Estimation du risque HAP en France. Utilisation. pour l estimation et la prévention du risque HAP. Prévention
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- Sarah Marie-Ange Bénard
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1 Estimation u risque HAP en France. Utilisation es métabolites m urinaires pour l estimation et la prévention u risque HAP. années collecte atmosphérique ambiance ambiance iniviuel échantillon urinaire iniviuel -OHPy Michel Lafontaine iniviuel -OHPy -OHBaP Prévention Démarches possibles après s mise en évience u risque : - Substitution e l agent l à risque par un prouit moins polluant, aussi efficace et moins onéreux si possible - Moification e certains paramètres u processus. - Aménagement u poste (automatisation, ventilation, ) Estimation u risque et suivi e la prévention en utilisant uniquement les prélèvements atmosphériques. Exemple es foneries e fonte. - En ernier ressort, protections iniviuelles (masques, combinaisons ). Avec l appui l éventuel une réglementationr glementation
2 Foneries e fonte. Influence u liant (noir minéral). BaP atmos ng / m 5 5 Coulée e manuelle. BaP noir minéral mg / kg après s : M. Lafontaine et al.,, cahiers e Notes Documentaires, 99, n n 4, Influence u liant (noir minéral). Substitution u liant à base e brai par es prouits moins chargés s en HAP. Essais en vraie graneur ans la même usine, avec les mêmes opérateurs, et ans es conitions e travail ientiques : - mêmes types et fréquences e pièces coulées, - mêmes paramètres e ventilation Influence u liant (noir minéral). Mélange à base e brai e houille : CBaP =.4 g/kg 4 Fines e charbon : CBaP = mg/kg BaP atmos ng / m 5 après s : M. Lafontaine et al.,, cahiers e Notes Documentaires, 99, n n 4, BaP noir minéral mg / kg 2 2
3 "réglementation" foneries Emise le 8 juin 99 par la la Caisse Nationale Assurance Malaie : recommanation R 5 concernant la prévention es risques us aux prouits chimiques en fonerie Autres exemples : CBaP atmosphérique < 5 ng/m CBaP noir minéral < mg/kg Disparition progressive u "brai fluie " es bitumes- gourons au cours es années 98, remplacé par es huiles e houille, pétrole ou synthèse se + automatisation u poste e vannier. Travaux routiers. Masses e bouchage u trou e coulée e : remplacement (ifficile) es masses "au gouron" par es masses à base e résines r e synthèse. se. + Amélioration u pisé es rigoles e coulée. Hauts fourneaux.
4 Le monitorage urinaire. Métabolites urinaires : un plus pour l évaluation u risque? Il pren en compte : - l exposition par voie cutanée, - la protection respiratoire, - le ébit respiratoire. Exposition par voie cutanée. Protections respiratoires. Important en connaître la part même si le risque lié à cette voie e pénétrationp est encore mal appréci cié. Les onnées urinaires permettent e éterminer l efficacité réelle es protections respiratoires. 4
5 Importance u ébit respiratoire. Métabolites urinaires. OH Fonction e ivers paramètres (sexe, morphologie ) ) et surtout e l activitl activité physique, le ébit respiratoire peut varier un facteur supérieur à 2 entre les opérateurs un même atelier. pyrène Cytochrome P-45 Cytochrome P-45 -hyroxypyrène OH benzo[a]pyrène -hyroxybenzo[a]pyrène Métabolites urinaires. Etues tarives en France : Pari sur le -Hyroxybenzo[a]pyr Hyroxybenzo[a]pyrène, ne, mais ifficultés analytiques (surtout problèmes e sensibilité). Dans l attente, l investigations sur le -OHPyr OHPyrène, notamment étues e profils, es emi-vies, e la balance cutané / respiratoire, etc. Estimation u risque et suivi e la prévention par l utilisation l conjointe es prélèvements atmosphériques et urinaires (-OHPyr OHPyrène). 5
6 Influence es voies e pénétration p : Exemple es usines aluminium. Inustrie e l aluminium. l En France, isparition totale en 989 es cuves électrolyse à anoe soluble (procéé Söerberg) remplacées es par es cuves à anoes précuites beaucoup moins polluantes en HAP. Subsistait le problème es réfections r e cathoe : émissions importantes HAP ues à la pâte e brai chaue (brasque) utilisée e pour remplir les interstices existant entre les ivers matériaux composant le fon e la cuve. Voies e pénétrationp : Conitions expérimentales. Voies e pénétration p : Conitions expérimentales. luni mari mercrei jeui venrei pas exposition pas exposition pas 'exposition respiratoire 'exposition cutanée 'exposition Réfection e cathoe : pose e grans joints. après s : M. Lafontaine et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns, 22, 22 :
7 Voies e pénétration p : conitions expérimentales. - Pas exposition : travaux hors pollution. - Exposition respiratoire : pas e masque, crème barrière, re, gants, vêtements et sous-vêtements propres, combinaison e protection neuve. - Exposition cutanée e : casque à ventilation assistée, vêtements et sous-vêtements propres, mains et avant-bras écouverts. Influence u type exposition sur le profil urinaire. Jour 2 : exposition respiratoire Jour 4 : exposition cutanée µmol/molcréat 4 2 Concentration -OHPyrène après s : M. Lafontaine et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns, 22, 22 : Influence es vêtements. Mêmes conitions expérimentales, mais reprise et gare es vêtements souillés s lors e la semaine précéente. µmol/molcréat Concentration -OHPyrène Influence u type exposition. Dans ces conitions expérimentales précises, - apport à peu près équivalent entre les voies percutanée e et respiratoire. - Influence es vêtements souillés s : apport par voie percutanée e e l orre l e 25 %. après s : M. Lafontaine et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns, 22, 22 :
8 Prévention. - Port e emi-masques masques filtrants ou e casques à ventilation assistée. - Remplacement sous-vêtements, vêtements et combinaisons papier après s chaque poste. - Remplacement e la pâte e brai chaue (> C) par es pâtes tièes (85 C, 65 C et moins?...). Voies e pénétration p : caractéristiques. ristiques. A partir es observations sur le terrain, u profil urinaire et e certains paramètres toxicocinétiques, tiques, une assez bonne estimation u partage entre voies e pénétration est obtenue, permettant ainsi envisager es actions e prévention plus aaptées à chaque opérateur. Tenance respiratoire. Tenance cutanée. - Allure u profil (pic). - C -OHPy max < 2 h après la fin exposition. - Demi-vie apparente < 8 h. - Rapport Q (-OHPy excrété) / Q (Pyrène inspiré) ) <,2. µmole/molecréat concentration -OHPyrène Allure u profil (plateau). - C -OHP max > 4 h après la fin exposition. - Demi-vie apparente > 2 h. - Rapport Q (-OHPy excrété) / Q (Pyrène inspiré) ) >. µmole/mole Créat concentration -OHPyrène après s : M. Lafontaine et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns, 22, 22 :
9 Prélèvements urinaires -OHPyr OHPyrène. Intervention basique (hors étue e profil). Après s 48 h sans exposition : - ébut e poste jour (bruit e fon, résiuel r?), - fin e poste jour, - fin e poste jour + 4 h (tenance cutanée e?), - ébut e poste jour 2 (épuration(?). Elaboration un moèle -OHPyr OHPyrène. Ce moèle toxicocinétique tique (compartimental) a été établi par Claue Viau à partir, - expérimentations animales contrôlées en laboratoire, - e onnées e terrain : opérateurs réponant à es critères res exposition bien éfinis (tenance respiratoire). Application u moèle. -OHPyrène, le bon marqueur? Confirmation : - une imprégnation essentiellement par voie cutanée e (courbe bleue) ) et - e l efficacitl efficacité e la protection respiratoire (simulation courbe rouge). µmole/molecréat concentration -OHPyrène Il n est n pas ou peu représentatif e l expositionl aux HAP pentacycliques cancérog rogènes (BaP, DBahA..) car trop grane variabilité u rapport Pyrène / BaP. Propositions e valeurs seuil (en µmole/molecréat): - Jongeneelen 2. (cokeries), 4.9 (aluminium) ; - Bouchar-Viau 2.*( BaPéquiv quiv.) ) / Pyrène ; - toujours pas e BEI proposée e par l ACGIH l? Mais le -OHPyr OHPyrène reste incontournable pour estimer la répartition r entre voies e pénétration. p 9
10 -Hyroxybenzo[a]pyrène ne (-OHBaP). - Plus représentatif es HAP cancérog rogènes que le -OHPyr OHPyrène. - Encore peu pratiqué car méthoes m usuelles analyse pas assez sensibles (concentrations urinaires très s faibles, plus e fois plus petites que celles u -OHPyr OHPyrène). -OHBaP et estimation u risque. Valeur seuil. - Méthoe INRS mise au point par P. Simon permet e escenre aux valeurs e niveau environnemental (C -OHBaP <. ng/l). Profils -OHBaP / -OHPyr OHPyrène. t t important entre les 2 profils (éjà observé sur l animal par Claue Viau). - Le écalage ne semble pas lié au type exposition. - La concentration maximum e -OHBaP se situe en moyenne 25 h après s le ébut exposition. µmol/molcréat µmol/molcréat 4 2 -OHPy et -OHBaP ,2,8,4, -OHPy et -OHBaP ,9,6,, nanomol/molcréat nanomol/molcréat Proposition valeur seuil -OHBaP. Mise en évience une relation linéaire entre BaP atmosphérique et -OHBaP urinaire pour es opérateurs exposés essentiellement par voie respiratoire. après M. Lafontaine, C. Genre et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns 24, 22 :
11 Proposition valeur seuil -OHBaP. nanomol/molcréat 2 relation -OHBaP et BaP y =,8x +,847 R 2 =,76, BaP ng/m Référence atmosphérique : C BaP = 5 ng/m. Valeur urinaire corresponante : C -OHBaP =,5 nanomole/molecréat at. D après P. Simon, et al., Méthoes é échantillonnage et analyse en surveillance biologique e l exposition. l Colloque international francophone ; /9/28 ; Montréal, Québec. Proposition valeur seuil -OHBaP. Pas e valeur réglementaire. r Proposition INRS via BIOTOX* : -.5 nanomole/mole e créatinine en ébut e poste u 2 ème jour exposition ; -.4 nanomole/mole e créatinine en ébut e poste u 5 ème jour exposition ; *BIOTOX : base e onnées biométrologiques pour méecins m et hygiénistes u travail. Proposition valeur seuil -OHBaP. Données sur le bruit e fon environnemental : -,4 nanomole/molecréat at pour un non fumeur, non exposé ; -, nanomole/molecréat at pour un fumeur non exposé ; Un bruit e fon >, nanomole/molecréat at est généralement û au résiuel r une exposition professionnelle antérieure. Prélèvements urinaires -OHBaP. Intervention basique (hors étue e profil). Après s 48 h sans exposition : - ébut e poste jour (bruit e fon, résiuel r?), - fin e poste jour, - ébut e poste jour 2 (maximum?), - ébut e poste jour 5 (cumul). après s : M. Lafontaine et al.,toxicology Letters, 26, 62 :
12 Elaboration un moèle -OHBaP. Application u moèle. Moèle "rustique" établi à partir es paramètres es cas e terrain à exposition essentiellement respiratoire et es onnées environnementales : - bf =.22 nanomole/molecréat at (moyenne non exposés s fumeurs et non fumeurs). - C -OHBaP max 24 h après s ébut exposition. - emi-vie é élimination moyenne e 8,4 h. exposition e type respiratoire CBaP = 4 ng/m, non protégé. Opérateur protégé par un masque respiratoire, CBaP = 85 ng/m nanomol/molcréat nanomole/molecréat moèle -OHBaP,6,4,2, moèle -OHBaP 2,,5,,5, Estimation u risque et suivi e la prévention par l utilisation l conjointe e prélèvements atmosphériques et urinaires (-OHPyr OHPyrène et -OHBaP). Disques carbone. Exemples. Décapage un tampon. 2
13 Disques carbone. Expositions très élevées es : CBaP jusque 9.4 µg/m pour un poste entretien (élimination( e gourons e craquage) avec C-OHBaP = 5 nanomole/molecréat. at. ( fois la valeur seuil!!!). Cokeries. Prévention : - substitution impossible ; - aménagement u poste : piégeage et élimination es gourons en milieu fermé ; - protection iniviuelle maximale conseillée. e. après s : M. Lafontaine et al.,, Polycyclic Aromatic Compouns, 24, 24 : Etanchage une bouche enfournement Cokeries. Electrométallurgie. tallurgie. Pollution assez forte (niveau u µg/m e BaP) au sommet et sur le côté es fours : fuites aux bouches enfournement, et le long es portes montantes. - Bonne efficacité es protections respiratoires. - Les concentrations e -OHBaP > valeur seuil résultent expositions essentiellement cutanées. Procéé Söerberg (anoe soluble) : chargement e brai. Prévention : Amélioration e la protection cutanée.
14 Electrométallurgie. tallurgie. Pollution assez forte ( niveau u µg/m ) localisée e au sommet es fours à anoe soluble Prévention : Aménagement u poste e chargeur. A suivre : - Protection iniviuelle pour le chargeur et les soueurs e viroles. - Remplacement es anoes solubles par es anoes graphite : trop coûteux? Perspectives. - Confirmer les onnées sur le -OHBaP. - Poursuivre les essais analytiques sur autres métabolites u BaP (tétrol trol par ex.). - Qui u t t ont certains très s courts (cokeries)? - Relation contact cutané et pathologies (K vessie?). Merci 4
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