Le voyage de la Pinta, ou l histoire de la syphilis
|
|
- Bertrand Dussault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le voyage de la Pinta, ou l histoire de la syphilis Laurent Mereghetti Département de Microbiologie Faculté de Médecine de Tours Service de Bactériologie-Virologie CHRU de Tours
2 La maladie au cours des temps Remèdes, traitements et charlatans La syphilis aujourd hui Tréponèmes and co. N est pas syphilis tréponème qui veut Columbus or not Columbus?
3 La maladie au cours des temps
4 Les débuts de la syphilis 1492 : Charles VIII fait valoir ses droits sur la couronne de Naples 13 février 1493 : départ d Amboise Armée de hommes : mercenaires +++ Siège de Naples : difficile - prostituées/femmes contagieuses expulsées - pape Alexandre VI s oppose à Charles VIII Charles remonte vers le Nord
5 Novembre 1495 : démobilisation => retour des mercenaires dans toute l Europe - mal français => Napolitains - mal de Naples => Français - malo de Frantzos => Allemands - french pox => Anglais - spanise Pocken => Flamands - mal espagnol => Maures - mal castillan => Portugais - mal portugais => Indes - mal des Allemands => Polonais (grosse) vérole, morbo gallico, gorre
6 Régions au Nord de l Europe plus épargnées : Finlande, Laponie, Islande Diffusion : Afrique, Proche-Orient, Asie Japon : milieu du XVI ème siècle Europe : stabilisation de la maladie fin du XVI ème siècle Progressivement : tableau clinique moins sévère Nouvelle vague au cours du XVIIème siècle
7 Au début de l épidémie : mauvaise réputation rois et empereurs, hommes d église contamination par l air, l eau bénite, le souffle maladie «galante» (règne Louis XIV) Cicatrices : - port de la perruque - jabot de dentelle - gants - fard - poudre - mouche Peur resurgit au XVIIIème siècle séquelles mort précoce 1
8 Développement d une théorie de transmissibilité héréditaire = hérédosyphilis début XX ème siècle 2 3 N est plus une maladie à déclaration obligatoire depuis 2000 Bilan prénuptial : dépistage de la syphilis n est plus obligatoire
9 - pape Alexandre VI, cardinal Borgia, plusieurs évêques célèbres - Charles VIII, Henri II de France, Napoléon I er - Henri VIII d Angleterre, Edouard VI d Angleterre - Baudelaire, Maupassant, Rimbaud, Wilde, Flaubert - Mozart, Beethoven, Paganini, Schubert, Schumann - Manet, Gauguin, van Gogh, Toulouse Lautrec - Lénine, Mussolini, Staline, Churchill - Al Capone, Howard Hughes
10 Les hommes qui ont «fait» la syphilis Fernando de Oviedo (1526) : théorie américaine de la syphilis Girolamo Fracastor (1530) Syphilis sive morbus gallicus Poème racontant en latin l histoire du berger Syphilis qui, pour avoir outragé Apollon, est frappé par les puissances divines d un mal douloureux et hideux Père de l épidémiologie Seminaria contagiosis - contagion inter-humaine directe (gale, lèpre) - contagion indirecte par agents vecteurs (air, animaux) - contagion à distance (peste, variole) => susceptibilité hôte
11 Fernel (1548) : médecin Diane de Poitiers et Henri II «Le principe venimeux siège dans l humeur qui lui sert de substratum et de véhicule. Par conséquent le mal vénérien est une maladie qui se contracte par le contact» Balfour (1767) : - distingue la vérole de la gonorrhée - création d un hôpital pour vénériens en 1785 à Paris qui sera ouvert en 1792!
12 Ricord (1830) : inoculation à partir des plaques muqueuses affirme la spécificité de la syphilis Fournier (fin XIX ème siècle) : - description précise de la maladie - tabès, démence, paralysie : origine syphilitique : Société française de prophylaxie sanitaire et morale
13 Roux/Metchnikoff ( ) : syphilis expérimentale chez les singes Schaudinn (1905) : découverte du tréponème pâle => Spirochaeta pallidum Wassermann/Neisser/Brück (1906) : sérologie 4
14 Remèdes, traitements et charlatans
15 La prévention 1497 : s abstenir de relation sexuelle avec une femme infectée ou avec une femme saine qui a cohabité avec un homme récemment infecté 1532 : laver les organes génitaux avec de l eau chaude ou du vin blanc avant et après l acte Les traitements «non spécifiques» - diète - purge - saignée - ventouses - prière - astrologie...
16 Les traitements «spécifiques» Bois de gaïac SAINT BOIS DES AMANTS Plante tropicale (Antilles, Amérique centrale) - infusion/décoction préparée avec poudre - à boire le matin - diète + purgatifs - sudation en chambre chauffée (2 à 3 heures) Cures de 30 à 40 jours 5
17 Mercure - frictions, onctions, emplâtres EI : salivation, tremblements, paralysie, chute de dents. mort - pilules (Matthiole, 1535) - sudation en chambre chauffée - hypodermique, intramusculaire, intraveineuse Iodure de potassium - dilué en eau de boisson - associé au mercure (phase tertiaire)
18 Arsenic (atoxyl = sel sodique d arsenic) - Salvarsan (606 ème préparation) développé par Ehrlich en Néosalvarsan (914 ème préparation) - préparation et utilisation plus faciles - moins toxique mais moins efficace Bismuth (1921)
19 La pénicilline - contamination accidentelle de culture de staphylocoques (Fleming, 1928) - extraction et purification de la pénicilline (Florey et Chain, 1941) - production à large échelle et utilisation (1944) - Prix Nobel de Médecine (Fleming, Florey et Chain, 1945)
20 La syphilis aujourd hui
21 Physiopathologie inoculum dissémination voie hématogène microlésion peau/muqueuse multiplication tissus cellules phagocytaires voie lymphatique colonisation ganglionnaire
22 Clinique incubation silencieuse : 21 jours phase primaire : - durée : 4 à 6 semaines - chancre (indolore) + adénopathie - disparition spontanée
23 phase secondaire : - 2 mois après la contamination - durée : 1 à 2 ans - roséole, lésions cutanées, lésions muqueuses - disparition spontanée
24 syphilides palmaires
25 alopecie syphilides plantaires lésions muqueuses
26 syphilis latente : - durée : 2 à 30 ans - absence de symptomatologie clinique phase tertiaire : - concerne 30% patients - atteintes cutanées (gommes) - atteintes cardio-vasculaires (anévrisme, aortite) - atteintes neurologiques (paralysie générale, tabès)
27 Diagnostic Mise en évidence directe du tréponème prélèvement : - sur lésions primaires ou secondaires - après nettoyage à l'eau stérile - à l'aide d'un vaccinostyle examen direct : - au microscope à fond noir : tréponèmes mobiles, à spires régulières et réfringentes - par immunofluorescence sensibilité et spécificité : faibles
28 Techniques sérologiques réactions à antigènes non tréponémiques = VDRL (veneral disease research laboratory) réactions à antigènes tréponémiques - réaction d'hémagglutination = TPHA (Treponema pallidum hemagglutination assay) - réaction immunoenzymatique = ELISA (enzyme linked immunosorbent assay) - réaction d'immunofluorescence indirecte = FTA-abs (fluorescent treponemal antibody absorbed)
29 Principe de l immunofluorescence indirecte (IFI) Fixation de l antigène bactérien Ajout du sérum du patient. Si le sérum contient les anticorps anti-tréponème, ils se fixeront sur l antigène + sérum ANTIGENE ANTICORPS Les anticorps anti-tréponème du patient seront mis en évidence par un anticorps anti-anticorps marqué à la fluorescéine * ANTICORPS marqué
30 NOMENCLATURE 2 réactions obligatoires - groupe 1 : VDRL (latex, coloré, charbon) - groupe 2 : TPHA, ELISA, FTA-abs Si réaction positive ou dissociée, titrage Réactions de confirmation - test d'immobilisation des tréponèmes (TIP) = test de Nelson et Mayer - test d'immuno-empreinte (Western blot)
31 Cinétique des anticorps en cas de syphilis non traitée Titre des anticorps TPHA TPI VDRL FTA Temps (jours) incub chancre phase primaire
32 Epidémiologie
33 - recrudescence depuis Europe (France), Etats-Unis, Australie - hommes jeunes, homo- ou bisexuels, co-infectés par VIH - en Europe de l Est : prostitution Risque de contamination vénérienne (rapport non protégé) : 60 %
34 Tréponèmes and co.
35 Les «copieurs» - très rares en Europe - régions tropicales et subtropicales lymphogranulomatose vénérienne (maladie de Nicolas-Favre) : Chlamydia trachomatis (serovars L1, L2 et L3) chancre mou : Haemophilus ducreyi donovanose : Klebsiella granulomatis (anciennement Calymmatobacterium granulomatis) Herpes génital
36 incubation ulcération adénopathie Syphilis 3 sem unique, circulaire, indolore, 1 ou + dure, propre, b. réguliers LGMV 1-3 sem multiple, indolore lymphadénite => fistulisation Ch. mou 1 sem multiple, douloureuse, molle, ADP douloureuse sale, inflammatoire Donov. 4-8 sem papule/nodule, indolore, diffusion sous-cutanée bourgeonnante, b. surélevés
37 LGV donovanose chancre mou
38 Les «co-locataires» - Chlamydia trachomatis (serovars D à K) - gonocoque (Neisseria gonorrhoeae) urétrite cervicite salpingite
39 Evolution des infection à gonocoque en France ( ) QuickTime et un décompresseur TIFF (non compressé) sont requis pour visionner cette image. et les virus : SIDA, hépatites
40 N est pas syphilis tréponème qui veut
41 Classification REGNE EMBRANCHEMENT CLASSE ORDRE FAMILLE GENRE Spirochaetales Spirochaetaceae Treponema ESPECE
42 Tréponèmes à transmission vénérienne - Treponema pallidum subspecies pallidum = agent de la syphilis Tréponèmes à transmission non vénérienne - Treponema pallidum subspecies pertenue = agent du pian (yaws) - Treponema pallidum subspecies endemicum = agent du béjel («syphilis endémique») - Treponema carateum = agent de la pinta (ou carate)
43 Tréponématoses non syphilitiques maladie espèce géographie phase récente phase tardive Pian Tp pertenue Régions forestières chaudes et humides (Afrique, Caraïbes, Indonésie) Chancre («maman pian») Pianomes et pianides Pian crabe Périostite Périostite engainante Gommes Bejel Tp endemicum Régions semi-désertiques chaudes et sèches (Sahel, désert arabique) Pas de chancre Plaques muqueuses Périostite engainante Gommes Pinta T carateum Régions forestières chaudes et humides (Amérique centrale et du Sud) Chancre Lésions cutanées inflammatoires Lésions dyschromiques
44 chancre «Mama pian» Pian pianome gomme (gangosa) goundou polydactylie ostéite Collections: Pr. Pierre Aubry et I.M.T.S.S.A. Le Pharo (Marseille)
45 bejel pinta ou carate
46 Distribution géographique des tréponématoses endémiques en 1950, et 20 ans plus tard
47 Columbus or not Columbus?
48 3 août 1492 : 3 caravelles avec 120 hommes quittent Palos 28 septembre 1492 : Cuba 5 décembre 1492 : Hispaniola 16 janvier 1493 : 2 caravelles repartent pour l Espagne 31 mars 1493 : arrivée à Séville 7 mai 1493 : Christophe Colomb à Barcelone Alonzo Pinzon : premier malade reconnu meurt peu après arrivée en Europe le corps recouvert de bubons
49 La théorie «colombienne» - Symptomatologie cutanée chez les habitants d Amérique - Maladie inconnue en Europe - Troupes Charles VIII : mercenaires espagnols - «Explosion» maladie après le retour du Nouveau Monde - Epidémie pan-européenne retour 1 er voyage : mars 1493 retour 2 nd voyage : 1496 voyages intermédiaires : 1494 et 1495
50 Oviedo : surintendant des mines ( ) - maladie connue aux Indes - peu dangereuse chez les autochtones Diaz de Isla : médecin Las Casas : prêtre (à partir 1498) - bubas connus chez Indiens - Espagnols non vertueux atteints par la maladie Théorie établie début XVI ème siècle
51 La théorie «pré-colombienne» Syphilis déjà présente en Europe Unicité des maladies vénériennes (blénorragie, chancre mou et syphilis) Confondue avec d autres maladies (lèpre) Sicile : colonie grecque de Metaponte squelettes de 219 adultes et 53 enfants ( av JC) 47 squelettes : lésions attribuables à tréponématose Angleterre et Irlande sites archéologiques avec squelettes d époque médiévale France (Lisieux et Costebelle) tombes romaines
52 Hackett (1963) ancêtre simien? mutation T. carateum «adaptation» «adaptation» «adaptation» T. pallidum pertenue T. pallidum sp endemicum T. pallidum sp pallidum pian bejel syphilis zones humides Afrique zones arides Afrique ubiquiste
53 Hudson (1958) tréponème? Formes cliniques évolutives pian Afrique équatoriale Facteurs environnementaux et socio-culturels Afrique du Nord Arabie béjel caraté Nouveau monde Urbanisation = cause de la syphilis vénérienne
54 Un autre agent? Agent immuno-suppresseur à incubation courte ramené du nouveau monde par Christophe Colomb???... «La vérole est comme les Beaux-Arts, on ignore quel en a été l inventeur» Voltaire Tuskegee syphilis experiment - USA ( )
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailItem 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailGUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
GUIDE PR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Organisation mondiale de la Santé. Guide pour la
Plus en détailÉléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011
1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailComplément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s
S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a H e r p è s g é n i t a l C o n d y l o m e s G o n o r r h é e L G V S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a Herpès génital Condylomes Gonorrhée LGV Syphilis VIH
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailOutil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE. ANVERS AU XVI e SIÈCLE. Dossier de l élève
Outil d Evaluation relatif aux Socles de compétences Premier degré de l enseignement secondaire HISTOIRE ANVERS AU XVI e SIÈCLE Dossier de l élève Nom :.. Prénom : Classe : Première partie Tâche : Tu disposes
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailMISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT
22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détailRapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang
Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang Rapport sur la mise à jour des indications de dépistage des infections transmissibles
Plus en détailCharlemagne Roi des Francs et empereur d'occident (768-814).
Charlemagne Roi des Francs et empereur d'occident (768-814). Carolus Magnus (dit Charles «le grand») plus connu sous le nom de Charlemagne. 1. En 768, Charlemagne devient roi des Francs et remplace son
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailBienvenue sur la planète des insectes!
Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailTITRE : On est tous séropositif!
PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailpapillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement
du VPH(virus papillome humain) Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement Table des matières Un message du D r André B. Lalonde, vice-président administratif
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 7 ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT Ce chapitre, dernier de la partie «Évolution», a pour objectif de donner aux élèves les informations scientifiques pour établir l existence d interdépendances
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailANNEXE au CCP NETTOYAGE DES LOCAUX LISTE DES PRESTATIONS DE NETTOYAGE A REALISER DANS LE CADRE DU CONTRAT
ANNEXE au CCP NETTOYAGE DES LOCAUX LISTE DES PRESTATIONS DE NETTOYAGE A REALISER DANS LE CADRE DU CONTRAT CCP - Consultation Nettoyage des Locaux SEM Numerica Août 2011 Page 1 sur 12 Article 1. Prestations
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailLa «période fenêtre» des ITSS
Les ITSS II : comment relever le défi La «période fenêtre» des ITSS pour optimiser et non empêcher la prévention! Marc Steben et Rhonda Y. Kropp 4 Josée a eu des relations sexuelles extraconjugales sans
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION
REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailCAS CLINIQUES. Technologie
CAS CLINIQUES Technologie 1 APPLICATIONS CLINIQUES DE LA TECHNOLOGIE B.LED F.L.A.G. TM for B.LED est un liquide fluorescent révélateur de plaque dentaire. Utilisé en avec la lumière bleue de la pièce à
Plus en détailLa petite poule qui voulait voir la mer
Découverte Complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Que voit- on sur la 1 ère page de couverture? C est l histoire q d un poisson q d une souris
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailÉvaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004
Rapport Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 UNITÉ SCIENTIFIQUE SUR LES INFECTIONS TRANSMISSIBLES
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailArchives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4
Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde : page 2 Fonds documentaire Ibn Battuta, XXe siècle : page 4 Page 1 Archives audiovisuelles des musiques et traditions du monde Projet en réseau
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailTransmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»
Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a
Plus en détailLE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...
LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailBIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR
BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES. Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA
ASSURANCE COLLECTIVE RÉSUMÉ DES GARANTIES Régime d assurance collective multi-employeur RAPNQ-RBA Mars 2014 des garanties d assurance Assurance vie de base Adhérent Option 1 : 1 fois le salaire annuel
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailComposants ROSTA Pionniers de la technique écologique!
Composants Pionniers de la technique écologique! 1 Nous nous orientons sur le futur! C est un défi de notre époque que de se confronter sérieusement avec les nouvelles technologies de l approvisionnement
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailPartie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales
Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes de troisième Partie I : Un siècle de transformations scientifiques, technologiques et sociales Thème 2 : L évolution du système de production et ses
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détail