TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 2 Avril 2014
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- Maxence Rochette
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1 TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 2 Avril 2014
2 INTRODUCTION Particularités des traitements en Dermatologie Place importante des traitements topiques («crèmes») Frontières avec la cosmétologie Sans ordonnance Remboursement? Importance de la galénique (crème/pommade/gel/lotion/émulsion.) Perception du patient «Crème» médicament pas efficace Corticophobie Schéma d administration compliqué observance difficile Pathologies NON mortelles / Effets secondaires graves Importance de la qualité de vie dans l évaluation de la réponse thérapeutique
3 1 - ACNÉ RAPPELS Dermatose inflammatoire chronique du follicule pilosébacé Adolescent Fréquente (90% adolescent) mais de gravité variable Primitive le plus souvent
4 1 - ACNÉ PHYSIOPATHOLOGIE Hormones (SR, Ovaires, testicules) 5αréductase DHT Hyperséborrhée Taux normaux : hypersensibilité locale Stress Kératinisation infundibulaire Hyperprolifération des kératinocytes Obstruction infundibulaire Rétention Microbes Flore anaérobie de la peau : Propionibacterium acnes Inflammation SÉBORRHÉE RÉTENTION SÉBACÉE INFLAMMATION
5 Acné
6 1 ACNÉ - LÉSIONS ÉLÉMENTAIRES LÉSIONS RÉTENTIONNELLES Séborrhée Microkystes («points blancs», «comédons fermés») Comédons ouverts («points noirs»)
7 1 ACNÉ - LÉSIONS ÉLÉMENTAIRES LÉSIONS INFLAMMATOIRES Papules Pustules Nodules
8 A la frontière entre TTT et hygiène : α-hydroxyacides (Exfoliac, Hyfac) Nettoyage en douceur (pas alcoolisé) Crème hydratante +/- agents anti-irritants ou «antiinflammatoires» Pas de fond de teint trop épais, plutôt stick de camouflage ponctuel Protection solaire Ne pas presser les comédons Pas de régime particulier STOP tabac 1 ACNÉ - TRAITEMENT SOINS D HYGIENE
9 1 ACNÉ TRAITEMENT Jeune homme 14 ans Apparition progressive de lésions sur joues, menton, front puis haut du dos. Diagnostic?
10 1 - ACNÉ TRAITEMENT Jeune homme 14 ans Apparition progressive de lésions sur joues, menton, front puis haut du dos. Diagnostic? Acné rétentionnelle modérée
11 Règles hygiéniques Eviter agent irritants (toilette avec solutions alcoolisées) Toilette avec savon surgras, lait ou solutions nettoyantes Hydratation cutanée Traitement médical local 1 - ACNÉ TRAITEMENT Anti-rétentionnels topiques = rétinoïdes topiques
12 1 - ACNÉ RÉTINOIDES TOPIQUES Mode d action Action sur kératinisation anormale de l infra-infundibulum du follicule sébacé acnéique Indications et modalités du traitement Acné rétentionnelle avec comédons et microkystes intensité moyenne ou modérée Application large sur ensemble des zones acnéiques et/ou comédoniennes, et pas seulement sur des lésions limitées
13 Effets secondaires 1 - ACNÉ TRAITEMENT Photosensibilisation, Irritation Potentialise l inflammation au début Contre-indication Grossesse
14 1 - ACNÉ TRAITEMENT Jeune fille de 16 ans sans ATCD, ménarche, «boutons» depuis une année n a jamais consulté. Diagnostic?
15 1 - ACNÉ TRAITEMENT Jeune fille de 16 ans sans ATCD, ménarche, «boutons» depuis une année n a jamais consulté. Diagnostic? Acné juvénile mixte à prédominance inflammatoire modérée
16 1 - ACNÉ ACNÉ JUVÉNILE MIXTE/POLYMORPHE Acné «classique» Atteinte des zones séborrheïques (médiofaciale) Séborrhée Comédons, microkystes, papulo-pustules
17 1 - ACNÉ ACNÉ JUVÉNILE MIXTE/POLYMORPHE Que recherchez vous à l interrogatoire? «Histoire gynécologique», ATCD familiaux d acné, Prise médicamenteuse, cosmétiques, Vécu de la «maladie», (dysmorphophobie?) A l examen clinique? Etendue des lésions (dos, poitrine), signes de virilisation...
18 1 - ACNÉ ACNÉ JUVÉNILE MIXTE/POLYMORPHE Traitement? Mesures d hygiène : idem Traitement topique ATB topiques (Erythromycine, Clindamycine) Peroxyde de Benzoyle (PBO) Association +++: action sur la composante rétentionnelle -Rétinoïdes/PBO - Rétinoïdes/ATB
19 1 - ACNÉ PEROXYDE DE BENZOYL Mode d action nombre de P. acnes >> action comédolytique Indications Acnés inflammatoires légères ou modéré Pour le visage: 2,5 ou 5 %, Pour le dos: 5 et 10 % Application sur l ensemble des zones habituellement atteintes (but = prévenir d autres lésions inflammatoires) Effets secondaires Irritation mais mieux toléré que Rétinoïdes Photosensibilisation Décoloration
20 1 - ACNÉ ANTIBIOTIQUES TOPIQUES Mode d action nombre P. acnes effet anti-inflammatoire Pb de résistance de P. acnes Indications Acnés inflammatoires Acnés mixtes en association Application sur l ensemble des zones habituellement atteintes (but = prévenir d autres lésions inflammatoires)
21 A 3 mois, Soins hygiène bien conduits Traitement local 1 - ACNÉ TRAITEMENT ACNÉ INFLAMMATOIRE Peu ou pas d amélioration Traitement? Antibiotiques per os : Cyclines Poursuite des soins locaux
22 1 - ACNÉ ANTIBIOTIQUES PAR VOIE GÉNÉRALE : CYCLINES Doxycycline, Limécycline (ne plus prescrire la minocycline) Mode d action Effet antibactérien Effet anti-inflammatoire+++ Inhibition synthèse de lipase produite par le P. acnes (pas de transformation des TG du sébum en acides gras doués d un fort potentiel inflammatoire) chimiotactisme des PN phagocytose et production de radicaux libres par PN et superoxyde dismutase antiradicalaire Inhibition collagénases et élastases (favorisent la formation du granulome macrophagique) Modulation production de cytokines par les kératinocytes Résistance de P. acnes aux antibiotiques résistances bactériennes in vitro mais efficacité clinique persiste car action antiinflammatoire traitements de durée suffisante (trois mois au minimum) Pas trop prolongés reprendre même ATB si rechute
23 1 - ACNÉ ANTIBIOTIQUES PAR VOIE GÉNÉRALE Indications Acnés inflammatoires/mixtes moyennes inefficaces dans les acnés purement rétentionnelles Choix de l antibiotique, posologie et durée du traitement Doxycycline (100 mg/j, min 3 mois, demi-doses?) Lymécycline (300 mg/j) (ne plus prescrire la minocycline) Si CI : Macrolides: Erythromycine, Josamycine ou Azithromycine
24 1 - ACNÉ ANTIBIOTIQUES PAR VOIE GÉNÉRALE Effets secondaires/indésirables Efficacité suspensive, souvent courte, récidives Rares: Troubles digestifs Phototoxicité Risque d HTIC (association tétracycline/isotrétinoïne) Induction ou aggravation de folliculites à BGN en traitement prolongé (Résistance) Hépatites, DRESS, lupus induit à la minocycline (attention sujets noirs) CI: femme enceinte et enfant de moins de 8 ans (Coloration dents)
25 1 - ACNÉ TRAITEMENT Adolescent 17 ans Acné évoluant depuis 1 an environ A eu des traitements locaux peu efficaces, des cyclines (2 cures) avec efficacité partielle et rechute à l arrêt Diagnostic? Traitement?
26 1 - ACNÉ TRAITEMENT Adolescent 17 ans Acné évoluant depuis 1 an environ A eu des traitements locaux peu efficaces, des cyclines (2 cures) avec efficacité partielle et rechute à l arrêt Diagnostic? Traitement? Acné inflammatoire sévère, Acné nodulaire (conglobata)
27 1 - ACNÉ TRAITEMENT Acné inflammatoire sévère, Acné nodulaire (conglobata) Atteinte diffuse (tronc++) Nodules, abcès, fistules, lésions profondes > 5 mm Evolution cicatricielle
28 1 - ACNÉ TRAITEMENT Isotrétinoïne orale Disponible en France depuis 1984, révolutionné ttt des acnés sévères (Contracné, Curacné, Isotrétinoïne Teva, Procuta en gelules de 2, 10, 20 et 40 mg) Mécanisme d action Liaison dans la cellule à un récepteur soluble cytosolique situé dans le cytoplasme (Cellular Retinoic Acid Binding Protein/CRABP) Transport jusqu au noyau : action après liaison aux récepteurs nucléaires Liaison du complexe récepteur nucléaire-ligand sur des sites précis de l ADN, entrainant une modulation transcriptionnelle de gènes cibles codant pour diverses proteines. Mode d action Action sur la glande sébacée atrophie des glandes sébacées (90% du volume initial) sécrétion sébacée dose-dépendante effet réversible à l arrêt du ttt mais rémanence ( = bénéfice prolongé) Action sur le Propionibacterium acnes Diminution du portage cutané Action sur la kératinisation Réduction de la cohésion interkératinocytaire au sein du canal excréteur du follicule Action anti-inflammatoire inhibition de la libération d acide arachidonique inhibition de la synthèse et stimulation de la dégradation de certains leucotriènes diminution du chimiotactisme des polynucléaires neutrophiles
29 Posologie Durée du traitement 0,5 mg à 1 mg/kg/j, utiliser posologie quotidienne la plus forte que peut tolérer le patient (effets cutanéo-muqueux) dose cumulée optimale: 100 et 150 mg/kg pour une cure. Si elle est inférieure à 100 mg/kg, risque rechute Résultats 1 - ACNÉ ISOTRÉTINOÏNE ORALE RC: 85% cas Rechute: 20 à 40% cas Facteurs d échec primaire et de rechute: - forte composante rétentionnelle - sujet masculin de moins de 20 ans - existence d une hyperandrogénie chez la femme Possibilité 2 voire 3 cure, DC max 400 mg/kg
30 Tératogénicité ++++ Suppression de la chondrogénèse et de l épidermogénèse Anomalies du développement (absence de fermeture du tube neural, fentes palatines) Malformations du SNC, malformations cardiaques. EI cutanéo-muqueux : chéilite, irritation oculaire, épistaxis, desquamation des extrémités fragilité cutanée, xérose. Photosensibilisant EI généraux : myalgies (élévation des CPK) asthénie, céphalées, nausées HTIC (association aux cyclines) 1 - ACNÉ ISOTRÉTINOÏNE ORALE EFFETS SECONDAIRES EI Psychiatriques? EI biologiques: cholestérol, TG, Transaminases
31 Information femmes et hommes, caractère tératogène du médicament: (Attention entourage!) Vérification du niveau de compréhension Signature de l accord de soin et de contraception: obligatoire. Contraception Femme PAS d exception Doit être efficace : 1 - ACNÉ CONDITIONS DE PRESCRIPTION Pilule OP sans oubli (PAS Diane35!) dispositif intra-utérin (+/- préservatif) si CI, pilule microprogestative + contraception locale 1 MOIS AVANT 1 MOIS APRÈS
32 1 - ACNÉ CONDITIONS DE PRESCRIPTION Tests de grossesse de contrôle qualitatifs (β-hcg), -3j avant début TTT -à la fin du premier mois de contraception précédant le traitement -Tous les mois, max 3 jours avant la consultation - 5 semaines après la fin du ttt Sur l ordonnance, mentionner la date du test de grossesse ; la réalisation de l évaluation du niveau de compréhension de la patiente la signature de l accord de soin et de contraception. Indications nécessaires à la délivrance du médicament par le pharmacien
33 1 - ACNÉ CONDITIONS DE PRESCRIPTION
34 1 - ACNÉ CONDITIONS DE PRESCRIPTION
35 1 - ACNÉ CONDITIONS DE PRESCRIPTION SURVEILLANCE BIOLOGIQUE : - Test grossesse (cf supra) - Bilan lipidique (Cholestérol, Triglycérides) Avant TTT, 1mois - Transaminases ASAT, ALAT puis /3mois (ou 1 mois après changement poso) MESURES ASSOCIÉES CI au don du sang (pendant ttt et au cours du mois suivant son arrêt) Protection solaire+++ Eviter produits anti-acnéiques locaux (irritants) crème hydratante + protecteur labial Ne jamais associer aux tétracyclines Éviter lentilles de contact Précautions si ATCD dépressifs
36 1 ACNÉ CAS PARTICULIERS ACNÉ FULMINANS Début brutal Signes généraux, fièvre Arthralgies, hyperleucocytose Nodules inflammatoires, suppuratifs Pus hémorragique, ulcérations nécrotiques Prise en charge hospitalière corticothérapie générale + Isotrétinoine faible dose
37 1 ACNÉ CAS PARTICULIERS ACNÉ et HORMONES QUELLE CONTRACEPTION? - DIANE 35 : n a pas d AMM pilule (retrait du marché puis marche arrière.) - Pilule de dernière génération sont susceptibles d améliorer l acné MAIS - déremboursées - controverse actuelle sur risque thrombo-embolique - éviter les pilules qui aggravent acné (P seuls) ACNÉ : Quand demander des dosages hormonaux? - Signes d hyperandrogénie - séborrhée - troubles des règles ++ (OPK) - Acné résistante - Acné tardive - Topographie «masculine» : dos, cou, maxillaire inférieur
38 1 ACNÉ CAS PARTICULIERS Quels dosages? ACNÉ et HORMONES - Testostérone totale - Delta 4 androstènedione - Sulfate de DHA Quels traitements? - dépend de l étiologie - anti-androgènes (Acétate de cyprotérone = ANDROCUR)
39 Gluconate de zinc (Rubozinc, 200 mg/j) - inhibition des fonctions des PN -Alternative thérapeutique intéressante : -acnés inflammatoires ou mixtes, mineures ou moyennes, si CI tétracyclines Amélioration après 2 mois, uniquement sur composante inflammatoire Traitement des cicatrices Peelings Laser Chirurgie 1 ACNÉ AUTRES TRAITEMENTS
40 1 ACNÉ AUTRES TRAITEMENTS
41 1 ACNÉ STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE
42 2 - DERMOCORTICOÏDES GÉNÉRALITÉS Découverts dans les années 50 Utilisation s est beaucoup répandu depuis (nombre d indications) Abus dans les débuts : effets secondaires importants Corticophobie souvent présente chez les patients Règles de prescriptions simples = Evite majorité des EI
43 1- Activité anti inflammatoire 2 - DERMOCORTICOÏDES MODE D ACTION La plus utile en pratique clinique Action via des récepteurs intra-cytosoliques (kératinocytes et fibroblastes) Activité anti-inflammatoire propre liée aux effets des glucocorticoïdes sur les médiateurs de l'inflammation (cytokines...) Effet vasoconstricteur dermique œdème, érythème = inflammation Bonne corrélation vasoconstriction/effets anti-inflammatoire = utilisation pour mesurer la force des DC
44 2 - DERMOCORTICOÏDES MODE D ACTION 2- Activité anti mitotique (ou anti proliférative) = Inhibition multiplication cellulaire et synthèse ADN de tous les composants cellulaires cutanés Kératinocytes Atrophie épidermique, réversible Mélanocytes Effet dépigmentant à long terme Fibroblastes atrophie dermique (vergetures définitives) Effets indésirables locaux But thérapeutique : -PSORIASIS (diminution du "turn-over" des kératinocytes) -CHÉLOÏDES (effet atrophiant dermique recherché)
45 3- Activité immunosuppressive 2 - DERMOCORTICOÏDES MODE D ACTION Modification fonctions immunitaires: nombre de cellules de Langerhans altération fonction de présentation de l antigène des cellules de Langerhans aux lymphocytes T prolifération des lymphocytes T et activité cytotoxique des lymphocytes
46 2 - DERMOCORTICOÏDES CLASSIFICATION Puissance d'un DC dépend de la molécule mais aussi de : concentration, véhicule Classification utilisée basée sur le test de McKenzie (vasoconstriction // effet anti inflammatoire) Classification internationale = la référence DC d activité anti-inflammatoire très forte = classe IV, DC de faible activité = classe I MAIS Classification française: 4 niveaux de puissance : sens inverse! Classification OMS : VII classes!? utiliser faible, modéré, fort, très fort pour éviter confusion
47 2 - DERMOCORTICOÏDES CLASSIFICATION
48 2 - DERMOCORTICOÏDES PHARMACOCINÉTIQUE 1- Biodisponibilité Pénétration par voie trans-épidermique Dépend des caractéristiques intrinsèques de la molécule mais aussi de : Nature de l excipient pommades: excipients gras (vaseline ) pénétration par effet occlusif Absorption pommade>> crème > > Gel>> Lotion Additifs ou la pénétration Kératolytique (acide salicylique) : pénétration Occlusion pénétration Localisation couche cornée = barrière principale paupières, plis, scrotum : CC mince = absorption importante Effets 2ndaires Paumes et plantes : absorption faible
49 2 - DERMOCORTICOÏDES PHARMACOCINÉTIQUE Nature de la dermatose traitée couche cornée altérée = absorption (eczéma, pemphigoïde bulleuse ) Âge Couche cornée mince aux extrêmes : absorption
50 2 - DERMOCORTICOÏDES PHARMACOCINÉTIQUE 2- Effet réservoir = capacité de s'accumuler dans la couche cornée et relargués ensuite progressivement vers les couches plus profondes Une seule application par jour suffit sauf cas particuliers 3- Tachyphylaxie Apparition d'une tolérance = résistance au traitement (applications prolongées et ininterrompues) D'autant plus précoce que le corticoïde est puissant, que la concentration est forte Effets secondaires ont tendance à s accentuer
51 2 - DERMOCORTICOÏDES INDICATIONS DC : ttt symptomatique et non étiologique de nombreuses dermatoses inflammatoires primitives: action rapide sur symptômes liés à l'inflammation, en particulier sur un prurit
52 2 - DERMOCORTICOÏDES INDICATIONS DC très forts utilisés en France dans le traitement de la pemphigoïde bulleuse: doses d'attaque utilisées très importantes (20 à 40 g/jour) efficacité proche de la corticothérapie générale avec une meilleure tolérance
53 2 - DERMOCORTICOÏDES INDICATIONS Dermatite atopique : quelle crème? où?
54 2 - DERMOCORTICOÏDES CONTRE- INDICATIONS toutes les dermatoses infectieuses lésions d acné, de rosacée Érythème fessier : CI théorique (qq jours pour amélioration)
55 2 - DERMOCORTICOÏDES MODALITÉS D UTILISATION 1- Choix du DC Dépend de : -Dermatose traitée -Surface -Siège -Âge du patient Très Forts: plaques résistantes de psoriasis, les atteintes palmoplantaires Les dermocorticoïdes d'activité forte sont à éviter sur le visage en utilisation chronique 2- Choix de la Galénique Pommades: lésions très sèches, non suintantes et propres, dermatoses kératosiques Plis :Crèmes ou lotion Lotions et gels alcooliques: zones pileuses (cuir chevelu), CI en cas de lésions suintante
56 2 - DERMOCORTICOÏDES MODALITÉS D UTILISATION 3- Rythme, durée et technique d application posologie rationnelle = 1 application quotidienne, (rarement 2/jour) Prescription doit toujours être clairement écrite, en mentionnant précisément la décroissance progressive et en indiquant le nombre et la taille des tubes = éviter les sur-consommations Port de gants conseillé pour la personne soignante Technique de l'occlusion : prescription spécialisée, lésions très épaisses, résistantes, de surface limitée, atteintes des paumes et des plantes et parfois du cuir chevelu
57
58 DC puissants Utilisation prolongée, sous occlusion 2 - DERMOCORTICOÏDES EFFETS INDÉSIRABLES Lorsqu ils sont utilisés pendant des périodes courtes et sans occlusion, les dermocorticoïdes sont sans effet secondaire important
59 2- Effets secondaires systémiques Dépend des facteurs influençant la pénétration cutanée Ceux de la corticothérapie générale Très rares, après utilisation prolongée, sur de grandes surfaces, de DC puissants Attention chez enfants (rapport surface corporelle/poids élevé) 3- Allergies de contact 2 - DERMOCORTICOÏDES EFFETS INDÉSIRABLES Exceptionnelles (patients multitraités) A suspecter si résistance d une dermatose classiquement corticosensible Peut être due aux excipients, aux produits associés, ou aux stéroïdes euxmêmes: DC classés en quatre groupes (A, B, C et D) en fonction du risque et des allergies croisées.
60 A éviter car : - Utilisation d'associations = incertitude diagnostique - Association à des anti-infectieux = pas justifiée= risque sensibilisation SAUF : 2 - DERMOCORTICOÏDES EN ASSOCIATION - Association à l'acide salicylique ou à l'urée peut-être utile en augmentant la pénétration du dermocorticoïde (zones palmoplantaires, lésion lichénifiée) - Association à des émollients pour grandes surfaces
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