PRESENTATION DE L AGENCE FRANCE LOCALE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PRESENTATION DE L AGENCE FRANCE LOCALE"

Transcription

1 PRESENTATION DE L AGENCE FRANCE LOCALE

2 LES OBJECTIFS L agence, fruit de la coopération des collectivités : un outil de financement né de leur volonté, piloté par elles, et au service exclusif du financement de leurs investissements.

3 Plan 1. Les objectifs" 2. Des clubs deals à l agence" 3. Un modèle qui a fait ses preuves" 4. L agence, comment?" 5. Les prochaines étapes / le calendrier

4 1 Les objectifs

5 LES OBJECTIFS 3 grands objectifs Sécurisation Accès à la liquidité maintenu en période de crise (l exemple scandinave) Diversification Un nouvel acteur complémentaire garantissant les besoins annuels des collectivités Diminution du coût Des produits simples aux marges faibles stimulant la concurrence

6 2 Des clubs deals à l Agence

7 DES CLUBS DEALS À L AGENCE 6 émissions groupées depuis émissions obligataires groupées Communautés urbaines Collectivités territoriales n 2 En attendant l Agence (44 collectivités) Volonté d élargir aux autres collectivités Collectivités territoriales n 1 22 collectivités (8 CU, 5 CA, 1 département, 3 régions, 5 villes)

8 DES CLUBS DEALS À L AGENCE L émission 2012 «en attendant l Agence» 44 collectivités : 4 régions 5 départements 8 communautés urbaines 10 communes 12 communautés d agglomération 1 syndicat de transports 610 M 15 ans in fine 4,33%

9 DES CLUBS DEALS À L AGENCE Un net accroissement du recours à l obligataire Evolution du volume d'émissions obligataires (en millions d' ) Emissions groupées Emissions stand alone Volumes en M

10 DES CLUBS DEALS À L AGENCE L intérêt à agir ensemble pour aller sur les marchés (1/2) Emissions groupées Ticket médian : 10 M Ticket moyen : 15 M Emissions stand alone Ticket médian : 50 M Ticket moyen : 78 M

11 DES CLUBS DEALS À L AGENCE L intérêt à agir ensemble pour aller sur les marchés (2/2) Des émissions qui en l état actuel ne produisent par tous leurs effets : " des volumes insuffisants pour intéresser les plus gros investisseurs (susceptibles d offrir les meilleurs taux) / faible liquidité des émissions, " handicap de notoriété (pas de présence constante sur les marchés), " lourdeur administrative limitant l accès à l obligataire à quelques grandes collectivités.

12 DES CLUBS DEALS À L AGENCE L'agence : l'aboutissement d'une démarche ancienne (1/2) Avril 2010 Réflexions au sein des collectivités : " Création d un groupe de travail : partenaires et CT de l émission 2008 " Auditions d expert : agences de notation, banques, juristes, dirigeants d agences nordiques. Conclusion favorable au projet Liens avec les services de l'etat : " Validation de Matignon et réunions avec les services (DGFIP, DGCL, AFT, DGTPE) Conclusion favorable mais nécessité de mandater une expertise pour approfondir les études Création de l'aeafcl

13 DES CLUBS DEALS À L AGENCE L'agence : l'aboutissement d'une démarche ancienne (1/2) Juillet JUIL 2013 Remise du rapport final sur la base des exigences de l Etat, de l ACPR et des consultations des agences de notation. Phase opérationnelle, études complémentaires, affinage du modèle en lien avec les services de l'etat -> structuration en deux sociétés anonymes Loi de régulation et de séparation des activités bancaires (article 35) Rapport de la Cour des Comptes favorable au projet (Gestion de la dette publique locale, Juillet 2011)

14 3 Un modèle qui a fait ses preuves

15 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES Structurellement, un modèle économique qui a fait ses preuves " les Local Governements Funding Associations (LGFA) : une famille de véhicules bien connue des marchés, dont certains membres sont centenaires ; " une structure qui n'est pas basée sur une SCF mais sur des émissions obligataires : offrir directement aux investisseurs la signature des emprunteurs ; " tirer parti de la solidité financière des CT en créant un effet de volume : les marchés apprécient le papier collectivités locales (qualité de crédit), mais les volumes émis ne sont pas toujours suffisants, " marges opérationnelles réduites au minimum (frais de structures réduits, pas d actionnaires exigeant des rendements élevés à rémunérer)

16 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES 1926 Aucun défaut constaté depuis la création des agences scandinaves

17 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES Des LGFA plus performants que les sociétés de crédit foncier Moyenne des spreads contre MS, LGFA vs. sociétés de crédits fonciers Spread contre MS (bps) maturité Linéaire (SCF ( )) Linéaire (Agences européennes ( )

18 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES Le modèle des agences de financement. Marchés financiers Se portent acquéreurs d'obligations Agence de financement Emprunt 1 Emprunt 3 Emprunt n Emprunt 2 Collectivités C 1 C 2 C 3 C n

19 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES et celui des sociétés de crédit foncier Marchés financiers Achètent des titres de créances des collectivités revendues en obligations par la société de crédit foncier Cède les créances des collectivités SCF Reverse à la banque le produit de la titrisation Verse des dividendes aux actionnaires Banque Emprunt 1 Emprunt 3 Emprunt n Emprunt 2 Collectivités C 1 C 2 C 3.. C n

20 UN MODÈLE QUI A FAIT SES PREUVES Un modèle dont la crise a démontré la pertinence " Les LGFA n ont pas souffert des crises de 1929 ou de 2008 : ils ont garanti l accès à la liquidité des collectivités sans l aide de l Etat ; " ratios Bâle III, reflux des financements bancaires, disparition de Dexia : il manque aujourd hui environ 5 milliards de financement pérennes par an pour les collectivités ; " l émergence d un nouvel acteur et l accroissement de la concurrence doit contribuer à diminuer les marges ; " une agence qui limitera volontairement ses parts de marché pour ne pas devenir prédominante.

21 4 L agence, comment?

22 DES CLUBS DEALS À L AGENCE Une structure juridique à deux étages (1/3) Un choix motivé par plusieurs impératifs : " effectuer des opérations de banque tout en rassurant les marchés et l ACPR," " rendre étanches orientations stratégiques et gestion opérationnelle," " accueillir tout type de collectivité et les rendre maîtresses de la stratégie de l Agence.

23 L AGENCE, COMMENT? Une structure juridique à deux étages (2/3) SOCIÉTÉ TERRITORIALE (SA) Propriété exclusive des collectivités : ü actionnaires à 100%, ü apport en capital initial. Structure amont : ü orientations stratégiques, ü gestion de l actionnariat, ü pilotage de la garantie AGENCE FRANCE LOCALE (SA) Personnel spécialisé Structure aval : ü application des orientations amont, ü management opérationnel de l AFL, ü financement sur les marchés obligataires / activité de crédits aux collectivités

24 L AGENCE, COMMENT? Une structure juridique à deux étages (3/3) : la gouvernance La Société Territoriale définit la stratégie Conseil d administration Conseil d orientation Direction générale 10 à 12 membres représentant le poids des différentes collectivités dans l'encours total 3 membres parmi les 50 plus grands 50 premiers apporteurs Directeur général Secrétaire général La Société Financière va sur les marchés et prête Assemblée Générale 99% Société Territoriale Présence individuelle des 10 à 12 initiaux Directoire (salariés) Président du Directoire DG Crédits aux collectivités DG Finances DG Risques Conseil de surveillance 3 à 18 membres

25 L AGENCE, COMMENT? La constitution du capital CAPITAL SOCIAL apports en capital initial des collectivités Fonds Tier I (Bâle III) RESERVES alimentation mécanique du volume de capital par intégration des résultats FONDS PROPRES (respect des ratios Bâle III)

26 L AGENCE, COMMENT? L apport en capital initial (1/3) Les apports en capital initial (ACI) des collectivités membres formeront le capital social de l Agence à sa création. Deux exigences quant aux modalités de calcul de l ACI : 1. pour être considéré comme un fond propre "Tier 1", son montant ne peut être modulé au gré des besoins annuels de la collectivité ;" 2. des règles simples, transparentes et équitables. "

27 L AGENCE, COMMENT? L apport en capital initial (2/3) L encours de chaque collectivité est le meilleur indicateur pour caractériser son recours futur à l emprunt : ACI = 0,8% x encours x I où : " l encours pris en compte est celui de l ensemble des collectivités locales, mesuré par la DGCL au 31/12/2011 (actualisation probable d ici fin 2013 avec stock au 31/12/2012, " I est l indice d évolution de l apport en capital initial commun à l ensemble des collectivités. Il vaut 1 la première année, et évoluera par la suite en fonction de l évolution du bilan (et de la valeur) de l Agence. L apport en capital initial est versé en 3 fois

28 L AGENCE, COMMENT? L apport en capital initial (3/3) L apport en capital initial ne vaut pas droit de tirage. Une analyse régulière sera menée par l Agence pour s assurer du maintien de la solidité financière de la collectivité membre. Si tel n est pas le cas, l accès au crédit pourra être suspendu temporairement. Quelques cas particuliers : pour les EPCI nouvellement créés ou fusionnés et n ayant pas pour des raisons techniques de stock de dette -> requalification du stock de dette, possibilité de déconsolider certains budgets annexes bénéficiant d autres sources de financement (BEI, CDC etc.), avec pour contrepartie de ne pas pouvoir être financés par l Agence par la suite (sauf apport en capital complémentaire), déduction du stock «PPP» si présent dans l encours (pour les collectivités concernées).

29 L AGENCE, COMMENT? Les mécanismes de garantie 1 Société Financière Enveloppes de liquidité dédiées (alimentées par des mises en réserve) 2 Société Financière Le véhicule est suffisamment capitalisé pour pouvoir honorer ses engagements pendant 1 an, y compris en cas de fermeture totale du marché 3 Collectivités membres Solidaire et limitée : chaque collectivité peut être appelée par le créancier à hauteur de son bilan dans l Agence La société territoriale, qui a apporté une garantie de premier rang à la structure aval, a la possibilité d'appeler elle-même la garantie en cas de défaut

30 L AGENCE, COMMENT? Un modèle économique simple (1/3) Objet économique : emprunts sur les marchés obligataires (long terme) ou monétaires (court terme) " financement sur les marchés, " octroi de crédit aux collectivités. Quelques principes : " des produits simples et standards, " pas de distorsion de maturité, " recours à des outils usuels et faciles à mettre en place : programmes EMTN, émissions benchmark, placements privés, éventuellement programmes de billets de trésorerie.

31 L AGENCE, COMMENT? Un modèle économique simple (2/3) Long terme (marché obligataire) Court terme (marché monétaire) 3 ans 5 ans 3 mois 10 ans Offre complémentaire neutre pour le bilan de l Agence Si in fine 7,5 ans Prêt amortissable 15 ans

32 L AGENCE, COMMENT? Un modèle économique simple (3/3) " une marge opérationnelle limitée à 70 bp les premières années, puis réduite progressivement pour atteindre 20 bp en 2028, Arbitrage entre rythme de mise en réserve et marge à déterminer par le conseil d'administration " une différenciation limitée à 16 bp en fonction de la notation interne de la qualité de crédit de la collectivité. Rating Ecart marge - 8 bp - 4 bp 0 bp +4 bp +8 bp Ces hypothèses devront être validées par l'acpr

33 5 Calendrier et prochaines étapes

34 CALENDRIERS ET PROCHAINES ETAPES 26 JUIL SEPT OCT 2013 Loi de régulation et de séparation des activités bancaires Transformation de l AEAFCL en association de préfiguration Création de l Agence France Locale L article 35 permet aux collectivités de créer une agence de financement Elle notifiera les marchés à bons de commande passés sur appel d offres pour son accompagnement externe dans la structuration opérationnelle et organisationnelle (système d information financière, organisation, agrément ACP)" et juridique" 10 à 12 collectivités " (2 départements, 1 à 2 régions et 7 communes et EPCI)" représentatives de la répartition par strates de l encours des collectivités

35 CALENDRIERS ET PROCHAINES ETAPES Le nouvel article L du CGCT créé par la loi du 26 juillet 2013 Les collectivités territoriales et les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre peuvent créer une société publique revêtant la forme de société anonyme régie par le livre II du code de commerce dont ils détiennent la totalité du capital et dont l'objet est de contribuer, par l'intermédiaire d'une filiale, à leur financement. Cette société et sa filiale exercent leur activité exclusivement pour le compte des collectivités territoriales et des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre actionnaires. Cette activité de financement est effectuée par la filiale à partir de ressources provenant principalement d'émissions de titres financiers, à l'exclusion de ressources directes de l'etat ou de ressources garanties par l'etat. Par dérogation aux dispositions des articles L à L , L , L , L , L et L , les collectivités territoriales et les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre sont autorisés à garantir l'intégralité des engagements de la filiale dans la limite de leur encours de dette auprès de cette filiale. Les modalités de mise en œuvre de cette garantie sont précisées dans les statuts des deux sociétés.

36 CALENDRIERS ET PROCHAINES ETAPES NOV 2013 début 2014 Dernier trimestre 2014 Création de la société financière Création du conseil d orientation Obtention de l agrément de l ACPR et lancement des premières émissions Recrutement des premiers personnels qui incarneront l Agence auprès de l ACPR, Travail sur la structuration opérationnelle, organisationnelle et juridique de l Agence pour l obtention de l agrément de l ACPR dans les meilleurs délais (au mieux 9 mois) Les 50 premières collectivités adhérentes prioritairement celles membres de l AEAFCL forment le conseil d orientation de la société financière. Objectif : les premiers emprunts sont servis sur le même exercice que celui du premier versement de l ACI.

37 CALENDRIERS ET PROCHAINES ETAPES Comment devient-on membre de l Agence? Demande d adhésion de la collectivité Rating interne de la collectivité (par la société financière) Inscription des crédits correspondant au versement de l ACI à prévoir au BP 2014 pour bénéficier des premières émissions de l Agence Non (<1% des cas) L Agence propose une trajectoire de redressement pour une adhésion future Des critères de rating simples, clairs, transparents et publics Rating satisfaisant Oui (>99% des cas) Validation de l adhésion de la collectivité / calcul de l ACI Délibération positive de la collectivité et versement du premier tiers de l ACI Premier prêt (de 25 à 50% des besoins réels)

CONSEQUENCES DE LA CREATION D UNE AGENCE DE FINANCEMENT DES COLLECTIVITES LOCALES

CONSEQUENCES DE LA CREATION D UNE AGENCE DE FINANCEMENT DES COLLECTIVITES LOCALES REPUBLIQUE FRANÇAISE R A P P O R T A U P A R L E M E N T F E V R I E R 2 0 1 2 CONSEQUENCES DE LA CREATION D UNE AGENCE DE FINANCEMENT DES COLLECTIVITES LOCALES 2 Sommaire 1. EVOLUTION DE L OFFRE ET DE

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Regard financier sur les petites villes (3 000 à 20 000 habitants) Juin 2014

Regard financier sur les petites villes (3 000 à 20 000 habitants) Juin 2014 ( 20 000 habitants) Juin 2014 Sommaire Les petites en France 3 Les volumes d intervention 4 Les principales ressources courantes 5-6 L épargne brute 7 Les dépenses d investissement 8 L encours de dette

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques

LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT. son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques LA CRH EST LA CENTRALE FRANCAISE DE REFINANCEMENT DU LOGEMENT son unique activité est le refinancement des prêts acquéreurs au Logement des banques 1 PRÉSENTATION DE LA CRH La CRH est un établissement

Plus en détail

Panorama financier 2 0 1 1

Panorama financier 2 0 1 1 Panorama financier 2 1 1 des communautés de communes Les communautés sont appelées à connaître dans les années qui viennent de nombreux bouleversements : effets de la réforme fiscale de 29, implications

Plus en détail

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»

L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» 193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA

Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Lignes directrices sur les modalités des interventions en prêt et en capital de la SOGEPA Les présentes lignes directrices formalisent les principes généraux de bonne gestion et de bonne administration

Plus en détail

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT Banque & Marchés Cécile Kharoubi Professeur de Finance ESCP Europe Philippe Thomas Professeur de Finance ESCP Europe TABLE DES MATIÈRES Introduction... 15 Chapitre 1 Le risque

Plus en détail

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre Département Intercommunalité et territoires 18 mars 2014 Département Administration et gestion communale Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

LES GARANTIES D EMPRUNT

LES GARANTIES D EMPRUNT LES GARANTIES D EMPRUNT (Compte 801.5) Fiche n 1 Définition Les garanties d emprunt entrent dans la catégorie des engagements hors bilan parce qu une collectivité peut accorder sa caution à une personne

Plus en détail

III.2 Rapport du Président du Conseil

III.2 Rapport du Président du Conseil III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales

Plus en détail

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012. Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique

Plus en détail

COMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE

COMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE COMMUNAUTE URBAINE de CHERBOURG CONSEIL de COMMUNAUTE Séance du 28 novembre 2013 Délibération n 2013/231 ADHESION A L AGENCE FRANCE LOCALE La capacité des collectivités territoriales à accéder au crédit

Plus en détail

SOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18

SOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18 SOMMAIRE RÉSULTATS SEMESTRIELS 2011 PRÉAMBULE 2 PERFORMANCE COMMERCIALE 6 RÉSULTATS CONSOLIDÉS 9 STRUCTURE FINANCIÈRE 13 SQLI EN BOURSE 18 STRATÉGIE & PERSPECTIVES 21 CONCLUSION 28 1 RAPPEL DU POSITIONNEMENT

Plus en détail

ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de ¼175 000 000

ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au capital de ¼175 000 000 qph 75,0(675( 5$33257'8',5(&72,5( $8&216(,/'(6859(,//$1&( &2037(675,0(675,(/6 ETABLISSEMENT DE CREDIT AGREE EN QUALI TE DE SOCI ETE FINANCIERE Société Anonym e à Directoire et Conseil de Surveillance au

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE

DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE Le Recueil des Actes Administratifs peut être consulté à l hôtel du département 52, avenue de Saint-Just - 13256 Marseille cedex 20 ATRIUM - bât. b - derrière l accueil

Plus en détail

Principes d octroi de crédit et rôle des garanties. Eric Schneider 25.01.2008

Principes d octroi de crédit et rôle des garanties. Eric Schneider 25.01.2008 Principes d octroi de crédit et rôle des garanties Eric Schneider 25.01.2008 Introduction «Mieux vaut un bon crédit en blanc qu un crédit mal garanti» Vieil adage bancaire Responsabilité Principes d octroi

Plus en détail

Emprunt Obligataire «Tunisie Leasing 2013-1»

Emprunt Obligataire «Tunisie Leasing 2013-1» EMISSION D UN EMPRUNT OBLIGATAIRE VISA du Conseil du Marché Financier : Portée du visa du CMF : Le visa du CMF, n implique aucune appréciation sur l opération proposée. Le prospectus est établi par l émetteur

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE

Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Société Générale SCF Société Anonyme au capital de 150.000.000 euros Siège social : 17 cours Valmy - 92800 PUTEAUX 479 755 480 RCS NANTERRE Rapport sur la qualité des actifs au 31 mars 2014 (Instruction

Plus en détail

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008

FAITS MARQUANTS DU 1 er TRIMESTRE 2008 SOMMAIRE Faits marquants du 1 er trimestre 2008 2 Analyse de la production Locindus au 31 mars 2008 3 Analyse des activités 4 Analyse des comptes de résultats 5 Finance et trésorerie 7 Comptes consolidés

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et intercommunalités 2013-2014 2013 : statu quo sur les équilibres financiers avant de nouveaux défis à relever L année 2013 conclut un mandat

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

Midi Capital. nouvelle gamme. produits éligibles à la réduction ISF

Midi Capital. nouvelle gamme. produits éligibles à la réduction ISF Midi Capital nouvelle gamme 2011 produits éligibles à la réduction ISF Midi Capital lance sa gamme de produits éligibles à la réduction ISF 2011 Pour la campagne ISF 2011, Midi Capital, Société de Gestion

Plus en détail

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche

Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet

Plus en détail

Réforme du Code des assurances :

Réforme du Code des assurances : Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne

Plus en détail

FRAIS DE GESTION des mutuelles

FRAIS DE GESTION des mutuelles FRAIS DE GESTION des mutuelles Juillet 2014 PARLONS-EN EN TOUTE TRANSPARENCE Pour fonctionner, toute entreprise doit consacrer des ressources à sa gestion. Les «frais de gestion» des mutuelles représentent

Plus en détail

SOMMAIRE. Bulletin de souscription

SOMMAIRE. Bulletin de souscription SOMMAIRE Flash-emprunt subordonné «Tunisie Leasing 2011-2» Chapitre 1 : Responsables de la note d opération 1.1. Responsables de la note d opération 1.2. Attestation des responsables de la note d opération

Plus en détail

«Mécanismes» et contraintes budgétaires

«Mécanismes» et contraintes budgétaires Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

Gestion de la dette et de la trésorerie

Gestion de la dette et de la trésorerie Association des maires du Territoire-de-Belfort Gestion de la dette et de la trésorerie Belfort, le 4 octobre 2012 Intervention de Patrice LALANNE Ancien conseiller du Président du Sénat Consultant formateur

Plus en détail

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E

C O M M U N I Q U É D E P R E S S E C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 30 janvier 2009 8h55 Dexia met en œuvre son plan de transformation pour consolider son redressement et devrait enregistrer

Plus en détail

CAISSE CENTRALE DU CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE 3CIF

CAISSE CENTRALE DU CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE 3CIF CAISSE CENTRALE DU CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE 3CIF Société anonyme à Conseil d administration au capital de 117 013 941 Euros Siège social : 41, avenue George V, 75008 Paris 339 350 712 R.C.S. Paris COB

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes

Plus en détail

NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)

NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats

Plus en détail

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France

CPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3

Plus en détail

LE FONDS DE GARANTIE

LE FONDS DE GARANTIE CENTRE DE RECHERCHES, D ETUDES ET D APPUI A L ANALYSE ECONOMIQUE À MADAGASCAR LE FONDS DE GARANTIE Auteur Version date Maholy RAKOTOARISOA - Assistant chercheur finale Octobre 2003 Critère de diffusion

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. Préface... Introduction... 1

TABLE DES MATIÈRES. Préface... Introduction... 1 TABLE DES MATIÈRES Préface................................................ VII Introduction........................................... 1 CHAPITRE 1. Création de valeur en matière de trésorerie........

Plus en détail

Fonds de prêts à l économie réelle

Fonds de prêts à l économie réelle Septembre 2014 Fonds de prêts à l économie réelle Chiffres clés du «prêt entre particuliers» au niveau mondial 10 8 6 4 2 0 Production annuelle de crédits pour les 5 premières plateformes de prêts (en

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013 GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité

Plus en détail

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

Les placements des organismes d assurance à fin 2012

Les placements des organismes d assurance à fin 2012 Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction

Plus en détail

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars

Plus en détail

Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008

Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008 Délibération n 2008-35 Conseil d administration de la CGLLS 33 ème séance du 17 décembre 2008 relative aux modalités d octroi des garanties accordées par la CGLLS Le conseil d'administration, Vu les articles

Plus en détail

Rapport du président du conseil de surveillance

Rapport du président du conseil de surveillance Rapport du président du conseil de surveillance Conformément aux dispositions de l'article L225-68 du Code de Commerce, l'objet de ce rapport est de rendre compte des conditions de préparation et d'organisation

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des

Plus en détail

Réforme bancaire : ce que dit le

Réforme bancaire : ce que dit le Réforme bancaire : ce que dit le projet de loi Le Monde.fr 27.11.2012 à 19h15 Mis à jour le 28.11.2012 à 07h13 Par Anne Michel Le projet de loi vise à "remédier à certaines carences du dispositif de régulation

Plus en détail

LA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE

LA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE LA CRRH-UEMOA ET LES PLACEMENTS DES COMPAGNIES D ASSURANCE Plan I. La CRRH-UEMOA : Quinze mois d activités opérationnelles II. Cadre institutionnel et organisation III. Règles d intervention : Critères

Plus en détail

PREFET DU JURA. Je vous prie de trouver ci-joint une fiche relative à ce dispositif et une annexe.

PREFET DU JURA. Je vous prie de trouver ci-joint une fiche relative à ce dispositif et une annexe. PREFET DU JURA DIRECTION DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE LA DEMOCRATIE LOCALE Bureau des Collectivités Territoriales Affaire suivie par : Jean-Michel DORNIER Tél : 03 84 86 85 37 / 38 Mél : jean-michel.dornier@jura.gouv.fr

Plus en détail

Appels à Investissement:

Appels à Investissement: Africa Label Group S.A Faire mieux. Donner plus. Appels à Investissement: ALG Academy (E-learning): $ 150,000 ImaginAfrica (Solutions TIC): $ 50, 000 Investir dans un groupe en pleine expansion. Des secteurs

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de Reprise d Activité et d Initiative Locale) a été initié fin mars 2009 par le Secrétariat d Etat chargé de l Outre-mer (SEOM),

Plus en détail

LE CASH AU CŒUR DU SYSTEME DE L ENTREPRISE

LE CASH AU CŒUR DU SYSTEME DE L ENTREPRISE LE CASH AU CŒUR DU SYSTEME DE L ENTREPRISE TOP DAF 2014 - DEAUVILLE Hervé GARABEDIAN MAI 2014 1 ANALYSE DE LA DEPENDANCE DES ENTREPRISES AUX RESSOURCES EXTERNES Hervé GARABEDIAN MAI 2014 2 DÉPENDANCE AUX

Plus en détail

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012

Benchmark sur le processus de consolidation. Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Benchmark sur le processus de consolidation Analyse portant sur les sociétés du CAC 40 Décembre 2012 Introduction La communication financière est un enjeu majeur pour l ensemble des sociétés. La volonté

Plus en détail

Communiqué de presse 5 mars 2015

Communiqué de presse 5 mars 2015 RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... 2 RAPPEL... 4 I. RECENSEMENT DES PRATIQUES DES SEIZE COMMUNAUTES URBAINES EN MATIERE DE GARANTIE D EMPRUNT...

SOMMAIRE INTRODUCTION... 2 RAPPEL... 4 I. RECENSEMENT DES PRATIQUES DES SEIZE COMMUNAUTES URBAINES EN MATIERE DE GARANTIE D EMPRUNT... SOMMAIRE INTRODUCTION... 2 RAPPEL... 4 1. DEFINITION DE LA GARANTIE D EMPRUNT ACCORDEE PAR UNE PERSONNE PUBLIQUE 2. CADRE JURIDIQUE DES GARANTIES D EMPRUNT ACCORDEES PAR DES PERSONNES PUBLIQUES 3. PRATIQUES

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE

L ESSENTIEL CARREFOUR BANQUE CARREFOUR BANQUE PLUS DE 30 ANS D EXPÉRIENCE AU SERVICE DES CLIENTS Carrefour Banque commercialise des solutions de paiement, de financement, d épargne et d assurance. Depuis le lancement de la première

Plus en détail

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008

Conférence de presse 26 février 2009. Groupe Banque Populaire. Résultats 2008 Conférence de presse 26 février 2009 Groupe Banque Populaire Résultats 2008 Avertissement Cette présentation peut inclure des prévisions basées sur des opinions et des hypothèses actuelles relatives à

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées

Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés

Plus en détail

Rapport financier semestriel. Société Anonyme au capital de 13.401.587 Euros Siège Social : 12, rue Ampère ZI 91430 IGNY 343 902 821 RCS EVRY

Rapport financier semestriel. Société Anonyme au capital de 13.401.587 Euros Siège Social : 12, rue Ampère ZI 91430 IGNY 343 902 821 RCS EVRY Rapport financier semestriel 2013 Société Anonyme au capital de 13.401.587 Euros Siège Social : 12, rue Ampère ZI 91430 IGNY 343 902 821 RCS EVRY SOMMAIRE RAPPORT SEMESTRIEL D ACTIVITE DU CONSEIL D AMINISTRATION

Plus en détail

Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011

Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011 Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations 12 Mai 2011 Sommaire I Présentation du marché des ETF II Construction des ETF III Principales utilisations IV Les ETF dans le contexte

Plus en détail

Guichet entreprises Petit déjeuner des start-up

Guichet entreprises Petit déjeuner des start-up Guichet entreprises Petit déjeuner des start-up Du rôle et de la responsabilité du Conseil d Administration de la S.A. Lausanne, le 17 janvier 2003 1 Département de l économie, Service de l Economie et

Plus en détail

GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA

GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA GESTION DES TITRES PUBLICS EN ZONE UEMOA Présenté par Mame Marie Sow SAKHO SEMINAIRE CONSUMAF 4,5 et 6 décembre 2006 1 SOMMAIRE CONTEXTE MARCHE DES TITRES PUBLICS : OBJECTIFS VISES LES DIFFERENTS TITRES

Plus en détail

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009

Actionnaires. Lettre d information. 32,6 Md. 1 Md 78,90. Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général. Chiffres clés au 31/12/2009 Numéro 42 Avril 2010 Lettre d information Actionnaires Rencontre avec Gilles Benoist, Directeur général Grâce à l ensemble de nos partenaires, nous avons développé l activité sur toutes les zones où nous

Plus en détail

Le contexte concernant la situation financière des collectivités locales et territoriales vient d être rappelé par Françoise LARPIN.

Le contexte concernant la situation financière des collectivités locales et territoriales vient d être rappelé par Françoise LARPIN. Paris, le 1 er décembre 2011 Le contexte concernant la situation financière des collectivités locales et territoriales vient d être rappelé par Françoise LARPIN. A ces contraintes budgétaires et financières,

Plus en détail

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression

Plus en détail

credit crunch ou non?

credit crunch ou non? ANALYSE FEB Financement des investissements : credit crunch ou non? Octobre 2013 8,1% II recul des investissements en comparaison avec leur niveau le plus élevé avant la crise 13,9% II l augmentation de

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de reprise d activité et d initiative locale) a été initié fin mars 2009 par Yves Jégo, secrétaire d Etat chargé de l Outre-mer

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement

Plus en détail

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014 Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013 Avril 2014 Avertissement Ce document peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie du Crédit Mutuel

Plus en détail

Communication financière

Communication financière Communication financière Résultats au 30 / 06 / 2014 COMPTES CONSOLIDES AU 30/06/2014 En application de la circulaire n 56/G/2007 émise par Bank Al Maghrib en date du 08 octobre 2007, notamment l article

Plus en détail

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion. Le Président REF. : N 1027 Poitiers, le 29 décembre 2006 Rod2-1 RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Maire, Le rapport d observations définitives sur la gestion de la commune de Saint-Sauveur-d Aunis, arrêté

Plus en détail

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015 SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M

Plus en détail

Les conditions de financement des établissements publics de santé auprès du secteur bancaire

Les conditions de financement des établissements publics de santé auprès du secteur bancaire MINISTERE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES RAPPORT N 2012 M 072 02 Les conditions de financement des établissements publics de santé auprès du secteur bancaire Établi par DIDIER BANQUY Inspecteur général

Plus en détail

ENQUÊTE ACCÈS AU FINANCEMENT

ENQUÊTE ACCÈS AU FINANCEMENT ENQUÊTE ACCÈS AU FINANCEMENT Réf : FI09AA / 000 003 183 38704 / C1G4 Pour tout renseignement concernant cette enquête, vous pouvez contacter M xxxxxxxxxx - Tél.xx xx xx xx xx - Courriel : xxxxxxxxxx@insee.fr

Plus en détail

BNP Paribas Fortis Funding (Lu) Coupon Note Flexible Funds 2022

BNP Paribas Fortis Funding (Lu) Coupon Note Flexible Funds 2022 BNP Paribas Fortis Funding (Lu) Coupon Note Flexible Funds 2022 Obligation structurée émise par BNP Paribas Fortis Funding, filiale de BNP Paribas Fortis SA (A2 / A+ / A+) Le présent document est rédigé

Plus en détail