RAPPORT DE LABORATOIRE LE COMPTEUR GEIGER-MÜLLER.
|
|
- François Larrivée
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT DE LABORATOIRE LE COMPTEUR GEIGER-MÜLLER. But du laboratoire : Comprendre le fonctionnement du compteur Geiger-Müller et le caractériser par différents paramètres. Déterminer l'activité d'une source grâce à ces paramètres. Principe du compteur Geiger-Müller : Le compteur est composé d'un cylindre possédant une paroi conductrice (cathode) et une fenêtre d'entrée mince qui est rempli d'un gaz. Le long de son axe est situé un fil mince conducteur (anode) sur lequel un voltage V 0 positif par rapport au cylindre est appliqué. Si une particule ionisante entre dans le compteur, elle va créer des paires ion-électron dont le nombre sera proportionnel à l'énergie perdue par la particule dans le compteur. Les particules chargées vont être mises en mouvement et accélérées par le champ électrique créé par la différence de potentiel entre l'anode et la cathode (les e - vers l'anode et les ions positifs vers la cathode). Si V 0 est nul, aucune charge ne sera collectée. Si on augmente V 0, le compteur se comporte comme une chambre d'ionisation qui collecte toute ionisation "primaire" créée par la perte d'énergie de la particule ionisante dans le compteur. Si on augmente encore V 0, les électrons "primaires" vont avoir assez de vitesse pour ioniser le gaz du détecteur, les électrons ainsi générés vont aussi ioniser le gaz et on va observer une cascade d'électrons sur l'anode. Pour un certain domaine de V 0, ce nombre d'électrons reste proportionnel à l'énergie perdue par la particule ionisante car une gaine d'ions positifs se formant en même temps que les électrons va entourer l'anode et limiter l'avalanche. La multiplication ultérieure ne se fera qu'après un certain temps : le temps mort. Par contre, si V 0 augmente encore, on perd la proportionnalité car l'avalanche est trop importante. On est alors en régime Geiger. Au laboratoire, on utilise des compteurs dits auto-coupeurs formés de deux gaz dont l'un est de l'ar ou de l'he et l'autre un alcool. Au cours des chocs entre ions positifs d'ar (ou d'he) avec ceux d'alcool, l'ar + peut se neutraliser avec une molécule d'alcool appauvrissant ainsi le nombre d'ar + et augmentant le nombre d'ion positifs d'alcool. Les ions positifs de l'alcool, lorsqu'ils captent des e - de la cathode, se brisent plutôt que d'émettre des photons UV qui pourraient donner naissance à d'autres avalanches en extrayant des photoélectrons de la cathode comme c'est le cas pour l'ar et l'he. Expériences : A) Détermination du temps mort T M et du temps de rétablissement T R.
2 Nous utilisons une source de radium. Le compteur est placé en régime Geiger (pas de distinction entre particules d'énergies différentes) en appliquant une tension de 1200 V. Nous branchons le compteur à un oscilloscope qui nous permet de voir les impulsions de potentiel créées par les particules détectées. L'oscilloscope est en fonctionnement auto-déclenché, c'est-à-dire qu'il se déclenche lors de la 1 ère impulsion qu'il reçoit. On observe le temps mort pendant lequel la gaine d'ions positifs s'éloigne de l'anode jusqu'à ce qu'une autre particule puisse être détectée. On observe plusieurs impulsions d'amplitudes différentes correspondant à des particules différentes détectées après des intervalles de temps différents par rapport à la particule provoquant le déclenchement de l'oscilloscope. Le temps de rétablissement est le temps entre la fin du temps mort et le moment où l'amplitude du signal retrouve sa valeur initiale. En mesurant ces temps sur l'oscilloscope, on trouve : T M 70 µs et T R 350 µs. B) Fonctionnement en compteur proportionnel. Si on applique une tension telle que le compteur soit en régime proportionnel (environ 1000 V), celui-ci est alors capable de distinguer des particules d'énergies différentes. On observe à l'oscilloscope deux amplitudes de signaux différentes correspondant donc à deux types de particules d'énergies différentes. Si on place une feuille de papier entre la source de radium et le compteur, on observe la disparition des pics d'amplitude élevée et une augmentation d'amplitudes des pics plus faibles. Ceci est explicable si on remarque que les particules α émises par la source sont chargées et plus lourdes que les électrons donc les α ont une vitesse plus petite que celle des électrons. Les particules α ionisent donc plus et correspondent alors aux pics intenses alors que les électrons qui vont plus vite ionisent moins et sont donc associés aux pics plus faibles. Pour ce qui est des photons γ, ils ne sont pas chargés donc n'ionisent pas directement. Par contre, ils peuvent communiquer leur énergie à des électrons par effet photoélectrique et effet Compton ou peuvent créer des paires électron-positron. Ces processus expliquent le fait qu'on ne peut distinguer les électrons créés par les photons γ et les électrons émis par la source par cette méthode. C) Tracé de la courbe nombre de coups en fonction de V, détermination du point de fonctionnement et de la pente du palier. Rem : Pour le reste des expériences, nous plaçons la source, qui est du strontium, dans un château de plomb muni d'un compteur Geiger-Müller interne. Pour des valeurs de V allant de 1050 V à 1500 V, nous comptons le nombre de coups enregistrés pendant 30 secondes. Le choix de la source et du temps de mesure a été fait de manière à garantir un écart quadratique moyen inférieur à 1 % en régime Geiger ( (N) 1/2 / N = 0.8 %).
3 D'après les valeurs expérimentales que nous avons obtenues, nous pouvons tracer le graphique du nombre de coups comptés en 30 s en fonction de V. Nombre de coups en 30 s en fonction de V y = 2,0994x Nombre de coups en 30 s V (en V) On voit que le seuil du palier V g se trouve à environ 1077 V. Le point de fonctionnement défini par V g +100 est donc à 1177 V. Par une régression linéaire sur les points expérimentaux correspondant au palier, on trouve la pente de celui-ci 2.1 % par 100 V. D) Bruit de fond. En plaçant le porte-source vide dans le château de plomb, on compte pendant 30 s le nombre de coups. On trouve : 7 ± 2.64 coups / 30 s 10 ± 3.16 coups / 30 s 10 ± 3.16 coups / 30 s 16 ± 4 coups / 30 s 13 ± 3.6 coups / 30 s En moyenne, on a donc 11.2 coups / 30 s. E) Temps de résolution (méthode des 2 sources). On place dans le château de plomb une source de strontium, puis une autre dont l'activité est voisine de celle de la première ensuite les deux. Lorsqu'on ne place qu'une source, on ajoute un réceptacle ne contenant pas de source radioactive pour garder la même géométrie dans les trois expériences. Nous comptons chaque fois le nombre de coups pendant 30 s que l'on corrige du bruit de fond en soustrayant celui-ci. On trouve alors :
4 N 1 = 9894 ± coups / 30 s n 1 = = coups / 30 s N 2 = ± coups / 30 s n 2 = = coups / 30 s N 12 = ± coups / 30 s n 1 = = coups / 30 s On obtient aisément les nombres de coups / s m 1, m 2 et m 12 : m 1 = coups / s m 2 = coups / s m 12 = coups / s D'après la formule du temps de résolution : τ = (m 1 + m 2 - m 12 ) / (2 m 1 m 2 ), on trouve : τ = µ s F) Activité. On a la formule n = M ε W T où n est le nombre de coups / s corrigé par le bruit de fond et par le temps de résolution par la formule n = m / (1 - mτ), M est l'activité de la source au moment de l'expérience et ε W T est un facteur géométrique. A partir de cette formule, connaissant l'activité M d'une source et mesurant n, on peut obtenir le facteur géométrique de notre dispositif expérimental. Ayant déterminé ce facteur géométrique, on peut connaître l'activité d'une autre source en comptant le nombre de coups / s. On dispose d'une source de strontium dont l'activité mesurée le 19/12/1993 était de 0.42 µci et dont la période est de 28 ans c'est-à-dire jours. L'expérience a eu lieu le 19/03/1997 c'est-à-dire 1186 jours après le 19/12/1993. Grâce à la loi de décroissance exponentielle de l'activité M(t) = M0) exp(-λ t) où λ = ln(2) / T, on obtient : M(t) = 0.42 exp(-ln(2) * 1186 / 10227) = µci = Bq. Nous avons compté ± coups pendant 180 s donc coups / s ce qui nous donne, après soustraction du bruit de fond : m = coups / s. On obtient n = / ( * ) = coups / s. En remplaçant dans la formule citée plus haut, on trouve : ε W T = n / M = coups / (s C). En prenant une seconde source, on compte coups en 180 s donc coups / s ce qui nous donne, après soustraction du bruit de fond : m = coups / s. On obtient n = coups / s. On trouve donc l'activité de cette source M = / = 2.26 µci = Bq.
5 G) Histogramme de fréquence. Lorsqu'on étudie le nombre de coups comptés en fonction de l'énergie on peut tracer un histogramme de fréquence qui nous donne le nombre de coups qui ont une énergie comprise dans des intervalles d'énergie différents. On remarque que la distribution de Poisson que suit tout phénomène de comptage pour les petites valeurs du temps (donc du nombre de coups comptés) tend, lorsqu'on augmente ce temps de comptage, vers une distribution gaussienne des valeurs d'énergie associées à chaque coup
- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailSYSTEMES LINEAIRES DU PREMIER ORDRE
SYSTEMES LINEIRES DU PREMIER ORDRE 1. DEFINITION e(t) SYSTEME s(t) Un système est dit linéaire invariant du premier ordre si la réponse s(t) est liée à l excitation e(t) par une équation différentielle
Plus en détailLa conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA)
La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) I. L'intérêt de la conversion de données, problèmes et définitions associés. I.1. Définitions:
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailVous avez dit... LED??? DOCLED V2 Page 1 / 14
Vous avez dit... LED??? DOCLED V2 Page 1 / 14 Bonjour. Le but de ce document est d'éclaircir certains points de fonctionnement de ces composants très pratiques que sont les LEDS. Il décrit dans les grandes
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS
Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailSOMMAIRE. B5.1 Première approche
APPROCHE THEORIQE LES COMPOSANTS ELECTRONIQES B5 LES IOES SOMMAIRE B5.1 Première approche B5.2 e la jonction PN à la diode B5.3 Caractéristique d'une diode B5.4 Mécanisme de conduction d'une diode B5.5
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailUnion générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.
Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement
Plus en détailCARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT
TP CIRCUITS ELECTRIQUES R.DUPERRAY Lycée F.BUISSON PTSI CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT OBJECTIFS Savoir utiliser le multimètre pour mesurer des grandeurs électriques Obtenir expérimentalement
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailDossier Logique câblée pneumatique
Dossier Logique câblée pneumatique Festo Belgium SA Rue Colonel Bourg 11 BE-13 Bruxelles www.festo.com Logique câblée pneumatique Chaque schéma de commande est élaboré selon une logique déterminée. Cette
Plus en détailELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012
ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailRADIATION ALERT NOTICE D EMPLOI POUR LES COMPTEURS MONITOR 4, MONITOR 4EC, MONITOR 5 ET MC1K VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT L INTÉGRALITÉ DE CE MANUEL
RADIATION ALERT NOTICE D EMPLOI POUR LES COMPTEURS MONITOR 4, MONITOR 4EC, MONITOR 5 ET MC1K VEUILLEZ LIRE ATTENTIVEMENT L INTÉGRALITÉ DE CE MANUEL FABRIQUÉ AUX ÉTATS-UNIS NOTICE D EMPLOI POUR LES COMPTEURS
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailÉlectricité statique. Introduction. Quelques étapes historiques importantes
Électricité statique Introduction L'électricité statique peut apparaître comme peu importante de nos jours en regard de l'électrodynamique mais cette dernière a été précédée historiquement par l'observation
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailDérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailOPTIMISATION À UNE VARIABLE
OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum
Plus en détailLa physique nucléaire
SPH3U ÉDITION 2010 Physique Guide pédagogique Le présent guide sert de complément à la série d émissions intitulée, produite par TFO, l Office de la télévision éducative de langue française de l Ontario.
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailAucune frontière entre. Jean-Louis Aimar
Jean-Louis Aimar Aucune frontière entre la Vie et la Mort 2 2 «Deux systèmes qui se retrouvent dans un état quantique ne forment plus qu un seul système.» 2 3 42 Le chat de Schrödinger L expérience du
Plus en détailTD 11. Les trois montages fondamentaux E.C, B.C, C.C ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe.
TD 11 Les trois montages fondamentaux.,.,. ; comparaisons et propriétés. Association d étages. *** :exercice traité en classe ***exercice 11.1 On considère le montage ci-dessous : V = 10 V R 1 R s v e
Plus en détailBaccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé EXERCICE 1 5 points Commun à tous les candidats 1. Réponse c : ln(10)+2 ln ( 10e 2) = ln(10)+ln ( e 2) = ln(10)+2 2. Réponse b : n 13 0,7 n 0,01
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailBien lire l énoncé 2 fois avant de continuer - Méthodes et/ou Explications Réponses. Antécédents d un nombre par une fonction
Antécédents d un nombre par une fonction 1) Par lecture graphique Méthode / Explications : Pour déterminer le ou les antécédents d un nombre a donné, on trace la droite (d) d équation. On lit les abscisses
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailCours 9. Régimes du transistor MOS
Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détail2.1 Le point mémoire statique Le point mémoire statique est fondé sur le bistable, dessiné de manière différente en Figure 1.
Mémoires RAM 1. LOGIUE STATIUE ET LOGIUE DYNAMIUE Le point mémoire est l élément de base, capable de mémoriser un bit. Il y a deux approches possibles. L approche statique est fondée sur la l'utilisation
Plus en détailUniversité Paris XI THESE DE DOCTORAT. pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L UNIVERSITE Paris XI Spécialité : astroparticules.
Université Paris XI THESE DE DOCTORAT pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L UNIVERSITE Paris XI Spécialité : astroparticules Présentée par Damien DORNIC Institut de Physique Nucléaire d Orsay Développement
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailPanneaux solaires. cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique
Panneaux solaires cette page ne traite pas la partie mécanique (portique, orientation,...) mais uniquement la partie électrique Les panneaux solaires n ont pas de pièces mobiles, sont durables, et à bien
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détail1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique...
1 Démarrer... 3 1.1 L écran Isis...3 1.2 La boite à outils...3 1.2.1 Mode principal... 4 1.2.2 Mode gadget...4 1.2.3 Mode graphique... 4 2 Quelques actions... 5 2.1 Ouvrir un document existant...5 2.2
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailI GENERALITES SUR LES MESURES
2 Dans le cas d intervention de dépannage l usage d un multimètre est fréquent. Cet usage doit respecter des méthodes de mesure et des consignes de sécurité. 1/ Analogie. I GENERALITES SUR LES MESURES
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailFig. 1 Le détecteur de LHCb. En bas à gauche : schématiquement ; En bas à droite: «Event Display» développé au LAL.
LHCb est l'une des expériences installées sur le LHC. Elle recherche la physique au-delà du Modèle standard en étudiant les mésons Beaux et Charmés. L accent est mis entre autres sur l étude de la violation
Plus en détailLIVRET JEUNE OFFICIEL. Ligue de Bretagne de Badminton
LIVRET JEUNE OFFICIEL Ligue de Bretagne de Badminton Ligue de Bretagne de Badminton 19 Rue Le Brix 35200 RENNES Page 1 sur 6 FORMATION JEUNE ARBITRE Pour commencer un match : Tirer au sort avec une pièce
Plus en détailEquipement. électronique
MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E
LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES
Plus en détailMini_guide_Isis.pdf le 23/09/2001 Page 1/14
1 Démarrer...2 1.1 L écran Isis...2 1.2 La boite à outils...2 1.2.1 Mode principal...3 1.2.2 Mode gadgets...3 1.2.3 Mode graphique...3 2 Quelques actions...4 2.1 Ouvrir un document existant...4 2.2 Sélectionner
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailINTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE
INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailExo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.
Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3
Plus en détailCoup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones
Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Les réseaux de neurones peuvent être utilisés pour des problèmes de prévision ou de classification. La représentation la plus populaire est le réseau multicouche
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailMesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre
Kourou Novembre 2010. MANGOTECHNO Mesure de Salinité Réalisation d'un conductimètre Frédéric BOUCHAR (TENUM Toulouse) Version 1.0 Table des matières 1.Introduction...3 2.Qu'est-ce que la salinité?...3
Plus en détailAutomatique (AU3): Précision. Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr
Automatique (AU3): Précision des systèmes bouclés Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr Plan de la présentation Introduction 2 Écart statique Définition Expression Entrée
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailProcédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier
Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt
Plus en détailNombre dérivé et tangente
Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative
Plus en détailSoumise à l effet du vent, à la différence
CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détailDécharge électrostatique
Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques
Plus en détailCRÉER DES LEÇONS AVEC L'ÉDITEUR DU LOGICIEL 1000 MOTS POUR APPRENDRE À LIRE EN FRANÇAIS, ANGLAIS ET ALLEMAND
93 CRÉER DES LEÇONS AVEC L'ÉDITEUR DU LOGICIEL 1000 MOTS POUR APPRENDRE À LIRE EN FRANÇAIS, ANGLAIS ET ALLEMAND 1 - LE LOGICIEL 1000 MOTS 1000 mots est un logiciel destiné aux classes du cycle II en France
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailLexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE
MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.
Plus en détailParrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.
LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailO, i, ) ln x. (ln x)2
EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On
Plus en détailCommunication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014
Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal
Plus en détail