Dynamique gravitationnelle multi-échelle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dynamique gravitationnelle multi-échelle"

Transcription

1 Dynamique gravitationnelle multi-échelle Formation et évolution des systèmes auto-gravitants non isolés Nicolas KIELBASIEWICZ Unité de Mathématiques Appliquées, École Nationale Supérieure de Techniques Avancées Thèse de Doctorat de l École Polytechnique 6 février 2009 Jury composé de : Grégoire Allaire (président du jury) Jean-Jacques Aly (rapporteur) Jérôme Perez (directeur de thèse) Christian Boily (rapporteur) Marc Lenoir (directeur de thèse) Daniel Pfenniger (rapporteur) UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

2 Plan UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

3 Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

4 Systèmes auto-gravitants en astrophysique Definition (Système auto-gravitant) Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique C est un système dont les propriétés sont le fruit uniquement de la gravitation. Figure: M45, l amas ouvert des Pléiades HST et l amas globulaire M22 N.O.A.O. Les amas ouverts : 3 à 10 pc de diamètre, contenant 10 2 à 10 3 étoiles, pas de gaz ni de poussières interstellaires; Les amas globulaires : 10 à 50 pc de diamètre, contenant 10 3 à 10 6 étoiles, pas de gaz ni de poussières interstellaires. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

5 Systèmes auto-gravitants en astrophysique Definition (Système auto-gravitant) Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique C est un système dont les propriétés sont le fruit uniquement de la gravitation. Figure: La galaxie elliptique M32 HST et M31, la galaxie d Andromède R. Gendler Les galaxies elliptiques : 10 4 à pc de diamètre, contenant 10 9 à étoiles, pas de gaz ni de poussières interstellaires; Les galaxies spirales : 10 4 à pc de diamètre, contenant 10 8 à étoiles, du gaz et des poussières interstellaires. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

6 Problématique Des systèmes auto-gravitants non isolés systèmes à N corps = amas globulaires et galaxies elliptiques Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique Figure: M51 et ses amas globulaires HST UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

7 Problématique Des systèmes auto-gravitants non isolés systèmes à N corps = amas globulaires et galaxies elliptiques Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique Figure: M51 et ses amas globulaires HST UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

8 Problématique Cadre d étude général Les systèmes auto-gravitants en astrophysique Problématique σ e 0 ψ e σ Hyp: On suppose que σ e n est pas sensible à la présence de σ. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

9 Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

10 Temps caractéristiques Temps de croisement et temps de relaxation par collision Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée Définition (Temps de croisement) τ c = r = temps moyen mis par une étoile pour traverser le système. v v sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel b v + δ v Définition (Temps de relaxation par collision) Temps nécessaire pour que les collisions aient une influence notable sur la dynamique du système. τ rc N log N τc Amas globulaire : τ c = 10 6 années, τ rc = années Galaxie elliptique : τ c = 10 8 années, τ rc = années UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

11 Approche statistique Système Boltzmann sans collisions - Poisson Soit f la fonction de répartition caractérisant le système σ. Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel Système B.S.C.-Poisson 8 f >< t + dr dt f r m d f (ψe + ψ) dr Z p = 0 ψ = 4πGρ = 4πG fdv >: ψ < lim r + (B.S.C.) (Poisson) En utilisant les équations de Hamilton, (B.S.C.) s écrit : f t = H r f p H p f r = {H, f } H = 1 2 v 2 + ψ + ψ e f  f = f (H) t = 0 à f = f (H, L 2 f,...) t = 0 [Lynden-Bell, 1962] : intégrales isolantes = = UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

12 Les systèmes tels que f = f (H) Propriétés  isotropie dans l espace des vitesses : immédiat Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

13 Les systèmes tels que f = f (H) Propriétés  isotropie dans l espace des vitesses : immédiat à isotropie dans l espace des positions : Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel Hyp: On suppose que σ e a une fonction de répartition f e = f e(h e). ( ψ e = 4πGρ e(ψ e) ψ = 4πGρ(ψ, ψ e) UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

14 Les systèmes tels que f = f (H) Propriétés Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel  isotropie dans l espace des vitesses : immédiat à isotropie dans l espace des positions : Hyp: On suppose que σ e a une fonction de répartition f e = f e(h e). ( ψ e = 4πGρ e(ψ e) ψ = 4πGρ(ψ, ψ e) [Gidas et al., 1981] : u = g(u) : ρ e décroissante ψ e radiale croissante. Le système σ e est sphérique. = UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

15 Les systèmes tels que f = f (H) Propriétés Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel  isotropie dans l espace des vitesses : immédiat à isotropie dans l espace des positions : Hyp: On suppose que σ e a une fonction de répartition f e = f e(h e). ( ψ e = 4πGρ e(ψ e) ψ = 4πGρ(ψ, ψ e) = 4πGρ(ψ, r) [Gidas et al., 1981] : u = g(u) : ρ e décroissante ψ e radiale croissante. Le système σ e est sphérique. u = g(u, r) : ρ décroissante en ψ, strictement décroissante en r ψ e radiale croissante. le système σ est sphérique et centré sur la source du potentiel ψ e. = = UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

16 Les systèmes tels que f = f (H) Propriétés  isotropie dans l espace des vitesses : immédiat à isotropie dans l espace des positions : Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel Hyp: On suppose que σ e a une fonction de répartition f e = f e(h e). ( ψ e = 4πGρ e(ψ e) ψ = 4πGρ(ψ, ψ e) = 4πGρ(ψ, r) σ e σ 0 ψ e UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

17 Solutions stationnaires particulières de B.S.C. - Poisson de la forme f = f (H) 3 modèles analytiques : Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Ê le modèle de Plummer Ä le modèle isochrone Å le modèle isotherme Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

18 Solutions stationnaires particulières de B.S.C. - Poisson de la forme f = f (H) Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 3 modèles analytiques : Ê le modèle de Plummer (Schuster (1883), Plummer (1911)) solution de l équation de Lane-Emden : 8 < φ φ 5 (φ = ψ) dφ : lim r 0 dr = 0 lim φ = 0 r + f ( H) 7 2 ψ(r) = GM r 2 + b 2 ρ(r) = 3M 1 + r «2 2.5 σ 2 4πb 3 b 2 v φ «1.5 M(r) = M 1 + b2 b R 50 = b 2/3 1 r 2 Ä le modèle isochrone Å le modèle isotherme UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

19 Solutions stationnaires particulières de B.S.C. - Poisson de la forme f = f (H) Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 3 modèles analytiques : Ê le modèle de Plummer Ä le modèle isochrone ([Hénon, 1959]) Å mouvement d une masse ponctuelle soumise à une force centrale : mouvement plan rayon orbital borné : r(t) [r p, r a] mouvement périodique de période T = 2 Z ra r p le modèle isotherme dr q 2(H ψ(r)) L2 r 2 = T (H, L 2 ) UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

20 Solutions stationnaires particulières de B.S.C. - Poisson de la forme f = f (H) Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 3 modèles analytiques : Ê le modèle de Plummer Ä le modèle isochrone ([Hénon, 1959]) mouvement d une masse ponctuelle soumise à une force centrale : mouvement plan rayon orbital borné : r(t) [r p, r a] mouvement périodique de période T = 2 Z ra r p dr q 2(H ψ(r)) L2 r 2 = T (H, L 2 ) L amas isochrone est défini comme le modèle le plus général où T = T (H) : Å 2ψ 0 b ψ(r) = b + R b r 2 + b 2 le modèle isotherme UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

21 Solutions stationnaires particulières de B.S.C. - Poisson de la forme f = f (H) 3 modèles analytiques : Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières Ê le modèle de Plummer Ä le modèle isochrone Å le modèle isotherme, issu de la thermodynamique des systèmes auto-gravitants sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

22 La sphère isotherme isolée Problématique thermodynamique Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel σ à énergie H et à masse M données en équilibre Z thermodynamique σ maximise l entropie statistique S = f ln fdrdv Problème complexe et beaucoup étudié ([Chandrasekhar, 1958], [Lynden-Bell and Wood, 1968], [Padmanabhan, 1989], [Chavanis, 2002],... ) Æ Ç si σ non borné, pas de solutions; si σ B(0, R), il peut exister un extremum local de l entropie, défini par : «f = (2πT ) 3 ψ(r0 ) 2 ρc exp exp H «χ r<r T T où T est proportionnel à la température du système. Si on se donne H, M, et R, cet extremum existe t-il? UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

23 Condition d existence de la sphère isotherme isolée Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel On cherche l existence de solutions de l équation adimensionnée : 1 d er 2 d e! ψ = eρ = exp ψ er 2 der der e En posant u 1 = er d ψ e der et u 2 = eρer 3, ([Milne, 1930], [Milne, 1932]), on em obtient : du 1 der = u 1 (u 2 1), er du 2 der = u 2 (u 1 + u 2 3) er Conditions initiales : u 1 = 1 3 er 2 + o(er 3 ), u 2 = er 2 + o(er 3 ) Soit λ = RH [Padmanabhan, 1989]. On a GM u 2 1 = 1 u 2 3 «λ 2 La sphère isotherme se trouve à l intersection. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

24 Condition d existence de la sphère isotherme isolée 3 Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée u Le théorème du Viriel u 2 UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

25 Condition d existence de la sphère isotherme isolée 3 Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson 2.5 λ > λ c Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 2 u λ = λ c λ < λ c u 2 La quantité λ admet un minimum λ c La condition λ λ c est la condition d existence de la sphère isotherme isolée. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

26 Stabilité de la sphère isotherme isolée L instabilité d Antonov Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel Soit le contraste maximal c m = 1 dλ avec erc 34.2 solution de eρ(er c) der = 0 R 1 Si (H) < λc, alors il n existe pas d extremum local de S GM2 R ρ c 2 Si (H) > λc et > cm, alors la sphère isotherme est un GM2 ρ(r) minimum local de l entropie. Ce cas correspond à l instabilité d Antonov ou catastrophe gravothermale ([Lynden-Bell and Wood, 1968], [Katz, 2001],... ) R ρ c 3 Si (H) > λc et < cm, alors la sphère isotherme est un GM2 ρ(r) maximum local de l entropie. Que se passe t-il dans le cas non isolé? UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

27 La sphère isotherme non isolée Fonction de distribution et condition d existence Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée La sphère isotherme dans le cas non isolé est définie par : «f = (2πT ) 2 3 ψ(r0 ) + ψ e(r 0 ) ρc exp exp H «χ r<r T T On cherche l existence de solutions de l équation adimensionnée : 1 d er 2 d e! ψ = eρ = exp ψ er 2 der der e ψ f e Le théorème du Viriel du 1 der = u 1 (u 2 1), er Conditions initiales : u 1 = 1 3 er 2 + o(er 3 ), u 2 = du 2 der Soit λ b = R (H Mψe(0)). GM2 Z er 1 d bλ = λ + eru 1 ( R) e u 1 u 2 er ψ 2 der f e der 0 = u 2 (u 1 + u 2 3) er 3 d 2 f ψe der 2 (0) + 1! er 2 + o(er 3 ) u 2 d f ψ e der UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

28 La sphère isotherme non isolée Fonction de distribution et condition d existence Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée La sphère isotherme dans le cas non isolé est définie par : «f = (2πT ) 2 3 ψ(r0 ) + ψ e(r 0 ) ρc exp exp H «χ r<r T T On cherche l existence de solutions de l équation adimensionnée : 1 d er 2 d e! ψ = eρ = exp ψ er 2 der der e ψ f e Le théorème du Viriel du 1 der = u 1 (u 2 1), er Conditions initiales : u 1 = 1 3 er 2 + o(er 3 ), u 2 = du 2 der Soit λ b = R (H Mψe(0)). GM2 Z er 1 d bλ = λ + eru 1 ( R) e u 1 u 2 er ψ 2 der f e der 0 = u 2 (u 1 + u 2 3) er 3 d 2 f ψe der 2 (0) + 1! er 2 + o(er 3 ) On a b λ λ u 2 d f ψ e der UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

29 Condition d existence de la sphère isotherme non isolée 3 Temps caractéristiques 2.5 fψ e0 e b fψ e(er) = + ψ qer f e0 2 + e b 2 Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 2 u fψ e = u UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

30 Condition d existence de la sphère isotherme non isolée 3 Temps caractéristiques 2.5 fψ e0 e b fψ e(er) = + ψ qer f e0 2 + e b 2 Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) 2 Solutions stationnaires particulières u 1 sphère isotherme isolée 1.5 sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel fψ e = 0 fψ e0 = 1, e b = 10 fψ e0 = 1, e b = 50 fψ e0 = 1, e b = 100 fψ e0 = 0.5, e b = 10 fψ e0 = 2, e b = u La quantité λ admet un minimum λ c. Par transitivité, la quantité b λ admet un minimum b λ c. La condition b λ b λ c est la condition d existence de la sphère isotherme non isolée. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

31 Condition d existence de la sphère isotherme non isolée 3 Temps caractéristiques 2.5 fψ e0 e b fψ e(er) = + ψ qer f e0 2 + e b 2 Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) 2 Solutions stationnaires particulières u 1 sphère isotherme isolée 1.5 sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 1 fψ e = 0 fψ e0 = 1, e b = fψ e0 = 0.5, e b = 10 fψ e0 = 2, e b = u La quantité λ admet un minimum λ c. Par transitivité, la quantité b λ admet un minimum b λ c. La condition b λ b λ c est la condition d existence de la sphère isotherme non isolée. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

32 Condition d existence de la sphère isotherme non isolée 3 Temps caractéristiques 2.5 fψ e0 e b fψ e(er) = + ψ qer f e0 2 + e b 2 Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel 2 u fψ e = 0 fψ e0 = 1, e b = 10 fψ e0 = 1, e b = 50 fψ e0 = 1, e b = u La quantité λ admet un minimum λ c. Par transitivité, la quantité b λ admet un minimum b λ c. La condition b λ b λ c est la condition d existence de la sphère isotherme non isolée. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

33 Stabilité de la sphère isotherme non isolée Étude numérique Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel eλ er fψe = 0 fψe0 = 1, e b = 10 fψe0 = 1, e b = 50 fψe0 = 1, e b = 100 fψe0 = 0.5, e b = 10 fψe0 = 2, e b = 10 Le minimum de e λ correspond au premier zéro de sa dérivée première. dλ b der = 0 u 1(er) = 4u 2(er) u 2 (er) 3 + 2u 2 (er) ψ f e(er) 2 u 2 (er) + `2u 2 (er) 1 b λ(er) λ(er) Numériquement, le rayon critique er c se trouve à l intersection de cette courbe avec la courbe u 1 = u 1 (u 2 ). UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

34 Stabilité de la sphère isotherme non isolée Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel modèle er c λc b c m = 1 eρ(er c) fψ e = fψ e 0 = 1, b e = fψ e 0 = 1, b e = fψ e 0 = 1, b e = fψ e 0 = 0.5, b e = fψ e 0 = 2, b e = È É e b cm f ψe 0 cm Le mécanisme de l instabilité d Antonov reste valable dans le cas non isolé. Seule la valeur du contraste maximal en est modulée. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

35 Le théorème du Viriel Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel r i vecteur position de la particule i dans R g; v i vecteur vitesse de la particule i dans R g; m i masse de la particule i; Le P.F.D. appliqué au système σ donne la relation dite «du Viriel»: 1 d 2 I 2 dt = 2K + U X N m 2 i r i dψe dr i où K et U désignent respectivement l énergie cinétique et l énergie NX potentielle interne du système σ et I = m i r 2 i le moment d inertie. équilibre du Viriel 1 2 d 2 I = 0, soit : dt 2 i=1 i=1 2K η = NX U m i r i dψe dr i i=1 ri = 1 ri UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

36 Le théorème du Viriel Temps caractéristiques Système Boltzmann sans collisions - Poisson Propriétés des systèmes f=f(h) Solutions stationnaires particulières sphère isotherme isolée sphère isotherme non isolée Le théorème du Viriel r i vecteur position de la particule i dans R g; v i vecteur vitesse de la particule i dans R g; m i masse de la particule i; Le P.F.D. appliqué au système σ donne la relation dite «du Viriel»: 1 d 2 I 2 dt = 2K + U X N m 2 i r i dψe dr i où K et U désignent respectivement l énergie cinétique et l énergie NX potentielle interne du système σ et I = m i r 2 i le moment d inertie. équilibre du Viriel 1 2 d 2 I = 0, soit : dt 2 i=1 i=1 2K η = NX U m i r i dψe dr i i=1 ri = 1 pour un système auto-gravitant isolé, on a 2K + U = 0 ri UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

37 Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

38 Le Treecode Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales  code développé par [Barnes and Hut, 1986] à coût de calcul en o (N log N) Ê étude de n importe quel système, quelle que soit sa géométrie et le profil de densité Ä version parallélisée avec M.P.I. (Daniel Pfenniger) Principe : Fabriquer un arbre qui permet de sélectionner les particules pour le calcul du potentiel. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

39 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

40 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

41 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

42 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

43 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

44 Le Treecode Un exemple 2D Le Treecode Le critère d acceptation Principe de construction : Subdiviser l espace jusqu à isoler chacune des particules dans une feuille de l arbre. Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

45 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

46 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

47 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

48 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

49 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

50 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

51 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

52 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

53 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

54 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

55 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

56 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

57 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

58 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

59 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

60 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal Approximation quadrupolaire du potentiel ψ = G X j i ψ( x i ) = G X m j G x i x x 3 i X m j x j G X» 3 m j i x 5 j j i 2 j m j x j x i 2 1 ` xi x j 2 x i 2 2 x j UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

61 Le Treecode Le critère d acceptation θ Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Principe : Un groupe d étoiles lointaines se comporte comme une étoile de masse équivalente. θ représente un angle d ouverture maximal Approximation quadrupolaire du potentiel ψ = G X j i ψ( x i ) = G X m j G x i x x 3 i X m j x j G X» 3 m j i x 5 j j i 2 j m j x j x i 2 1 ` xi x j 2 x i 2 2 x j UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

62 Le Treecode Le paramètre d adoucissement ɛ Potentiel exact Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement ψ i (r j ) = GM i M j r ij diverge en 0 problèmes = Schéma temporel Conditions Initiales potentiel rayon UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

63 Le Treecode Le paramètre d adoucissement ɛ Potentiel tronqué Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement ψ i (r j ) = GM i M j max `r ij, ɛ adoucit le potentiel uniquement pour les interactions proches Schéma temporel Conditions Initiales potentiel rayon UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

64 Discrétisation en temps Le schéma de Störmer = schéma saute-mouton v new v old t = f ( r old ) r new r old t = v new Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales v t t 2 v t+ t 2 r t r t+ t t t 2 t t + t 2 t + t Å schéma symplectique simple à mettre en oeuvre Æ schéma consistant d ordre 2 Condition "CFL" UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

65 Conditions initiales Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales Ç amas de Plummer [Aarseth et al., 1974] Génération aléatoire des positions et des vitesses en accord avec une fonction de répartition méthode de rejet [von Neumann, 1951] 1 M(r) M 0.1 dp(r, v) v 2 1 v r 0 v 1 UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

66 Conditions initiales Ç amas de Plummer [Aarseth et al., 1974] È amas homogène Génération aléatoire des positions dans une sphère à partir d un cube méthode de rejet [von Neumann, 1951] Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

67 Conditions initiales Ç amas de Plummer [Aarseth et al., 1974] È amas homogène É amas à "grumeaux" [Roy, 2005], [van Albada, 1982] Le Treecode Le critère d acceptation Le paramètre d adoucissement Schéma temporel Conditions Initiales R t M t R c M c Rayon du système complet Masse de la «pâte» Rayon d un grumeau Masse d un grumeau UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

68 Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

69 Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène 2 états d équilibre À l issue du processus d effondrement gravitationnel, 2 états d équilibre possibles [Roy and Perez, 2004] : Â système initialement homogène = cœur - halo Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats densité CH r 50 rayon UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

70 Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène 2 états d équilibre À l issue du processus d effondrement gravitationnel, 2 états d équilibre possibles [Roy and Perez, 2004] : Â Ã système initialement homogène système initialement inhomogène = cœur - halo = cœur effondré Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats densité CH densité CC r rayon 50 r rayon 50 UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

71 Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Études complémentaires Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats Ê Influence du nombre de grumeaux Ä Influence des rapports de taille et de masse amas/grumeaux Type I : Grumeaux dont l énergie interne est suffisamment élevée pour résister à la pression imposée par le système environnant. κ = β 1. α Type II : Grumeaux trop petits ou pas assez massifs pour subsister après le processus d effondrement gravitationnel dans le système environnant. κ 1. Å Dynamique interne : étude des orbites stellaires UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

72 2 familles de systèmes après effondrement gravitationnel Influence des rapports de taille et de masse amas/grumeaux Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats Désignation nb gru α = Rt R c β = Mt M c Type M I M I M II M I M I M I M II UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

73 2 familles de systèmes après effondrement gravitationnel Influence des rapports de taille et de masse amas/grumeaux Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats Désignation nb gru α = Rt R c β = Mt M c Type M I M I M II M I M I M I M II [Roy and Perez, 2004] UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

74 2 familles de systèmes après effondrement gravitationnel Influence des rapports de taille et de masse amas/grumeaux 10-1 M1 M M1 M M M2 M Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène M5 M M4 M2 M Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats M M4 M5 M M2 M M4: film UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

75 Dynamique interne des systèmes auto-gravitants Les orbites observées Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats UMA, ENSTA Nicolas K IELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

76 Étude des orbites : observables Amplitude et période radiales 2 approches : Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène F.F.T. : utiliser la F.F.T. pour trouver la période et découper le signal en périodes pour évaluer l amplitude; crête à crête : récupérer tous les extrema du signal et déterminer par moyenne période et amplitude. Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats Cas de tests : Æ 4 signaux tests S 1 S S 3 S UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

77 Étude des orbites : observables Amplitude et période radiales 2 approches : Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats F.F.T. : utiliser la F.F.T. pour trouver la période et découper le signal en périodes pour évaluer l amplitude; crête à crête : récupérer tous les extrema du signal et déterminer par moyenne période et amplitude. Cas de tests : Æ Ç 4 signaux tests 3 jeux de pas de temps C1 dt constant sur [0, 1]; C2 dt constant par morceaux sur [0, 1]; C3 dt varie aléatoirement sur [0, 1]]. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

78 Étude des orbites : observables Amplitude et période radiales : comparaison des méthodes S S Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène C 1 C 2 C 3 Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats S3 2 S On conserve la méthode dite «crête à crête». UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

79 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : F.F.T. Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

80 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : F.F.T. Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

81 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 F.F.T. Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

82 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : F.F.T. Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

83 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : F.F.T. Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

84 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : complexité = 1 F.F.T. suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

85 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : complexité = 1 È cas d un bruit blanc : Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

86 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : complexité = 1 È cas d un bruit blanc : Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats F.F.T. suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

87 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : complexité = 1 È cas d un bruit blanc : complexité = + Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats F.F.T. suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

88 Étude des orbites : observables Complexité d une série temporelle [Kandrup et al., 1997] Æ cas d une sinusoïde pure : complexité = 0 Ç cas d une somme de 2 sinusoïdes pures : complexité = 1 È cas d un bruit blanc : complexité = + Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats F.F.T. suppression de la fréquence du pic max I.F.F.T. application à nos signaux réels UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

89 Dynamique interne des systèmes auto-gravitants complexité Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats période période CH CC r a r a É la présence du cœur a un effet régularisant sur la complexité des orbites; UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

90 Dynamique interne des systèmes auto-gravitants complexité Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats période période CH CC É Â r a la présence du cœur a un effet régularisant sur la complexité des orbites; la présence du cœur sature la relation en loi de puissance entre r a et la période : cœur : exposant 0.6, halo : exposant 1.2 r a UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

91 Dynamique interne des systèmes auto-gravitants complexité Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats période période CH CC É Â r a la présence du cœur a un effet régularisant sur la complexité des orbites; la présence du cœur sature la relation en loi de puissance entre r a et la période : cœur : exposant 0.6, halo : exposant 1.2 modèle isochrone r a UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

92 Dynamique interne des systèmes auto-gravitants complexité Effondrement gravitationnel d un amas inhomogène Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : observables Propriétés dynamiques des systèmes auto-gravitants : résultats période période CH CC É Â Ã r a la présence du cœur a un effet régularisant sur la complexité des orbites; la présence du cœur sature la relation en loi de puissance entre r a et la période : cœur : exposant 0.6, halo : exposant 1.2 modèle isochrone résultats non sensibles à la variation du nombre N d étoiles et du paramètre d adoucissement ɛ. r a UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

93 UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

94 Conclusions Ê un système initialement homogène avec suffisamment d inhomogénéités spatiales évolue vers un système «cœur effondré», par déclenchement d une instabilité d Antonov; Ä un système «cœur - halo» avec un contraste de densité suffisant subit un effondrement du cœur, par instabilité d Antonov (démonstration analytique inachevée et étude numérique sur des cas particuliers); Å Æ l étude des orbites stellaires suggère une différentiation entre systèmes «cœur - halo» et systèmes «cœur effondré» la complexité est une signature dynamique des systèmes auto-gravitants UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

95 Conclusions Ê un système initialement homogène avec suffisamment d inhomogénéités spatiales évolue vers un système «cœur effondré», par déclenchement d une instabilité d Antonov; Ä un système «cœur - halo» avec un contraste de densité suffisant subit un effondrement du cœur, par instabilité d Antonov (démonstration analytique inachevée et étude numérique sur des cas particuliers); Å Æ l étude des orbites stellaires suggère une différentiation entre systèmes «cœur - halo» et systèmes «cœur effondré» la complexité est une signature dynamique des systèmes auto-gravitants UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

96 Conclusions Ê un système initialement homogène avec suffisamment d inhomogénéités spatiales évolue vers un système «cœur effondré», par déclenchement d une instabilité d Antonov; Ä un système «cœur - halo» avec un contraste de densité suffisant subit un effondrement du cœur, par instabilité d Antonov (démonstration analytique inachevée et étude numérique sur des cas particuliers); Å Æ l étude des orbites stellaires suggère une différentiation entre systèmes «cœur - halo» et systèmes «cœur effondré» la complexité est une signature dynamique des systèmes auto-gravitants UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

97 Conclusions Ê un système initialement homogène avec suffisamment d inhomogénéités spatiales évolue vers un système «cœur effondré», par déclenchement d une instabilité d Antonov; Ä un système «cœur - halo» avec un contraste de densité suffisant subit un effondrement du cœur, par instabilité d Antonov (démonstration analytique inachevée et étude numérique sur des cas particuliers); Å Æ l étude des orbites stellaires suggère une différentiation entre systèmes «cœur - halo» et systèmes «cœur effondré» la complexité est une signature dynamique des systèmes auto-gravitants UMA, ENSTA Nicolas KIELBASIEWICZ Dynamique gravitationnelle multi-échelle 6 février /46

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

TD 9 Problème à deux corps

TD 9 Problème à deux corps PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies

Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,

Plus en détail

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité numérique Jérôme Novak LUTH : Laboratoire de l Univers et de ses THéories CNRS / Université Paris 7 / Observatoire de Paris F-92195 Meudon Cedex,

Plus en détail

La fonction exponentielle

La fonction exponentielle DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction

Plus en détail

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif -

POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Audioprothésiste / stage i-prépa intensif - 70 Chapitre 8 : Champ de gravitation - Satellites I. Loi de gravitation universelle : (

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Mesure de la dépense énergétique

Mesure de la dépense énergétique Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie

Plus en détail

Le satellite Gaia en mission d exploration

Le satellite Gaia en mission d exploration Département fédéral de l économie, de la formation et de la recherche DEFR Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation SEFRI Division Affaires spatiales Fiche thématique (16.12.2013)

Plus en détail

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu

TS Physique Satellite à la recherche de sa planète Exercice résolu P a g e 1 Phsique atellite à la recherche de sa planète Exercice résolu Enoncé Le centre spatial de Kourou a lancé le 1 décembre 005, avec une fusée Ariane 5, un satellite de météorologie de seconde génération

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

Sur les vols en formation.

Sur les vols en formation. Sur les vols en formation. Grasse, 8 Février 2006 Plan de l exposé 1. Missions en cours et prévues 2. Le problème du mouvement relatif 2.1 Positionnement du problème 2.2 Les équations de Hill 2.2 Les changements

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

Notre galaxie, la Voie lactée

Notre galaxie, la Voie lactée Chapitre 1 Notre galaxie, la Voie lactée Misha Haywood Au début du XX e siècle, alors que notre galaxie était encore désignée comme un «univers-île», expression forgée par Alexander V. Humboldt, un astronome

Plus en détail

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques

Panorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,

Plus en détail

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct

Ekoconstruct / Catalogue 2014. ek construct Ekoconstruct / Catalogue 2014 ek construct 1 Nos engagements Nos engagements Une entreprise familiale avec un savoir faire Une société tournée vers le développement durable Une construction rapide et personnalisée

Plus en détail

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007 Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n

Plus en détail

Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites

Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites I- Les trois lois de Kepler : Chapitre 9 : Applications des lois de Newton et Kepler à l'étude du mouvement des planètes et des satellites Les lois de Kepler s'applique aussi bien pour une planète en mouvement

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine

Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par

Plus en détail

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Système formé de deux points

Système formé de deux points MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2

Plus en détail

Valorisation d es des options Novembre 2007

Valorisation d es des options Novembre 2007 Valorisation des options Novembre 2007 Plan Rappels Relations de prix Le modèle binomial Le modèle de Black-Scholes Les grecques Page 2 Rappels (1) Définition Une option est un contrat financier qui confère

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes

Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes M. Aubert To cite this version: M. Aubert. Famille continue de courbes terminales du spiral

Plus en détail

MOND avec ou sans matière noire

MOND avec ou sans matière noire MOND avec ou sans matière noire Luc Blanchet Institut d Astrophysique de Paris, GRECO, 98 bis boulevard Arago, 75014 Paris, France Françoise Combes Observatoire de Paris, LERMA, 61 avenue de l Observatoire,

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Quantité de mouvement et moment cinétique

Quantité de mouvement et moment cinétique 6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -

Plus en détail

1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente?

1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente? 1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente? 1.1 Comment fonctionne un traitement de texte?: les balises. Un fichier de traitement de texte (WRITER ou WORD) comporte en plus du

Plus en détail

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris

Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB. Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Simulations hydrodynamiques relativistes de la phase émission rémanente dans les GRB Zakaria Meliani Séminaire au L.U.Th, Observatoire de Paris Janvier 2007 Les grandes lignes de la présentation Les propriétés

Plus en détail

TD de Physique n o 1 : Mécanique du point

TD de Physique n o 1 : Mécanique du point E.N.S. de Cachan Département E.E.A. M FE 3 e année Phsique appliquée 011-01 TD de Phsique n o 1 : Mécanique du point Exercice n o 1 : Trajectoire d un ballon-sonde Un ballon-sonde M, lâché au niveau du

Plus en détail

Cours IV Mise en orbite

Cours IV Mise en orbite Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction

Plus en détail

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX

SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX SEANCE 4 : MECANIQUE THEOREMES FONDAMENTAUX 1. EXPERIENCE 1 : APPLICATION DE LA LOI FONDAMENTALE DE LA DYNAMIQUE a) On incline d un angle α la table à digitaliser (deuxième ou troisième cran de la table).

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Les objets très lointains

Les objets très lointains Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2

Exercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2 Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la

Plus en détail

Introduction aux plasmas. Magneto-hydrodynamique

Introduction aux plasmas. Magneto-hydrodynamique Master 1 de Physique 2ème année de Magistère de Physique Université Joseph Fourier Introduction aux plasmas magnétisés Magneto-hydrodynamique Jonathan Ferreira IPAG- Institut de Planétologie et d Astrophysique

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Modélisation et Simulation

Modélisation et Simulation Cours de modélisation et simulation p. 1/64 Modélisation et Simulation G. Bontempi Département d Informatique Boulevard de Triomphe - CP 212 http://www.ulb.ac.be/di Cours de modélisation et simulation

Plus en détail

Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique

Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique Explorons la Voie Lactée pour initier les élèves à une démarche scientifique Responsables : Anne-Laure Melchior (UPMC), Emmanuel Rollinde (UPMC/IAP) et l équipe EU-HOUMW. Adaptation du travail novateur

Plus en détail

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :

Chapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la

Plus en détail

2105-2110 mm 1695 mm. 990 mm Porte-à-faux avant. Modèle de cabine / équipage Small, simple / 3. Codage 46804211 46804311 46804511

2105-2110 mm 1695 mm. 990 mm Porte-à-faux avant. Modèle de cabine / équipage Small, simple / 3. Codage 46804211 46804311 46804511 CANTER 3S13 2105-2110 mm 1695 mm 990 mm Porte-à-faux avant 3500 3995 4985 Longueur max. de carrosserie** 2500 2800 3400 Empattement 4635 4985 5785 Longueur hors tout Masses/dimensions Modèle 3S13 Modèle

Plus en détail

Chapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique

Chapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors

Plus en détail

Cours Fonctions de deux variables

Cours Fonctions de deux variables Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté

Plus en détail

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique

Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L

Plus en détail

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé

Baccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue

Plus en détail

Quantification Scalaire et Prédictive

Quantification Scalaire et Prédictive Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction

Plus en détail

Physique : Thermodynamique

Physique : Thermodynamique Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2 Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

Attitude des ménages face au risque. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014

Attitude des ménages face au risque. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014 Attitude des ménages face au risque - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Automne 2014 Plan du cours 1. Introduction : demande de couverture et comportements induits pa 2. Représentations

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE

CONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :

Plus en détail

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide

Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous

Plus en détail

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle

Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l

Plus en détail

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique

Exercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique

ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION. Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique 1 ANALYSE NUMERIQUE ET OPTIMISATION Une introduction à la modélisation mathématique et à la simulation numérique G. ALLAIRE 28 Janvier 2014 CHAPITRE I Analyse numérique: amphis 1 à 12. Optimisation: amphis

Plus en détail

Commun à tous les candidats

Commun à tous les candidats EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle

Plus en détail

Le nouveau programme en quelques mots :

Le nouveau programme en quelques mots : Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction

Plus en détail

COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre?

COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? Terminale S1 Lycée Elie Cartan Olympiades de Physiques 2003-2004

Plus en détail

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS) VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale

Plus en détail

Utilisation des intégrales premières en mécanique. Exemples et applications.

Utilisation des intégrales premières en mécanique. Exemples et applications. Sébastien Bourdreux Agrégation de Physique Université Blaise Pascal - Clermont-Ferrand Utilisation des intégrales premières en mécanique. Exemples et applications. septembre 2003 Correcteur : Pascal DELLOUVE

Plus en détail

Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008

Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Loi binomiale Lois normales

Loi binomiale Lois normales Loi binomiale Lois normales Christophe ROSSIGNOL Année scolaire 204/205 Table des matières Rappels sur la loi binomiale 2. Loi de Bernoulli............................................ 2.2 Schéma de Bernoulli

Plus en détail

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière

Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre

Plus en détail

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août

La vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent

Plus en détail

TESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION

TESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION TESTS PORTMANTEAU D ADÉQUATION DE MODÈLES ARMA FAIBLES : UNE APPROCHE BASÉE SUR L AUTO-NORMALISATION Bruno Saussereau Laboratoire de Mathématiques de Besançon Université de Franche-Comté Travail en commun

Plus en détail

Repérage d un point - Vitesse et

Repérage d un point - Vitesse et PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Sillage Météo. Notion de sillage

Sillage Météo. Notion de sillage Sillage Météo Les représentations météorologiques sous forme d animation satellites image par image sont intéressantes. Il est dommage que les données ainsi visualisées ne soient pas utilisées pour une

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)

EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.

Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une

Plus en détail

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur

Excel Avancé. Plan. Outils de résolution. Interactivité dans les feuilles. Outils de simulation. La valeur cible Le solveur Excel Avancé Plan Outils de résolution La valeur cible Le solveur Interactivité dans les feuilles Fonctions de recherche (ex: RechercheV) Utilisation de la barre d outils «Formulaires» Outils de simulation

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les

Plus en détail