GOOGLE + AU COEUR DE L'ENTREPRISE?

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1 Infos & conseils pour votre site Mars 2013 DONNÉES Que peut-on collecter et comment? LE CLOUD S'ENVOLE Développements et risques du cloud en entreprise COMUNITIC haut les talents! GOOGLE + AU COEUR DE L'ENTREPRISE?

2 SOMMAIRE NEWS 4 quoi de neuf dans la websphère? LES MOTS décryptage de 3 nouveaux mots du web 2.0 LE CLOUD S'ENVOLE 8 bénéfices et risques du cloud pour l'entreprise COLLECTE DE DONNÉES 11 quel cadre juridique pour collecter sur internet? GOOGLE + 14 une stratégie de conquête de l'entreprise COMUNITIC 16 haut les talents! SITE JOOMLA 18 migrer son site? page 2

3 Edito Crédits Directrice de publication Agathe Bonnin Rédaction OPEN21 Assistante conception Alexandre Fourot Crédit photos Bib. Univ. d'angers Eric Bonnin mag3737 Marthathegoodone Claude Robillard Cordiaz2000 Frauhoelle westm alphaspirit MichaelMaggs OPEN21 Les Docks Numériques 1 promenade du Rhin Dijon RCS Accessible et complexe Au fil des années, je constate que l'univers digital dans lequel nous évoluons, particuliers et entreprises, est à la fois de plus en plus accessible et de plus en plus complexe. Ce paradoxe est de mon point de vue l'un des éléments de crispation de la communication digitale des entreprises. En effet, il est de plus en plus simple de créer un site, de créer sa page professionnelle sur des médias sociaux, d'utiliser des outils de webmarketing tels que l' ing ou la newsletter. Mais la multiplicité des médias, leurs interactions entre eux et avec d'autres outils professionnels tels que les CRM/ERP, complexifient beaucoup le travail des responsables communication. Et tous ces médias appellent à fournir de plus en plus de contenus, d'histoires, de connexions, de dialogue entre une entreprise et ses principaux interlocuteurs. C'est sur ces éléments que la tâche s'est compliquée, alors que techniquement les moyens sont de plus en plus accessibles. Une vraie richesse et un challenge pour la plupart des entreprises! Agathe Bonnin Directrice OPEN21 page 3

4 NEWS ECO & TECH EN BOURGOGNE Bataille des 10 mots L'événement littéraire annuel ouvre une nouvelle bataille numérique dans le cadre du projet Dis-moi dix mots. La confrontation se déroulera ce 20 mars. Barcamp Dijon #20 L a samedi 18 mai, un BarCamp est organisé à Dijon, de 9h à 17h. Un barcamp classique "back to basics", qui permet de s'initer aux technologies numériques, de discuter et d'échanger sur les questions liées à l'univers numérique, partager des bonnes pratiques. Gratuit sur inscription. Info : Facebook, Barcamp Dijon#20 page 4 Comunitic C'est une nouvelle association qui vient de naître, avec pour objectif de promouvoir le numérique en France et à l'international. Elle facilite le développement de projets, d'évènements autour du digital et met en valeur les talents locaux. Comunitic a également pour vocation de mettre en place des actions favorisant l'émergeance de nouvelles thématiques autour du numérique.

5 QUOI DE 9 SUR LE WEB? Adieu Hotmail... Microsoft vient de lancer son service de messagerie outlook.com. Toutes les adresses Hotmails devraient donc disparaître dans les prochains mois. Mega Successeur du célèbre site de partage de fichiers Megaupload, le site Mega a été lancé récemment. Il fonctionne comme un espace de stockage et de partage de fichiers à l'interface intuitive, dont les données sont chiffrées à la volée. Il comprend de base un compte de 50 Go de stockage. page 5 Qwant Un moteur de recherche français vient d'être lancé, Qwant. Présent dans 15 pays, et en 35 langues, il a l'ambition de concurrencer le leader Google, rien que ça! Sa différence? Une présentation des résultats affichant à la fois sites web, actualités, réseaux sociaux et shopping, sur 5 colonnes aux couleurs différentes ou en mosaïque. Des critiques se sont déjà faites entendre sur l'agrégation de résultats provenant d'autres moteurs.

6 Les mots 2.0 Tout s'explique! page 6

7 Widget Les widgets sont de petites applications. Ils sont présents aussi bien sur les navigateurs que sur les bureaux des systèmes d'exploitation, ou encore sur les sites web et les smartphones. Sur un site web, les widgets peuvent être des «boîtes» reliées à des comptes de réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook par exemple. Ces réseaux proposent des codes prêts à l'emploi pour intégrer un flux Twitter ou les posts d'une page Facebook sur un site. L'utilisateur du site peut alors interagir par le biais du widget, directement sur son compte social. Appli mobile C'est un programme téléchargeable que l'on installe sur un téléphone portable. Les applis mobiles sont conçues pour fonctionner sur un environnement précis (Iphone, Androïd...). Elles peuvent interagir avec des fonctions du smartphone, telles que l'appareil photo, le GPS, etc. En réalité toutes ne le font pas, et restent de simple versions mobiles d'un site web. Dans ces cas-là, elles sont peu pertinentes. En effet, une appli mobile doit être mise à jour régulièrement par l'utilisateur du smartphone, contrairement à une version optimisée mobile d'un site web. 4G La 4G est la quatrième génération des standards de connexion web pour la téléphonie mobile. Elle succède à la 2G et la 3G, permettant ainsi des connections à un débit supérieur à 100 Mb/s. Cette nouvelle génération n'est pas encore mise en place sur l'ensemble du territoire. Avec la 4G le téléchargement de fichiers lourds et les visioconférences en HD sont possibles. A l'heure actuelle, les grandes métropoles comme Lyon, Marseille, Montpellier, Lille, Strasbourg, sont déjà couvertes par certains opérateurs. L'année 2013 devrait voir les offres et les terminaux mobiles adaptés se développer. Tous mobiles Près d'un tiers des Français utilisent un smartphone, se connectant ainsi régulièrement à internet en mobilité. Un mode de consommation en constante progression, puisque le nombre de personnes utilisant leur smartphone pour consulter leurs s ou acheter des applis mobiles a grimpé de 7 points en 2012 par rapport à l'année précédente. Au coeur des usages : les réseaux sociaux, mais aussi le partage de photos et de vidéos, qui occupent principalement le temps de connexion de 42 % des utilisateurs de smartphones. page 7 sources : CREDOC

8 Le cloud s'envole page 8

9 Le cloud computing est depuis quelques années à l'honneur dans les milieux professionnels. Actuellement, il explose littéralement, au point d'être même passé dans la sphère des services grands publics. En effet l'adoption des services clouds est très rapide, et même plus que ce que les experts du secteur prévoyaient. En permettant aux entreprises de disposer de logiciels en dehors de leur infrastructure propre, utilisables sur tous les appareils informatiques fixes ou mobiles, le cloud fait économiser du temps et de l'argent aux sociétés. En effet, le cloud court-circuite de plus en plus les DSI. Et cela ne va pas sans risque, naturellement. analyse Laurent Heslault. Alors que choisir pour son entreprise? Assurément le cloud a ouvert des portes larges chez les professionnels, en matière de gestion des données et d'organisation des processus de travail. Du coup, les entreprises se montrent exigeantes sur la performance des solutions proposées par les fournisseurs. Une étude du cabinet Current Analysis montre que les fournisseurs de services cloud vont chercher en 2013 à offrir une plus grande gamme à leurs clients, car ceux-ci souhaitent de plus en plus souvent des services complets de bout en bout de la chaîne. L'adoption du cloud en entreprise se fait plus rapidement que prévu. «Grandes entreprises ou PME, la plupart ne font pas d'analyse et de gestion du risque», explique Laurent Heslault, directeur stratégie sécurité chez Symantec, dans une interview recueillie par Silicon.fr. Comme le risque zéro n'existe pas, il est très important de se poser la question des problèmes qu'engendreraient pour l'entreprise une perte de données. Car avec le cloud, il s'agit bien d'externaliser les données de l'entreprise, parfois les plus sensibles. Ce n'est pas un acte à prendre à la légère. D'autant plus qu'avec l'adoption massive du cloud dans les entreprises, les fournisseurs de solutions cloud se multiplient, et il faut parler non plus «du cloud mais des clouds, avec autant de factures, de logins, d'interfaces», En revanche, peu d'entreprises étudient sérieusement la qualité de l'environnement de sécurité offert par les fournisseurs de solutions cloud, alors même que cela représente un risque plus ou moins important pour elles. Et le territoire sur lequel le fournisseur est implanté a aussi son importance, car l'environnement juridique n'est pas le même partout. Par exemple, dès lors que le fournisseur de solutions cloud est basé commercialement aux USA, les agences de renseignement américaines peuvent espionner toutes les données gérées! Un paramètre à prendre en compte aussi avant de sélectionner un prestataire. page 9

10 Des données bien collectées L orsqu'une entreprise met en oeuvre un système de communication numérique, tel qu'un site internet par exemple, des données sont souvent collectées sur les utilisateurs. La loi française encadre la collecte des données numériques, dont voici quelques principes à garder en mémoire. Les utilisateurs doivent être informés que leurs données sont collectées. Informer les utilisateurs Les utilisateurs doivent être informés que leurs données sont collectées, de quelle manière et à quelles fins. Aussi, dès lors que l'on met en place un système de statistiques de visite, les utilisateurs du site doivent être informés que des témoins de connexion et des informations sur la configuration de leurs ordinateurs sont récupérées par le site : URL d'accès, heures et temps de connexion, pages visitées, système d'exploitation et navigateur utilisé, résolution de l'écran, etc. En général, c'est dans la page de mentions légales que les utilisateurs sont informés de cette collecte de données non nomminatives. Elles ne permettent pas d'identifier personnellement les visiteurs. La CNIL Les autres collectes de données peuvent faire l'objet d'une déclaration auprès de la CNIL. Depuis 2006, la déclaration de site internet a été supprimée. Depuis, les sites personnels, les blogs et les sites institutionnels non marchands des entreprises n'ont plus besoin d'être déclarés auprès de l'organisme public. En revanche, les sites e-commerce collectant des données sur les clients (adresse, historique d'achat,...) doivent déclarer cette collecte de donnée auprès de la CNIL, généralement via la norme simplifiée n 48. page 10

11 Mais l'enjeu est de taille pour les grandes entreprises dont la collecte de données fait partie intégrante du modèle économique (réseaux sociaux, sites de vente entre particuliers, etc). C'est pour apporter des réponses financières aux pratiques de ces grands groupes, que le gouvernement explore depuis la fin de l'année 2012 la piste d'une taxation sur la collecte de données personnelles. Une manière aussi d'inciter les entreprises les plus vertueuses en matière de protection de la vie privée et de collecte de données personnelles, en les taxant plus faiblement que les autres. Les autorités sont également très regardantes sur la durée de conservation des données, en particulier auprès des géants du numérique que sont Google, Facebook ou Microsoft, par exemple. page 11

12 Google+ à l'assaut des entreprises page 12

13 Google+, le réseau social lancé par Google en 2011, compte aujourd'hui environ 135 millions d'utilisateurs actifs. Même si ce chiffre mérite d'être mis en perspective avec les 618 millions d'utilisateurs actifs de Facebook, il n'en reste pas moins que l'outil Google+ est installé désormais dans le paysage digital. 60 % des utilisateurs actifs de Google+ se connectent à leur compte chaque jour, mais ils y passent généralement peu de temps, contrairement aux autres réseaux sociaux de masse que sont Facebook et Twitter. Pour Google, l'enjeu avec son outil Google+, est de parvenir à toucher une cible plus professionnelle que ses concurrents. Mais si on se penche sur le mode de fonctionnement de Google, peut-on le considérer comme un réseau social comme les autres? «Google+ n est pas conçu à la base comme un réseau social, du moins pas comme un Facebook ou un Twitter. Google+ est avant tout un moyen pour Google de créer un vrai profil à ses utilisateurs, et, par ce profil, de relier l ensemble de ses services.» analyse Grégory Maubon, responsable de l'espace Numérique Professionnel de la CCI 21 et spécialiste de la réalité augmentée. L'outil Hangout proposé par Google+, est une des applications qui marque la différence avec les autres réseaux sociaux. Google+ est avant tout un moyen pour Google de créer un vrai profil à ses utilisateurs. Il positionne donc son réseau social comme un service offert aux entreprises, notamment grâce à une intégration à la suite Google Apps. Il est ainsi possible à une entreprise de lancer des vidéoconférences jusqu'à 10 personnes, directement depuis les applications telles que Google Agenda, Gmail et Google Drive. Pour une entreprise, gérer sa présence sur Google+ peut être intéressant pour améliorer sa visibilité web. En effet, les partages et appréciations de contenus via Google+ sont pris en compte dans le référencement d'un site sur le moteur de recherche de Google. Par ailleurs, les mises à jour de page d'entreprise ou de profil sont immédiatement disponibles dans les résultats de recherche. Il permet de créer des bulles vidéos pour faire une mini-conférence en ligne assez facilement. Grégory Maubon explique comment il s'en sert dans le cadre de ses activités autour de la réalité augmentée : «Grâce aux bulles nous pouvons créer régulièrement des rencontres virtuelles pour animer la communauté et même partager les documents de notre Google Drive pour construire ensemble. C est d une facilité déconcertante!» Rémi Bezeux, développeur, appui également sur l'intérêt que constitue cet outil : «Je crois en la puissance croissante du HangOut, bulle vidéo, quel qu'en soit le nom. Son appropriation par les marques va être, à mon sens, le truc de 2013.» page 13

14 les usages clés pour l'utilisateur sont loin d'être au rendez-vous. A chacun donc, d'y voir, ou pas, un intérêt et d'en faire sa propre utilisation. «A contrario de Facebook ou Twitter ou l'usage était induit par l'outil (partage de moments de vie avec une sélection de contact), l'usage de Google+ s'est fait par appropriation.» précise Rémi Bezeux. «Google+ est mon outil de veille privilégié pour tout ce qui concerne les langages de programmation. ( ) Pour la version mobile, l'application Google+ est véritablement basée sur le visuel, j'ai donc encerclé / rejoint des communautés de photographes.» Malgré un outil complètement intégré aux différents produits de Google, le réseau Google+ a du mal à décoller en terme d'utilisation et de viralité. La plupart des contenus sont peu partagés et appréciés, ce qui tend à démontrer les limites de l'exercice. P o u r Pascal Minguet, expert numérique chez TMHC, l'objectif de Google n'est pas atteint : «les usages clés pour l'utilisateur sont loin d'être au rendez-vous et, malgré une interface dépouillée agréable, l'ergonomie est bancale.». Alors, véritable outil collaboratif au service des entreprises ou réseau fantôme sans interactions suffisantes? Google+ en chiffres 170 millions de comptes 135 millions d'utilisateurs actifs 15% des membres s'arrêtent de publier après leur 5e post. 20% des membres sont étudiants 67% des membres sont des hommes source : RF Metrics page 14

15 «Par métier, et depuis 30 ans, je veille, j'essaie, je teste... et, pour ce qui concerne Google+, je reste perplexe, quant à son apport réel pour les utilisateurs, geeks et professionnels du numériques, mis à part. Certes des marques, des agences de communication font des tests, mais pour l'instant les résultats sont loin d'être au rendez-vous.», note Pascal Minguet. Il n'est pas facile pour une entreprise, et plus particulièrement pour celle qui ne dispose pas de spécialiste en communication digitale, d'intégrer de plus en plus d'outils de communication collaboratifs, de comprendre leurs modes de fonctionnement, leur ergonomie, leurs forces et leurs faiblesses. L'erreur pour l'entreprise est peut-être de voir en Google+ un «simple» réseau social pour communiquer avec ses cibles de clientèle, plutôt qu'un outil complémentaire de la galaxie Google. page 15

16 Comunitic haut les talents! page 16

17 Une aventure numérique C 'était il y a deux ans déjà. Parmis les passionnés et les professionnels du numérique en Bourgogne et en Franche Comté, une idée germait. Celle de se regrouper pour faire émerger les talents, les initiatives, les innovations digitales locales. Cette idée a mis du temps à émerger, mais aujourd'hui elle prend vie sous la forme d'une association : Comunitic. Cette association regroupe des personnes issues d'horizons professionnels parfois différents, mais qui ont en commun une passion et une culture du numérique, et surtout une envie de la faire partager. Comunitic rassemble aussi bien des professionnels que des usagers des technologies numériques, entreprises, start up, développeurs, etc. La vocation de ce groupement d'énergies positives est de mettre en valeur les talents, de diffuser la connaissance et la pratique numérique, et de faciliter l'organisation d'événements sur le numérique. Plusieurs de ces événements sont déjà implantés dans le paysage digital bourguignon depuis plusieurs années : barcamps, ignite, soirées thématiques. L'objectif affiché est de proposer d'autres formats d'événements numériques porteur de sens et de synergies : webschool, hackathon, StartUpWeekEnd, TEDx... Au-dela de la promotion d'événements et de talents, Comunitic a également pour ambition de réfléchir à de nouvelles thématiques digitales, à innover, à coopérer pour créer de la valeur ajoutée autour des passionnés et professionnels du numérique. Parmis les récents événements portés par Comunitic, on retrouve le moviecamp 2013, la deuxième édition de l'ignite, un Twapéro (apéritif Twitter). Beaucoup de projets sont actuellement en cours de création pour les prochains mois. La Bourgogne est donc bien une terre digitale, qui cherche à rendre plus visibles et mieux reconnus les talents du numériques, qui créent, qui enrichissent le territoire et le débat, qui portent des projets, qui partagent leur passion. Retrouvez Comunitic sur le web : et aussi sur Facebook - Twitter - Google+ page 17

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19 Site Joomla migrer son site? L a version stable à support de longue surée de Joomla est actuellement la 2.5. La version 3.0 actuellement disponible est une version de transition, à support de courte durée, à travers laquelle on entrevoit les améliorations qui seront portées sur la future version à support de longue durée, la 3.5. Aussi, pour les entreprises qui disposent d'un site Joomla en version 1.5, la question de la migration est en train de se poser. En effet, les instances officielles de Joomla n'acceptent plus d'extensions en version 1.5 depuis avril Depuis le 1er mars 2013, le site des extensions Joomla dépublie les fiches d'extentions qui ne sont conçues que pour Joomla 1.5. Prochainement, les extensions pour la version 1.5 de Joomla vont disparaître. Cela n'empêche pas les extensions installées sur des sites Joomla en version 1.5 de fonctionner, naturellement. Mais il ne sera plus possible d'ajouter de nouvelles fonctionnalités ou de maintenir à jour le CMS en version 1.5, directement depuis les ressources fournies par la communauté officielle de Joomla.org. La question va se poser rapidement aux entreprises dont le site reste en version 1.5. Quelle option choisir, entre un maintient à minima du site ou une migration? Pour trancher, il faut déjà observer toutes les solutions possibles. Si le site embarque des extentions courantes, disponibles également en version 2.5, la migration vers une version 2.5 peut se faire aisément. Il faudra cependant développer un nouveau thème graphique (template), car ceux des versions 2.5 sont différents des précédents. En revanche, si le site dispose d'extensions qui ne sont pas disponibles pour la version 2.5, il faut vérifier si une migration d'extention est possible, c'est-àdire utiliser une autre extention remplissant la même fonctionnalité. Enfin, si le site repose sur des fonctionnalités uniques, développées spécifiquement pour l'entreprise, il faut vérifier la possibilité et le coût de développement de la fonctionnalité sur une version 2.5 de Joomla, avant de faire son choix. L'existence d'un site Joomla 1.5 peut aussi être un signal pour l'entreprise de réfléchir à l'obsolescence de son site : correspond-il toujours aux attentes des cibles? Est-il pratique à administrer? Doit-il être traduit en plusieurs langues pour s'adapter à une nouvelle clientèle? Autant de points qui peuvent décider l'entreprise à faire évoluer son site en profondeur, tout en migrant vers la version du CMS la plus récente. page 19

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