L ÉCONOMIE SOCIALE en Jamésie

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1 L ÉCONOMIE SOCIALE en Jamésie LA JAMÉSIE La région administrative Nord-du-Québec, créée en 1987, couvre plus de la moitié du territoire québécois, soit près de km². La Jamésie, partie sud de la région administrative Nord-du-Québec située entre le 49 e et le 55 e parallèle, présente quant à elle une superficie de km², découpée toutefois en 3 catégories différentes de terres établies par la Convention de la Baie-James et du Nord québécois de La Jamésie est habitée par des Cris et par des Jamésiens. Le Nunavik, essentiellement habité par des Inuits, couvre la partie nord de la même région administrative. C est donc Jamésiens qui résident pour la plupart dans 5 municipalités (Chapais, Chibougamau, Lebel-sur-Quévillon et Matagami) et 3 localités (Radisson, Valcanton et Villebois), constituant la Municipalité de Baie-James. ÉCONOMIE SOCIALE ET DÉVELOPPEMENT LOCAL Le travail des entreprises d économie sociale est crucial pour le développement d un territoire en raison de la finalité sociale à laquelle elles répondent. En effet, ces organisations «contribuent à améliorer les conditions de vie en misant sur la participation des individus, la reconnaissance de leur potentiel et l action collective au sein de plusieurs secteurs d activités : ceux de la culture, des loisirs, de la santé et des services sociaux, de l environnement, du développement économique et local, des associations professionnelles, de l amélioration du cadre de vie ou du coopératisme.» LA JAMÉSIE EN CHIFFRES Jamésie Superficie en terre ferme (2009) ,5 km 2 Densité de population (2009) 0,1 hab./km 2 Population totale (2009) Solde migratoire interrégional ( ) Perspectives démographiques (variation 2001/2006) hab hab. - 25,2 % Travailleurs de ans (2008) Taux de travailleurs de ans (2008) 74,3 % Revenu d'emploi moyen des travailleurs de ans (2008) $ Taux de faible revenu des familles (2006) 5,4 % Revenu personnel disponible par habitant (2010) $ Valeur totale des permis de bâtir (2009) $ Valeur foncière moyenne des maisons unifamiliales (2010) $ 1

2 ÉCONOMIE SOCIALE VS ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE On convient généralement que la sphère de l économie sociale englobe toutes les activités et les initiatives des organismes à but non lucratif, des coopératives et des associations. On apporte une nuance importante entre l économie sociale et le domaine des entreprises d économie sociale, qui est une section de cette sphère et qui concerne des organisations du secteur marchand (vente de biens et de services) présentant les valeurs de l économie sociale. Le Chantier de l économie sociale définit ce domaine comme étant l ensemble des activités et organismes, issus de l entrepreneuriat collectif, qui s ordonnent autour des principes et règles suivants : L entreprise d économie sociale a pour finalité de servir ses membres ou la collectivité plutôt que de simplement engendrer des profits et viser le rendement financier; Elle a une autonomie de gestion à l égard de l État; Dans ses statuts et façons de faire, elle intègre un processus démocratique qui met à contribution les usagères et usagers ainsi que les travailleuses et travailleurs; Elle défend la primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition de ses surplus et revenus; Elle fonde ses activités sur le principe de la participation de même que de la prise en charge de la responsabilité individuelle et collective. Ces entreprises fonctionnent comme des entreprises privées et produisent des biens et des services pour l économie de marché, mais gèrent leurs activités et réaffectent leurs excédents de manière à appuyer la réalisation d objectifs sociaux et environnementaux. Elles sont soit des coopératives ou des organismes à but non lucratif (OBNL) du secteur marchand. LES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE EN JAMÉSIE Distinctions entre entreprises privées et entreprises d économie sociale Nombre d entreprises d économie sociale : La Jamésie peut se targuer de se positionner avantageusement quant au nombre d entreprises d économie sociale. Ayant potentiellement 49 entreprises d économie sociale pour une population de personnes (Institut de la statistique du Québec (ISQ)), on obtient un ratio de 3,3 entreprises par personnes. En comparaison, l Abitibi- Témiscamingue comptait 239 entreprises (Chantier de l économie sociale, 2006) pour une population de personnes (Observatoire de l Abitibi- Témiscamingue), se soldant en un ratio de 1,6 entreprise par habitants. Secteurs d activités Nombre d entreprises Art et culture 1 Commerces et services 5 Environnement 1 Habitation 1 Loisirs, sports et tourisme 17 Services aux personnes 17 Technologie de l informatique et de la communication 7 TOTAL 49 2

3 À SOULIGNER STATUT JURIDIQUE DES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE JAMÉSIENNES La très grande majorité des entreprises d économie sociale est constituée d organismes à but non lucratif. En effet, près de 95 % des entreprises revêtent le statut légal d OBNL. Cette proportion est nettement supérieure à la moyenne québécoise où les 2 formes juridiques se répartissent à peu près équitablement. Il n existe que 5 coopératives jamésiennes sur tout le territoire. Phase de vie des entreprises d économie sociale Les résultats montrent que 63,9 % des entreprises sont dans une phase de développement, 27,8 % sont en phase de maturité et 8 % sont en phase de relance. Malgré le nombre relativement important d entreprises d économie sociale en Jamésie, il n y a pas eu de création de nouvelles entreprises depuis 2004, soit depuis 5 ans. EMPLOI Les entreprises d économie sociale de la Jamésie comptent 284 emplois dont 157 sont à plein temps et 127 sont à temps partiel. Soulignons que 76 % de ces emplois sont occupés par des femmes. Plus de 30 % des emplois bénéficient du soutien financier d un programme gouvernemental de subvention. Par conséquent, les entreprises bénéficiant d une subvention salariale devront remplacer du personnel une fois la subvention terminée. Âge des employés dans les entreprises d économie sociale CONDITIONS SALARIALES Les cadres reçoivent en moyenne 18,77 $ l heure, tandis que les salariés reçoivent en moyenne 12,79 $ l heure. Dans un cas comme dans l autre, ces échelles salariales sont relativement faibles ce qui est particulièrement préoccupant pour des emplois qui se trouvent dans un territoire où les revenus moyens sont plus élevés que la moyenne québécoise (selon l ISQ, le revenu disponible par habitant est de $/habitant dans l ensemble du Québec, alors qu il est de $/habitant en Jamésie). 3

4 RECRUTEMENT Les données montrent que 71,9 % des entreprises ont un problème de recrutement. Les entreprises déplorent en premier lieu le manque de qualifications disponibles ou encore le niveau de salaire offert qui ne permet pas de se doter des compétences voulues. Chez les entreprises ayant recours à des subventions salariales, on déplore la difficulté de maintenir les emplois au terme d une subvention, augmentant de ce fait le roulement de personnel déjà fort élevé. Motifs principaux de difficulté de recrutement TRAVAIL BÉNÉVOLE Une proportion de 68,6 % des entreprises d économie sociale doit recourir à l apport de bénévoles pour assurer l offre de produits ou de services. Les données recueillies montrent que 237 personnes, majoritairement des femmes, ont travaillé dans les entreprises d économie sociale. En estimant le coût moyen de cette main-d œuvre à 15,75 $ l heure, le travail bénévole représente $ par année. Bénévolat dans les entreprises d économie sociale selon le sexe et l âge Les bénévoles sont membres du conseil d administration à 30,1 %. D autre part, le recrutement se fait à plus de 50 % de façon informelle. FORMATION Environ 74 % des entreprises d économie sociale n ont pas réservé de budget spécifique pour la formation des employés. Pourtant, 67 % d entre elles affirment avoir des besoins en formation. Le graphique de droite démontre les besoins en formation selon le type de personnel. 4

5 SOURCES DE REVENUS Les entreprises d économie sociale ont généré près de 8 millions de chiffre d affaires en 2008, et ont dépensé plus de 7 millions. Leur chiffre d affaires total est composé, à 80 %, de revenus autonomes répartis ainsi : ventes de produits ou service 28,4 %; contrats de service avec un palier de gouvernement 44,3 %; campagne de financement et cotisation des membres 7,3 %. Pour l ensemble des entreprises, c est 44,3 % des revenus autonomes qui sont issus de contrats de service avec un palier de gouvernement, dont la très grande majorité avec le gouvernement du Québec (43,1 %). Cependant, seulement 40 % des entreprises d économie sociale disposent de tels contrats de service. Pour les 60 % qui ne bénéficient pas de contrats de service, la proportion des revenus autonomes diminue à 57 % dont 45 % en ventes directes à des particuliers ou à des entreprises. TAUX D ENDETTEMENT Le taux d endettement des entreprises s est amélioré constamment depuis les 3 dernières années passant de 52 à 46 %. Considérant que les normes de financement exigent en général 20 à 25 % de mise de fonds, donc de 75 à 80 % d endettement par projet, ces résultats illustrent la bonne santé générale des entreprises d économie sociale. Sources de financement Lorsque les entreprises reçoivent une aide financière, 77,1 % reçoivent ladite aide d organismes locaux et régionaux. Seulement 18,9 % disent en avoir reçu de programmes extrarégionaux spécifiques à l économie sociale. Ce financement extrarégional provient de : Fiducie du Chantier de l économie sociale; Investissement Québec; Capital régional et coopératif Desjardins; Société d habitation du Québec; Fédération des clubs de motoneige du Québec; Développement économique Canada. Provenance du financement local et régional Pourcentage Organismes d entreprises bénéficiaires Centre local de développement de la Baie-James 22,2 % Municipalités 20,0 % Société d aide au développement des collectivités 15,7 % Emploi-Québec 11,1 % Conférence régionale des élus de la Baie-James 6,6 % Centre régional de santé et services sociaux de la Baie- 6,6 % James Commission Loisir et Sport de la Baie-James 4,4 % Pacte rural 4,4 % Entreprises 2,2 % Autres (ex. : Centraide) 6,6 % 5

6 INVESTISSEMENTS PROJETÉS Malgré le fait que 42,3 % des entreprises d économie sociale disent avoir des problèmes de liquidités, en général, le chiffre d affaires des entreprises d économie sociale est en hausse. Parmi celles-ci, 77 % souhaitent faire de nouveaux investissements dont les investissements projetés atteignent près de 3 millions. Voici les détails des besoins permettant de réaliser de nouveaux projets : 35 % n ont pas encore chiffré leurs besoins; 22 % souhaitent investir de $ à $; 30 % souhaitent investir de $ à $; 3 % estiment des besoins entre $ et $; 10 % souhaitent investir plus d un million de dollars. EXPLOITATION Plus de 85 % des entreprises d économie sociale en Jamésie affirment avoir des problèmes d exploitation. Parmi ces entreprises, environ 50 % déclarent manquer d équipements requis pour une production maximale ou encore que ceux-ci sont désuets, ce qui représente une proportion relativement importante des entreprises. Type de problèmes d exploitation PROMOTION Il semble aussi que les entreprises d économie sociale soient peu préoccupées par les efforts de mise en marché. En effet, moins de 1 % des dépenses totales sont consacrées à la promotion et autres efforts de commercialisation. Ce dernier élément pourrait constituer un enjeu majeur pour les entreprises d économie sociale, surtout pour celles qui ne peuvent s appuyer sur des contrats de service avec un palier gouvernemental. OBSERVATIONS ET PISTES D ACTION Le portrait des entreprises d économie sociale recèle plusieurs éléments très positifs, mais certains faits méritent une attention toute spéciale. 1 Il n y a pas eu de création de nouvelles entreprises depuis 2004, soit depuis 5 ans. Est-il possible que le modèle de l économie sociale soit mal connu en Jamésie? D autre part, le modèle coopératif est très peu répandu. Peu d indices nous permettent d en expliquer la cause. Le modèle coopératif est répandu partout au Québec, pourquoi ne le serait-il pas en Jamésie? Considérant la tendance toujours grandissante de l État de se retirer de divers domaines et des besoins toujours croissants des sociétés modernes, les pouvoirs publics auraient avantage à promouvoir ce modèle d affaires et à l encourager. On pourrait penser à : une campagne de promotion auprès des élus municipaux; une campagne publique de sensibilisation (avec des témoignages locaux); des conférences dans les chambres de commerce; des outils pour faciliter la mise en place de projets collectifs. 6

7 2 3 Le recrutement de bénévoles constitue un élément clé du développement des entreprises d économie sociale. Pourtant, les modes de recrutement sont, en général, assez limités. Des modes de recrutement plus dynamiques auraient certainement avantage à être mis en place. Des séances de formation, des séminaires ou des forums d échange sur cet aspect auraient assurément des impacts positifs. Plusieurs entreprises affirment devoir remplacer différentes infrastructures, mais ne pas pouvoir le faire, faute de soutien financier. Pourtant, plusieurs de ces entreprises présentent des bilans financiers qui, théoriquement, pourraient justifier un financement à long terme. Or, différents outils de financement existent, mais peu d entreprises semblent y faire appel. Des formations à ce sujet ainsi que de l accompagnement auprès des entreprises auraient sans doute des impacts positifs. 4 Les entreprises utilisent peu d outils de gestion financière. Par contre, 42,3 % disent avoir des problèmes de liquidités. Des formations variées à ce sujet ainsi que de l accompagnement pourraient venir en aide à plusieurs entreprises. 5 Plusieurs entreprises vivent des problèmes de recrutement de personnel. En effet, beaucoup d entreprises (principalement celles de petite taille) ont recours à des subventions salariales. Ainsi, au terme de la subvention salariale, l entreprise ne peut soutenir l emploi à long terme. Afin de pouvoir continuer à bénéficier d une subvention, l entreprise doit créer un nouveau poste et parfois même en modifier la description. En effet, trop souvent, un même poste ne peut être subventionné 2 fois. Pour les entreprises ne bénéficiant pas de revenus suffisants pour assurer la permanence des emplois, cela peut devenir un véritable casse-tête. Faut-il questionner les politiques de subvention? De même, plusieurs attribuent la cause des difficultés de recrutement aux très hauts salaires payés dans certaines entreprises et institutions de la Jamésie, ce qui peut se révéler fondé. Par contre, certaines ont trouvé des façons intéressantes d enrichir les conditions de travail, ce qui peut parfois compenser en partie un salaire moins élevé. 6 Les actions de mise en marché sont pour ainsi dire inexistantes. Pourtant près de 30 % des revenus des entreprises d économie sociale proviennent de ventes de produits et de services achetés par les consommateurs et les entreprises. De plus, 60 % des entreprises n ont pas de contrat de service avec le gouvernement. Cela veut donc dire que les entreprises d économie sociale de la Jamésie doivent mettre en marché leurs solutions si elles souhaitent maintenir ou augmenter leur rythme. La formation et l accompagnement professionnel pourraient s avérer des pistes de solution utiles pour pallier cette carence. 7

8 PÔLE D ÉCONOMIE SOCIALE DE LA JAMÉSIE Le Pôle d économie sociale de la Jamésie a été créé suite à la signature de l Entente spécifique en économie sociale du Nord-du-Québec, secteur Jamésie entre la Conférence régionale des élus de la Baie- James et le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire. L investissement de $ par année sur 5 ans des partenaires de ladite Entente permettra au Pôle de remplir ses mandats qui sont les suivants : la promotion de l économie sociale; la concertation et la mise en réseaux des différents acteurs du domaine; la consolidation, l expérimentation et le développement de nouveaux créneaux et projets; le développement des compétences et de la relève; la reconnaissance régionale des entreprises d économie sociale jamésiennes. Le développement de l économie sociale permettra d offrir aux différents milieux des moyens de poursuivre leurs efforts collectifs en vue d accroître le dynamisme de la région et de répondre aux besoins des communautés qui y vivent. RECONNAISSANCE RÉGIONALE DES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE Dernièrement, le Centre local de développement de la Baie-James (CLDBJ) a donné au Pôle d économie sociale de la Jamésie le mandat de mettre en place un processus de reconnaissance régionale des entreprises d économie sociale jamésiennes. Cette reconnaissance régionale permettra d avoir un portrait réel des entreprises d économie sociale jamésiennes. Dans le cadre du processus de reconnaissance régional, un projet de mise en valeur visant principalement à améliorer la notoriété des entreprises d économie sociale jamésiennes par une image de marque commune permettra d identifier ces entreprises, de promouvoir les valeurs qui leur sont communes ainsi que leur apport au développement économique et social. À quoi sert la reconnaissance régionale? La reconnaissance régionale des entreprises d économie sociale peut être requise afin d être éligible à certains programmes tels que le Fonds de développement des entreprises d économie sociale (FDÉES) du CLDBJ ou encore le Fonds de main-d œuvre du Centre local d emploi. Pour plus de renseignements sur le processus de reconnaissance régionale des entreprises d économie sociale jamésiennes, veuillez contacter le Centre d affaires local (point de service du CLDBJ) de votre municipalité. INVESTISSEMENTS RÉGIONAUX Destiné uniquement aux entreprises d économie sociale jamésiennes, le FDÉES au CLDBJ vise à créer et soutenir des entreprises viables, favoriser le développement de l emploi et contribuer au développement économique et social de la Jamésie. Durant les 5 dernières années, ledit fonds a permis de venir en aide à plus de 20 entreprises jamésiennes par des investissements totaux de $. Il s agit donc d investissement majeur permettant de soutenir le démarrage, l expansion ou la consolidation d entreprises d économie sociale. 8

9 Portrait d une entreprise d économie sociale jamésienne La résidence "F.G.L. - Étoile Filante inc." construite en 1997 à Lebel-sur-Quévillon est un organisme sans but lucratif qui a été parrainé par la Fondation Guy Leblanc. Cette résidence, qui a pour mission d offrir des loyers au meilleur prix possible aux aînés autonomes et semi-autonomes, est entièrement gérée par des gens de Lebelsur-Quévillon. La résidence compte 16 logements confortables qui permettent ainsi d'accueillir et de fournir une excellente qualité de vie aux pionniers de Lebel-sur- Quévillon afin qu'ils puissent continuer de vivre près de leur famille. RÉSIDENCE F.G.L. ÉTOILE FILANTE INC. Grâce à l aide financière et technique de différents organismes comme le Centre régional de santé et services sociaux, le centre de santé de Lebel-sur-Quévillon, la Société d habitation du Québec, le Centre local d emploi de la Baie-James, la Ville de Lebel-sur-Quévillon ainsi que l apport de bénévoles, la résidence F.G.L. Étoile Filante inc. peut offrir des services de qualité à ses résidents. Ces derniers peuvent, entre autres, se prévaloir des services d une infirmière qui est sur place tous les jours, d une visite mensuelle du médecin, d un service de vaccin, des services de maintient à domicile et d accompagnement, etc. De plus, le service aux tables de repas équilibrés et adaptés aux diètes spécifiques de chacun est offert aux résidents. Suite à l évaluation de la résidence par le Centre local de développement de la Baie- James, le Pôle d économie sociale de la Jamésie a reconnu l organisme comme entreprise d économie sociale et souhaite souligner le rôle qu elle joue auprès des ainés, de leurs familles et de leurs amis, de même que l apport d une dizaine d emplois permanents que la résidence maintient à Lebel-sur-Quévillon. Préparé par : Patrick ST-Germain Centre local de développement de la Baie-James 9

10 Notez que le Portrait des entreprises d économie sociale de la Jamésie ainsi que le document intitulé Économie sociale en Jamésie sont disponibles sur le site Internet des partenaires suivants : Comité de développement social de la Baie-James : Conférence régionale des élus de la Baie-James : Coopérative de développement régional du Saguenay-Lac-Saint-Jean/Nord-du-Québec : Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire : Société d Aide au Développement des Collectivités Abitibi-Ouest : Société d Aide au Développement des Collectivités Barraute-Senneterre-Quévillon : Société d Aide au Développement des Collectivités Chibougamau-Chapais : Société d Aide au Développement des Collectivités de Matagami : Ce document a été créé dans le cadre de l Entente spécifique en économie sociale pour la région Nord-du-Québec, secteur Jamésie en partenariat avec la Conférence régionale des élus de la Baie-James et le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire. RÉFÉRENCES : ADN Organisations, Portrait des entreprises d économie sociale de la Jamésie, mars 2010, 132 p. MINISTÈRE DES AFFAIRES MUNICIPALES, DES RÉGIONS ET DE L OCCUPATION DU TERRITOIRE. [En ligne], [ COMITÉ DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL DE LA BAIE-JAMES. [En ligne] [ VILLE DE LEBEL-SUR-QUÉVILLON. [En ligne] [ MOUVEMENT JEUNESSE BAIE-JAMES [En ligne] [ CHANTIER DE L ÉCONOMIE SOCIALE. [En ligne] [ Document produit par le Pôle d économie sociale de la Jamésie Personne à contacter pour questions ou commentaires : Mme Marie-Josée Racicot 110, boulevard Matagami, C. P. 850 Matagami (Québec) J0Y 2A0 Tél. : , poste 225 SF. : mjracicot@crebj.ca 10

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