Conflits d intérêts. Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange 23/03/2011

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Conflits d intérêts. Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange 23/03/2011"

Transcription

1 Conflits d intérêts Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange Guy Kantor et AQUILAB : Stic stéréotaxie Projet commun INCa P2E (2007 à 2010) Focus group Artiview Projets conseil régional Aquitaine Guy Kantor et Catherine Dejean David Gibon et Baptiste Germain 1

2 Plan (1) Contexte du partage en radiothérapie Exemples d échanges entre centres enseignement: Préparation à distance : Bordeaux CHU /IB et Tomothérapie Autres exemples Plan (2) Exemples d échanges entre centres : Recherche clinique Revue et expertise de plans à distance Projet Télésanté Lorraine Projet Procare Belgique Exemples Etranger Plan (3) Plan (4) Mise à disposition d outils d échanges? Dossiers contourés sur la TEP Dossiers planifiés dans un autre centre Evolution des contourages et Problématique des ré irradiations 2

3 Fil rouge Le contexte de la Radiothérapie Multiplicité des équipements...? Objectifs : Faire le choix de la technique adaptée Pouvoir utiliser plusieurs techniques Evaluer le traitement réellement réalisé Besoins : Comparer des plans de traitement Sommer des plans de traitement Reporter des plans sur «l image» du jour Problèmes : L intégration des techniques (TPS / Traitement) La temporalité (Images Traitement) L évolution (Contours Traitement) enseignement Cours nationaux Bordeaux, mars

4 Cours nationaux Cours nationaux Bordeaux, mars 2005 Bordeaux, mars 2005 INTER COMPARAISON DES CONTOURS DES VOLUMES ET DES PLANS DE TRAITEMENT Guy Kantor, Antony Chemin Pierre Aletti, David Gibon Cours National des Internes en Oncologie Radiothérapique Radio anatomie et volumes cibles en radiothérapie Institut Bergonié, mars 2005 Inter comparaison des contours et des volumes : aspects quantitatifs Rapport de volume : Cn Valeur optimale :1 Rv CR Volume correctement contouré : Cn CR Valeur optimale : 1 Vcc CR Volume supplémentaire contouré : Cn C Valeur optimale : 0 Vsc Cn Si l on définit par : Cn le contour défini par l opérateur n CR le contour de référence, la comparaison de ces deux contours peut être effectuée par les critères suivants : CR Cn CR Metz C. Basic principles of ROC analysis. Semin Nuclear Medicine 1978 ; 8 : R Vcc (VP) Cn CR Vsc Cn (FP) 4

5 Inter comparaison des contours et des volumes : aspects quantitatifs Inter comparaison des contours et des volumes : aspects quantitatifs Mesure d overlap Valeur optimale : 1 Cn C Ov Cn C R R Kelemen A et al. Elastic model based segmentation of 3D neuroradiological data sets IEEE Trans. Med. Imaging 1999 ; 18 (10) : Si l on définit par : Cn le contour défini par l opérateur n CR le contour de référence, la comparaison de ces deux contours peut être effectuée par les critères suivants : CR Cn CR Vcc (VP) Cn CR Vsc Cn (FP) Autres cours 5

6 Autres cours Enseignement Evaluation Qualitative Symposium AFCOR/Novartis Juin 2008 (Marseille) Enseignement Evaluation des pratiques Préparation à distance 6

7 Préparations à distance: exemple de la tomothérapie à Bordeaux Préparations à distance: exemple de la tomothérapie à Bordeaux Vers des plateaux techniques partagés : télépréparation Hôpital Saint André Préparation du dossier Confection contention IRM/scanner/fusion Contourage HEGP Institut Bergonié Transfert sécurisé Réception de l imagerie et des contours AQUILAB Dosimétrie Contrôle qualité patient Traitement Institut Curie Institut Bergonié CHU Saint André Bordeaux C. Dejean, A. Chemin, J. Caron, S. Belhomme, N. Nomikossof G. Kantor, P. Richaud, JP. Maire, R. Trouette Janvier 2008, journées du COL, lille 7

8 Traitement Institut Bergonié Scanner contourage Export Dicom Image Rtss Transfert sécurisé dosisoft Calcul des distributions de dose Institut Bergonié Advantage Windows Aquilab Lille Contourage Institut Bergonié Contourage CHU Saint André Scanner CHU St André Aria Eclipse Aquibase CHU St André Aquibase institut Bergonie Imagerie de préparation Contention Institut Bergonié Imagerie de préparation Contention CHU Saint André Artiview Aquilab Dosimétrie QA Institut bergonié Consultation initiale Consultation initiale étapes Pré requis, s assurer que ce qui est reçu correspond à ce qui a été envoyé Etape 1 : La formation a été partagée entre les intervenants de deux sites (médecins, physiciens, MER) Protocoles nationaux, qui permettent l uniformisation des pratiques Le matériel de contention a été harmonisé Une connexion de transfert sécurisée a été mise en place Etape 2 : Validation des transferts et de leur intégrité Bilan Co utilisation au sens littéral du terme avec une implication majeure de tous les intervenants Confort accru car chacun travaille avec ses outils habituels Plate forme ouverte permettant tout type d échanges Sécurisation des transferts 8

9 préparation à distance Commentaires Rappels DICOM Aspects légaux des hébergeurs de santé DICOM / DICOM RT Un langage commun pour communiquer DICOM Un langage commun pour communiquer Les spécificités de la Radiothérapie La mise en place d un standard DICOM RT DICOM DIgital COmmunication in Medicine - Mode de communication entre systèmes DICOM RT Format de données pour les «Objets de Radiothérapie» Contours Plans de traitement Doses, DVH Images (DRR, IP) - Format de données pour les images médicales Patient Institution Machine Conditions d acquisition... Imagerie Diagnostique Fusion Contourage Planification Images Contours Plans, Doses DRRs Traitement IPs Vérification Matrice Image Interconnexion des systèmes 9

10 DICOM RT Un lien entre les différents objets RTPlan 0..1 CT 1..n 0..n RT Struct 0..n 0..n RTDose Aspects Légaux : Hébergement et Transfert Aspects légaux - Hébergement Aspects légaux : Anonymisation? Le cadre législatif de l'activité d'hébergement de données de santé est fixé par l article L du code de la santé publique inséré par la loi n du 4 mars 2002, dite loi «Kouchner». La loi définit l hébergement comme le «[...] dépôt des données de santé à caractère personnel, recueillies à l occasion des activités de prévention, de diagnostic ou de soins, auprès des personnes physiques ou morales agréées à cet effet [...]». Une entité est soumise à l obligation d être hébergeur agréé dès lors qu'elle conserve des données de santé de personnes pour lesquelles elle n intervient pas dans la prise en charge médicale. Un établissement de santé ou un professionnel de santé n est pas soumis à la procédure d agrément pour héberger les données de santé des patients pour lesquels il intervient dans des activités de prévention, de diagnostic ou de soins. L activité d hébergement recouvre plusieurs réalités : elle peut consister en une application associant traitement et archivage des données. Il peut aussi s agir d un simple archivage ou de la fourniture d un site de sauvegarde. Pour exercer son activité, l hébergeur doit démontrer sa capacité à mettre en œuvre une politique de sécurité et de confidentialité renforcée, en vue de l obtention d un agrément pour l hébergement des données de santé à caractère personnel. L'article L du code de la santé publique définit les sanctions encourues par une personne physique ou morale qui exercerait une activité d'hébergement de données de santé sans être agréée comme suit : «[...] La prestation d'hébergement de données de santé recueillies auprès de professionnels ou d'établissements de santé ou directement auprès des personnes qu'elles concernent sans être titulaire de l'agrément prévu par l'article L ou de traitement de ces données sans respecter les conditions de l'agrément obtenu est puni de trois ans d'emprisonnement et de euros d'amende. [...]». Une donnée anonymisée ou cryptée permet elle de se passer d un agrément d hébergeur? [ ] L anonymisation peut être irréversible [ ]. Le contrôle de la CNIL porte alors sur la technique d anonymisation retenue. L anonymisation peut aussi être réversible. Dans ce cas, la base de données reste soumise au contrôle de la CNIL et si elle est hébergée, à la nécessité d obtenir pour l hébergeur un agrément au titre du décret du 4 janvier Le chiffrement est une technique qui consiste à rendre illisible un document pour celui qui ne détient pas la clef de déchiffrement. [ ] Mais, le chiffrement ne remet pas en cause le statut de la donnée au regard de la loi Informatique et Libertés. En conséquence, une base de données chiffrées reste soumise au contrôle de la CNIL et si elle est hébergée, à la nécessité pour l hébergeur d obtenir un agrément, nonobstant le caractère directement ou indirectement nominatif des données concernées 10

11 Aspects légaux : Durée? Aspects légaux L hébergeur de santé a les contraintes suivantes : A partir de quelle durée de conservation des données de santé à caractère personnel un prestataire de service est-il considéré comme hébergeur? L'article 4 de la loi n du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, établit que les dispositions de cette loi «ne sont pas applicables aux copies temporaires qui sont faites dans le cadre des activités techniques de transmission et de fourniture d'accès à un réseau numérique, en vue du stockage automatique, intermédiaire et transitoire des données et à seule fin de permettre à d'autres destinataires du service le meilleur accès possible aux informations transmises». Si on transpose cette exclusion au contexte de l'agrément des hébergeurs de données de santé à caractère personnel, les prestataires qui proposent des services de type réseau de télécommunication, pour lesquels la durée du stockage des informations est limitée à la traversée des équipements actifs des réseaux sans mise en œuvre de traitement de niveau applicatif, ne sont pas considérés comme entrant dans le champ de la procédure. La prohibition de l utilisation à des fins commerciales l article L du Code de la santé publique précisant que, «sont interdite la constitution et l utilisation à des fins de prospection ou de promotion commerciales de fichiers composés à partir de données issues directement ou indirectement des prescriptions médicales ou des informations médicales mentionnées à l article L dès lors que ces fichiers permettent d identifier directement ou indirectement le professionnel prescripteur». La garantie d un droit d accès Les hébergeurs doivent garantir aux personnes dont les données sont stockées un droit d accès qui s inscrit dans les principes généraux déjà évoqués et qui s exerce dans les conditions spécifiques aux données médicales définies à l article L du Code de la santé publique L obligation de sécurité et de confidentialité (Les hébergeurs sont donc, au même titre que les professionnels, astreints au secret dans le cadre des dispositions des articles et du Code pénal) Les hébergeurs doivent prendre des précautions techniques pour assurer la sécurité des données et garantir qu elles ne soient pas communiquées à des personnes non autorisées Lorsqu il est mis fin à l hébergement, l hébergeur doit restituer les données, sans garder de copie, au professionnel, à l établissement ou à la personne concernée ayant contracté avec lui. Exemple d Hébergement Hébergeurs agréés Liste des hébergeurs (12) agréés de données de santé (mise à jour - 7 février 2011) Exemple d hébergeur (CARESTREAM) : Données stockées sur deux serveurs avec duplication temps réel des disques dur (ex: RAID1 ou RAID5), distants de plusieurs kilomètres. Source : CARESTREAM ems 2CSI : hébergement de données de santé via ses progiciels fonctionnant sur son système d information ERP Sano. AATLANTIDE : hébergement de données de santé via son service Acteur.fr. Carestream : hébergement de données de santé via une solution de traitement et de partage de données d imagerie médicale : HIM (Hébergement d Imagerie Médicale). Cegedim : hébergement de données de santé à caractère personnel gérées via le service d hébergement HDS et la solution GRS Cegedim permettant la mise en partage d informations médicales. CERNER : hébergement de données de santé gérées via son progiciel Millennium. CHU de Nice : agréé pour l hébergement de données de santé via l application e-nadis. CIS Valley : hébergement de données de santé par les applications de ses clients : «solution d hébergement infogérance secours». EMOSIST-FC : hébergement d applications et de données de santé du GCS EMOSIST-FC, pour son service Dossier Médical Partagé de Franche-Comté. GRITA SAS : hébergement de données de santé via sa solution RADOFFICE offrant le service PACS : archivage ; ainsi que transmission d images et le service SIR : Système d Information Radiologie. Grita SAS : hébergement de données de santé collectées par les applications de ses clients via son service Host Medical Externalisation. H2AD : hébergement de données de santé collectée via la solution «Dossier Patient Participatif» (D2P), service web de mise en partage de données de santé. IDS : hébergement de données de santé par les applications métier de ses clients permettant la mise en partage de données de santé et pour l application Pardosan fournie par IDS. ORANGE BUSINESS : hébergement de données de santé via son service «solution santé» pour des applications gérées et administrées directement par le client. SANTEOS DMPR : hébergement du dossier médical régional partagé SANTEOS DP : hébergement du dossier pharmaceutique. SANTEOS DMPv1 : Le groupement Santéos, Atos Worldline, Extelia est agréé pour l hébergement du dossier médical personnel. SIB : hébergement de données de santé gérées via la solution applicative ALFA-LIMA qui apporte aux clients des fonctionnalités de gestion «métiers». SIGEMS : hébergement de logiciels de type Dossier Médical électronique; ainsi que pour l hébergement de données de santé avec fourniture de logiciels de la famille SIGEMS. Source : ASIP Santé

12 Exemples d échanges entre centres : Recherche clinique : Revue et expertise de plans à distance Exemple d échange entre centres recherche clinique 12

13 Choix des indices apport ICRU 83 Recherche clinique Commentaires Choix des indices aspects qualitatifs et quantitatifs Volumes cibles (traitement) et Organes à risque (toxicité) Volumes cibles CTV OAR foie Rein g 13

14 Dose distribution comparison French Pediatric Group Study Comparaison des traitements en Tomothérapie hélicoidale: exemples des sarcomes Guy Kantor, Emilie Amsellem, Catherine Dejean 14 journées du Centre Oscar Lambret Lille,30 janvier 2009 Courtesy French Radiotherapy Pediatric Group Tableau récapitulatif sur les index sélectionnés gk ea cd 29 janv 2009 Index concernant le volume cible Nom de l'index Indice Définition de l'index Référence écart type en dose dans le PTV D(j): dose relative dans le voxel j ; Dmoy: dose moyenne relative dans la lésion ; VL: volume ICRU à paraitre lésionnel Conformity Index TV/PTV ICRU à paraitre Conformité Dice Similarity Coefficient D 50% (médian) Dose D 95% TV PTV TV PTV PTV TV PTV ICRU à paraitre TV PTV Rapport ICRU 83 D mean ICRU à paraitre Near minimum dose D 98% Near maximum dose D 2% Index concernant les organes à risques Nom de l'index Indice Définition de l'index Référence Prescribing, Recording and Reporting Photon Beam Intensity Modulated Radiation Therapy Dans le prochain ICRU, une différence est faite entre deux types d'oar: organes "parallèles" et organes "séries" Que peut on en attendre? organe "série" organe "parallèle" Conformal Index V COIN V Near maximum dose D98% Dmean OAR, DL facteur COIN pour un seul organe OAR Baltas D. Int J Radiat Oncol Biol Phys 1998;40: ICRU à paraitre Catherine Dejean Centre Antoine Lacassagne, Nice dose dose dans un volume 16 èmes Journées de Radiothérapie du Centre Oscar Lambret, Lille, Janvier

15 Considérations particulières (dose absorbée, prescription, cr) Il convient de rapporter les HDV du PTV et du CTV Ecart important entre les 2 HDV : fort gradient entre les 2 volumes PTV : D 98%, D 95%, D 50%, D 2% CTV : D 50%, D 2% volumes cibles Niveau 3 : en développement, poursuivre les investigations Homogénéité Moyenne et son écart type associé Dnearmax Dnearmin HI D50%, D50% dose de prescription, (valeur optimale 0) Conformité du volume traité Indice de conformité : volume traité/volume du PTV TV PTV DICE TV PTV Comparaison HDV : écarts types RC3D RCMI TOMO RC3D RCMI TOMO RC3D RCMI TOMO RC3D : 1,9 RCMI : 1,8 TOMO : 1,2 RC3D : 5,4 RCMI : 5,7 TOMO : 0,8 RC3D : 2,9 RCMI : 3,1 TOMO : 0,8 Cas 1: loge des adducteurs Cas n 2: loge postérieure Cas n 3: loge antérieure TV (volume traité) Définition des volumes Isodose spécifique déterminée par le radiothérapeute pour obtenir l éradication tumorale sans trop de complication Protons 98% 95%? Évolue avec les techniques Important d identifier la forme, la taille et la localisation du volume traité par rapport au PTV, notamment pour évaluer les éventuelles récurrences. Recommandation : isodose 98% pour définir le volume traité 15

16 Organes à risque Expertise de plans à distance OAR et PRV: Parallèle : Dose moyenne, au minimum un point dose volume (V D ) Série : D nearmax =D 2% Expertise Contourage Projet PROCARE Expertise Dose Projet TéléSanté Lorraine Objectifs RT : Vérification du contourage du volume cible et des organes à risques dans le cancer du rectum Evaluation dans le temps des modifications apportées Imagers Site TéléSanté RT P2E AQUILAB 1 CT + RT TPS RT Dose Objectif : L échange de données dans le cadre du Cyberknife 1 - Un site TéléSanté envoi un dossier technique contenant les images, les contours et la dosimétrie réalisable sur le site 2 - Le CAV de Nancy récupère ces informations Bilan : 435 patients revus fin Février 2011 Etudes en cours sur les modifications apportées Serveur sécurisé AQUILAB 2 CT + RT CAV Nancy P2E AQUILAB 5 RT Dose Le dossier est planifié dans le TPS Cyberknife sur la base des images et des contours provenant du site 4 - La dosimétrie Cyberknife est comparée avec la dosimétrie «locale» pour évaluer l intérêt de traiter le patient au CyberKnife CAV Nancy TPS Accuray 16

17 Revue et expertise de plans à distance commentaires Expertise ou partage? validations et Indicateurs d alerte? Validation des traitements Expertise en imagerie transfert de competences Echange entre Centres : Expertise en Imagerie Exemple du PET 17

18 PET in Radiotherapy Lung Teaching Course PET in Radiotherapy H&N Teaching Course CT Contouring CT/MR Contouring KI = 0.12 KI = 0.28 CT/PET Contouring CT/PET Contouring KI = 0.34 KI = 0.36 Courtesy Dr. Ursula NESTLE University Hospital Freiburg ESTRO / EANM educational seminar on PET in Radiation Oncology Vienna, Austria, November 2009 Courtesy Dr. Wouter VOGEL Netherlands Cancer Institute Amsterdam ESTRO / EANM educational seminar on PET in Radiation Oncology Vienna, Austria, November 2009 PET in Radiotherapy Real situation Image Registration Impact on GTV delineation? CT/PET in Nuclear Medicine Simulation CT in Radiotherapy Registration between CTs Contouring on fused PET/ CT Sim Nuclear Medicine PET CT Radiation Therapy CT CT PET CT Nuclear Medicine Radiation Therapy Original automatic Registration between CT (PET) and Planning CT Manual modification of the proposed Fusion Creation of automatic GTV on PET (40% max ) Compare these automatic GTVs on Planning CT ESTRO / EANM educational seminar on PET in Radiation Oncology Vienna, Austria, November

19 Image Registration Impact on GTV delineation? Projet TéléSanté Lorraine Un exemple de travail collaboratif Installation de stations ARTIVIEW dans les centres de Lorraine Services de Radiothérapie Service de Médecine Nucléaire du CHU de Nancy CHU de Nancy Radiothérapie Imagerie PET/CT et Contourage Transfert sécurisé et crypté DICOM 3 + RTSS Revue du contourage Serveur AQUILAB 3 Planning ESTRO / EANM educational seminar on PET in Radiation Oncology Vienna, Austria, November Plus de 100 dossiers transférés - Un travail en cours pour offrir un environnement de contourage adapté aux Médecins Nucléaires et aux Radiothérapeutes Echange entre Centres Transfert de compétence Echange entre Centres : Transfert de compétences Through this program, D3 s physics staff will review treatment plans prepared by your staff. Our staff will subsequently identify opportunities for improving the plan from a contouring or optimization standpoint

20 Évolutions des contourages et problematique des ré irradiations Recalage et seuillage automatiques Bénédicte Henriques de Figueiredo Guy kantor 22 septembre 2010 Evaluer la variation tumorale Essai en T1 recalage et seuillage T1 IRM sept 2009 Flair T1 IRM octobre2010 Flair 20

21 Comparaisons volumes Superpositions T1 Des évolutions 21

22 Sommation de plans Utilisation du DICOM RT Plan 1 RT Plan n DICOM / DICOM RT Exemple de la sommation dosimétrique CT CT T 1..n 0 1..n RT Structures RT Structures n n 0..n RT Dose RT Dose T n 0..n RT Plan Plan 2 CT Sommation de plans Exemple de réirradiation Cyberknife Accumulation de Dose Besoin spécifiques de fusion élastique RT 3D Cyberknife RT 3D + Cyberknife T1 T1 D1 Non Rigid Registration D2 T2 Différentes Images Différentes tailles de matrice Différents volumes T2 Dose (Voxel Rectum)=D1+D2 Cumulative DVH Courtesy Centre Oscar Lambret - Lille 22

23 Conclusions Conclusions Variétés des besoins Outils ouverts Sécurité des transferts Indices communs Partage des données Partage des outils Plateaux centralisés? 23

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à

Plus en détail

Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques

Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires

Plus en détail

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le

Plus en détail

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules

VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers

Plus en détail

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez

Plus en détail

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

Sommaire. AIDAUCLIC BACKUP : Solution de sauvegarde en ligne 3. Quelles problématiques résout la solution? 3. Fonctionnement de la solution 4

Sommaire. AIDAUCLIC BACKUP : Solution de sauvegarde en ligne 3. Quelles problématiques résout la solution? 3. Fonctionnement de la solution 4 Sommaire AIDAUCLIC BACKUP : Solution de sauvegarde en ligne 3 Quelles problématiques résout la solution? 3 La reprise d activité après un sinistre L accès nomade aux données 24h/24 Fonctionnement de la

Plus en détail

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009

Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 Plateforme Lorraine de services mutualisés pour l échange et le partage de données médicales 16/02/2009 1 Le GCS Télésanté Lorraine La télésanté en lorraine Groupement de Coopération Sanitaire créé en

Plus en détail

2 disques en Raid 0,5 ou 10 SAS

2 disques en Raid 0,5 ou 10 SAS Serveur GED: INFO EN + Afin d obtenir des performances optimales il est préférable que le serveur soit dédié. Matériel : Processeur Jusqu à 10 utilisateurs 2.0 Ghz environ Jusqu à 30 utilisateurs 2.6 Ghz

Plus en détail

Valorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS)

Valorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS) Module national d enseignement Recherche et Innovation en Imagerie (R2I) des Radiodiagnostics et Imagerie Médicale Valorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS) P. Devos DRCI

Plus en détail

GCS EMOSIST-fc. DataCenter. Journée du 30 Novembre 2010. Jérôme Gauthier

GCS EMOSIST-fc. DataCenter. Journée du 30 Novembre 2010. Jérôme Gauthier GCS EMOSIST-fc DataCenter Journée du 30 Novembre 2010 Jérôme Gauthier Présentation de la structure régionale Hébergement d applications Projet phares DataCenter Sécurisation de l hébergement Plan de reprise

Plus en détail

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015

Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité. Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président. Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 Manuel Qualité Auteur : Françoise NICOLAS, Responsable Qualité Approuvé par : Michel ROUVELLAT, Président Dernière date de mise à jour : 01 avril 2015 CIS Valley Manuel Qualité- MAQ_V08 page 1/16 Engagement

Plus en détail

La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique

La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept

Plus en détail

Description de l entreprise DG

Description de l entreprise DG DG Description de l entreprise DG DG est une entreprise d envergure nationale implantée dans le domaine de la domotique. Créée en 1988 par William Portes, elle compte aujourd'hui une centaine d'employés.

Plus en détail

10 juin 2013. Pharmagest - Villers-Lès-Nancy. Inauguration DataCenter

10 juin 2013. Pharmagest - Villers-Lès-Nancy. Inauguration DataCenter 10 juin 2013 Pharmagest - Villers-Lès-Nancy Inauguration DataCenter 65 millions de dossiers médicaux en France L hébergement de données de santé : un enjeu pour demain Les réformes en cours du système

Plus en détail

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine Département fédéral de l'intérieur DF) Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Protection des consommateurs Rapport final sur les priorités en matière de surveillance de la médecine

Plus en détail

Présentation Télésanté Aquitaine. Séminaire réseaux. Système d Information. Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006

Présentation Télésanté Aquitaine. Séminaire réseaux. Système d Information. Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006 Présentation Télésanté Aquitaine Séminaire réseaux Système d Information Dossier générique réseaux de santé Le 8 décembre 2006 Programme Dossier Générique Réseaux Le 8 décembre 2006 1/2 Introduction 5mn

Plus en détail

Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM)

Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) G U I D E D E L ' A S N M E D I C A L en collaboration avec SOCIETE FRANÇAISE DE PHYSIQUE MEDICALE Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) GUIDE Nº 20 Version du 19/04/2013 Préambule

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Article I. DÉFINITIONS

Article I. DÉFINITIONS Conditions particulières de vente «Hébergement dédié» ONLINE SAS au 22/10/2012 ENTRE : Le Client, Ci-après dénommé l' «Usager». ET : ONLINE, Société anonyme par actions simplifiée, au capital de 214 410,50

Plus en détail

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle

Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan

Plus en détail

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser

Plus en détail

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart

La métrologie au laboratoire. vigitemp 10. centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 centrale de surveillance et de traçabilité vigitemp kit de cartographie vigicart La métrologie au laboratoire vigitemp 10 Base de données Utilisateur Principe général

Plus en détail

Bilan d activité du GCS SISCA. 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007.

Bilan d activité du GCS SISCA. 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007. Bilan d activité du GCS SISCA 18/12/2008 Ce qui a été fait depuis Décembre 2007. Mise en place opérationnelle du GCS SISCA - Equipement en mobilier, matériels informatique, téléphonie et réseau informatique.

Plus en détail

CHARTE INFORMATIQUE LGL

CHARTE INFORMATIQUE LGL CHARTE INFORMATIQUE LGL Selon la réglementation indiquée dans la charte informatique du CNRS, tout accès aux ressources informatiques du LGLTPE nécessite une authentification des personnels. Cette authentification

Plus en détail

Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux

Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux 11 février 2010 CONFERENCE IDC CLOUD COMPUTING Le Cloud dans tous ses états Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux Les bons réflexes pour entrer dans un contrat Cloud en toute sécurité Benjamin

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7

Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 www.h2ad.net Un Partenariat Basé sur l'innov Au travers de solutions innovantes en télésanté, de son expertise dans l acquisition et le traitement de données de

Plus en détail

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS)

Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Séminaire SIM 07 FMP de Fès, le 02 juin 2007 Système d Information Hospitalier L expérience du Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) Auteurs : Mme Drissia ELACHEJAI Ingénieur en chef Centre Hospitalier Ibn

Plus en détail

Le groupe et l actionnariat 10 M 30 M 2. Editique, GED, Archivage. Intégration, Infogérance, Développement

Le groupe et l actionnariat 10 M 30 M 2. Editique, GED, Archivage. Intégration, Infogérance, Développement 08 novembre 2012 1 Le groupe et l actionnariat Editique, GED, Archivage 10 M Intégration, Infogérance, Développement 30 M 2 123 salariés 50 Experts techniques 30 Développeurs 5 agences 30 M de CA 2 Datacenter

Plus en détail

Associer la puissance des nouvelles technologies tout en préservant l environnement

Associer la puissance des nouvelles technologies tout en préservant l environnement gestco Associer la puissance des nouvelles technologies tout en préservant l environnement A ERP SaaS A propos... GESTCO : Progiciel de gestion d activités en ligne Avantages : - Faciliter la gestion et

Plus en détail

Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation.

Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation. Mentions légales Toute utilisation du site www.eau-services.com doit respecter les présentes conditions d utilisation. I CONDITIONS D UTILISATION DU SITE Ce Site est soumis à la loi française. En consultant

Plus en détail

CQP ADMINISTRATEUR DE BASES DE DONNÉES (ABD) ----------------------------------------------------------------------------------------------------

CQP ADMINISTRATEUR DE BASES DE DONNÉES (ABD) ---------------------------------------------------------------------------------------------------- ORGANISME REFERENCE STAGE : 26587 20 rue de l Arcade 75 008 PARIS CONTACT Couverture : M. Frédéric DIOLEZ Paris, Lyon, Bordeaux, Rouen, Toulouse, Marseille, Tél. : 09 88 66 17 40 Strasbourg, Nantes, Lille,

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

ITIL Gestion de la continuité des services informatiques

ITIL Gestion de la continuité des services informatiques ITIL Gestion de la continuité des services informatiques Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PRESENTATION DE LA PRESTATION 3 3 MODALITES DE LA PRESTATION 6 Page 2 1 Généralités Nous utilisons les meilleures pratiques

Plus en détail

Comment mettre en place un réseau sécurisé de téléradiologie à moindre coût?

Comment mettre en place un réseau sécurisé de téléradiologie à moindre coût? Comment mettre en place un réseau sécurisé de téléradiologie à moindre coût? Philippe PUECH [1,2] Loïc BOUSSEL [3] Renaud PERICHON [2] Eric DUFRESNE [2] Laurent LEMAITRE [2] Régis BEUSCART [2] [1] Plateau

Plus en détail

CONDITIONS PARTICULIERES

CONDITIONS PARTICULIERES CONDITIONS PARTICULIERES HEBERGEMENT/CLOUD/SAAS GROUPE Com6 2015 Article 1. Préambule 1. Le client souhaite bénéficier d une prestation d hébergement. 2. Le client déclare avoir adhéré sans réserve aux

Plus en détail

IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER

IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER N.LABONNE - F.GROSPRETRE - A.BLUM Service d Imagerie Guilloz - CHU NANCY www.imagerieguilloz.com JFR 2010 SOMMAIRE - Le site - Historique et

Plus en détail

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)

Plus en détail

MAIRIE DE LA WANTZENAU MARCHE DE FOURNITURES PROCEDURE ADAPTEE CAHIER DES CHARGES

MAIRIE DE LA WANTZENAU MARCHE DE FOURNITURES PROCEDURE ADAPTEE CAHIER DES CHARGES MAIRIE DE LA WANTZENAU MARCHE DE FOURNITURES PROCEDURE ADAPTEE CAHIER DES CHARGES LOT 2 Fourniture et installation d un système de GED pour la Mairie de La Wantzenau. Fiche technique Cahier des Charges

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

Backup. Solution de sauvegarde en ligne pour les professionnels LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE!

Backup. Solution de sauvegarde en ligne pour les professionnels LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE! Backup Solution de sauvegarde en ligne pour les professionnels LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE! Qu est-ce-que la télésauvegarde Backup? La télésauvegarde Backup est un service automatique qui

Plus en détail

2012 - Copyright Arsys Internet E.U.R.L. Arsys Backup Online. Guide de l utilisateur

2012 - Copyright Arsys Internet E.U.R.L. Arsys Backup Online. Guide de l utilisateur Arsys Backup Online Guide de l utilisateur 1 Index 1. Instalation du Logiciel Client...3 Prérequis...3 Installation...3 Configuration de l accès...6 Emplacement du serveur de sécurité...6 Données utilisateur...6

Plus en détail

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE

La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Le développement de la e-santé : un cadre juridique et fonctionnel qui s adapte au partage Jeanne BOSSI Secrétaire

Plus en détail

et développement d applications informatiques

et développement d applications informatiques Protection des données personnelles et développement d applications informatiques Agnès Laplaige, CIL de l'ecole Polytechnique avril 2011 Thèmes I&L Informatique et Libertés Protection de la vie privée

Plus en détail

Les clauses «sécurité» d'un contrat SaaS

Les clauses «sécurité» d'un contrat SaaS HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Les clauses «sécurité» d'un contrat SaaS Paris, 21 janvier 2011 Frédéric

Plus en détail

Auditabilité des SI et Sécurité

Auditabilité des SI et Sécurité Auditabilité des SI et Sécurité Principes et cas pratique Géraldine GICQUEL ggicquel@chi-poissy-st-germain.fr Rémi TILLY remi.tilly@gcsdsisif.fr SOMMAIRE 1 2 3 4 Les leviers d amélioration de la SSI Les

Plus en détail

Cahier des charges pour la mise en place de l infrastructure informatique

Cahier des charges pour la mise en place de l infrastructure informatique 1 COMMUNE DE PLOBSHEIM Cahier des charges pour la mise en place de l infrastructure informatique Rédaction Version 2 : 27 /05/2014 Contact : Mairie de PLOBSHEIM M. Guy HECTOR 67115 PLOBSHEIM dgs.plobsheim@evc.net

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

SARL NGP INFORMATIQUE au capital de 45059, RCS Rennes 400910931 NAF 4741Z siège social 9, square du 8 mai 1945 35000 RENNES CONDITIONS GENERALES

SARL NGP INFORMATIQUE au capital de 45059, RCS Rennes 400910931 NAF 4741Z siège social 9, square du 8 mai 1945 35000 RENNES CONDITIONS GENERALES CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES SERVICES e.coodentist gestion de cabinets dentaires en mode SAAS PREAMBULE L utilisation de l ensemble du site et des fonctionnalités du progiciel e.coodentist (ci-après

Plus en détail

Le contrat SID-Services

Le contrat SID-Services Version : 2.4 Revu le : 01/09/2008 Auteur : Jérôme PREVOT Le contrat SID-Services Objectif : Mettre en place un suivi actif et sécurisé de votre informatique. Moyens : SID vous propose une gamme d outils

Plus en détail

Système de diagnostic CardioSoft Une passerelle entre le cœur et l'esprit

Système de diagnostic CardioSoft Une passerelle entre le cœur et l'esprit GE Healthcare Système de diagnostic Une passerelle entre le cœur et l'esprit Pertinence clinique et intelligence, tout simplement. Le système de diagnostic * de GE Healthcare est bien plus qu'un simple

Plus en détail

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta

La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL. Dr Hervé LECLET. Santopta La sécurité informatique d'un centre d imagerie médicale Les conseils de la CNIL Dr Hervé LECLET Tous les centres d'imagerie médicale doivent assurer la sécurité informatique de leur système d'information

Plus en détail

«Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de

«Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de 1 2 «Les documents référencés ci-dessus étant protégés par les droits d auteur et soumis à la déclaration au Centre Français d exploitation du droit de Copie, seules les références bibliographiques peuvent

Plus en détail

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données

Règlement d INTERPOL sur le traitement des données BUREAU DES AFFAIRES JURIDIQUES Règlement d INTERPOL sur le traitement des données [III/IRPD/GA/2011(2014)] REFERENCES 51 ème session de l Assemblée générale, résolution AGN/51/RES/1, portant adoption du

Plus en détail

Contrat d'hébergement application ERP/CRM - Dolihosting

Contrat d'hébergement application ERP/CRM - Dolihosting Date 30/10/13 Page 1/6 Contrat d'hébergement application ERP/CRM - Dolihosting Le présent contrat est conclu entre vous, personne physique ou morale désignée ci-après le client et ATERNATIK dont le numéro

Plus en détail

Contractualiser la sécurité du cloud computing

Contractualiser la sécurité du cloud computing HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Club EBIOS, 11 décembre 2012 Contractualiser la sécurité du cloud

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

Elle supporte entièrement la gestion de réseau sans fil sous Windows 98SE/ME/2000/XP.

Elle supporte entièrement la gestion de réseau sans fil sous Windows 98SE/ME/2000/XP. SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER Guide de mise en route rapide But de ce guide Ce guide décrit la méthode d'installation et de configuration de votre SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER pour réseau sans fil. Lisez-le

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER Guide de mise en route rapide

SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER Guide de mise en route rapide SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER Guide de mise en route rapide But de ce guide Ce guide décrit la méthode d'installation et de configuration de votre SAGEM Wi-Fi 11g USB ADAPTER pour réseau sans fil. Lisez-le

Plus en détail

Les groupes de données de projection d intensité générés par TumorLOC peuvent être inversés de gauche à droite

Les groupes de données de projection d intensité générés par TumorLOC peuvent être inversés de gauche à droite -1/7- Systèmes concernés Description du problème Les produits concernés sont les suivants : l application TumorLOC sur les systèmesbrilliance CT Big Bore EBW, GEMINI LXL, GEMINI TF 16, GEMINI TF 64, GEMINI

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La

Plus en détail

UNE TECHNOLOGIE LIBÉRATRICE. FLUIDITÉ ET SIMPLICITÉ. Vue for. Cloud Services

UNE TECHNOLOGIE LIBÉRATRICE. FLUIDITÉ ET SIMPLICITÉ. Vue for. Cloud Services Vue for Cloud Services FLUIDITÉ ET SIMPLICITÉ. Les médecins cliniciens et les médecins traitants ont besoin de pouvoir accéder aux données du patient librement, rapidement et efficacement. Cependant, les

Plus en détail

neobe Backup Tel. 0953 7000 30 service de télésauvegarde informatique LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE

neobe Backup Tel. 0953 7000 30 service de télésauvegarde informatique LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE neobe Backup service de télésauvegarde informatique LE PARTENAIRE SECURITE DE VOTRE ENTREPRISE Qu est-ce-que la télésauvegarde? Un service automatique qui sauvegarde vos fichiers informatiques dans 2 datacenters

Plus en détail

MICROSOFT DYNAMICS CRM & O Val

MICROSOFT DYNAMICS CRM & O Val MICROSOFT DYNAMICS CRM & O Val O Val Operational Value JSI Groupe 2, rue Troyon 92310 Sèvres 1 AGENDA 1. QUI SOMMES-NOUS? 2. NOS OFFRES 3. UNE ORGANISATION COMMERCIALE DÉDIÉE À NOS CLIENTS 4. O VAL : OPERATIONAL

Plus en détail

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés

Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution

Plus en détail

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou

Plus en détail

Solutions informatiques (SI) Semestre 1

Solutions informatiques (SI) Semestre 1 Solutions informatiques (SI) Cette unité vise l acquisition de compétences générales à partir desquelles sont construites les compétences propres aux parcours de spécialisation. Elle comprend, d une part,

Plus en détail

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité

Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Livre blanc Compta La dématérialisation en comptabilité Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions. ERP reflex-erp.com

Plus en détail

Nos solutions Cloud Kain, le 27 mars 2013 Laurent Guelton, Administrateur Délégué. Copyright 2013 Orditech. Tous droits réservés. Version 2.

Nos solutions Cloud Kain, le 27 mars 2013 Laurent Guelton, Administrateur Délégué. Copyright 2013 Orditech. Tous droits réservés. Version 2. Nos solutions Cloud Kain, le 27 mars 2013 Laurent Guelton, Administrateur Délégué Qu'est-ce que le Cloud Computing? Concept qui désigne l'externalisation des données sur des serveurs distants Avantages

Plus en détail

Manuel d Administration

Manuel d Administration Manuel d Administration Manuel d Administration Copyright 2001 Auralog S.A. All rights reserved Sommaire INTRODUCTION...3 CONFIGURATIONS POUR TELL ME MORE PRO...4 CONFIGURATIONS REQUISES...4 INSTALLATION

Plus en détail

Espace Numérique Régional de Santé Formation sur la messagerie sécurisée. Version 1.2 - Auteur : Nathalie MEDA

Espace Numérique Régional de Santé Formation sur la messagerie sécurisée. Version 1.2 - Auteur : Nathalie MEDA Espace Numérique Régional de Santé Formation sur la messagerie sécurisée Version 1.2 - Auteur : Nathalie MEDA 1 Sommaire Introduction Qu est ce qu une messagerie sécurisée? Pourquoi utiliser une messagerie

Plus en détail

Study Tour Cloud Computing. Cloud Computing : Etat de l Art & Acteurs en Présence

Study Tour Cloud Computing. Cloud Computing : Etat de l Art & Acteurs en Présence Study Tour Cloud Computing Cloud Computing : Etat de l Art & Acteurs en Présence Extraits des études réalisées par MARKESS International Approches d Hébergement avec le Cloud Computing & la Virtualisation

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service

Plus en détail

Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical

Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde

Plus en détail

Décision n 11-DCC-120 du 26 juillet 2011 relative à la prise de contrôle exclusif de Camélia Participations SAS par Capgemini France SAS

Décision n 11-DCC-120 du 26 juillet 2011 relative à la prise de contrôle exclusif de Camélia Participations SAS par Capgemini France SAS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 11-DCC-120 du 26 juillet 2011 relative à la prise de contrôle exclusif de Camélia Participations SAS par Capgemini France SAS L Autorité de la concurrence, Vu le dossier

Plus en détail

Responsable de structure. Administratifs. Consultants. Financeurs. Prescripteurs

Responsable de structure. Administratifs. Consultants. Financeurs. Prescripteurs Lisa est un progiciel complet permettant de gérer des prestations d accompagnement de demandeurs d emploi, de créateurs d entreprise, et plus largement de personnes souhaitant travailler sur leurs projets

Plus en détail

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du

Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

connecting events with people

connecting events with people connecting events with people Surycat est la plateforme de connectivité intelligente pour les systèmes de notification. Surycat apporte une intelligence nouvelle aux applications critiques, tout en préservant

Plus en détail

CHARTE INFORMATIQUE. Usage de ressources informatiques et de service Internet

CHARTE INFORMATIQUE. Usage de ressources informatiques et de service Internet CHARTE INFORMATIQUE Usage de ressources informatiques et de service Internet Le développement des ressources informatiques sur les districts et sur les navires ravitailleurs des districts des TAAF résulte

Plus en détail

Guide de récupération de Windows Server 2003 R2 pour serveurs Sun x64

Guide de récupération de Windows Server 2003 R2 pour serveurs Sun x64 Guide de récupération de Windows Server 2003 R2 pour serveurs Sun x64 Sommaire Introduction 1 Procédure de réinstallation 1 Documentation associée 5 Vos commentaires nous sont utiles 5 Introduction Ce

Plus en détail

MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES

MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DES DONNEES MODULE 2 : VEILLE & ANALYSE DE DONNÉES LA THÉMATIQUE LES TERMES EN COHABITATION LES TROIS APPROCHES EN RELATION LA MÉTHODE

Plus en détail

Conditions Générales d Utilisation

Conditions Générales d Utilisation Conditions Générales d Utilisation Les présentes Conditions Générales d'utilisation de MaGED (ci-après désignées les "Conditions Générales"), ont pour objet de définir les relations contractuelles entre

Plus en détail

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1

L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L impact du programme de relance sur le projet régional 19/05/2009 COPIL AMOA 1 L Identifiant National Santé (INS) Delphin HENAFF-DARRAUD Point du programme sur l INS Le constat L absence d identifiant

Plus en détail

Qu est ce qu une offre de Cloud?

Qu est ce qu une offre de Cloud? 1 Qu est ce qu une offre de Cloud? Vos Interlocuteurs : Fréderic DULAC Directeur Frederic.dulac@businessdecision.com 2 Sommaire 1. Cloud : Définition et Typologie 2. Cloud : Les avantages 3. Exemple offre

Plus en détail

OBJECTIF CAMEROUN SMS SOLUTIONS

OBJECTIF CAMEROUN SMS SOLUTIONS . OBJECTIF CAMEROUN RDA N 001116/RDA/JO6/BAPP OBJECTIF CAMEROUN SMS SOLUTIONS (Solution de communication par SMS Simple, Groupé & de Masse) B.P: 2392 (Messa) Yaoundé Tél: 237 99 52 85 93 / 237 22 17 54

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail