M. Yves AUROY Parrain du groupe : ENTRETIEN ET REPARATION DE BIENS A CARACTERE MEDICAL
|
|
- Amaury Lajoie
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 M. Yves AUROY Parrain du groupe : ENTRETIEN ET REPARATION DE BIENS A CARACTERE MEDICAL
2 Préambule Maintenance : «L ensemble de toutes les actions techniques, administratives et de gestion durant le cycle d un bien, destinées à le maintenir ou à le rétablir dans un état dans lequel il peut accomplir la fonction requise» Quelle maintenance? Maintenance corrective Maintenance préventive Maintenance programmée ou systématique Maintenance conditionnelle Maintenance prévisionnelle Selon les cycles de la croissance, la pression sur les coûts de maintenance se renforce et le recours à l externalisation s est fait par à-coups avec dans certains cas des phénomènes de balancier entre délégation et reprise en interne de métiers. Direction générale de l offre de soins - DGOS 1
3 Préambule En aéronautique, après 40 ans d empirisme et de tradition, les règles et principes de la maintenance ont vraiment progressé au cours des années 1970 à Les principes sont assez simples. Il est fait appel constamment à l expérience acquise, la compétence et la connaissance détaillée des matériels. L interactivité entre les groupes d acteurs et l alternance des pouvoirs sont des principes fondamentaux. La responsabilité ultime revient à la compagnie. Plus le matériel est complexe, plus il est difficile de remettre en cause les recommandations proposées par le constructeur Direction générale de l offre de soins - DGOS 2
4 Préambule Une grande dispersion des techniques et des dispositifs médicaux : Sécurité des soins Coût Direction générale de l offre de soins - DGOS 3
5 Check-list et maintenance : à propos des respirateurs d anesthésie Bloc opératoire : 8 salles d opération, 10 respirateurs d anesthésie Analyse de la période ouvertures de salle (Check-list) Maintenance préventive = une visite annuelle 1/3 des check-list a une ou plusieurs anomalies, la plupart sont «auto-corrigées» 18 maintenances curatives ont été déclenchées par des anomalies détectées lors de la check-list Soit 1.32 pannes pour 100 ouvertures de salle (IC 95% [0,8-2]) 0 maintenance curative liée à une panne en peranesthésie Direction générale de l offre de soins - DGOS 4
6 Préambule La maintenance ne coûte cher qu avant la panne! La maintenance, c est difficile, c est cher et ça rapporte gros! Sans oublier que les démontages trop fréquents ne sont pas favorables à la longévité du bien Sans oublier les risques pour la qualité et la sécurité des soins et des personnes Merci au groupe de travail! Direction générale de l offre de soins - DGOS 5
7 ARMEN VAGUE 1 ENTRETIEN ET REPARATION DE BIENS A CARACTERE MEDICAL
8 Introduction Attention faire des économies ce n est pas prendre des risques sur la sécurité Ce n est pas faire des transferts de charges Et cela ne se compte pas seulement en des gains économiques mais également en disponibilité des équipements. Direction générale de l offre de soins - DGOS 7
9 Sommaire Présentation du périmètre et de la cartographie des dépenses Analyse de la situation actuelle Bonnes pratiques identifiées et opportunités Synthèse des gains et matrice enjeux efforts Direction générale de l offre de soins - DGOS 8
10 Périmètre étudié par le groupe de travail Hors périmètre Périmètre retenu Contrats de maintenance ou d entretien concernant les équipements de : Imagerie Anesthésie Réanimation (monitorage, ventilateur, incubateurs) Bloc Opératoire Laboratoire (hors réactifs) Exploration fonctionnelle (appareils de tests d ophtalmologie, de cardio, électroencéphalographie ) Endoscopie Stérilisation Radiothérapie De suppléance fonctionnelle De thérapie Les contrats de maintenance d imagerie directement liés à l acte d achat et relevant du périmètre du groupe «Imagerie en coupe» Matériel médical hôtelier (lits de soin notamment) Direction générale de l offre de soins - DGOS 9
11 Les dépenses annuelles des établissements publics de santé sur ce segment s élèvent à 417 millions d euros Les CHR/CHU sont à l origine de 45% des dépenses du segment Répartition des dépenses en fonction de la catégorie d établissement CHS 1% HL SIH 1% 1% APHP 13% CHR-CHU 32% CH < 20M 13% CH 20-70M 18% CH > 70M 21% Source : DGFIP réalisé 2010 Direction générale de l offre de soins - DGOS 10
12 Les dépenses du segment sont composées aux 2/3 d achat de contrats forfaitaires de maintenance Répartition des dépenses du segment Pièces détachées 13% Source : données récoltées auprès d un échantillon de 27 établissements Réparation 19% Contrats forfaitaires 68% Selon cette répartition, les établissements publics de santé achètent annuellement 284 millions d euros de contrats de maintenance sur matériel médical. Direction générale de l offre de soins - DGOS 11
13 La moitié des dépenses en contrat de maintenance de matériel médical est imputable aux équipements d imagerie Répartition des dépenses en contrat de maintenance pour les établissements possédant ces services 46% Source : données récoltées auprès d un échantillon de 27 établissements 18% 11% 9% 8% 8% Imagerie Radiothérapie Laboratoire Autres Bloc opératoire Réanimation Les établissements publics de santé achètent 130 millions d euros de contrats de maintenance pour leurs équipements d imagerie. Direction générale de l offre de soins - DGOS 12
14 Sommaire Présentation du périmètre et de la cartographie des dépenses Analyse de la situation actuelle Bonnes pratiques identifiées et opportunités Synthèse des gains et matrice enjeux efforts Direction générale de l offre de soins - DGOS 13
15 Bien travailler c est faire des économies : ce qui va de soi, mais pas forcément partout : Bonnes pratiques générales de la maintenance : Organiser sa politique générale de maintenance Bien acheter sa maintenance Contractualiser avec le mainteneur Connaître ses droits Direction générale de l offre de soins - DGOS 14
16 Sommaire Présentation du périmètre et de la cartographie des dépenses Analyse de la situation actuelle Bonnes pratiques identifiées et opportunités Synthèse des gains et matrice enjeux efforts Direction générale de l offre de soins - DGOS 15
17 3 leviers ont été mis en évidence à travers les bonnes pratiques identifiées Technique d achat Optimisation des ressources internes Définition du juste besoin de maintenance Direction générale de l offre de soins - DGOS 16
18 A Beauvais, le regroupement de contrats a permis un gain de 10% Bonnes pratiques A Beauvais, le regroupement de tous les appareils d une même marque dans le même marché à permis d économiser 10 %. Avant : 3 marchés distincts incluant des équipements de Monitorage / Respiration / Evaporation. Conclus en fonction soit de l'arrêt du précédent marché soit de la sortie de garantie des nouveaux équipements. Après : 1 seul marché négocié pour l ensemble des équipements. Conditions de mise en œuvre Tout le parc de la même marque devait être inclus. Résultats Réduction du prix du contrat de l ordre de 10% SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 17
19 A l AP-HP, la massification des procédures d achat de contrats de maintenance a permis des économies allant jusqu à 30% sur ce type de contrat Contrat de Stago : passage de 39 à 40 appareils = 3.5% de remise sur l'ensemble du parc (soit 1.5 appareil maintenu gratuitement) Bonnes pratiques Forfait unitaire de maintenance préventive sur le parc d équipements de perfusion < 30 % pour l AP-HP par rapport aux autres participants Conditions de mise en œuvre Les marchés sont régulièrement conclus et basés sur les conditions consenties lors des achats réguliers. Résultats Les contrats de maintenance de l AP-HP sont de 0 à 30 % moins cher que ceux des autres participants du groupe de travail. SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 18
20 Au CHU de Grenoble, la limitation du nombre de visites correctives a permis un gain de 8 % Bonnes pratiques Au CHU de Grenoble, : le passage de 32 à 20 interventions correctives annuelles pour la maintenance du parc d équipements de la stérilisation centrale a permis un gain de 8%. Sans moyen humain supplémentaire. Conditions de mise en œuvre Nécessite un suivi annuel du nombre d interventions réalisées. Résultats Réduction du prix du contrat de 8% SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 19
21 Au CH de Vienne : la mise en concurrence de la maintenance d une salle de radiologie permet une économie de 28 % Bonnes pratiques Pour assure la maintenance tous risques d une salle de radiologie «os-poumons», le CH de Vienne a conclu un MAPA avec un tiers mainteneur qui a fait une proposition 28 % moins chère que le fabricant Conditions de mise en œuvre Il faut avoir à proximité un tiers mainteneur capable de fournir une prestation de qualité équivalente et organiser une mise en concurrence Résultats Réduction du prix du contrat de 28% Direction générale de l offre de soins - DGOS 20
22 Au CH de Saint Denis, la limitation du nombre d éléments couverts sur un contrat tous risques a généré un gain de 26% Bonnes pratiques A Saint Denis, la couverture de la salle de radiologie sans capteur plan est 26 % moins cher que le contrat incluant le capteur. Conditions de mise en œuvre L hôpital doit prendre le faible risque de payer un capteur plan neuf de (vs. une économie de sur 10 ans). 10 ans = Durée de vie moyenne dans des conditions normales d utilisation Résultats Réduction du prix du contrat de l ordre de 26% SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 21
23 Au CH de Douai, l introduction de maintenance partagée a permis un gain de 20% Bonnes pratiques A Douai, la maintenance partagée sur la centrale d eau pour la dialyse permet de faire une économie de 20%. Conditions de mise en œuvre Participation d une équipe technique interne. Résultats Economie de 20%. Meilleure disponibilité des équipements (réduction des délais d intervention). Moyen humain nécessaire inclus. SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 22
24 L internalisation de la maintenance aux HCL a permis un gain net de 50% Bonnes pratiques Conditions de mise en œuvre Aux HCL, l internalisation de la maintenance sur un secteur bien délimité, hors imagerie et laboratoire a permis de faire plus de 50% d économie dans ce domaine (après paiement du personnel). Avant internalisation (2004) : Gain estimé de 20% avec recrutement de 17.5 ETP (=670 K ) et 822 K d économies sur les contrats de maintenance. Après internalisation (2010) : Gain constaté de 50 % avec 16 ETP recrutés (=660 K ) et 1700 K d économies sur les contrats de maintenance. Embauche et formation de 16 techniciens. Dispositif pleinement opérationnel au bout de 3 ans. Résultats 50% d économie sur la cible Meilleure disponibilité des équipements (réduction des délais d intervention) SOURCES: Exemple de l AP-HM, CHU Grenoble Direction générale de l offre de soins - DGOS 23
25 Opportunité 1 : Le regroupement des contrats de maintenance permet un gain de 10% sur ce type de contrat Contexte Chaque hôpital négocie ses contrats au coup par coup et séparément Biais Pas de comparaison Pas de massification Conséquences Appel systématique du mainteneur Paiement d une prime élevée pour un faible nombre d interventions 2 options Au niveau de l hôpital se donner les moyens d avoir des masses critiques. Une organisation régionale pour conclure des contrats de maintenance. Hypothèse de gains : Gain espéré : 10%. Contrats cibles : 150 M de gros contrats dont 50% renouvelables ces trois prochaines années Etablissements cibles : tous les établissements sauf les CHU/CHR. qui le pratiquent déjà soit 50% des établissements publics de santé. Gain potentiel = 3.8 M soit 1% des dépenses du segment (10% * 150M * 50% * 50%) Direction générale de l offre de soins - DGOS 24
26 Opportunité 2 : La mise en concurrence avec un tiers mainteneur permet des gains de 20 % Contexte La tierce maintenance est peu développée Aux USA même les équipements lourds sont majoritairement maintenus par des tiers Biais il est difficile d évaluer la capacité d un tiers à réaliser la maintenance les fabricants découragent les sites à solliciter les tiers mainteneurs Conséquences Beaucoup de contrats de maintenance sont conclus sans mise en concurrence Objectif : Mettre en concurrence les opérateurs de maintenance Hypothèse de gains : Gain espéré : 20%. Contrats cibles : Toute la maintenance Etablissements cibles : Tous potentiellement Facteur limitant : peu de tiers mainteneurs Gain potentiel = 16.6 M soit 4% des dépenses du segment (20%*417 M * 20%) Direction générale de l offre de soins - DGOS 25
27 Opportunité 3 : En limitant le nombre de visites préventives en accord avec le fabricant, on réduit le coût de la maintenance de 25 % Opportunité Pour les appareils de classe IIb, la maintenance préventive est obligatoire et repose sur les préconisations du fabricant. A l usage, certaines de ces maintenances sont inutiles. Hypothèses de calcul Gain espéré : 25% (suppression de certaines visites de maintenance préventive). Contrats cibles : une partie des contrats d équipements de classe IIb Gain potentiel Gain potentiel = 2,25 M soit 0.5% des dépenses du segment Cela suppose un lobbying auprès des fabricants et des données significatives pour qu ils conviennent de baisser leurs préconisations quand elles sont superflues. Direction générale de l offre de soins - DGOS 26
28 Opportunité 4 : La limitation du nombre de visites curatives permet un gain de 5% Contexte Choix d un contrat tous risques illimité Biais Pas d incitation à la modération Ceux qui sollicitent le moins les contrats payent pour ceux qui les utilisent le plus Conséquences Appel systématique du mainteneur Paiement d une prime élevée pour un faible nombre d interventions Objectif : Convenir d un nombre de visites curatives avec inclusion des pièces détachées pour les visites éventuelles supplémentaires Hypothèse de gains : Gain espéré : 5%. Contrats cibles : les contrats de maintenance sur laboratoire soit 75 M Etablissements cibles : tous les établissements qui ne le font pas soit 70% des établissements publics de santé. Gain potentiel = 2.6 M soit 0.6% des dépenses du segment (5%*75 M * 70%) Direction générale de l offre de soins - DGOS 27
29 Opportunité 5 : En ne couvrant que les parties les plus sensibles de certains équipements, on réduit de 20 % le coût du contrat tous risques Contexte : pour certains appareils le coût de maintenance s apparente à une assurance : on couvre le risque de remplacer un élément coûteux de la configuration qui ne se répare pas Biais Un prix moyen est pratiqué Les sites consciencieux payent pour les sites peu attentifs à leur matériel Conséquences le coût financier du risque est majoré Un bilan très défavorable pour les gros sites Objectif : Ne payer le risque qu à sa juste valeur Hypothèse de gains : Gain espéré : 20%. Contrats cibles : quelques équipements (coûteux) Etablissements cibles : tous potentiellement Facteur limitant : bien évaluer le risque pris Gain potentiel = 4 M soit 1% des dépenses du segment Direction générale de l offre de soins - DGOS 28
30 Opportunité 6 : en mobilisant les utilisateurs on peut en moyenne gagner 1% sur l ensemble des dépenses de maintenance Opportunité Les coûts de maintenance engendrés par la casse ou le mauvais usage atteignent jusqu à 10 % des coûts de maintenance. Des programmes de sensibilisation, de formation ou d incitation permettent de réduire cette proportion Hypothèses de calcul Gain espéré : 1 % La totalité des dépenses de maintenance Gain potentiel Gain potentiel = 4.17 M soit 1% des dépenses du segment Cette estimation relativement basse tient compte du fait qu il faut en permanence maintenir l effort de sensibilisation Direction générale de l offre de soins - DGOS 29
31 Opportunité 7 : L utilisation de la maintenance partagée permet des gains de 20% Opportunité Réparation des pannes des plus simples en interne Hypothèses de calcul Gain espéré : 20%. Contrats cibles : 240 M (contrats tous risques) Tous les hôpitaux disposant d une taille critique 50 % Gain potentiel Gain potentiel = 24 M soit 5,8% des dépenses du segment (20%*240M *50%) Pour l hôpital, amélioration des délais d intervention et de remise en service, souplesse pour les maintenances préventives recours probable à de l achat de formation Direction générale de l offre de soins - DGOS 30
32 Opportunité 8 : En internalisant la maintenance, on fait une économie nette de 30 % Opportunité En poursuivant l effort de recrutement et de formation de personnel, on peut réussir à être autonome en termes de maintenance pour beaucoup de matériels Hypothèses de calcul Gain espéré : 30 % (qui s ajoutent aux 20 % déjà gagnés avec la maintenance partagée) Contrats cibles : les contrats tous risques Les hôpitaux ayant une taille critique pour quelques domaines ciblés Gain potentiel Gain potentiel = 36 M soit 8,6% des dépenses du segment Ce gain tient compte de la dépense supplémentaire en ressources humaines. Direction générale de l offre de soins - DGOS 31
33 Sommaire Présentation du périmètre et de la cartographie des dépenses Analyse de la situation actuelle Bonnes pratiques identifiées et opportunités Synthèse des gains et matrice enjeux efforts Direction générale de l offre de soins - DGOS 32
34 Optimisation des ressources internes Juste besoin en maintenance Technique s d achat Tableau de synthèse des gains Opportunité Gain attendu Part du périmètre concerné (en M ) Part des ES concernés en cible par l application de la BP Potentiel de gain total (en M ) % de gains sur l'ensemble des dépenses du segment Regroupement des contrats de maintenance Mise en concurrence avec un tiers mainteneur Limitation des maintenances préventives Limitation du nombre de visites curatives sur un contrat tous risques Couverture partielle de l équipement (exclusion d éléments) 10% 75 50% 3,75 0,9% 20% % 16,68 4,0% 25% 9 100% 2,25 0,5% 5% 75 70% 2,625 0,6% 20% % 4 1,0% Mobilisation des utilisateurs 1% % 4,17 1,0% Maintenance partagée 20% % 24 5,8% Internalisation 30% % 36 8,6% Certaines opportunités n étant pas cumulables, au final, on peut estimer le gain potentiel à 60 M, soit 15% des dépenses actuelles. Direction générale de l offre de soins - DGOS 33
35 Enjeu = valeur créée Matrice Enjeux - Efforts 8 Internalisation Maintenance partagée Couverture Partielle Regroupement des contrats 4 Limitation Maintenances Curatives 2 Tierce maintenance 6 Mobilisation utilisateurs 3 Limitation Maintenances préventives Effort = dépenses et temps 34 Direction générale de l offre de soins - DGOS 34
36 Conclusion La maintenance est un processus d évolution et d adaptation Les dépenses en maintenances reposent sur de multiples paramètres L amélioration des pratiques passe par des échanges réguliers bien qu aucune pratique ne soit transposable Les associations professionnelles doivent jouer un rôle dans ces échanges Direction générale de l offre de soins - DGOS 35
37 COMPOSITION DU GROUPE Sylvain GUIBERT Ingénieur Biomédical CHU Grenoble Alain BERGERY Ingénieur Biomédical Responsable du département biomédical aux HUS Isabelle MAUGENDRE et William JOZEREAU CH Bourg-en-Bresse Benjamin Harbourg Ingénieur Biomédical CH Vienne Nadia EL NOUCHI Directrice des Achats CH Beauvais Jean-Eric Lefèvre Ingénieur Biomédical Directeur Adjoint technique des Achats AP-HP Amandine MENSAH Ingénieur Biomédical Responsable du service biomédical CH Douai Direction générale de l offre de soins - DGOS 36
ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet 25 juin 2012
ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet 25 juin 2012 Pourquoi, s intéresser au sujet des véhicules? 1. Un poste de dépenses annuelles de 700 M 2. Des véhicules trop nombreux, mal entretenus, vieillissants,
Plus en détailARMEN vague 3 PC en coût complet Livrable court
ARMEN vague 3 PC en coût complet Livrable court Présentation de l équipe LEADER Julien COMBIER - Hospices Civils de LYON Acheteur informatique, Direction des Achats MARRAINE Martine AUTRAN CH Gonesse Directrice
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012
ARMEN VAGUE 1 SEGMENT ASSURANCES 25 JUIN 2012 L assurance, une perte de repères pour l acheteur hospitalier? Des contrats en petits caractères. Le Code des Assurances prévaut sur le Code des Marchés publics.
Plus en détailHaïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT Avril 2015
ETUDE DES COÛTS DES ACTES MEDICAUX EN HAÏTI: Résultats préliminaires et perspectives d utilisation dans la prise de décision Haïti, Projet d appui technique en Haïti (PATH) Houcine AKHNIF & Lucien ALBERT
Plus en détailAuditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon
Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)
Plus en détailGERER SA MAINTENANCE INFORMATIQUE
L AFNOR définit la maintenance comme l «ensemble des actions permettant de maintenir et de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d assurer un service déterminé.» De nos jours, les systèmes
Plus en détailGroupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI
Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Colloque gouvernance sécurité des systèmes d information Marseille
Plus en détailRenforcer la fonction achats en établissement de santé
Nouvelle version Renforcer la fonction achats en établissement de santé Kit de déploiement V2 Préambule au kit établissement V2 La présente version du kit de déploiement intègre les retours d expérience
Plus en détailProjet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long
Projet ARMEN vague 2 Segment Serveurs Livrable long Introduction Sommaire 1) Introduction : périmètre de la réflexion et cartographie 2) Les bonnes pratiques d achat et opportunités du segment 3) Les gains
Plus en détailLe présent contrat prendra effet à la date de la signature entre les deux (02) parties pour une durée de (01) an renouvelable.
Article 1 : Objet du contrat La société EVENT S PRESTATIONS s engage à assurer dans les conditions définies ci-après, les opérations de maintenance à savoir l entretien du matériel informatique référencé
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détail- Véritable projet de service -
Sylvain TROUVAIN Chargé de sécurité Groupe Hospitalier Public du Sud de l Oise Maintenance des équipements de sécurité - Véritable projet de service - Sylvain.trouvain@ch-creil.fr contact@asso-acses.fr
Plus en détailARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet Livrable long
ARMEN VAGUE 1 Segment véhicules en coût complet Livrable long Pourquoi, s intéresser au sujet des véhicules? 1. Un poste de dépenses annuelles de 104 M 2. Des véhicules nombreux, mal entretenus, vieillissants,
Plus en détailMainteneur Industriel. Parce que la production n attend pas!
Mainteneur Industriel Parce que la production n attend pas! Que recherchez vous? Gagner en productivité Produire et traiter au meilleur coût Banques, établissements financiers, prestataires de services
Plus en détailAtlas 2014 des SIH. Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers
Atlas 2014 des SIH Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers Direction générale de l offre de soins Mai 2014 Sommaire 1 INTRODUCTION 4 2 PARTIE 2 : LES OBSERVATOIRES 6 2.1. L observatoire
Plus en détailAvant de commencer, merci de renseigner les données suivantes :
Le questionnaire ci dessous a pour objectif de faire le point sur le RESSOL, sur notre dernière action à savoir le mois de l Economie Sociale et Solidaire et sur nos pistes d évolution. Ce questionnaire
Plus en détailDossiers méthodologiques DURANTON Consultants. Maîtriser la gestion du parc automobile
Dossiers méthodologiques DURANTON Consultants Maîtriser la gestion du parc automobile Version actualisée le 17 octobre 2013 Adresse du siège social : 190 rue Lecourbe 75015 Paris Adresse de correspondance
Plus en détailEfficacité des Modules Maintenance dans les ERP.
Efficacité des Modules Maintenance dans les ERP. Les progiciels ERP (Entreprise Ressource Planning) proposent l ensemble des modules permettant de gérer une entreprise. Mais le module Maintenance est souvent
Plus en détailAuditabilité des SI et Sécurité
Auditabilité des SI et Sécurité Principes et cas pratique Géraldine GICQUEL ggicquel@chi-poissy-st-germain.fr Rémi TILLY remi.tilly@gcsdsisif.fr SOMMAIRE 1 2 3 4 Les leviers d amélioration de la SSI Les
Plus en détailLaissez-nous. prendre soin. de vous. Recrutement - Intérim - Services
Laissez-nous prendre soin de vous Recrutement - Intérim - Services affirmer Nos différences Adecco Medical, filiale santé du leader mondial des solutions RH, a bâti une relation de confiance avec ses clients,
Plus en détailComment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique?
Comment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique? La chaîne d approvisionnement ne saurait plus fonctionner sans EDI. L enjeu est à présent d accélérer
Plus en détailInformations sur la NFS 61-933
Les évolutions apportées par la nouvelle norme NFS 61-933 relative à l exploitation et la maintenance des systèmes de sécurité incendie. Intervention Olivier BUFFET Ingénieur sécurité CHU ANGERS Sommaire
Plus en détailPaiement en ligne des frais hospitaliers TIPI régies hospitalières
en ligne des frais s TIPI régies hospitalières 1. Guide d aide à la décision à destination des directions d établissements de santé publics La démarche proposée dans le présent document est pilotée au
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailPrincipe et règles d audit
CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailCOMMUNE DE SALINS-LES-BAINS
COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailEtude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012
Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT
PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents
Plus en détail... Les + du logiciel Automobile.... Gamme Evolution...
... Les + du logiciel Automobile... Gamme Evolution... Liste des fonctionnalités présentes dans la Gamme Evolution (en complément de la Gamme Standard) : Module VO/VN et garanties Module Assurance/Carrosserie
Plus en détailAméliorer l efficacité de votre fonction RH
Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes
Plus en détailPARTIE I : LES RELATIONS INDIVIDUELLES DE TRAVAIL
FIL D ACTUALITE MAI 2015 PARTIE I : LES RELATIONS INDIVIDUELLES DE TRAVAIL Rupture conventionnelle : de nouvelles précisions Dans deux arrêts du 25 mars 2015, la Cour de cassation considère d une part
Plus en détailIntroduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept
Table des matières I II III IV V VI Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Le marché des Services de
Plus en détailLa dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé
La dématérialisation des échanges grâce aux messageries sécurisées de santé HOPITECH - Angers 10 Octobre 2014 Vladimir Vilter ASIP Santé Comment échanger par mail les données de santé des patients facilement
Plus en détail10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES. Customer Success Stories 2015
10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Customer Success Stories 2015 10 USAGES DE QLIK POUR AFFINER VOS ANALYSES FINANCIÈRES Ces exemples d applications et de développements sur mesure
Plus en détailSujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats.
Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats. DEMATERIALISATION DES FACTURES FOURNISSEURS : PROJET ACHATS OU PROJET D
Plus en détailLes chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle
INSTITUT DE RECHERCHE EN PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE HENRI-DESBOIS Octobre 2005 Les chefs d entreprises de PME-PMI face à la propriété industrielle Dans un contexte de mondialisation, face à une compétitivité
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement
ORDRE DU JOUR La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement Le projet de budget Questions/Réponses Les travaux de canalisation et leur financement L éventuel passage en copropriété Conclusion
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailLe financement fiscal de l innovation vendredi 28 septembre 2012
Le financement fiscal de l innovation vendredi 28 septembre 2012 Sogedev en bref» Création en 2002,» Plus de 2000 missions de conseil,» Plus de 700 clients à travers la France, tous domaines d activité
Plus en détailLe choc de l ANI sur le paysage concurrentiel quelles stratégies de conquête des entreprises?
Le choc de l ANI sur le paysage concurrentiel quelles stratégies de conquête des entreprises? Introduction: Michel COLLOMBET 1 Des rebondissements depuis dix mois Etape 1 : La couverture collective pour
Plus en détailProjet ARMEN vague 2 Segment Nettoyage 20 février 2013
Projet ARMEN vague 2 Segment Nettoyage 20 février 2013 Une équipe diversifiée Parrain Leader Membres Prénom Nom Etablissement Fonction Samia LEVY Fabienne LEMMENS Claudine ANDRIEUX- Centre Hospitalier
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailAnalyse en temps réel du trafic des Internautes
Analyse en temps réel du trafic des Internautes Toute entreprise doit être en mesure d analyser le trafic de son site web et d obtenir une vue précise de son efficacité en temps réel SOMMAIRE Aperçu p.
Plus en détailMéthodologie de mesure d impact de la co-création
Méthodologie de mesure d impact de la co-création Avec le soutien en mécénat de compétences d Accenture Document de synthèse de l étude (version abrégée) Accenture Accenture est une entreprise internationale
Plus en détailCalcul des coûts Information aux enseignants
05 / Automobile Information aux enseignants 1/6 Ordre de travail A 18 ans, beaucoup d adolescents apprennent à conduire et aimeraient bientôt avoir leur propre voiture. Mais le calcul des coûts ne s arrête
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE
COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE L assurance de trouver la meilleure des mutuelles santé! Notre équipe est à votre écoute au : 01 76 29 75 76 du lundi au vendredi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h contact@assurance-sante.com
Plus en détailSituation actuelle : Sommaire d une recommandation Page 1 de 5
Le but de l entreprise est d offrir la meilleure qualité de service dans la vente de pièces automobiles. Les clients de Pintendre on besoin de se procurer les pièces automobiles rapidement afin de changer
Plus en détailDistribution d électricité et réseaux souterrains
Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure
Plus en détailMémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec
MÉMOIRE SUR LE PROJET DE LOI 8 ÉLARGISSANT LA VENTE D ASSURANCES FUNÉRAIRES AU QUÉBEC Mémoire Présenté au Ministère des Finances et au Ministère de la Famille et des Aînés du Québec Septembre 2007 15 avril
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailConditions Générale de «Prestations de services»
Conditions Générale de «Prestations de services» Article 1 - Définitions Nom commercial, ORDI-HS, désigne l Auto-entrepreneur, M. HAMID Farid, 5 Avenue de Jouandin, 64100, Bayonne. (A.E, entreprise non
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détailApprendre un métier et
Technicien en Installation des Equipements Electriques et Electroniques Ref : 0701309 Mon métier : je réalise des installations électriques, je mets en service et assure la maintenance de ces installations.
Plus en détailSection Gestion comptable publique n 14-0010
DIRECTION GENERALE DES FINANCES PUBLIQUES Section Gestion comptable publique n 14-0010 NOR : FCPE1414565J Instruction du 17 juin 2014 DIFFUSION DE L'INSTRUCTION DGFIP DGOS DU 05 JUIN 2014 Bureau CL-1C
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailtéléphonie mobile infogérance & réseaux Téléphonie fixe bureautique
Téléphonie fixe téléphonie mobile bureautique infogérance & réseaux simple sur mesure professionnel connecté Innovant fiable évolutif efficace HM Partners met un point d honneur à l accompagnement personnalisé
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailLe système d information hospitalier. exercice d équilibre entre innovation et activité quotidienne
Le système d information hospitalier exercice d équilibre entre innovation et activité quotidienne Résultats du sondage de septembre 2012 ch Table des matières Avant-propos 3 A propos de l étude 4 Institutions
Plus en détailLES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES
MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailContents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes
Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire
Plus en détailIdentification et analyse des ruptures de flux en pratique
Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité
Plus en détailEVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base
EVALUATION FINALE MLI/016 Programme d Appui à la Santé de Base FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code LuxDev Mali Programme d Appui à la Santé de Base PASAB MLI/016 Version
Plus en détailSEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation
SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût
Plus en détailDéfinir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités
Chapitre 1 Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités La politique de maintenance, entre prévention et correction 25 f Qu est-ce que le «préventif» et le «correctif»?
Plus en détailAméliorez vos garanties collectives!
Améliorez vos garanties collectives! BTP SANTÉ AMPLITUDE Amélioration de vos garanties. Ajout de bénéficiaires. SURCOMPLÉMENTAIRE INDIVIDUELLE PARTICULIERS SALARIÉS Vous bénéficiez d un contrat collectif
Plus en détailL émission de garanties environnementales par un Garant. CCI Champagne Ardenne Mardi 18 février 2014
L émission de garanties environnementales par un Garant CCI Champagne Ardenne Mardi 18 février 2014 Objectifs Qui sont les garants? Quelle différence entre un acte émis par une banque ou un assureur? Appétit
Plus en détailACCORD DU 24 JUIN 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE
Plus en détailORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION
ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES AFFAIRE INTÉRESSANT : LES RÈGLES DE L ORGANISME CANADIEN DE RÉGLEMENTATION DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES LES STATUTS DE L ASSOCIATION
Plus en détail5 novembre 2013. Cloud, Big Data et sécurité Conseils et solutions
5 novembre 2013 Cloud, Big Data et sécurité Conseils et solutions Agenda 1. Enjeux sécurité du Cloud et du Big Data 2. Accompagner les projets 3. Quelques solutions innovantes 4. Quelle posture pour les
Plus en détail5 raisons de choisir la Mutuelle du Médecin. Une mutuelle dédiée aux médecins et à leur famille
Complémentaire santé NOUS SOMMES PARCE BIEN QUE PLACÉS VOUS ÊTES POUR PLUS VOUS QU UN COMPRENDRE MÉDECIN, NOUS NOUS ENGAGEONS À ÊTRE PLUS QU UNE MUTUELLE Complémentaire santé + 5 raisons de choisir la
Plus en détailPrésentation de la formation. d Electricien(ne) de Maintenance des Systèmes Automatisés
Présentation de la formation d Electricien(ne) de Maintenance des Systèmes Automatisés 1 Présentation générale La formation d Electricien de Maintenance des Systèmes Automatisés s articule autour de 2
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailLA GESTION COMMERCIALE DES VEHICULES
LA GESTION COMMERCIALE DES VEHICULES Sommaire Sommaire... 2 1. Création d un document... 3 1.1. Entête du document... 4 1.2. Recherche du véhicule / matériel... 5 1.3. Lignes fréquentes... 6 1.4. Intégration
Plus en détailECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU
ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU 1 CHAPITRE 3: L ASYMÉTRIE D INFORMATION NOTIONS IMPORTANTES: Asymétrie d information Antisélection (ou sélection
Plus en détailLE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES
LA NEWSLETTER / LIGUE REIN ET SANTÉ / AVRIL 2015 #19 NOUVEAUTÉ 2015 / DES PAGES À PHOTOCOPIER DESTINÉES À VOS PATIENTS LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 2 SITES
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL
Commune de Val-de-Ruz Conseil communal RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GÉNÉRAL à l appui d une demande d un crédit de 100'000 pour la rénovation de la salle d économie familiale (C12) du collège
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailVérification des contrats et processus propres au Service du parc automobile. Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015
Bureau du vérificateur général Vérification des contrats et processus propres Résumé Déposé devant le Comité de la vérification le 12 mars 2015 Cette page a été intentionnellement laissée en blanc. Vérification
Plus en détailCRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS
CRÉDIT D'IMPÔT RECHERCHE ET JEUNES DOCTEURS La réforme 28 est particulièrement incitative à l embauche de jeunes docteurs. Deux des nouvelles dispositions de la réforme 28 du crédit d impôt recherche (CIR)
Plus en détailQuels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure de pilotage?
La GMAO et la GTB Les outils de pilotage et de diagnostic de la maintenance, de l exploitation des installations techniques Quels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure
Plus en détailRENTRÉE 2013 : le Département remet à tous les collégiens de 6 e un ordinateur portable. d emploi. mode. parents
RENTRÉE 2013 : le Département remet à tous les collégiens de 6 e un ordinateur portable. Ordival mode d emploi parents ÉDITO Madame, Monsieur, votre enfant entre en 6 e au collège. C est un moment important.
Plus en détailLes aides financières
Entreprises La réforme de l apprentissage L ACCUEIL DES STAGIAIRES Les aides financières Focus sur la réforme de l apprentissage La loi du 5 mars 2014 sur la réforme de l apprentissage et de l enseignement
Plus en détailCONTRAT D ENTRETIEN N pour convecteur, boiler, chauffe-eau, chauffe-bain, chaudières au gaz souscrit par..
A compléter par Saniflo : Mois d exécution :. Date d effet :././ Date de réception :../ /.. Durée de validité du service choisi :. CONTRAT D ENTRETIEN N pour convecteur boiler chauffe-eau chauffe-bain
Plus en détailORGANISER SON ENTREPRISE POUR EXPORTER : LES SOLUTIONS RH. La gestion stratégique des achats internationaux - L. LANGUENOU - Mars 2011
Nos partenaires ORGANISER SON ENTREPRISE POUR EXPORTER : LES SOLUTIONS RH La gestion stratégique des achats internationaux - L. LANGUENOU - Mars 2011 3 ORGANISER SON ENTREPRISE POUR EXPORTER : LES SOLUTIONS
Plus en détailLe Département remet à tous les collégiens un ordinateur portable. ORDIVAL. d emploi. mode PARENTS
Le Département remet à tous les collégiens un ordinateur portable. ORDIVAL mode d emploi PARENTS ÉDITO Madame, Monsieur, Votre enfant entre au collège. C est une étape importante dans son parcours scolaire
Plus en détailJuin. Modernisation du Marché du Travail
Juin Modernisation du Marché du Travail 2008 les fiches argumentaires du medef Les dispositions de l accord national interprofessionnel du 11 janvier 2008, dont la mise en œuvre requiert un support législatif,
Plus en détail«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance»
«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» FANAF 2014 Ouagadougou www.theoreme.fr Présentation Max de Font-Réaulx Président de la société Théorème (www.theoreme.fr)
Plus en détailCentre Hospitalier Marc JACQUET 2 Rue Fréteau de Pény 77011 MELUN CEDEX
Centre Hospitalier Marc JACQUET 2 Rue Fréteau de Pény 77011 MELUN CEDEX KICHENASSAMY-APPOU Christelle Master «Sciences des Technologies en Santé» Université de Technologie de Compiègne Année Universitaire
Plus en détailLa démarche qualité dans les achats hors production
La démarche qualité dans les achats hors production Genève, Conférence SAQ, 27 septembre 2012 Bruno Templier Sommaire de la présentation Les achats hors production: présentation et caractéristiques La
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. confidentiel
confidentiel SOMMAIRE Présentation WiN MS et genèse du projet Les domaines d activités Interview : 3 questions à Arnaud Peltier et Marc Olivas Contact presse PRESENTATION WiN MS ET GENESE DU PROJET WiN
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailCHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.
CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte
Plus en détailSociété MAINTINFO MAINTENANCE D'EQUIPEMENTS INFORMATIQUES ETUDE DE CAS (UML) Document d'expression des Besoins. Page 1
Société MAINTINFO MAINTENANCE D'EQUIPEMENTS INFORMATIQUES ETUDE DE CAS (UML) Document d'expression des Besoins Page 1 ISTA.ma Un portail au service de la formation professionnelle Le Portail http://www.ista.ma
Plus en détailPostes à pourvoir 2015
Postes à pourvoir 2015 Paris, Niort www.bsc-france.com B.S.C. - Business Software Tour Montparnasse 33 Avenue du Maine 75015 Tel : +33(0)1 53 94 52 20 - Fax : +33(0)1 45 38 49 45 3 rue Archimède 79000
Plus en détail