Impact de la production d électricité décentralisée de type éolien sur la fiabilité du réseau électrique belge.
|
|
- Paul Pierre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Impact de la production d électricité décentralisée de type éolien sur la fiabilité du réseau électrique belge. Symposium «De la bonne idée à la réalisation pratique» : 28/11/2007 Ir. François VALLEE Prof. Jacques LOBRY Service de Génie Electrique Faculté Polytechnique de Mons 03/12/2007
2 Plan de la présentation Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 2
3 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 3
4 Contexte général (1) : évolution récente des réseaux électriques Libéralisation du marché de l énergie électrique (Directive CE 96/92) séparation des activités production/transport développement de la production décentralisée échanges accrus entre réseaux interconnectés Protocole de Kyoto (réduction des émissions de CO 2 ) développement des énergies renouvelables et, notamment, de l éolien. Systèmes de transmission utilisés au plus près de leurs limites physiques Critère déterministe de sécurité N-1 insuffisant Prise en compte du caractère aléatoire des possibles pannes sur le réseau 4
5 Contexte général (2) : Notion de fiabilité du système électrique Fiabilité du système électrique : Mesure de la capacité du système à fournir l électricité demandée en ses différents points d utilisation selon des critères acceptables (normes de qualité, contraintes du réseau, ) ; 2 sous-catégories à la fiabilité : Adéquation : capacité du système à satisfaire la demande du consommateur dans des conditions de fonctionnement statiques (tout en vérifiant des contraintes de bon fonctionnement); Sécurité : aptitude du système à faire face à des perturbations soudaines et sévères (court-circuit, ). Fiabilité du système électrique Adéquation du système Sécurité du système 5
6 Contexte général (3) : L éolien en chiffres. Prévisions pour la Belgique Plus de 47 GW installés à travers le monde en Plus de 28 GW en Europe, et en croissance très forte (+30% /an de 1995 à 2004). X 10! Durée de vie d une éolienne : 20 ans. + Belgique 2004 : 68 MW potentiel MW (en 2010?) 6
7 Contexte général (4) : Politiques gouvernementales belges en terme d énergie Protocole de Kyoto => réduction des émissions de CO 2 ; En Belgique : Fermeture progressive des centrales thermiques classiques à charbon ; Limitation à 40 ans du permis des actuelles centrales nucléaires ; Lois encourageant le recours aux énergies renouvelables ; Estimation à 1.5 GW du potentiel éolien installé en Belgique. Impact de ces modifications du parc sur : Les émissions de CO 2 (études déjà menées et posant question quant au retrait du nucléaire. Caractère intermittent du vent) ; L impact du caractère aléatoire de la production éolienne sur la capacité du système électrique à rencontrer la charge appelée (aspect adéquation). 7
8 Contexte général (5) : L éolien dans le marché libéralisé. Nécessité d optimiser la gestion du parc de production centralisé non modulable en cas de pénétration éolienne accrue => Développer des méthodes d estimation prévisionnelle de la production éolienne ; + Influence de la production éolienne (caractère aléatoire) sur la capacité du système à couvrir la charge mais également sur les flux de puissance à travers le réseau électrique ; Développer des modèles statistiques pour la production éolienne et les utiliser afin d aboutir à de nouvelles techniques d évaluation de la production éolienne. 8
9 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 9
10 Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité (1). Dans notre cas : fiabilité limitée au domaine de l adéquation (états en régime) ; Réseaux électriques modernes complexes et vastes => Pour l évaluation de l adéquation du système électrique : scinder le système en 3 zones de fonctionnement (niveaux hiérarchiques). Niveau HL-I étudié lors de la présente étude. 10
11 Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité (2). Solution : passer par une technique probabiliste! 2 types d approche : Analytique ; Simulation Monte Carlo. L approche analytique : Modèle mathématique représentant le système ; Charge de calculs croissante avec la complexité du système ; => Hypothèses simplificatrices dans de tels modèles ; Une seule entrée pour chaque type de production ; Toute la production éolienne soumise à un même jeu de paramètres ; Si prise en compte du niveau HL-II, l approche analytique est insuffisante. 11
12 Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité (3). Les méthodes Monte Carlo : Le réseau électrique est modélisé comme une suite d événements modifiant l état du système ; Chaque état = photographie instantanée du système ; Les événements reconnus : fonction du niveau hiérarchique considéré ; Avantage : inclut, sans approximation excessive, nombre d effets système ; Tirage limité à un échantillon d états (sa taille dépend du seuil de précision fixé et de la complexité du système) ; Deux types d approche Monte Carlo : Séquentielle (lien entre états) et Non Séquentielle (aucun lien statistique entre états) ; 12
13 Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité (4). Combinaison des approches déterministes et probabilistes ; Analyse de «bien-être» du système : Définition de 3 états de fonctionnement du système électrique : HL-I Etat sain : Capacité disponible > Charge horaire appelée ; Etat marginal : Capacité disponible > Charge horaire appelée mais (Capacité disponible Plus grosse unité) < Charge horaire appelée (Critère du LLU) ; Etat à risque : Capacité disponible < Charge horaire appelée 13
14 Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité (5). Utilisation d une simulation Monte Carlo ; Calcul des probabilités de résidence dans chacun des 3 états : Analyse de «bien-être»=> critère déterministe incorporé dans une approche probabiliste ; Utilité : Prise en compte de la sévérité des pannes et de leur fréquence ; Prise en compte du caractère stochastique des pannes! 14
15 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 15
16 Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle (1) Simulation Monte Carlo Non Séquentielle limitée à HL-I ; => Approche de type Non Markovien ; => Les états de l échantillon sont indépendants les uns des autres ; Objectif du programme : permettre de tester dans un canevas simple les modèles statistiques de vent imaginés pour l approche Monte Carlo Non Séquentielle ; Algorithme : 2 états possibles pour une unité de production : panne ou fonctionnement à capacité maximale ; Charge horaire supposée uniformément répartie entre les valeurs de pointe et de base (=> approximation linéaire de cette dernière). 16
17 Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle (2) 1 état = 1heure ; Nombre d itérations = 228 années ; Précision voulue = 10-4 (seuil lié aux faibles pénétrations éoliennes considérées) ; 17
18 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 18
19 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (1) Développement d une approche adaptée à l aspect non séquentiel de l outil à disposition ; Etat de l art : Majoritairement, 2 types de modèles : Modèles statiques multi-états (études analytiques) ; Recours à des séries temporelles de type ARMA (besoin de ressources informatiques importantes) : approche adaptée à une simulation de type séquentiel! Pour la simulation Monte Carlo Non Séquentielle, 1 méthode originale est proposée : Approche visant à associer une distribution moyenne à un bruit Normal par région de vent. 19
20 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (2) Segmentation en zones géographiques de vent ; Application au cas belge ; Première approche : utilisation des vitesses de vent moyennes annuelles. Nord Sud Centre => 3 zones de vent => collecter des mesures de vent pour chaque zone (Nord, Centre, Sud). 20
21 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (3) Mesures de vent collectées auprès de l IRM pour Uccle (Centre), Saint-Hubert (Sud), Ostende (Nord) ; Données fournies sur la base d une année-type (8760 données par site) ; Définition de la probabilité d appartenance P i à un intervalle de vitesses de vent [W i-1, W i ] (N i = nombre de vitesses comprises dans cet intervalle) : P = i 8760 Densité de probabilité p i associée à ce même intervalle [W i-1, W i ] : N i P i ( W W ) = pi i i 1 21
22 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (4) Construction des histogrammes de densité de probabilité mesurés pour Uccle, Saint-Hubert et Ostende ; Histogramme de densité de probabilité IRM pour le site Uccle Histogramme de probabilité Histogramme de densité de probabilité IRM pour Ostende Histogramme de densité de probabilité IRM 0.25 Histogramme de probabilité IRM pour Saint-Hubert Histogramme de probabilité (année-type) Probabilité Densité de probabilité Probabilité Vitesse de vent (m/s) Vitesse de vent (m/s) Vitesse de vent (m/s) Allure d une distribution de Weibull => 1ère méthode envisagée mais non retenue : tirage direct sur loi de Weibull associée à la zone de vent considérée. 22
23 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (5) Inconvénients liés à l inversion directe de la loi de Weibull : Une loi de Weibull par zone de vent : Ok pour la Belgique (territoire restreint) mais : quid d un territoire plus vaste? Quantité accrue d opérations (2 opérations pour chaque loi) => nouvelle méthode réduisant ce problème du nombre d opérations ; Niveau de corrélation géographique à prendre en compte également. «Worst case» du point de vue «variation de la puissance éolienne produite» => sites éoliens entièrement corrélés ; MAIS la méthode d inversion directe et la définition de lois de Weibull différentes par zone de vent => un niveau direct d indépendance entre zones! 23
24 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (6) Deuxième méthode : Association d une loi moyenne (pour l ensemble du territoire considéré) et d un bruit Normal N(m,σ) propre à chaque zone de vent : Notion de bruit Normal : calcul des écarts (heure par heure) entre la vitesse moyenne arithmétique des 3 sites à disposition et la vitesse sur chacun des sites => distribution Normale des écarts calculés! Nombre d'échantillons Distribution des écarts par rapport à Weibull moyenne pour le site d'uccle 1200 écart : m/s 1000 Uccle Nombre d'échantillons Distribution des écarts par rapport à Weibull moyenne pour Ostende écart : 0.5m/s Ostende Nombre d'échantillons Distribution des écarts par rapport à Weibull moyenne pour le site de Saint-Hubert 1200 ecart : 0.5m/s St-Hubert Ecart en vitesse de vent (m/s) Ecart de vitesse de vent (m/s) Ecart vitesses de vent (m/s) 24
25 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (7) Première étape de la deuxième méthode : L histogramme moyenne arithmétique calculé suit une loi de Weibull => Méthode de l inversion directe pour générer une vitesse de vent commune à l ensemble du territoire étudié ; Estimation des moindres carrés => paramètres A et B optimaux (A = 5.25 et B = 3.55) ; Approximation de l'histogramme moyenne arithmétique des données IRM par Weibull Histogramme moyenne arithmétique Weibull : A = 5.25 et B = Validation de la densité de probabilité moyenne Histogramme moyenne arithmétique des 3 sites IRM Histogramme simulé par tirage direct sur la loi de Weibull moyenne Densité de probabilité de la loi de Weibull moyenne Probabilité Densité de probabilité Vitesse de vent (m/s) Vitesse de vent (m/s) 25
26 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (8) Deuxième étape : Tirage direct d un bruit N(m,σ) pour chaque zone (=> 1 seule opération par zone!) ; La moyenne m et l écart type σ sont calculés via la méthode des moments (appliquée à chaque histogramme d écarts X) : 2 E ( X ) = m ( ) Une fois la vitesse de vent moyen calculée par inversion directe de la loi de Weibull moyenne (2 opérations) et le bruit tiré pour chaque zone (nombre de zones * 1 opération), la vitesse de vent à associer à chaque zone : V X = σ V site ( j) = V ( j) B ( j) moyen site 26
27 Développement de modèles statistiques de vent pour simulation Monte Carlo Non Séquentielle (9) Validation de la méthode de tirage «Weibull moyenne + bruit N(m,σ)»: Comparaison avec les histogrammes de données IRM : Observations : Corrélation entre zones induite par la loi de Weibull moyenne propre à l entièreté du territoire ; Sous-segmentation possible suivant le bruit N(m,σ). Densité de probabilité Comparaison histogramme "Weibull moyenne + bruit Uccle" et données IRM 0.18 Weibull moyenne + N(1.2,1.83) 0.16 Données IRM : Uccle Comparaison histogramme "Weibull moyenne + bruit Saint-Hubert" et données IRM Comparaison entre histogramme "Weibull moyenne + bruit Ostende" et les données IRM 0.14 Données IRM : Ostende Weibull moyenne + N(-1.87,2.38) Uccle 0.15 St-Hubert Ostende 0.08 Probabilité Donnée IRM Saint-Hubert Saint-Hubert : Weibull moyenne + N(0.6688,1.6981) Densité de probabilité Vitesse du vent (m/s) Vitesse de vent (m/s) Vitesse du vent (m/s) 27
28 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 28
29 Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge (HL-I) Le parc éolien belge considéré : + 300MW offshore (C-Power) : pas de données IRM => Inversion directe de la loi de Weibull associée (A = 9 et B = 2.025)! 29
30 Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge (HL-I) Impact de la production éolienne sur la fiabilité (HL-I) du système électrique belge (sans import / export) : Constatations : Production additionnelle (éolien ou thermique) => diminution du LOLP ; A capacité identique, le thermique classique plus «fiable» que l éolien ; Les 2 méthodes de tirage des vitesses de vent => valeurs quasi-identiques d indices (établies à partir des mêmes histogrammes de départ) ; Observation : méthode «Weibull moyenne + bruit» ; caractère «tout ou rien» => LOLP légèrement dégradé! 30
31 Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge (HL-I) Lien entre production thermique et éolienne : Mise en évidence d un rapport 1/5 (1MW thermique pour 5MW éolien) du point de vue fiabilité HL-I. Limites de l éolien du point de vue couverture de la charge dues au caractère fluctuant de ce type de sources => Nécessité de pouvoir estimer la production éolienne! 31
32 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 32
33 Méthodes d estimation de la production éolienne (1) Méthode classique : Calcul d une capacité équivalente : Modèle 2 états avec utilisation du nombre d heures d arrêt simultané de l ensemble des parcs éoliens pour le calcul du FOR (taux de défaillance). FOR = N o 228*8760 N o : nombre d heures simulées d arrêt simultané de l ensemble des parcs éoliens ; N o très petit vis-à-vis de la durée totale de simulation => FOR très petit que les sites soient corrélés ou pas! Comme le FOR est limité => les capacités équivalentes calculées sont voisines de P 100% (puissance produite si l ensemble des parcs était continuellement en fonctionnement ; avec ASWE : énergie moyenne annuelle fournie par l ensemble des parcs éoliens). P = 100% ASWE
34 Méthodes d estimation de la production éolienne (2) Avantages et inconvénients de la première méthode d estimation : + : Les écarts d estimation sont forcément réduits en comparaison avec la gestion en «production fatale» de l éolien. - : Cette estimation fixe (fixée à la capacité équivalente annuelle) est en opposition avec le caractère fluctuant de la production éolienne => Recours à un modèle d estimation dynamique! Puissance éolienne simulée pour la Belgique (MW) Capacité équivalente calculée et puissance éolienne horaire simulée pour la Belgique 350 Capacité éolienne équivalente Production éolienne globale simulée Temps simulé (Heures) 34
35 Méthodes d estimation de la production éolienne (3) Modèle prévisionnel dynamique de la production éolienne : Idée : Définition d intervalles d incertitude à associer à la production éolienne annoncée au jour J-1 (avant la transaction effective). 35
36 Contexte général de l étude Etat de l art des techniques d évaluation de la fiabilité Mise en œuvre d une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Développement de modèles statistiques de vent pour une simulation Monte Carlo Non Séquentielle Impact de la production éolienne sur la fiabilité du réseau électrique belge : Résultats de simulation Optimisation de la gestion prévisionnelle de la production éolienne : Capacité équivalente, modèle dynamique à 2 états Conclusions générales et perspectives 36
37 Conclusions et perspectives (1) Libéralisation du marché + Kyoto => apparition de production décentralisée à caractère renouvelable ; En Belgique, potentiel éolien estimé à 1.5 GW => pas négligeable vis-à-vis d un parc de production de l ordre de 15 GW ; Eolien = énergie fluctuante => Problèmes en terme de fiabilité (couverture de charge, flux de puissance) => Nécessité de modèles statistiques adaptés! Réseaux actuels surchargés => risque de situations de panne en cascade => nécessité de compléter les approches déterministes (critère N-1) de fiabilité par des méthodes probabilistes ; Recours à une simulation Monte Carlo Non Séquentielle ; 37
38 Conclusions et perspectives (2) Test et validation de modèles statistiques éoliens adaptés à l approche Monte Carlo retenue ; Problématique de l éolien : son caractère aléatoire => nécessité d estimer la production en vue de gérer efficacement l ensemble du parc de production ; Insuffisance d une estimation basée sur une capacité équivalente de production ; Ouverture vers une approche dynamique de l estimation ; Perspectives : Introduction des modèles éoliens dans une étude de fiabilité de niveau HL-II (impact de l éolien sur la charge mais aussi sur les lignes) ; Gestion optimale du parc classique en présence de pénétration éolienne accrue! 38
TP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites
TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLa place du charbon dans le mix électrique
La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline
Plus en détailConsultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique
Consultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique L accord de gouvernement du 10 octobre 2014 prévoit que
Plus en détailLa Belgique peut sortir du nucléaire plus vite que prévu!
La Belgique peut sortir du nucléaire plus vite que prévu! Analyse pour l APERe rédigée par Daniel Comblin, Président du conseil d administration de l APERe Version du 2/12/213 En janvier 23, le Parlement
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailOptimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF
Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailSoutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes
Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes Bornes inférieures bayésiennes de l'erreur quadratique moyenne. Application à la localisation de points de rupture. M2R ATSI Université Paris-Sud
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailL aspect de votre logiciel a été modifié et reprend désormais la nouvelle charte graphique Sage.
Sage 100 Comptabilité i7 Nouvelle charte graphique L aspect de votre logiciel a été modifié et reprend désormais la nouvelle charte graphique Sage. Intuisage L IntuiSage est une interface d accueil et
Plus en détailTempérature corporelle d un castor (une petite introduction aux séries temporelles)
Température corporelle d un castor (une petite introduction aux séries temporelles) GMMA 106 GMMA 106 2014 2015 1 / 32 Cas d étude Temperature (C) 37.0 37.5 38.0 0 20 40 60 80 100 Figure 1: Temperature
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring Les méthodes d évaluation du risque de crédit pour les PME et les ménages Caractéristiques Comme les montants des crédits et des
Plus en détail100 % énergies renouvelables le projet Kombikraftwerk. Undine Ziller Agentur für Erneuerbare Energien 16 juin 2011
100 % énergies renouvelables le projet Kombikraftwerk Undine Ziller Agentur für Erneuerbare Energien 16 juin 2011 L Agence pour les Energies Renouvelables : une plate-forme semi-publique = + Parrain fondateur
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailLE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011
LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 SOMMAIRE 01. Les enjeux du marché de électricité 02. L ouverture du marché de l électricité en Europe 03. Le
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailDu marketing dans ma PME!
Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle
Plus en détailDes informations fiables, en temps réel et facilement accessibles pour tous les acteurs du marché
Des Informations de Gestion de Planon Des informations fiables, en temps réel et facilement accessibles pour tous les acteurs du marché La solution des informations de gestion de Planon comprend entre
Plus en détailL analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories :
La vision nous permet de percevoir et d interpreter le monde qui nous entoure. La vision artificielle a pour but de reproduire certaines fonctionnalités de la vision humaine au travers de l analyse d images.
Plus en détailhttp://mondomaine.com/dossier : seul le dossier dossier sera cherché, tous les sousdomaines
Principales fonctionnalités de l outil Le coeur du service suivre les variations de position d un mot-clé associé à une URL sur un moteur de recherche (Google - Bing - Yahoo) dans une locale (association
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailLibéralisation des industries électriques et analyse économique
Concurrence Energie Econométrie Libéralisation des industries électriques et analyse économique Vincent Rious (Microeconomix) et Thomas Veyrenc (RTE) Organisation du cours Séance 1 Les raisons de la libéralisation
Plus en détailIndicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011
Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux
Plus en détailLa nouvelle planification de l échantillonnage
La nouvelle planification de l échantillonnage Pierre-Arnaud Pendoli Division Sondages Plan de la présentation Rappel sur le Recensement de la population (RP) en continu Description de la base de sondage
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailPersonnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Personnalisons la comparaison des avantages des honoraires fixes et du tarif horaire II Michel Desrosiers Le D r Michel Desrosiers, omnipraticien et avocat,
Plus en détailStratégie pour L approvisionnement
Stratégie pour L approvisionnement de la Suisse en électricité dans le contexte européen --------------------------------------------------- Urs Meister (Traduction : Jan Marejko) ---------------------------------------------------
Plus en détailPrésentation. Intervenant EURISTIC. Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé
Atelier ORAS Pilotage des rémunérations variables Groupe RH&M Le volet informatisation Jean-Louis BAUDRAND Directeur associé EURISTIC 4 février 2010 Présentation Intervenant EURISTIC Jean-Louis BAUDRAND
Plus en détailIntérêts et limites des mannequins numériques pour l évaluation des efforts et des postures
18 novembre 2014 Intérêts et limites des mannequins numériques pour l évaluation des efforts et des postures Jonathan Savin Responsable d études Laboratoire Ingénierie de Conception de Systèmes Sûrs (ICS-INRS)
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailCMI ECONOMIE, FINANCE QUANTITATIVE ET STATISTIQUES - PARCOURS FORMATION EN APPRENTISSAGE
Université de PARIS 2 - ASSAS 1/3 PARCOURS FORMATION EN APPRENTISSAGE L1 S1 Mathématiques 1 4 L1 S1 Statistiques 1 4 L1 S1 Fondemants de l'informatique 4 L1 S1 Compléments Maths 2 L1 S1 Compléments Stats
Plus en détailMCMC et approximations en champ moyen pour les modèles de Markov
MCMC et approximations en champ moyen pour les modèles de Markov Gersende FORT LTCI CNRS - TELECOM ParisTech En collaboration avec Florence FORBES (Projet MISTIS, INRIA Rhône-Alpes). Basé sur l article:
Plus en détailProcessus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF
ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!
Plus en détailControle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique
Controle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique FANAF Symposium sur la protection sociale en Afrique Abidjan 24 juin 2015 Stephan Neetens conseiller de la Ministre des
Plus en détailJulien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4. Rapport RE09. Load Balancing et migration
Julien MATHEVET Alexandre BOISSY GSID 4 Rapport Load Balancing et migration Printemps 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SYNTHESE CONCERNANT LE LOAD BALANCING ET LA MIGRATION... 4 POURQUOI FAIRE DU LOAD BALANCING?...
Plus en détailPREMIER TRIMESTRE CHIFFRE D AFFAIRES ET FAITS MARQUANTS
2013 PREMIER TRIMESTRE CHIFFRE D AFFAIRES ET FAITS MARQUANTS 1 Avertissement Cette présentation ne constitue pas une offre de vente de valeurs mobilières aux Etats-Unis ou tout autre pays. Aucune assurance
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. Avant-propos... Remerciements... CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT... 1
TABLE DES MATIÈRES Avant-propos........................................................... Remerciements......................................................... V VII CHAPITRE 1 LA COMPTABILITÉ DE MANAGEMENT................
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailSupporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions
Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions Mohamed Amine NAHALI Ministry of Industry, Energy and Mining - TUNISIA Istanbul, 15-16 juin 2015 Consommation M tep Croissance
Plus en détailCap sur la croissance!
Cap sur la croissance! EDORA Qui sommes-nous? Fédération de producteurs ER Plus de 85 Membres: Toutes les filières ER (éolien, biomasse, hydro, solaire) De la (très) grande et la (toute) petite entreprises
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailIndicateurs des marchés de gros de l électricité septembre 2011
Indicateurs des marchés de gros de l électricité septembre 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux
Plus en détailOutils logiciels pour la combinaison de vérification fonctionnelle et d évaluation de performances au sein de CADP
Outils logiciels pour la combinaison de vérification fonctionnelle et d évaluation de performances au sein de CADP Christophe Joubert Séminaire VASY 2002 30 Octobre 2002 Aix les Bains Contexte du projet
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailPRIMAVERA RISK ANALYSIS
PRIMAVERA RISK ANALYSIS PRINCIPALES FONCTIONNALITÉS Guide d analyse des risques Vérification de planning Modélisation rapide des risques Assistant de registres de risques Registre de risques Analyse de
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailLE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE
LE DISPATCHING DE NANCY AU CŒUR DES ECHANGES EUROPEENS D ELECTRICITE MARDI 15 OCTOBRE 2013 DOSSIER DE PRESSE CONTACTS PRESSE POUR EN SAVOIR PLUS Jeanne DEPERROIS 03 83 92 89 71 06 28 92 26 20 jeanne.deperrois@rte-france.com
Plus en détailRationalisez vos processus et gagnez en visibilité grâce au cloud
Présentation de la solution SAP s SAP pour les PME SAP Business One Cloud Objectifs Rationalisez vos processus et gagnez en visibilité grâce au cloud Favorisez une croissance rentable simplement et à moindre
Plus en détailNouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe
Nouvellesperspectives politiqueset économiques en Europe 11 mars 2015 Didier REYNDERS Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires étrangères et européennes - 1 - Table des matières I. Situation économique
Plus en détailFiltrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales
Filtrage stochastique non linéaire par la théorie de représentation des martingales Adriana Climescu-Haulica Laboratoire de Modélisation et Calcul Institut d Informatique et Mathématiques Appliquées de
Plus en détailParer l impossibilité physique du Stockage de l électricité II. Applications de masse
Parer l impossibilité physique du Stockage de l électricité II. Applications de masse Sommaire Editorial, par Patrick Lafontaine et Michel Crappe Valuation of Energy Storage, Irina Zinkevich and Ruut Schalii,
Plus en détailLA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING)
LA METHODE DU COUT CIBLE (TARGET COSTING) Finalité de la démarche Optimiser les performances futures de profit du produit sur l ensemble de son cycle de vie. Prérequis Connaissance élémentaire de la problématique
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailStatistiques et traitement des données
Statistiques et traitement des données Mention : Mathématiques Nature de la formation : Diplôme national de l'enseignement Supérieur Durée des études : 2 ans Crédits ECTS : 120 Formation accessible en
Plus en détailLA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ
JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailPour fins d'illustration seulement. Rapport préparé pour M. Albert Client et Mme Louise Client
Rapport préparé pour M. Albert Client et Mme Louise Client Préparé par Charles M. Courtier Conseiller ÉlémentsPatrimoine Téléphone: 123-456-7890 Courriel: cmcourtier@email.com Date: 2014-07-17 INTRODUCTION
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailAnalyse financière détaillée
Analyse financière détaillée L analyse financière détaillée réintègre le cadre comptable de la comptabilité générale. En particulier les hypothèses introduites dans l analyse sommaire sont levées. Cela
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Services de change et de gestion des paiements internationaux
DOSSIER DE PRESSE Services de change et de gestion des paiements internationaux Janvier 2014 Fiche d identité de FX4Biz Date de création 2012 : FX4Biz Belgique Type de société SA de droit Belge au capital
Plus en détailQ&A. 1.Qu est ce que le Power Clouds. 2.Qu est qu un Cloud. 3.Qu est ce que la Power Share. 4.Combien coûte une Power Share.
1.Qu est ce que le Power Clouds Le Power Clouds est un ensemble de centrales à énergies renouvelables construites par WOR(l)D NRG dans différents Pays. Le concept de Cloud dérive du fait que les centrales
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailINTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)
INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailLe papier utilisé dans cette brochure est certifié FSC (Forest Stewardship Council). Cette certification atteste d une série de principes et de
Le papier utilisé dans cette brochure est certifié FSC (Forest Stewardship Council). Cette certification atteste d une série de principes et de critères de gestion forestière mondialement reconnue. L objectif
Plus en détailTABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES
TABLEAU SYNOPTIQUE DES INCITATIONS FISCALES Réforme globale du Code Général des Impôts Fiche technique thématique Mesures Modalités pratiques Objectif poursuivi 1 Crédit d impôt pour investissement (Impôt
Plus en détailLogiciels de gestion énergétique
Logiciels de gestion énergétique 1. GEPWEB (360 ) SSINERGIE Outil payant en ligne Gestion énergétique de patrimoines (bâtiments et éclairage publics). http://www.ssinergie.com/index.php?page=gepweb 2.
Plus en détailLe trading haute fréquence vu de l AMF. Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés
Le trading haute fréquence vu de l AMF Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés Introduction - Trading haute fréquence : définitions Conceptuellement, il convient de distinguer
Plus en détailDécouverte et analyse de dépendances dans des réseaux d entreprise
Découverte et analyse de dépendances dans des réseaux d entreprise Samer MERHI Sous la direction de: Olivier FESTOR LORIA - Equipe MADYNES - Université Henri Poincaré June 24, 2008 1 / 24 Plan 1 Introduction
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailLES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE
LES EUROPEENS ET LA QUALITE DE VIE RAPPORT REDIGE PAR INRA (EUROPE) EUROPEAN COORDINATION OFFICE S.A. POUR La Direction Générale Emploi et Affaires sociales Sécurité sociale et intégration sociale Recherche
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailRegards croisés sur l auto-entrepreunariat
Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs
Plus en détailBIG Expert. Simulateur. Epargne professionnelle
BIG Expert Simulateur Epargne professionnelle Epargne salariale et épargne retraite Ł Un contexte favorable un système de retraite en difficulté une fiscalité des revenus dissuasive une perte de vitesse
Plus en détailLA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde
Plus en détail3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet
3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet Table des matières 07 3CB : une centrale nouvelle génération développée et exploitée par Alpiq 09 Historique du projet 11 Le cycle combiné : une technologie moderne,
Plus en détail4.2 Unités d enseignement du M1
88 CHAPITRE 4. DESCRIPTION DES UNITÉS D ENSEIGNEMENT 4.2 Unités d enseignement du M1 Tous les cours sont de 6 ECTS. Modélisation, optimisation et complexité des algorithmes (code RCP106) Objectif : Présenter
Plus en détailALEGrO : une interconnexion électrique entre la Belgique et l Allemagne au bénéfice de la collectivité
ALEGrO : une interconnexion électrique entre la Belgique et l Allemagne au bénéfice de la collectivité 02 ELIA GROUP Projet ALEGrO L Europe a fixé des objectifs ambitieux à l horizon 2020, connus sous
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailSiemens fournit 150 éoliennes pour le plus vaste projet éolien offshore des Pays-Bas
Secteur Energy Presse Erlangen, le 15 mai 2014 Siemens fournit 150 éoliennes pour le plus vaste projet éolien offshore des Pays-Bas Valeur totale de la commande : plus de 1,5 milliard d euros Combinaison
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détail«L apport des réseaux électriques intelligents»
ENR et intermittence : l intégration dans les réseaux de distribution en France 18 avril 2013 Michèle Bellon, Présidente du directoire d ERDF «L apport des réseaux électriques intelligents» Les réseaux
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailComparaison des mix énergétiques allemand et français 2
La transition énergétique vue d Allemagne, un exemple à suivre Briefing. Mai 2011. Grâce au nucléaire, la France serait indépendante d un point de vue énergétique, championne en matière de lutte contre
Plus en détailvos objectifs Investir pour atteindre
Investir pour atteindre vos objectifs Que ce soit pour prendre une retraite confortable, effectuer un achat important, financer les études de votre enfant ou épargner en vue de laisser un legs, investir
Plus en détailPopsy Financial 3.1. Budget
Popsy Financial 3.1 Budget 2/13 Table des matières 1. Introduction...5 2. Créer un budget...6 3. Consulter un budget... 10 4. Qui est Popsy?... 12 4.1 Historique... 12 4.2 Contactez-nous... 12 3/13 COPYRIGHT
Plus en détailSystèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires
Systèmes d ouverture et de fermeture de cuves de réacteurs et composants primaires Plus rapide et en toute sécurité sur le chemin critique avec Siempelkamp heures dans le monde entier >>> www.siempelkamp-tensioning.com
Plus en détailLe risque Idiosyncrasique
Le risque Idiosyncrasique -Pierre CADESTIN -Magali DRIGHES -Raphael MINATO -Mathieu SELLES 1 Introduction Risque idiosyncrasique : risque non pris en compte dans le risque de marché (indépendant des phénomènes
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailUNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE
UNE FISCALITE DEFAVORABLE AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES ET QUI AFFECTE LEUR COMPETITIVITE Partant d une situation déjà défavorable au financement des entreprises par fonds propres, les mesures fiscales
Plus en détail