DOSSIER DE PRESSE. Bilan de la délinquance en Vienne pour l année 2015

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1 DOSSIER DE PRESSE Bilan de la délinquance en Vienne pour l année 2015 le 10 février 2016 Contact presse BRIONNET Nathalie Adjointe à la Responsable du Service Départemental de Communication Interministérielle Préfecture de la Vienne - nathalie.brionnet@vienne.gouv,fr

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3 SOMMAIRE 1. LES ATTEINTES VOLONTAIRES À l INTÉGRITÉ PHYSIQUE (AVIP)... 4 A. Les violences physiques non crapuleuses...4 B. Les menaces de violence...4 C. Les violences sexuelles...5 D. Les violences faites aux femmes...5 E. Les violences physiques crapuleuses LES ATTEINTES AUX BIENS (AAB)... 6 A. Les cambriolages...6 B. Les vols liés à l automobile et aux deux-roues à moteur LES ESCROQUERIES ET INFRACTIONS ÉCONOMIQUES ET FINANCIÈRES (EIEF) LA LUTTE CONTRE LES TRAFICS ET L ÉCONOMIE SOUTERRAINE FOCUS SUR LES NEUF INDICATEURS NATIONAUX IDENTIFIES PAR LE SSMSI (Service Statistique Ministériel de la Sécurité Intérieure) Vols de véhicules (automobiles ou deux roues motorisées) Vols dans les véhicules Vols d accessoires sur véhicules Cambriolages de logements Vols sans violence contre des personnes Vols avec armes (armes à feu, armes blanches ou par destination) Vols violents sans armes Coups et blessures volontaires (sur personnes de 15 ans ou plus) Homicides (y compris coups et blessures volontaires suivis de mort) LES ACTIONS EMBLÉMATIQUES EN 2015 ET LES PERSPECTIVES D ACTIONS EN A. La prévention du basculement dans la délinquance chez les jeunes...11 B. La prévention des violences faites aux femmes et intrafamiliales...11 C. L amélioration de la tranquillité publique...12 D. La prévention du basculement dans la radicalisation...14 E. Des actions réalisées en 2015 et des pistes d actions proposées pour 2016 par les forces de l ordre...15 PAGE 3

4 La lutte contre la délinquance et la criminalité dans la Vienne relève de la Direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) et de la Gendarmerie départementale, placées sous l autorité de Mme la Préfète de la Vienne et de M. le Procureur de la République pour les affaires judiciaires. La zone de compétence de la Police nationale (ZPN) correspond schématiquement aux aires urbaines de l agglomération de Poitiers (8 communes) et de Châtellerault. La zone «Gendarmerie» (ZGN) couvre tout le reste du département. 1. LES ATTEINTES VOLONTAIRES À l INTÉGRITÉ PHYSIQUE (AVIP) faits d AVIP ont été constatés en Le nombre d'avip est en hausse par rapport à 2014 où l'on enregistrait faits, soit +11 %. Ces AVIP sont constituées essentiellement des violences physiques non crapuleuses (59%), suivies des menaces de violence (23,6%), des violences sexuelles (9,8%) et des violences physiques crapuleuses (7,3%). Le nombre de faits d AVIP élucidés par les services de police et de gendarmerie en 2015 reste élevé et s'établit à (1629 en 2014). Le taux d élucidation des AVIP est de 70%. A. Les violences physiques non crapuleuses Les violences physiques non crapuleuses constituent la majorité des AVIP : elles représentent faits et sont en hausse par rapport à 2014 (+66 faits). A noter une baisse sensible des coups et blessures volontaires, mais une hausse du nombre de victimes de violences intrafamiliales. Le nombre de faits de violences physiques non crapuleuses élucidés par les services de police et de gendarmerie en 2015 est stable : faits de ce type ont été élucidés en 2015, soit + 4 faits par rapport à Le taux d élucidation des violences physiques non crapuleuses est de 77,3%. B. Les menaces de violence Les menaces et chantages représentent 23,6% des AVIP en Une hausse de ces délits est constatée puisque 585 menaces et chantages ont été enregistrés en 2015 contre 442 en Les menaces de violence témoignent souvent d une perte de repères sociaux de leurs auteurs dont le passage à l acte est influencé par la consommation d alcool ou de stupéfiants. PAGE 4

5 C. Les violences sexuelles Les violences sexuelles représentent 9,8% des AVIP. 244 faits de violences sexuelles ont été portés à la connaissance des services de police et de gendarmerie, soit une hausse de 22 faits par rapport à Les viols et harcèlements sont en hausse sur les personnes majeures alors qu une légère baisse est à noter pour les personnes mineures. Ces violences sexuelles demeurent majoritairement des agressions perpétrées dans la sphère familiale. La plus grande vigilance des acteurs socio-éducatifs permet sans aucun doute de porter à la connaissance de l autorité judiciaire des faits qui ne l étaient pas par le passé. Il faut espérer que la mobilisation de tous les acteurs concernés contribuera pour les prochaines années à faire reculer ces violences. Le nombre de faits de violences sexuelles élucidés par les services de police et de gendarmerie en 2015 est de 187. Le taux d élucidation des violences sexuelles est de 76,6%. D. Les violences faites aux femmes En 2015, une hausse de 125 faits a été constatée (1 462 faits), notamment due à la hausse des violences sexuelles, des atteintes à la dignité, des violences et mauvais traitements. A noter que de plus en plus de victimes se déplacent pour signaler les faits. En 2015, l accent a été mis sur la formation des acteurs et les opérations de sensibilisation au sein des établissements scolaires par exemple. E. Les violences physiques crapuleuses Les violences physiques crapuleuses représentent 7,6% des AVIP. 190 faits de violences physiques crapuleuses ont été constatés en 2015 (+10% par rapport à 2014, soit +18 faits). Le nombre de faits de violences physiques crapuleuses élucidés par les services de police et de gendarmerie en 2015 est de 52 faits, soit 27,3%. A titre d exemple, les 4 vols à mains armée/armes à feu enregistrés en zone gendarmerie ont été résolus. PAGE 5

6 2. LES ATTEINTES AUX BIENS (AAB) faits d AAB ont été constatés en 2015 (+ 160 faits par rapport à 2014, soit +1 %, notamment dus à l augmentation du nombre de cambriolages (+ 323 faits) et de vols liés aux véhicules (+ 125 faits)). Cependant, on enregistre une baisse des vols sans violence (contre des personnes -149 faits et contre des entreprises ou des établissements -141 faits). Ces AAB sont constituées essentiellement des vols sans violence (82,7%). Les vols avec violence représentent 1,6% des AAB. Les vols sans violences sont constitués principalement des cambriolages (23,3%), des vols liés aux véhicules à moteur (30,4%) et des autres vols simples sans violence contre des particuliers dans des locaux privés ou publics (33,5%). Le nombre de faits d AAB élucidés par les services de police et gendarmerie en 2015 est en baisse : faits de ce type ont été élucidés en 2015, soit faits par rapport à Le taux d élucidation des AAB est en baisse et s élève désormais à près de 17 %. A. Les cambriolages cambriolages ont eu lieu au cours de l année Logements Locaux industriels et commerciaux Autres lieux (caves, cabanons de jardins, garages etc ) Les cambriolages de logements représentent 56,8% des cambriolages et 10,9% de l ensemble des AAB. 277 faits ont été élucidés en B. Les vols liés à l automobile et aux deux-roues à moteur vols liés aux véhicules à moteur ont été enregistrés au cours de l'année 2015, soit 125 faits supplémentaires par rapport à 2014 (+5%). Il s agit principalement de vols à la roulotte (47% des vols liés aux véhicules automobiles, 28,2% de vols d accessoires). PAGE 6

7 La progression du nombre de vols liés aux véhicules automobiles s'explique, d une part par la recherche de valeurs, d appareils numériques ou autres sacs à main imprudemment laissés sans surveillance dans les véhicules qui attirent la convoitise des voleurs de circonstance, et d autre part par la recherche par des équipes de malfaiteurs itinérantes d équipements ciblés. PAGE 7

8 3. LES ESCROQUERIES ET INFRACTIONS ÉCONOMIQUES ET FINANCIÈRES (EIEF) faits d EIEF ont été constatés en 2015 contre en 2014 (-7%). Ces EIEF sont constituées essentiellement des escroqueries et abus de confiance, des falsifications et usages de chèques volés et des falsifications et usages de cartes de crédit. Les escroqueries et abus de confiance recensés sont essentiellement réalisés au moyen d internet. Le développement de ce type de délinquance suit très directement celui du «e-commerce», des sites de rencontre mais bénéficie également d une vulnérabilité de victimes naïvement exposées au travers des réseaux sociaux. PAGE 8

9 4. LA LUTTE CONTRE LES TRAFICS ET L ÉCONOMIE SOUTERRAINE Les infractions relevées liées aux stupéfiants sont en recul. Saisies de produits stupéfiants Cannabis g Héroïne g Cocaïne 72 g Comprimés de drogues de synthèse La lutte contre les avoirs criminels figure parmi les priorités opérationnelles du ministre de l intérieur. La confiscation des avoirs criminels constitue un complément indispensable à la peine d emprisonnement. La saisie des avoirs criminels s est diversifiée en 2015 débordant le strict cadre du trafic des stupéfiants. Elle s est aussi déroulée dans le cadre de procédures de travail dissimulé, d outrage et rébellion, de vol par effraction et vol d accessoires. Dans la Vienne, en 2015, ont été saisis : Saisies des avoirs criminels Véhicules Biens immobiliers Saisies en numéraires et sur comptes Saisies en matériels et divers supports financiers Total PAGE 9

10 5. FOCUS SUR LES NEUF INDICATEURS NATIONAUX IDENTIFIES PAR LE SSMSI (Service Statistique Ministériel de la Sécurité Intérieure) 1. Vols de véhicules (automobiles ou deux roues motorisées) Vols dans les véhicules Vols d accessoires sur véhicules Cambriolages de logements Vols sans violence contre des personnes Vols avec armes (armes à feu, armes blanches ou par destination) Vols violents sans armes Coups et blessures volontaires (sur personnes de 15 ans ou plus) Homicides (y compris coups et blessures volontaires suivis de mort) Les chiffres présentés sur l activité des forces de sécurité retracent la partie enregistrée de la délinquance qui ne reflète pas la totalité de celle-ci. En effet, tous les faits de délinquance ne sont pas portés à la connaissance des services. PAGE 10

11 6. LES ACTIONS EMBLÉMATIQUES EN 2015 ET LES PERSPECTIVES D ACTIONS EN 2016 Le Plan Départemental de Prévention de la Délinquance (PDPD) signé le 14 avril 2014 pour 3 ans détermine les actions de lutte contre la délinquance selon trois axes principaux : Jeunes exposés à la délinquance : éviter le basculement ou l enracinement dans la délinquance, prévention de la récidive. Prévention des violences faites aux femmes, violences intrafamiliales : notamment, le développement des postes d intervenants sociaux. Tranquillité publique. Par ailleurs, l année 2015 a été particulièrement marquée par les attentats. La prévention de la radicalisation est devenue un axe fort de la prévention de la délinquance. A. La prévention du basculement dans la délinquance chez les jeunes En 2015, 364 jeunes sont entrés en service civique dans le département de la Vienne, dont 20% résident dans les quartiers prioritaires de la ville. La Vienne a un des taux les plus élevés de jeunes en service civique par rapport à la population, notamment grâce à la mobilisation des associations, du réseau des maisons de quartiers et des élus. A Poitiers, 2 jeunes ont été engagés pour prévenir les incivilités sur la voie publique en allant à la rencontre des citoyens. En 2016, l objectif est de renforcer la coordination des différents acteurs et de continuer à développer le dispositif auprès des publics exposés, notamment dans les quartiers politique de la ville mais aussi en milieu rural. En 2015, le dispositif de médiation, notamment dans les quartiers politique de la ville de Poitiers et Châtellerault, a continué à offrir des solutions aux conflits de voisinage et a contribué au développement social localisé, via des projets de prévention collectifs ou des relais spécifiques. L organisation des activités culturelles et sportives a participé à prévenir les basculements de jeunes exposés à la délinquance. B. La prévention des violences faites aux femmes et intrafamiliales - La convention relative au déploiement du dispositif «Téléphone grave danger» dans le département de la Vienne a été signée le 25 novembre PAGE 11

12 L association ADSEA-SAVI 86 a été retenue pour en assurer la gestion et accompagner les victimes à qui un TGD sera attribué par une décision du Parquet. Sur le plan technique, ce dispositif de téléassistance est un téléphone portable disposant d une touche «raccourci» préprogrammée spécifique, permettant à la victime de joindre, en cas de grave danger, un service de téléassistance, accessible 7j/7 et 24h/24. La plate-forme téléphonique est chargée de recevoir les appels et d évaluer la situation : après une levée de doute, le téléassisteur, relié par un canal dédié aux services de la police nationale et aux unités de la gendarmerie nationale, demande immédiatement l intervention des forces de l ordre. L objectif est de protéger les victimes particulièrement vulnérables au premier rang desquelles les victimes de violences au sein du couple et de viols. L enjeu est de réduire le nombre de décès au sein du couple. Depuis la signature de la convention, six téléphones ont été reçus et un téléphone a été distribué. - Un poste à mi-temps d un intervenant social a été créé au commissariat de police de Châtellerault depuis le 1 er novembre Cette création vient en complément des deux postes existants, un au commissariat de police de Poitiers et l autre en gendarmerie. Les intervenants sociaux ont pour mission d organiser l accueil et le traitement social des situations-y compris d urgence-dont les forces de l ordre ont connaissance et qui nécessitent un traitement social. En deux mois, l intervenant social au commissariat de police de Châtellerault a eu à traiter une trentaine de situations. C. L amélioration de la tranquillité publique 1 - Le dispositif «alerte commerces» mis en œuvre dans département depuis le 16 avril 2014 avec la coopération de la Chambre de Commerce et d Industrie de la Vienne a pour objectif, d une part, de garantir un traitement rapide des cas de vols à main armée ou d autres phénomènes de délinquance (filouterie, vol à l étalage, fausse monnaie ) et, d autre part, de prévenir les commerçants des risques de cambriolages par l envoi d un SMS. PAGE 12

13 Au 9 décembre 2015, l objectif fixé pour l année 2015 est atteint puisque 354 commerçants de la Vienne sont inscrits à ce dispositif d alerte. Par ailleurs, 27 alertes ont été diffusées cette année à 5200 commerçants. Ce dispositif gratuit est un réel succès en raison, notamment, de la réactivité des services de police et de l adhésion d un grand nombre de commerçants. 2 - En complément du dispositif alerte commerces», un protocole «alerte SMS contre les vols sur les exploitations agricoles» a été signé le 24 avril 2015 en partenariat avec la Chambre d Agriculture de la Vienne, la FNSEA, les Jeunes Agriculteurs, le Procureur de la République, la Gendarmerie et la Direction Départementale de la Sécurité Publique. Le dispositif «alerte-exploitations agricoles», qui fonctionne de façon similaire à l alerte SMS au bénéfice des commerçants, consiste en la diffusion d informations relatives à des faits attentant à la sécurité des biens (productions, cheptel ou matériel) et de messages de sensibilisation lors des périodes propices à la commission de certains délits. C est la Chambre d agriculture, la FNSEA86 et les JA86 qui sont chargés d assurer cette diffusion après réception du message d alerte envoyé par la gendarmerie. Le dispositif «agriculteurs vigilants» emprunte la forme d un réseau de solidarité via des chaînes de vigilance avec un agriculteur référent par zone géographique donnée. L objectif est d alerter la gendarmerie de tout événement suspect ou fait de nature à troubler la sécurité des exploitants ou de leurs biens, dans le respect des droits fondamentaux. Pendant la période estivale, une communication a été réalisée auprès de tout le réseau FNSEA 86 et JA 86 via des lettres d'informations (Flash FD + JA'Gis afin d'avertir les agriculteurs des risques potentiels liés aux vols. La Gendarmerie a communiqué à la Chambre d Agriculture les coordonnées des correspondants territoriaux de prévention de la délinquance qui sont les référents auprès des agriculteurs pour être au plus près du terrain. A ce jour, aucune alerte de vols n a été donnée sur les exploitations. 3 - Le 1 er septembre 2015, a été signé le premier protocole de «participation citoyenne» entre l Etat et la commune de Saint-Cyr. Ce dispositif a pour objectif d inciter des habitants volontaires à devenir des personnes référentes en étant attentifs aux faits inhabituels afin de le signaler aux gendarmes et vigilants sur ce qui se passe dans leur quartier et en sachant identifier les repérages afin de transmettre les informations utiles pour éviter la commission d infractions. PAGE 13

14 Ce maillage d habitants référents se fonde sur le principe de solidarité et le développement de l esprit civique. En pratique, les habitants qui constatent des évènements inhabituels transmettent aux référents identifiés des informations que ces derniers sont chargés de diffuser au correspondant territorial de la gendarmerie. Un tel dispositif qui permet de renforcer la protection des populations et des biens doit toutefois respecter les droits fondamentaux individuels et ne pas revêtir un caractère politique, racial, syndical ou religieux. A ce jour, les référents de quartier ont été identifiés et ont visité le centre opérationnel de la gendarmerie dans le cadre de la quinzaine des élus. Les premiers retours sont positifs. En 2016, de nouveaux protocoles de participation citoyenne seront signés dans le département, notamment à Thuré. D. La prévention du basculement dans la radicalisation Au niveau national, un numéro vert ( ) a été mis à la disposition des familles et des proches par le Centre national d assistance et de prévention de la radicalisation. Une campagne d affichage a été lancée par le ministère de l intérieur pour relayer l information du numéro vert et a été relayée par la préfecture. 300 affiches et dépliants ont été diffusés dans des structures accueillant du public Pour suivre au mieux les personnes signalées comme étant en voie de radicalisation ainsi que leur famille, une cellule de suivi à caractère social a été mise en place dans le département pour assurer une prise en charge adaptée à chaque situation. Une réunion hebdomadaire de suivi des personnes signalées est organisée pour assurer les échanges d informations entre les services. La préfecture organise le 15 mars 2016, une journée de formation à la prévention de la radicalisation avec des intervenants du ministère de l intérieur, à l attention des acteurs de terrain (maisons de quartiers ), des associations, des forces de l ordre, des services de l Etat, de l Education Nationale PAGE 14

15 E. Des actions réalisées en 2015 et des pistes d actions proposées pour 2016 par les forces de l ordre 1 - En zone gendarmerie Afin de lutter efficacement contre les faits de délinquance, de nombreuses actions préventives et répressives ont été menées en 2015 telles que : - la mise en place d'un Groupe d'enquête de lutte contre les cambriolages (GELAC) de niveau départemental en septembre Depuis lors, 3 individus auteurs de près d'une soixantaine de cambriolages ont été interpellés et écroués ; - la mise en place d'un détachement de surveillance et d'intervention (DSI) à 9 réservistes sur les zones les plus impactées (périphérie de l'agglomération de Poitiers) ; - le déploiement récurrent d'un dispositif de contrôle des flux, sous réquisition du Procureur, à vocation anti-cambriolage (dispositif Heure Bleue «quadrillage» du département une heure durant) ; - le renforcement des actions de prévention et de partenariat Participation citoyenne, Opération tranquillité vacances, Alerte Commerce, Alerte Agriculteurs, réserviste vigilant. En 2016, ces actions seront reconduites voire renforcées. Des crédits ont été octroyés par la direction générale pour poursuivre le déploiement du DSI à compter du 1 er janvier. En outre, la mise en œuvre de l'appui interdépartemental des patrouilles, rendu possible grâce à la géolocalisation des véhicules d'intervention, permettra de répondre encore plus rapidement aux sollicitations. 2- En zone police Les services de police ont également mis en place des dispositifs de lutte contre la délinquance avec : - le renforcement du partenariat sur la politique de la ville (collectivités locales, associations, bailleurs, polices municipales ), - la présence dans les quartiers : patrouilles, renforcement des visites de caves et parties communes, réactivité face aux actes de violence et incivilités, élucidation rapide des affaires les plus graves, PAGE 15

16 - le renforcement de la police technique et scientifique (PTS) (100% de déplacements sur les vols par effraction), - l opération «Tranquillité vacances» qui a rencontré un véritable succès, - dans le cadre du renforcement de la collaboration avec les institutions, la direction départementale de la sécurité publique s'est grandement investie en qualité de conseiller technique dans le développement de la vidéoprotection à Poitiers. En 2016, les services de police consolident leurs dispositifs de lutte contre la délinquance avec la mise en place d un plan d actions destiné à lutter contre les cambriolages, renforcent leur partenariat avec les polices municipales et renforcent la police technique et scientifique, notamment avec la création d un laboratoire interdépartemental. En outre, les actions suivantes seront poursuivies : - Continuer la campagne des "passeports internet", opérations menées en collaboration avec l'education Nationale, auprès des écoles primaires, - Continuer à assurer une présence auprès de toutes les instances de quartier, par l'intervention des chefs de secteurs et par la mission spécifique transversale confiée à l'état major, - Développer la participation des référents sûreté lors des sollicitations qui peuvent apparaître, notamment dans le cadre de l'état d'urgence, - Continuer et voire amplifier les interventions dans les établissements scolaires, des référents sécurité routière et des policiers formateurs anti-drogue. Renforcement de la PTS (100 % de déplacements sur les vols effraction) Succès de l opération «Tranquillité absences». PAGE 16

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