ÉVALUATION DU PROJET «CREATION D UNE ECOLE A TANISLAM» Porté par l association «Les amis d Adkoul» Rapport final
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- Pascale Élise Robert
- il y a 8 ans
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1 ÉVALUATION DU PROJET «CREATION D UNE ECOLE A TANISLAM» Porté par l association «Les amis d Adkoul» Rapport final
2 Description du projet et contexte local (Visible) Même si des progrès importants ont été accomplis en matière de scolarisation au Niger, de nombreuses études réalisées ces dernières années ont montré que la situation reste préoccupante en ce qui concerne l accès et l équité à l école. La faible participation scolaire est la conséquence d'une offre éducative insuffisante, (infrastructures et personnel enseignant), d'une faible demande sociale d éducation (mauvaise perception de l'école par les populations, coûts directs et d'opportunité notamment en milieu rural et particulièrement pour les filles) et d'une mauvaise utilisation des ressources disponibles (ratio élèves/classe très faible, existence de postes vacants d enseignants en milieu rural, surnombre en milieu urbain, etc.). Les contraintes ainsi observées ont amené l ONG nigérienne Adkoul et ses partenaires à s engager dans l'élaboration d'un projet intitulé «création d une école à Tanislam» qui s'inscrit à la fois dans la stratégie globale de développement humain durable, de réduction de la pauvreté et de l atteinte des objectifs de l'éducation pour tous (EPT) en Le bâtiment a été réalisé suivant le descriptif du Génie Rural et construit par un artisan de Tahoua. Son ouverture a été effective à la rentrée A l'origine, l'école était prévue pour le village de Tanislam mais elle accueille maintenant les enfants du village et des campements de Tasnala. La création de l école de Tanislam s'inscrit dans un projet plus global de construction de 6 écoles, 6 puits et de cantines initié par l'ong Adkoul et un comité participatif incluant les parents d'élèves, les autorités et le personnel enseignant. Pour encourager la fréquentation des enfants des familles nomades, l ONG Adkoul a retenu une approche intégrée, articulée autour de la fourniture de deux repas par jour aux élèves pendant trois mois afin de motiver leur scolarisation et leur maintien à l école. Personnes interrogées et démarche d'évaluation (Non visible) Conformément aux termes de références, la méthodologie de l évaluation a été articulée autour de deux phases : - Une revue documentaire (théorique et pratique) et une collecte de données secondaires ; - Une collecte de données primaires, basée sur les approches quantitatives et qualitatives adaptées au suivi- évaluation (groupes de discussion, récits de vie, témoignages) dans le village de Tanislam. Les personnes interrogées ont été choisies au sein des communautés bénéficiaires en fonction de leur connaissance et implication dans le projet et de leur capacité à fournir des informations sur les questions soulevées. Les personnes les plus dynamiques ont été retenues en priorité pour les entretiens. Les personnes rencontrées 1 sont composées de : - structures communautaires (CGDES, APE et AME), enseignants, élèves 2 ; - partenaire local du projet notamment l ONG Adkoul Pertinence et cohérence (Visible) Note 4/5 Le développement des infrastructures scolaires est l'un des défis majeurs du Plan de Développement Economique et Social (PDES). En effet pour atteindre les objectifs du millénaire, le Niger devra investir dans la construction et l'équipement de plus de trois mille salles de classe 1 Voir la liste en annexe 2 Voir le témoignage vidéo des membres du CGDES et de certains élèves
3 par an (préscolaire, cycle de base I, cycle de base II, éducation non formelle). Le projet cadre donc parfaitement avec les besoins et contraintes identifiés par les populations de la Commune Urbaine d Abalak lors de l élaboration de leur Plan de Développement Communal (PDC). Le PDC de cette commune, auquel d ailleurs l ONG Adkoul a participé, met l accent sur l amélioration de l accès à l eau et à l éducation. Conformément aux priorités retenues dans le PDC, la population de Tanislam, avec l appui de l ONG Adkoul, avait déjà soumis une demande de création d école à l Inspection de l Education de l Etat pour la rentrée Cette autorité compétente a donné son accord et a nommé un enseignant début En attente de la réalisation du bâtiment en matériaux définitifs, la population a construit une classe en paillote, abri provisoire qui a servit de classe en attendant une construction durable. Le projet est cohérent avec les politiques et stratégies nationales notamment le Plan de Développement Economique et Social (PDES) et le Programme Sectoriel de l Enseignement et de la Formation (PSEF ) qui a remplacé le Plan de Développement décennal de l Education (PDDE). Le projet cadre parfaitement avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) notamment avec l objectif 2 des OMD : Assurer l éducation primaire pour tous. L OMD 2 veut que d ici 2015, tous les enfants, garçons et filles, partout dans le monde, puissent achever un cycle complet d études primaires.. Efficacité(Visible) Note 4/5 L objectif du projet est de créer les conditions nécessaires à la scolarisation des enfants du campement de Tanislam. Pour atteindre cet objectif, le projet a réalisé deux principales activités : construction de la classe et mise en place et formation des membres du COGES. Ø Vérification de l atteinte du résultat 1 : Un bâtiment de 70 m² environ est construit et équipé de 16 tables- bancs La construction de la salle de classe de 70 m 2 de l école de Tanislam a été réalisée en matériaux durables dans un délai de 4 mois (1 er mars 2011 au 30 juin 2011). Ce bâtiment a été conçu selon un modèle défini par le Ministère de l éducation de base et a respecté les normes : - Fondation en béton avec soubassement en parpaing chaîné avec béton armé. - Dalle de sol en béton lissé. - Murs en parpaings chaînés avec béton armé. - Crépissage extérieur et enduit intérieur en ciment peint. - Couverture en tôle d aluminium avec étanchéité en feutre bitumineux. - Faux plafond pour isolation. - Menuiseries métalliques (portes et fenêtres pleines) Pour le suivi de la construction, les moyens humains et techniques ont été mobilisés par le projet : - L ONG Adkoul et les services techniques impliqués (génie rural, inspection éducation de base) ont assuré le suivi périodique du chantier. - La population de Tanislam a fourni une contribution en nature pour la construction de l école. - Une entreprise de Tahoua a été retenue pour la construction du bâtiment. - Le maire et les élus de la commune d Abalak ont été impliqués dans la conduite des activités et l entretien des biens et matériels. Ce rôle cadre bien avec une des missions de la commune, qui est de créer les conditions d un bon accès aux services sociaux de base : éducation, eau, santé, etc.
4 - L Inspection départementale de l éducation est chargée des questions éducatives au niveau du département. Elle a été un interlocuteur important du projet par rapport au respect des normes et du modèle fourni par le ministère de l éducation de base. Au vu de ce qui précède, le résultat a été atteint car la réception de la salle équipée de 16 tables - bancs en bois de modèle standard a eu lieu à la rentrée Ø Vérification de l atteinte du résultat 2 : Un Comité de Gestion d Etablissement Scolaire (COGES) a été mis en place et formé Conformément a l arrêté 0192/ MEBA/ SG/ du 15 novembre 2006 portant création, composition et fonctionnement des Comités de Gestion des Etablissements Scolaires (COGES), un comité de 5 membres dont 2 femmes a été mis en place pour veiller à l utilisation et à l entretien des infrastructures de l école (puits et bâtiments) et en particulier à la répartition de l eau entre l école et la communauté. Le COGES (composé des parents d élèves, du directeur de l école et des membres de la communauté) a été le socle et le moteur des différentes actions qui ont été entreprises dans le cadre du projet. Ce comité a bénéficié d une série de formations nécessaires à l appropriation et à la pérennisation du projet. Il s agit des modules sur le processus de mise en place démocratique d un bureau COGES ; la micro planification ; l exécution et le suivi- évaluation du Plan d Actions de l Ecole (PAE) et la gestion du patrimoine de l école. Ces formations devront permettre au COGES de préparer la communauté à une prise en charge une fois le projet à terme. Ainsi le COGES dispose d une caisse pour recueillir les cotisations des membres de la communauté, pour qu elle puisse participer au financement des actions liées au projet. Efficience (Visible) Note 4/5 D un coût global de euro ( FCFA), le projet «construction d une école à Tanislam» a été financé par les partenaires et les bénéficiaires. Il s agit de : - l'association "les Amis d'adkoul" a contribué à hauteur de 2700 soit 24.1%. Ces ressources proviennent des dons de particuliers (donateurs et adhérents), de la vente (Artisanat touareg, calendriers, cartes postales) ainsi que des recettes de manifestations à Grabels. - l'agence de Microprojets (AMP) a contribué à hauteur de 3500 soit 31.3%. - la Ville d'eybens a contribué à hauteur de 1400 soit 12.5 %. - L'ONG "Adkoul" et les bénéficiaires ont contribué à hauteur de 1600 soit 14.3%. Cette contribution est évaluée à partir du coût de la main d'œuvre pour la manutention et les travaux non spécialisés. Le tableau suivant donne la situation des dépenses par poste.
5 Tableau n 1 : Budget global Total par dépenses Contribution Partenaires Contributions ONG et Bénéficiaires Postes Fcfa Euros % Fcfa Euros Fcfa Euros Poste 1: Préparation Projet ,15% Poste 2: Construction Ecole ,43% Poste 4 :Suivi - Evaluation par ONG et partenaires Poste 5 : Suivi post intervention ,69% ,70% Total (postes 1 à 5) Poste 6 : Frais communications et reprographie ,96% Total général (postes 1 à 6) Source : association les amis d Adkoul L`analyse du tableau montre que le projet «création d une école à Tanislam» est orienté exclusivement vers l investissement avec 68 % des fonds destinés à l investissement particulièrement les opérations de construction de classe. Les autres postes reçoivent respectivement 11% (Suivi - Evaluation par ONG et partenaires techniques), 3% (Frais communications et reprographie), 4% (préparation projet) et 3% (Suivi post intervention). Effets/impacts (Visible)Note 2/5 L objectif du projet «création d une école à Tanislam» est de créer les conditions nécessaires à la scolarisation des enfants du campement de Tanislam. Les effets attendus du projet sont entre autre l amélioration du TBS, le maintien des filles à l école, la réduction du taux d abandon. Quel est donc le bilan de ces effets attendus après quatre années? Le tableau suivant donne la situation des effectifs au cours de trois dernières années. Tableau : situation des effectifs des trois dernières années Année Année Année Niveau Garçons Filles Total Garçons Filles Total Garçons Filles Total x CI CP CE CE CM CM Total Source : école de Tanislam
6 Effec%f Effec-f Comme on le constate à travers cette courbe, l effectif des élèves de l école de Tanislam a connu une chute ; il est passé de 42 élèves en à 27 en Cette baisse des effectifs est très inquiétante, et l on note notamment qu il n y a pas eu de nouveaux inscrits au cours des deux dernières années. Le projet n a donc pas produit entièrement les effets attendus. Quelles sont les causes de cette baisse des effectifs? Le dysfonctionnement du COGES est l une des causes. Malgré les formations reçues, le COGES rencontre des difficultés pour assurer la gestion matérielle, morale et financière des établissements scolaires. Les membres du COGES n arrivent pas à effectuer eux- mêmes leur plan d action sans attendre de l aide extérieure. Ils restent dans une logique d attentisme de fonds externes alors qu ils sont capables de réaliser et de fonctionner par eux- mêmes. Les formations doivent appuyer davantage l autogestion de ce genre d organisme. Il existe également d autres causes qui pourraient expliquer cette baisse des effectifs : - L inadéquation du système scolaire ne permet pas toujours une bonne insertion socio- économique des sortants ; - L inadéquation entre les valeurs de l école et celles véhiculées par la société est source de déviations constatées chez certains ; - L enseignement dispensé par des personnes non qualifiées (cas de certains volontaires) n encourage pas certains parents à envoyer les enfants à l école ; - La sous- représentation des femmes dans les instances de prise de décision n incite pas les femmes rurales à amener leurs filles à l école. L absence de modèle réel de réussite féminine dans les zones rurales peut être un obstacle à la scolarisation des filles. Viabilité et pérennité (Visible) Note 2/5 L implication des communautés à travers les structures de gestion de l école (COGES, APE, AME) a certes permis une appropriation des réalisations du projet (salle de classe et table- bancs). Mais les membres de ces structures ne semblent pas avoir une répartition claire de leurs responsabilités par rapport à la gestion de l école. C est ce qui empêche à ces structures de créer un plan d action qui permettra d avoir un réel poids face aux décisions de l école et d être par la même occasion beaucoup plus impliqué dans le fonctionnement de l école et la scolarisation des enfants en général. La mauvaise répartition des rôles et des responsabilités et l absence d un plan d action unique ne favorisent pas la bonne gestion du patrimoine de l école composé des biens matériels, financiers et humains en service, en usage et/ou en stock à l école. Dans ces conditions, il est difficile pour les structures de gestion de l école d assurer une continuation acceptable des actions initiées par le projet. Apprentissage et leçons tirées (Visible) Pour assurer l autofinancement du COGES des cotisations variant de 500 à 1000 f CFA ont été
7 instituées. Avec les revenus ainsi générés, le COGES pourrait faire face aux besoins essentiels de l école (construire des paillotes, faire la reprographie, acheter des tables- bancs et autres matériels dont auraient besoin les écoles pour leur fonctionnement). Malheureusement la plupart des parents d élèves ont des difficultés à payer leurs cotisations. Dans ces conditions, il est difficile au COGES de pouvoir accomplir la mission. L autofinancement visé par le projet n est donc pas atteint quatre (4) années après la mise en œuvre du projet «construction d une école à Tanislam». Recommandations et perspectives (Non visible) La baisse inquiétude des effectifs est le principal danger qui menace l existence de l école de Tanislam. C est pourquoi la mission d évaluation recommande à l ONG Adkoul et à ses partenaires d élaborer et de mettre en œuvre un plan de formation pour renforcer les capacités des structures de gestion de l école (COGES, APE, AME). Ce plan de formation sera axé principalement sur les thèmes suivants : - Mise en place démocratique des structures communautaires de gestion de l école (COGES, APE et AME) - - Micro Planification, Exécution et Suivi- Evaluation : Plan d Actions de l Ecole (PAE) Gestion du patrimoine de l école : ressources financières (cotisations, subventions, dons, appuis des partenaires, etc.), ressources matérielles (fournitures scolaires, manuels scolaires, cantine, matériel et mobilier), ressources humaines (personnel enseignant, membres des structures de gestion de l école, élèves)
8 Annexe : liste des personnes rencontrées 1. Moussa Mahana, chef de village Tanislam 2. AlhousseiniAlhassane, membre COGES 3. Agaliridwane, membre COGES 4. Moussa Alhousseini, membre COGES 5. HassaneAkoli, APE 6. CheybaneAgali, APE 7. Hassane Moussa, élève 8. Faoumata Moussa, élève
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