LE DEPÔT DE SANG :UN OPTIMUM POUR L ETABLISSEMENT DE SOINS AU VU DE LA NOUVELLE REGLEMENTATION? Bruno LAFEUILLADE - EFS Rhône Alpes, site de Grenoble
|
|
- Thomas Beauséjour
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE DEPÔT DE SANG :UN OPTIMUM POUR L ETABLISSEMENT DE SOINS AU VU DE LA NOUVELLE REGLEMENTATION? Bruno LAFEUILLADE - EFS Rhône Alpes, site de Grenoble
2 Schéma général d une délivrance et de sa réception Commande de PSL Réception : prescription + IH (RAI, GS) Vérification et correction des non conformités Préparation de la commande Sélection PSL - en fonction IH PSL et Receveur - historique et protocoles Saisie informatique* Contrôle de délivrance Remise des PSL Contrôle de délivrance Transport Réception par l ES
3 Délivrance et dépôt de délivrance Etablissement de Soins Demande d approvisionnement en PSL par l ES à l EFS Commande de PSL Réception : prescription + IH (RAI, GS) Vérification et correction des non conformités Réception des PSL Stockage des PSL Gestion du stock Eviter les péremptions Gérer les renouvellement Préparation de la commande Sélection PSL - en fonction IH PSL et Receveur - historique et protocoles - du stock Saisie informatique Contrôle de délivrance Contrôle de délivrance Remise des PSL
4 Commande de PSL Réception : prescription + IH (RAI, GS) Vérification et correction des non conformités Préparation de la commande Sélection PSL EFS - en fonction IH PSL et Receveur - historique et protocoles Saisie informatique Contrôle de délivrance Contrôle de délivrance Remise des PSL destinés au dépôt Délivrance et dépôt relais Etablissement de Soins Dépôt Relais Stockage PSL délivrés (à un patient) dans le dépôt Demande de remise de PSL par le service Contrôle de délivrance Contrôle de délivrance Remise des PSL à la personne mandate par le service prescripteur
5 Dépôt d urgence vitale Etablissement de Soins Gestion simplifiée de stock le plus souvent 2 O+ / 2O- renouvellement simplifié Commande de PSL en UVI Réception : prescription +/- IH (RAI, GS) Préparation de la commande Sélection PSL simplifié (CGR O, Plasma AB) uniquement choix RH D+ ou D- pour les CGR Remise des PSL
6 Délai d obtention Commande de PSL Réception : prescription + IH (RAI, GS) Vérification et correction des non conformités Fax : < 5mn Autres :? Délai d obtention Préparation de la commande Sélection PSL - en fonction IH PSL et Receveur - historique et protocoles Saisie informatique* mn Contrôle de délivrance Remise des PSL Contrôle de délivrance Transport Réception par l ES
7 Contraintes d un ES à distance d un site Transport Un délai de transport = délai pour obtenir le transporteur délai du trajet vers l EFS délai du trajet EFS vers ES Logistique transport (optimiser le coût du transport, problème des transports multiples) Ces contraintes sont d autant plus importantes que l ES est loin que son activité de délivrance est importante qu il traite les urgences Difficulté organisationnelle pour les actes transfusionnels Le dépôt : une solution?
8 Bilan des 80 dépôts de la région Rhône Alpes en terme d activité et de distance Répartition des temps de transport entre le dépôt et le site EFS 12% 10% 4% 1% 5% > 60 minutes 34% 0-15 mn mn mn mn mn 39% mn 73 % < 30 minutes
9 Répartition de l'activité des dépôt (CGR délivrés) 7% > 2000 CGR / an > 8CGR / J ou 4 délivrance / J 9% 7% 22% <250 11% % 30% % < 500 CGR / an (< 2CGR ou 1 délivrance / J)
10 Analyser les besoins : Délai d obtention, délai de transport Logistique transport Besoins transfusionnels / pathologie (chirurgicale, médecine, urgence ) Coût transport / coût du dépôt Complexité réglementaire du dépôt Quelles solutions? en déduire Alternatives possibles Amélioration organisationnelle quand cela est possible «Descendre d un cran»
11 Dépôt de délivrance Dépôt relais + / - Dépôt UV Entreposage (bloc) Aucun dépôt (Optimisation organisationnelle)
12 Le dépôt relais Principe : Possibilité de conserver des PSL (au-delà de 6 heures) Ces PSL sont délivrés par l EFS à un patient Seule la conservation et la remise des PSL est à la charge de l ES Un facteur critique : la remise des PSL Cette étape a été à l origine d erreur d attribution et d incompatibilité ABO Nécessité d une procédure précise Aspects logistiques et économiques Le dépôt relais permet de regrouper le transport des PSL et donc de limiter le transport (le plus souvent <=1/jour) Nouvel réglementation : nécessité d un système informatisé gérant les flux de PSL et leur traçabilité Évaluer l économie en transport réalisé par le dépôt relais / coût du dépôt au vue de la nouvelle réglementation
13 Le dépôt relais dans l activité chirurgicale Concerne la chirurgie hémorragique Les contraintes : L heure de la transfusion est difficile à prévoir La série transfusionnelle peut nécessiter d être répartie dans le temps, et peut se dérouler hors du bloc (retour du patient dans le service) Le dépôt relais par la conservation des PSL permet de répondre à ces deux points Difficultés du dépôt relais dans le cadre de l activité chirurgicale : Evaluer avec précision les besoins Limiter la non utilisation Indicateur de bon fonctionnement % de destruction ou de retour pour réintégration (quand la procédure est prévue)
14 Le dépôt relais dans le cadre de l activité médicale Concerne la transfusion d anémie par défaut de production Le plus souvent constituées progressivement Donc pas de notion d urgence relative (2-3 heures) le plus souvent (Exemple : myélodysplasie, aplasie iatrogène..) concerne le plus souvent les personnes âgées (médiane 70 ans). Les contraintes transfuser au moment où les moyens du service permettent la meilleure surveillance et non au moment de la réception de remettre les PSL au rythme jugé optimal par le médecin selon l état clinique Difficultés du dépôt relais dans l activité médicale Qui prend en charge la gestion du dépôt Indicateur de bon fonctionnement % de destruction
15 Conclusion Avantages : Le dépôt relais offre une grande souplesse pour l organisation des actes transfusionnelles Il permet de limiter les transports (d autant plus intéressant que l activité est importante) Les étapes les plus critiques de la délivrance sont effectuées par l EFS Inconvénients Le coût du dépôt : surtout au vu de la nouvelle réglementation Les moyens humains pour le faire fonctionner C est un choix d établissement
16 Principes : pouvoir conserver les PSL pendant une durée pouvant dépasser 6 heures mais toujours < 24 heures avec un conteneur L entreposage Restrictions : Uniquement l activité chirurgicale du bloc : Situation chirurgicale à haut risque hémorragique Pour le bloc (pas de possibilité de transfuser ultérieurement dans le service) Conservation : Pendant la durée de l intervention Toujours < 24 heures Nécessité à la fermeture du bloc de renvoyer tous les PSL restants. Intérêt : diminuer la contrainte Convention versus dossier de dépôt relais
17 Le conteneur Point critique : éviter les erreurs de destination toujours avoir un contenant avec identification complète ES/Service/ Patient avec Fiche de délivrance = le sac EFS même rigueur dans les procédures de réception que le dépôt relais Propositions pour la notion réglementaire du conteneur : Un contenant identifié Un conteneur de transport qualifié Pas de changement aux pratiques actuelles Un conteneur d entreposage : une enceinte qualifiée Remise des PSL : même contrainte que les dépôts Etape critique (des dysfonctionnements à ce niveau ont été à l origine d accident ABO) Nécessité d une procédure précise comme dans le dépôt relais
18 Enregistrement de température et reprise Les PSL de la commande sont solidarisées avec un enregistreur (commun à la région) Conséquences : gestion des retours de ces enregistreurs à prévoir conduite à tenir en cas de perte et de non retour (identification des enregistreurs, facturation ( euros? = ½ CGR, dans quel délai..) Indicateur : déterminer un taux de retour «acceptable» Valorisation du retour et de la réintégration : échelle de grandeur (20 30 euros)
19 Conclusion sur l entreposage Solution moins contraignante / dépôt relais Mais plus limité Attention à la simplicité apparente Importance de structurer ce mode de fonctionnement dans la convention : Transport Le cas échéant reprise La gestion du matériel, leur retour (la sonde), la facturation si perte..)
20 Comparaison entreposage/ dépôt relais Domaine d application Services Durée de stockage Contraintes Informatique Besoin de responsable et gestionnaire dépôt Modes opératoires : Reprise Réception Remise des PSL Gestion des retours des enregistreurs = Perte = Gain Dépôt relais Tous services (médecine, chirurgie Tous services Durée > 6heures sans limitation Administratif (dossier) Oui Oui Oui Le cas échéant Si retour prévu Entreposage Chirurgicale Bloc Durée de l intervention, < 24 heures Convention Non Non Oui, avec la même rigueur Le cas échéant Dans tous les cas
21 Alternative pour les dépôts relais à activité médicale Concerne les transfusions non urgentes (> 2-3 heures de délai d obtention) Organiser la «logistique» des demandes transfusionnelles Regrouper les commandes Un transport pour plusieurs commandes Indication d une «chronologie type» en CSTH Numération : quand? Commande, envoi commande : quand? Navette de transport : quel navette? Réception? Cette logistique peut répondre à : Limitation des frais de transport Pouvoir transfuser dans un délai < 6 heures Inconvénients Pas très souple Nécessité de l adhésion des prescripteurs.
22 Dépôt d urgence vitale (1) Niveau d urgence vitale : Urgence vitale immédiate Sans délai des PSL sur place Urgence vitale <30 minutes Dans la mesure du possible isogroupe prévoir, structurer les demandes de groupe, en absence de documents de groupage
23 Dépôt d urgence vitale (2) Le dépôt d UV est «une solution d attente» Sa composition dépend : De l éloignement Du type d activité Le stock est toujours limité Ressource rare Réduire l immobilisation (200 CGR O- immobilisés, soit 25 % des O-) S intègre dans une procédure de gestion de l urgence vitale : 4 temps Délivrance simplifié de O (O+ ou O- selon les cas) Groupage en urgence en absence de groupe Demande de réapprovisionnement du DUV Commande des PSL isogroupes pour la continuité de la prise en charge transfusionnelle
24 Dépôt d urgence vitale (3) Aspects logistiques Prévoir un circuit rapide de communication de la prescription et du réappro (fax, / ) Prévoir un transport disponible 24h/24h pour l urgence Prévoir un circuit rapide pour les prélèvements de groupe et de RAI et un groupage rapide par le labo Indicateur de bon fonctionnement Nombre de PSL utilisé pour la thérapeutique transfusionnelle À titre indicatif, un nombre <5 nécessite l analyse de la pertinence de la mention UV
25 Alternatives et solutions Dépôt de délivrance Dépôt relais + / - Dépôt UV Entreposage (bloc) Aucun dépôt (Optimisation organisationnelle)
Zone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailLE DIRECTEUR GENERAL DE LA SANTE LE DIRECTEUR DE L'HOSPITALISATION ET DE L'ORGANISATION DES SOINS
MINISTERE DE LA SANTE, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPEES Direction générale Paris, de la santé Sous direction de la politique des produits de santé (SD3) Sous direction de la qualité du système
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailLABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.
LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION
Plus en détailEtude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012
Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailwww.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses
www.etablissement-francais-du-sang.fr E.R.A. Echanges des Résultats d Analyses E.R.A. L EFS, les Etablissements de Santé et les laboratoires effectuant des analyses d I.H. pour des patients susceptibles
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailDPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE»
Programme de DPC «ACTION EN SECURITE TRANSFUSIONNELLE» Séance cognitive DPC Samedi 20 juin 2015 Journée Régionale d Hémovigilance ARS IDF Généralités Unprogramme de DPC est un ensemble d activités d évaluation
Plus en détailLES BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
Les Bonnes Pratiques Transfusionnelles République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Reforme Hospitalière Agence Nationale du Sang LES BONNES PRATIQUES
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailDon du sang Lisieux Une première en Normandie
DOSSIER DE PRESSE : Don du sang Lisieux Une première en Normandie SOMMAIRE : Une opération unique en Normandie : page 3 Les différents acteurs : page 4 L association «Don du Sang de Lisieux» : page 5 Page
Plus en détailRéorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban
Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailGestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques
Gestion des risques : Principes et méthodes d analyse d accidents thérapeutiques 6ème journée "Actualités et perspectives» Réseau d Hémovigilance Aquitaine Limousin 27/11/08 Dr P.Roussel Institut National
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailDE BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES
LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES TRANSFUSIONNELLES Octobre 2012 Rédigés en collaboration avec SOMMAIRE PREAMBULE... 4 GLOSSAIRE ET ABRÉVIATIONS... 5 TRONC COMMUN... 14 Contrôle de la qualité... 15 Personnel...
Plus en détailIntroduction au métier d ARC. en recherche clinique
Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse
Plus en détailPOLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné
POLITIQUE DE SECURITE DE L EFS ou la nécessité de construire un système sûr, durable, évolutif et raisonné Congrès SFSP, Jeudi 3 novembre 2011 Contexte et objectifs Sécurité transfusionnelle = Préoccupation
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailPolitique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :
POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailLes prescriptions pour le Don de Sang en France
Les prescriptions pour le Don de Sang en France 6 septembre 2013 - Genève La vison de l Etablissement Français du Sang par Nicole Coudurier 1. Sécurisation du l aphérèse 2. Evolution des sites fixes de
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailMANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE
MANUEL D AIDE A LA FORMATION EN TRANSFUSION SANGUINE Coordination Régionale d Hémovigilance Docteur Mahdi TAZEROUT Madame Yolande GALINIER Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales Midi-Pyrénées
Plus en détailMise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé
Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr
Plus en détailAnalyse des incidents
Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailA N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21
A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailInteGraal MODE. cousu main
InteGraal MODE progiciels ET SERVICES cousu main pour l INDUSTRIE ET LE COMMERCE DE la FILIÈRE mode InteGraal MODE L erp métier cousu Main pour l industrie et le commerce de la MODE Pour répondre à vos
Plus en détailConclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen
Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Etat des lieux : prélèvements et greffes à l AP-HP Forte Activité de l AP-HP au plan national
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailGestion des stocks et des approvisionnements
Les stocks représentent dans le bilan des entreprises de 20 à 80% du total de l actifs. Engendrent un important besoin de financement. Les stocks remplissent d importantes fonctions. Bien gérer les stocks
Plus en détailLES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE
LES PROCEDURES DE LA POLITIQUE D ARCHIVAGE La mise en place d une politique d archivage offre des solutions pour assurer une gestion pérenne des archives. Ce guide de procédure doit : - servir de base
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailDéploiement du PES v2. 09 & 10 Octobre 2014 à PERPIGNAN
Déploiement du PES v2 09 & 10 Octobre 2014 à PERPIGNAN La Société Créée en 1981 Société française, indépendante Un chiffre d affaires en croissance depuis sa création 4,6 millions d euros 47 personnes
Plus en détailDossier de partenariat
Dossier de partenariat C 008-20 2 s e n u e j e n ampag le don du sang : un autre moyen de vivre une expérience forte 09 L EFS : un acteur majeur de santé publique L EFS Créé en 2000, l Etablissement Français
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLa plateforme Cloud Supply Chain. Présentation de GT Nexus
La plateforme Cloud Supply Chain Présentation de GT Nexus Une idée simple mais très efficace Les entreprises gagnantes fonctionneront en réseau A l avenir, les entreprises les plus performantes n opèreront
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailLa chaîne du froid pour le sang. Guide pour la sélection et l acquisition du matériel et des accessoires
La chaîne du froid pour le sang Guide pour la sélection et l acquisition du matériel et des accessoires La chaî aîne du u froid pour r le sang Guide pour la sélection et l acquisition du matériel et des
Plus en détailLe délai de conservation
Stéphanie SÉGUI Consultante au Centre de droit JuriSanté (CNEH) MOTS-CLÉS archives hospitalières conservation dossiers de consultations externes dossiers de pédiatrie dossiers de stomatologie dossiers
Plus en détailLeçon 11. les tâches de gestion du magasin
CANEGE Leçon 11 les tâches de gestion du magasin Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable : d'appréhender la différence entre gestion dynamique des stocks et gestion des magasins d
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailSpécificité des essais cliniques dans le cadre de l enregistrement d un médicament. Florence BOUDEVIN 20 Novembre 2009
Spécificité des essais cliniques dans le cadre de l enregistrement d un médicament Florence BOUDEVIN 20 Novembre 2009 Introduction Une étude clinique c est : Une molécule Un objectif principal Un cycle
Plus en détailPAR ANAT. Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur sanitaire BLOC OBSTÉTRICAL SCÉNARIO CONSULTATION IDENTITO-VIGILANCE
IDENTITO-VIGILANCE SCÉNARIO CONSULTATION SUIVI QUALITÉ GESTION DES IDENTITÉS SCÉNARIO ADMISSION PAR EXAMENS TRANSPORT RECOMMANDATIONS Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailMONITORING / SUIVI DES PATIENTS
Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou
Plus en détailLa filière du sang en France
La filière du sang en France RAPPORT Établi par Olivier VÉRAN, Député de l Isère avec l appui de Abdelkrim KIOUR Inspecteur des affaires sociales Claude SARDAIS Inspecteur général des finances Mission
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailFrais de transport. 1. Les situations de prise en charge
Frais de transport L Assurance Maladie peut prendre en charge les frais de transport pour les patients dont la situation ou l état de santé le justifie et sous certaines conditions. 1. Les situations de
Plus en détailGestion de crise en Pharmacovigilance
Cours DIU FIEC 16 octobre 2008 Véronique LAMARQUE PFIZER Senior Directeur Évaluation de Santé, Sécurité et Gestion de Risque Une définition... parmi d autres Une crise est un événement qui survient quand
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailSystèmes d information Hospitaliers : La fin des citadelles. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
Systèmes d information Hospitaliers : La fin des citadelles 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE Jean-Marc Tourreilles DSIO Centre Hospitalier Intercommunal Fréjus-Saint-Raphaël Présentation du CHI Fréjus-ST-Raphaël
Plus en détailRes Kelch UN BRACELET POUR LA VIE
Res Kelch UN BRACELET POUR LA VIE Loïc Peden - Melvin Prost Chloé Cachet Challenge Humanitech Edition 2014 Remerciements Nous tenons à remercier l équipe de la fondation Casques-Rouges pour l organisation,
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailConseil. en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire. www.adessa-software.com. tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657
Conseil en Organisation et Gestion de Bloc Opératoire tel : +32 (0)10 841 921 fax : +32 (0)10 227 657 www.adessa-software.com Avant-Propos De part sa nature complexe et évolutive, le bloc opératoire est
Plus en détailEVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN
REHAL : actualités et perspectives; 10 ème journée 22 novembre 2012 EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN Dr Azzedine ASSAL Directeur EFS-AQLI LA RÉGION AQUITAINE-LIMOUSIN
Plus en détailLa gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité
La gestion documentaire les bases d'un système de management de la qualité 8 ème journée professionnelle de l ANTAB - 21 Octobre 2011 Fatima TOUBAIS Ingénieur qualité Accréditation des Laboratoires Direction
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailLe Groupe Lea au service de votre mobilité
1 Qu est-ce que le Fleet Management Lea Easy Mobility? Le Fleet Management consiste à confier la gestion de sa flotte automobile à un prestataire, tout en restant propriétaire de ses véhicules. C est une
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailLa problématique de la prise en charge d un patient obèse. Pierre Vanaudenaeren CoAMU Province du Hainaut
1 La problématique de la prise en charge d un patient obèse. Pierre Vanaudenaeren CoAMU Province du Hainaut 2 Une demande d avis a été demandée par le Conseil national des secours médicaux d urgence en
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailMétiers de la Production/ Logistique
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable
Plus en détailExposé sur la Transfusion Sanguine
Sommaire : I Histoire de la transfusion sanguine A/ Découverte des groupes sanguins B/ Premières transfusions sanguines C/ Les journées du sang II Les groupes sanguins A/ Les différents groupes B/ Déterminer
Plus en détailDIPLOME UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE, SPÉCIALITÉ GESTION LOGISTIQUE ET TRANSPORT
DIPLOME UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE, SPÉCIALITÉ GESTION LOGISTIQUE ET TRANSPORT RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Doctorat d'université Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Présentation
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailFiche pratique : Modes de paiement en cabinet de médecine générale
Fiche pratique : Modes de paiement en cabinet de médecine générale Le but de ce document est de proposer aux internes en médecine générale, actuellement en stage chez le praticien, une aide facilement
Plus en détailSéquence 1 : La place du MSP et de l ISP
Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative
Plus en détailCahier Technique La Demande de Remboursement Electronique (DRE)
Cahier Technique La Demande de Remboursement Electronique (DRE) Télévitale cahier technique : la demande de remboursement électronique (DRE) Page 1 / 9 Sommaire Introduction... 3 Le Dossier Patient...
Plus en détailSommaire. Sommaire. Chapitre 1 : Les acteurs du don du sang
Edito Édito... Nous sommes heureux de vous présenter le guide des relations ADSB-EFS IDF. Il est le fruit d un travail commun entre l EFS IDF et le comité régional pour le don de sang bénévole. Collaboration
Plus en détail