Vieillissement osseux,
|
|
- Paulette Bureau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vieillissement osseux, aspects physiopathologiques et cliniques Philippe ORCEL Service de Rhumatologie, Pôle Appareil Locomoteur Centre Viggo Petersen, Hôpital Lariboisière, AP-HP Université Denis Diderot, Paris 7.
2
3 Séquence de remodelage trabéculaire Cellules bordantes Ostéoblastes Pré ostéoclastes QUIESCENCE FORMATION Cellules stromales ACTIVATION Ostéoclastes INVERSION RESORPTION
4 Conséquences globales des phénomènes liés au vieillissement sur l os Altérations osseuses quantitatives : l ê formation osseuse et é résorption osseuse l négativation de la balance osseuse (profondeur lacunes - épaisseur paquets) Altérations osseuses qualitatives et micro architecturales Résultat final : ê masse osseuse et ê résistance mécanique è fragilisation osseuse (risque de fracture)
5 Paquet d os nouveau Formation ostéoblastique Résorption ostéoclastique
6 remodelage osseux physiologique vieillissement osseux physiologique : diminution de la formation et amincissement progressif des travées accélération post-ménopausique de la perte osseuse : excès de résorption par augmentation du nombre de sites de résorption activés et perforation de travées amincies
7 Conséquences globales des phénomènes liés au vieillissement sur l os Altérations osseuses quantitatives : l ê formation osseuse et é résorption osseuse l négativation de la balance osseuse (profondeur lacunes - épaisseur paquets) Altérations osseuses qualitatives et micro architecturales Résultat final : ê masse osseuse et ê résistance mécanique è fragilisation osseuse (risque de fracture)
8 Grands mécanismes pathogéniques MÉNOPAUSE VIEILLISSEMENT carence œstrogènes PTH Vieillissement cellulaire RÉSORPTION FORMATION carence calcique et vitaminique D altération fonction rénale avec l âge PERTE OSSEUSE
9 Carence œstrogénique : conséquences tissulaires é fréquence d activation des unités multicellulaires osseuses è é remodelage osseux (augmentation de l espace de remodelage) é résorption ostéoclastique : l l l é volume érodé (é surface érodée liée au nombre d OCs & é profondeur des lacunes liée à l activité de chaque OC) sur toutes les enveloppes osseuses é résorption trabéculaire è é écartement des travées é résorption endostéale et endocorticale è amincissement et é porosité des corticales
10 Constitution des anomalies de l architecture trabéculaire d après Parfitt, Calcif Tissue Int 1984
11 Constitution des anomalies de l architecture corticale d après Parfitt, Calcif Tissue Int 1984
12
13 Mosekilde, Bone Miner 1990, 10: 13-35
14 Daniel Chappard, Erik Legrand, Inserm, Angers.
15 Vieillissement : anomalies tissulaires Pilier Plaque Dans l os trabéculaire : l ê épaisseur du mur ostéonique l l Pilier ê épaisseur des travées è amincissement des travées favorise les perforations et transforme les plaques en piliers è participation à la détérioration de la micro architecture trabéculaire Dans l os cortical : l é résorption et remodelage endocorticaux et endostéaux en relation avec l hyperparathyroïdie secondaire chez les sujets âgés è amincissement et fragilisation des corticales. Plaque
16 Périoste, épaisseur corticale et perte osseuse Évaluation de la masse osseuse et de la structure osseuse au radius distal chez 108 femmes suivies 19 ans à partir de la ménopause Constatations : l ê DMO, mais l é surfaces endostée et périostée l ê index de résistance, MOINDRE QUE NE LE VOUDRAIT LA ê DE DMO Ahlborg et al, NEJM, juil 2003
17 Cross-sectional Moment of Inertia moment d inertie transversal CSMI = π/4 (r 4 externe - r 4 interne) Surface corticale (cm 2 ) CSMI (cm 4 ) Résistance flexion 100% 149% 193%
18 Apposition périostée Résorption endostale Apposition périostée Résorption endostale
19 Évolution de la masse osseuse avec l âge
20
21 Fractures ostéoporotiques
22 Densitométrie osseuse Absorptiométrie biphotonique aux rayons X l technique de référence l mesure au rachis lombaire + hanche Mesure quantitative de la «densité osseuse» : dosage du minéral osseux Précision et reproductibilité satisfaisantes (à condition d un contrôle qualité rigoureux et d une formation des opérateurs) Très faible irradiation Bonne corrélation au risque de fracture. Utilisée en recherche clinique et dans les modèles expérimentaux.
23 Tableau récapitulatif des indications de l ostéodensitométrie en pratique clinique Antécédent de fracture par fragilité osseuse Pathologie ostéopéniante (endocrinopathies) ou traitement ostéopéniant (corticoïdes, estrogéno- ou androgénoprivation) Chez la femme ménopausée en présence de facteurs de risque : l antécédent de fracture du col chez parent au 1 er degré l indice de masse corporelle < 19 kg/m 2 l ménopause avant 40 ans quelque soit la cause l antécédent de corticothérapie prolongée Arrêt d un traitement anti-ostéoporotique Suivi d une ostéoporose non traitée.
24
25
26 T score et Z score + 1 DS moyenne - 1 DS Z score = - 1-2,5 DS T score = - 2,
27 Définition de l ostéoporose 1994 : définition densitométrique (OMS) distinction entre "ostéopénie", "ostéoporose" et "ostéoporose confirmée" : état normal T score > -1 ostéopénie -1 > T score > - 2,5 ostéoporose T score < - 2,5 ostéoporose confirmée T score < - 2,5 + fracture(s)
28 Risque de fracture ostéoporotique Risque de fracture au cours de la vie à partir de 50 ans % de survie (IC95%) avec fracture (Melton et coll, 1992). Fractures fémorales vertébrales radiales Femmes 17,5 (16,8-18,2) 15,6 (14,8-16,3) 16,0 (15,2-16,7) 39,7 (38,7-40,6) Hommes 6,0 (5,6-6,5) 5,0 (4,6-5,4) 2,5 (2,2-3,1) 13,1 (12,4-13,7)
29 DMO et risque de fracture Site de mesure Fracture Avant bras Hanche Rachis Toutes Lombaire 1,5 (1,3-1,8) 1,6 (1,2-2,2) 2,3 (1,9-2,8) 1,5 (1,4-1,7) Fémoral prox 1,4 (1,4-1,6) 2,6 (2,0-3,5) 1,8 (1,1-2,7) 1,6 (1,4-1,8) Radial prox 1,8 (1,5-2,1) 2,1 (1,6-2,7) 2,2 (1,7-2,6) 1,5 (1,3-1,6) Radial dist 1,7 (1,4-2,0) 1,8 (1,4-2,2) 1,7 (1,4-2,1) 1,4 (1,3-1,6) Risque Relatif (IC 95%) pour - 1 DS de DMO Méta-analyse, Marshall et coll. 1996
30 Marqueurs biochimiques du remodelage osseux Formation osseuse : l phosphatases alcalcines totales l phosphatase alcaline osseuse l ostéocalcine l peptides d'extension du collagène de type I : PICP, PINP l autres protéines non collagéniques Résorption osseuse : l hydroxyprolinurie l phosphatase acide résistante au tartrate l pyridinolinurie et deoxypyridinolinurie libre l N- et C-télopeptides
31 Marqueurs biochimiques et physiopathologie de l ostéoporose post-ménopausique Carence œstrogénique et augmentation du remodelage osseux (Stepan et al) cinétique des marqueurs Corrélation négative DMO/ remodelage de plus en plus forte avec âge (Garnero et al) Stepan et al, Bone 1987
32 Évaluation clinique du risque de fracture Ostéodensitométrie (indications définies par la HAS) Facteurs de risque indépendants de la densité minérale osseuse : DMO n est pas à elle seule un facteur assez sensible du risque de fracture l âge, l T score du rachis lombaire et/ou de l extrémité supérieure du fémur, l antécédent personnel de fracture, l corticothérapie ancienne ou actuelle, l antécédent de fracture de l extrémité supérieure du fémur chez les parents du 1er degré, l insuffisance de masse corporelle, l tabagisme. l diminution de l acuité visuelle, l troubles neuro-musculaires ou orthopédiques, FRAX et autres outils
33
34
35
36 État des lieux des traitements actuels : classes pharmacologiques Anti-ostéoclastiques bisphosphonates, SERMs, (estradiol), (calcium/d) dénosumab, (odanacatib) Anaboliques osseux teriparatide et PTH 1-84 (anticorps anti-sclérostine) Découplants «positifs» ranélate de strontium
37 s-ctx s-bsap LS-BMD Black et al, HORIZON PFT [zoledronate], NEJM 2007
38 s-bsap s-ntx LS-BMD Greenspan et al, TOP Trial [PTH 1-84], Ann Intern Med 2007
39 Canalis et al, N Engl J Med 2007;357:905-16
40 s-bsap s-ctx LS-BMD Meunier et al, SOTI Trial [Sr ranelate], NEJM 2004
41 Le présent : niveau de preuve d efficacité des traitements actuels Efficacité fractures vertébrales Efficacité fractures périphériques Efficacité fractures de hanche THS raloxifène alendronate, risédronate ibandronate acide zolédronique denosumab tériparatide PTH ranélate de strontium + + +
42 Pourquoi de nouvelles recos? n Les précédentes, établies dans le cadre de l AFSSAPS, datent de janvier 2006! n Plusieurs nouveaux médicaments. n Nouveaux outils d évaluation du risque de fracture : FRAX, mais aussi limites et lacunes de cet outil n Souci de simplification car les recommandations 2006 étaient perçues comme complexes et peu utilisables en pratique quotidienne.
43 Notion de fracture sévère n Certaines fractures, dites sévères, sont associées à une augmentation significative de la mortalité (Bliuc 2009) : l extrémité supérieure du fémur (FESF), l vertèbres, l extrémité supérieure de l humérus (FESH), l pelvis, 3 côtes simultanées, fémur distal et tibia proximal. n Autres fractures (avant bras ) è morbidité ± importante mais pas é de mortalité.
44 Impact des différents types de fracture sur la mortalité (< 75 ans) Bliuc et al., JAMA 2009, 301(5):
45 Impact des différents types de fracture sur la mortalité (> 75 ans) Bliuc et al., JAMA 2009, 301(5):
46 Importance des fractures non vertébrales et des chutes n Plus de 2/3 des fractures sont des fractures non vertébrales et plus de 80% des FNV sont la conséquence d une chute (Dargent-Molina 1996). Vertébrales 23% Hanche NVNH 7% 70%
47 Évaluer le risque osseux chez les sujets à risque de chutes n Recommandations sur les modalités de dépistage des sujets à risque de chute (HAS 2005) : 1. recherche d un antécédent de chute dans l année précédente 2. si pas d antécédent de chute è u rechercher des facteurs de risque u réaliser quelques tests simples : «get up and go» test, lever d une chaise sans l aide des bras, appui unipodal. (
48 Ajustements du FRAX n Études de validation ou de calibration nationales (Ensrud 2009, Donaldson 2009, Sornay-Rendu 2010, Trémollières 2010, Couris 2011) et recommandations internationales (NOF, NOS, NOGG) è recommandations pour l utilisation du FRAX dans l évaluation du risque de fracture
49 Ajustements du FRAX n Calcul du score FRAX inutile si indication de traitement évidente : l antécédent de fracture sévère l ou T 3 à l un des 3 sites (rachis lombaire, hanche totale ou col fémoral). n Calcul du score FRAX utile si indication de traitement à discuter : l antécédent de fracture mineure, l ou autres facteurs de risque et T > 3. Seuil d intervention??
50 Le seuil d intervention : valeur de FRAX qui correspond au risque calculé des femmes de même âge ayant déjà eu une fracture è dépend donc de l âge.
51 Stratégies thérapeutiques : règles générales 1. Objectif : ê risque de fracture à 5-10 ans. 2. Pré requis clinique = éliminer les autres causes d ostéopathies fragilisantes. 3. Discussion du traitement de 1 ère ligne. 4. Échec ou difficultés avis d un spécialiste. 5. Ne pas oublier : prévention du risque de chutes (et autres facteurs de risque). 6. Assurance d une bonne motivation et adhésion.
52 Stratégies thérapeutiques : pré requis n Les apports quotidiens optimaux doivent être de 1200 mg chez les femmes ménopausées âgées de plus de 50 ans. n Il est conseillé de privilégier les apports alimentaires (Accord professionnel). n Il est donc indispensable d évaluer les apports alimentaires par un auto-questionnaire fréquentiel disponible en ligne ( n Une supplémentation en vitamine D doit être associée en cas d insuffisance.
53 Le dosage de vitamine D n RECOMMANDATIONS GRIO 2011 : Benhamou et al. pour le GRIO, Presse Méd Juin n Indications du dosage : l dans les situations où l objectif est d obtenir un taux optimal l les principales situations à retenir sont : ostéoporose, maladie favorisant l ostéoporose, mise en route d un traitement, chutes à répétition n Objectif : taux de 25OHD 30 ng/ml (75 nmol/l)
54 En cas de fracture sévère n Compte tenu de leurs conséquences en termes de morbidité et surtout de mortalité, un traitement est recommandé après fracture sévère quelque soit l âge (Accord professionnel) n Si fracture non traumatique d origine ostéoporotique n S il existe un doute sur les conditions de survenue de la fracture une densitométrie est utile
55 En cas de fracture non sévère ou en l absence de fracture n Traitement en fonction du T score et du seuil de FRAX (Accord professionnel) l T score -3 è traitement l T score > -3 è FRAX n Choisir la valeur de FRAX qui correspond au risque calculé des femmes de même âge ayant déjà eu une fracture (Accord professionnel)
56 FRACTURE SÉVÈRE FRACTURE MINEURE (poignet, autres sites) FACTEUR(S) DE RISQUE D OSTÉOPOROSE ET/OU CHUTE DE MOINS DE 1 AN T-score -3 >-3 Calcul du FRAX pour fracture majeure TRAITEMENT
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailL OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club*
L OSTÉOPOROSE INVOLUTIVE DE LA FEMME : STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE Un point de vue actualisé du Belgian Bone Club* J.M. Kaufman (1), J.J. Body (2), S. Boonen (3), J.P. Devogelaer (4), F. Raeman (5), S. Rozenberg
Plus en détailConsolidation des fractures ostéoporotiques. oporotiques
Consolidation des fractures ostéoporotiques oporotiques Jean-Marc Féron Service de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique Hôpital Saint Antoine Hôpitaux Universitaire Est Parisien UPMC-Sorbonne Universités,
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailA. Ne u p r e z (1), H. Jo h a n s s o n (2), J.A. Ka n i s (2), E.V. McCl o s k e y (2), A. Od é n (2), O. Br u y è r e (3),
Rationalisation du remboursement des médicaments de l ostéoporose : de la mesure isolée de la densité osseuse à l intégration des facteurs cliniques de risque fracturaire. Validation de l algorithme FRAX
Plus en détailTRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE
Recommandation de Bonne Pratique TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE RECOMMANDATIONS 1 GROUPE DE TRAVAIL Docteur Christian ROUX, Président, Rhumatologue, Paris Docteur Bertrand MOURA,
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailL indépendance à chaque pas de la vie. Groupe. Votre meilleur allié. Visitez notre site : www.groupe-g2m.com
L indépendance à chaque pas de la vie. Votre meilleur allié. Groupe Visitez notre site : www.groupe-g2m.com : Votre meilleur allié. Dispositif médical unique Le système WalkAide est une neuro-orthèse de
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailOPTI JOINT. le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain
OPTI JOINT le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain Pas moins de 1 chien sur 5 âgés de plus d un an sont confrontés à des problèmes d articulations Quels chiens sont
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailImplantologie et Bisphosphonates
Société Française de Stomatologie et Chirurgie Maxillo-Faciale DD Implantologie et Bisphosphonates Recommandations de Bonne Pratique Juillet 2012 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE... 5 BISPHOSPHONATES
Plus en détailMODELE DE GESTION DU RISQUE HOSPITALIER A PROPOS D UNE ENQUETE REALISEE A L E.P.S DE MONASTIR
MODELE DE GESTION DU RISQUE HOSPITALIER A PROPOS D UNE ENQUETE REALISEE A L E.P.S DE MONASTIR T. KHALFALLAH, M. AKROUT Service de Médecine du Travail et de Pathologie Professionnelle E.P.S de Monastir
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailActivité physique et santé osseuse
L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailEvaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée
Evaluation d un appareil quantitatif ultrasonore utilisant des matrices (Beam scanner):précision standardisée M-A Gomez, M Nasser-Eddin, M Defontaine, B Giraudeau, F Jacquot, F Patat INTRODUCTION L ostéoporose
Plus en détailMéthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 397 404 Mise au point Méthodes radiographiques d évaluation des fractures vertébrales ostéoporotiques Radiographic methods for evaluating osteoporotic vertebral fractures
Plus en détailUtilité clinique du dosage de la vitamine D
NOTE DE CADRAGE Utilité clinique du dosage de la vitamine D Date de validation par le collège : Janvier 2013 Service évaluation des actes professionnels Cette note de cadrage est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailPrévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute. Dr K.Sudres février 2015
Prévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute Dr K.Sudres février 2015 Les résident d EHPAD sont majoritairement dépendants : aide complète pour l habillage (52.9%) et pour
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailEtude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)
Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailExtraits et adaptations
Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailSystème LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied.
Système LCP à angulation variable 2.4/2.7 pour avant-pied/médio-pied. Plaques spécifiques pour ostéotomies, arthrodèses et fractures du pied. Technologie à compression Technologie de verrouillage à angle
Plus en détailOstéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006
Ostéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006 Gérard Chalès Service de Rhumatologie, CHU Rennes Hôpital Sud, Rennes Points clés L ostéoporose et non l ostéomalacie est la complication la plus
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailMoteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions
Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil ou au lit du résident,
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détail3.3. Techniques d installation. 3.3 Installation à bord du VSL. Quand Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger.
L auxiliaire ambulancier 3e édition 3.3. Techniques d installation 3.3 Installation à bord du VSL Installation du patient à bord du Véhicule Sanitaire Léger. A Malgré que le transport en VSL soit destiné
Plus en détailFormation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes
Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailA.V.C. Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur. d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES
Solutions aux séquelles neurologiques du membre inférieur et supérieur A.V.C. Gamme innovante d ATTELLES NEURO - ORTHOPÉDIQUES Pour une réhabilitation motrice facilitée SYSTÈME DE RÉGLAGE BLOCABLE LIBERTÉ
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailPrécarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne
O B S E R V A T O I R E R E G I O N A L D E L A S A N T E D E M I D I - P Y R E N E E S Précarité sociale et recours aux soins dans les établissements de soins du Tarn-et-Garonne Novembre 2007 SYSTEME
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailTechnique Opératoire. Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n
Technique Opératoire Plaque Fyxis P l aq u e P o u r Arthrodèse MTP du Pre m i e r R ayo n PLAQUE POUR ARTHRODÈSE MÉTATARSO-PHALANGIENNE DU PREMIER RAYON. INDICATIONS CLINIQUES : Hallux Rigidus évolué,
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailPrévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailAgeas Sérénité Manager
Ageas Sérénité Manager Adaptez votre contrat de prévoyance au développement de votre entreprise Assurance Homme clé I Protection Associés I Couverture d emprunt I Prévoyance familiale Une solution simple,
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPrise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire
Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLes lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail
Les lésions musculosquelettiques chez les éboueurs : des pistes de prévention à la gestion du retour au travail Yvan Campbell, B.Éd. M.Sc. SRDC Kinésiologue Campbell, Y. (2015). Les lésions musculo-squelettiques
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détail