Conflits d intérêt. Intérêts financiers : néant. Liens durables ou permanents : néant. Interventions ponctuelles : néant. Intérêts indirects : néant

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1 Conflits d intérêt Intérêts financiers : néant Liens durables ou permanents : néant Interventions ponctuelles : néant Intérêts indirects : néant Gabriel REBOUX le

2 L ACARIEN TRANSPORTEUR D ALLERGÈNES REBOUX Gabriel, NAEGELE Alexandre, ROUSSEL Sandrine, MILLON Laurence 1 Service de Parasitologie-Mycologie CHRU de Besançon 2 UMR/CNRS 6249 Chrono-Environnement, Université de Franche-Comté, Besançon gabriel.reboux@univ-fcomte.fr 2

3 Introduction Acariens et moisissures : principaux allergènes impliqués dans l asthme allergique. 80% acariens / 20% moisissures. Cohabitation dans logements: même température & hygrométrie relation symbiotique «Vraie ou déséquilibrée» (Colloff, 2010) 3 Transport des spores : classique : flux d air et contamination extensive des surfaces par les acariens : dans les silos à grain (Hubert, 2004), Penicillium brevicompactum / Acarus siro & Tyrophagus putrescentiae; Aspergillus candidus, A. versicolor et Scopulariopsis brevicaulis / A. siro & Lepidoglyphus destructor; Cladosporium cladosporoides / Cheleytus malaccensis dans les logements (McGinnis, 2004) Rôle des acariens /transport des spores & modifications induites dans les logements

4 Quelles espèces colonisent les logements? Parmi espèces d acariens, 20 sont présentes dans les logements : Dermatophagoïdes pteronyssinus & D. farinae / literie et tapis (poussière domestique) D. pteronyssinus D. farinae Acarus siro, Lepidoglyphus destructor & Glycyphagus domesticus / réserves alimentaires L. destructor G. domesticus A. siro Parmi espèces de moisissures (et de levures) 100 sont présentes : Penicillium, Cladosporium et Aspergillus Flore fongique des logements de patients allergiques n est pas identique à celles des logements standards ou insalubres (Vesper, 2006; Reboux, 2009) 4 Rôle de : l hygiène? de la lutte anti-acariens? ventilation et aération?

5 Menu acarien: eau, champignons, squames et poils Les acariens dans leur frénésie alimentaire se frayent un chemin dans une véritable forêt microscopique d Aspergillus ou de Penicillium et se chargent de dizaines de spores. Alexandre Naegele les acariens ont été lavés par flottaison pour différencier les spores ingérées de celles transportées sur leurs corps. Des spores viables sont retrouvées dans leurs fèces et l on estime à plus de 50 spores (2 à 4 µm de diamètre) la capacité de transport d un seul acarien (250 µm de long) 5 Ils contribuent à la propagation et/ou à l élimination des moisissures.

6 Les acariens se détournent de moisissures répulsives 160 observations de D. farinae ont permis de démontrer que : D. farinae est repoussé par Stachybotrys et Aspergillus Versicolor (Naegele, 2012). Stachybotrys et A. versicolor sont connus pour leur capacité à émettre de puissantes mycotoxines. Certains individus préfèrent jeûner que de se nourrir de moisissures «répulsives». D. farinae est capable de se détourner de certaines espèces fongiques à 45 mm de distantes (soit 7 min. de déplacement). 6 Les émissions par les moisissures de COVm et de mycotoxines jouent probablement un rôle dans l effet répulsif de certaines moisissures vis-à-vis des acariens.

7 Les acariens, par leurs choix alimentaires, sélectionnent certaines espèces D. farinae est attiré par Alternaria, Cladosporium et Wallemia La taille, la résistance à la pression due à la chitine, la mélanine influent les choix de consommation de certaines spores par les acariens Alternaria alternata Les levures et certains Penicillium fournissent aux acariens des vitamines (B et D) (De S t Georges-Gridelet, 1987) 7 Aspergillus amstelodami prédigère les squames humaines et permet aux acariens d ingérer des acides gras (Van Bronswijk & Sinha, 1973) aux propriétés phéromonales (Sato et al., 1993). Pour A. siro, la consommation des moisissures favorise la libération de guanine qui joue aussi un rôle dans l accouplement des acariens. Les moisissures produisent des composés ammoniaqués qui attirent les acariens (Colloff, 2010).

8 Quelle balance entre propagation ou élimination? la consommation quotidienne de 2000 acariens /g de poussières de matelas, pourrait expliquer un déséquilibre de la flore fongique dans certains logements (sélection). L influence des acariens sur la dispersion des spores est complexe. Elle dépend de l espèce d acariens (Hubert, 2003) et de la nature des moisissures et des composés qu elles émettent (Van Asselt, 1999) La lutte contre les acariens (suppression des tapis, utilisation de housses anti-acariens) modifie l environnement intérieur des patients allergiques et a une incidence sur la composition de la flore fongique intérieure. Le bilan est probablement en faveur de la propagation. La pénurie alimentaire déclenche-t-elle des migrations dans le logement? 8

9 Les acariens féroces entre eux Les acariens présentent des tailles différentes permettant de s imposer: les Cheyletus sont des prédateurs impitoyables des Dermatophagoïdes. Dans un lit : Cheyletus et ses proies (D. pteronyssinus) dans un champ de moisissures ( Les températures jouent un grand rôle dans la vitesse de déplacement et de réaction des acariens. Une baisse de température affaiblira les capacités de défense de Dermatophagoïdes vis-à-vis d Acarus siro. 9 Le taux d humidité, la disponibilité alimentaire, la présence de substance anti-acariens modifient les potentialités de chaque espèce de prendre le contrôle de l environnement par l augmentation ou l affaissement de leur fécondité.

10 Comment quantifier les microorganismes? Prélèvement par capteurs électrostatiques de poussières - Standardisation de l échantillonnage - Commun aux acariens et aux moisissures - Peu couteux avec retour par voie postale Analyse par PCR quantitative en temps réel (QPCR) (Roussel, 2013) 10

11 Migration des acariens (Etude ICODE, soumis Indoor Air ) Objectif: Évaluer l impact du compostage intérieur sur la qualité biologique de l air des cuisines - Suivi de la contamination en micro-organismes dans l espace et dans le temps (n= 48) logements pratiquant ou non le compostage domestique Capteurs placés à 0,5 m et 3 m du bio-seau Retour des bandes de capteurs après 2, 4, 7 et 12 mois 11 Détection et quantification par qpcr - Acariens de stockage: Acarus siro - Acariens de la poussière domestique: Dermatophagoides - Moisissures: Aspergillus fumigatus, Aspergillus versicolor, Alternaria alternata, Cladosporium sphaerospermum, Wallemia sebi - Entérobactéries

12 Migration des acariens (Etude ICODE, soumis Indoor Air ) Résultats - Augmentation significative des acariens de stockage après un an *** (p<0,001) 12 - Augmentation limitée dans un espace proche du bio-seau inférieur à 0,5 m *** (p<0,001) Concentration en A. siro à 3m (log fg/µl ADN) *** Concentration en A. siro à 0.5m (log fg/µl ADN)

13 Colonisation des acariens (résultats préliminaires ACARI) Objectifs: Caractérisation de la qualité biologique de l air de logements de patients allergiques aux acariens - Moisissures et acariens présents dans 42 logements en Bourgogne et Franche-Comté - 24 logements de patients allergiques aux acariens - 18 logements de sujets non allergiques 3 capteurs placés 10 semaines - chambre (sur un meuble + sous le lit) - cuisine (sur un meuble) Détection et quantification par qpcr - Acariens de stockage: A. siro - Acariens de la poussière domestique: D. pteronyssinus, D. farinae - 10 Moisissures + Entérobactéries 13

14 Colonisation des acariens (résultats préliminaires ACARI) Résultats Apparemment les concentrations de D. pteronyssinus (NS) et de D. farinae (p<0,001) diminuent alors que, parallèlement, les concentrations d A. siro (p<0,01) augmentent chez les patients allergiques. NS 14 Ces différences pourraient être due à la «lutte/ au comportement» anti-acariens menée par les occupants dans les chambres des patients allergiques.

15 A l échelle des régions (Etude ELFE- Rocchi, Stoten 2015) 3193 logements capteurs 10 semaines dans la chambre du bébé à 2 mois. Questionnaires, QPCR 6 moisissures + 3 bactéries+ Dermatophagoïdes* 6 Profils/France 1) Très peu contaminé Profil 4 Profil 5 Profil 6 2) Bactéries 3) Bactéries + A.alternata 4) Bactéries + acarien* 5) Bactéries + acarien* + A.alternata 6) Bactéries + A.alternata

16 A l échelle des régions (Etude EBRA-Elfe- Stoten 2015) Répartition profils Sifflements Bactéries + acarien Profils Prévalences (%) Bactéries + acarien + A. alternata (Delmas,2012) Répartition des profils des 3193 logements (étude EBRA Elfe)(Rocchi, 2015) et la répartition des sifflements chez enfants (étude Delmas 2012). Quelles autres espèces d acariens dominent dans les autres régions? 16

17 Conclusion L impact relatif du transport des spores et/ou de leur consommation par les acariens devra être évalué pour d autres espèces d acariens domestiques. La prise en compte du nombre de spores transportées et du volume consommé par les acariens permettra de modéliser la progression de la contamination en acariens à l échelle d un logement. Désormais, il faudra définir les espèces et les concentrations auxquelles les patients sont réellement exposés. Au-delà des acariens, il est nécessaire de prendre en compte les interactions des micro-organismes colonisant les logements que ce soit des bactéries (actinomycètes, mycobactéries non tuberculeuses, entérobactéries) ou des moisissures. C est désormais possible en utilisant un outil de quantification commun : la QPCR. 17

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