ÉVALUATION DU PROJET «CREATION D UNE ECOLE A TANISLAM» Porté par l association «Les amis d Adkoul» Rapport final

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ÉVALUATION DU PROJET «CREATION D UNE ECOLE A TANISLAM» Porté par l association «Les amis d Adkoul» Rapport final"

Transcription

1 ÉVALUATION DU PROJET «CREATION D UNE ECOLE A TANISLAM» Porté par l association «Les amis d Adkoul» Rapport final

2 Description du projet et contexte local (Visible) Même si des progrès importants ont été accomplis en matière de scolarisation au Niger, de nombreuses études réalisées ces dernières années ont montré que la situation reste préoccupante en ce qui concerne l accès et l équité à l école. La faible participation scolaire est la conséquence d'une offre éducative insuffisante, (infrastructures et personnel enseignant), d'une faible demande sociale d éducation (mauvaise perception de l'école par les populations, coûts directs et d'opportunité notamment en milieu rural et particulièrement pour les filles) et d'une mauvaise utilisation des ressources disponibles (ratio élèves/classe très faible, existence de postes vacants d enseignants en milieu rural, surnombre en milieu urbain, etc.). Les contraintes ainsi observées ont amené l ONG nigérienne Adkoul et ses partenaires à s engager dans l'élaboration d'un projet intitulé «création d une école à Tanislam» qui s'inscrit à la fois dans la stratégie globale de développement humain durable, de réduction de la pauvreté et de l atteinte des objectifs de l'éducation pour tous (EPT) en Le bâtiment a été réalisé suivant le descriptif du Génie Rural et construit par un artisan de Tahoua. Son ouverture a été effective à la rentrée A l'origine, l'école était prévue pour le village de Tanislam mais elle accueille maintenant les enfants du village et des campements de Tasnala. La création de l école de Tanislam s'inscrit dans un projet plus global de construction de 6 écoles, 6 puits et de cantines initié par l'ong Adkoul et un comité participatif incluant les parents d'élèves, les autorités et le personnel enseignant. Pour encourager la fréquentation des enfants des familles nomades, l ONG Adkoul a retenu une approche intégrée, articulée autour de la fourniture de deux repas par jour aux élèves pendant trois mois afin de motiver leur scolarisation et leur maintien à l école. Personnes interrogées et démarche d'évaluation (Non visible) Conformément aux termes de références, la méthodologie de l évaluation a été articulée autour de deux phases : - Une revue documentaire (théorique et pratique) et une collecte de données secondaires ; - Une collecte de données primaires, basée sur les approches quantitatives et qualitatives adaptées au suivi- évaluation (groupes de discussion, récits de vie, témoignages) dans le village de Tanislam. Les personnes interrogées ont été choisies au sein des communautés bénéficiaires en fonction de leur connaissance et implication dans le projet et de leur capacité à fournir des informations sur les questions soulevées. Les personnes les plus dynamiques ont été retenues en priorité pour les entretiens. Les personnes rencontrées 1 sont composées de : - structures communautaires (CGDES, APE et AME), enseignants, élèves 2 ; - partenaire local du projet notamment l ONG Adkoul Pertinence et cohérence (Visible) Note 4/5 Le développement des infrastructures scolaires est l'un des défis majeurs du Plan de Développement Economique et Social (PDES). En effet pour atteindre les objectifs du millénaire, le Niger devra investir dans la construction et l'équipement de plus de trois mille salles de classe 1 Voir la liste en annexe 2 Voir le témoignage vidéo des membres du CGDES et de certains élèves

3 par an (préscolaire, cycle de base I, cycle de base II, éducation non formelle). Le projet cadre donc parfaitement avec les besoins et contraintes identifiés par les populations de la Commune Urbaine d Abalak lors de l élaboration de leur Plan de Développement Communal (PDC). Le PDC de cette commune, auquel d ailleurs l ONG Adkoul a participé, met l accent sur l amélioration de l accès à l eau et à l éducation. Conformément aux priorités retenues dans le PDC, la population de Tanislam, avec l appui de l ONG Adkoul, avait déjà soumis une demande de création d école à l Inspection de l Education de l Etat pour la rentrée Cette autorité compétente a donné son accord et a nommé un enseignant début En attente de la réalisation du bâtiment en matériaux définitifs, la population a construit une classe en paillote, abri provisoire qui a servit de classe en attendant une construction durable. Le projet est cohérent avec les politiques et stratégies nationales notamment le Plan de Développement Economique et Social (PDES) et le Programme Sectoriel de l Enseignement et de la Formation (PSEF ) qui a remplacé le Plan de Développement décennal de l Education (PDDE). Le projet cadre parfaitement avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) notamment avec l objectif 2 des OMD : Assurer l éducation primaire pour tous. L OMD 2 veut que d ici 2015, tous les enfants, garçons et filles, partout dans le monde, puissent achever un cycle complet d études primaires.. Efficacité(Visible) Note 4/5 L objectif du projet est de créer les conditions nécessaires à la scolarisation des enfants du campement de Tanislam. Pour atteindre cet objectif, le projet a réalisé deux principales activités : construction de la classe et mise en place et formation des membres du COGES. Ø Vérification de l atteinte du résultat 1 : Un bâtiment de 70 m² environ est construit et équipé de 16 tables- bancs La construction de la salle de classe de 70 m 2 de l école de Tanislam a été réalisée en matériaux durables dans un délai de 4 mois (1 er mars 2011 au 30 juin 2011). Ce bâtiment a été conçu selon un modèle défini par le Ministère de l éducation de base et a respecté les normes : - Fondation en béton avec soubassement en parpaing chaîné avec béton armé. - Dalle de sol en béton lissé. - Murs en parpaings chaînés avec béton armé. - Crépissage extérieur et enduit intérieur en ciment peint. - Couverture en tôle d aluminium avec étanchéité en feutre bitumineux. - Faux plafond pour isolation. - Menuiseries métalliques (portes et fenêtres pleines) Pour le suivi de la construction, les moyens humains et techniques ont été mobilisés par le projet : - L ONG Adkoul et les services techniques impliqués (génie rural, inspection éducation de base) ont assuré le suivi périodique du chantier. - La population de Tanislam a fourni une contribution en nature pour la construction de l école. - Une entreprise de Tahoua a été retenue pour la construction du bâtiment. - Le maire et les élus de la commune d Abalak ont été impliqués dans la conduite des activités et l entretien des biens et matériels. Ce rôle cadre bien avec une des missions de la commune, qui est de créer les conditions d un bon accès aux services sociaux de base : éducation, eau, santé, etc.

4 - L Inspection départementale de l éducation est chargée des questions éducatives au niveau du département. Elle a été un interlocuteur important du projet par rapport au respect des normes et du modèle fourni par le ministère de l éducation de base. Au vu de ce qui précède, le résultat a été atteint car la réception de la salle équipée de 16 tables - bancs en bois de modèle standard a eu lieu à la rentrée Ø Vérification de l atteinte du résultat 2 : Un Comité de Gestion d Etablissement Scolaire (COGES) a été mis en place et formé Conformément a l arrêté 0192/ MEBA/ SG/ du 15 novembre 2006 portant création, composition et fonctionnement des Comités de Gestion des Etablissements Scolaires (COGES), un comité de 5 membres dont 2 femmes a été mis en place pour veiller à l utilisation et à l entretien des infrastructures de l école (puits et bâtiments) et en particulier à la répartition de l eau entre l école et la communauté. Le COGES (composé des parents d élèves, du directeur de l école et des membres de la communauté) a été le socle et le moteur des différentes actions qui ont été entreprises dans le cadre du projet. Ce comité a bénéficié d une série de formations nécessaires à l appropriation et à la pérennisation du projet. Il s agit des modules sur le processus de mise en place démocratique d un bureau COGES ; la micro planification ; l exécution et le suivi- évaluation du Plan d Actions de l Ecole (PAE) et la gestion du patrimoine de l école. Ces formations devront permettre au COGES de préparer la communauté à une prise en charge une fois le projet à terme. Ainsi le COGES dispose d une caisse pour recueillir les cotisations des membres de la communauté, pour qu elle puisse participer au financement des actions liées au projet. Efficience (Visible) Note 4/5 D un coût global de euro ( FCFA), le projet «construction d une école à Tanislam» a été financé par les partenaires et les bénéficiaires. Il s agit de : - l'association "les Amis d'adkoul" a contribué à hauteur de 2700 soit 24.1%. Ces ressources proviennent des dons de particuliers (donateurs et adhérents), de la vente (Artisanat touareg, calendriers, cartes postales) ainsi que des recettes de manifestations à Grabels. - l'agence de Microprojets (AMP) a contribué à hauteur de 3500 soit 31.3%. - la Ville d'eybens a contribué à hauteur de 1400 soit 12.5 %. - L'ONG "Adkoul" et les bénéficiaires ont contribué à hauteur de 1600 soit 14.3%. Cette contribution est évaluée à partir du coût de la main d'œuvre pour la manutention et les travaux non spécialisés. Le tableau suivant donne la situation des dépenses par poste.

5 Tableau n 1 : Budget global Total par dépenses Contribution Partenaires Contributions ONG et Bénéficiaires Postes Fcfa Euros % Fcfa Euros Fcfa Euros Poste 1: Préparation Projet ,15% Poste 2: Construction Ecole ,43% Poste 4 :Suivi - Evaluation par ONG et partenaires Poste 5 : Suivi post intervention ,69% ,70% Total (postes 1 à 5) Poste 6 : Frais communications et reprographie ,96% Total général (postes 1 à 6) Source : association les amis d Adkoul L`analyse du tableau montre que le projet «création d une école à Tanislam» est orienté exclusivement vers l investissement avec 68 % des fonds destinés à l investissement particulièrement les opérations de construction de classe. Les autres postes reçoivent respectivement 11% (Suivi - Evaluation par ONG et partenaires techniques), 3% (Frais communications et reprographie), 4% (préparation projet) et 3% (Suivi post intervention). Effets/impacts (Visible)Note 2/5 L objectif du projet «création d une école à Tanislam» est de créer les conditions nécessaires à la scolarisation des enfants du campement de Tanislam. Les effets attendus du projet sont entre autre l amélioration du TBS, le maintien des filles à l école, la réduction du taux d abandon. Quel est donc le bilan de ces effets attendus après quatre années? Le tableau suivant donne la situation des effectifs au cours de trois dernières années. Tableau : situation des effectifs des trois dernières années Année Année Année Niveau Garçons Filles Total Garçons Filles Total Garçons Filles Total x CI CP CE CE CM CM Total Source : école de Tanislam

6 Effec%f Effec-f Comme on le constate à travers cette courbe, l effectif des élèves de l école de Tanislam a connu une chute ; il est passé de 42 élèves en à 27 en Cette baisse des effectifs est très inquiétante, et l on note notamment qu il n y a pas eu de nouveaux inscrits au cours des deux dernières années. Le projet n a donc pas produit entièrement les effets attendus. Quelles sont les causes de cette baisse des effectifs? Le dysfonctionnement du COGES est l une des causes. Malgré les formations reçues, le COGES rencontre des difficultés pour assurer la gestion matérielle, morale et financière des établissements scolaires. Les membres du COGES n arrivent pas à effectuer eux- mêmes leur plan d action sans attendre de l aide extérieure. Ils restent dans une logique d attentisme de fonds externes alors qu ils sont capables de réaliser et de fonctionner par eux- mêmes. Les formations doivent appuyer davantage l autogestion de ce genre d organisme. Il existe également d autres causes qui pourraient expliquer cette baisse des effectifs : - L inadéquation du système scolaire ne permet pas toujours une bonne insertion socio- économique des sortants ; - L inadéquation entre les valeurs de l école et celles véhiculées par la société est source de déviations constatées chez certains ; - L enseignement dispensé par des personnes non qualifiées (cas de certains volontaires) n encourage pas certains parents à envoyer les enfants à l école ; - La sous- représentation des femmes dans les instances de prise de décision n incite pas les femmes rurales à amener leurs filles à l école. L absence de modèle réel de réussite féminine dans les zones rurales peut être un obstacle à la scolarisation des filles. Viabilité et pérennité (Visible) Note 2/5 L implication des communautés à travers les structures de gestion de l école (COGES, APE, AME) a certes permis une appropriation des réalisations du projet (salle de classe et table- bancs). Mais les membres de ces structures ne semblent pas avoir une répartition claire de leurs responsabilités par rapport à la gestion de l école. C est ce qui empêche à ces structures de créer un plan d action qui permettra d avoir un réel poids face aux décisions de l école et d être par la même occasion beaucoup plus impliqué dans le fonctionnement de l école et la scolarisation des enfants en général. La mauvaise répartition des rôles et des responsabilités et l absence d un plan d action unique ne favorisent pas la bonne gestion du patrimoine de l école composé des biens matériels, financiers et humains en service, en usage et/ou en stock à l école. Dans ces conditions, il est difficile pour les structures de gestion de l école d assurer une continuation acceptable des actions initiées par le projet. Apprentissage et leçons tirées (Visible) Pour assurer l autofinancement du COGES des cotisations variant de 500 à 1000 f CFA ont été

7 instituées. Avec les revenus ainsi générés, le COGES pourrait faire face aux besoins essentiels de l école (construire des paillotes, faire la reprographie, acheter des tables- bancs et autres matériels dont auraient besoin les écoles pour leur fonctionnement). Malheureusement la plupart des parents d élèves ont des difficultés à payer leurs cotisations. Dans ces conditions, il est difficile au COGES de pouvoir accomplir la mission. L autofinancement visé par le projet n est donc pas atteint quatre (4) années après la mise en œuvre du projet «construction d une école à Tanislam». Recommandations et perspectives (Non visible) La baisse inquiétude des effectifs est le principal danger qui menace l existence de l école de Tanislam. C est pourquoi la mission d évaluation recommande à l ONG Adkoul et à ses partenaires d élaborer et de mettre en œuvre un plan de formation pour renforcer les capacités des structures de gestion de l école (COGES, APE, AME). Ce plan de formation sera axé principalement sur les thèmes suivants : - Mise en place démocratique des structures communautaires de gestion de l école (COGES, APE et AME) - - Micro Planification, Exécution et Suivi- Evaluation : Plan d Actions de l Ecole (PAE) Gestion du patrimoine de l école : ressources financières (cotisations, subventions, dons, appuis des partenaires, etc.), ressources matérielles (fournitures scolaires, manuels scolaires, cantine, matériel et mobilier), ressources humaines (personnel enseignant, membres des structures de gestion de l école, élèves)

8 Annexe : liste des personnes rencontrées 1. Moussa Mahana, chef de village Tanislam 2. AlhousseiniAlhassane, membre COGES 3. Agaliridwane, membre COGES 4. Moussa Alhousseini, membre COGES 5. HassaneAkoli, APE 6. CheybaneAgali, APE 7. Hassane Moussa, élève 8. Faoumata Moussa, élève

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation

Plus en détail

Activité n 8.2.5 du PAA 2014

Activité n 8.2.5 du PAA 2014 République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la

Plus en détail

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2

Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne

Plus en détail

Création d'une salle informatique et d'un centre de documentation informatisé dans un collège à Tambacounda Principales caractéristiques du projet

Création d'une salle informatique et d'un centre de documentation informatisé dans un collège à Tambacounda Principales caractéristiques du projet Création d'une salle informatique et d'un centre de documentation informatisé dans un collège à Tambacounda Principales caractéristiques du projet Lauréat MAE 2002 Session de Dotation Dotation accordée

Plus en détail

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA

SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

!!" # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5

!! # $ % & ' ( ) # * ( + # # $ (, $ - (. / -- 0 # # 1-2 - # $ 3 - ( 4 *4-5. & ) * 5 "$ %&' ( )* ( +$ (,$- (./-- 0 1-2- $ 3- ( 4*4-5.&)* 5 Un cadre légal : Les écoles primaires, à la différence des collèges et des lycées, ne sont pas des établissements publics autonomes, et ne bénéficient

Plus en détail

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article

Plus en détail

EVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base

EVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base EVALUATION FINALE MLI/016 Programme d Appui à la Santé de Base FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code LuxDev Mali Programme d Appui à la Santé de Base PASAB MLI/016 Version

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Construction d un centre informatique à Dalifort» Quartier de Dalifort Intitulé du projet «Construction d un centre informatique à Dalifort, Sénégal» Lieu d intervention Quartier

Plus en détail

Présentation renouveau école Georges Pamart

Présentation renouveau école Georges Pamart MAIRIE DE QUERENAING DEPARTEMENT DU NORD REPUBLIQUE FRANCAISE LIBERTE EGALITE FRATERNITE Arrondissement de Valenciennes - Canton de Valenciennes Sud www.querenaing.fr Présentation renouveau école Georges

Plus en détail

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE

LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE LE PROGRAMME D AUTO ASSISTANCE DE L AMBASSADE DOSSIER DE DEMANDE UN INSTRUMENT POUR APPUYER LES INITIATIVES LOCALES PAR LES COMMUNAUTES POUR

Plus en détail

PROJET CYBER CENTER. - Un constat : - Une nécéssité : - Un projet :

PROJET CYBER CENTER. - Un constat : - Une nécéssité : - Un projet : Un constat : L Afrique est une terre riche mais maintenue dans le sous développement. Le sous développement des infrastructures crée du manque et de la pauvreté. Le manque d infrastructures laisse toute

Plus en détail

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.

Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3

Plus en détail

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS

Plus en détail

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007

COOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007 COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération

Plus en détail

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION

1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE

Plus en détail

Construisez, rénovez le patrimoine de votre collectivité, nous assurons la sécurité budgétaire de vos projets. >Assurance construction

Construisez, rénovez le patrimoine de votre collectivité, nous assurons la sécurité budgétaire de vos projets. >Assurance construction Construisez, rénovez le patrimoine de votre collectivité, nous assurons la sécurité budgétaire de vos projets >Assurance construction Assurance construction Depuis plus de 40 ans, SMACL Assurances accompagne

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

... Questionnaire...

... Questionnaire... ...Préambule au questionnaire... Lexique PEDT : Projet EDucatif Territorial Le PEDT a pour objectif de mobiliser toutes les ressources d un territoire afin de garantir la continuité éducative entre les

Plus en détail

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda

Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Note sur l extension de la couverture d assurance maladie au Rwanda Alexandra Panis, BIT / STEP. Kigali, Janvier 2008 1) Contexte historique des mutuelles de santé au Rwanda En 1999, le gouvernement rwandais

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

L Essentiel de l année 2012-2013

L Essentiel de l année 2012-2013 L Essentiel de l année 2012-2013 Le mot de la Présidente Chers Membres de «Toutes à l école», chères Administratrices, chers Amis, Je tiens à vous remercier pour votre présence à notre Assemblée Générale

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION

DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION PREFET DU LOIRET Ce dossier est à adresser DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION - Collectivités ou organisme public maître d'ouvrage - en 2 exemplaires signés au Cabinet du Préfet (dont 1 original) 1 exemplaire

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

Circulaire Départementale - Avril 2008 Inspection Académique de l AIN. Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré)

Circulaire Départementale - Avril 2008 Inspection Académique de l AIN. Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré) Gestion d argent dans le cadre scolaire (premier degré) Introduction Sommaire P 2 Les différentes compétences des institutions ou des partenaires en ce qui concerne le financement des écoles I. Différentes

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda

Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles

Plus en détail

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE

Plus en détail

RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014

RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014 RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Commune de Cortaillod

Commune de Cortaillod Commune de Cortaillod République et canton de Neuchâtel Rapport du Conseil communal au Conseil général à l appui d une demande de crédit de 3'600'000 fr. pour financer la construction d un bâtiment abritant

Plus en détail

La mutuelle de santé, une alternative crédible de couverture du secteur informel?

La mutuelle de santé, une alternative crédible de couverture du secteur informel? Rencontre d échanges d expériences entre acteurs sociopolitiques sur les défis et la portée de la protection sociale dans un contexte de grande pauvreté : cas des pays en développement Bamako, 17 & 18/11/2011

Plus en détail

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS 1) Les coopératives et les foyers ne sont pas des moyens de pallier certaines insuffisances financières ou matérielles : Ce

Plus en détail

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités

Plus en détail

LES AIDES DISPONIBLES POUR AMELIORER SON LOGEMENT DRAGA- ARDÈCHE

LES AIDES DISPONIBLES POUR AMELIORER SON LOGEMENT DRAGA- ARDÈCHE LES AIDES DISPONIBLES POUR AMELIORER SON LOGEMENT DRAGA- ARDÈCHE AIDES DE l Anah (agence nationale de l habitat) Le logement doit être achevé depuis plus de 15 ans Les subventions sont accordées sous conditions

Plus en détail

educationsolidarite.org

educationsolidarite.org Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org

Plus en détail

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE

BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Paris, le 5 février 2008 BOURSE AU PERMIS DE CONDUIRE Le dispositif consiste dans la prise en charge par la commune d une partie du coût du permis de conduire en échange d une activité bénévole d intérêt

Plus en détail

Ce rapport se base sur les informations datant de février 2002, date où l étude a été effectuée.

Ce rapport se base sur les informations datant de février 2002, date où l étude a été effectuée. La monnaie utilisée au Sénégal est le franc CFA (FCFA : Communauté Financière Africaine). Le taux du franc CFA par rapport au yen, en date du 1er janvier 2003, est de 0,19 yens/ 1FCFA (d après le taux

Plus en détail

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE»

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE» Manuel de mise en œuvre de la communication pour le changement social et comportemental (CCSC) à destination des adolescents en milieu urbain en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) Organisation

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Formulaire Inscription Jeunes

Formulaire Inscription Jeunes Formulaire Inscription Jeunes SAC ADOS Aquitaine L'objectif de ce document est de vous faciliter la saisie de votre inscription en ligne sur le site sacados.aquitaine.fr en la préparant, en amont et hors

Plus en détail

THEME : LUTTE CONTRE LA PAUVRETE DES JEUNES.

THEME : LUTTE CONTRE LA PAUVRETE DES JEUNES. PROJET DE COMMUNICATION DE MONSIEUR Kodjo AKUTSE DIRECTEUR EXECUTIF DE L ONG JEUNES DU MONDE VIVONS ENSEMBLE "JMVE" (TOGO) AU SOMMET MONDIAL SUR LA SOCIETE DE L INFORMATION QUI SE DEROULERA A GENEVE EN

Plus en détail

MODULE 1 : INTRODUCTION A LA GESTION D UNE MUTUELLE DE SANTE

MODULE 1 : INTRODUCTION A LA GESTION D UNE MUTUELLE DE SANTE MODULE 1 : INTRODUCTION A LA GESTION D UNE MUTUELLE DE SANTE 1. L IMPORTANCE DE SYSTEME DE GESTION D UNE MUTUELLE DE SANTE Une mutuelle de santé est une organisation et de solidarité ; elle constitue un

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti

ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti 23 &24 octobre 2003 Prepared for: USAID/Haiti Contract

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL

RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL Commune de Val-de-Ruz Conseil communal RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL à l appui d une demande d un crédit de 100'000 pour la rénovation de la salle d économie familiale (C12) du collège

Plus en détail

Rapport moral 2009 (approuvé par l Assemblée générale du 08/06/2010)

Rapport moral 2009 (approuvé par l Assemblée générale du 08/06/2010) Rapport moral 2009 (approuvé par l Assemblée générale du 08/06/200) Les freins au développement Deux ans de sécheresse, qui s'ajoutent à une pauvreté générale, à des perturbations de la production et à

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 13 SEPTEMBRE 2005 A 18h30 NOTE DE SYNTHESE En préalable, Mr Mély donne lecture des actes et contrats signés lors des derniers mois A remarquer un nombre de transactions toujours

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION

LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION 1 MASTER 2 MEEF en ALTERNANCE PRESENTATION GENERALE 2 La professionnalisation en alternance que vous allez vivre cette année vous permettra d entrer dans le métier

Plus en détail

8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578. 31, rue de la Plaine 75020 PARIS

8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578. 31, rue de la Plaine 75020 PARIS 8, rue Brémontier 75017 PARIS Tél : 01 40 53 06 15 N ORIAS 08 042 578 31, rue de la Plaine 75020 PARIS QUESTIONNAIRE TOUS RISQUES CHANTIER MONTAGE ESSAIS Pour étude tarifaire CLIENT/PROSPECT : Secteur

Plus en détail

Nomination, en JUIN. Contacter l'équipe de l'école. Rencontre avec le futur ancien directeur

Nomination, en JUIN. Contacter l'équipe de l'école. Rencontre avec le futur ancien directeur o - bilan de l'année : évolution du projet d école, actions spécifiques. o - renseignements sur le fonctionnement de l'école, sur les modalités d'évaluation (Livrets...- 4è année de cycle - Enfants en

Plus en détail

Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016

Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016 Règlement intérieur de l école Ste Anne Année 2015/2016 Ces règles en vigueur à l école Ste Anne ont été établies dans l intérêt des élèves. Leur respect participera au bien-être et à la sécurité de chacun.

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013

Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration

Plus en détail

Lettre d invitation. Toute offre parvenue au-delà des date et heure limites ci-dessus indiquées ne sera pas acceptée.

Lettre d invitation. Toute offre parvenue au-delà des date et heure limites ci-dessus indiquées ne sera pas acceptée. Lettre d invitation MINISTERE DE LA PROSPECTIVE, DU DEVELOPPEMENT ET DE L EVALUATION DE L ACTION PUBLIQUE Le Directeur de Cabinet A Madame / Monsieur le Directeur COTONOU Objet : Invitation à soumissionner

Plus en détail

SOMMAIRE. Préambule. I. Les statuts : Chapitre I: De la dénomination. Article 1 : Création et dénomination Chapitre II:De l adresse

SOMMAIRE. Préambule. I. Les statuts : Chapitre I: De la dénomination. Article 1 : Création et dénomination Chapitre II:De l adresse SOMMAIRE Préambule I. Les statuts : Chapitre I: De la dénomination II. Article 1 : Création et dénomination Chapitre II:De l adresse Article 2 : Le siége social Chapitre III: De l objet de l Association

Plus en détail

Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014

Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014 Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014 Cluster Éducation Mali Agenda : réunion 14 janvier 2014 1. Présentation des participants et validation de l agenda 2. Suivi des points d action de la réunion

Plus en détail

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL

«PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» BROUIL «PLACE DES PARENTS DANS l ESPACE NUMERIQUE DE TRAVAIL» Juin 2013 Introduction : Les parents sont parmi les principaux bénéficiaires de Paris classe numérique. Grâce à ce nouvel outil, la communication

Plus en détail

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers

La CITE DE L ARBRE PA R T E N A R I AT. La Cité de l Arbre. Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Unique en France et en Europe La CITE DE L ARBRE La Cité de l Arbre Association 1901,d intérêt général ; PA R T E N A R I AT Entreprises & Fondations & Associations & Particuliers Un musée consacré entièrement

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection

Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection Normes de subventionnement pour travaux de conservation et restauration des bâtiments mis sous protection CFC GENRE DE TRAVAIL SUVBENTIONNALBE 0 TERRAIN 04 Financement avant le début des travaux 05 Conduites

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

VIE ASSOCIATIVE ORGANISATION D ACTIVITES FACULTATIVES GESTION DE FONDS DANS LES ECOLES

VIE ASSOCIATIVE ORGANISATION D ACTIVITES FACULTATIVES GESTION DE FONDS DANS LES ECOLES Office central de la coopération à l école de Seine Saint Denis. 63 allée du colonel Fabien, 93320 Pavillons sous Bois Tel : 08.70.59.93.94 Tel/Fax : 01.48.50.27.10 Mail : ad93@occe.coop VIE ASSOCIATIVE

Plus en détail

autonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.

autonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome. INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,

Plus en détail

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer I - Comptes établis avec le cahier de comptabilité 1. Calculer la situation générale (colonne 14). 2. Totaliser les

Plus en détail

Accompagner l action vers les Petites Entreprises de la Construction dans le cadre du PPN-BTP (P3C3) et de l action PAR-PECo.

Accompagner l action vers les Petites Entreprises de la Construction dans le cadre du PPN-BTP (P3C3) et de l action PAR-PECo. PROGRAMME DE PREVENTION «BTP» Dispositif d Aide Financière Simplifiée Régional AFS régionale BTP P.E.Co. Conditions générales d attribution de l aide Objet Développer/promouvoir la prévention des risques

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) 1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre

Plus en détail

GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE

GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016

Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Bourses Scolaires - 2nd Conseil - Campagne 2015/2016 Date limite de dépôt du dossier au consulat : 18 septembre 2015 Cette rubrique présente les modalités de constitution et dépôt du dossier de bourse,

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Journal d apprentissage. Union Technique du Mali

Journal d apprentissage. Union Technique du Mali Journal d apprentissage Union Technique du Mali Projet Kénéya Sabatili «Assurer la santé» Contentus Le Projet... 1 Que quoi le projet traite t-il?... 1 Résumé du projet... 2 Faits Marquants... 3 Quelques

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire PRÉSENTATION DU PROGRAMME Le cœur à l école PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire Le programme Le coeur à l école s adresse aux parents d enfants

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION)

REPUBLIQUE FRANÇAISE. REGLEMENT DES SERVICES PERISCOLAIRES 2013/2014 (RESTAURANT SCOLAIRE et GARDERIE et CENTRE D ANIMATION) REPUBLIQUE FRANÇAISE M A I R I E DE P O N T H E V R A R D 5, PLACE DE LA MAIRIE 78730 PONTHEVRARD TELEPHONE : 01.30.41.22.13 - TELECOPIE : 01.30.88.20.26 EMAIL : PONTHEVRARD@ORANGE.FR REGLEMENT DES SERVICES

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité.

Garde-corps. bfu bpa upi. Base: norme sia 358. Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. bfu bpa upi Mb 9401 Garde-corps Base: norme sia 358 Les bâtiments doivent répondre à un besoin humain fondamental, celui de se sentir en sécurité. Habitations, magasins, bâtiments administratifs, écoles

Plus en détail

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement

ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement Juin 2011 Projet d accompagnement de l INFP dans la révision,

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

Lycée Français de Bucarest «Anna-de-Noailles»

Lycée Français de Bucarest «Anna-de-Noailles» Lycée Français de Bucarest «Anna-de-Noailles» Compte rendu de la réunion entre la délégation AEFE et Les membres du Comité de Gestion - 09 juillet 2009 Dans les locaux du Lycée français de Bucarest Anna

Plus en détail