L histoire des cartes d identité génétique
|
|
- Jean-Charles Normandin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L histoire des cartes d identité génétique 1985 Alec Jeffreys met en évidence les VNTR 1987 Début des tests ADN aux EU 1989 Début des tests au Canada 1
2 Exemple de l analyse simple locus 2
3 Exemple de l analyse simple locus Suspect 1 Suspect 2 empreinte 3
4 Les limites de l analyse avec les VNTR: Demande beaucoup de temps Demande un ADN d excellente qualité (non dégradé) 4
5 Les minisatellites (<16pb) Fragments amplifiés de 250 à 900 pb Distribués dans l ensemble du génome Les STR Répétitions de di, tri ou tétranucléotides Fragments amplifiés de l ordre de 200 pb Très fréquents dans le génome (0.5% ADN total) Utilisables avec de l ADN dégradé Limitation : les contaminations 5
6 Analyse de l ADN mitochondrial ADN circulaire de petite taille D origine purement maternelle Très peu de variations 6
7 Identification des restes des Romanoff 7
8 Identification des restes des Romanoff Août 1917 la révolution russe commence - la famille royale est capturée et emprisonnée - elle comprend : le Tsar Nicolas II et la Tsarine, les enfants : Alexandra, Olga, Tatyana, Anastasia, Nicholi 16 juillet 1918 les Romanoff sont assassinés peu après minuit Les corps sont - transportés dans un wagonnet de mine - mis dans une fosse au bord de la route - recouverts de chaux vive et de terre 8
9 Identification des restes des Romanoff Juillet 1991 on découvre des cadavres dans une fosse commune près d Ekatarinbourg Ils correspondent aux restes de 9 personnes On détermine le sexe, l âge et le statut social de 9 personnes 1992 les analyses ADN commencent Analyse avec les microsatellites Analyse avec l ADN mitochondrial 9
10 Détermination du sexe Amplification d une séquence du gène de l amélogénine Il est porté dans la partie commune X et Y Sur l X un fragment de 106 pb est produit Sur l Y un fragment de 112 pb est produit Ceci permet de confirmer la présence du corps de 4 hommes et 5 femmes 10
11 Analyse par microsatellites Utilisation de 5 microsatellites correspondant à des répétitions de tétranucléotides : HUMTHO1 HUMVWA31 HUMF13A1 HUMFES/FPS HUMACTPB2 11
12 12
13 13
14 Les résultats de l analyse: Les squelettes 4 et 7 sont parents des squelettes 3, 5 et 6 Les squelettes 1, 8 et 9 correspondent aux serviteurs Comment prouver que ce sont les restes des Romanoff? 14
15 Analyse de l ADN mitochondrial *la séquence nucléotidique de la région hypervariable de l ADN mitochondrial permet de tester l hypothèse *Le prince Philip d Angleterre est parent de la tsarine Alexandra *Les descendants de Louise de Hesse-Cassel sont parents du Tsar Nicolas II 15
16 16
17 17
18 Les conclusions de l analyse: Les squelettes 4 et 7 sont ceux du Tsar et de la Tsarine Les squelettes 3,5 et 6 sont ceux de leurs enfants Les squelettes 1, 8 et 9 sont ceux des serviteurs Le squelette 2 est celui du Dr Botkin 18
19 19
20 Les sources d ADN : 20
21 Le test ADN en électrophorèse capillaire 21
22 a) 11 marqueurs utilisés en test ADN b) ADN «mélangé» provenant de deux origines différentes (seul le canal vert est présent) 22
23 Exemple de l utilisation des tests ADN USA versus Raymond Jenkins 23
24 Le meurtre, 4 juin 1999 Dennis Dolinger est retrouvé mort dans sa cave Il a reçu 25 coups de couteau Il y a du sang dans la cave, rez de chaussé, 1 er et 2 ème étage de sa maison Son portefeuille a disparu 24
25 Dennis Dolinger Sa vie publique Politicien local Combat les revendeurs de drogue 25
26 Steven Watson Musicien de rue Drogué Casier judiciaire important Drogue Vols Bagarres de rue 26
27 Les preuves contre Watson Il est arrêté en utilisant la carte de crédit de Dolinger le lendemain du meurtre Il est en possession du portefeuille de Dolinger. Il a sur lui des traces de sang 27
28 Le crime est résolu Watson est arrêté Il est accusé de meurtre Il est envoyé en prison en attendant le procès 28
29 Les tests ADN mettent en évidence un autre meutrier Le FBI rejette la possibilité que l ADN provienne de Watson. Habile déduction :c est quelqu un d autre qui est coupable! 29
30 Recherche sur l ADN Le profil ne correspond à aucune des données de la banque CODIS Une correspondance est trouvée dans une autre banque avec l ADN de Raymond Jenkins Jenkins est accusé du meutre Jenkins est mis en prison et en attente de son procès depuis janvier
31 La suite Les preuves contre Watson sont rejetées Il est libéré Il disparaît de la circulation 31
32 Examen critique des résultats des tests ADN La police scientifique récupère le matériel biologique sur les lieux du crime. Le laboratoire en tire un profil ADN sur 13 marqueurs. Les statisticiens recherchent la probabilité de trouver au hasard ce même profil pour une autre personne de la population. 32
33 Les aléas du test Les contaminations: elles peuvent se produire à différents moments, prélèvement, extraction, amplification et électrophorèse. Attention aux témoins positifs et négatifs La dégradation de l ADN augmente le risque d erreurs Quel protocole suit le laboratoire? 33
34 Les mythes sur les tests ADN L ADN d un individu est unique Le test n est basé que sur 13 marqueurs La recherche des allèles est objective L interprétation est humaine! Les scientifiques sont neutres et on travaille bien dans tous les labos Hum, hum! 34
35 Le test ADN est une confirmation et non unepreuvede culpabilité 35
36 Il faudra différencier Confirmation d identité Le suspect est identifié dans un premier temps par des preuves autres que l ADN Le test ADN ne vient que confirmer une identité Test ADN uniquement Le suspect est identifié par des comparaisons d ADN avec les bases de données On peut exclure d autres suspects 36
37 Les cas de recherche dans les banques de données ADN Comparaison d un profil d ADN avec des banques de données Si les profils sont identiques, on a un suspect On recommence les tests avec d autres marqueurs Si le nouveau profil est encore identique avec celui du suspect il est mis en examen 37
38 Attention dans le deuxième cas nous avons affaire uniquement à une coïncidence statistique! En 1989 à l US open de golf, 4 joueurs ont fait un trou en un coup la probabilité d un tel résultat est de 1/ (1,000,000,000,000,000) La signification diminue avec l augmentation de la taille des banques de données 38
39 Conclusions: Les tests ADN doivent être interprétés avec prudence Il faut augmenter le nombre de marqueurs Il ne faut pas faire dire n importe quoi à la statistique Il faut faire renouveler les tests par des laboratoires indépendants L interprétation des tests doit être faite par des experts extérieurs au laboratoire où ils ont été réalisés 39
Principes de bonne pratique :
Principes de bonne pratique : Recommandations en vue de la création de bases de données génétiques nationales Le présent document a été élaboré par le Groupe d experts d INTERPOL sur le suivi des techniques
Plus en détailQuestionnaire du projet Innocence
1 Questionnaire du projet Innocence Directives : Répondez de façon aussi détaillée que possible à chacune des questions suivantes ayant trait à votre dossier. Des réponses complètes et précises nous permettront
Plus en détailMORPHO CRIMINAL JUSTICE SUITE
MORPHO CRIMINAL JUSTICE SUITE UNE GAMME COMPLÈTE DÉDIÉE AUX MISSIONS DE LA POLICE JUDICIAIRE 2 1 3 Morpho offre aux forces de l ordre une gamme complète de produits pour les assister dans les recherches
Plus en détailLA BANQUE NATIONALE DE DONNÉES GÉNÉTIQUES DU CANADA
AUTORISATIONS POUR PRÉLÈVEMENTS RÉTROACTIFS: RÉSOUDRE DES AFFAIRES NON ÉLUCIDÉES LA BANQUE NATIONALE DE DONNÉES GÉNÉTIQUES DU CANADA RAPPORT ANNUEL 2 0 1 1 2 0 1 2 VEUILLEZ ADRESSER TOUTE DEMANDE D INFORMATION
Plus en détailLa Banque nationale de données génétiques du Canada
RAPPORT ANNUEL 2001-2002 La Banque nationale de données génétiques du Canada Un service national de police Toute autre information ou demande de copies additionelles au sujet du contenu de ce rapport doit
Plus en détailGènes Diffusion - EPIC 2010
Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses
Plus en détailAccréditation n 1-2061 Liste des sites accrédités et portée disponibles sur www.cofrac.fr
Accréditation n 1-2061 Liste des sites accrédités et portée disponibles sur www.cofrac.fr L'Institut national de police scientifique, «INPS» a été créé par l'article 58 de la loi 2001-1062 du 15 novembre
Plus en détailLa Banque nationale de données génétiques du Canada
La Banque nationale de données génétiques du Canada RAPPORT ANNUEL 2010. 2011 VEUILLEZ ADRESSER TOUTE DEMANDE D INFORMATION AU SUJET DU CONTENU DE CE RAPPORT OU DEMANDE D EXEMPLAIRES SUPPLÉMENTAIRES À
Plus en détailCOMMENT TRADUIRE «FORENSIC» EN FRANÇAIS?
COMMENT TRADUIRE «FORENSIC» EN FRANÇAIS? Lors des travaux de traduction, nous sommes confrontés à certains problèmes quant à l utilisation des différentes versions françaises du terme forensic. En effet,
Plus en détailMOT SUR L'ANIMATEUR SERGENT STEVE BERBERI, CISSP
MOT SUR L'ANIMATEUR SERGENT STEVE BERBERI, CISSP 1994-1998 COMPTABILITÉ/FISCALITÉ 1998-2003 ENQUÊTEUR/CR. ÉCONO./SQ 2003-2009 ENQUÊTEUR/CHEF D'ÉQUIPE CYBERSURVEILLANCE/SQ 2010-... CHEF D'ÉQUIPE/INTÉGRITÉ
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailEn devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.
3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de
Plus en détailCREATION D'UNE BANQUE NATIONALE DE DONNEES DE PROFILS ADN RAPPORT FINAL DE LA COMMISSION D'EXPERTS
CREATION D'UNE BANQUE NATIONALE DE DONNEES DE PROFILS ADN RAPPORT FINAL DE LA COMMISSION D'EXPERTS Berne, le 18 décembre 1998 Table des matières I. Historique...5 II. Mandat et composition du groupe de
Plus en détailLE PROCUREUR CONTRE JEAN-PAUL AKAYESU. Affaire N ICTR-96-4-T
OR: ANG Devant : Greffe : Juge Laïty Karna, Président Juge Lennart Aspegren Juge Navanethem Pillay M. Lars Plum M. John M. Kiyeyeu Décision du : 17 février 1998 LE PROCUREUR CONTRE JEAN-PAUL AKAYESU Affaire
Plus en détailUne banque de données d ADN va aider à identifier les victimes de la dictature
Une banque de données d ADN va aider à identifier les victimes de la dictature Les parents vont aider à constituer le profil génétique des victimes du régime militaire 1 et les données seront comparées
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailDIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants :
DEMANDE DE RECONNAISSANCE D UN DIPLÔME OU D UNE FORMATION EN VUE DE L EXERCICE DE LA PHARMACIE AU QUÉBEC DIRECTIVES 1. Veuillez écrire en lettres moulées de façon lisible. Le présent document doit être
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailChanger de nom ou de prénom
Changer de nom ou de prénom Introduction Sous certaines conditions, une personne peut changer de nom ou de prénom. La procédure diffère légèrement selon qu il s agit d un changement de nom ou de prénom.
Plus en détailBrest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012
Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les
Plus en détailDemande d obtention de permis d exercice ou de certificat de spécialiste
Demande pour une inscription en (mois/année) : NATURE DU PERMIS OU DU CERTIFICAT DEMANDÉ Note : une demande séparée est nécessaire pour chaque type de permis, certificat ou inscription. GÉNÉRAL SPÉCIALITÉ
Plus en détailles lacunes: Approches intégrées pour la prévention de la criminalité et la sécurité»
Allocution de Dan Platon, Ministre de la Sécurité communautaire du Cap- Occidental, lors du dîner de bienvenue pour le 10ième Colloque du CIPC «Combler les lacunes: Approches intégrées pour la prévention
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailSECTION 3. La prévention de la fraude. Il existe plus de 50 types de fraude sachez vous protéger. Un guide pour les aînés
SECTION 3. La prévention de la fraude Il existe plus de 50 types de fraude sachez vous protéger Un guide pour les aînés 19 SECTION 3. La prévention de la fraude L exploitation financière d une personne
Plus en détailLe vol à l étalage 1
Le vol à l étalage 1 Le vol à l étalage, c est du vol tout court Définition ; Le vol consiste à prendre sans en avoir la permission quelque chose, si petit que soit-il, qui appartient à autrui, à un magasin
Plus en détailCONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA
CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA QUELLES SONT LES CONDITIONS POUR POUVOIR CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA? Vous devez être âgé d au moins 16 ans et être détenteur d un permis de conduire valide. Il y a
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailLa sécurité dans les grilles
La sécurité dans les grilles Yves Denneulin Laboratoire ID/IMAG Plan Introduction les dangers dont il faut se protéger Les propriétés à assurer Les bases de la sécurité Protocoles cryptographiques Utilisation
Plus en détailBIEN-ÊTRE @ TRAVAIL ÉTUDE IPSOS LOYALTY / STEELCASE SUR LE BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
Communiqué de presse Septembre 2014 UNE ÉTUDE STEELCASE EN COLLABORATION AVEC IPSOS BIEN-ÊTRE @ TRAVAIL Contact presse pour informations, photos, interviews : BENJAMIN GIRARD Agence Design Project Tél
Plus en détailStatistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour
A U S E R V I C E D E S C A N A D I E N S Statistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour Statistiques sur les armes à feu Tableaux mis à jour Kwing Hung, Ph. D. Conseiller en statistique et méthodologie
Plus en détailL Essentiel des Règles de jeu du GN Version 2014-finale
L Essentiel des Règles de jeu du GN Version 2014-finale Ceci est un résumé. Pour le détail des règles, reportez vous au document complet. NOTA : Nous avons souhaité une simplification radicale des règles
Plus en détailCahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite
Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est
Plus en détailLES INSCRIPTIONS À L «UNIVERSITÉ DE LA CYBERCRIMINALITÉ» SONT OUVERTES!
LES INSCRIPTIONS À L «UNIVERSITÉ DE LA CYBERCRIMINALITÉ» SONT OUVERTES! Septembre 2013 La rentrée des classes est un moment très attendu, non seulement pour les parents et les élèves, mais également dans
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailNOTIONS DE RESPONSABILITE
NOTIONS DE RESPONSABILITE De par ses prérogatives et ses fonctions, l encadrant a des responsabilités et des obligations. En cas de problème, il peut voir sa responsabilité engagée. QUAND? Souvent à l
Plus en détailAccès des gouvernements aux données du secteur privé
Accès des gouvernements aux données du secteur privé Jérusalem, le 28 octobre 2010 (32 e conférence internationale des commissaires à la protection des données et de la vie privée) Giovanni Buttarelli
Plus en détailLE REGROUPEMENT FAMILIAL LE DROIT AU REGROUPEMENT FAMILIAL AVEC UN RESSORTISSANT DE PAYS TIERS
LE REGROUPEMENT FAMILIAL LE DROIT AU REGROUPEMENT FAMILIAL AVEC UN RESSORTISSANT DE PAYS TIERS Viktor BALLA Juriste,Ce.R.A.I.C. asbl Le 25 avril 2013 I. INTRODUCTION le regroupement familial est un droit
Plus en détailLes clés pour bâtir une stratégie gagnante avec le channel
CONTENT SYNDICATION E-COMMERCE INTEGRATION business integration BUSINESS INTELLIGENCE Les clés pour bâtir une stratégie gagnante avec le channel Automatiser la génération de leads, simplifier vos processus
Plus en détailCartes électroniques. 1 décembre 2008
Cartes électroniques 1 décembre 2008 Nécessité de modernisation Mobilité Lutte contre la fraude/criminalité Nouveaux besoins sociaux Simplification administrative Réglement (CE) nr. 1030/2002 du Conseil
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailChiffre d affaires du T1 2011 Conférence téléphonique 4 Mai 2011
Chiffre d affaires du T1 2011 Conférence téléphonique 4 Mai 2011 Profil Cegedim > Groupe CRM & données stratégiques Professionnels de santé Assurances & services Finance 2 T1 2011 conforme aux attentes
Plus en détail1 planche Cour du Roi, pour poser les cartes Audience. 5 pions Château, pour indiquer votre emplacement autour de la Cour
Honneurs de la Cour Un jeu créé par Damien NICOLAS De 2 à 5 joueurs - A partir de 10 ans 10min/joueurs But du jeu Vous incarnez une des plus prestigieuses familles de la Cour du Roi de France et rêvez
Plus en détailLa cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012
La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012 Jorick Guillaneuf, chargé d études statistiques à l ONDRP DOSSIER
Plus en détailVous propose ses visites guidées animées par des artistes. adaptées en team-building
Vous propose ses visites guidées animées par des artistes adaptées en team-building Fort du succès populaire des Visites-Spectacles L Esprit de Montmartre et L Enigme des Passages Couverts, nous vous proposons
Plus en détailL olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II
15 novembre 2013 L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II Pascal Gonzalvez 1 L olivier Assurances et le Groupe Admiral Segmentation et tarification en assurance auto Autres applications de la
Plus en détailASPECTS MEDICO-LEGAUX DES TRAUMATISMES SEVERES NIMES 8 JANVIER 2015. Département de médecine légale Pôle URGENCES CHU de Montpellier
ASPECTS MEDICO-LEGAUX DES TRAUMATISMES SEVERES NIMES 8 JANVIER 2015 Département de médecine légale Pôle URGENCES CHU de Montpellier REORGANISATION DE LA MEDECINE LEGALE CREATION en 2011 UNITES MEDICOJUDICIAIRES
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailJF/FM N 18819 Contacts Ifop : Jérôme Fourquet / Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com. pour
JF/FM N 18819 Contacts Ifop : Jérôme Fourquet / Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 jerome.fourquet@ifop.com pour Les jugements sur les mesures de lutte contre l insécurité Résultats détaillés Août 2010
Plus en détailLES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT. Formation AVS Janvier 2013
LES RESPONSABILITES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Formation AVS Janvier 2013 LES RESPONSABILITES GENERALES DES AGENTS PUBLICS DE L ÉTAT Les responsabilités des agents publics de l État sont de trois ordres:
Plus en détailFonction inverse Fonctions homographiques
Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................
Plus en détailRESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF
RESPONSABILITES ET ASSURANCE DANS LE DOMAINE ASSOCIATIF L ASSOCIATION : Construction humaine, Construction juridique. RAPPEL Un cadre législatif fondamental - article 1 loi du 1 juillet 1901 : «l association
Plus en détailposé de 3 ème année Sébastien DESTABEAU IR3
Large panorama des méthodes informatiques criminalistiques posé de 3 ème année Sébastien DESTABEAU IR3 o Introduction Objectif de cet Xposé Motivation du choix du sujet o Informatique criminalistique Définitions
Plus en détailCour suprême. simulation d un procès. Canada. Introduction génér ale. Comment réaliser une simulation de procès?
simulation d un procès Introction génér ale Un procès criminel se déroule devant un juge seul, parfois assisté d un jury composé de jurés. L avocat de la défense représente l accusé, qui est présumé innocent,
Plus en détailSmall-Satellite Engineering and Applications
Amandine DENIS Satellite Engineering Mai 2008 Aperçu de la présentation 1. De Spoutnik aux CubeSats 2. Caractéristiques-clés des petits satellites 3. Plateformes développées par le SSTL 4. Opportunités
Plus en détailComment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie
Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même
Plus en détailRISQUE SPORTIF ET ASSURANCE
RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE 1 SOMMAIRE I. NOTION DE RESPONSABILITES A. La responsabilité civile 1. La responsabilité civile délictuelle 2. La responsabilité civile contractuelle B. La responsabilité pénale
Plus en détailInrap / Les étapes de l archéologie préventive
Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailProcédures d admission par équivalence
Procédures d admission par équivalence Conformément à ses règlements et aux exigences prescrites par le Code des professions du Québec, l Ordre des conseillers et conseillères d orientation du Québec (OCCOQ)
Plus en détailRESERVATION EN LIGNE GUIDE UTILISATEUR ET REGLEMENT. RESERVATION EN LIGNE TENNIS CLUB DE NEAUPHLE : Guide utilisateur et règlement Page 1 sur 18
RESERVATION EN LIGNE GUIDE UTILISATEUR ET REGLEMENT RESERVATION EN LIGNE TENNIS CLUB DE NEAUPHLE : Guide utilisateur et règlement Page 1 sur 18 SOMMAIRE 1 Connexion 3 1.1 Se connecter sur le site Web Ballejaune
Plus en détailMUNICIPALITÉ DU DISTRICT DE CLARE ARRÊTÉ N 28 ARRÊTÉ CONCERNANT LES REVENDEURS TEMPORAIRES DE VÉHICULES MOTORISÉS
MUNICIPALITÉ DU DISTRICT DE CLARE ARRÊTÉ N 28 ARRÊTÉ CONCERNANT LES REVENDEURS TEMPORAIRES DE VÉHICULES MOTORISÉS Compétences En vertu de l article 171 de la loi sur les administrations municipales (Municipal
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailTes droits lorsque tu parles à la police
LE MAINTIEN DE L ORDRE ET LA SOCIÉTÉ 68 Module 7 Tes droits lorsque tu parles à la police Question centrale Quels sont tes droits lorsque tu parles et interagis avec la police? Aperçu Dans ce module, nous
Plus en détailPrésentation BAI -CITC
Présentation BAI -CITC Expertise reconnue dans des niches technologiques Technologies embarquées Technologies sans contact Technologies d identification et d authentification Sécurité des objets connectés
Plus en détailPouvoirs de surveillance, de perquisition ou de saisie élargis par des lois récentes au Canada, au Royaume-Uni, en France et aux États-Unis
Office of the Privacy Commissioner of Canada Commissariat à la protection de la vie privée du Canada Pouvoirs de surveillance, de perquisition ou de saisie élargis par des lois récentes au Canada, au Royaume-Uni,
Plus en détailSynthèse. Jeux d argent. Internet et jeux vidéo. Comparaison avec les apprentis
ENQUÊTE SUR LA PRATIQUE D INTERNET, DES JEUX VIDEO ET JEUX D ARGENT PAR DES COLLEGIENS PAS C AL E SCH AL B E T T E R, LIC.ES.SOC. C O L L AB O R AT R I C E S C I E N T I F I Q U E AD D I C T I O N VAL
Plus en détailAccrédité par l AABB. www.progenicscryobank.com
La conservation du sang ombilical de votre bébé à la naissance pourrait bien plus tard sauver la vie de votre enfant et celle d autres membres de votre famille www.progenicscryobank.com Accrédité par l
Plus en détailPropriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 )
Profil de projet d innovation technologique en réfrigération PARB PROGRAMME D ACTION EN RÉFRIGÉRATION POUR LES BÂTIMENTS Centre multiloisirs Dow Centennial Centre (Alberta) CONSTRUCTION NEUVE Sommaire
Plus en détailEtudier à l étranger :
Etudier à l étranger : La plupart des inscriptions se terminent à la mi-janvier, voire février dans certains cas, contrairement à la France où les démarches commencent seulement en avril. Selon le système
Plus en détailQu est-ce que je dois faire lorsque je reçois une assignation à comparaître?
Être un témoin Qu est-ce qu un témoin? Le témoin est celui à qui il est demandé de se présenter devant le tribunal pour répondre à des questions sur une affaire. Les réponses données par un témoin devant
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détailRUSSIE LIBERTÉS. Paris, 16 mars 2013
Assemblée Générale 2013 RUSSIE LIBERTÉS Paris, 16 mars 2013 l agenda de la séance le bilan de l année 2012 nos actions nos évènements nos débats et interventions dans les média les projets pour l année
Plus en détailCOUR DU QUÉBEC «Division des petites créances»
Marionnet c. Ani-Puce 2014 QCCQ 2683 CANADA PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE LAVAL LOCALITÉ DE LAVAL «Chambre civile» N : 540-32-025647-122 COUR DU QUÉBEC «Division des petites créances» DATE : Le 8 avril
Plus en détailMAIDESC - KO 21 Novembre 2013 Etienne Wey Alexandre Boilley
MAIDESC - KO 21 Novembre 2013 Etienne Wey Alexandre Boilley S.A. créée en 1984 à Sophia Antipolis avec ARMINES comme actionnaire principal Activité majeure centrée autour des logiciels de simulation de
Plus en détailL ÉTABLISSEMENT D UNE BANQUE NATIONALE DE DONNÉES GÉNÉTIQUES M e Michael E.N. Zigayer
L ÉTABLISSEMENT D UNE BANQUE NATIONALE DE DONNÉES GÉNÉTIQUES M e Michael E.N. Zigayer TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 I. LE RÉGIME DU MANDAT RELATIF À UNE ANALYSE GÉNÉTIQUE... 4 II. LA BANQUE NATIONALE
Plus en détailLes Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité
Page 1 de 6 CRIME ET CHÂTIMENT Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité Les répondants du Québec sont plus enclins que tous les autres répondants
Plus en détailCODE DE VIE 2013-2014
CODE DE VIE 2013-2014 1. ASSIDUITÉ J assiste obligatoirement à tous mes cours. Je fais tous les travaux demandés et je les remets à temps. Après une absence ou à la demande des enseignants, je me présente
Plus en détailDidacticiel Études de cas. Description succincte de Pentaho Data Integration Community Edition (Kettle).
1 Objectif Description succincte de Pentaho Data Integration Community Edition (Kettle). L informatique décisionnelle («Business Intelligence BI» en anglais, ça fait tout de suite plus glamour) fait référence
Plus en détailCERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration
Plus en détailProtection des données et Vie privée
Protection des données et Vie privée Esma Aïmeur Université de Montréal Département d informatique d et de recherche opérationnelle Montréal, Canada Email : aimeur@iro.umontreal.ca http://www.iro.umontreal.ca/~aimeur
Plus en détail- La mise en cause d une personne déterminée qui, même si elle n'est pas expressément nommée, peut être clairement identifiée ;
E-réputation : la poursuite et les sanctions des propos injurieux ou diffamatoires sur internet Article juridique publié le 15/07/2014, vu 4483 fois, Auteur : MAITRE ANTHONY BEM L'injure et la diffamation
Plus en détailPlan 1/9/2013. Génération et exploitation de données. CEP et applications. Flux de données et notifications. Traitement des flux Implémentation
Complex Event Processing Traitement de flux de données en temps réel Romain Colle R&D Project Manager Quartet FS Plan Génération et exploitation de données CEP et applications Flux de données et notifications
Plus en détailImmatriculation et assurances. Immatriculation et assurances
7 171 7 Le chapitre 7 contient des renseignements sur l immatriculation des véhicules et d autres renseignements utiles pour les propriétaires de véhicules. 172 Avant de conduire un véhicule sur le réseau
Plus en détailProbabilités conditionnelles
Probabilités conditionnelles Exercice Dans une usine, on utilise conjointement deux machines M et M 2 pour fabriquer des pièces cylindriques en série. Pour une période donnée, leurs probabilités de tomber
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailL innovation technologique au quotidien dans nos bibliothèques
L innovation technologique au quotidien dans nos bibliothèques 1. Intro ITIL 2. Concept de base 3. Cycle de vie des services 4. Vue intégrée des processus 1. Stratégie 2. Conception 3. Transition 4. Exploitation
Plus en détailLa sécurité de l'information
Stéphane Gill Stephane.Gill@CollegeAhuntsic.qc.ca Table des matières Introduction 2 Quelques statistiques 3 Sécurité de l information Définition 4 Bref historique de la sécurité 4 La sécurité un processus
Plus en détailDUT Informatique Module Système S4 C Département Informatique 2009 / 2010. Travaux Pratiques n o 5 : Sockets Stream
iut ORSAY DUT Informatique Département Informatique 2009 / 2010 Travaux Pratiques n o 5 : Sockets Stream Nom(s) : Groupe : Date : Objectifs : manipuler les primitives relatives à la communication par sockets
Plus en détailLe régime d asile européen commun. Affaires intérieures
Le régime d asile européen commun Affaires intérieures Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux questions que vous vous posez sur l Union européenne. Un numéro unique
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailModèle de cahier des charges CRM
Modèle de cahier des charges CRM Vous trouverez dans ce modèle de cahier des charges les éléments généralement nécessaires au bon fonctionnement d un projet CRM. Chaque entreprise étant unique, il vous
Plus en détailI-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux
INTERPOL I-Checkit Pour votre sécurité I-Checkit est l outil dont les services chargés de l application de la loi ont besoin au 21 ème siècle pour mettre au jour et neutraliser les réseaux criminels et
Plus en détailLittératie financière pour jeunes Canadiens Ce que vous devez savoir
09 Littératie financière pour jeunes Canadiens Ce que vous devez savoir La littératie financière est essentielle dans la vie. Les jeunes qui ont acquis une compréhension de l argent dès leur jeune âge
Plus en détailASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT RETRAITÉS. Assurance vie Catégories 100, 110, 200
ASSOCIATION QUÉBÉCOISE DES DIRECTEURS ET DIRECTRICES D'ÉTABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT RETRAITÉS Assurance vie Catégories 100, 110, 200 Dernière modification prenant effet le : 1 er janvier 2015 RÉGIME D'ASSURANCE
Plus en détailC est sûr, vous avez fait le bon choix!
C est sûr, vous avez fait le bon choix! 4 Des clés protégées, avec label? Le choix de la sérénité! 6 Une question, un conseil? Ayez le réflexe L Expert! 9 Des solutions sécurité qui vous facilitent le
Plus en détailLa protection. contre les. incendies, l assurance. habitati n. vous
La protection contre les incendies, l assurance habitati n vous et Il est rentable d être préparé. Vous serez confronté à un défi de taille en essayant de vous rappeler tout ce qui a été détruit dans l
Plus en détail