Contamination par la chlordécone de la faune halieutique. en Guadeloupe et en Martinique ( )

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1 Contamination par la chlordécone de la faune halieutique marine et de ses réseaux trophiques en Guadeloupe et en Martinique Synthèse des connaissances ( ) Jacques Bertrand*, Alain Abarnou*, Xavier Bodiguel**, C. Dromer* et Lionel Reynal* *Ifremer e Nantes et Martinique ** Projet Chloretro Contribution des services vétérinaires et DAAF de Guadeloupe et de Martinique Soutien technique des équipes Ifremer de la station du Robert (Martinique) Prélèvements en mer par Ifremer, Litt Océan et Impact-Mer Analyses de chlordécone réalisées par Idhesa Bretagne Océane, La Drôme-Laboratoire, Laboratoire départemental de la Sarthe Financements Plan Chlordécone, Onema, ODE et Ifremer Journées de la recherche Chlordécone en Martinique (24 octobre 2012) et en Guadeloupe (25 octobre 2012)

2 Les actions de recherche de l Ifremer sur la chlordécone Objectif des travaux : créer et fournir des connaissances de base sur la contamination de la faune halieutique pour aider à : Répondre aux enjeux de santé publique Minimiser les contraintes pour la pêche Axes de travail Caractériser la contamination de la faune halieutique autour des îles Comprendre les modalités de diffusion et le devenir de la chlordécone dans le domaine marin Modalités Définition des questionnements et construction de la connaissance en partenariats étroits avec les parties concernées: pêcheurs, services de l Etat, scientifiques, etc. 2

3 Hypothèse 1 : des facteurs liés à l environnement Relations aux bassins versants Contamination C t i ti des bassins versants Importance et flux des cours d eau aux embouchures Comportement des masses d eau Hydrodynamisme Courantologie D après Diren, Shom 3

4 Hypothèse 2 : Des facteurs liés à la biologie des organismes marins Comportement dans les masses d eau très côtier, bentho-démersal, pélagique côtier, pélagique hauturier Modalités de vie sédentaire / migration au cours du cycle de vie, déplacements trophiques Régime alimentaire (situation dans les réseaux trophiques) détritivores, herbivores, prédateurs intermédiaires, prédateurs supérieurs Bioamplification Taille des individus petits / gros (jeune / âgé) Bioaccumulation 4

5 Action 1. Caractériser la contamination de la faune halieutique ( ) Un important travail d échantillonnage en mer De 2008 à 2010, en partenariat étroit entre Ifremer, administration (DAAF, DM) et professionnels de la pêche 2167 échantillons issus de 130 taxons, géoréférencés par leur point de capture en mer, avec même protocole de prélèvement Région Ifremer DAAF Total Guadeloupe Martinique Focus sur des espèces sensibles : langoustes de Martinique en échantillons Mise en évidence de relations avec : La biologie des espèces Les milieux de vie des animaux pêchés 5

6 Groupement des taxons Quatre grands types d espèces selon leur mode alimentaire dominant (mais tous en partie opportunistes) Détritivores : essentiellement des crustacés plus quelques poissons comme des mulets (24 taxons, 476 analyses) Prédateurs supérieurs : des poissons pélagiques (thazards, thons, carangues, etc.), vivaneaux, sardes, tarpons, barracuda, etc. (37 taxons, 454 analyses) Carnivores intermédiaire : marignans, gorettes, mérous, certains vivaneaux, sarde à queue jaune, pisquettes, etc. (45 taxons, 736 analyses) Herbivores : perroquets, chirurgiens, crabe de terre, oursins, etc. (24 taxons, 501 analyses) 6

7 Martin nique 7

8 Guadeloupe 8

9 Principaux résultats de l analyse statistique Une contamination avérée de la faune marine, selon un même schéma dans les deux régions : Au pied de bassins versants contaminés Diffusant notamment à travers les réseaux trophiques Les espèces les plus contaminées sont : Des détritivores => Influence de leurs relations avec les sédiments (principalement des crustacés : crabes, langoustes, etc.) Des carnivores supérieurs => Influence de leur haut niveau trophique et de leur milieu de vie littoral (thazards côtiers, etc.) Les herbivores apparaissent nettement moins contaminés Mais des individus contaminés peuvent être trouvés dans les zones à risque De grandes tendances aux contours flous Des systèmes complexes (environ 180 espèces contribuent aux apports des pêches antillaises) Une variabilité de la contamination à petite échelle Une diffusion de «proche en proche», sans limites précises Des transferts en lien avec la mobilité des individus Une grande variabilité des résultats pas toujours expliquée (échantillonnage, analyse, transport trophique?) 9

10 Etude sur les langoustes P. argus et P. guttatus en Martinique Espèces majeures dans les débarquements (~25% du CA des pêcheurs d après SIH) Une extension de la contamination au moins jusqu aux limites it du platier corallien en zone centre-atlantique Chairs molles du céphalothorax plus de deux fois plus contaminées que l abdomen, pour les deux espèces 10

11 Langouste blanche : approche zonale par seuil de taille 11 Langouste blanche (µg/kg pf)

12 Action 2. Devenir de la chlordécone dans les réseaux trophiques des espèces halieutiques (Chloretro ) Deux axes de travail Etude réalisée par Xavier Bodiguel Voies d entrée de la chlordécone dans les réseaux trophiques Son accumulation dans les organismes et sa propagation dans les réseaux trophiques Apports terrigènes MES Axe 2 Bioaccumulation Herbivores Bioamplification Carnivores 1 Carnivores 2 Adsorpti Sédiments Producteurs primaires Sédiments Axe 1 ption Contact / Ingestion Carnivores / détritivores Invertébrés benthique 12

13 Relation entre apports terrigènes et niveaux de contamination Un lien identifié entre source de matière organique (caractérisé par le δ 13 C) et concentration en chlordécone Relation entre proximité des apports terrigènes et niveaux de contamination 13

14 Niveau trophique des espèces Classification hiérarchique des espèces à partir des valeurs moyennes de δ 15 N et δ 13 C Espèces E è végétales ét (un groupe) Espèces animales (trois groupes) Association à des niveaux trophiques Des producteurs primaires aux carnivores supérieurs 14

15 Relation entre niveau trophique et niveau de contamination Producteurs primaires : teneur en chlordécone toujours inférieure au seuil de quantification Un facteur de bioamplification de 1,42, significatif d une bioamplification, des producteurs primaires aux carnivores supérieurs Mais le niveau trophique n explique pas toute la variabilité relevée 15

16 Conclusions de l étude Chloretro Influence de la proximité des apports terrigènes sur la contamination avérée Intégration de la chlordécone par les producteurs primaires non démontrée : résultats toujours inférieurs au seuil de quantification de la méthode d analyse Bioamplification de la chlordécone le long des réseaux trophiques avérée Bioaccumulation au niveau spécifique avérée pour deux espèces : Chloroscombrus chrysurus et Callinectes danae. Mais une diminution pour la langouste blanche P. argus, attribuée à la migration de l espèce Des résultats encore généraux, à amplifier pour mieux connaître le devenir de la chlordécone dans le milieu marin 16

17 Perspectives Des connaissances encore partielles sur la contamination de la faune et des systèmes marins Besoin de poursuivre l approfondissement des connaissances sur la contamination de la faune marine dans les deux régions Besoin de mieux caractériser et comprendre les voies et les processus de contamination des systèmes marins, en particulier dans leurs relations avec les apports des bassins versants 17

18 Merci de votre attention Rapports disponibles à : 18

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