CHAPITRE 5 : La variabilité des charges et seuil de rentabilité
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- Denis Bonnet
- il y a 7 ans
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1 Les coûts peuvent être complets ou partiels, selon qu on y incorpore tout ou une partie des charges de la comptabilité générale (avec prise en compte des différences d incorporation). Dans le premier chapitre, nous avons vu que la méthode des coûts complets consiste à intégrer l ensemble des charges, déclarées incorporées, dans le coût d un produit. Ce même ensemble de charges sera maintenant divisé en charges variables et charges fixes. Cette méthode de classification est appelée la méthode des coûts partiels. Les coûts variables sont obtenus en incorporant seulement les charges qui varient avec la production ou le niveau d activité (matière première, main d œuvre, etc.). Les coûts fixes sont les charges de structure supportées par l entreprise quelque soit le niveau d activité (loyer des dépôts, amortissement du matériel, etc.). La classification des charges selon leur variabilité présente un intérêt car elle aide à la prise des décisions dans le domaine de la gestion. Exemple: Une société qui dispose de plusieurs magasins de stockage pourrait, éventuellement, diminuer ses charges fixes (le loyer des magasins) en réduisant le nombre des dépôts. A. Analyse des charges en terme de variabilité Illustration 1 Soit un atelier dans lequel est produit un seul type d article. L étude des charges pour plusieurs niveaux d activité (quantités produites par mois), pour le premier trimestre N, fait apparaître les situations suivantes : ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 1
2 NIVEAU D ACTIVITE CHARGES Janvier février Mars Matières premières Main d œuvre directe Amortissements du matériel Autres charges Coût total On vous demande de déterminer les charges unitaires. FICHE RECAPITULATIVEDES COÜTS UNITAIRES CHARGES Janvier février Mars Matières premières Main d œuvre directe Amortissements du matériel Autres charges Coût unitaire par produit Nous remarquons que certaines charges (consommation de matières et de main d œuvre directe), varient proportionnellement à l activité de l atelier : le coût total de ces charges est variable. Leurs coûts unitaires par contre sont constants (4 et 5 respectivement). Nous parlerons des charges variables ou opérationnelles, car elles sont impliquées par le volume d opérations à traiter (quantité produite). Certaines charges (amortissement dans cet exemple), ne varient pas quelque soit le niveau d activité, pour le premier trimestre de l année N. Le coût total d amortissement est constant. Nous parlerons de charges fixes ou de structures car elles sont attachées à une structure donnée (équipements, matériels, etc.). Le coût unitaire d amortissement par contre est variable. Il diminue au fur et à mesure que la quantité produite augmente. D autres charges semblent varier sans être proportionnelles à l activité. Nous parlerons de charges semi variables, car il s agit d un mélange de charges fixes et de charges variables. Exemple : les factures d électricité et de l eau sont constituées d une partie fixe représentée par les redevances et une partie variable qui dépend de la consommation. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 2
3 1. Charges variables CVT CVU Activité Charges variables totales Forme générale y1 =ax Activité Charges variables unitaires Forme générale y2 = a - D après le premier graphique, en cas de production nulle, le montant de la charge variable totale est nul et augmente proportionnellement à la production. L équation mathématique de la droite représentative de la charge variable totale est y1= a.x, avec x la quantité produite et y1 le montant de la charge variable totale. Quand x = 4000, y1= 36000, d où a = 9 (5+4) - L équation mathématique de la droite représentative des charges variables unitaires est y2 = a = 9, la charge variable unitaire est constante. 2. Charges fixes CFT CFU Activité Charges fixes totales Forme générale y1= A Activité Charges fixes unitaires Forme générale y2 = A x - D après le premier graphique, en cas de production nulle, le montant de la charge globale fixe, ou de structure, est de L équation mathématique des coûts fixes est y1 = ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 3
4 - L équation mathématique de la courbe représentative des charges fixes unitaires est y2 = A x. Il s agit de l équation d une hyperbole, avec x, la quantité produite et y2 la charge fixe unitaire. Pour x = 4000, y2 = 7.5 ; pour x = 5000, y2= 6 ; pour x = 6000, y2= 5. D où y1 = A = et y2 = Le coût fixe total étant invariable (A = 30000), le coût fixe x unitaire diminue avec l augmentation de la production. 3. Charges semi variables Charges semi variables totales Charges semi variables unitaires Charges semi variables totales Forme générale y1 = ax+ b Activité Activité Charges semi variables unitaires y1 b Forme générale y2 = = a+ x x - La représentation graphique des autres charges (charges semi variables totales) montre qu il s agit d une fonction linéaire avec ordonnée à l origine, de la forme y1 = a x + b. En effet, les trois points de coordonnée (x = 4000, y= 8000), (x= 5000, y=8500), (x = 6000, y=9000) sont alignés ; avec x la quantité produite et y la charge semi variable totale. Recherche de l équation : 9000= 6000 a + b a = 0.5 y1= 0.5 x = 4000 a + b b = = 2000 a Cette charge semi variable totale se décompose, donc, de deux parties: i. une partie fixe (6000) ii. une partie variable proportionnelle à la production - L équation de la charge semi variable unitaire est déduite mathématiquement de celle totale : y1 b y2 = a x = + x D où 6000 y2= 0.5+ x ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 4
5 4. Charges totales Après l éclatement des charges semi variables, nous pouvons considérer que nous n avons que des charges fixes et des charges variables : NIVEAU D ACTIVITE CHARGES Janvier février Mars Charges fixes Charges variables Coût total Charges variables unitaires : = = = D où les équations et les graphes suivants : Coût total Coût moyen Coût total Forme générale y1 = ax+ b Activité Activité Coût moyen y1 b Forme générale y2 = = a+ x x Le coût total est donné par l équation linéaire y1 = 9.5x Le coût unitaire (moyen) est représenté par une branche d hyperbole, est donné par y2= 9.5+ x Avec y1 le coût total, y2 le coût unitaire (moyen), x la quantité produite, a le coût variable unitaire, et b le coût fixe total. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 5
6 5. Changement de structure La structure est l ensemble des moyens techniques et humains mis en œuvre en permanence pour la production. Ces moyens techniques n étant pas modifiés, quelque soit le niveau de la production, les charges de structure sont fixes. Cependant, pour une structure déterminée, la production est limitée par un plafond. Pour augmenter le niveau d activité au-delà de ce plafond, de nouveaux moyens techniques doivent être mis en œuvre et des investissements doivent être effectués. Illustration 2 Compte tenu de la structure en place de l entreprise, la production maximum de son produit ne dépasse pas 8000 unités par mois (MAX production < 8000). Pour augmenter sa capacité de production, l acquisition de nouveaux matériels est nécessaire. Cela entraîne une augmentation des charges fixes mensuelles qui passent de à Le montant de la charge variable unitaire restera le même CVU = 9.5. NIVEAU D ACTIVITE CHARGES Janvier février Mars Avril Mai Charges fixes Charges variables Coût total ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 6
7 Représentation graphique des coûts dans le cas de changement de structure Coûts CT CVT CT CF CF Activité B. Le seuil de rentabilité 1. Notion de marge sur coût variable Le résultat de l entreprise est obtenu par la différence entre le chiffre d affaires et les charges totales (variables et fixes). CHIFFRE D AFFAIRES - COUTS VARIABLES DES PRODUITS VENDUS = MARGE SUR COUTS VARIABLES - CHARGES FIXES = RESULAT Quelque soit le niveau de production et pour une structure donnée, les charges fixes ne peuvent pas être réduites, elles sont supportées par leur montant total par l entreprise. C est pourquoi, il convient de réaliser une marge sur coût variable suffisante pour couvrir en totalité les charges fixes et dégager des bénéfices. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 7
8 Chiffre d affaires Charges variables Marge / coûts variables Charges fixes Bénéfice Taux de marge = Marge sur CV / chiffre d affaires Ce taux exprime la marge sur coût variable pour un dinar de chiffre d affaires. 2. Notion de seuil de rentabilité On appelle seuil de rentabilité ou chiffre d affaires critique ou point mort, le niveau du chiffre d affaires qui couvre exactement le total des charges variables et charges fixes de l exercice. En d autres termes l activité ne dégage ni bénéfice ni perte. Chiffre d affaires Charges variables Marge / coûts variables Charges fixes Pour déterminer le seuil de rentabilité, deux formules peuvent être appliquées : Marge sur coût variable = Charges fixes SR = Coût fixes / Taux de marge Le jour d atteinte du point mort = (le point mort x 365) / CA de l exercice ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 8
9 Illustration 3 Soit une entreprise commerciale pour la quelle le chiffre d affaires prévu pour un exercice est de TND et dont les charges correspondantes sont analysées comme suit : Charges variables : Charges fixes : Le résultat de l entreprise se calcule comme suit : CA Coûts variables = Marge/CV Charges fixes = Résultat d exploitation Déterminer le seuil de rentabilité par les deux formules et le délai d atteinte du point mort. Formule 1 CA = Chiffre d affaire critique = SR M/CV = M/CV =CF = Sous l hypothèse que les charges variables sont proportionnelles au chiffre d affaires, nous pouvons écrire l égalité suivante : SR = D où SR = = 70000TND Taux de marge = MCV / CA = 37500/100000= Nous pouvons déduire que CF SR = = = 70000TND Taux de Marge Formule 2 L équation des charges fixes est donnée par y1 = L équation des la M/CV est donnée par y2 = x = x ; avec x la quantité produite et vendue. L égalité de la marge sur coût variable et des charges fixes permet d écrire : CF = M / CV = 0.375x D où x = SR = 70000TND ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 9
10 Le jour d atteinte du point mort = (le point mort x 365) / CA de l exercice = 70000x365 / = 256 ème jours de l année soit le 13 septembre. Illustration graphique A partir du seuil de rentabilité, nous pouvons déterminer d autres outils de gestion : Marge de sécurité = chiffre d affaires seuil de rentabilité Indice de sécurité = Marge de sécurité / Chiffre d affaire Reprenons le même exemple précédent : Marge de sécurité = CA SR = = Indice de sécurité = / = 30%. Dans cet exemple, le CA peut chuter de 30% sans entraîner une perte. Ce type de renseignement est très utile pour une entreprise qui prévoit une chute passagère de son chiffre d affaires ou envisage de baisser son prix de vente suite à la concurrence. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 10
11 C. Analyse Coût-Volume-Profit (CVP) L analyse coût volume profit établit une relation entre les coûts, le volume des ventes et le profit, afin d aider à la prise des décisions. 1. Les relations d exploitation Soit : - Q : la quantité produite et vendue - v : le coût variable unitaire - CF : le montant des charges fixes d exploitation - p : le prix de vente unitaire Le coût total du produit est donné par : CT = CV + CF CT = v Q + CF Le chiffre d affaires est donné par : CA = p. Q la marge sur coût variable est donné par : MCV = CA CV MCV = ( p v) Q Le taux de marge est donné par : MCV ( p v). Q p v µ = = =, il exprime le taux d absorption des coûts fixes CA p. Q p Le résultat d exploitation est donné par : RE = CA CT = ( p v). Q CF = MCV CF Le point mort d exploitation est le niveau d activité qui annule le résultat d exploitation. Q 0 CF = : C est le rapport entre les charges fixes et la marge unitaire sur coût variable p v Le point mort exprimé en unités monétaires de chiffre d affaires : CF CF CA0 = p. Q0 = = : C est le rapport entre les charges fixes et le taux de marge. ( p v) µ p ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 11
12 Illustration 4 Une entreprise d édition envisage la publication d un manuel scolaire. Elle possède les données suivantes : Coûts fixes = 1170 TND Coûts variables unitaires : Impression et relieur = 0.700TND Commissions des vendeurs = TND Droits d auteur = TND Frais divers de gestion = TND Prix de vente unitaire = 3.200TND Est il intéressant de publier ce manuel? Q 0 CF = p v CF = 1170 p= 3.2 v= ( ) = Q 0 = = L entreprise ne publie ce manuel que si la quantité produite et vendue dépasse 1671 unités (point mort). 2. Effet de levier d exploitation On appelle coefficient d effet de levier d exploitation le rapport exprimant le taux de variation du résultat d exploitation par rapport aux taux de variation du niveau d activité (Q étant la quantité produite et vendue). Il s agit de la sensibilité du résultat d exploitation à la variation du niveau de la demande. RE RE Q SQ ( ) RE = = Q RE Q Q ( p v). Q Q SQ ( ) = ( p v). Q CF Q ( p v). Q MCV SQ ( ) = = ( p v). Q CF RE ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 12
13 Cette dernière égalité permet d affirmer que le coefficient d effet de levier d exploitation est égal au rapport entre marge sur coûts variables et résultat d exploitation. Illustration 5 Deux entreprises A et B fabriquent et commercialisent un seul et même produit qu elles vendent au même prix. L entreprise A très mécanisé emploie peu d ouvriers. L entreprise B, qui à l inverse de A est peu mécanisée, emploie de nombreux ouvriers payés à l heure et reçoivent éventuellement des primes. En 2004, les deux entreprises ont réalisé un résultat d exploitation identique égale à TND et correspondant à un chiffre d affaires TND. En 2005, l entreprise B a réalisé un résultat de TND pour un chiffre d affaires de TND. Tandis que l entreprise A avec un chiffre d affaires seulement de TND, elle a pu obtenir un résultat de TND. Les dirigeants de l entreprise B commencent à s inquiéter de la baisse de leur compétitivité et ils ont procédé à une analyse coût volume profit comparative. Le tableau suivant synthétise les comptes d exploitation des deux sociétés. Entreprise A Entreprise B Milliers de dinars CA CV MCV CF RE (dont amort 23.5) (dont amort 3) TAF 1. Déterminer le taux de marge sur coût variables des deux entreprises. 2. Calculer le point mort exprimé en valeur pour les deux entreprises. 3. Calculer le coefficient d effet de levier d exploitation des deux entreprises. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 13
14 1. Taux de marge sur coût variable MCV µ = CA µ A = = = µ B = = = Chiffre d affaires critique ou point mort en valeur CF CA0 = µ CA CA 0 A 0B 75 = = = = Coefficient d effet de levier d exploitation MCV SQ ( ) = RE 90 SA( Q) = = SB ( Q) = = 2 15 µ A > µ B, l entreprise A absorbe mieux ses charges fixes que l entreprise B. CA > CA > CA, en 2004, avec un même CA et le même RE, l entreprise A est plus A 0B proche de son point mort que l entreprise B, on vérifie sur cet exemple que la sensibilité du résultat d exploitation à la variation du niveau d activité (ou la demande) est nettement plus forte qu on est proche du point mort [S A > S B ]. S A > S B, l entreprise A est plus sensible à la variation du niveau d activité, si la demande augmente de 1% son résultat d exploitation augmente de 6%, par contre, pour B, si la demande augmente de 1% son résultat d exploitation ne varie que de 2%, et elle se retrouve en 2005 avec un résultat d exploitation plus faible que celui de A, malgré un chiffre d affaires plus important. ESCE-Manouba / Sana JELLOULI 14
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