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1 Les Antilles françaises sont des régions particulièrement soumises aux aléas naturels de part leur situation géographique. Les problématiques de risque majeur prennent ainsi une place prépondérante dans le quotidien, tant du point de vue citoyen que du point de vue professionnel. A l échelle de la planète, plus de 200 millions de personnes sont touchées par les catastrophes naturelles, et les évènements de ces dernières années montrent que les aléas naturels n épargnent personne, quelle qu en soit la localisation géographique. On sait aussi que la région caraïbe est 12 fois plus exposée aux catastrophes naturelles que la moyenne du monde. Les changements climatiques vont en principe accroître l occurrence et la sévérité des aléas naturels, tandis que la vulnérabilité des grandes villes se confirme : là où sont les plus fortes densités en population, l obligation morale, sociale, et économique d organiser la résilience face aux catastrophes apparaît incontournable. Le risque sismique en France métropolitaine est plus modéré que sur les territoires ultramarins. Aux Antilles ce risque est élevé, du fait de leur situation géographique au contact de deux plaques tectoniques dont le chevauchement s accentue chaque année. Ainsi près de 3000 séismes ont été enregistrés en région caraïbe ces trois derniers siècles Pour les organismes HLM, si la prévention est bien prise en compte dans l acte de construire à travers la réglementation, il s agit de savoir comment faire face à un évènement majeur, quelles précautions pour assurer la continuité de l activité, quelles démarches préventives initiées, comment s intégrer dans la chaîne d intervention en cas de crise?... L UNION SOCIALE POUR L HABITAT OUTRE-MER a organisé deux journées professionnelles autour de la prévention et la gestion du risque majeur, pour aborder ensuite les questions relatives à la gestion de crise. RESTITUTION ET EVALUATION USHOM- C.VOGELEISEN JOURNEES PROFESSIONNELLES «RISQUES & CRISE» Guapeloupe, Mai 2010

2 Ces journées ont eu lieu en Guadeloupe les 06 et 07 mai 2010, et ont été réalisées grâce à la contribution des services de l Etat, acteurs et gestionnaires du risque en Guadeloupe et d une collectivité locale : - DDE GUADELOUPE avec la participation de Mme BADLOU responsable de la cellule Prévention des Risques, Mme VARIN du Guichet Unique Plan Séisme, M. LOUSTALOT responsable de l Unité Gestion de crise- Défense, et de M. JONCKHEERE responsable du service Habitat, Ville &Rénovation urbaine. - PREFECTURE DE LA GUADELOUPE avec la participation de Mme BOROTRA, en charge de la Prévention des risques majeurs et de la protection civile (SIDPC) - La VILLE DE POINTE-A-PITRE, avec la participation de M.MANLIUS, directeur des services techniques, de Mme ABIDOS, en charge de la gestion urbaine de proximité et de la prévention des risques, et de l AMO de la Ville pour l élaboration du PCS, le cabinet COGEIRISK. Par ailleurs, des professionnels locaux, spécialisés en matière de gestion / prévention du risque majeur ont apporté de riches contributions, avec : - le BRGM ANTILLES-GUYANE, avec la participation de M. JM MOMPELAT, directeur interrégional, chargé notamment des SDRS- schémas départementaux de risque sismique en Guadeloupe (2009) - CORISK INTERNATIONAL, avec M. SARANT, directeur, impliqué dans la mise en œuvre d action de prévention des risques, et spécialisé sur les questions d aide humanitaire et d organisation de l urgence, - AFPS GUADELOUPE / Groupe «Urgence», avec Mme PHALENTE, architecte DPLG- Ingénieur ESTP, représentante AFPS et coordinatrice GT «Urgence». Enfin, deux organismes de logement social ont apporté des éclairages concrets qu ils ont illustrés par des actions de réduction du risque majeur dans l exercice du métier : SIKOA, ESH de La Guadeloupe, avec la participation de M. VERMOREL, directeur du service patrimoine et développement, qui a présenté leur Plan Cyclone, en préfiguration d un Plan Séisme à développer, ainsi que les supports de leur organisation pour gérer les IAL (Information Acquéreurs Locataires) mais aussi la communication au niveau des locataires, ou encore les lignes forces de leur stratégie patrimoniale en matière de parasismique. Et la SIMAR, EPL de la Martinique, avec la participation de M. BERMUDE, responsable d agence, dont la présentation s est organisée autour du diagnostic sismique, de la communication sur les risques au niveau des locataires, de l information et de la formation en interne. Ces journées ont rassemblé des participants, issus de la Martinique et de la Guadeloupe, parmi lesquels les directions générales et du développement des ESH des Antilles, ainsi qu une SEM de Martinique, la SIMAR. De nombreux chargés d opération, responsable de la gestion du patrimoine, chef de projet rénovation urbaine ont également participé de façon interactive à l occasion des échanges en salle. Les journées se sont déroulées en deux temps : - LA GESTION DU RISQUE ET LES STRATEGIES TERRITORIALES POUR LA RESILIENCE - GESTION DE CRISE : QUELLE ORGANISATION? ressources mobilisables pour les organismes de logement social 2

3 Les thématiques abordées ont permis d apporter une connaissance partagée sur les dispositifs publics en œuvre pour la prévention, la mitigation du risque majeur, mais également de repérer utilement les pistes de travail pour les organismes de logement social sur lesquelles s impliquer en matière de gestion de crise. Dans ce cadre, les témoignages d actions en cours dans les organismes et sur les quartiers pour mieux s organiser face à la vulnérabilité aux risques, révèlent que la mitigation doit pouvoir aussi s appuyer de la coopération partenariale, avec les habitants, et en concertation avec les acteurs publics gestionnaires. Les interventions ont été l occasion de présenter plus particulièrement le cadre de la prévention du risque et ses outils, avec un focus sur le PPRN ; le dispositif PLAN SEISME ANTILLES et sa déclinaison opérationnelle ; l outil PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE et ses applications sur le territoire de la Ville de Pointe-à-Pitre ; l outil de décision SDRS- SCENARIOS DEPARTEMENTAUX DE RISQUE SISMIQUE EN GUADELOUPE du BRGM et son illustration en quartier d habitat social ; l outil d intervention GROUPE URGENCE de l AFPS en situation postcrise et les modalités de diagnostic des bâtiments après un séisme majeur ; le dispositif ORSEC et Plan Urgence dans le cadre de la protection civile à l échelle départementale ; ainsi que différentes applications réalisées chez les bailleurs sociaux de Martinique et de Guadeloupe en matière d information, de prévention du risque et de gestion de l urgence que CORISK INTERNATIONAL a développé. Quelques éléments de resti iit tuti iion des échanges... en matière de prévention du risque et dans le cadre des PPRN - Afin de sensibiliser les acteurs de la construction, un contrôle préventif doit être mis en place, afin de vérifier le respect des règles en vigueur. Ce dispositif doit se mettre en œuvre en Guadeloupe très prochainement. - On notera que la responsabilité du Maire est renforcée en cas de catastrophes naturelles, et l importance de son implication en fait le 1 er maillon de la chaîne d intervention pour appliquer la politique de prévention des risques. concernant le Plan Séisme - Des actions formatives par domaine thématique doivent être développées. - La question de la prise en charge financière des interventions au titre du parasismique reste entière en ce qui concerne le parc de logement social. En Guadeloupe le renforcement du patrimoine reviendrait globalement à 1Milliard d euros. Il est donc difficile de renforcer tout le parc. - SIKOA témoigne au travers des opérations mises en œuvre sur son patrimoine : le renforcement parasismique est limité par l absence de moyens dédiés. Les actions sur le bâti se concentrent sur un certain nombre d équipements et communs (ex : les cages d escaliers), les façades ( ) avec un principe de renforcer la protection des personnes en cas d évènement majeur en facilitant aussi l évacuation des bâtiments. 3

4 la présentation du film «le séisme d Aquila, 2 mois après» réalisé par PM. SARANT en Italie - remarque de M. SARANT : En Italie, lors d un évènement majeur, c est la protection civile régionale qui intervient. Elle est directement rattachée au président (Protezione civile nazionale). La chaîne de décision n est donc pas décentralisée, et a prêté à contestation : dénonce la gestion du gouvernement italien dans la reconstruction de la ville de L'Aquila après le tremblement de terre de Les critiques ont d ailleurs donné lieu à la production d un film très contreversé «Draquila» qui a été sélectionné à Cannes en La protection civile italienne a deux grandes compétences : le déblaiement, et la construction parasismique, ce qui pose bien sûr la question de l organisation sanitaire - remarque de Mme BOROTRA, Préfecture : Le tremblement de terra d Aquila, mais plus encore celui d Haiti, soulignent l importance de l implication citoyenne. Il faut optimiser notre capacité de résilience - remarque de M.BILLARD, SAHLM OZANAM : Ce court métrage sur le témoignage des populations après la catastrophe présente un intérêt particulier au point de vue pédagogique et pourrait être exploité à des fins de sensibilisation, de mobilisation des locataires, en lien avec les personnels de terrain. - remarque de M. OZIER-LAFONTAINE, SMHLM : L intérêt de ce support serait effectivement de pouvoir l exploiter à des fins pédagogiques, et de ce fait d en connaître le coût financier. Son exploitation pourrait peut-être bénéficier d une prise en charge mutualisée avec un partenariat?... Mme ABIDOS, Ville de Pointe-à-Pitre, attire l attention sur l intérêt de disposer d un support pédagogique adapté, avec une transcription en créole, ce qui faciliterait les animations avec les habitants dans les quartiers, dans le cadre des actions de prévention. - remarque de Mme BADLOU, DDE : De quelle analyse dispose t on sur l évènement, l AFPS a-t-elle produit une expertise? M.SARANT précise qu un rapport très conséquent a été produit par l AFPS, qui s articule autour de deux grands volets : patrimonial (logements, industries, culturel) et un volet qui concerne la résilience et l organisation par rapport à la reconstruction 4

5 - remarque de M. SARANT : Ce qu il faut retenir de ce film, c est qu en matière de gestion de crise il est très important pour les habitants d être capables de restituer leur ressenti du séisme : en effet, c est la place que l on accorde à la perception du risque qui permet d augmenter la capacité de résilience des populations. Les témoignages des bailleurs SIKOA et SIMAR A partir de la déclinaison d outils opérationnels sur la question cyclonique et sismique, une stratégie d entreprise se dessine en matière de réduction de la vulnérabilité aux risques majeurs : - diagnostic et géolocalisation de l exposition aux risques - information préventive - mesures de publicité et d affichage dans les résidences - action de communication et d animation à destination des locataires - sensibilisation auprès des professionnels en interne ( ) Mais l enjeu fort reste attaché à la problématique du risque sismique, et donc de pouvoir mieux s organiser pour faire face, notamment en partenariat. L intégration des bailleurs à la chaîne d intervention, leur mobilisation pour contribuer à préparer les populations à faire face, leur engagement à améliorer la qualité parasismique du patrimoine, s organiser en interne et s entraîner aux situations d urgence autant de pistes de travail sur lesquelles agir en réseau des réactions dans la salle M.R.BILLARD, directeur OZANAM (Martinique) Au regard des apports qui ont été présentés durant ces deux journées, il s agit de bien articuler les trois étapes de la résilience : l information / la coordination / et l organisation. La chaîne d intervention mise en place par l Etat et les collectivités locales fonctionne à partir du dispositif ORSEC, avec un périmètre d intervention qui comprend les quartiers d habitat social : il semble alors pertinent de pouvoir être également acteur en tant que bailleurs, dans ce dispositif. Se pose alors la question du coût à supporter pour organiser la gestion de la crise, en cas d évènement majeur : l étape diagnostic / évaluation est fondamentale, et est susceptible d impliquer la nécessité d investissements plus pertinents mais peut-être aussi lourd à supporter pour l entreprise M. D. OZIER-LAFONTAINE, directeur SMHLM (Martinique) L organisation de la gestion de crise passe en priorité par la formation des personnels de la gestion de proximité, à l appui d un outil-terrain de diagnostic «bâtiment» pour disposer d équipes sensibilisées et averties afin d optimiser les interventions sur site. M. B. VERMOREL, directeur patrimoine SIKOA (Guadeloupe) Les échanges de ces deux journées avec les services de l Etat ont permis d apprécier l importance de développer les partenariats pour travailler en réseau, cela s applique entre autres aux associations de locataires avec lesquelles des actions sur les quartiers peuvent être envisagées. M. D. JONCKHEERE, directeur du service SHUC- DDE Guadeloupe Concernant le volet «gestion de crise», il faut rappeler que deux pistes de travail doivent être développées et sur lesquelles les bailleurs peuvent s investir : - en phase post-crise, le diagnostic sur site des bâtiments opérationnels de ceux qui présentent un danger pour les populations - le diagnostic avec des personnels de terrain formés aux situations d urgence (cf. démarche du Groupe «urgence») - la définition d une véritable stratégie de confortement parasismique à intégrer dans la CUS- Convention d utilité sociale des organismes HLM, au même titre que le diagnostic sur le patrimoine Pour mémoire, on rappellera la possibilité de mobiliser du financement sur le Fonds Barnier- fonds de prévention des risques naturels majeurs, au titre des mesures de 5

6 réduction de la vulnérabilité prescrite par un PPRN à des biens existants en zone à risque M. P. LOVINCE, directeur de la gestion locative OZANAM (Martinique) En ce qui concerne la prévention et la gestion du risque, les actions sur le bâti sont à relier avec celles entreprises avec les habitants, avec une problématique : rassurer les locataires, y compris concernant les bâtiments qui les abritent. A ce niveau le rôle du DICRIM semble primordial, et cet outil d information préventive doit pouvoir être exploité dans cette perspective. Mme V. PHALENTE, représentante AFPS Guadeloupe L organisation de la gestion de crise passe aussi par le développement de groupes de travail : les bailleurs sociaux sont cordialement invités à s y intégrer. La formation de personnels habilités à effectuer des diagnostics sur les bâtiments en phase postcrise, comme celle de référents dans les quartiers pour gérer l urgence et les premiers secours, peut être de bons supports pour gérer la crise du point de vue des bailleurs. Mme N. BOROTRA, représentante SIDPC PREFECTURE Guadeloupe Ces journées ont permis une meilleure appréhension des problématiques liées au logement social face au risque, et plus particulièrement des préoccupations relatives à la sécurité et au bien-être des locataires. Concernant l organisation autour de la gestion de crise, certaines actions développées par la préfecture pourraient associer des bailleurs, notamment lorsque des exercices sont programmés avec les pompiers sur certains sites. Si les bailleurs prennent des dispositions de réponses adaptées pour répondre à l urgence, ceuxci pourraient s intégrer dans la chaîne de l intervention, et en pertinence avec les collectivités locales. Il est possible de mobiliser la Préfecture dans cette perspective. En conclusion La présentation des outils et dispositifs de prévention et de réduction de la vulnérabilité au risque, et celle des moyens de l intervention en cas de crise et de gestion de l urgence, ont permis aux participants : - de mieux comprendre les enjeux et nécessités de s organiser face au risque - de disposer d une lecture synoptique des moyens et actions en œuvre à l initiative de l Etat et des collectivités locales - d apprécier le rôle important du bailleur pour se préparer à bien gérer la crise dans les quartiers - d évaluer les besoins et procédures à développer au niveau interne, avec les personnels et avec les locataires Les différents services de l Etat présents ont renouvelé l assurance de leur mobilisation pour appuyer les bailleurs dans leurs démarches préventives et les associer plus étroitement aux actions de réduction du risque et de préparation à la gestion de crise. Les bailleurs pourront après définition d une stratégie appropriée en interne, s impliquer dans des démarches partenariales à identifier. L USHOM propose le principe de renouveler ce type de rencontre autour d ateliers opérationnels thématiques qui pourront accompagner les organismes HLM dans leurs démarches de prévention et de gestion de crise. 6

7 Evaluati iion des jjournées ett perspecti iives L objectif des journées au vu des attentes et des préoccupations des participants, le programme proposé a été jugé très adapté à 80% l ensemble des participants ont apprécié l alternance entre apports méthodologiques, témoignages locaux / supports médias et échanges en salle à 100% ce qui a été le plus apprécié au cours de ces journées : - l intervention de grande qualité des professionnels gestionnaires du risque - la qualité et l ouverture dans les échanges avec les intervenants l objectif des journées était de faciliter l émergence de pistes d actions pour les organismes de logement social, en vue de réduire la vulnérabilité aux risques majeurs, et organiser la gestion de crise. La connaissance partagée de la gestion/prévention du risque, la découverte et la mise à disposition d outils et repères pour optimiser son organisation au regard de la chaîne d intervention sont des éléments de travail qui ont fortement intéressé, mais qui pour 1/5è des participants mériteraient des approfondissements : - sur les outils et dispositifs qui peuvent avoir une incidence sur l exercice du métier - sur les démarches gestion/prévention, réduction et organisation de la crise à déployer notamment en lien avec les locataires à la question : «les journées ont-elles contribué à une meilleure compréhension des enjeux et stratégies liés à la gestion du risque et de la crise?», les participants, ont majoritairement répondu «effectivement», toutefois plus du tiers de l assistance a jugé difficile de s approprier autant d outils en si peu de temps. Ce qui confirme la nécessité de prévoir un prolongement sous forme d atelier en focus sur la maîtrise des outils de la prévention du risque. enfin, les outils et repères proposés pour faciliter la mise en œuvre d actions de prévention/ gestion du risque et de la crise, ont été jugés utiles à plus de 90%. L évaluation des séquences : ce qui a été le plus apprécié - le témoignage de la VILLE DE POINTE A PITRE sur l élaboration de son PCS - la cartographie du risque sismique et les simulations des conséquences de séismes majeurs présentés par le BRGM - les missions de l AFPS et de son groupe de travail «urgence» - la projection vidéo sur le témoignage des habitants d Aquila réalisé par CORISK INTERNATIONAL & Y. PEZET en Et aussi : - la gestion et la prévention des risques naturels, le PPRN présenté par la DDE - l information préventive/ le dispositif ORSEC, et les stratégies pour le logement social, présenté par la PREFECTURE 7

8 L appréciation sur l organisation et le déroulement des journées l organisation et le déroulement des journées a satisfait à 90% les participants, tant du point de vue de l animation, de l accueil, et plus encore au travers des échanges et des différentes interventions. Les prolongements à envisager THEMATIQUES SOUHAITEES EN CONCLLUSI ION L animation professionnelle engagée par L USHOM autour des thématiques du risque s alimentera à compter du 2 nd semestre 2010 : d un à deux ateliers thématiques à caractère opérationnel par semestre de la reconduction de journées professionnelles orientées sur la gestion de la crise au 1 er semestre 2011 de la production d un «classeur outil» à destination des bailleurs, réalisé par l USHOM, à fin la communication auprès des locataires sur la problématique du risque 2- comment organiser l information dans une démarche de prévention/gestion du risque : développer des outils pratiques d information du bailleur 3- atelier méthodologique et mise en situation dans un quartier : gestion de l urgence / gestion des secours ATELIERS PROPOSES A la question seriez-vous intéressés par un atelier sur la communication de crise, dans les mois à venir, 70% ont répondu positivement. L USHOM se propose de mettre en œuvre un atelier spécifique du type «s organiser pour gérer une crise et pour préparer son PCA - plan de continuité d activité» au début du 1 er semestre

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