Alimentation et Emotions :
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- Flavie Crevier
- il y a 7 ans
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1 Alimentation et Emotions : les rôles des pratiques éducatives parentales sur le comportement alimentaire de l enfant Sandrine Monnery-Patris, INRA CSGA DIJON Paris, le 24/01/09 - Colloque Promotion de la Santé - Neuchâtel, le 8 décembre 2011
2 En guise d amuse bouche Fonction de l alimentation Gustation Nutrition Plaisir Olfaction Alimentation Toucher Identité Convivialité
3 Evolution des modes d alimentation au cours de la vie - 9 mois Cordon ombilical Naissance Allaitement (maternel, substitution) 4-6 mois Diversification (aliments mixés) 1-3 ans Aliments de l adulte NEOPHOBIE ~20 ans Alimentation autonome / parents ~80 ans Difficultés masticatoires, trouble de l appétit
4 Premières années de la vie Empreinte sensorielle Événements de la vie utérine Pendant l allaitement Diversification Premières années de la vie Influence sur les comportements alimentaires ultérieurs des enfants
5 Empreinte sensorielle périnatale Mémoire des odeurs 0,5 0,4 * 0,3 anis 3 heures après la naissance neutre 0,2 0,1 0 D après Schaal, Marlier & Soussignan (2000)
6 Empreinte sensorielle périnatale Coutumes préconisant la consommation pendant la grossesse de certaines épices (exemple le curry en Inde) Préparer le bébé à sa future culture alimentaire
7 Empreinte sensorielle précoce L allaitement Lait maternel: parfumé des arômes présents dans l alimentation de la femme allaitante Carotte, anis, ail, vanille En plus de ses vertus nutritionnelles et immunitaires: Palette sensorielle d une richesse incomparable
8 Empreinte sensorielle précoce Impact fort sur les comportements alimentaires ultérieurs de l enfant À la diversification, les enfants allaités au sein sont moins néophobes que les enfants nourris au lait de substitution Explication : Exposition à une grande variété sensorielle Prépare l enfant aux notes de sa culture alimentaire Réduction de la neophobie
9 Empreinte sensorielle précoce A la diversification Nouvel aliment mieux accepté si imprégné d une note présente durant l allaitement À 4-5 ans Préférences pour des boissons acides ou amères diffèrent selon le lait Hydrolysat de protéines (acide) : jus de pomme + acide «Lait» de soja : jus de pomme rendu + amer Lait standard : jus de pomme standard À plus long terme Préférence de jeunes adultes pour ketchup vanillé / standard
10 Empreinte sensorielle précoce Premières années de la vie Période de transition majeure Orientation des comportements ultérieurs
11 Constat Le repas est pauvre en termes sensoriels Raisons évoquées temps, hygiène, sécurité alimentaire, praticité
12 Constat Situation récente et inédite d abondance de l offre alimentaire Augmentation de la prévalence de l obésité infantile L alimentation est devenue aujourd hui un facteur de promotion de la santé Rôles des pratiques éducatives parentales?
13 Les pratiques éducatives concernant l allaitement 5
14 Les fonctions du lait Fonction nutritionnelle Nutriments Autres composés bénéfiques (hormones ) Fonction sensorielle Sensations tactiles (variation en cours de tétée) Sensations gustatives Sensations olfactives Variables dans le lait maternel Rôle de l exposition sensorielle au lait maternel? 6
15 Attraction des nourrissons envers le lait maternel Dès la naissance, avant toute alimentation Attraction envers le lait maternel / eau Attraction envers le lait maternel / formule de substitution Attraction envers le lait de la mère / lait d une autre mère Après quelques jours d alimentation Attraction envers le lait maternel / formule artificielle habituelle 16 Schaal, 1988 ; Marlier et al., 2007; Soussignan et al., 1997
16 Conséquences sensorielles de l allaitement Exposition aux arômes L addition de lait maternel à un aliment (céréale) facilite leur acceptation (Mennella & Beauchamp, 1997) 18
17 Allaitement Lors de la diversification, les enfants allaités sont moins néophobes que ceux non allaités L allaitement est un contexte favorable pour l apprentissage d un nouvel arôme Un allaitement prolongé est associé à un profil de préférences gustatives différent (saveur umami plus appréciée): étude Opaline Les expériences ressenties durant l alimentation lactée sont associées à des changements de préférences alimentaires jusqu à 4-5 ans (cas des hydrolysats) ou l âge adulte (lait vanillé) L allaitement et l alimentation lactée participent à la programmation sensorielle de l enfant, de durée mal connue
18 15 Les pratiques éducatives de diversification
19 36 Facteurs facilitant la conduite de la diversification
20 Apprentissages au début de la diversification alimentaire Hypothèse La période de 4 à 6 mois est favorable à l introduction de nouvelles flaveurs (indépendamment de la texture) 37
21 Volume ingéré Existence de périodes favorables pour l apprentissage? Acceptation du lait hypoallergénique à 1-2 mois ou à 7-8 mois mois 7-8 mois Normal Hypoallergénique 41 Mennella & Beauchamp, 1996
22 Facteurs facilitant la conduite de la diversification La variété sensorielle précoce 36
23 Effet de la variété sensorielle 3 groupes, début de la diversification (~6m) Carotte: carotte pendant 9 j Potato: pomme de terre pendant 9 j Variété: un aliment différent / jour, 9j Test de consommation Poulet 50 Gerrish & Mennella, Am J Clin Nutr, 2001
24 Facteurs facilitant la conduite de la diversification L exposition répétée 36
25 L effet d exposition répétée - Saint Appolinaire - Maier et al., Food Qual Pref, 2007
26 Diversification La période 4-6 mois = la plus favorable pour introduire de nouvelles flaveurs Fenêtre pour l appréciation de nouveaux aliments Dès les premières expériences alimentaires, l enfant apprend : la répétition des présentations d un aliment favorise son appréciation Les parents abandonnent souvent après quelques échecs La variété = facteur facilitant 57
27 Facteurs facilitant la conduite de la diversification La texture 36
28 Introduction de la texture La période de 6 à 10 mois est critique pour l introduction d une variété de textures (indépendamment de la flaveur) (Harris, 2010)
29 Développement des capacités masticatoires Développement marqué entre 6 et 10 mois si l enfant expérimente les textures des aliments 23% des enfants de 6 mois ont des difficultés avec les morceaux Education Gisel, 1991 Coulthard & Harris, 2003
30 Diversification et texture Retarder l introduction des morceaux => problèmes d acceptation de textures plus tard La langue et les côtés de la bouche ne sont pas désensibilisés assez tôt Le développement de la motricité orale est retardé Meilleur prédicteur de l acceptation de carottes en morceaux à 12 mois expériences plus précoces avec des aliments texturés M ason, Harris & Blisset, 2006 Blossfeld & al., 2007
31 Diversification et texture Timing d introduction d aliments solides en morceaux et refus ultérieurs < 6 mois : 29.6% 6-9 mois : 38.6% >9 mois: 52.3% Données de cohortes : introduction de morceaux postérieure au 9ème mois => plus de problèmes alimentaires à 7 ans (refus, enfant difficile); => une moindre consommation de 10 catégories de fruits & légumes Northstone et al, 2001 Coulthard & al., 2009
32 Purée cuisinée «maison» ou petits pots? L appréciation d un aliment «cuisiné maison» se généralise à l appréciation de ce même aliment présenté en «petit pot». compote de pomme «maison» version «petit pot» Cependant, l inverse n est pas vrai! L appréciation d un aliment «petit pot» n est pas associée à son appréciation si «fait maison».
33 Conséquences à court terme Proposer principalement des aliments industrialisés aura pour effet de restreindre le répertoire de l enfant à ce type de préparation texture ultra mixée, flaveur peu marquée Limiter l ouverture vers d autres formes de présentation
34 Conséquences à plus long terme Consommation de légumes «cuisinés maison» avant 6 mois associée à une plus forte consommation de fruits et de légumes à l âge de 7 ans. Introduction précoce de fruits et légumes pendant la diversification associée à une plus forte consommation de ces aliments à 2-5 ans
35 La sélectivité et la néophobie alimentaires Vers 18 mois 36
36 Pourquoi? Les goûts se précisent: Entre 2 et 3 ans Refus alimentaires La variété des choix réalisés librement diminue Profil stable Apparition de la Néophobie
37 La néophobie alimentaire Peur (Phobie) de la nouveauté (Neo) Ressenti courant Omnivore (rat, cochon ) Choix pour se nourrir afin d éviter l ingestion d aliments toxiques ou dangereux ~2-10 ans, avec un pic entre 3 et 6 ans Intensité et expression très variable d un enfant à l autre
38 La néophobie alimentaire Phase normale du développement (Rigal) Autonomie Risque d exposition à des dangers potentiels, notamment liés à l ingestion de substances toxiques Méfiance naturelle vis-à-vis de la nouveauté = préserver
39 La néophobie alimentaire Conséquences sur la consommation : Les enfants dits néophobes ont un régime moins varié Or la variété = facteur de promotion de la santé Entre 2 et 9 ans, les enfants néophobes mangent moins de fruits et surtout moins de légumes, en termes de variété et de quantité
40 La néophobie alimentaire Après la période de Néophobie: Le répertoire alimentaire s élargit Enfants qui mangeaient moins varié dans la petite enfance = ceux qui mangent le moins varié ultérieurement Un aliment nouveau = + de chances d être apprécié s il est présenté avant la période de néophobie Conséquence : L accès à une variété d aliments devrait donc être encouragé dès le plus jeune âge (sauf soupçon d allergies)
41 Le cas des légumes Omnivore : manger de tout Recommandations OMS et PNNS Les plus petits mangeurs de légumes dans la petite enfance le demeuraient ultérieurement
42 Pourquoi? Plusieurs explications du rejet des légumes : Sensorielle et adaptative: Rejet inné de l amertume (endives, choux, épinards ) Méfiance pour les produits potentiellement toxiques amers
43 Le cas des légumes Nutritionnelle: Les légumes ont une pauvre densité calorique Attirance vers 2 ans pour aliments rassasiants
44 Le cas des légumes Sociale: présenter comme une obligation (manger 5 fruits et Légumes)
45 Pratiques éducatives alimentaires Objectif : Amener l enfant à dépasser ses dégoûts par l apprentissage Exposition répétée = catalyseur du plaisir alimentaire À partir 8-10 présentations: augmentation de la consommation et de l appréciation de l aliment rejeté Sans forcer; en petites quantités Résistance 8-11 ans à l exposition
46 Pratiques éducatives alimentaires Disponibilité au domicile familial, ou dans la crèche Panier de fruits, de légumes Mimétisme social Consommer un aliment devant l enfant favorise sa consommation par l enfant Ex. un petit raton, même affamé, ne goûtera un aliment inconnu que si un adulte en consomme devant lui.
47 Pratiques éducatives alimentaires Mimétisme social + exposition répétée Le cas du piment en Amérique du Sud
48 Pratiques de restriction Restriction Faut-il interdire les aliments «mauvais» (trop gras, sucrés ) pour l enfant? Effets contre-productifs: Plus un aliment est interdit, plus il est consommé en grande quantité quand l enfant y a accès. Perturbe les capacités de l enfant à réagir à ses propres indices de faim et de satiété => dérégulation pondérale Restriction «implicite» Limitation de la vue et de l accès à certains aliments (bocaux de bonbons ) au profit d autres aliments
49 Pratiques de pression Pression à manger Forcer un enfant à finir son assiette Priver d une activité (dessin animé) ou d un aliment (dessert) s il ne finit pas son assiette de légumes À court terme, efficace À plus long terme: renforce l aversion et le rejet de l aliment contingenté (légumes) Distraire l enfant de ses propres sensations de faim et de satiété Interprétation cognitive : si on me force, c est que c est mauvais!
50 Cuisiner selon les goûts de l enfant? Étude sur un échantillon de plus de 450 parents d enfants âgés de 20 à 36 mois Pratiques éducatives en matière d alimentation expliquent environ 20% des comportements difficiles Néophobie Sélectif Peu d intérêt, de curiosité pour les aliments «Petit» appétit
51 Style PER Attitude Préférence Strat. Préférence Strat. Récompense Strat. Coercition Strat. Dialogue Attitude Praticité Style AUT Style DEM Attitude Poids Attitude Prix Attitude Santé Attitude Naturalité 0,15 0,1 0,05 Résultats Les facteurs difficile Style permissif Attitude préférence Stratégie préférence Stratégie récompense Stratégie coercition 0-0,05-0,1 Néophobie Sélectivité Intérêt Appétit -0,15 Intérêt Néophobie Les facteurs difficile Attitude naturalité, santé, prix, poids
52 Pratiques éducatives alimentaires Caractère difficile de l enfant associé à le fait d adopter un style éducatif permissif peu de règles imposées, centration fort sur les désirs et les goûts de l enfant, de cuisiner selon ses goûts, d user de stratégies coercitives punir, gronder, forcer l enfant d instrumentaliser l alimentation chantage
53 Explication Cuisiner selon les goûts de l enfant Réduction de l offre alimentaire proposée aux seuls aliments acceptés par l enfant, Limitant ainsi le bénéfice de la variété sensorielle précoce Recourir à une trop forte répression Conduit à l instauration d un climat délétère au moment des repas Limitant la convivialité Le mimétisme
54 Conclusion Grandir, c est apprendre! Eveiller le goût de l enfant participe aussi à son épanouissement individuel et social Commencer le plus tôt possible!
55 Recommandations Ne pas cuisiner selon les goûts de l enfant: pas de menu enfant! Ne pas instrumenter les aliments (récompense, punition) Limiter pratiques coercitives (finis ton assiette!) Modelage / mimétisme Répéter le nombre des expositions plutôt que de forcer (plus on consomme, plus on aime!): 8-10 présentations Variété sensorielle précoce
56 Manger doit être avant tout un acte de plaisir et de partage Merci
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