train Strasbourg-Bruche-Piémont des Vosges Pose de la passerelle de la future gare «Entzheim-Aéroport» Strasbourg, le 24 juin 2008 Dossier de presse Tram-train Strasbourg-Bruche-Piémont
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailRECOMMANDATION POUR LA GESTION DES RISQUES DANS LES TRAVAUX SOUTERRAINS
30 janvier 2006 RECOMMANDATION POUR LA GESTION DES RISQUES DANS LES TRAVAUX SOUTERRAINS Préparées par le International Tunnelling Insurance Group (ITIG) (Groupe International d Assurance des Travaux Souterrains)
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE 16/04/2007 DRS-07-86090-05803A. Évaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière
RAPPORT D ÉTUDE 16/04/2007 DRS-07-86090-05803A Évaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière Evaluation et traitement du risque de fontis lié à l exploitation minière Direction
Plus en détailSommaire. Les techniques d escalade. De fortune sur demi-cabestan Débrayable Suisse 1/1. fic-somescalade01-c3m
Les techniques d escalade fic-somescalade01-c3m Sommaire La poulie (moulinette) L assurage Sécurité lors de la mise en place Manip FFME Le rappel Sécurité lors de la mise en place Amarrages en terrain
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailMoyen acceptable de de conformité. Performances des freins d immobilisation SAM F 007
Document technique Matériel Moyen acceptable de de conformité SAM F 007 Applicable sur : RFN Edition du 04/07/2012 Version n 1 du 04/07/2012 Applicable à partir du : 04/07/2012 Remplace : IN 2851 (version
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailSolution de stockage par benne mobile
Solution de stockage par benne mobile Le système de stockage par benne mobile est une solution innovante pour le stockage du bois déchiqueté. Amovible et interchangeable, ce système dispose de nombreux
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailCommune de VILLARD-SUR-DORON
I n g é n i e r i e d e s M o u v e m e n t s d e S o l e t d e s R i s q u e s N a t u r e l s Siège : Parc Pré Millet - 38330 MONTBONNOT tél : 04 76 52 41 20 - fax : 04 76 52 49 09 email : ims@imsrn.com
Plus en détailP. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009
à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailDirection des Services Techniques. Phase I : DIAGNOSTIC. de type «R, X, L» : Ile Fanac
Direction des Services Techniques Phase I : DIAGNOSTIC de type «R, X, L» : Ile Fanac Commission Communale d Accessibilité pour les Personnes Handicapées (CCAPH) Réunion n 4 du 13 février 2008 1 ère partie
Plus en détailAUTOPORTE III Notice de pose
AUTOPORTE III Notice de pose Vous avez acquis le système AUTOPORTE, nous vous en remercions. Veuillez lire attentivement cette notice, vous serez à même de faire fonctionner correctement ce système. FONCTIONNEMENT
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détaillgv est européenne - 2 ème phase
Grande Vitesse Maître d œuvre lgv est européenne - 2 ème phase france ingénierie environnementale et durable tracé et voie ouvrages d art aériens structures souterraines génie civil signalisation énergie
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailEn cyclo cross il y a certaines particularités au niveau du matériel, j analyse point par point ces différences.
Le matériel En cyclo cross il y a certaines particularités au niveau du matériel, j analyse point par point ces différences. Le cadre Le cadre est spécifique pour cette discipline avec une hauteur de boite
Plus en détailETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE
1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de
Plus en détailDe nombreuses raisons motivent notre technique 4 Renforcement des terrains de fondation soulèvement des bâtiments stabilisation des fondations
N 1/2011 LA SOLUTION S APPELLE URETEK De nombreuses raisons motivent notre technique 4 Renforcement des terrains de fondation soulèvement des bâtiments stabilisation des fondations Page Page 2 Lucerne
Plus en détailF.I.C. n 2010/TDM01. Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers. Evolution des exigences de la rubrique
F.I.C. n 2010/TDM01 Fiche d interprétation et / ou complément au référentiel (Ancienne appellation «Jurisprudence technique») Objet : Rubrique TDM - Tri des Déchets Ménagers Evolution des exigences de
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailLa nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments
La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports
Plus en détailLes avancées techniques en matière de performances des réseaux
Les avancées techniques en matière de performances des réseaux Les Rencontres Techniques d IDEAL 19 Juin2012 -Nancy Distribution de l eau Challenges : Augmentation de la demande en eau Changements climatiques
Plus en détailCOMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE
COMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE Séance du 23 mai 2007 Délibération n 2007/081 ORU - ZAC des BASSINS. TRAVAUX PRIMAIRES de DEVIATION de la VOIE FERREE. CONVENTION pour la REALISATION
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailVendredi 22 mars 2013. Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège
Vendredi 22 mars 2013 Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège 2 ème phase de concertation publique 25 mars au 12 avril 2013 2 ème phase de concertation publique sur le projet
Plus en détailLe ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008
Le ski à l'école Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle 1 «Les Activités Physiques de Pleine Nature, par leur possibilité de réinvestissement, constituent un terrain privilégié pour la mise en œuvre de
Plus en détailALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE EN BÉTON ARMÉ. ALFABLOC murs autoporteurs
ALFABLOC murs autoporteurs ALFABLOC a passé avec succès le test anti-feu d une durée de 6 heures selon la norme NF EN 1363-1. ALFABLOC LA SOLUTION POUR LE STOCKAGE EN VRAC ÉLÉMENTS MOBILES DE STOCKAGE
Plus en détailCONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES
CONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES CONTROL OF DOUBLE JOIN WITH CENTRAL DUCT OF PLASTOMERIC GEOMEMBRANE BY INFRARED THERMOGRAPHY
Plus en détailComité de ligne de la Côte Bleue «Marseille Port de Bouc Miramas» Carry-le-Rouet lundi 18 mai 2015
1/5 Direction des transports et des grands équipements Service des Transports Régionaux INTERVENANTS : CONSEIL RÉGIONAL : Jean-Yves PETIT, Vice-président délégué aux transports et à l éco-mobilité Nathalie
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailLes versants sous-cavés
RAPPORT D ÉTUDE 15/01/2014 DRS-13-135675-12706A Les versants sous-cavés Contraintes réglementaires, caractérisation détaillée de site et validation de la méthodologie d évaluation de l aléa. Les versants
Plus en détailPrélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote
Prélèvement/préparation p des échantillons et analyse des reliquats d azote Matthias CARRIERE Plan de l intervention Introduction : I. méthodes et outils de prélèvement. 11. Les normes d échantillonnage
Plus en détailCOMITE DE LIGNE METRO 13 Compte-rendu de la réunion du 09 octobre 2013
Direction de l Exploitation Offre Ferroviaire 10-01-2014 Thomas WEHRLE COMITE DE LIGNE METRO 13 Compte-rendu de la réunion du 09 octobre 2013 Présidé par M. Pierre SERNE, Vice-président du conseil régional
Plus en détailJOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES
JOURNEES DEPARTEMENTALES D INFORMATION REGION BOURGOGNE NON-CONFORMITES RECURRENTES L. R. P. C. d Autun Florian SEMENTA Février / Mars 2007 Résultats statistiques Résultats statistiques CHEMINEMENT ~ Pourquoi
Plus en détailClaire NOEL Directeur Scientifique
Bureau d é études en océanographie acoustique SEMANTIC TS Sanary (Var) Claire NOEL Directeur Scientifique Docteur Ingénieur Opérateur sonar Capitaine 200 Plongeur PRO - Modélisation - Traitement du signal
Plus en détailRessources minérales et Hydrocarbures. Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech
Ressources minérales et Hydrocarbures Hedi SELLAMI Centre de Géosciences MINES ParisTech Colloque IMT «Ressources naturelles & Environnement», 5 et 6 novembre 2014 Les minéraux d intérêt économique Minéraux
Plus en détail