Population # Une homogénéité de population, héritière des années 70
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- Vivien Poulin
- il y a 7 ans
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1 #12 1 Le modèle de développement mis en place dans les années 60, autour du triptyque emploi, habitat, transport individuel, a conduit à un peuplement rapide de la ville. Cadre de vie de qualité, facilités d accès au logement et aux services de proximité : les populations «historiques» se sont stabilisées sur un territoire où il fait bon vivre, et forment jusqu à aujourd hui un ensemble homogène garant de l identité Vélizienne. Mais le vieillissement naturel de ces populations associé aux nouveaux besoins en main d œuvre qualifiée de la zone d emploi, à l évolution des transports et à la tension du marché du logement suppose d engager une réflexion sur le lien fondateur emploihabitat, et d intégrer dans le modèle de peuplement une vision étendue aux usagers du territoire. 1. Une homogénéité de population, héritière des années 70 Après avoir bénéficié d un peuplement rapide dans les années 60, suite à l ouverture à l urbanisation du plateau et à la construction de nombreux logements, Vélizy-Villacoublay bénéficie d une grande homogénéité de population, mais connaît depuis les années 80 une décroissance démographique et un vieillissement de ses résidents. Un boom dans les années 60 Le modèle de développement mis en place après guerre, qui rapprochait sur un même territoire emploi et habitat, puis, dès la fin des années 60, la volonté forte des ménages de disposer, à l Ouest de la capitale, d un cadre de vie «de qualité», a permis à la ville une croissance rapide, le peuplement passant de habitants en 1960 à en EVOLUTION DE LA POPULATION Une densité de population homogène et limitée, au regard des contraintes urbaines Avec hab./km 2, la densité de population est faible au regard des contraintes urbaines. La distribution des populations sur le territoire est harmonieuse, suivant une forme urbaine limitée par les espaces économiques, militaires et forestiers, qui réduisent la bande habitable à environ 3 km 2, et de laquelle seuls les habitants de Vélizy-le-Bas sont séparés. Source INSEE, RGP Source : SIG ville 1
2 Une régression démographique entamée dans les années 80 Depuis la clôture de la dernière phase de construction du grand ensemble de Vélizy-Villacoublay en 1975 et de l extension Est des quartiers d habitat collectif, la population de la ville a diminué de 13 % pour atteindre les habitants en 2007 d après l INSEE, soit une perte de 0,22 % par an quand dans le même temps le département connaissait un gain annuel de 0,5 %. A partir de 1975, la ville connaît un solde migratoire négatif. A cette même date, le taux de natalité entame sa décrue pour perdre jusqu à 8 points et atteindre les 12,1 en 2006 contre 14,4 dans le département. Conjointement, le taux de mortalité est en hausse, +1,4 point de 1975 à 2006, pour atteindre aujourd hui les 5,1 ; il demeure toutefois inférieur à celui du département (6 ), et de la région (6 ), tous deux en baisse. EVOLUTION DES DIFFERENTS SOLDES ENTRE 1968 ET 2006 Un phénomène global particulièrement accentué sur Vélizy Le ralentissement de la croissance démographique s observe sur la même période tant au niveau du département et de la région. Néanmoins le solde naturel de ces deux entités reste suffisamment fort pour compenser la diminution du solde migratoire. Dans son environnement, Vélizy se démarque donc par un solde migratoire déficitaire depuis 1975 et un solde naturel faible. Source : INSEE, RP 2006 Des disparités générationnelles Le turn-over est le plus important sur la tranche des ans. Sur des effectifs en baisse, (voir graphique ci-dessous), 35 % de la classe d âge vivait hors de Vélizy il y a 5 ans. Une très faible mobilité La mobilité de la population Vélizienne est globalement faible : 66,6 % des résidents habitaient le même logement 5 ans auparavant et 77 % la même commune, soit des chiffres supérieurs à ceux du département (64,2 % et 74,2 %) et de la région (63,7 % et 75,8 %). Le phénomène est plus net encore, si on considère des durées de résidence plus longues : la part des ménages installés dans leur résidence principale depuis plus de 10 ans représente 43,2 % des ménages au niveau régional, 46,3 % dans le département, et 55,9 % des ménages Véliziens. PART EN 2006 DES PERSONNES QUI RESIDAIENT DANS UN AUTRE LOGEMENT 5 ANS AUPARAVANT SELON L'AGE. Source : INSEE 2
3 Les plus de 55 ans sont les populations les plus stables (voir graphique ci-contre). Un vieillissement régulier, qui s accentue sur la dernière période Conséquence de cette stabilité démographique et de cette homogénéité de peuplement dans les années 70 : un vieillissement du territoire. Toutes les tranches d âge de moins de 60 ans connaissent une diminution de leurs effectifs entre 1999 et L indice de jeunesse de la ville est de 1,1 en 2006 contre 1,6 dans le département. Et la part des plus de 60 ans représente 22 % de la population en 2006, 17,5 % dans le département, contre 18 % en S il s agit là des effets de la baisse du taux de natalité entamée depuis 1975, cette évolution renvoie également au manque de logements, qui ne permettant pas la réalisation d un parcours résidentiel complet sur Vélizy, pousse les populations les plus jeunes à quitter le territoire. Indice de jeunesse L indice de jeunesse correspond au nombre de jeunes de 0 à 19 ans divisé par celui des personnes de 60 ans et plus. Un indice faible indique une surreprésentation des personnes âgées par rapport aux plus jeunes. EVOLUTION COMPAREE DES CLASSES D AGES ENTRE 1990/1999 ET 1999/2006 POIDS DES DIFFERENTES CLASSES D AGES SUR VELIZY DE 1982 A 2006 Source : ETIK-PRESSE d après INSEE Source : INSEE, RP 2007 Des revenus moyens dans le contexte départemental Les revenus des Véliziens sont à 70 % salariaux. Le revenu moyen annuel par foyer fiscal est de euros en 2008 d après la DGI, contre dans le département, à Viroflay, à Chaville ; ce qui situe Vélizy au niveau de la région. De manière générale, le revenu moyen est inférieur à celui des communes voisines. 3 Source : diagnostic du PLH d après INSEE
4 Un territoire peu inégalitaire Près de 80 % des foyers fiscaux Véliziens sont imposables, un chiffre supérieur de 10 points à celui du département, de 4 à celui de Chaville. Ce phénomène est à relier à la part importante des employés et des retraités dans la commune. Les revenus sont globalement homogènes : le rapport inter-déciles entre les revenus les plus élevés et les revenus les plus faibles (3,6) est inférieur à celui du département (5,4). Le niveau de revenu des catégories socioprofessionnelles (CSP) supérieures est inférieur à celui du département, celui des CSP inférieures, plus élevé. UNE DISTRIBUTION DES REVENUS HOMOGENE SUR LE TERRITOIRE. Source : SIG-Ville DISTRIBUTION DES REVENUS DECLARES PAR MENAGE EN EURO PAR UNITE DE CONSOMMATION EN 2006 Source : INSEE, RP 2007 L homogénéité de la population notamment en termes de revenus peut d ailleurs expliquer pour partie le faible niveau d insécurité (voir fiche C4 - Cadre de vie). 2. Une évolution sociologique La population «historique» s est stabilisée sur Vélizy. Dans le même temps, les contraintes urbaines ont limité le développement du logement et le vieillissement naturel ainsi que l évolution de la structure familiale ne facilitent pas l installation de populations nouvelles. Mais les caractéristiques sociologiques des ménages évoluent toutefois peu à peu, notamment par l arrivée d habitants de classes socioprofessionnelles différentes (cadres et professions intellectuelles supérieures notamment). Vers une reprise démographique? La dernière période d analyse marque une légère reprise du solde migratoire et une stabilisation du niveau de peuplement. Les pertes en habitants sont ainsi réduites à 0,2 % l an, contre 1 % entre 1982 et Entre 1999 et 2006, les zones pavillonnaires de Vélizy-le-Bas et du Centre Nord, en orange sur la cartographie ci-dessous, ont ainsi connu une croissance démographique du fait de l arrivée de couples avec enfant(s). 4
5 EVOLUTION DE LA POPULATION PAR QUARTIER ENTRE 1999 ET 2006 Source : diagnostic du PLH Les chiffres indiquent également une arrivée importante de cadres et professions intermédiaires, du milieu des années 1980 à la période récente (voir ci-après). Un modèle familial qui accentue les besoins en surfaces habitables La taille moyenne du ménage vélizien (2,39 en 2006) est en baisse depuis 1968, (2,41 en 1999). Cette évolution, également constatée au niveau départemental, est toutefois plus importante au niveau de Vélizy. La part des ménages composés d une personne seule atteint en ,7 % (+ 3,2 %), dont 19,3 % de femmes, des niveaux supérieurs à ceux du département, pourtant en croissance (27,6 % ; 16,3 % de femmes). Près de 66 % des ménages sont composés d une ou deux personnes. Parallèlement, on observe entre 1999 et 2006 une diminution nette de la part des couples avec enfant, de 34,8 % à 29,3 %, un phénomène également constaté dans le département (de 40,5 % à 36 %). Conjointement, la hausse des familles monoparentales est relativement faible, passant de 8,5 à 9,6 %, de 8,2 à 9 % dans le département, de 8,8 à 9,7 % dans la région. Une taille des ménages qui varie selon les quartiers Si la distribution de la structure familiale sur le territoire est globalement régulière, une cassure se dessine toutefois entre les espaces pavillonnaires, où la taille moyenne des ménages atteint les 2,6, et les quartiers Est, où celle-ci chute à 2,1. Si les premiers quartiers comptent 30 % de moins de 20 ans, les seconds, plus de 30 % de retraités. Par ailleurs, la répartition des classes d âge est globalement régulière sur le territoire. Tous ces phénomènes, auxquels il faut ajouter la future décohabitation des moins de 25 ans (29 % de la population) accentuent les besoins en surfaces habitables (voir fiche B2 Habitat et bâti, sous l angle de l effet de serre). Un profil socio-économique en évolution L objectif initial des aménageurs des années 70 était de faciliter l accès au logement des cadres intermédiaires et employés à même de fournir la main d œuvre de la zone d activité. Cependant l évolution des métiers proposés dans la zone d emploi modifie sensiblement le constat initial. 5
6 Aujourd hui à Vélizy, la part des employés et des ouvriers est en baisse depuis 1982, 8,9 % en 2006 contre 13,9 % dans le département et 15,3 % dans la région. La part des employés, le plus gros contingent, demeure importante 31 % contre 26 % dans le département. POPULATION ACTIVE DE 15 A 64 ANS SELON LA CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE EN 1982, 1990,1999, 2006 Source : ETIK-PRESSE d après données INSEE Si les professions intermédiaires se maintiennent, on assiste à une augmentation des niveaux de qualification avec une part des cadres et professions intellectuelles supérieures qui passe de 16 % à près de 28 % entre 1982 et 2006, soit un niveau équivalent à celui du département, 27,7 %, et supérieur à celui de la région, 25,37 %. Les chiffres d ancienneté sur la commune sont d ailleurs assez parlants, et montrent bien une arrivée de CSP supérieures, depuis le milieu des années 80. RESIDENCES PRINCIPALES PAR TYPE DE LOGEMENT, CATEGORIE SOCIOPROFESSIONNELLE DE LA PERSONNE DE REFERENCE ET ANCIENNETE D'EMMENAGEMENT A VELIZY-VILLACOUBLAY, INSEE 2006 Source : ETIK-PRESSE d après données INSEE 6
7 Un poids croissant des pensions modestes Ce phénomène limité d implantation de cadres et professions intellectuelles supérieures, dans la période récente, risque de modifier à plus ou moins long terme l homogénéité sociale de la Ville. Ces arrivées coïncident avec une réduction des revenus des plus anciens résidents. Les pensions, retraites et rentes représentent en effet environ 25 % des revenus déclarés par les Véliziens. Or cette part diminue alors même que la population retraitée augmente. Ce qui semble clairement indiquer une réduction des revenus des populations les plus âgées. Pension moyenne La pension moyenne d un ménage retraité, revenus du patrimoine non inclus est de Ce chiffre est faible en comparaison des villes voisines telles que Viroflay (2 988 ) ou Bièvre (3 758 ). Dans une commune où le renouvellement des générations est aujourd hui difficile, il convient d anticiper dès à présent les besoins sociaux futurs liés au risque de paupérisation des populations retraitées de demain. 3. Un nouveau modèle de développement? Vélizy est une ville qui ne s est pas vu vieillir. Le modèle de développement initial qui avait assuré un peuplement rapide de la ville est aujourd hui, lentement, remis en cause et nécessite de repenser la cohabitation entre les différents usages du territoire, et de renforcer le lien emploi-habitat. Une véritable spécificité L identité de la Ville est, jusqu à présent, restée extrêmement forte. Héritée des années 70, elle repose d abord sur une population de classes moyennes, venue occuper les nouveaux logements conçus sous l ère pompidolienne, homogène tant dans ses classes d âge que dans sa sociologie, et ses revenus. Cette spécificité, renforcée par une très faible mobilité, liée sans doute à la qualité du cadre de vie, offre autant d avantages que d inconvénients au regard du développement durable. En ne correspondant pas totalement à la structure des emplois créés dans les périodes récentes, elle a orienté la Ville dans un modèle «centrifuge», multipliant les flux de déplacements (donc les pollutions). En évitant les brassages de population, constatés à une échelle plus marquée dans le reste du département, ces spécificités ont également limité la mixité sociale, ce qui sans doute a préservé une certaine qualité du «bien vivre ensemble» tout en le limitant à des échanges moins enrichissants. 7
8 Il semble toutefois que ce «modèle» évolue. L arrivée prochaine de nouveaux axes de transports publics, l évolution sociologique constatée, et la nécessaire prise en compte des enjeux du développement durable doivent dès lors conduire à une réflexion nouvelle. Faire cohabiter les différents «usagers» du territoire Avec ses habitants en 2007, Vélizy-Villacoublay ne constitue pas une zone de peuplement de première importance. Situation unique, la ville accueille pourtant le second pôle d emploi tertiaire de l Ile-de-France avec plus de emplois, et l un des pôles commerciaux majeurs, avec visiteurs qui se rendent chaque jour au centre commercial Vélizy 2. Ce sont donc au total près de usagers qui se partagent le territoire au quotidien au sein desquels les résidents ne représentent «que» 18 %. Penser le territoire en termes de développement durable suppose donc de développer une vision plus large que dans la majorité des autres communes de France ; et d intégrer tous ces usages du territoire dans une stratégie globale. Renforcer le lien entre l habitat et la zone d emploi Aujourd hui, sur les actifs résidents de plus de 15 ans ayant un emploi, 35 % travaillent sur la commune en Un chiffre en hausse de 0,6 points, largement supérieur à celui du département, 20,1 % qui est en baisse. Cette différence s explique par l importance du gisement d emploi local, en 2006, mais reste à pondérer par la faible proportion des actifs dans la population globale, notamment du fait de la forte croissance de la part des retraités, qui atteint en ,7 % de la population des plus de 15 ans et 72,2 % des 55 ans et plus. Au-delà d une plus grande mixité urbaine, renforcer le lien entre l habitat et l emploi local, permettrait donc de réduire l impact des déplacements (voir fiche B3 Déplacements), et l impact global du territoire sur l environnement. 8
9 Des capacités d accueil à redimensionner En 2006, emplois de la zone d activité étaient occupés par des non résidents, ce qui représente un potentiel d attractivité résidentielle fort vis-à-vis de la main d œuvre extérieure. Toutefois celle-ci se heurte au manque de logements disponibles (voir graphique ci-contre). Seul un important programme de logements, conduit en dépit du manque de foncier disponible (voir fiche B2 Habitat et bâti), permettra de répondre aux besoins d une zone d emploi dont les activités, ciblées vers la technologie, requièrent aujourd hui une main d œuvre de plus en plus qualifiée. C est là une préoccupation dont la Ville est consciente et sur laquelle elle agit. UNE CHUTE DE LA CONSTRUCTION NEUVE SUR LA PERIODE Source : ETIK-PRESSE d après données du service d urbanisme de la Ville D après le PLU approuvé en 2006, le seul maintien du niveau actuel de population suppose la construction de 279 à 466 logements sur 15 ans, soit entre 17 et 29 logements par an. La construction d environ logements est envisagée par la Ville sur la période , soit 260 logements/an, dans l objectif de faciliter les parcours résidentiels et d atteindre les habitants. Désenclaver le territoire par le transport collectif L attractivité résidentielle de Vélizy souffre de son isolement vis-àvis du réseau de transport collectif, en entrée comme en sortie (voir fiche B3 Déplacements), ce qui, associé au caractère résidentiel de la ville, ne favorise pas l arrivée de populations nouvelles. L arrivée prochaine du TRAM reliant Chatillon à Viroflay, combinée avec une offre accrue de logements, devrait ainsi permettre d accroître le nombre des habitants. Même si on intègre au raisonnement l occupation de nouveaux logements par décohabitation des résidents actuels d ici à 2016, donc dans un délai très court, près d un habitant sur cinq sera un nouveau Vélizien. Une telle évolution, qui suppose une nouvelle réflexion sur l intégration de ces populations, risque de poser de nouveaux problèmes de «vivre ensemble», de préservation de la qualité et du cadre de vie et dessine un enjeu fort, pour la Ville (voir fiche B1 Aménagement et B2 Habitat et bâti). 9
10 Forces - Un gisement de emplois de proximité. - Un cadre de vie de qualité (importance de la forêt et des espaces verts). - Une urbanisation aérée dans le pavillonnaire comme le collectif. - Une homogénéité des peuplements (CSP, revenus, etc.) qui fonde une identité Vélizienne - Une augmentation des CSP supérieures, plus adaptées aux besoins actuels de la zone d emploi. Faiblesses - Un vieillissement de la population associé à un solde migratoire négatif. - Un manque d espaces urbanisables, une concurrence entre l emploi et l habitat dans l accès au foncier, un isolement vis à du transport collectif, des facteurs qui grèvent l attractivité résidentielle, génèrent des besoins en logement non satisfaits et limitent le renouvellement de la population. - Un urbanisme fonctionnel qui n incite pas au brassage des différents «usagers» du territoire. Opportunités - Une augmentation et diversification de l offre en logement à travers un programme de renouvellement urbain conséquent. - Une faible densité de peuplement permettant la densification. Enjeux Menaces - Une évolution de la structure des ménages générant de nouveaux besoins en espaces habitables. - Un déséquilibre générationnel entrainant un poids croissant des retraites et pensions modestes dans la structure de revenu des ménages. - Densification de la ville, afin de favoriser le renouvellement des populations - sans affecter pour autant le cadre de vie des habitants. - «Penser global» en intégrant les différents usagers et les différentes pratiques de la ville (résidentielle, commerciales et lieu de travail). - Vieillissement de la population, et le besoin de structures adaptées, tout en favorisant un maintien à domicile qui ne soit pas synonyme d isolement. 10
Lutter contre les exclusions
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