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1 Imprim& avec le pcriodique cc Bulletin de la So&&i Zoologique de France D. Tome LXXXV, 1960, nor 2-3, p Printed in Fran&..,,f,.. ;?,;, i _.d,. t,- i!_,+. J AEDES (0.1 FLAVESCENS (MijLLER 1764) EN CHARENTE-MARITtiE. ETUDE EC~LOGIQUE COMPA&E DE L ESPI?CE ET DE QUELQUES AUTRES, HALOPHILES OU SEMI-HALOPHIL&, RENCONTReES DANS LA MEME REGION, P4R J. M. DOBY et B. RAULT. Aedes (0.) flavescens (Miiller 1764) (= A. Zutescens (Fabr. 1775) et A. variegaius (S&rank (1781)) est rencontrk banalement en Europe septentrionale et en Amtkique du Nord. En Scandinavie, il est tr& commun. Au Danemark, il constituerait m&ne l une des especes les plus g&antes par son agressivitk (M~RsH~I,I. 1938). En Europe occidentale, c est au contraire une espitce rare. En Bngleterre, par exemple, elle semble n avoir t$te signal&e que deux fois, dans le Kent (Ile de Sheppey -- SHUTE, 1922) et dans 1 Essex (Walton-on-the-Naz - SHUTE, 1928) (in SHUTE, 1933). Elle parait atteindre en Espagne la limite mgridionale de son aire d extension (TOR- RES-CA~AMARES, 1943). En France, & notre connaissance du moins, elle n aurait et6 observt!e que trois fois seulement par SBGUP (Seine Marais de Sucy, 1923), par TREILLARD (Bourgogne St- Jean-de-Losne, 1941) et par RIOZ~ (Camargue, 1958). L kcologie larvaire de l esp&ce en Europe occidentale et notamment en France, oh seul SEGUU In rkcolta B l ktat larvaire, est trbs ma1 connue. Voici les observations ticologiques antbrieurement effectukes en d autres regions En Europe -- Danemark (*) CC les gites semblent ctre constituks par les prairies dkcouvertes, immergkes au printemps, bordant les lacs et les bords de mer. L espcce n habite pas en for&.. > (WESENRERG- LUND, ). - A llemngne c les larves se rencontrent dans les prairies d&ouvertes, particuli&rement derriere les dunes, le long de la Baltique. Mais elles peuvent egalement &re trouvees dans les parties ddbordant au printemps sur l herbe des etangs persistants... dans des depressions de prairies emplies d eau rdsultant de la fonte des neiges... > (MARTINI. 1931). (*j En Suhde et Xowege, NATVIG (1948! n a pu trouser que les formes adultes.

2 247 &ANCE DU 14 JUIN 1$-k%. <...typique des pres marecageux sans ombre, bien degages... > (PEUS, 1932). - AngIeterre CC... se rencontre dans les fesses profonds renfermant de l eau legerement saumatre, non loin de la mer... > (SHUTE, 1933). En Amerique du Nord - <... cette espitce a et& consideree comme particuliere aux prairies, mais elle se retrouve egalement en for-et, les larres s observant dans les plus profondes et les plus grandes des mares printanieniitres... >) (DYAR, l.919).... elle se developpe dans les mares printanieres precoces et da; lzs creux des prairies inondees... >> (M~THESON, 1929). - <... les larves se rencontrent dans des mares abondamment recouvertes de vegetation et partiellement ombrdes... >> (REMPEL, 1950). l ALs&*, en des gites d eau saumatre dans les zones littorales de (FROHNE, 1953). - c... dans les mares temporaires profondes des prairies et zones bien dhgagees... > (CARPENTER et LA CASSE, 1955). Resumant un certain nombre d observations, notamment celles de HEARLE au Canada (1929), MAHSHALL (1938) decrit ainsi la hiologie larvaire de l espke c elle se rencontre dans des zones de prairies herbeuses bien decouvertes, jamais dans les bois ou dans des conditions d ombre. Les oeufs sont deposes dans les zones en contrebas, parmi Ies roseaux et les joncs qui sont inondes en hiver... B En France, le seul gite larvaire connu est celui note par SEGUY, zi Meudon, mais aucun releve ecologique ne fut fait. En Bourgogne et en Camargue, TREII~LARD et Rroux ne trouverent que les formes adultes. Cependant, < etant don& le lieu de capture des adultes et ce que l on sait par ailleurs de l ecologie larvaire B, le second de ces auteurs est amene a penser e que l on doit s attendre a decouvrir les gites parmi les roselieres semi-halophiles des basses terres littorales s. Nos propres observations confirment en partie l opinion de RIOVX. Nous avons en effet rencontrk l espece, en avril 1960, a l etat larvaire, clans le marais Charentais (autour de FOUKAS Charente-maritime), dans une region extremement plate, a quelques metres seulement au dessus du niveau de la mer, a quelques centaines de m&es de distance de celle-ci (2 km au maximum). Ces grandes surfaces herbeuses, parcourues par un reseau trks dense de canaux d irrigation, presentent de legeres ondulations artificielles. Les creux de celles-ci, avec herbe tres fournie et carex, sont inondes en hiver et au printemps par les pluies et, dans les zones proches de la mer, par certaines grandes marees. Les c.anaux d irrigation, le plus souvent a surface bien degagee, presentant eependant des

3 J M. DOBT et B. RAI J,T. FIGUP,ES 1 et 2. i I- FIG e mnrais charentais, p&x de Fouras. Epression pcu profondc (tl&chc) gite A _-leetles flcrvesre~zs. Xu premier plan, canal de draiuage avec Gambusies. PIG Petit creus dans phragmitae h sec. Cite h dedcs fitcvescens ct k Aecles cuspius. Bull. Sot. Zool. France, 1960, 85.

4 SgAKCE Dl_J 14 JUIS elargissements ermombres de phragmites, constituent, eux, des gites typiques Q Theobaldia Ziforea (2) et A Anopheles rrlgeriensis, quand ils ne sont pas peuplks de gambusies, particulierement abondants dans la region. Les 11 gites larvaires d Aedes flavescens que nous avons pu observer se repartissent ainsi --- larges creux de prairie inondes, avec herbes et carex petits trous anfractueux, de quelques decimetres car& de surface, dans phragmitaie a see _.. _. 3 - petits fesses de drainage, avec bords implant&s de vegetation phragmitaie en eau Pour ces I1 gites, les caracteres physico-chimiques suivants ont et& mesures ph, alcalimetrie, oxygene dissous, mat&es organiclues dissoutes, ammoniac, nitrites, chlorures, degre hydrotimetrique, calcium et magnesium (3). D autres car-act&-es ont et& egalement notes l etendue du gite, la profondeur, l importance de la vegetation respectivement dress&e, flottante, immergee, le degre d ensoleillement (4). Pour plusieurs de ces caracteres indosables ou non mesurables, nous avons attribue un coefficient allant de 0 Q est evident qu une telle attribution de coefficient, n avant rien de mathematique et dependant entierement de I appreciation de l observateur, ne saurait avoir la rigueur d un dosage. Toutefois, elle garde une valeur certaine lorsque c est toujours le m6me observateur qui fait le releve. Ces releves, a l exception des teneurs en calcium et en magnesium et du degre hydrotimetrique, figurent dans les trois graphiques ci-joints (5). En effet, dans les zones cotiitres, les teneurs en calcium et en magnesium et le degre hydrotimetrique sont directement fonction (sauf exception) de la teneur en eau de mer, done en chlorures. De ce fait, ces caracteres n ont aucune signification. Nous avons jug6 utile de faire figurer dans ces graphiques, pour mieux situer Aedes flavescens, certaines des especes rencontrdes dans les mkmes zones Aedes detritus, -4edes caspius, Culex pi- (2) C est dans des gites de type voisin que nous avons depuis retrouve 7%. Iiforea sur la c&e normande, entre Coutances et Lessay (Manche). Nous nous attendions d ailleurs a le rctrouver lz+ (<... il est vraisemblable qu on le trouvera encore plus au Nord, quand on le recherchera avec soin... B. DOBT, RAULT et DAVID, 1960). (3) Pour les techniques de mesures et dosages que nous avons utilisees, nous renvoyons B un prcc&dent article DOBY, RAULT et DAVID, (4) L ensoleillement est apprecie au niveau mcme de la surface de l eau. Ainsi, une collection d eau pourtant largement exposee au soleil, mais t&s cncombree de vegetation dress&e, ngme peu haute, aura un coefficient bas. (5) Pour l etablissement de ces graphiques, il a CtC tenu compte 1 dn nombre de gites observes ; 2 de l abondance des individus recoltes dans chaque gite - un ou deux individus coefficient 1 ; plusieurs individus coefficient 2 ; - nombreux ou tres nombreux indiridus coefficient 3,

5 249 StiNCE DU 14 JUIS n I \ I 3

6 SiASCE DC 14 JUTIS

7 251 SiASCE DU 14 JVI?rT ;.

8 piens, Culex modes tus, Anopheles maculipennis (61, Anopheles al geriensis, Theobaldia liforea, Theobaldia subochrea et Theobaldia annulata, especes halophiles, semi-halophiles, ou pouvant du moins tolerer une certaine teneur en chlorures. Aedes flavescens a ete d ailleurs observe associe frequemment a certaines d entre elles. Voici le tableau des associations larvaires. Si nous resumons nos observations, nous pouvons donner pour.4edes flavescens, du moins dans la limite des gites que nous avons releves, les caracteres ecologiques larvaires suivants - gites situ& en zones largement degagees, B proximite de la mer, de surface variable, d ensoleillement habituellement moyen, presentant une importante vegetation dress&e et immergee, riches ou tres riches en debris vegetaux. Concernant les caracteres chimiques eaux de ph tres variable, allant de la neutralite Q 8,8, mais avec maximum de frequence aux environs de 7,6-7,7, A pouvoir tampon (alcalimetrie) et A teneur en oxygene egalement trk variables (maximum de frequence, pour l oxygene, entre 2 et 6 mg, l). En depit d une richesse relative en mat&es organiques dissoutes (presque exclusivemen t entre 25 et 50 mg/l) et en debris vegetaux, eaux non fermentescibles (un seul gite avec trace d ammoniacnitrites) ; eaux deuces ou legerement saumatres (maximum de frequence entre 1 g et 2,5 g de chlorure de sodium/l). Ces gites ont ete releves du 10 au 15 avril L espece y figurait presque exclusivement au stade nymphal (t&s rares larves au stade 4). La predominance des males dans les premieres eclosions observees permet de penser que nous avons assist6 au debut de l apparition des formes adultes. C est sans doute pour cette raison que nous n avons pu verifier l anthropophilie d Aedes flavescens signalee precedemment par plusieurs auteurs. A cette date en effet etaient seuls agressifs Aedes detritus et dedes caspius. (Laboratoire de Parasitologie et Zoologie appliquee de la FacultC de Mkdecine et de Pharmacie de Rennes). (6) Au sens large. La determination systcmatique des varictcs n a pu Ctre faite. &pendant, chaque fois que des mples ex ngmpha ont CtC ohtenus, il s agissait de la varictc atroparvus.

9 253 S&XCE DU 14 JUIX / BIBLIOGRAPHIE. CARPENTER (S. J.) et La CASSE (W. J.). - dlosquitoes of North Americn, 1955, Berkeley, University of California Press. DORY (J. M.), RAULT (B.) et DAVID (F.). - Theobaldicr (Culicelia) Zitorea (Shute 1928) et Anopheles (&zophezes) algeriensis Theobald 1903 dans 1 Oues.t de la France. Contribution B l etude Ctcolqgique de ces deus especes.,4nn. Parasitol. hum. et camp., 1960, 35, 174. DYAR (H. G.) in ~\TATVIG, FROHNE (W. C.). - Mosquitoes breeding in Alaskan salt marshes, with especial reference to Aedes punctodes Dyar. Mosquito Sews, 1953, 13, 96. HEARLE (E.). - The life history of Aedes flavescens Miiller. Trans. Roy. Sot. Canada, 1929, 23, 55. MARSHALL (J. F.). - The british mosqrzitoes, 1938, Londres. British Museum Ed. MARTINI (E.). - Culicidae, in Lindner Die Fliegen der palearkt. Reg., 1931, 11-12, Stuttgart. MATHESON (R.). - d hcmdbook of the mosquitoes of Sorth America, Londres, NATVIG (L. R.). - Contribution to the knowledge of the Danish and Fennoscandian mosquitoes. Crrlicini, 1948, Oslo, Norsk Entom. Tidsskr. PEUS (F.). - Die Steckmiickenplage im Spreewald und die Mii@ichkeit ihrer Beklmpfung 2. Gesrrnd. techn., 1932, 133 in,\jatvig, REJ~PEL (J. G.). - A guide to the mosquito larvae of Western Canada. Canad. Jour. Res., 1950, 28, 207. RIOUX (J.). - Les Culicides drr Midi miditerruncen, Paris, 195S, Lechevalier Ed. SEGUY (E.). - Les Moustique I de France. Encgclopedie pratique du naturaliste, 1923, Lechevalier Ed, Paris. SHUTE (P. G.). - The life history and habits of british mosquitoes in relation to their control by antilarval operations. JZ. of Trop. Med. a. Hyg., 1933, 36, 53. TORRES-CANAMARES (F.) in Rror-x, TREILLARD (M.). - La faune culicidienne de la plaine bourguignonne. Bull. Sot. Path. exot , 34, 265. WESENBERG-LUND (C.). - Contribution to the biology of the danish Culicidne. KgZ. Dnnske l id. SeZsk. Skr. IVat., , 7. in NATVIG, LPRIMERIE M. DECLU&IE, LONS-LE-SAUNIER.

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