L'eau souterraine: une ressource vitale pour l'alimentation en eau potable du monde rural
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- Juliette Pagé
- il y a 8 ans
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1 L'eau souterraine: une ressource vitale pour l'alimentation en eau potable du monde rural par Abdedaim LAHMOURI (*) RESUME L'Eau souterraineconstitueune ressourcevitalepour l'alimentation en eau potable du monderural, cecien raison de multiplesavantages qu'elle offre dont: une disponibilitésur de vastes étenduesdu territoire, aussi bien dans les zones de plaine que dans les zones en relief une disponibilitépermanente dans le temps, souvent malgré des aléas climatiquesdéfavorables une qualité meilleuresouvent à l'abri des nuisancesde surface une facilitéde mobilisationà des coûts compétitifs. D'autre part les techniquesd'approche et de mobilisation de l'eau souterraine pour l'aep rurale sont souvent simpleset utilisent des moyensd'étude et de foration (captage)à la portée de la collectivité.cependant,la miseen œuvre d'un projet d'aep rurale imposele recours à un certain nombred'actions nécessaireset qui en plus doiventêtre suffisammentcoordonnéeset concertéesentre les différentsintervenants. INTRODUCTION Le monde rural s'alimente encore essentiellement à partir des eaux souterraines (sources, puits, forages, rhettaras... ), dans des conditions plus au moins difficiles selon les régions, la répartition des populations, le niveau et l'état des équipements. Toutefois, la disponibilité de la ressource en eau surtout souterraine n'est que rarement un facteur contraignant. Par conviction, le paysan marocain a toujours eu une préférence certaine pour l'eau du puits ou de la source. Ce penchant naturel et rituel vers l'eau souterraine trouve son origine dans les différentes qualités et les multiples avantages qu'elle offre; elle constitue, en effet, une ressource bien adaptée à la satisfaction des besoins en eau potable des populations rurales. Dans la suite de l'article on s'attachera à montrer le caractère vital que l'eau souterraine représente à cet égard. UNE RESSOURCE DISPONIBLE SUR DE VASTES ETENDUES DU TERRITOIRE Le Maroc, par sa grande diversité géologique, offre une large gamme de formations où presque tous les étages géologiques sont représentés. Les grandes variétés lithologiques et stratigraphiques des constituants du sous-sol se traduisent par la présence de nombreuses formations, sédimentaires pour l'essentiel, assez perméables et poreuses en profondeur pour constituer d'importants réservoirs souterrains (fig. 1). Les zones de plaines et les grands sédimentaires bassins Les grands bassins sédimentaires, dans les zones de plaines et de plateaux renferment des réservoirs souterrains importants. Ils varient de petites nappes alluviales dans les zones littorales au Nord et au Sud à des nappes étendues, d'extensions régionales au Centre et au Sud du pays. Les études et travaux de recherche réalisés ont permis d'identifier plus de trente six nappes superficielles. Ces nappes ont fait l'objet d'études poussées de synthèse et leur connaissance se situe à un niveau relativement satisfaisant. Une approche de classification relative à l'importance des activités rurales montre que les régions les plus concentrées en peuplement rural correspondent aux zones riches en eaux souterraines; on distingue ainsi: les nappes suffi~~ment étendues, sous des zones où l'activité agricole est très développée grâce à la contribution des eaux souterraines et en partie des eaux de surface, essentiellement dans les périmètres irrigués. C'est le cas des nappes des: Béni Amir, Béni Moussa, Haouz, Souss, Rharb-R'Mell, Fès-Meknès, Tafilalet. les nappes d'extensions réduites, dans des régions où existe une forte concentration rurale en relation avec une intense activité agricole : Naîma, Triffas, Vallée du Draâ, Temara. (*) Direction de la Recherche de la Planification de l'eau 103
2 les nappes importantes assez étendues où les pompages sont en constant développement avec la mise en place de nouvelles pratiques agricoles (pivots, serres..) : nappes de Berrechid, Bahira, Angads, Régions Côtières Atlantiques,... les nappes très étendues des régions arides présentant des potentialités en eau importantes souvent de qualité médiocre: Bassin d'errachidia, Bassin d'ouarzazate, Bassin de Tiznit, Crétacé de TanTan-Laâyoune, Bassin de Guercif,... D'autre part, les investigations faites en matière d'eau souterraine ont permis aussi d'identifier une trentaine d'unités pouvant contenir un aquifère profond. Leur état de connaissance est très inégal, allant de nappes suffisamment reconnues à des niveaux supposés probablem,ent aquifères. Ces nappes d'accès difficile, en raison de leur profondeur, contribuent cependant moyennant les investissements publics nécessaires, au développement du monde rural par la création de surfaces irriguées et la mise à disposition, d'une eau potable de bonne qualité. C'est le cas des réservoirs profonds du Saîss, du Tadla, des Hauts plateaux, du Crétacé, des Provinces Sahariennes, etc. Cette approche géographique de la répartition des possibilités aquifères montre que si les zones de nappes potentielles ne couvrent que 10 à 20 % du territoire, elles renferment plus de des ressources en eaux souterraines du pays. De même, l'activité agricole étant étroitement liée à la présence d'eau, plus de 70 % des populations rurales du pays résident dans ces régions, Les zones de montagne Dans le Rif, les zones surélevées sont caractérisées par la prédominance de terrains marneux, et l'absence de réservoirs aquifères. Le peu d'eau souterraine existe dans les zones d'éboulis, de vallées et dans quelques intercalations de niveaux gréseux d'où émergent souvent de petites sources. La dorsale calcaire des montagnes du Rif fait exception par la nature de ses formations et représente le château d'eau de la région. Ses eaux contribuent de manière significative à l'alimentation des petites nappes alluviales côtières. Elle permet aussi d'offrir des eaux de bonne qualité aux populations rurales des provinces de Tétouan et Chefchaouen. Le domaine atlasique constitue l'épine dorsale du Maroc. Il est constitué pour une grande part de formations calcaires très perméables (Moyen Atlas au Nord, Haut Atlas calcaire au Sud) et pour le reste de formations peu perméables (Haut Atlas Occidental et Oriental). C'est un énorme château d'eau qui distribue ses ressources à une grande partie du pays. Dans le Sud, les zones en relief de l'anti Atlas se caractérisent par une aridité climatique associée à une géologie dans l'ensemble peu favorable à la r~gularisation naturelle des eaux souterraines. Les populations rurales dans ces régions sont très regroupées dans les zones de piémonts et dans les vallées où elles peuvent bénéficier des eaux de drainage superficiel et des écoulements souterrains dans les petites nappes alluviales. De façon générale, les structures montagneuses, riches en eau surtout au Centre et relativement stériles par ailleurs, représentent près de 40 % du territoire. Elles contiennent près de 20 % du patrimoine hydraulique souterrain. Près de 20 % de la population du monde rural vit dans ces régions avec pour activité principale l'élevage et l'agriculture dans des périmètres de petite et moyenne hydraulique. Les zones de socle Dans le centre du pays (Méseta Centrale) et au Sud (Anti Atlas et Sahara Oriental), les formations de socle (schistes, quartzites) sont prédominantes, rarement sous de faibles couvertures quaternaires. Ces zones, à faible perméabilité en petit sont le siège de réseaux de fissuration comportant parfois des écoulements souterrains non négligeables. L'EAU SOUTERRAINE: UNE DISPONIBILITE PER MAN ENTE DANS LE TEMPS La dynamique hydraulique de l'eau souterraine, caractérisée par des écoulements très lents, des stocks et des taux de renouvellement souvent importants, imprime aux réservoirs souterrains des niveaux de régularisation pluriannuels de l'eau. La vulnérabilité aux aléas climatiques est moindre même dans des conditions de sécheresse aiguë. Cependant, dans certaines régions à faibles réserves (nappes alluviales, milieu fissuré), l'impact de la sécheresse se traduit souvent par une baisse de niveaux, voire de productivité assez importante. Dans ce contexte, les populations rurales affrontent souvent des problèmes dans leur alimentation en eau potable car: Les sources qui constituent les points d'aep dans plusieurs régions tarissent vite et ne constituent 104
3 pas de ce fait une ressource sûre.. Les puits sont souvent peu profonds et ne captent que la frange supérieure de la nappe. Dans les régions à ressources abondantes, le développement de l'irrigation intensive, à partir des eaux souterraines menace de plus en plus la sécurité d'approvisionnement en eau potable du monde rural. En effet l'exploitation accrue de l'eau souterraine dans plusieurs régions (Souss, Témara, Tadla... ), se traduit par des niveaux d'eau de plus en plus profonds. Cette baisse de niveau ne peut être suivie par les paysans car les coûts d'approfondissement et d'exhaure deviennent rapidement élevés face aux possibilités des collectivités rurales. La disponibilité de l'eau potable en permanence dans les régions rurales, est un facteur de stabilité des populations et un moyen de lutte contre l'exode rural et l'encombrement des centres urbains. De ce fait tout schéma d'aménagement et d'exploitation des eaux souterraines devrait prendre en considération la garantie du service eau potable dans le milieu rural. L'EAU SOUTERRAINE: UNE QUALITE MEILLEURE SOUVENT A L'ABRI DES NUISANCES DE SURFACE Les eaux souterraines représentent pour le Maroc une ressource extrêmement importante pour son approvisionnement en eau. Exception faite des zones où la minéralisation de l'eau est parfois élevée, les eaux souterraines sont souvent de bonne qualité et peuvent être consommées directement sans nécessiter de traitements sophistiqués et onéreux. La classification basée sur des éléments de potabilité figurant sur la carte ci-jointe fait ressortir que la majorité des nappes sont de bonne qualité, une part négligeable, à la limite de potabilité, se situe dans la classe 2 (entre 2 et 5 g/l). Il existe également des parties de nappes où l'eau est impropre à la consommation. D'un autre côté, la vulnérabilité à la pollution des réservoirs souterrains est variable. Elle dépend généralement de la nature des formations de la nappe et de ses conditions aux limites (fig. 2). Ainsi les réservoirs calcaires karstifiés et les nappes alluviales sont très vulnérables à la pollution, ce qui peut entraîner des dommages graves aux eaux souterraines si les mesures adéquates de protection ne sont pas prises. La situation qualitative n'est pas inquiétante actuellement pour le monde rural. Cependant dans les zones périphériques des périmètres urbains et des centres industriels, les rejets des eaux usées et des déchets solides en pleine nature, sans traitement ou aménagement préalables, constituent un risque pour les populations situées à l'aval hydraulique. Autant que la quantité, l'aspect qualité est un facteur déterminant et limitant dans l'eau potable en milieu rural. L'inconvénient qualitatif majeur des eaux souterraines, réside dans le fait que toute contamination est souvent irréversibles ou engendre des coûts de traitements très élevés, c'est le cas des : eaux saumâtres, particulièrement dans les provinces du Sud où les teneurs en sel peuvent atteindre des valeurs excessivement élevées. nappes côtières lorsque l'exploitation entraîne l'invasion des eaux marines. non contrôlée périmètres irrigués où la remontée des niveaux entraîne une concentration de la minéralisation et où l'utilisation des engrais et des pesticides entraîne une accumulation d'éléments dangereux, les nitrates par exemple. nappes alluviales étroitement liées à un écoulement de surface véhiculant les eaux usées de centres urbains. L'EAU SOUTERRAINE : UNE FACILITE DE MOBI LISATION A DES COUTS COMPETITIFS Les eaux souterraines largement présentes dans le temps et dans l'espace, permettent un accès direct, facile et rapide à l'eau de boisson, à proximité des lieux d'utilisation, moyennant des coots relativement bas. Les profondeurs des niveaux d'eau varient en majorité entre 10 et 30 m. Sur les principales nappes connues et qui font l'objet de suivi piézomètrique régulier 50 % ont des niveaux inférieurs à 10 m, 25 % compris entre 10 et 30 m, et ont des niveaux plus profonds. Pour les nappes profondes, même si les horizons à capter sont généralement profonds, elles sont en charge et les niveaux remontent jusqu'à des faibles profondeurs ou sont parfois artésiens. Les coûts de mobilisation sont relativement faibles et souvent à la portée des populations rurales. A titre indicatif, le coût de réalisation d'un puits artisanal d'une profondeur de 10 à 30 m peut varier de 4000 DR à Dh en fonction de la nature des terrains rencontrés. Par contre, les coûts d'équipements en moyens d'exhaure (pompe manùelle, pompe solaire, groupe électrogène) sont souvent élevés et nécessitent un financement complémentaire de l'etat. D'autre part, l'habitat dans le monde rural étant souvent dispersé, la demande en eau est alors faible et à caractère ponctuel. Les moyens de mobilisation peuvent alors être simples et de coût modeste (puisage traditionnel..) Tableau no 1 : 105
4 ~O_7. /1"' ~_~-. _ _poo.a t. -oi'l -,1'". alllo.." f..ill.. Potabiliti des principales nappts au Maroc HEOITEARANEE fu.j... Ressources pottntitllu t'fi t'au souterraim par bassin hydrologiqlu!l 106
5 U SOUTERRAINE: DES AVANTAGES MAIS 5S1 DES CONTRAINTES POUR L'AEP RURALE La combinaison des différents avantages ci-dessus :~i e l'eau souterraine, une ressource attrayante pour :2Ïre face aux besoins des divers usages du milieu rural. Elle présente aussi quelques problèmes liés à des ~mraintes de connaissance d'étude et de gestion. Les techniques d'approche et de mobilisation de l'eau souterraine pour l'aep rurale La maîtrise de la connaissance des eaux souterraines est souvent le résultat d'un travail de longue haleine. Elle nécessite la mise à contribution de différents moyens techniques d'investigation, de recherche er de suivi de l'évolution quantitative et qualitative. Les techniques appliquées à cet effet, si dies ne sont pas différentes de manière générale de celles appliquées pour les études et la mobilisation des eaux souterraines, elles ont l'avantage d'être relativement plus simples et nécessitent des moyens plus légers. Cependant selon les régions deux cas extrèmes peuvent se présenter : Zone stérile en eau souterraine. Dans les zones où prédominent des formations imperméables les eaux souterraines sont souvent absentes ou en quantités très faibles. C'est le cas des régions rifaines au Nord, des rides prérifaines au centre et dans l'oriental. Cependant l'absence n'est pas toujours quasi totale les écoulements de surface, ont dans plusieurs régions favorisé la mise en place de formations alluvionnaires qui donnent naissance à des petits réservoirs soùterrains comportant des ressources en eau substantielles. Zone située dans les limites de réservoirs souterrains importants, suffisamment étudiés pour pouvoir apprécier en tout point les caractéristiques hydrodynamiques et les productivités ponctuelles. L'hydrogéologue après une étude de la région, sur la base de données déjà existantes, doit être en mesure de proposer un schéma de captage approprié pour satisfaire les besoins exprimés. Zone située.dans les régions de socle ou à structures géologiquescomplexes(milieu fissuré, zones d'altération). Ce cas de figure présente une situation relativement plus difficile où l'état de connaissance acquise de la région ne suffit pas à lui seul pour résoudre le problème. Pour cela, l'hydrogéologue met à contribution, en plus des documents déjà existants des techniques d'aide à l'exploration telles que la photo-interprétation et la géophysique pour aider à une meilleure implantation des ouvrages de reconnaissance et en cas de succès à proposer des solutions d'aménagement. Les techniques d'étude L'interprétation des photos aériennes permet avant tout de visualiser si possible des anomalies apparaissant en surface et pouvant constituer des indices de structures favorables à la présence de l'eau. Elle permet aussi de détecter les failles dans un terrain de socle et d'identifier les zones d'altération favorables. Les éléments acquis doivent bien sûr être vérifiés sur le terrain. La géophysique appliquée au milieu rural, fait appel à des moyens légers pour des déplacements courts et localisés. Cette technique permet dans les milieux discontinus de rechercher des pièges d'eau ou des zones d'écoulement préférentiel (fractures ou failles, contacts anormaux, niveaux altérés fissurés). La méthode de prospection de base reste la méthode électrique appliquée par l'intermédiaire de courts profils de résistivités, précédés et suivis par des sondages électriques effectués en petite longueur de ligne. les techniques de foration adaptées Les ouvrages de puits et le forage à l'air paraissent comme étant les techniques les plus adaptées et appropriées à la mobilisation des eaux souterraines dans le monde rural. La réalisation d'un puits est alsee lorsque les profondeurs ne sont pas importantes. Entre autres avantages, il permet l'accès à la ressource moyennant des outils très modestes (corde, dlou... ) et n'impose pas obligatoirement les moyens de pompages mécaniques. Lorsque les conditions géologiques le permettent, la technique de forage à l'air offre des avantages certains par rapport aux autres techniques en milieu rural. Son prix de revient souvent modéré, la rapidité dans l'exécution, la consommation d'eau limitée en cours de chantier et les performances actuelles atteintes en profondeur ou en diamètre de foration en font un moyen de reconnaissance apprécié. Cette technique introduite au Maroc en 1974 a permis depuis lors de réaliser plus de mètres de foration pour presque 7000 forages sur toute l'étendue du territoire. Les travaux réalisés ont en grande majorité intéressé le monde rural ou l'alimentation en eau potable des douars a été nettement améliorée dans plusieurs régions du pays. Aujourd'hui, en plus de la réalisation des forages de reconnaissance qui permettent uniquement d'appréhender la ressource, tous ceux relevés positifs sont transformés en forages d'exploitation et mis à la disposition des collectivités locales. LA MISE EN OEUVRE D'UN PROJET D'AEP RURALE L'alimentation en eau potable du monde rural est aujourd'hui l'affaire de tous. Son succès, à travers un 107
6 L'EAU SOUTERRAINE: DES AVANTAGES MAIS AUSSI DES CONTRAINTES POUR L'AEP RURALE La combinaison des différents avantages ci-dessus fait de l'eau souterraine, une ressource attrayante pour faire face aux besoins des divers usages du milieu rural. Elle présente aussi quelques problèmes liés à des contraintes de connaissance d'étude et de gestion. les techniques d'approche et de mobilisation de l'eau souterraine pour l'aep rurale La maîtrise de la connaissance des eaux souterraines est souvent le résultat d'un travail de longue haleine. Elle nécessite la mise à contribution de différents moyens techniques d'investigation, de recherche et de suivi de l'évolution quantitative et qualitative. Les techniques appliquées à cet effet, si elles ne sont pas différentes de manière générale de celles appliquées pour les études et la mobilisation des eaux souterraines, elles ont l'avantage d'être relativement plus simples et nécessitent des moyens plus légers. Cependant selon les régions deux cas extrèmes peuvent se présenter : Zone stérile en eau souterraine. Dans les zones où prédominent des formations imperméables les eaux souterraines sont souvent absentes ou en quantités très faibles. C'est le cas des régions rifaines au Nord, des rides prérifaines au centre et dans l'oriental. Cependant l'absence n'est pas toujours quasi totale les écoulements de surface, ont dans plusieurs régions favorisé la mise en place de formations alluvionnaires qui donnent naissance à des petits réservoirs souterrains comportant des ressources en eau substantielles. Zone située dans les limites de réservoirs souterrains importants, suffisamment étudiés pour pouvoir apprécier en tout point les caractéristiques hydrodynamiques et les productivités ponctuelles. L'hydrogéologue après une étude de la région, sur la base de données déjà existantes, doit être en mesure de proposer un schéma de captage approprié pour satisfaire les besoins exprimés. Zone située dans les régions de socle ou à structures géologiquescomplexes(milieu fissuré, zones d'altération). Ce cas de figure présente une situation relativement plus difficile où l'état de connaissance acquise de la région ne suffit pas à lui seul pour résoudre le problème. Pour cela, l'hydrogéologue met à contribution, en plus des documents déjà existants des techniques d'aide à l'exploration telles que la photo-interprétation et la géophysique pour aider à une meilleure implantation des ouvrages de reconnaissance et en cas de succès à proposer des solutions d'aménagement. Les techniques d'étude L'interprétation des photos aériennes permet avant tout de visualiser si possible des anomalies apparaissant en surface et pouvant constituer des indices de structures favorables à la présence de l'eau. Elle permet aussi de détecter les failles dans un terrain de socle et d'identifier les zones d'altération favorables. Les éléments acquis doivent bien sûr être vérifiés sur le terrain. La géophysique appliquée au milieu rural, fait appel à des moyens légers pour des déplacements courts et localisés. Cette technique permet dans les milieux discontinus de rechercher des pièges d'eau ou des zones d'écoulement préférentiel (fractures ou failles, contacts anormaux, niveaux altérés fissurés). La méthode de prospection de base reste la méthode électrique appliquée par l'intermédiaire de courts profils de résistivités, précédés et suivis par des sondages électriques effectués en petite longueur de ligne. les techniques de foration adaptées Les ouvrages de puits et le forage à l'air paraissent comme étant les techniques les plus adaptées et appropriées à la mobilisation des eaux souterraines dans le monde rural. La réalisation d'un p~its est alsee lorsque les profondeurs ne sont pas importantes. Entre autres avantages, il permet l'accès à la ressource moyennant des outils très modestes (corde, dlou... ) et n'impose pas obligatoirement les moyens de pompages mécaniques. Lorsque les conditions géologiques le permettent, la technique de forage à l'air offre des avantages certains par rapport aux autres techniques en milieu rural. Son prix de revient souvent modéré, la rapidité dans l'exécution, la consommation d'eau limitée en cours de chantier et les performances actuelles atteintes en profondeur ou en diamètre de foration en font un moyen de reconnaissance apprécié. Cette technique introduite au Maroc en 1974 a permis depuis lors de réaliser plus de mètres de foration pour presque 7000 forages sur toute l'étendue du territoire. Les travaux réalisés ont en grande majorité intéressé le monde rural où l'alimentation en eau potable des douars a été nettement améliorée dans plusieurs régions du pays. Aujourd'hui, en plus de la réalisation des forages de reconnaissance qui permettent uniquement d'appréhender la ressource, tous ceux relevés positifs sont transformés en forages d'exploitation et mis à la disposition des collectivités locales. LA MISE EN OEUVRE D'UN PROJET D'AEP RURALE L'alimentation en eau potable du monde rural est aujourd'hui l'affaire de tous. Son succès, à travers un 107
7 ressources en eau dont : Les études de ressources en eau Les travaux de géophysique et de forage de reconnaissance Les ouvrages d'exploitation et leur équipement Les travaux d'adduction et de distribution de l'eau Organisation de la gestion et formation C'est la phase ultime du projet, mais aussi la plus importante. La mise en place de la structure de gestion adaptée au contexte local est urie action essentielle, pour permettre de sauvegarder, protéger et entretenir les équipements réalisés et assurer' la pérennité de la desserte en eau potable. CONCLUSION L'eau étant une ressource vitale, l'homme a toujours essayé de s'en rapprocher et de s'adapter à ses contraintes. C'est ainsi qu'aujourd'hui, les zones oil les densités de population sont les plus élevées se retrouvent aux niveaux des régions aquifères présentant d'importantes potentialités en eau. A une échelle plus locale, ces concentrations de population correspondent à des lieux d'émergence de sources. Dans le passé, les moyens techniques ne permettaient pas un accès facile à l'eau en dehors de ces zones. Aujourd'hui, dans plusieurs régions la situation n'est plus la même, en raison de l'accroissement des populations et de demande en eau d'irrigation alors que les cycles de sécheresse ont influencé notablement le débit des sources. ***** Cependant, des techniques d'étude et de mobilisation des eaux souterraines se sont développées en parallèle. Cette situation, certes avantageuse, est à considérer avec ses avantages et ses répercussions. En effet, la prolifération des activités agricoles et l'intensification des prélèvements d'eau souterraine ont eu des conséquences notables. Après la disparition des résurgences (ex: du Souss), l'eau devient de plus en plus profonde et son accessibilité de plus en plus coûteuse. L'alimentation en eau potable du monde rural est donc aujourd'hui une composante essentielle dont il faut tenir compte dans le processus de valorisation et de gestion des eaux souterraines au profit du développement rural. D'autre part, le développement d'une technologie appropriée à la desserte en eau potable en milieu rural a déjà- commencé à prendre forme et doit être encouragé. Pour cela, et à la suite des études de schémas d'alimentation régionaux, provinciaux ou communaux, les travaux de mobilisation des eaux souterraines doivent être concertés entre les différents intervenants pour éviter une déperdition et une mauvaise utilisation des moyens budgétaires mobilisés. Enfin, dans plusieurs régions où la population rurale est souvent très dispersée et où aucun schéma d'alimentation collectif ne peut être envisagé, il serait utile de constituer un fonds spécial à la subvention des travaux de creusement de puits iildividuels ou d'amènagement de points d'eau existants Nb. d'habitants Profondeur * m Types d'ouvrages Volume 80 Coût 200 minimum à à hà -180 fone, d'invessement 30 exploité et entret, 20 m'/j Forage.v6" Forage.0"6" 1/2 tubé pye 4' Tableau 1 - Quelques estimations de coûts de mobilisation Nombre d'habitants desservis 120 I/j/hl - Le coût d'investissemnt est donné en 10' DH - Le coût de fonctionnement et entretien est en DH/an/foyer 109
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