Mesure par capacité électrique de la teneur en eau des sables sur bande transporteuse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Mesure par capacité électrique de la teneur en eau des sables sur bande transporteuse"

Transcription

1 TRAN NGOC LAN Ingénieur ESE Mesure par capacité électrique de la teneur en eau des sables sur bande transporteuse et A. JALLET Technicien supérieur Laboratoire central INTERET DE LA METHODE La teneur en eau des différentes classes granulaires entrant dans la composition d'un matériau de construction est très importante à connaître puisque d'une part elle intervient dans la teneur en eau globale du matériau, dont dépendent ses caractéristiques telles que la résistance mécanique ou l'aptitude au compactage, et que d'autre part, elle influe, lors du dosage des constituants durant la fabrication, sur la formule obtenue. Il convient donc, pendant la fabrication des mélanges, de mesurer la teneur en eau des granulats et notamment celle du sable avec un appareil suffisamment précis et à temps de réponse suffisamment court pour pouvoir agir sur le dosage. Ce contrôle continu de la teneur en eau permet alors un asservissement des matériels de dosage qui limite l'intervention manuelle du conducteur de la centrale et garantit une plus grande régularité du mélange constitué. Il remplace avantageusement toutes les méthodes de mesure discontinues effectuées après prélèvement d'échantillons, lourdes d'emploi et insuffisamment représentatives. Parmi les nombreuses méthodes existant pour les mesures en continu on peut citer : la méthode par ralentissement de neutrons rapides, la méthode dite de résistivité. La méthode neutronique a déjà fait l'objet de maintes réalisations commerciales. Elle a beaucoup d'avantages, notamment un volume d'action important et une bonne précision ; elle a aussi ses inconvénients, dont un prix relativement élevé, un temps de réponse plus ou moins grand, et certaines précautions d'emploi nécessaires pour satisfaire aux normes de sécurité. A l'opposé, la méthode de résistivité est simple, peu coûteuse et sa réponse immédiate. Etant fondée sur la mesure d'une grandeur électrique, elle se prête très bien à l'automatisation. Son principe comporte cependant un certain nombre de facteurs d'influence difficilement contrôlables, tels que la salinité de l'eau mouillante, la propreté des matériaux, la température... L'intérêt de la méthode capacitive à très haute fréquence décrite dans cet article est de garder les avantages de la méthode résistive, étant elle-même électrique et d'une mise en oeuvre assez semblable, tout en atténuant très sensiblement l'effet des facteurs qui en rendent l'emploi délicat. Après un rappel du principe, on décrit plus particulièrement une application de cette méthode à la mesure de la teneur en eau des sables transportés sur bande. Les essais ont jusqu'à présent porté essentiellement sur les sables à bétons et seront prochainement étendus aux sables utilisés pour la fabrication des autres matériaux. PRINCIPE DE LA METHODE [1] Cette méthode est fondée sur la mesure de la permittivité diélectrique apparente e du sable humide, laquelle résulte de la combinaison des permittivités de l'eau, du sable et de l'air dont les valeurs sont respectivement de 80-5 et 1. Etant donné ces valeurs très contrastées, la permittivité du sable humide tend à être fonction surtout de la quantité d'eau présente dans le volume d'influence du champ électrique, c'est-à-dire de la teneur en eau volumique w VO i et, dans une bien moindre mesure, de la quantité de matière solide dans ce même volume, c'est-à-dire de la densité sèche yd qui agit comme paramètre. 109 Bull. Liaison Labo. P. et Ch mai-juin Réf. 1468

2 Ce principe serait vrai si l'eau, le sable et l'air se comportaient comme des phases indépendantes sans couplage mutuel. Mais les pores du milieu pulvérulent, quand ils sont remplis d'eau, constituent des microdomaines conducteurs qui avoisinent les microdomaines isolants que sont les grains de sable et les pores emplis d'air. Lorsque la fréquence du champ électrique alternatif appliqué est relativement basse, les ions ont le temps de se déplacer et viennent s'accumuler aux frontières des microdomaines conducteurs et isolants, créant un supplément de permittivité d'un ordre de grandeur parfois très supérieur à celui de la permittivité «d'origine diélectrique». Pour obtenir cette dernière, à l'exclusion de tout effet ionique, il faut donc utiliser une fréquence suffisamment élevée. C'est pourquoi la méthode est dite à très haute fréquence. Une fréquence supérieure à 20 MHz est en fait suffisante. La figure 1 tirée de la thèse de M. Descarpentries [2] montre que, pour un sable, le supplément de permittivité d'origine ionique a surtout lieu pour les fréquences inférieures à 10 MHz. Fig. 2 - Sonde montée sur le portique. 100kHz 1MHz 10MHz 100HHz 1GHz 10 GHz Igf Fig. 1 - Variation de la constante diélectrique du sable du Pyla en fonction de 'la fréquence [2]. DESCRIPTION DE L'APPAREILLAGE En pratique, la permittivité e n'étant pas accessible directement, on mesure la capacité, grandeur électrique qui lui est proportionnelle. Dans ce but on introduit une sonde comportant deux électrodes dans le sable humide, formant avec celui-ci un condensateur à pertes dont le schéma électrique équivalent est représenté par une capacité C en parallèle avec une résistance R. La méthode résistive consisterait à mesurer la résistance R ; la méthode capacitive consiste au contraire à mesurer la capacité C et, pour être purement capacitive, cette mesure doit être effectuée à très haute fréquence. On a mis au point un système électronique associé à la sonde pour exploiter d'une façon automatique la variation de la capacité en fonction de la teneur en eau. Sonde Les figures 2 et 3 montrent le capteur et son mode d'implantation sur la bande transporteuse. Fig. 3 - Sonde en position de travail dans la veine de sable. La sonde ayant la forme d'une étrave de bateau (fig. 4) est fixe et opère un sillon longitudinal, au milieu de la veine de sable lorsque cette veine défile sous la sonde. Celle-ci est composée de deux électrodes en acier inoxydable usinées dans la masse et Incorporées dans un moulage en araldlte. Telle qu'elle vient d'être décrite, la sonde a la structure d'un condensateur à électrtfdes coplanaires, c'est-à-dire que les surfaces actives des armatures du condensateur se trouvent dans le même plan. Les électrodes étant de dimension finie, la capacité d'un tel condensateur ne peut être calculée que par voie numérique. On peut cependant indiquer une expression analytique de la capacité qui, bien qu'elle ne soit rigoureuse que si la sonde comporte des électrodes de garde, demeure qualitativement valable. Cette expression montre que la capacité dépend du rapport des largeurs I des électrodes à leur écartement e et est directement proportionnelle à leur longueur L. Par ailleurs la sonde est dimensionnée de façon que son volume utile, défini tel que les matériaux qu'il comprend contribuent pour 95 % au moins à la capacité totale de la sonde, s'inscrive le mieux possible dans la section droite de la veine sableuse. 110

3 Vue de profil Oscillateur [4] 270- C'est un circuit électronique comprenant un élément amplificateur dont une fraction de la tension de sortie est ramenée à l'entrée dans les conditions de gain et de phase de telle sorte qu'il s'établisse des oscillations entretenues. Les oscillations se font approximativement à la fréquence f 0 de résonance du circuit en parallèle R, L, C, chargeant la sortie de l'oscillateur : f o = 1 2^^LC En pratique, le circuit résonant est composé d'une self inductance L, branchée en parallèle sur les électrodes de la sonde dont le schéma équivalent représente R et C. En vertu de la formule ci-dessus, à toute variation de capacité sous l'effet d'une variation de la teneur en eau correspond une variation en sens inverse de la fréquence de l'oscillateur. I Coupe ÂÂ] Fig. 4 - Sonde capacitive pour matériaux sur bande transporteuse. En fait, celle-ci ayant été choisie, les dimensions des électrodes et leur position relative ont été déterminées au préalable sur du papier conducteur à l'aide de l'appareillage destiné habituellement aux études par analogie électrique. La figure 5 montre le réseau des lignes de courant obtenues au sein du sable. On démontre que chaque fuseau compris entre deux lignes consécutives a la même contribution à la capacité totale. La section de la veine contient 10 fuseaux dont 9,5, représentant le volume utile, occupent environ 10 dm 3. Outre le fait que la fréquence doit être assez élevée pour éviter le supplément de capacité d'origine ionique, elle doit être indépendante de la résistance R de la sonde. Dans le cas contraire, cette résistance apporte encore une contribution ionique même si la fréquence est suffisamment élevée. Il faut ajouter enfin que l'oscillateur cesse de fonctionner lorsque la résistance équivalente de la sonde est inférieure à une résistance critique R 0 (100 il). Ce risque de décrochage peut se présenter lorsque le sable est conducteur et que sa teneur en eau est forte. L'oscillateur une fois réalisé, et compte tenu des caractéristiques électriques du sable, il faut dimensionner la sonde en sorte qu'elle puisse fonctionner dans toute la gamme de teneur en eau sans décrochage. On voit donc que le dimensionnement de la sonde est lié aux caractéristiques de l'oscillateur et que la réalisation de l'ensemble résulte d'un compromis tenant compte : de la conductivité du sable, de la résistance de décrochage de l'oscillateur. La figure 6 montre un exemple de courbes caractéristiques de l'oscillateur. Fréquence de l'oscillateur (MHz) Si Fig. 5 - Réseau des équipotentielles et des lignes de champ dans un milieu infini.. Décrocr age de l'oscilla :eur Système électronique associé Celui-ci comporte deux parties : un oscillateur incorporé dans la sonde, servant à convertir les variations de capacité en une variation de fréquence, grandeur facile à mesurer et à «transporter» à distance ; une chaîne de mesure de fréquence, convertissant celle-ci en un signal électrique continu, proportionnel à la teneur en eau Chaîne de mesure (pf) Capacité Fig. 6 Il faut un équipement pouvant mesurer des fréquences allant jusqu'à 50 MHz. En accord avec le LCPC, et la 111

4 société ERAIN (Etudes et réalisation d'automatismes industriels) a mis au point une version industrielle de la chaîne de mesure, très compacte, permettant d'afficher directement la teneur en eau sur le pupitre de commande. Cette société se chargera par ailleurs de la commercialisation de certaines applications industrielles de cette méthode. EXPERIMENTATION Essais en laboratoire Un certain nombre d'essais ont été effectués au préalable en laboratoire dans le but d'évaluer les effets respectifs de la température, de la concentration et de la nature ionique de l'eau mouillante ainsi que de la densité sèche du granulat. Effet de la température ambiante La température modifie aussi bien la constante diélectrique de l'eau mouillante que les caractéristiques de l'électronique associé. Il est donc nécessaire d'évaluer l'effet global de la température sur l'ensemble constitué de la sonde et de l'oscillateur. A titre indi- :30 catif, on a noté, lorsque la température s'élève de 20 C, une variation de fréquence équivalente à celle qu'entraînerait une augmentation de 0,5 % de la teneur en eau pondérale. Effet ionique La figure 7 montre l'effet peu important sur la capacité mesurée à 25,6 MHz, de la nature et de la concentration ionique de l'eau, alors que celles-ci continuent à avoir une influence considérable sur la conductance (fig. 8). C'est l'un des avantages de la méthode capacitive sur la méthode résistive. Effet de la densité sèche Enfin, on constate sur la figure 9 que, lorsque le sable passe de l'état foisonné à l'état de compacité maximal sous l'effet des vibreurs pneumatiques, subissant une variation de densité de l'ordre de 0,2 t/m 3, la capacité augmente d'une quantité égale à celle qu'entraînerait une augmentation d'un point et demi de teneur en eau pondérale. Capacité de la sonde (pf) a. CO Ü xi 0,25 2 9/1 g/i NaCI 0 CaSO«m o Ca(0H) 2 A A x Eau de ville non chargée Teneur en eau volumique (%) Fig. 7 - Influence de la présence d'ions dans l'eau de mouil lage sur la capacité électrique du sable de Melun. le S 6 a 5 o u Ss / / 0,25 2 9/1 g H _ O Na C l o CaS0 4 D - Ca(OH) 2 à 6 s Ss Jí»" 4 x Eau ( ie ville non che rgée k Teneur en eau volumique (%) Fig. 8 - Influence de la présence d'ions dans l'eau de mouillage sur la conductibilité électrique du sable de Melun Fig. 9 - Variation de la capacité en fonction de la densité. La densité du sable peut varier pour diverses raisons. On connaît la variation systématique de la densité du sable foisonné en fonction de la teneur en eau dont l'allure est représentée par la figure 10. L'effet de cette variation, qui peut être très important, est systématiquement pris en compte dans la courbe d'étalonnage si l'on effectue celui-ci dans les mêmes conditions qu'à l'utilisation, et n'entraîne donc pas d'erreur. 112

5 Densité 1,80 1,60 1,40 La centrale à béton à dosage continu SAE de Cergy- Pontoise dans laquelle les essais ont été effectués utilise le deuxième mode d'extraction. Les divers granuláis sont chargés dans les trémies doseuses à raison d'une trémie par granulat. Le sable s'étale, à partir d'une trappe rectangulaire à la base de la trémie, sur la bande transporteuse pour y former une veine relativement homogène. C'est sur cette veine de sable qu'on a choisi d'implanter la sonde. La figure 11 montre un exemple de droite d'étalonnage ainsi que les points expérimentaux dont la dispersion provient en partie des fluctuations résiduelles de la densité et en partie du manque de représentativité des prélèvements, lorsque la teneur en eau du sable est hétérogène. Ceux-ci en effet fournissent des teneurs en eau d'un volume de 1,5 litre, qui peuvent donc être différentes de celles indiquées par la sonde qui sont des teneurs en eau, moyennes dans un volume de 10 litres environ. 1,20 Fig Variation de la densité du sable foisonné en fonction de la teneur en eau. Fréquence de l'oscillateur (MHz) 37,5 \ \ \ \ La densité peut varier aussi d'une façon aléatoire sous l'effet des causes accidentelles telles que les à-coups du chargement du sable sur la bande, des vibrations épisodiques, etc. Ces fluctuations de densité sont cependant atténuées du fait qu'au voisinage de la sonde, qui cisaille le matériau en le pénétrant, un matériau donné, quelle que soit sa densité au départ, ne peut se trouver dans un état ni foisonné ni compact. Il se trouve en fait à sa densité critique ou à une valeur très proche [5] [6]. 35,0 32,5 \t \\ - 0,! 5 % \ \ + 0,5 % Influence de la nature minérale-gique La nature minéralogique des matériaux, ainsi que la forme des grains solides, intervenant dans la valeur de la permittivité du sable humide, la courbe de variation de la capacité en fonction de la teneur en eau, n'est pas la même pour différents matériaux ; il est donc souhaitable de procéder, pour chaque matériau, à un étalonnage de la sonde, cette opération consistant à relever les indications de la sonde en fonction des teneurs en eau des matériaux obtenus par séchage à l'étuve des prélèvements. 30, i Fig Résultats de l'expérimentation à la centrale SAE de Cergy-Pontoise (sable de Seine 0/6). Nombre de points Pour supprimer l'effet des variations systématiques de la densité, il est nécessaire d'effectuer cet étalonnage dans les conditions réelles d'utilisation, c'est-àdire en «vraie grandeur». Etalonnage en «vraie grandeur» L'étalonnage a été effectué en centrale sur du sable de Seine et à la Station d'essai d'éléments de matériel routier de Blois sur du sable de Loire. En centrale Le sable est généralement stocké en trémie mais peut en être extrait de deux manières -. soit par casque, soit par tapis extracteur. - 0,50 + 0, ,30 Ecart pondéral (%) Fig Histogramme de dispersion des points en place par rapport aux droites de régressions journalières (période du au ). Néanmoins, l'histogramme de dispersion (fig. 12) obtenu à partir d'une centaine de points expérimen- 113

6 MHz = 31,60 w % = 8,72 MHz = 32,50 MHz = 31,40 MHz =31,80 w % = 7,66 w % = 9,50 w % = 7,84 MHz = 33,30 w % = 5,60 1 mn 1 mn Fig Exemple d'enregistrement à la centrale de Cergy-Pantoise. taux, montre qu'on peut obtenir une précision de ± 0,5 point de teneur en eau pondérale. Cet histogramme a été obtenu après une correction de dérive des oscillateurs utilisés, dérive qui n'existe plus sur les oscillateurs actuels. Fréquence de l'oscillateur (MHz) La figure 13 représente un exemple d'enregistrement de la fréquence pendant le déroulement de la bande transporteuse, sur lequel on a noté les teneurs en eau des prélèvements et les fréquences correspondantes. On constate des fluctuations parfois très grandes de la teneur en eau du sable d'un instant à l'autre. Il faut ajouter que l'on peut aussi mesurer la teneur en eau des matériaux pendant l'arrêt de la bande transporteuse. La pression de la sonde sur les matériaux étant moins forte à l'arrêt qu'en marche et le contact plus lâche, la fréquence de l'oscillateur est toujours plus élevée, on obtient néanmoins une droite d'étalonnage satisfaisante (fig. 14). Etalonnage à la Station d'essai des éléments de matériels routiers de Blois (SEMR) Un banc des granulats a été réalisé à la SEMR pour tester l'efficacité des différents types de doseurs à granulats. Ce banc permet d'humidifier ou de sécher à volonté les sables transportés sur bande et de les recycler d'une façon permanente. Une sonde a été implantée sur la bande transporteuse de la même manière qu'en centrale. La rampe d'arrosage par pulvérisation permet de modifier de façon continue la teneur en eau ; un certain malaxage s'opère pendant le cycle fermé suivi par le sable, entraînant une homogénéisation relative de la teneur en eau dans toute la masse du sable. L'enregistrement obtenu sur du sable de Loire (fig. 15) est de ce fait très régulier en comparaison de celui obtenu en centrale. La droite d'étalonnage tirée de cet enregistrement est représentée sur la figure Fig Résultats de l'expérimentation à la centrale SAE de Cergy-Pontoise (bande transporteuse à l'arrêt). MHz w % : Fig Exemple d'évolution de la teneur en eau sur le banc d'essai des doseurs à granulats de la SEMR de Blois 114

7 Fréquence de l'oscillateur (MHz) " \ \ \ \ \ \ Des essais ont montré par ailleurs qu'on peut espérer étendre cette méthode à d'autres catégories de granulats moyennant certains aménagements de la sonde. Les expérimentations à venir permettront d'apprécier les domaines et les conditions d'emploi de cet appareil. On peut prévoir l'utilisation de cette méthode dans les centrales à béton ou à graves traitées ; elle y permettrait l'asservissement des divers dosages en fonction de la teneur en eau réelle des matériaux. Dans les postes d'enrobage, la sonde capacitive pourrait servir au réglage automatique du débit du combustible en fonction de la teneur en eau des matériaux à sécher, permettant une économie de combustible. En dehors du domaine routier, on peut songer à son application aux matériaux granulaires tels que les céréales,... BIBLIOGRAPHIE Flg Points expérimentaux obtenus à la Station d'essai de Blois (sable de Loire 0/6). CONCLUSION Les résultats exposés concernent exclusivement les sables à béton et montrent que la méthode capacitive, par la précision qu'on peut en espérer, peut combler en partie une lacune importante puisque le fascicule 28 relatif à l'exécution des chaussées en béton de ciment [6], après avoir souligné le besoin de connaître la teneur en eau des granulats, admet que «l'on ne sait pas encore la mesurer avec précision sur chantier». [1] TRAN NGOC LAN, CHAIGNE P., PHILIPPE A., Expérimentation d'une méthode capacitive pour l'évaluation de l'humidité des sols, Bull, liaison Labo. P. et Ch., 60 (juil.-août 1972), p Mesure des teneurs en eau des sols par les méthodes électriques (Etude d'une méthode capacitive), LCPC, Rapp. de recherche 5 (mars 1970). [2] DESCARPENTRIES M., Contribution à l'étude de la conductivité et de la polarisation complexe dans les milieux hétérogènes, Sable-argile-eau, Institut Français du Pétrole (fév. 1966). [3] AMBROSINO R., RENY, GONDINET, Etude d'un système de mesure de teneur en eau in-silu, Méthode non destructive, L.R. de Bordeaux, Rapport interne. [4] SCOTT R.-F., Proceeding of soil mechanics, Chapitre 7 (1963). [5] WACK B., Détermination expérimentale de la densité d'un sable à l'état de plasticité, C.R. Acad. Se. Paris, t. 260 (26 avril 1965), groupe 2. [6] Fascicule spécial n bis, Cahier des prescriptions communes applicables aux marchés de travaux publics relevant des services de l'équipement. Fascicule 28, Exécution des chaussées en béton de ciment. 115

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009

P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 à é Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de l'aménagement du territoire P. VALLON - Retraitement en place à froid - Juillet 2009 WWW.developpement-durable.gouv.fr Constitution

Plus en détail

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES

CAPTEURS - CHAINES DE MESURES CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,

Plus en détail

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre

Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3

Plus en détail

ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë=

ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= = Note d'information ^ìíéìêë=w=p íê~= o ëé~ì=`bqb= à~åîáéê=ommv= = ä ãéåíë=åä ë=çé=äû~ëëìê~ååé=èì~äáí =ÇÉë= ÅçìÅÜÉë=ÇÉ=ÑçêãÉ=íê~áí Éë= `Ü~ìëë Éë= a ééåç~ååéë= NNU= Les différents guides techniques et autres

Plus en détail

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave 500 W sur 13cm avec les modules PowerWave Philippe Borghini / F5jwf f5jwf@wanadoo.fr Janvier 2012 Introduction Tout le monde a déjà vu au moins une fois, sur les puces, ces fameuses platines PowerWave

Plus en détail

La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA)

La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) I. L'intérêt de la conversion de données, problèmes et définitions associés. I.1. Définitions:

Plus en détail

Une production économique! Echangeur d ions TKA

Une production économique! Echangeur d ions TKA Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION

Plus en détail

CleverLevel LBFS/ LFFS. L alternative vraiment intelligente aux détecteurs de niveau à lames vibrantes

CleverLevel LBFS/ LFFS. L alternative vraiment intelligente aux détecteurs de niveau à lames vibrantes CleverLevel LBFS/ LFFS L alternative vraiment intelligente aux détecteurs de niveau à lames vibrantes L alternative vraiment intelligente Avec sa gamme CleverLevel, Baumer révolutionne la technologie de

Plus en détail

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année

Cours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240

PRISE EN MAIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMADZU U.V. 240 I.N.S.. DE ROUEN Laboratoire de Chimie nalytique U.V. N PRISE EN MIN DU SPECTROPHOTOMETRE UV-VISIBLE SHIMDZU U.V. 240. OBJECTIFS - Choix des paramètres nécessaires pour un tracé de spectre. - Utilisation

Plus en détail

Les effets de température

Les effets de température Les effets de température 1. Introduction La chaleur issue du combustible est transférée au caloporteur (eau) grâce au gradient de température qui existe entre ces deux milieux. Combustible Gaine Eau Profil

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences

Plus en détail

Thermomètre portable Type CTH6500

Thermomètre portable Type CTH6500 Etalonnage Thermomètre portable Type CTH6500 Fiche technique WIKA CT 55.10 Applications Etalonnage de thermomètres Mesure de température pour les besoins d'assurance qualité Mesures dans des applications

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Champ électromagnétique?

Champ électromagnétique? Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

1.5 0.5 -0.5 -1.5 0 20 40 60 80 100 120. (VM(t i ),Q(t i+j ),VM(t i+j ))

1.5 0.5 -0.5 -1.5 0 20 40 60 80 100 120. (VM(t i ),Q(t i+j ),VM(t i+j )) La logique oue dans les PME/PMI Application au dosage de l'eau dans les bétons P.Y. Glorennec INSA de Rennes/IRISA glorenne@irisa.fr C. Hérault Hydrostop christophe@hydrostop.fr V. Hulin Hydrostop vincent@hydrostop.fr

Plus en détail

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/

Méthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

Chapitre 5 Mesures géophysiques

Chapitre 5 Mesures géophysiques Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable

Plus en détail

TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO

TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son

Plus en détail

MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations.

MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. MultiSense un nouveau concept de contrôle de niveau et de mousses. Même encrassé, ce capteur ne détecte que les vraies situations. Le MultiSense est un tout nouveau concept dans le contrôle de niveau,

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

Metrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions

Metrohm. ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781. Un nouveau concept qui fait référence. Analyse des ions Metrohm Analyse des ions ph-mètre 780 ph-/ionomètre 781 Un nouveau concept qui fait référence Des fonctions multiples faciles à utiliser Le ph-mètre 780 et le ph-/ionomètre 781 associent la qualité Metrohm

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

III Capteurs et actuateurs

III Capteurs et actuateurs III Capteurs et actuateurs Tous les systèmes électroniques ont en commun qu ils fonctionnent selon le principe ETS (Entrée, Traitement, Sortie) du traitement de l information. ENTRÉE TRAITEMENT SORTIE

Plus en détail

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE

Montrouge, le 9 février 2015. Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre Brossolette 92120 MONTROUGE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIRECTION DES CENTRALES NUCLEAIRES Montrouge, le 9 février 2015 Réf. : CODEP-DCN-2015-002998 Monsieur le Directeur Centre national d équipement nucléaire (CNEN) EDF 97 avenue Pierre

Plus en détail

Décharge électrostatique

Décharge électrostatique Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques

Plus en détail

Mesure de la surface spécifique

Mesure de la surface spécifique Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

ENREGISTREUR DE TEMPERATURE

ENREGISTREUR DE TEMPERATURE ENREGISTREUR DE TEMPERATURE Jean-Pierre MANDON 2005 www.pictec.org Cet enregistreur de température a été réalisé dans le cadre de la construction d'un chauffe eau solaire. Il me permet d'enregistrer les

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

Les capteurs et leurs branchements

Les capteurs et leurs branchements bts mi 2 \ COURS\Technologie des capteurs et leurs branchements 1 1. Les Modules Entrées Les capteurs et leurs branchements Module d extension d Entrées/Sorties TOR Module réseau : communication entre

Plus en détail

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE

POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site

Plus en détail

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Guide d application technique Correction du Facteur de Puissance. Solution en Compensation Facteur de puissance

Guide d application technique Correction du Facteur de Puissance. Solution en Compensation Facteur de puissance Guide d application technique Correction du Facteur de Puissance Solution en Compensation Facteur de puissance Solutions complètes dans la régulation de la Qualité de l onde Note : 4.1.2 Banques

Plus en détail

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal

Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

La polarisation des transistors

La polarisation des transistors La polarisation des transistors Droite de charge en continu, en courant continu, statique ou en régime statique (voir : le transistor) On peut tracer la droite de charge sur les caractéristiques de collecteur

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Equipement d un forage d eau potable

Equipement d un forage d eau potable Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Evaluation de la variabilité d'un système de mesure

Evaluation de la variabilité d'un système de mesure Evaluation de la variabilité d'un système de mesure Exemple 1: Diamètres des injecteurs de carburant Problème Un fabricant d'injecteurs de carburant installe un nouveau système de mesure numérique. Les

Plus en détail

Matériel de laboratoire

Matériel de laboratoire Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN

Plus en détail

192 Office européen des brevets DEMANDE DE BREVET EUROPEEN

192 Office européen des brevets DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Europâisches Patentamt 09) J» European Patent Office Numéro de publication: 0 001 192 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 78400084.6 @ Date de dépôt: 30.08.78 IntCl.2:

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

Notions d asservissements et de Régulations

Notions d asservissements et de Régulations I. Introduction I. Notions d asservissements et de Régulations Le professeur de Génie Electrique doit faire passer des notions de régulation à travers ses enseignements. Les notions principales qu'il a

Plus en détail

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14

Plus en détail

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso.

Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie. 15/06/2014 http://www.udppc.asso. Baccalauréat STI2D et STL spécialité SPCL Épreuve de physique chimie Corrigé Session de juin 2014 en Polynésie 15/06/2014 http://www.udppc.asso.fr Une entreprise de BTP (Bâtiment et Travaux Publics) déménage

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

modélisation solide et dessin technique

modélisation solide et dessin technique CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

L efficience énergétique...

L efficience énergétique... ......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible

Plus en détail

LES CAPTEURS TOUT OU RIEN

LES CAPTEURS TOUT OU RIEN LES CAPTEURS TOUT OU RIEN SOMMAIRE Généralités...3 Caractéristiques générales...4 Les capteurs mécaniques : principe...5 Les capteurs mécaniques : avantages et utilisation...6 Les capteurs mécaniques :

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES

CIRCUITS DE PUISSANCE PNEUMATIQUES V ACTIONNEURS PNEUMATIQUES : 51 Généralités : Ils peuvent soulever, pousser, tirer, serrer, tourner, bloquer, percuter, abloquer, etc. Leur classification tient compte de la nature du fluide (pneumatique

Plus en détail

Surveillance de Température sans fil

Surveillance de Température sans fil commentaires: Surveillance de Température sans fil Données fiables & sécurisées Surveillance en continu & en directe Options d'alarme Accès aux données & rapport faciles normalisation Aides pour la conformité

Plus en détail

Instructions d'utilisation

Instructions d'utilisation U22 K 7208 5500 0/2003 FR (FR) Pour l'opérateur Instructions d'utilisation Chaudière à condensation à gaz Logamax plus GB22-24/24K Prière de lire ces instructions avec soin avant l'utilisation Avant-propos

Plus en détail

Capteur à CO2 en solution

Capteur à CO2 en solution Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT

CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT TP CIRCUITS ELECTRIQUES R.DUPERRAY Lycée F.BUISSON PTSI CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT OBJECTIFS Savoir utiliser le multimètre pour mesurer des grandeurs électriques Obtenir expérimentalement

Plus en détail

RUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr

RUBIS. Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée. www.magnumgs.fr RUS Production d'eau chaude sanitaire instantanée semi-instantanée www.magnumgs.fr Producteurs d'eau chaude instantanés RUS Le système intégré de production d'eau chaude sanitaire instantané permet, à

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,

Plus en détail

Caractéristiques techniques

Caractéristiques techniques Marque de commande Caractéristiques Possibilité de positionner la tête du détecteur par rotations successives 40 mm, non noyable Fixation rapide Propre à l'emploi jusqu'à SIL 2 selon IEC 61508 Accessoires

Plus en détail

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches

Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Règlement EPAQ pour la qualité des panneaux sandwiches Septembre 2010 Max-Planck-Straße 4 D-40237 Düsseldorf Telephone: +49 211 6989411 Fax: +49 211 672034 E-mail: info@epaq.eu Règlement EPAQ pour la qualité

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

Mesurer la consommation d air comprimé ; économiser sur les coûts d énergie

Mesurer la consommation d air comprimé ; économiser sur les coûts d énergie Mesurer la consommation d air comprimé ; économiser sur les coûts d énergie L'air comprimé est un porteur d'énergie indispensable. A titre d exemple, environ 60.000 installations sont présentes en Allemagne.

Plus en détail

HI 991x. Contrôleurs Industriel mural de ph et EC. HI 9910 Contrôleur de ph mural avec point de consigne simple et dosage proportionnel

HI 991x. Contrôleurs Industriel mural de ph et EC. HI 9910 Contrôleur de ph mural avec point de consigne simple et dosage proportionnel HI 991x Contrôleurs Industriel mural de ph et EC HI 9910 Contrôleur de ph mural avec point de consigne simple et dosage proportionnel HI 9910 est un contrôleur de ph avec point de consigne unique pour

Plus en détail

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25

Article 1 er. Code de la santé publique Texte précédent. Nouveau texte. 28/11/2012 Evelyne Pierron Consultants. Article R5121-25 Tableau comparatif Décret n 2012-1244 du 8 novembre 2012 relatif au renforcement des dispositions en matière de sécurité des médicaments à usage humain soumis à autorisation de mise sur le marché et à

Plus en détail

Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques

Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques Version de document 1.0, janvier 2011 Gobius 1 ¾ alarme pour des fosses septiques Guide d installation Commencez ici 1. Assurez-vous que toutes les pièces sont dans l emballage. (1 capteur, 1 tableau,

Plus en détail

Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010

Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR. LI214x 704776/00 10/2010 Notice d'utilisation Capteur de niveau TOR LI214x FR 704776/00 10/2010 Contenu 1 Remarque préliminaire 3 1.1 Symboles utilisés 3 2 Consignes de sécurité 3 3 Fonctionnement et caractéristiques 4 3.1 Application

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES

Observer TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.

Plus en détail

GMI 20 Manuel d'utilisation

GMI 20 Manuel d'utilisation GMI 20 Manuel d'utilisation Juin 2013 190-01609-30_0A Imprimé à Taïwan Tous droits réservés. Conformément aux lois relatives au copyright en vigueur, toute reproduction du présent manuel, qu'elle soit

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

Copropriété: 31, rue des Abondances 92100 Boulogne-Billancourt

Copropriété: 31, rue des Abondances 92100 Boulogne-Billancourt Eléments utilisés: Copropriété: 31, rue des Abondances 92100 Boulogne-Billancourt Notice explicative sur la ventilation de la facture EDF annuelle entre les différents postes de consommation à répartir

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique

SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des

Plus en détail

Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique

Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél

Plus en détail