La loi Hôpital, patients, santé, territoires. Un métier sur orbite. Ressources humaines. Assistant gestionnaire de pôle hospitalier

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La loi Hôpital, patients, santé, territoires. Un métier sur orbite. Ressources humaines. Assistant gestionnaire de pôle hospitalier"

Transcription

1 Ressources humaines Ce dossier Ressources humaines a été réalisé en partenariat avec la MNH Assistant gestionnaire de pôle hospitalier Licence, master, doctorat, pour quoi faire? Accueil des internes : la charte des hôpitaux publics Droits des femmes : une question d actualité dans la fonction publique hospitalière Assistant gestionnaire de pôle hospitalier Un métier sur orbite Jérôme Joubert Maître de conférences en sciences économiques, université d Avignon - jerome.joubert@univ-avignon.fr Jean-Pierre Lala Directeur d hôpital, secrétaire général du centre hospitalier intercommunal Aix Pertuis - jlala@ch-aix.fr Un nouveau profil de compétence prend place à l hôpital : l assistant gestionnaire de pôle ou cadre administratif de pôle, selon les dénominations les plus fréquentes. Les auteurs en font une «radioscopie» à partir, notamment, d une enquête réalisée auprès d une trentaine de cadres gestionnaires de pôles. Une grande variété de statuts, d origines et âges les caractérise. En croisant leur autoévaluation en matière de compétences avec les besoins qu ils expriment en matière de formation, une typologie émerge. Quatre catégories et vingt-deux compétences en ressortent. Les professionnels enquêtés apportent également un regard sur ce métier en devenir. La loi Hôpital, patients, santé, territoires (HPST) a prévu des pôles d activité dans un double souci de décloisonnement des services et de responsabilisation des acteurs. Dans un paysage hospitalier marqué par les «bureaucraties professionnelles», une nouvelle fonction s installe, celle d assistant gestionnaire de pôle. Selon la Direction générale de l offre de soins (DGOS) plus de quatre mille personnes devraient assumer ce rôle dans le futur et venir renforcer les capacités managériales et gestionnaires des pôles. Les conditions de mise en œuvre recrutement des personnes idoines, constitution du trio de pôle, conclusion de contrats et de projets de pôles, formations avancent à un rythme variable. Le centre hospitalier d Aix Pertuis (CHIAP) a mis en place depuis deux ans cette fonction. Ses équipes dirigeantes ont souhaité, dans ce contexte, observer les pratiques au sein d établissements comparables. Ce travail a été réalisé dans le cadre d un contrat de partenariat établi entre le laboratoire de recherche de l université d Avignon et la direction du centre hospitalier. Un maître de conférences en économie a été mis à disposition de l hôpital pendant six mois. Le travail a débuté par un questionnaire en ligne dont le contenu est issu de nombreux entretiens menés par l université d Avignon auprès des cadres de l administration et des chefs de pôle du CHIAP. Ce questionnaire 1 a été adressé à cinquante établissements de taille équivalente. Les CHU ont volontairement été exclus du champ de l étude en raison d un «effet taille» évident et des moyens qu ils affectent de longue date à la gestion des pôles. Cet article apporte une synthèse des résultats, notamment une photographie instantanée de la compétence «assistant de gestion de pôle». Il en tire les enseignements, notamment en termes de positionnement et de formation. Une enquête qualitative Une quinzaine d établissements ont répondu. Parmi eux, neuf ont mis en place la fonction «assistants cadre de gestion de pôle». Trente retours complets ne constituent aucunement un échantillon représentatif, mais cela permet de dresser un profil de ces agents, de leur activité, de leurs compétences et besoins en formation, parfois même de leur perception institutionnelle. 14 # 559 Juillet - Août 2014 Revue hospitalière de France

2 RESSOURCES HUMAINES La synthèse de ces questionnaires comprend quatre parties : l analyse de l identité des professionnels exerçant cette fonction, la mesure de leur place dans le pôle, de la connaissance de leurs missions et de l importance de leurs fonctions, l autoévaluation de leurs compétences et besoins en formation, l analyse de leurs commentaires libres et remarques conclusives. L identité des assistants gestionnaires de pôle Nommer, c est reconnaître et signaler. Assistants de gestion de pôle et cadres administratifs de pôle dominent l appellation attribuée à cette fonction (par la suite nous utiliserons le terme «ACG» lorsque nous parlerons des personnes remplissant cette fonction). Le terme «assistant» induit une connotation péjorative par rapport à celui de cadre, notamment dans un rapprochement avec les cadres de santé. Il semble également indiquer une orientation très forte d accompagnement du chef de pôle plutôt qu un rôle d encadrement du pôle. Le terme «contrôleur de gestion», très minoritaire, stigmatise davantage la fonction. Elle lui confère certes une compétence forte, mais représente aussi un signe d extériorité au pôle de la fonction. graphique 1 On peut se demander si cette dénomination est reliée au statut des ACG, et en particulier si les assistants sont plutôt des personnels de catégorie B, les cadres administratifs et cadres de gestion étant de la catégorie A de la fonction publique hospitalière. graphique 2 On remarque une parfaite équivalence entre les deux catégories A et B de la fonction publique hospitalière, avec une nette prédominance de la filière administrative constituée par des attachés et des adjoints. On note également, mais en nombre plus faible, des techniciens supérieurs hospitaliers et des ingénieurs. Les ACG sont essentiellement de sexe féminin et d âge extrêmement variable. Ces postes peuvent être occupés aussi bien par des personnes en fin de carrière ou en reconversion que par des débutants dans la fonction publique hospitalière. La proportion de titulaires est très importante (80 %) et le niveau de formation assez variable mais toujours supérieur à bac + 2. On ne remarque pas de liens significatifs forts entre ces quatre paramètres (âge, nom, statut, principales dénominations Graphique 1 Contrôleur de gestion Cadre de gestion Cadre administratif 9% 14% 36% statut actuel Graphique 2 TSH Adjoint cadre Ingénieur 14% 33% 10% 41% 43% Assistant de gestion 1. Questionnaire en ligne sur : https ://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey= ddb2elbynvbjoekyywlud3mtr2jtu0e6ma AAH Revue hospitalière de France # 559 Juillet - Août

3 RESSOURCES HUMAINES étude) en dehors du fait que les catégories B peuvent exercer leurs fonctions sur des postes aussi bien d assistants que de cadres administratifs. En revanche, les attachés n exercent jamais sur des postes dénommés «assistants de gestion de pôle». Cette nouvelle fonction est l occasion pour certains cadres du privé d intégrer l hôpital, à hauteur de 20 %, sur des fonctions de cadre administratif ou de contrôleur de gestion. On notera enfin que la très grande majorité des Localisation Graphique 3 À plusieurs dans les locaux de l administration 31% Seul dans les locaux de l administration 25% 6% 38% Seul et dans le pôle À plusieurs dans le pôle Relation et vie de pôle Graphique 4 4% n Peu satisfaisant n Assez satisfaisant n Très satisfaisant 60% 60% 56% 36% Relation avec le chef de pôle 8% 32% Relation avec le cadre supérieur 20% 20% Fonctionnement du trio Connaissance des périmètres d intervention Graphique 5 n À peu près n Mérite clarification n Tout à fait n Pas du tout 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0 GRH Budget Information médicale Gouvernance Risques ACG provient des directions financières. Nous le verrons plus loin, cela aura des conséquences en termes d autoévaluation des compétences et d évaluation des périmètres de responsabilité. Cette jeune fonction est occupée à près de 60 % par des agents dont l âge est compris entre 20 et 40 ans ; les plus de 50 ans ne constituent que 24 % de l échantillon. Il faudrait à nouveau croiser ces données avec celles de la qualification des agents avant d en tirer des enseignements associant jeunesse à dynamisme, maturité à expérience. Place dans le pôle et connaissance des missions En parodiant une sentence célèbre, en peut estimer qu on juge le degré d implication d un hôpital dans la gouvernance des pôles au sort qu elle réserve à ses AGC, au travers notamment de leurs appellation, mission, localisation et statut. La moitié environ des ACG exerce dans les locaux de l administration, l autre dans les pôles. En combinant cette observation avec le fait que l ACG est seul ou non, nous pouvons distinguer quatre cas. Les deux cas les plus fréquents sont : seuls dans le pôle ; avec d autres assistants dans l administration. graphique 3 Le cas où l ACG partage son bureau avec le cadre supérieur est assez rare, alors qu on pourrait conjecturer que c est théoriquement le cas le plus favorable à l émergence d une culture polaire et au fonctionnement du trio de pôle. graphique 3 La localisation des assistants n est jamais neutre : il existe souvent, sinon toujours, un lien entre la place donnée à un métier dans l édifice institutionnel et la place physique attribuée à la personne qui l incarne. L éloignement - ou à l inverse la proximité du centre décisionnel - indique de facto si une direction considère ce maillon central ou secondaire dans la chaîne décisionnelle. En outre, cette localisation semble avoir un effet sur le sentiment d appartenance. Si 60 % estiment appartenir plutôt au pôle contre 40 % plutôt aux deux (pôle et administration), 90 % des ACG localisés dans le pôle ont le sentiment d appartenir plutôt au pôle, contre seulement la moitié de ceux localisés dans l administration. Les ACG sont dans l ensemble assez ou très satisfaits de leur relation avec le chef de pôle ou avec le cadre supérieur. Seul le fonctionnement des organes du pôle pose parfois quelques problèmes. Les conflits de compétences ne semblent 16 # 559 Juillet - Août 2014 Revue hospitalière de France

4 Assistant gestionnaire de pôle hospitalier pas affecter la fonction, bien que l ancienneté assez réduite puisse expliquer cette satisfaction. graphique 4 Les différentes missions sont définies par la fiche de poste de la DGOS. On y retrouve des missions de gestion des ressources humaines (GRH), de gestion budgétaire, d information médicale, de gouvernance générale du pôle et de gestion des risques et de la qualité. La fonction étant nouvelle, on pouvait se demander si les ACG en poste avaient une connaissance plus ou moins précise de leur périmètre d intervention dans ces différents domaines. graphique 5 On remarque que les fonctions budget et gouvernance générale du pôle sont les mieux appréhendées, plus que celles de GRH et d information médicale, et beaucoup plus que celles associées à la gestion des risques et à la qualité. Concernant l importance des rôles que l ACG s attribue, on retrouve une répartition assez proche, avec l intervention en matière budgétaire désignée comme la plus prégnante. Cela n est pas sans lien avec leur origine, ni avec ce que l institution leur demande dans un premier temps. La petite variante est que l information médicale dépasse même légèrement la gouvernance, alors que le périmètre d intervention de cette fonction reste flou. Les ACG expriment le sentiment d importance d une fonction pour laquelle ils ne maîtrisent pas précisément leur rôle. Les fonctions GRH, bien qu elles constituent un «plus» par rapport au fonctionnement antérieur du pôle, ne sont presque jamais vues comme indispensables. Enfin, les domaines du risque et de la qualité restent bons derniers. Ces informations sont à rapprocher de l appréciation sur le rôle du chef de pôle jugé à 70 % assez important ou suffisant par les ACG, sauf en matière budgétaire (pas assez important : 70 %). Le profil des ACG, leur compétence et la connaissance de leurs missions les entraînent naturellement à revendiquer un élargissement de leurs missions en matière budgétaire, en termes de délégation de gestion et de contrôle. Il est possible néanmoins qu en ce domaine leurs sentiments ne soient pas toujours partagés par leurs administrations. Le montant des délégations reste effectivement assez faible, l utilité perçue des contrats de pôle reste mitigée puisque la moitié des ACG considère que c est un document à refaire ou un passage obligé de faible utilité. graphique 6 montant des délégations Graphique 6 Entre 100 et 500 K Plus de 500 K 17% 18% 65% Moins de K Impact du pôle en matière de Graphique 7 Déconcentration et efficacité de l administration Décloisonnement des services cliniques Implication des médecins dans le pilotage Mutualisation des ressources matérielles Mutualisation des moyens humains Nous avons également interrogé les ACG sur l impact positif qu ils attribuaient aux pôles dans les cinq domaines. Leur appréciation confirme que la principale utilité concerne la mutualisation des ressources humaines, un peu moins pour les ressources matérielles. graphique 7 L impact des pôles reste faible en matière de décloisonnement des services comme en matière d efficacité de l administration. 33 % 42 % 40 % 53 % 73 % Si l impact des pôles sur l implication des médecins dans le pilotage médico-économique est assez important, il reste faible en matière de décloisonnement des services comme en matière d efficacité de l administration. Cela confirme qu il existe de nombreux domaines où les progrès d une identité et d une culture polaires se heurtent à des prérogatives «jacobines» des services cliniques ou de l administration générale. Pris en tenaille entre ces deux pouvoirs, s il n élargit pas ses prérogatives en amont (direction) et en aval (service), le pôle restera essentiellement un lieu de mutualisation et de gestion d activité du personnel paramédical ainsi que du contrôle de proximité des engagements budgétaires. Revue hospitalière de France # 559 Juillet - Août

5 RESSOURCES HUMAINES Autoévaluation des compétences et besoins en formation Nous avons identifié vingt-deux compétences réparties dans trois grands domaines. Pour chacune, une autoévaluation a été demandée avec un classement en quatre niveaux : faible, assez moyen, assez bon, très bon. Les compétences en information médicale et en gestion des risques sont les plus faibles, suivies de peu par celles en GRH, rarement réputées faibles mais souvent assez moyennes. graphique 8 Ressortent des demandes assez fortes sur le cœur du pilotage médico-économique, comme les business plan ou l analyse des fuites et de l attractivité. Les compétences les plus élevées sont associées à la matière budgétaire, au contrôle de gestion et aux tableaux de bord, mais aussi à la bureautique et à la gestion de base de données (traduisant des profils d origine contrôle de gestion) et également Les vingt-deux compétences retenues Environnement de la fonction Connaissance des enjeux en termes de santé publique et d assurance maladie Appréhension du nouvel environnement hospitalier : contrats pluriannuels d objectifs et de moyens, communautés hospitalières de territoire, schémas régionaux d organisation sanitaire Procédures de certification et d accréditation Droit administratif et droit de la fonction publique Rôle et fonctions des collectivités locales Réformes et évolution de la gouvernance hospitalière Démarche qualité et gestion des risques Gestion budgétaire et médico-économique Maîtrise des outils et méthodes du contrôle de gestion Construction et interprétation de tableaux de bord Utilisation du logiciel PMSIPilot Études micro-économiques et business plan Maîtrise du recueil de l information et du codage de l activité Compréhension des processus et des parcours de soin Analyse des fuites et des facteurs d attractivité Management et compétences génériques Enjeux de la GPMC Conduite de changement Gestion de projet Motivation et gestion d équipe Gestion de base de données Recherche d information et réponses aux appels d offres Outils bureautiques divers Techniques et méthodes de communication à la gouvernance hospitalière pour des ACG à forte ancienneté hospitalière. Les faiblesses sont corrélées aux domaines de la certification des risques. graphique 8 En rapprochant cette autoévaluation avec les besoins ressentis en formation, nous obtenons la confirmation de l importance accordée à la gestion budgétaire. Il ressort des demandes assez fortes sur le cœur du pilotage médico-économique, constitué par l intersection de la gestion budgétaire et l information médicale, comme par exemple les business plan ou l analyse des fuites et de l attractivité. Des domaines où les compétences sont évaluées comme bonnes font également l objet de demandes de formation, en bureautique ou en méthodes de contrôle de gestion, attestant de la volonté de monter en compétence. En revanche, lorsque les compétences sont considérées comme faibles, certaines font néanmoins l objet de demandes de formation : la communication, la gestion d équipe et la conduite du changement. D autres en revanche n en font pas l objet, attestant du faible rôle que l AGC pense tenir dans ce domaine. Ainsi en matière de risques, de rôle des collectivités locales, ou de réponses aux appels d offres. graphique 8 En croisant l autoévaluation des compétences avec les besoins revendiqués en formation, nous pouvons construire une matrice à quatre entrées selon que les compétences sont fortes ou faibles, les besoins exprimés forts ou faibles. Nous pouvons ainsi ranger tous les domaines d intervention en quatre groupes : ceux correspondant au cœur de métier, ceux pour lesquels existe un niveau d expertise, ceux qui, nouveaux, doivent accompagner la prise de fonction et ceux enfin qui sont perçus comme hors du champ d intervention des ACG. Il s agit de la perception des ACG, sentiment qui peut être plus ou moins partagé par les directions et les responsables de formation. tableau 1 Qu en pensent les assistants gestionnaires de pôle? De nombreux espaces ont été réservés aux ACG qui souhaitaient, au-delà de l enquête quantitative, exprimer des opinions sur leur fonction et l environnement de leur fonction. Ils expriment une vision positive de l utilité de ces pôles dans le champ financier, un peu moins dans celui des ressources humaines ou de la qualité. De façon générale les personnels se disent satisfaits de leur intégration dans le pôle mais regrettent un manque de reconnaissance de leur rôle en leur sein. Celui-ci devrait prendre de l importance 18 # 559 Juillet - Août 2014 Revue hospitalière de France

6 Assistant gestionnaire de pôle hospitalier au fur et à mesure que les délégations de gestion augmenteront. Certains soulignent la position parfois inconfortable qu ils doivent tenir entre la direction et les chefs de pôles. D autres souhaiteraient travailler plus en réseaux, internes et externes, afin de favoriser la visibilité de leur mission et comparer leurs responsabilités d un établissement à l autre. La crainte de l isolement transparaît parfois, ainsi que celle d une sous-utilisation de leurs compétences. Un certain flou est perceptible sur leur rôle réel, avec des variantes assez importantes selon les types de pôle ou d établissement. Des AGC sont parfois en charge des secrétariats médicaux, ce qui demande des compétences fortes en gestion des ressources humaines et en information médicale. D autres directement et exclusivement liés à la direction financière sont essentiellement en charge du contrôle de gestion. Une demande parfois exprimée par les AGC serait de n être pas réduit à une fonction de «secrétariat» du chef de pôle, non plus qu à un rôle de «courroie» de transmission des directions fonctionnelles. Les assistants gestionnaires de pôle souhaitent accéder, au contraire, à un espace de compétences propres et d autonomie, espace accordé traditionnellement à l encadrement. Certaines de leurs observations traduisent une volonté de participer à son fonctionnement quotidien, en appui des autres membres du pôle, mais au-delà aux réflexions stratégiques sur l organisation, la qualité, l attractivité et les relations internes et externes du pôle. Répondre à ces souhaits et interrogations implique deux démarches conjointes des établissements : clarifier les fonctions des ACG en précisant les objectifs en termes de délégation de gestion et d organisation interne des pôles, voire en animant une sorte de «collège» des ACG ; mettre l accent sur le volet formation «diplômante» et qualifiante des assistants gestionnaires de pôle, de manière à valoriser et reconnaître leurs compétences. La fonction d assistant gestionnaire de pôle est nouvelle et évolutive. Elle s inscrit au cœur du pilotage des établissements et à un niveau méso-économique, et appelle de la part des dirigeants hospitaliers valorisation et reconnaissance. Le rôle et l identité des assistants gestionnaires de pôle, leur savoir-faire et savoir-être, se préciseront chemin faisant, par la combinaison de l expérience et de la formation. Il n est donc pas question, dans cette phase d élaboration de la fonction, de s en remettre aux seuls ACG et à leur conatus pour décloisonner l hôpital et consolider son pilotage. n Compétences et besoins en formation tableau 1 Compétences Fortes Besoins en formation Cœur de métier Outils et méthode du contrôle Forts de gestion, base de données, bureautique Niveau d expertise Faibles PMSIpilot, tableaux de bord, environnement hospitalier Autoévaluation des compétences et besoins en formation Graphique 8 n Compétences reconnues comme faibles n Compétences réputées bonnes ou très bonnes n Formations considérées pour l ACG comme utiles ou indispensables Enjeux santé publique Environnement hospitalier Certification accréditation Droit administratif et droit FP Rôle collectivité locale Gouvernance hospitalière Outils et méthodes gestion Tableaux de bord Utilisation PMSIPilot Business plan Codage Processus patient Analyse et fuites attractivité GPMC Conduite du changement Gestion de projet Motivation et gestion d équipe Base de données Appel d offres Bureautique Communication Gestion qualité des risque 0 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Faibles Prise de fonction Business plan, règles de codage, analyse fuites, processus patient, gestion équipe et changement, communication, droit administratif Perçue hors du champ Qualité, risques, certification appel d offres, GPMC Revue hospitalière de France # 559 Juillet - Août

CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE

CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE 1 CENTRE FORMATION CONTINUE PANTHEON-SORBONNE MASTER 2 «A.C.M.P.» «AUDIT CONTRÔLE ET MANAGEMENT PUBLIC» DIRECTEUR : Dr Farouk HEMICI E MAIL : farouk.hemici@univ-paris1.fr Madame Ilona GOBJILA Gestionnaire

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation Objectifs de la formation Les métiers Ce Master valide votre qualification professionnelle et votre aptitude à tenir les emplois de cadres et futurs cadres supérieurs dans les professions industrielles

Plus en détail

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"

Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012 Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de

Plus en détail

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue

Présentation des guides d audit et du processus d audit d un réseau académique de formation continue Décembre 2011 Inspection générale de l'administration de l'éducation nationale et de la Recherche Inspection générale de l'éducation nationale Présentation des guides d audit et du processus d audit d

Plus en détail

LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014

LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014 LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires : Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droits de l'homme de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats

ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES Analyse et synthèse des résultats Etude organisée par le service Etudes du CIFODECOM 1. INTRODUCTION 2. OBJETIF DE L ETUDE

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU

L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,

Plus en détail

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?

Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? 18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires

Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires Questionnaire sur les nouveaux rythmes scolaires Un questionnaire a été remis aux familles courant décembre avec le double objectif de relayer le ressenti des parents sur les nouveaux rythmes scolaires

Plus en détail

Licence professionnelle Automatique et Informatique Industrielle, Automation et Robotique

Licence professionnelle Automatique et Informatique Industrielle, Automation et Robotique Licence professionnelle Automatique et Informatique Industrielle, Automation et Robotique Contact Responsable de la formation Pierre LAGUILLAUMIE Tél. : 05 49 49 65 01 - Fax : 05 49 49 65 04 pierre.laguillaumie@univ-poitiers.fr

Plus en détail

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon

Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon Auditabilité des SI Retour sur l expérience du CH Compiègne-Noyon 8 avril 2015 DGOS Rodrigue ALEXANDER 1 Le CH Compiègne-Noyon Territoire de santé Oise-Est (Picardie) issu d une fusion au 1/01/2013 1195litsetplaces(MCO,SSR,HAD,USLD,EHPAD)

Plus en détail

ERP SURVEY 2014 1 ÈRE ENQUÊTE EN FRANCE AUTOUR DE LA SATISFACTION DES UTILISATEURS D ERP ET DE PROGICIELS DE GESTION

ERP SURVEY 2014 1 ÈRE ENQUÊTE EN FRANCE AUTOUR DE LA SATISFACTION DES UTILISATEURS D ERP ET DE PROGICIELS DE GESTION ERP SURVEY 2014 1 ÈRE ENQUÊTE EN FRANCE AUTOUR DE LA SATISFACTION DES UTILISATEURS D ERP ET DE PROGICIELS DE GESTION SURVEY ERP : LES OBJECTIFS Mesurer la satisfaction des utilisateurs d ERP / de progiciels

Plus en détail

Les titres (TH) inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles

Les titres (TH) inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles Les titres (TH) inscrits au Répertoire national des certifications professionnelles La Certification Professionnelle regroupe les diplômes à finalités professionnelles délivrés par l Etat, les titres élaborés

Plus en détail

Baromètre L indicateur de la franchise Caisse d Epargne

Baromètre L indicateur de la franchise Caisse d Epargne Baromètre L indicateur de la franchise Caisse d Epargne Édition 2015 SPEEDY LOGO CMJN Cyan Noir 60781 DRAGON 100% Magenta Jaune 06/10/10 Les Caisses d Epargne remercient leurs partenaires pour leur contribution

Plus en détail

Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité?

Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité? L éducation physique à l école : Le retour des maîtres d EPS, provocation ou réalité? Avril 2009 -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Organisation MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction générale de l offre de soins _ Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins _ Bureau des coopérations et contractualisations

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Masters OBSER VATOIRE. Sciences / Technologies / Santé OBSERVATOIRE CARREFOUR DES ÉTUDIANTS. Université de Limoges

Masters OBSER VATOIRE. Sciences / Technologies / Santé OBSERVATOIRE CARREFOUR DES ÉTUDIANTS. Université de Limoges Université de Limoges Masters Sciences / Technologies / Santé L'insertion professionnelle des diplômés DE Masters à l'université de Limoges Résultats par mention et par spécialité (promotion 2005-2006)

Plus en détail

2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme

2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme 2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION

ENQUÊTE DE SATISFACTION Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI)

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) AIX-EN-PROVENCE LILLE LYON ORSAY POITIERS RENNES SÉLESTAT TOULOUSE TOURS CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) la reconnaissance du musicien intervenant par

Plus en détail

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droit et gestion des finances publiques de l Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013

Plus en détail

Synthèse des formations et pratiques professionnelles en prothèse dentaire

Synthèse des formations et pratiques professionnelles en prothèse dentaire N Projet : 2011-1-FR1-LEO05-24448 Titre : Euro-DIM - Dispositif d Intégration de la Mobilité européenne pour les apprentis Ce document est le résultat du travail réalisé par les responsables pédagogiques

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Finance de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes Evaluation

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance»

«La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» «La gestion externalisée des contrats et sinistres dans l industrie de l assurance» FANAF 2014 Ouagadougou www.theoreme.fr Présentation Max de Font-Réaulx Président de la société Théorème (www.theoreme.fr)

Plus en détail

Licence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol

Licence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence Langues étrangères appliquées, spécialités anglais-espagnol Université Centre Universitaire Jean-François Champollion CUFR, Université Toulouse II -

Plus en détail

Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013

Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Comment promouvoir la place des paramédicaux dans la recherche clinique: type d activités, place et statuts, reconnaissance, formations La recherche clinique fait

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Administration et gestion des entreprises de l Université de Versailles Saint- Quentin-en-Yvelines - UVSQ Vague E 2015-2019 Campagne

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

Notice pour le contrat de professionnalisation

Notice pour le contrat de professionnalisation Notice pour le contrat de professionnalisation Avant de conclure un contrat de professionnalisation, renseignez-vous sur les règles applicables au contrat ainsi que les dispositions particulières prévues

Plus en détail

Solutions collaboratives, vidéo et développement durable Ce qu en pensent les décideurs IT. Aastra Handbooks

Solutions collaboratives, vidéo et développement durable Ce qu en pensent les décideurs IT. Aastra Handbooks Solutions collaboratives, vidéo et développement durable Ce qu en pensent les décideurs IT Aastra Handbooks Sommaire Introduction 3 Contexte 4 Méthodologie 5 Résultats de l étude 6 Conclusion 17 Glossaire

Plus en détail

Du marketing dans ma PME!

Du marketing dans ma PME! Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle

Plus en détail

Formations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Finance. Université Jean Monnet Saint-Etienne - UJM. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A)

Formations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Finance. Université Jean Monnet Saint-Etienne - UJM. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Finance Université Jean Monnet Saint-Etienne - UJM Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier Houssin,

Plus en détail

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.)

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100 Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100.01 Titre I : Dispositions générales Art. 1 - Le Diplôme Européen de Compétences Professionnelles

Plus en détail

Gestion Administration Management Droit

Gestion Administration Management Droit Gestion - Administration - Management - Droit Management et Droit Quelque soit la taille ou le développement d une entreprise, les métiers liés à la Gestion et au Management occupent une place centrale

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Finance et banque de l Université Lille 2 Droit et santé Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11 L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence

Rapport d évaluation de la licence Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence Management des organisations de l Université Paris Dauphine Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

Les Français ais et l assurance l

Les Français ais et l assurance l Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques

Plus en détail

WHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B

WHY CONSULTING. Performance Commerciale en B2B É t u d e WHY CONSULTING Performance Commerciale en B2B La performance commerciale d une entreprise est un sujet complexe qui emprunte des chemins différents selon les organisations et les marchés, car

Plus en détail

Réduire les risques en santé

Réduire les risques en santé Réduire les risques en santé «Mieux vaut penser le changement que changer le pansement» Marie-Françoise Dumay, Garménick Leblanc, Marc Moulaire, Gilbert Mounier 1 Définition du risque «Possibilité de dommage»

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

OBSTACLES À LA MOBILITÉ POUR LE MÉTIER DE MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE

OBSTACLES À LA MOBILITÉ POUR LE MÉTIER DE MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE Allemagne France Luxembourg LA RECONNAISSANCE DES QUALIFICATIONS PROFESSIONNELLES OBSTACLES À LA MOBILITÉ POUR LE MÉTIER DE MASSEUR-KINÉSITHÉRAPEUTE DÉFINITION La kinésithérapie est une profession de santé

Plus en détail

Etude sur les usages de la lecture de bande dessinée Numérique / izneo - Labo BnF

Etude sur les usages de la lecture de bande dessinée Numérique / izneo - Labo BnF Etude sur les usages de la lecture de bande dessinée Numérique / izneo - Labo BnF Table des matières Contexte...1 Sélection des participants...2 Méthodologie :...5 Questionnaire :...5 Résultats concernant

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

information L autonomie résidentielle et financière augmente avec la durée des études, les difficultés financières aussi

information L autonomie résidentielle et financière augmente avec la durée des études, les difficultés financières aussi note d information Enseignement supérieur & Recherche 14.05 JUILLET Un quart des bacheliers 2008 déclarent avoir rencontré des difficultés financières au cours de leur première année d études supérieures.

Plus en détail

PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014

PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014 PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS QUESTIONNAIRE LAP Campagne 2013/2014 La troisième édition lancée fin 2013 de la vaste enquête engagée par le Laboratoire d Analyse de la Profession du SNPCE tous

Plus en détail

BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA

BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA BUREAU DE LA SÉCURITÉ DES TRANSPORTS DU CANADA Vérification de la disponibilité d outils de travail bilingues Le 25 avril 2007 TABLE DES MATIÈRES 1. RÉSUMÉ... 2 2. CONTEXTE... 3 3. OBJECTIF ET CRITÈRES...

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE

LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Informatique de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations et des

Plus en détail

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Ingénierie mathématique de l Université d Evry-Val-d Essonne - UEVE Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations

Plus en détail

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,

Plus en détail

Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière

Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière Université Pierre Mendes France - Grenoble - UPMF Campagne d évaluation

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Philosophie, psychanalyse de l Université Paul-Valéry Montpellier 3 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?»

Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Nombre de réponses Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Erwan Le Goff Doctorant en Géographie aménagement de l espace UMR 9 CNRS Espaces

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management public de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...

Plus en détail

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.

Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En

Plus en détail

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la

Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé

Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation des masters réservés aux établissements habilités à délivrer le titre d'ingénieur diplômé Grenoble INP ENSE Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse Q0Z-Employés de la banque et des assurances Synthèse Après avoir baissé au cours de la première moitié des années 1990, les effectifs d employés de la banque et des assurances se sont ensuite stabilisés

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives

3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives 4 ème édition Paris, le 27 janvier 2012 3 ans d existence, 1 million d auto-entrepreneurs inscrits! Bilan et perspectives Les points clés Le régime de l auto-entrepreneur, un potentiel énorme de croissance

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015

Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme

Plus en détail

CoordinationNationaleInfirmière

CoordinationNationaleInfirmière CoordinationNationaleInfirmière Direction générale de l action sociale Sous-direction des institutions, des affaires juridiques et financières Bureau de la réglementation financière et comptable (5B) Circulaire

Plus en détail

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010

Référentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010 Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.

Plus en détail

Programme détaillé BTS INFORMATIQUE DE GESTION DIPLÔME D ETAT. Objectifs de la formation. Les métiers. Durée de la formation

Programme détaillé BTS INFORMATIQUE DE GESTION DIPLÔME D ETAT. Objectifs de la formation. Les métiers. Durée de la formation Objectifs de la formation Les inscriptions sont réservées aux élèves de niveau BAC ou plus, et sont ouvertes dans la mesure des places disponibles. Le Brevet de Technicien Supérieur d Informatique de Gestion

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

Enquête sur la réforme des rythmes scolaires

Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Une étude exclusive de l AMF Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Près de 4 000 communes, soit 17% des municipalités scolarisant 22% des élèves du public,

Plus en détail

FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE

FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE FILIÈRE DU NUMÉRIQUE OBSERVATOIRE DU NUMÉRIQUE : EMPLOI-FORMATION RSE Conseil d orientation pour l emploi 2 avril 2013 Michel Senaux, chargé de mission fédéral de la CFDT-F3C Jacques Fauritte, secrétaire

Plus en détail

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

La fonction publique en France

La fonction publique en France MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE édition 2013 La fonction en France Des métiers au service des citoyens les essentiels Dans la fonction, tous les agents

Plus en détail