Nutrition et vieillissement Nutrition de la personne âgée. Pr Isabelle Bourdel-Marchasson Médecine interne-gériatrie
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- Jean-Jacques Roux
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1 Nutrition et vieillissement Nutrition de la personne âgée Pr Isabelle Bourdel-Marchasson Médecine interne-gériatrie
2 La composition corporelle Le syndrome métabolique
3 Années après années, l IMC varie IMC IMC (hommes) IMC (femmes) > 85 classes d'âge Kyle Nutrition 2001;17(7-8):534-41
4 La répartition des IMC ans en France 70 IMC France métropole 60 % <18, , , ,5 > OBEPI
5 La répartition des IMC ans en France IMC France métropole ,7 59,3 56,6 56,3 <24, ,9 >30 53,6 52,7 40 % 30 29,8 30,6 31,5 30,6 31,9 32, ,5 10,1 11, , OBEPI
6 La répartition des IMC âge > 65 ans OBEPI 2012 représentatif > 65 ans
7 Modifications de la composition corporelle avec l âge Masse maigre Kyle Nutrition 2001, 17: 534
8 Modifications de la composition corporelle avec l âge Masse grasse Kyle Nutrition 2001, 17: 534
9 Lors du vieillissement Ce qui se voit : Prise de poids Graisse viscérale Activité physique Incidence du diabète Ce qui se passe : Insulino-résistance Modification de la composition corporelle Conséquences fonctionnelles et mentales
10 Qu est ce que le syndrome métabolique après 75 ans?
11 Lors du vieillissement La glycémie post-prandiale s élève Chang Am J Physiol Endocrinol Metab 2003 Jan;284(1):E7
12 L augmentation de la graisse abdominale rend compte de la majorité des anomalies constatées Incidence du diabète : fonction de l IMC Hommes plus souvent atteints dans la population «caucasienne» glycémie en réponse à une charge glucidique Les anomalies de l action de l insuline disparaissent après ajustement sur la graisse abdominale
13 Le syndrome métabolique Groupe de facteurs de risque métaboliques obésité viscérale résistance à l insuline hypertension artérielle anomalies lipidiques Risque cardio-vasculaire Risque de diabète
14 Définition clinique du syndrome métabolique Obésité viscérale Tour de taille : homme > 102 cm femme > 88 cm Triglycérides ATP III JAMA 2001, 285: mg/dl définition syndrome métabolique HDL cholestérol «3 éléments au moins» homme < 40 mg/dl femme < 50 mg/dl TA syst 130; diast 85 mm Hg Glycémie à jeun 1,10 g/l (Association avec une stéatose hépatique non alcoolique fréquente, secondaire à l insulinorésistance)
15 Le syndrome métabolique, des caractéristiques reliées entre elles Obésité explique 0.80 IMC Rapport taille sur hanche Résistance à l insuline explique 0.83 Glycémie et insuline à jeun et PP Hypertension artérielle explique 0.33 Systolique et diastolique Anomalies lipidiques explique 0.59 HDL cholesterol Triglycérides de l association dans le modèle Shen Am J Epidemiol 2003
16 Syndrome métabolique et risque d infarctus du myocarde chez les sujet âgé Health, Aging, and body composition study 3000 sujets ans sans limitation fonctionnelle ou déficit cognitif suivi 10 ans 38% on 3 ou plus des composants du syndrome métabolique (ATP III), les femmes sont plus touchées Pas d interaction entre syndrome métabolique et LDL oxydés chez les sujets indemnes de maladies cardiovasculaires, le SM x par1,52 et les OxLDL x 1,45 le risque d évènements coronariens Holvoet, Diabetes 2004, 53:1068
17 Le syndrome métabolique existe chez la personne âgée Quelles en sont les conséquences? Risque de diabète Risque d AVC Différence selon le sexe? Mais attention chez le sujet fragile et après 85 ans la valeur prédictive d un éventuel syndrome métabolique est douteuse +++++
18 Survie à 4 ans de personnes âgées hospitalisées IMC>30 IMC IMC IMC<20 En multivarié, IMC>30 reste protecteur Zekry D et al. J Gerontol A Biol Sci Med Sci 2012
19 Pour le sujet âgé l obésité d aujourd hui, l obésité à la 50aine? Obésité à la 50aine chez des sujets indemnes de pathologie cardio vasculaire déterminante pour les évènements cardio-vasculaires les hospitalisations la mortalité cardio-vasculaire dans le Grand âge Yan JAMA 2006,295:190
20 Le besoin protéique métabolisme protidique et muscles
21 Apport protéique conseillé chez les sujets âgés Besoin protéique OMS : 0,65 g/kg/j Apport indépendant de l équilibre énergétique Apport recommandé ou conseillé (couvrant les besoins de tous les individus) ; 1g/kg/j Chez la personne âgée, l apport protéique conseillé est de 1.2 g/kg/j En cas de dénutrition 1.5g/kg/j?
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24 Taux de synthèse protéique musculaire Indépendamment des apports nutritionnels Altération de la protéosynthèse au moins pour les protéines myofibrillaires (actine et myosine) mitochondries? Phénomène adaptatif ou initial?
25 Taux de synthèse protéique musculaire: anabolisme post-prandial Après un repas physiologiquement synthèse protéique musculaire catabolisme En relation avec l insulinémie post-prandiale Au cours du vieillissement résistance à l insuline pas de modification importante de la synthèse protéique réduction de l effet inhibiteur du repas sur la protéolyse
26 Insulino-résistance Une particularité du vieillissement : l insulinorésistance POST-PRANDIALE Action de l insuline sur le métabolisme protéique après un repas : transport des acides aminés dans les cellules (+) protéosynthèse (+) en présence d acides aminés alimentaires protéolyse (-) surtout Effet maximum sur le foie Si insulino-résistance, altération des capacités d inhibition de la protéolyse en post-prandial
27 Apport protéique alimentaire et muscle 12 femmes (69-79 ans) Régime iso calorique contenu variable en protéines : 0.45g/kg/j (P) 0.92 g/kg/j (2P) durée 6 semaines Mesures anthropométriques et fonctionnelles mesure du taux de renouvellement protéique (leucine) Castaneda Am J Clin Nut :30 62: 40
28 Apport protéique alimentaire et muscle Groupe P Groupe 2P base 3 sem 6 sem base 3 sem 6 sem Poids (kg) Masse maigre (kg) Eau totale (L) Albumine (g/l) Force main (kg)
29 Apport protéique alimentaire et muscle Renouvellement protéique lorsque l apport protéique
30 Apport protéique alimentaire et muscle Renouvellement protéique lorsque l apport protéique
31 Apport protéique alimentaire et muscle Y a t-il une différence d efficacité selon la source de protéine? Régime lacto ovo végétarien contre régime carné Exercice contre résistance Hommes de plus de 60 ans mais moins de 70 ans 15 semaines Pas de différence selon le régime pour la force la composition corporelle contenu musculaire en créatine, phosphocréatine, créatine totale Haub Am J Clin Nut 2002, 76: 511
32 Apport protéique alimentaire et muscle Y a t-il une différence d efficacité selon la source de protéine? Il semble que l important est de fournir un apport correct en acides aminés essentiels hommes âgés (70 ans) Complémentation : 18g d acides aminés essentiels versus 40g d acides aminés dont 18 g d aa essentiels similaire dans les 2 groupes des taux de synthèse protéique Volpi Am J Clin Nut 2003, 78: 250
33 Apport protéique pulsé chez le convalescent Principe: éviter le captage splanchnique des acides aminés en post-prandial Alimentation protéique pulsée (80 % de la ration protéique en un seul repas) Etude clinique: dénutris en SSR(85 ans, 36 témoins, 30 «pulsé») Alimentation contrôlée pendant 42 jours, isocalorique (35 kcal/kg poids/j) et isoazotée (1,33 g de protéines/kg/j) Augmentation de la masse maigre dans le régime pulsé, diminution dans le régime standard O Bouillanne, Clin Nut 2012 in press
34 Réduction d activité physique Effets variables Habituellement réduction des fibres II sauf si immobilisation totale (plâtre) atrophie fibre I
35 Les effets métaboliques de l exercice physique Gain de force obtenus après entraînement chez la personne âgée même au delà de 85 ans ++ Protéosynthèse myofibrillaire Différents effets selon le type d exercice: endurance : pas d effet sur la masse contre-résistance : masse fonction? Autres effets métaboliques de l exercice transporteur du glucose (chez l adulte)
36 Les états inflammatoires
37 Les états inflammatoires 1- les états inflammatoires cliniques Pathologie déclarée en cours CRP > 5mg/l 2- la micro-inflammation Personne apparemment saine CRP<5mg Des mécanismes identiques pour des effets d ampleur différent
38 Les états inflammatoires ou états hyper-cataboliques En réponse à une agression : infectieuse +++ auto-immune rhumatologique cancéreuse Ensemble d événements métaboliques liés à la défense de l organisme Un syndrome inflammatoire a une durée une intensité et des conséquences en proportion
39 Métabolisme de l albumine (homme 70kg) Synthèse dans le foie (~8 g/j) Retour Compartiment Vasculaire lymphatique 40% Échange capillaire Compartiment Tissulaire 60% Pool échangeable D aprèsbenoît Ruot Pertes Obligatoires (?) Unité de Nutrition et du Métabolisme Protéique INRA de Clermont-Ferrand / Theix CRNH Auvergne
40 L albumine Protéine viscérale dont la concentration sanguine est majoritaire dans le sang valeur normale 42 +/- 2 g/l Origine hépatique Renouvellement lent Si acides aminés (jeune prolongé) synthèse protéique hépatique
41 L albumine et le muscle squelettique Acides aminés Albumine
42 Anomalies du métabolisme (protidique) pendant les états inflammatoires
43 Anomalies du métabolisme (protidique) pendant les états inflammatoires Anorexie Insulino-résistance espaces extracellulaires protéolyse à partir du muscle, anti anabolisme musculaire synthèses protéiques hépatiques protéines de la phase aiguë turn-over de l Albumine Dès la régression du syndrome inflammatoire synthèse protéines de la phase aiguë (CRP) Adaptation de la synthèse d Albumine à la masse cellulaire active Reprise de l appétit, tendance à retrouver l état physio antérieur
44 Anomalies du métabolisme (protidique) pendant les états inflammatoires État intense et sévère: ex pneumopathie bactérienne État chronique, modéré et prolongé : ex pathologies rhumatismales, cachexie cardiaque, pulmonaire ou rénale ou cachexie des cancers. L albumine plasmatique est alors abaissée, en relation avec l intensité du syndrome inflammatoire. La chute de l albumine est brutale (RAPIDE) Immunodépression secondaire Après régression du syndrome inflammatoire réascension LENTE (1 à 2 g/mois) de l albumine.
45 Conséquences Poids Asthénie Pertes fonctionnelles : Force musculaire Réponse immunitaire
46 Anomalies du métabolisme (protidique) pendant les états inflammatoires Particularités du sujet âgé difficultés d adaptation et de récupération anorexie persistante défaut de récupération de l albumine, immunodépression persistante Si nouvelle pathologie inflammatoire avant que l albumine ne se soit normalisée: très mauvais pronostic Évolution «en marches d escalier» descendantes.
47 Chez le patient âgé convalescent (CRP<10mg/l) Volume du jumeau interne (cm3) Volume du muscle jumeau interne et albumine R 2 = 0, Albumine sérique (g/l)
48 Chez le patient âgé convalescent (CRP<10mg/l) Force musculaire et albumine Force musculaire max du jumeau interne (Nm) Albumine (g/l)
49 Albumine (g/l) /3 16/3 31/3 15/4 30/4 15/5 date 450 Homme 74 ans, pneumopathie atypique bilatérale hypoxémiante début des signes le 13/3/ CRP(mg/l) poids (kg) /3 16/3 31/3 15/4 30/4 15/5 date 0 1/3 16/3 31/3 15/4 30/4 15/5 date
50 La micro-inflammation: lien avec les pathologies liées au vieillissement Micro-inflammation ou inflamm-aging Mesurable avec l HsCRP: CRP ultrasensible Facteur de risque cardio-vasculaire Trouble principalement d origine alimentaire
51 De Martinis Febs letter 2005, 579:
52 HsCRP: marqueur de risque cardio-vasculaire marqueur de risque d infarctus du myocarde ou d AVC chez des hommes apparemment sains Figure 1. Relative risk for future myocardial infarction (MI) and ischemic stroke according to baseline quartile of plasma CRP concentration in apparently healthy men. P for trend for MI and 0.03 for ischemic stroke. Data from Ridker et al.10 (N Engl J Med. 1997;336: ).
53 HsCRP: marqueur de risque cardio-vasculaire le pouvoir prédicteur d autres facteurs de risque CV Event-free survival among women with C-reactive protein (CRP) and LDL cholesterol concentrations above or below the median for the study population. The median values were as follows: for C-reactive protein, 1.52 mg/l; for LDL cholesterol, mg/dl (3.20 mmol/l). Ridker et al.3 (N Engl J Med. 2002;347: )
54 Masse musculaire et inflammation Framingham Study, 232 hommes and 326 femmes (72 à 92 ans) 2-year modification à deux ans de la masse musculaire en fonction du niveau de base de la CRP Payette H, J Am Geriatr Soc 2003:
55 Force musculaire et inflammation English Longitudinal Study of Ageing, hommes et femmes (âge 65 ans) Force de préhension plus faible si CRP plus élevée chez les femmes Hamer M, Age : 171
56 Force musculaire et inflammation chez la femme C est la force musculaire et non la masse musculaire qui explique le lien entre inflammation et handicap lors du vieillissement Ferrucci L, J Am Geriatr Soc :234
57 HsCRP: marqueur de risque des problèmes liés au vieillissement le risque Démences vasculaires Ostéoporose et sarcopénie Maladies neuro-dégénérative dont maladie d Alzheimer Vieillissement digestif Comme pour les autres facteurs de risque CV le pouvoir prédictif de la CRP diminue avec l âge Pas de donnée chez les plus âgés (>85 ans)
58 Origine de la stimulation antigénique? Infestations cliniques et infracliniques Aliments Allergènes Atteinte des organes La flore intestinale? Lors du vieillissement contenu en bacteroides contenu en bifidus Eubacteries Enterobacteriacecae
59 La flore intestinale? La flore intestinale jouerait un rôle dans le bilan énergétique et l inflammation systémique Transformation des polysaccharides indigestibles en saccharides digestibles d où augmentation des apports énergétiques Apports riches en graisses translocation facilitée de lipo-polysaccharides bactériens de la lumière intestinale vers la circulation sanguine d où «endotoxémie métabolique» Les régimes riches en graisses participeraient à la modification de la flore intestinale au profit d espèces sécrétant des LPS Cani PD, Diabetes 2008, 57: 1470 Amar J, Am J Clin Nut 2008, 87: 1219
60 Compléments alimentaires anti-inflammaging? Pas d étude montrant une diminution de la microinflammation avec des probiotiques (lacto bacillus par exemple) agissant sur la flore intestinale Intervention nutritionnelle? Lipides alimentaires? Rôle des Omega 3? Antioxydants? Autres composés alimentaires?
61 Mode de vie et vieillissement Étude chinoise 2000 personnes âgées de plus de 70 ans suivies 3 ans risque de mortalité réduite activité physique consommation quotidienne de poisson consommation modérée d alcool meilleure santé subjective consommation modérée d alcool abstinence pour le tabac Données communes avec la plupart des études de cohorte
62 Poissons et maladies cardiovasculaires Acides gras Omega-3 alimentaires: Diminution des triglycérides Contrôle de la coagulation Amélioration de la paroi artérielle Diminution de la TA Effet anti-inflammatoire Effet anti-arythmique Effet «alimentation» : diminution de la prise de graisses saturées (remplacement viande par poissons)
63 Poissons et maladies cardiovasculaires Exemple de la fibrillation auriculaire Mozaffarian Circulation 2004; 110:368
64 Poissons et maladies cardiovasculaires Recommandations 2000 AHA Une alimentation santé doit inclure les principaux groupes d aliments, en pratique: fruits et légumes, céréales dont céréales complètes aliments lactés pauvres ou sans matières grasses poissons, volailles et viandes maigres Pour un profil lipidique optimal éviter les aliments riches en graisses saturées et en cholestérol et substituer par des acides gras insaturés provenant de végétaux et de poissons Circulation 2000; 102:2284
65 La santé mentale Être indemne de dépression en gironde 13% des hommes et 15% des femmes de plus de 65 ans présentent une symptomatologie dépressive (étude PAQUID)» Fuhrer, J Am Geriatr Soc 2003, 51:1055 consommation de poissons et symptômes dépressifs?
66 Dépression et consommation de Effets protecteurs? poissons Effets anti-dépresseur de l huile de poisson chez l animal (Naliwaiko, Nutr Neurosci 2004, 7:91) Corrélation entre les variations saisonnières de concentrations sériques en PUFA et l incidence des suicides (De Vriese, Prostaglandins Leukot Essent Fatty Acids 2004, 71:13) Comparaison de pays pour les habitudes alimentaires : corrélation inverse entre la consommation de poissons et la prévalence de la dépression (Peet Br J Psychiatr 2004,184:381)
67 Dépression et consommation de Pas d effets? poissons Étude finlandaise ( hommes ans) absence d association entre la consommation individuelle de poisson et le risque de présenter des symptômes dépressifs, un épisode dépressif majeur, ou un suicide (Hakkarainen, :567) Essai thérapeutique de prévention de l anxiété et des troubles de l humeur chez des coronariens pas d effets de la consommation de poisson (Ness, Nutr Neurosci 2003, 6 :63)
68 Consommation de poisson et risque de présenter un AVC RR 2,5 2 1,5 Tout AVC AVC ischémique AVC hémorragique Méta analyse : Ka, Stroke 2004, 35 : ,5 0 < 1/mois 1 à 3/mois 1 /semaine 2 à 4 /semaine 5 ou plus /semaine
69 Prévenir les démences? Risque réduit chez les consommateurs de poisson de déclin cognitif de démence de maladie d Alzheimer Rotterdam Study PAQUID Zuphten Elderly Study
70 Les obèses âgés, comment leur rendre service?
71 Index musculaire squelettique et handicap Pourcentage de femme âgée handicapées en fonction de leur index de masse squelettique (masse musculaire en kg/taille (m)2), Third National Health and Nutrition Examination Survey, Janssen I, Am J Epidemiol : dénutrie obèse
72 Transition nutritionnelle? 2 paradigmes s opposent ans, âge de la maturité La minceur semble la situation la plus désirable : amélioration du profil lipidique, de la sensibilité à l insuline, du bien-être, préservation des articulations, moins de handicap et diminution de la micro-inlammation (= inflamm-aging) > 65 ans, du jeune vieux au vieux-vieux La perte de poids serait délétère quel que soit l IMC initial
73 L obésité un facteur de risque à considérer chez la personne âgée? Obésité associée à l augmentation du handicap dans le grand âge 8966 sujets (age: 65 IMC, continence, ADL et IADL, mobilité. Ajusté sur: age, niveau d éducation, cognition, tabac et alcool, dépression, dyspnée, diabètes et maladies cardio vasculaires. Femmes IMC > 30 kg/m 2 associé à tout type de handicap. Relation linéaire pour ADL et continence, pour IADL risque aussi chez les plus maigres IMC <21 kg/m 2 Hommes, Liaison plus faible restriction de mobilité pour les plus maigres et les plus gros. Larrieu International Journal of Obesity (2004) 28, 1555
74 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? Qualité de la perte de poids : Health ABC study : âge (50% femmes), Obésité associée à du handicap à 4 ans MAIS du handicap à 4 ans supérieure si perte de poids involontaire > perte de poids volontaire > Gain de poids ou fluctuations ou stabilité Lee. J Gerontol A Biol Sci Med Sci 2005; 60:1007
75 L obésité «sarcopénique»? Courbe Kaplan Meyer de survenue d une perte d autonomie IADL Baumgartner JAMA 2004,12:1995
76 Effets de la perte de poids à 50 ans sur handicap ADL après 65 ans? Progetto Veneto Anziany Study: évaluation à 65 ans et rappel du poids à 50 ans, 1187 hommes, 1723 femmes Busetto, J Am Geriatr Soc 2009: 1237
77 Effets de la perte de poids à 50 ans sur handicap ADL après 65 ans? Le poids stable reste le plus favorable à long terme La prise de poids de plus de 10% à 50 ans est très défavorable
78 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? Épidémiologie : Health ABC study : âge (50% femmes), Étude des variation de poids et de composition corporelle Masse grasse Masse maigre Newman Am J Clin Nutr 2005; 82:872
79 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? La perte de poids risque d entraîner une perte importante de masse maigre et les gains ultérieurs auront tendance à se faire au profit d un gain supérieur de masse grasse Origine de l obésité sarcopénique? Attention chez la femme ménopausée, la masse osseuse est positivement reliée à la masse grasse
80 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? 34 sujets (65 ans) intervention : régime ou régime + exercice physique Hays: Arch Intern Med 2004; 164:210
81 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? 34 sujets (65 ans) intervention : régime ou régime + exercice physique Hays: Arch Intern Med 2004; 164:210
82 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? 34 sujets (65 ans) intervention : régime ou régime + exercice physique 2004; 164:210 Hays: Arch Intern Med
83 Faut-il faire maigrir les obèses âgés? Avec exercice physique associé peutêtre mais contrôle de la composition corporelle obligatoire Étude d impact nécessaire chez les plus de 75 ans avant recommandation
84 Les lipides
85 Évolution du Cholestérol avec l âge cholestérol g / L 2,8 2,7 2,6 2,5 2,4 2,3 2,2 2,1 2 1,9 60 ans 90 ans femmes hommes E W P H E Staessen J J Hypertens 1990; 8:
86 Rôle des lipides plasmatiques? En fait cholesterol bas (HDL chol bas) associé à une augmentation de la mortalité Chez des sujets âgés «réussis» (70-79 ans), ayant un cholesterol total dans les deux quartiles médian (1,95-2,44 g/l) l augmentation du non-hdl cholestérol de 0.1 g/l est associé à une réduction de la mortalité, de l atteinte cognitive, du handicap Karlamangla J Am Geriatr Soc 2004, 52: 487
87 Les traitements hypolipémiants âge > 65 ans OBEPI 2012 représentatif > 65 ans8
88 Quelques chiffres sans notion d âge Taux de LDL-C recommandés Adult Treatment Panel III JAMA 2001; 285: < 1 g / l chez coronariens avec diabète ou avec 2 autres FR risque coronarien > 20 % à 10 ans < 1,3 g / l 2 facteurs de risque risque coronarien < 20 % à 10 ans < 1,6 g / l 1 facteur de risque taux de HDL-C 0,4 g / l
89 Étude EPESE 6566 personnes âge 71 ans mise en place 1981 étude de 1988 à 1992 âge moyen 79,2 ans cholestérol (g/l)et décès pendant la 1 année 1,6 1,61-1,99 2-2,39 2,4g / L 9,7% 4,3 % 3,1 % 2,2 % Corti M C Ann Intern Med 1997; 126:
90 Relation entre cholestérol total et risque de décès par maladie coronaire Étude EPESE 6566 personnes âge moyen 79,2 ans Non ajusté Risque Relatif 2 1,5 1 0,5 RR 0 <4,15 4,15-5,19 5,2-6,19 > 6,2 cholestérol mmol/l Corti M C Ann Intern Med 1997; 126:
91 Relation entre cholestérol total et risque de décès par maladie coronaire Étude EPESE Ajusté: facteurs de risque coronariens 1,5 Risque Relatif 1 0,5 RR 0 < 4,15 4,16-5,19 5,2-6,19 > 6,2 cholestérol mmol / L Corti M C Ann Intern Med 1997; 126:
92 Relation entre cholestérol total et risque de décès par maladie coronaire EPESE ajusté sur l'albumine et le fer 1,5 Risque Relatif 1 0,5 < 4,15 4,16-5,19 5,2-6,19 > 6,2 0 < 4,15 4,16-5,19 5,2-6,19 > 6,2 cholestérol mmol / L Corti M C Ann Intern Med 1997; 126:
93 Relation entre cholestérol total et risque de décès par maladie coronaire Étude EPESE 2 après élimination des évènements de la I année Risque Relatif 1,5 1 0,5 RR 0 < 4,15 4,16-5,19 5,2-6,19 > 6,2 cholestérol mmol / L Corti M C Ann Intern Med 1997; 126:
94 Italian Longitudinal study of aging 3295 sujets de 65 à 84 ans suivi 3 ans cholestérol (g/l) en 4 quartiles : 0,78-1,89 1,90-2,16 2,17-2,75 2,76-4,17 n décès 19,6% 10,7% 8,6% 9,3% décès 2,5% 1,8% 1,0% 0,9% 1ère année Brescianini J Am Geriatr Soc 2003, 51: 991
95 Italian Longitudinal study of aging 3 modèles d analyse 1er : sexe, âge, IMC, HDL, HTA, diabète, fibrinogène, triglycérides, acide urique, Apo a, tabac, alcool 2ème : idem +maladie coronaire, maladie du foie, cancer et AVC 3ème : idem 2 + perte de poids, Hb, perte fonctionnelle, albumine Le premier quartile de cholestérol reste associé à une surmortalité» Brescianini J Am Geriatr Soc 2003, 51: 991
96 Quelle signification pour le facteur dyslipidémie après 80 ans? van Vliet P et al. J Gerontol A Biol Sci Med Sci 2010;65A:
97 Quelle signification pour le facteur dyslipidémie après 80 ans? Chez le sujet de plus de 85 ans une plus grande baisse de IMC, Cholestérol total TA Et une plus faible ascension du HDL cholestérol Associé à une augmentation de mortalité van Vliet P et al. J Gerontol A Biol Sci Med Sci 2010;65A:
98 Cholestérol chez les personnes âgées et Risque cardio-vasculaire Eléments de discussion 1 le cholestérol du sujet âgé ne reflète pas les taux qui ont existé 20 ans plus tôt! 2 le cholestérol est un marqueur de l état nutritionnel. Mais n est-il plus que cela chez les personnes âgées? 3 à quoi sert le dosage du cholestérol après 80 ans chez un patient non-dénutri?
99 Étude PROSPER 2804 hommes, 3000 femmes, âge de 70 à 82 ans pravastatine 40 mg / j versus placebo durée moyenne du suivi: 3,2 ans baisse du LDL-Cholestérol: 34 % évènements: 408 vs 473 0,85 (IC 95 % 0,74-0,97, p=0,014) décès coronaire 0,81 ( 0,69-0,94, p=0,006) AVC 1,03 ( 0,81-1,31, p=0,8) cancer 1,25 (1,04-1,51, p=0,02) vieillissement cognitif NS Sheperd J Lancet 2002; 360:
100 HPS conclusions pour les personnes âgées 40 milligrames de simvastatine par jour diminuent d un tiers le risque de complications cardiaques et vasculaires cérébrales chez les malades porteurs d une maladie artérielle «occlusive» ou d un diabète un traitement de 5 ans par la simvastatine prévient un AVC majeur chez 10 pour 100 personnes traitées âge > 70 ans contre 7 pour 100 avant 65 ans et quelque soit le taux de cholestérol
101 Statines Baisse du LDLcholéstérol ET Baisse de la HsCRP Etude de survie selon traitement statines et HsCRP dans une cohorte jeune (62 ans de moyenne d âge) Bickel C, Am J Card 2002, 89: 901
102 Statines Effets des statines comme anti HsCRP, population vieillissante mais non âgée Bickel C, Am J Card 2002, 89: 901
103 Oui mais quelles personnes âgées? Limites d âge de ces études: 82 ans Le traitement par statines ne prévient pas L altération des fonctions cognitives La démence La fragilité n est pas prévenue par les statines en étude de cohorte (LaCroix AZJ Gerontol, : 369) Rester pragmatique Doser le LDL cholestérol, Évaluer les facteurs de risques nutritionnels? Evaluer l espérance de vie Doute très important de l intérêt après 85 ans Surveillance de la toxicité
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