B A R È M E. Calculs et commentaires (4 points par réponse) 8 pts. Diagnostic rédigé Problème à résoudre STRATÉGIE DE COMMUNICATION.
|
|
- David Bernard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les cafés Lobodis Durée : Coefficient : 5 heures 5 Session 2006 B A R È M E BILAN-DIAGNOSTIC Calculs et commentaires (4 points par réponse) 8 pts Baromètre 4 pts Part de voix 2 pts Bilan 15 pts Diagnostic rédigé 5 pts Problème à résoudre 5 pts STRATÉGIE DE COMMUNICATION Objectifs Positionnement Cibles Stratégie créative STRATÉGIE DES MOYENS 10 pts 7 pts 10 pts 6 pts Moyens média et hors média avec justification 20 pts Budget et calendrier 5 pts POST-TESTS Présentation et rédaction (style, orthographe) TOTAL 3 pts 5 pts 105 pts É T U D E D E C A S 1
2 1 - ANALYSE DE LA SITUATION Calcul du taux d évolution du CA en France des produits portant le label Max Havelaar entre 2003 et / 37 x 100 = 89,19 %. On accepte tout chiffre comme 76 ou 78 soit des résultats différents (problème de lisibilité de l annexe 4). Comparaison du taux d évolution du chiffre d affaires des produits sous label Max Havelaar avec celle des cafés Lobodis entre 2003 et ,5 7 / 7 x 100 = 50 %. Comme on peut le constater, les produits portant le label Max Havelaar connaissent une évolution très favorable de leur CA. Le CA de la marque LOBODIS, malgré une évolution très favorable, ne bénéficie pas totalement de la progression du label Notoriété assistée et intérêt du baromètre dans l étude de notoriété IPSOS En 5 ans, la notoriété assistée du commerce équitable est passée de 9 à 74 %. C est donc un concept connu à présent des 3 4 de la population. On note une progression de 9 points entre mars et mai 2005, qui confirmerait l efficacité de la Quinzaine du Commerce Équitable qui a lieu à cette période. Un tiers de la population seulement a entendu parler du label Max Havelaar. La hausse est très forte en mai, démontrant que ce label est un grand bénéficiaire de l opération «Quinzaine». Tout ceci tend à démontrer que la «Quinzaine» est une donnée à prendre en considération pour l établissement du plan media. - Baromètre : type d enquête périodique (répétitive dans le temps) permettant de suivre l évolution d indicateurs (notoriété spontanée, assistée, top of mind ) sur des échantillons différents mais de structure identique (il y a permanence du sujet et non de l échantillon). Ceci permet de comparer les évolutions de ces indicateurs au regard des différentes actions de communication menées au cours du temps. L intérêt est ici évident concernant la notoriété Part de voix (share of voice) du segment de marché du café équitable K / K x 100 = 9 %. La part de voix est conforme aux parts de marché additionnées de Malongo (qui a axé toute sa communication sur le commerce équitable) et de la catégorie Autres, dans laquelle se trouvent les marques de commerce équitable. Bien que très en dessous des investissements des géants de l agroalimentaire pour leurs marques de café, les dépenses de communication de ces marques sont proportionnellement proches des CA réalisés (soit 8,6 % en valeur). Rappelons, selon la loi de Peckam (ancien vice-président de Nielsen), que pour atteindre une part de marché de 10 %, il faudrait une part de voix de 15 % et maintenir ensuite une part de publicité plus forte que sa part de marché! Bilan-Diagnostic de la situation Forces et opportunités Lobodis, une référence pour le commerce équitable - C est une PME à taille humaine, produisant en France, qui concilie développement commercial et préoccupations éthiques : la politique d approvisionnement (commerce équitable), la gestion des RH (insertion de travailleurs handicapés) et le process industriel (protection de l environnement) sont cohérents avec les valeurs qu elle prône. - Pionnier du commerce café équitable en France (1993), elle entretient des relations étroites et soutenues avec les producteurs et avec les différentes associations pour le commerce équitable. - Son équipe s agrandit avec des services de mieux en mieux structurés et intègre de nouvelles compétences (traçabilité, qualité, commerciaux intégrés pour les centrales d achat ). - Par ailleurs, l expertise de la société dans le commerce équitable est reconnue par tout le secteur associatif. Un marché très en vogue Une offre de plus en plus concurrentielle et confuse - Dans un marché du café globalement stagnant en valeur, seuls les dosettes et le café équitable sont en forte croissance. - Par ailleurs, le développement des contacts et des partenariats commerciaux sont durables. - En outre, la grande distribution s intéresse de plus en plus au concept et ne fait plus écran à ce type de produit. Elle devient donc un partenaire incontournable. - Enfin, la préparation d une norme Afnor commerce équitable devrait apporter une garantie supplémentaire. Une clientèle «consomm actrice» - Le concept Max Havelaar connaît un succès grandissant auprès d une clientèle aux attentes fortes pour ces produits et en général pour cette tendance comportementale (citoyenneté, consommation responsable ). Le consommateur est motivé par une consommation engagée qui donne un sens à celle-ci. - Ce concept attire plus les femmes et les 35 ans et plus. Il intéresse davantage les actifs ayant fais des études supérieures avec des revenus relativement confortables (annexe 7). Un environnement socioculturel favorable - On constate un intérêt de plus en plus fort pour l équité et l éthique notamment dans l agroalimentaire. - Cette attitude citoyenne explique la réussite d événement comme la «Quinzaine du commerce équitable». 2 Les cafés Lobodis - Session 2006
3 Politique mercatique : un volontarisme fort et vrai Lobodis s engage pour la protection de l environnement et contre la discrimination au travail. Elle souhaite augmenter de façon significative son chiffre d affaires afin de devenir leader sur le marché. Pour cela, elle s appuie sur une traçabilité parfaite et un partenariat étroit avec les producteurs et Max Havelaar. Des stratégies mercatiques offensives sont suivies tout en restant dans l optique de l équité et de l éthique. Un marchéage efficace Des produits aux atouts incontestables - La gamme est variée en 250 g de 8 références et en dosettes (4 références). Elle est uniquement tournée vers le commerce équitable. Plus! c est le seul producteur et revendeur d une gamme de café exclusivement «commerce équitable» (même le «bio» est équitable). Ceci nous assure une crédibilité sans faille. - La légitimité sur son domaine de savoir-faire est assurée par le label Max Havelaar. - Les cafés sont de qualité, arabicas, de pure origine au goût savoureux. - Les noms des produits sont très évocateurs des lieux de production et du commerce équitable. - Maîtrise totale du produit : sélection, tri manuel, importation en direct, torréfaction, conditionnement et commercialisation. - Les packagings sont attractifs en rayon : bonne lisibilité de la spécificité «pure origine» et du label Max Havelaar. Des prix élevés mais acceptés par la cible Les prix, plus élevés que ceux des filières traditionnelles, bien qu ils constituent un frein important, assurent une crédibilité de l engagement et de la qualité. L approvisionnement : gage de qualité et d équité Les cafés sont rigoureusement sélectionnés et importés en direct et triés à la main. Ils proviennent d Amérique latine, d Afrique et des Caraïbes. D origines pures, ils relèvent d une seule dénomination de production. Les six producteurs sont plus des partenaires commerciaux que des fournisseurs, ce qui confère une démarche authentique de commerce équitable. Distribution : les GMS à convaincre Une implantation croissante dans le circuit incontournable de la grande et moyenne distribution - en partie due à l octroi de marges se situant dans la moyenne du secteur - demande à être poursuivie. Communication antérieure : manque de notoriété et d image forte Des actions hors media qui s appuient sur des partenariats (associations, liens avec Max Havelaar, événements). Des relations-presse qui s appuient sur des relais d opinion favorables. Faiblesses et menaces - Cependant, notre PME est face à des grands groupes sur le secteur café avec des investissements en marketing/ communication incomparables. - De plus, les concurrents sur le marché équitable, où viennent s installer des MDD sur le café équitable (Auchan, Monoprix) sont en augmentation et très offensifs : Alter Éco, Malongo, Éthiquable, Méo - En outre, l arrivée de nouveaux labels, dont les priorités ne sont pas celles du commerce équitable introduisent un peu plus de confusion (Rainforest). - Enfin, il faudra tenir compte de la saisonnalité du marché pour l établissement du plan media. - Cependant, on constate un décalage entre les intentions et les comportements auquel il faut y ajouter un effet prix qui représente un frein réel. - De plus, signalons un effet d âge et de génération. - Cependant, le contexte économique n est pas très favorable à l achat de produits plus chers. - Le nom «Lobodis» est dépourvu de puissance d évocation (exotisme, etc.), à la différence de la plupart des marques concurrentes, ce qui n engendre pas une image de marque forte. - Le label Max Havelaar, qui dispose d une notoriété grandissante, est une garantie pour les consommateurs. Il peut aussi «faire de l ombre» à la marque Lobodis, entraîner des confusions avec d autres produits labellisées. - La force de vente externe (agents commerciaux ou VRP) n a pas l implication d une force de vente interne, salariée de l entreprise (vente de produits différents, absence d animations en magasin, etc.) à la différence de certains de ses concurrents, MALONGO par exemple. - On constate une notoriété apparemment limitée. - De plus, il manque une image de marque propre et forte. - La communication externe est encore «confidentielle» face aux moyens importants des concurrents et axée uniquement sur le hors média. Remarques : On s attend à ce que le candidat rédige des phrases correctes, et nous propose une réelle analyse des faits constatés. Diagnostic La société Lobodis bénéficie d atouts indéniables (pionnière dans le café équitable, pure origine, etc.) pour poursuivre sa progression sur un marché qui augmente dernièrement d une manière importante. Son offre est adaptée aux attentes d un consommateur de plus en plus «consomm acteur». Mais elle a aujourd hui un déficit de notoriété. Son image ne fait pas apparaître clairement son expertise dans le commerce équitable et ne dispose pas d une image propre autre que celle liée à Max Havelaar. L augmentation considérable du marché ces dernières années favorise l arrivée de concurrents et de labels attirés par ses potentialités, même si leurs motivations ne sont pas toutes du même niveau sur les critères du commerce équitable. Problème à résoudre Comment la société Lobodis peut-elle faire émerger sa marque alors qu on assiste à l arrivée d une profusion de concurrents et de labels qui brouille le concept dans l esprit des consommateurs? 3
4 2 - STRATÉGIE DE COMMUNICATION Positionnement de communication Le positionnement doit mettre en évidence l aspect symbolique à travers l excellence des cafés 100 % équitable de LOBODIS. Cependant, devant une clientèle exigeante aux revenus confortables, pour qui un café sans saveur n est pas consommable, il est aussi nécessaire de jouer sur les aspects psychologiques du goût. Ainsi, le positionnement préconisé peut s énoncer de la façon suivante : Lobodis, le premier torréfacteur de café au goût authentique et véritablement équitable. Retrouver les notions d équitable et de goût. Justifications : Ce positionnement nous paraît judicieux car il est : - attractif : aujourd hui, les ménages sont à la recherche à la fois de produits qui induisent une autre forme d échanges et de commerce (voir les chiffres de progression du commerce équitable en France + 85 % par rapport à l année 2004) et qui offrent les mêmes exigences de qualité et de goût ; - distinctif : la marque ne vend que des cafés équitables et 100 % d origine ; - crédible : depuis 1993, la société Lobodis commercialise des cafés équitables ; elle a des contacts en direct avec les producteurs (traçabilité, origine du café, etc.) et les associations de promotion du commerce équitable ; - durable : le café équitable correspond à une tendance de fond, à une volonté de long terme d allier la citoyenneté aux échanges commerciaux dans un monde global Objectifs de communication Faire connaître - Développer la notoriété de la marque auprès de l ensemble des cibles et plus particulièrement de la cible principale (c est la volonté de base de l annonceur) ; - Faire connaître l étendue de la gamme ; - Informer le consommateur des engagements tenus par Lobodis en matière de commerce équitable. Montrer la filière équitable pour Lobodis. Faire aimer - Construire la personnalité de la marque Lobodis ; - Faire apprécier Lobodis comme le spécialiste du café d origine 100 % équitable ; - Se distinguer des marques concurrentes en créant un véritable territoire de marque équitable au-delà du label Max Havelaar ; - Familiariser les consommateurs potentiels avec la marque, lui attribuer un capital sympathie par les relations entretenues avec les producteurs ; - Faire comprendre la notion de pure origine ; - Valoriser les arômes, les provenances : le café équitable est avant tout un excellent café. Faire agir - Faire essayer les cafés de pure origine de Lobodis ; - Épauler la force de vente interne et externe dans sa démarche envers la distribution ; - Mettre en avant pour les distributeurs les spécificités de la gamme et l expertise de Lobodis afin d obtenir de plus amples référencements ; - Inciter l ensemble des influenceurs à être des relais (ou des leaders) d opinion actifs ; - Susciter des rédactionnels. 4 Les cafés Lobodis - Session 2006
5 2-3 - Cibles de communication Cible principale : les consommateurs, responsables des achats de PCS moyennes à supérieures sur la France entière. Il s agit d hommes et de femmes, de 30 ans et plus, avec ou sans enfants, habitant plutôt les agglomérations urbaines. Il s agit d un consommateur «responsable» (ne pas restreindre qu au consommateur de type BOBO trop étroit) qui a pris conscience des enjeux du commerce mondial, et de ses déséquilibres. Il recherche cependant un café savoureux, et analyse les origines de production comme conférant une spécificité de goût pour chaque café, d où son intérêt pour les labels et garanties. Il est attiré par les produits équitables et ou biologiques (démarche, traçabilité). Son achat est réfléchi. Mais il se méfie de la communication «trop commerciale» et a parfois du mal à comprendre la multitude de labels proposés. Les comportements des consommateurs (achat/consommation) sont divers (consommateur «amateur de bon café», «rationnel», «citoyen»). Cœur de cible : il s agit plutôt de femmes de 35 ans à 60 ans, de PCS +, urbaines Même si la notion de café éthique touche indifféremment les hommes et les femmes, les femmes restent davantage responsables de ce type d achat (alimentation) et fréquentent plus les GMS. À partir d un certain âge, il y a une baisse importante de la consommation (recommandation médicale, difficulté du sommeil ). Cibles secondaires Cibles externes - Les responsables des centrales d achat et les chefs de rayon café des GMS. Ils doivent être encore convaincus de l intérêt de ce type de produits en rayon, même s ils commencent à comprendre le caractère porteur de ce type de produits. - Les journalistes : favorables, ils sont parfois sur sollicités par les marques. * Presse écrite nationale : agences de presse, mensuels, hebdomadaires, quotidiens, presse quotidienne régionale, presse spécialisée : gastronomie, distribution, art de vivre, nutrition, santé, presse produits, presse TV et presse communication, presse en ligne... * Radios : publiques, privées, locales. * Télévisions : publiques et privées. - Les agents commerciaux ou VRP (une vingtaine). Ils doivent être aidés dans leur approche commerciale de la distribution. Ils souhaitent gagner en légitimité auprès des acheteurs en grande distribution face aux géants de l agroalimentaire, même si leur démarche commerciale est écoutée plus attentivement par leurs interlocuteurs. Et autres cibles éventuelles : - Responsables de guides gastronomiques (Guide Hachette des Bons Produits par exemple.) - Responsables d associations de promotion du commerce équitable ou réseaux «bio». Réseaux ciblés : à citer : Max Havelaar et Artisans du Monde, présents dans les annexes, et éventuellement : CCFD + ISF + Ritimo/CRID + Peuples solidaires + Frères des Hommes. Avec l apparition de nouvelles marques de commerce équitable, les associations font preuve de plus de neutralité mais restent toujours attentives aux discours des acteurs commerciaux. - Les responsables d associations de consommateurs : UFC (Union Fédérale des Consommateurs), et éventuellement : Orgeco (Organisation Générale des Consommateurs), ADEIC (Association d Éducation et d Information du consommateur de l Éducation Nationale...). - Les leaders d opinion gastronomie, par ex. : chefs-cuisiniers. On peut éventuellement citer les spécialistes en café qui commencent à apparaître dans les restaurants ou les boutiques haut de gamme (tels Hédiard). Cible interne : L ensemble du personnel des deux sites. Toutes solutions cohérentes et justifiées sont bien sûr acceptées, notamment celle qui consiste à présenter les distributeurs en cible principale Stratégie de création VÉRIFIER LA COHÉRENCE avec le positionnement proposé par le candidat. Promesse : Boire du café Lobodis, c est concilier le plaisir d arômes authentiques et la satisfaction de contribuer à une démarche véritablement solidaire. Preuves : - Diversité des traditions et des terroirs ; - Gamme variée de 8 cafés et 4 dosettes proposant des pures origines (pas de mélange) ; - Même les cafés biologiques sont éthiques ; - Vrai torréfacteur de café ; - Témoignages de producteurs : traçabilité (on sait d où vient le café) et respect de l Homme et des produits de la Terre. Bénéfice : La valorisation de soi à travers un acte de consommation citoyen en buvant un café savoureux et de qualité. Ton : Responsable mais aussi plaisir. Évoquer les terres d origine sans exotisme réducteur. Contraintes : - La charte graphique de Lobodis ; - Le nom Lobodis pour des raisons de notoriété ; - Le label Max Havelaar. 5
6 3 - STRATÉGIE DES MOYENS Le candidat doit OBLIGATOIREMENT justifier ses propositions. Critères d évaluation des moyens proposés par les candidats : - Cohérence avec les objectifs de communication ; à chaque objectif doivent correspondre une ou plusieurs actions. - Cohérence avec les cibles de communication : les cibles définies doivent effectivement être touchées par une ou plusieurs actions de communication. - Prise en compte du budget : il est restreint pour une campagne nationale sur un produit de grande consommation. On ne peut pas utiliser efficacement plus de 2 medias nationaux. Valoriser les solutions originales, qui se centrent autour d une action principale, plutôt que la dispersion en une multitude de supports et actions. En direction de la cible principale AFFICHAGE Affichage 4 x 3, dans les agglomérations urbaines pour développer fortement la notoriété de la marque et montrer le produit. Nous préconisons le choix d un réseau parmi Grand Angle d Avenir, Écrans 540 de Clear Chanel ou Premium de Viacom ou la possibilité d utiliser les caddies d hypermarchés (format 27 X 36) réseau National 200 de Médiaperformances pendant la semaine du goût ou la quinzaine du commerce équitable ou utilisation du réseau Proxi Malls de Clear Channel Malls : près de panneaux déroulants de format 320 X 240 à l entrée des supermarchés Champion (animation semaine du goût). Coût : environ PRESSE MAGAZINE On va communiquer en presse par des annonces-presse présentant des publi-rédactionnels où l on mettra en valeur la qualité du café (pure origine), les relations régulières et soutenues avec les producteurs (éthique), le métier de torréfacteur. La presse favorise l attention et va permettre de développer un argumentaire tout en valorisant les pays d origine (quadrichromie sur papier couché). La Presse magazine va permettre de renforcer la pression sur le cœur de cible : - féminins généralistes : Cosmopolitan, Elle, Madame Figaro, Marie France, - cuisine : Cuisine et Vins de France. 5 titres pour obtenir une couverture correcte avec une répétition de 3 insertions par titre en une vague. Coût : TÉLÉVISION Ce moyen a été utilisé par l annonceur, mais ne doit pas être exigé. NB : la télévision a constitué un moyen choisi par l annonceur pour sa campagne de novembre 2005, selon le nouveau système de négociation de l achat d espace en «low cost». Le film publicitaire a mis en scène le journaliste culinaire Jean-Pierre Coffe. L agence a recommandé les chaînes hertziennes (mais plutôt France 2, France 3 et France 5) en format court (10 secondes) et l utilisation de certaines chaînes du câble ou du satellite dont les coûts sont moindres pour accroître la pression publicitaire sur le cœur de cible et/ou les personnes proches des valeurs portées par le commerce équitable. Par exemple les supports suivants : KTO, TEVA, GOURMET TV, PLANÈTE, VOYAGE, PLANÈTE THALASSA, MA PLANÈTE, etc. La télévision va faire connaître le produit, permettre de le montrer au moment de sa consommation après le déjeuner - début d après midi). Une dizaine de spots par support est en mesure de développer la notoriété de marque. En ce qui nous concerne, nous recommanderons le parrainage d un programme court en relation avec la thématique du commerce équitable sur ces chaînes. Coût : RADIO Un média envisageable. Le candidat doit le justifier. HORS MÉDIAS Cible principale - Un site Internet : le sujet ne permet pas de savoir si le site est à créer ou à réactualiser. Il permettra : - d informer et de positionner ainsi Lobodis sur ses engagements en matière de commerce équitable ; - de présenter la gamme des produits voire les points de vente. - Animations diverses dans le cadre de la Quinzaine du commerce équitable sur un ensemble d hypermarchés partenaires. Cibles secondaires MEDIA Presse professionnelle - Annonces presse pour présenter la gamme mais aussi annoncer les futures campagnes grand public : LSA, Points de vente, Faire Savoir-Faire, Linéaires. 6 Les cafés Lobodis - Session 2006
7 Hors média - Relations presse sous forme de communiqués de presse, dossiers de presse, d invitations à des rencontres dégustations et contact pour la presse (presse quotidienne, PGI, Newsmagazines, Féminins, presse économique), les guides gastronomiques et leaders d opinion en gastronomie (restauration). - Dossiers en direction de nos partenaires : les responsables d associations. - Participation à la semaine du Goût avec un réseau de GMS volontaires mi-octobre (pour sa proximité et aussi sa clientèle). - Réalisation de fiches produit : descriptif du produit (description de la coopérative, de la variété du café), utilisables toute l année et déposés en display vers les rayons. - PLV (affichettes etc.) pour animer les rayons sur l ensemble des GMS référençant le produit et permettre le contact entre les responsables rayons et la force de vente. - Participation et rencontres lors des différents forums sur le thème du commerce équitable à l initiative des diverses associations (sur toute l année). Pour les agents commerciaux : séminaire de formation 2 fois 2 jours sur l année avec information (manuel d aide à la vente) et explication sur le commerce équitable, profiter de la présence d un producteur, visite de l atelier de Pessac, stage de dégustation animé par un caféologue, etc. Calendrier et budget en grandes masses Sept. Oct. Nov. Déc. Janv. Fév. Mars Avr. Mai Budget MÉDIAS - Affichage X Télévision X Presse magazines féminins X Presse professionnelle X HORS MÉDIAS - Internet nouveau site X X X X X X X X X Dossiers partenaires X X X X X X X X X Semaine du goût X Quinzaine Commerce équitable X Fiches produits X PLV X Séminaires, manuels X TOTAL EXIGER un calendrier de septembre à fin mai (la quinzaine du commerce équitable). 4 - RÉSULTATS Les solutions proposées doivent correspondre aux moyens de communication proposés. Une simple énumération suffit. Cependant, dans un but pédagogique, rappelons dans le détail, les différents moyens possibles. LES POST-TESTS Il s agit de mesurer les effets après coup de la campagne en termes commerciaux et de communication. Ils portent donc : - soit sur des résultats commerciaux ; - soit sur des effets de communication. LES CONTRÔLES BASÉS SUR LES OBJECTIFS COMMERCIAUX Il s agit de prendre les objectifs commerciaux (augmentation des parts de marché, du chiffre d affaires, des marges nettes, du taux de rotation des stocks, de l indice de satisfaction, diminution du nombre de réclamations, des coûts...) et de comparer leurs valeurs avant et après la campagne. Il faut donc mettre en évidence la corrélation entre les objectifs commerciaux (la variable expliquée) et les dépenses publicitaires (variable explicative). Cependant, la communication n est qu une des composantes du plan mercatique et il est difficile de mesurer quelle est la part exacte de la communication dans l accroissement de l un de ces objectifs. 7
8 LES CONTRÔLES BASÉS SUR LES OBJECTIFS DE COMMUNICATION Plusieurs contrôles peuvent être menés selon l objectif poursuivi. 1) Les contrôles de connaissance Elle se mesure par les indicateurs suivants : a) La notoriété de la marque ou de l entreprise qui se mesure à trois niveaux : - La notoriété spontanée ou pourcentage de personnes capables de citer spontanément la marque Lobodis. Ex. «Quelle marque de café équitable connaissez-vous, ne serait-ce que de nom?». - La notoriété assistée ou pourcentage de personnes qui déclarent connaître Lobodis dans une liste qui comprend cette marque. «Dans cette liste, quelles sont les marques de café équitables que vous connaissez, ne serait-ce que de nom?». - Le «top of mind» ou marque citée en premier. Le nombre moyen de marques citées spontanément ne dépassant rarement trois, il est important pour une entreprise de figurer dans le tiercé de tête. b) L impact d une campagne qui se mesure par la mémorisation et par la reconnaissance des annonces - La mémorisation spontanée (ou score spontané) mesure le nombre de personnes qui citent la marque que l on teste en posant la question «Quelles sont les campagnes publicitaires dont vous vous souvenez?». - La mémorisation assistée qui peut s évaluer au niveau du produit générique ou de la marque. Ex. : «Quelles sont les campagnes de publicité pour du café équitable dont vous vous souvenez?». Score assisté produit générique ou secteur. «Avez-vous lu ou vu une campagne de publicité pour le café Lobodis?». Score assisté marque. Ces mémorisations sont appelées encore mémorisations brutes. Mais il est possible de calculer des mémorisations prouvées en demandant de décrire la publicité en question, et, suivant le degré de précision de la description on pourra calculer : - un score général lorsque l enquêté décrit de façon très générale l annonce sans donner d éléments particuliers ; - un score spécifique lorsque l enquêté décrit avec précision l annonce en donnant un élément spécifique. Remarques : 1) Les tests énoncés ci-dessus sont des tests d annonce. Mais il est également possible de tester les médias et les supports sur lesquels sont passées les annonces. Il s agit alors de voir ceux qui sont les plus efficaces ou les mieux adaptés avec : - la comparaison de deux supports d un même média ; - la comparaison de deux médias. Cela peut se faire par une enquête en posant des questions du type : «Sur quel(s) support(s) avez-vous vu cette annonce?». 2) La compilation des résultats des tests dans des banques de données permet de calculer des scores moyens standards, auxquels peuvent être comparés les scores du spot testé. 3) Le Day After Recall (DAR) : il mesure la mémorisation du spot TV le lendemain de sa diffusion auprès d un échantillon ayant vu l écran publicitaire dans lequel était inséré le message à tester. - La reconnaissance qui consiste à présenter le message à l enquêté dans son intégralité et on lui demande de l attribuer à un annonceur. C est le score de reconnaissance (score LU/VU). Selon le niveau de reconnaissance on peut distinguer : - Le score d attribution : le message est alors présenté à l enquêté sans la marque et/ou sans éléments importants du message et on lui demande de l attribuer à un annonceur. - Le score d observation (ou brut), c est-à-dire le pourcentage de lecteurs du support qui disent avoir vu l annonce. - Le score d association, c est-à-dire le pourcentage de lecteurs qui identifient l annonceur. - Le score de lecture, c est-à-dire le pourcentage de lecteurs qui déclarent avoir lu la moitié de ce qui était écrit. Là encore des comparaisons avec des normes peuvent être effectuées. 8 Les cafés Lobodis - Session 2006
9 2) Le contrôle de l affectif Il s agit de mesurer ici si l annonce nous a plu ou pas ainsi que l image ou le positionnement véhiculés par elle. On mesure pour cela : - L agrément de l annonce : on demande à l enquêté de dire pour chaque annonce, si elle lui plaît ou non. On calcule ainsi des scores d agrément positifs ou négatifs qui peuvent être comparés aux normes. Plus précisément il est possible aussi de dresser des profils d image de l annonce par des échelles sémantiques différentielles d Osgood telles que : Classique () () () () () () () Originale Sympathique () () () () () () () Antipathique Féminine () () () () () () () Masculine Ambiance chaude () () () () () () () Ambiance froide Douce () () () () () () () Agressive Compréhensible () () () () () () () Incompréhensible Attirante () () () () () () () Repoussante Gaie () () () () () () () Triste Inspire confiance () () () () () () () Inspire peu confiance Le problème réside ici dans le choix des attributs. - L image, le positionnement : on demande à l enquêté, après présentation de l annonce, de noter une liste d attributs sur des échelles d attitudes ou sémantiques différentielles d Osgood. Le problème réside là aussi dans le choix de ces attributs. On évalue ainsi le profil d image véhiculé par l annonce. Ex. : Goût savoureux () () () () () () () Goût moins savoureux Café de terroir () () () () () () () Café plus banal Café de tradition () () () () () () () Café industriel Cher () () () () () () () Bon marché La mesure de ces indicateurs se fait le plus souvent par les méthodes suivantes : Folder, fausse revue, AMO associées à des enquêtes par questionnaires. Remarques : la loi du souvenir : le degré de mémorisation du message est lié à la répétition. Ainsi, si 10 % se souviennent du message, 90 % ne s en souviennent pas encore. Au deuxième passage, 10 % des 90 % s en souviendront. 10 % est alors le taux de mémorisation qui est appelé béta. 3) Le contrôle du passage à l action Le contrôle paraît a priori plus rationnel. Il s agit de mesurer le passage à l acte induit par l annonce. Les outils diffèrent selon le type d action recherché. En effet on ne mesurera pas de la même façon une demande d information ou d essai qu un passage à l acte d achat ou encore s il s agit d une intention d achat ou un acte effectif. Pour les intentions d achat il est possible de demander à l enquêté de dire s il envisage d acheter ou d essayer prochainement le produit. Pour plus de précision on peut établir des échelles de préférence. Pour l acte effectif, cela peut se faire par simple comptage des coupons-réponses ou de bulletins de participation, par le suivi de panels de consommateurs et de détaillants avant et après la campagne, par des études média-produits ou encore par la mise en place de marchés-tests qui consistent à comparer un secteur test (soumis à la campagne) à un secteur témoin (où la campagne est inexistante ou tenue à son niveau habituel). Attention il faut comparer ce qui est comparable. Nous pouvons également proposer : de mesurer les connexions sur le site web ; d analyser les retombées presse ; de mesurer la présence aux conférences, etc. LES BILANS DE CAMPAGNE Dans un bilan de campagne, on mesure l efficacité de la communication publicitaire par une série d indicateurs présentés précédemment. Cela se fait avant et après chaque vague de campagne par des enquêtes omnibus ou ad oc. Cela permet de suivre dans le temps l évolution de ces indicateurs en fonction de la pression publicitaire et de déduire notamment des seuils d efficacité en fonction des investissements publicitaires. Ainsi pour une campagne on saura que l investissement publicitaire en deçà de trois contacts a une efficacité moindre qu entre trois et six et qu au-delà le gain d efficacité est pratiquement nul. 5 - LE «TRACKING» PUBLICITAIRE OU LE POST-TEST EN CONTINU Les effets d une campagne publicitaire doivent intégrer la durée et prendre en compte l environnement publicitaire concurrentiel. C est ce que propose la technique du «tracking» publicitaire qui peut se traduire en français par la mesure de la trace publicitaire. Les relevés d informations sont alors systématiques dans le temps afin de connaître les effets d une campagne sur le long terme y compris pendant les périodes de non-communication. Plus performant que le posttest, le «tracking» permet d anticiper les résultats d une campagne et devrait s imposer rapidement malgré son coût. 9
Veille Opérationnelle Chapitre 5 Mesure de l efficacité des moyens de communication
Annonce presse, spot télé, affichage Évalue ensemble de la campagne I) Définitions Pré-tests : ce sont des études qualitatives portant sur des projets et soumises à un public limité représentatif de la
Plus en détailCLEAR CHANNEL MONITOR. L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes
CLEAR CHANNEL MONITOR ou L efficacité de vos campagnes en Publicité Extérieure analysée sous toutes leurs composantes Mieux comprendre le média, réussir vos campagnes! Fort de partenaires référents dans
Plus en détailDe ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication
De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente
Plus en détailLe déroulement de l animation
10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés
Plus en détailLe développement de la franchise dans le Groupe Casino
Le développement de la franchise dans le Groupe Casino Dossier de presse 1 Communiqué de presse Le groupe Casino mise sur la franchise pour accélérer le développement de ses enseignes de proximité Mars
Plus en détailDeuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation
Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation de masse depuis 50 ans. Actuellement, il représente 20% de la consommation en boissons, pour une consommation annuelle
Plus en détailLA POLITIQUE DE COMMUNICATION. Une entreprise peut vendre un produit sans publicité mais pas sans communication. Myriem Le May COMEIT
LA POLITIQUE DE COMMUNICATION Une entreprise peut vendre un produit sans publicité mais pas sans communication La communication est l'ensemble des actions permettant de faire connaître les produits et
Plus en détailL évaluation de la performance de la communication media
L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité
Plus en détail«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»
«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication
Plus en détailRappel situation marché
Proposition 2011 Rappel situation marché Un marché légèrement en hausse en volume en 2009 La France continue à perdre des points comme les VQPRD Les consommateurs sont plutôt fidèles aux prix et aiment
Plus en détailB.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché
B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché Première partie : Analyse du marché à partir des annexes 1
Plus en détail29 mars 2012. Support de correction : Grille d évaluation. Observations générales relatives à l évaluation des copies
51 ème Concours National de la Commercialisation 29 mars 2012 Support de correction : Grille d évaluation Observations générales relatives à l évaluation des copies Le sujet du concours 2012 porte sur
Plus en détail72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!
Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher
Plus en détailEtude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise
Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière
Plus en détailProduits laitiers de ferme
Produits laitiers de ferme Produits laitiers de ferme CRIOC, novembre 2008 Agenda 1. Objectifs 2. Méthodologie 3. Consommation de produits laitiers de ferme 4. Perception des produits laitiers de ferme
Plus en détailSmartCapsule. Smart Capsule. La nouvelle offre «infomerciale» qui donne plus de sens à votre communication!
La nouvelle offre «infomerciale» qui donne plus de sens à votre communication! by , une offre de Powerfulmédia Depuis plus de 25 ans, le groupe Maniacom, avec ses filiales Top Médias et Powerfulmédia,
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailDEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing
2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B
Plus en détailOuverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise.
Ouverture d'un point de vente L étude de la zone de chalandise. La zone de chalandise : une zone géographique de captation La zone de chalandise, ou zone d attraction, est le territoire géographique dans
Plus en détailCommuniquez différemment
Communication Relations Presse E-Marketing Formation Communiquez différemment www.delphicominternational.com L Agence Notre vision Expertise Réactivité Delphine Sabourault Proximité Delphine Sabourault
Plus en détailChapitre IV. Etude de cas café équitable café Meo & café Malongo.
Chapitre IV Etude de cas café équitable café Meo & café Malongo. 4. Stratégie marketing Produit café équitable. 4.1. Définition du produit: café du commerce équitable. Les cafés du commerce équitable sont
Plus en détailPas d installations ou d équipement particuliers.
COURS MAM1010 : Niveau : Préalable : Description : Paramètres : MARKÉTING ET GESTION Débutant Aucun L élève acquiert des notions de base en gestion et en markéting et donne des indications sur les meilleures
Plus en détailPLAN D ACTIONS COMMERCIALES La feuille de route de l'entreprise
PLAN D ACTIONS COMMERCIALES La feuille de route de l'entreprise Note préliminaire : Le plan d'actions commerciales est un document interne à l'entreprise, ayant pour objectif de présenter et de rationaliser
Plus en détailLes Français et le courrier publicitaire. Rapport
Les Français et le courrier publicitaire Rapport Sommaire 1. Présentation de l'étude 2. Principaux enseignements 3. Résultats détaillés 4. Les habitudes en termes de courrier 5. Appréciation des différents
Plus en détailL unité commerciale X&Y «Fidéliser la clientèle»
Exemple de dossier de PDUC L unité commerciale X&Y «Fidéliser la clientèle» NB1 : Le dossier doit comporter 10 pages : passer en annexes les documents qui prennent trop de place dans le dossier (ex : Etude
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailVendre son champagne sur internet
dossier P.13-17 Vendre son champagne sur internet De nombreuses études le montrent : le commerce en ligne se porte bien et devrait continuer à croître sur les deux prochaines années. Ainsi, la Fédération
Plus en détailFormation PME Etude de marché
Formation PME Etude de marché Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les business-tools, aller sous www.banquecoop.ch/business L étude de marché ou étude marketing
Plus en détailNos savoir-faire & solutions business
Passionnés de gastronomie et de voyages, ses fondateurs se sont inspirés de leur expertise dans l univers agro-alimentaire pour créer DESTINATION en 1999, une entreprise à taille humaine et éco-responsable,
Plus en détailNESPRESSO ÉTUDE DE CAS
NESPRESSO ÉTUDE DE CAS PROBLÉMATIQUE «Comment transformer un produit usuel, le café, en un produit haut de gamme?» PLAN Introduction I Nespresso, une filiale de NESTLÉ au concept novateur II NESPRESSO,
Plus en détailachat shopping fidèlisation animation magnétic communication magnétic communication magnéti CENTRES COMMERCIAUX VILLAGES trafic DE MARQUES
achat animation fidèlisation shopping CENTRES COMMERCIAUX & DE MARQUES VILLAGES trafic Partenaire des Centres Commerciaux La promesse d un centre de vie Aujourd hui, les centres commerciaux évoluent dans
Plus en détailA. Le contrôle continu
L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat
Plus en détailAdWords Faites la promotion de votre entreprise sur Google avec MidiMédia
Faites la promotion de votre entreprise sur Google avec MidiMédia Nous créons vos annonces Nos experts, créent vos annonces et choisissent des mots clés qui sont des mots ou des expressions en rapport
Plus en détailLe rôle sociétal du café en entreprise
Le rôle sociétal du café en entreprise Fort de son expertise café, Nespresso Business Solutions a conduit avec l organisme IFOP une étude sur la place et le rôle du café en entreprise, et en dévoile les
Plus en détailProjet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730
PLAN DE COMMUNICATION APRÉS-LIFE Projet Collect+ LIFE 11 INF/FR/000730 Sensibilisation au recyclage des produits usagés SECTION I: APERCU DU PROJET LE PROJET Le projet COLLECT+ est mené par l un des leaders
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailPRISMA OFFRE SÉMANTIQUE
PRISMA OFFRE SÉMANTIQUE LA SÉMANTIQUE & LE DIGITAL Les internautes parlent des marques et de leurs usages de manière spontanée dans leurs échanges. Mais cette voix du consommateur est souvent sous exploitée
Plus en détailCATALOGUE FORMATION LA FRANCHISE. L Académie de la Franchise L ACADEMIE DE. Le socle de vos savoir-faire, le tremplin de votre succès
CATALOGUE FORMATION L Académie de la Franchise Le socle de vos savoir-faire, le tremplin de votre succès L Académie de la Franchise L ACADEM LA FRANC L Acad de la F UTURS FRANCHIS FUTURS FRANCHISÉS DEVENIR
Plus en détailLimites. Problèmes trouvés et propositions de solutions
Conclusion Limites Pour faciliter la compréhension de la conclusion et pour qu elle soit plus utile aux entreprises, la rédaction de chaque point abordé sera analysée sur deux axes importants. D un côté,
Plus en détailGUIDE DE COMMUNICATION. Optimisez votre participation au Salon Saveurs 2013
GUIDE DE COMMUNICATION Optimisez votre participation au Salon Saveurs 2013 1 En détails dans les pages qui viennent LES OUTILS DE COMMUNICATION GRATUITS... Page 3 Pour vos clients & invités. Page 3 - Communiquez
Plus en détailBaromètre Annonceurs Mobile
Baromètre Annonceurs Mobile Introduction Faire un état des lieux de la perception et de l intégration du média mobile dans les stratégies média des annonceurs. Développer 4 points clés et répondre en écho
Plus en détailCOMMERCE ÉQUITABLE ET POLITIQUES D ACHAT DES ENTREPRISES. Quels leviers pour l intégration du commerce équitable dans les achats des entreprises?
COMMERCE ÉQUITABLE ET POLITIQUES D ACHAT DES ENTREPRISES Quels leviers pour l intégration du commerce équitable dans les achats des entreprises? CONTEXTE ET DÉROULEMENT DE L ÉTUDE Objectif : identifier
Plus en détailLE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel
LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition
Plus en détailDécrivez le micro-environnement de l entreprise, puis son macro-environnement.
THÈME 1 L environnement de l entreprise EXERCICE 1 Environnement et marché Vous êtes un des leaders mondiaux sur le marché du café, vous avez su développer depuis des années de nouveaux produits pour vous
Plus en détailCHARTE. d utilisation de la marque Sage par les partenaires
CHARTE d utilisation de la marque Sage par les partenaires division pme 2010 Sommaire Introduction 3 I. Les marques Sage 4 II. Les logos 6 a. Le logo Sage 7 b. Les logos liés à un agrément 9 c. Les logos
Plus en détailGUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année
GUIDE DU TUTEUR Ce guide est complété par le tuteur durant la première année de BTS. Une copie doit être fournie au professeur et à l étudiant ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC Management des Unités Commerciales
Plus en détailLa marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global
La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine
Plus en détailDORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence
DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau
Plus en détailLes stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL
Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?
Plus en détailpanel des sites e-commerce romands de vente de vin
panel des sites e-commerce romands de vente de vin Les suisses sont de très grands amateurs de vin. Selon une étude récente ils sont même parmi les plus grands consommateurs de vin au monde. Nous avons
Plus en détailNote partielle sur le E-Commerce
Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne
Plus en détailBaromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne
Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne Contact Afci Aurélie Renard Déléguée Générale de l Afci arenard@afci.asso.fr Contacts Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé pôle Opinion
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailNotions de marketing en restauration. Présentées par Katia Velayos et Jocelyn Grivaud
Notions de marketing en restauration Présentées par Katia Velayos et Jocelyn Grivaud Introduction Formation sur le marketing appliqué aux futurs métiers de nos élèves. L objectif est de vous aider dans
Plus en détailDossier d'informations précontractuel Franchise Eric Léturgie Coiffure
Dossier d'informations précontractuel Franchise Eric Léturgie Coiffure 1/ Préambule p.2 2/ Concept de la franchise p.2 3/ Formule de la franchise A/ Aide au démarrage p.3 B/ Gestion au quotidien p.4 C/
Plus en détailObservatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010
Observatoire des Moyens de Communication (OMC) Rapport de résultats - Vague 1 Mars 2010 Sommaire 1. Présentation de l'étude p. 3 2. Résultats détaillés p. 6 3. Le contexte : attitudes envers les marques
Plus en détailMaster international de Management des Médias à distance. Organisation pédagogique de la formation
Master international de Management des Médias à distance Organisation pédagogique de la formation Session 2014/2015 Table des matières Organisation pédagogique... 1 UE 1 : Histoire, économie et mondialisation
Plus en détailPLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente)
COURS N 4 : LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION COURS DE MARKETING / Cours n 4 : La politique de distribution --> MSG / IAE --> Novembre 2005 1 --> Introduction --> Les fonctions de la distribution --> Canal
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailIUT Info-Com 2 ème année LE MARKETING DIRECT. Sandrine Michel. Formation 2012. sandrine.michel@gmail.com
Sandrine Michel 1 LE MARKETING DIRECT Formation 2012 sandrine.michel@gmail.com Objectifs : Comprendre ce qu est le marketing direct Comprendre comment il s inscrit dans le secteur de la communication Connaître
Plus en détailSOMMAIRE. > Notre premier concurrent. > Notre second concurrent.
SOMMAIRE I. Etude de marché. > Le marché du chocolat en France. > La marque. > Les points forts de la marque. > Les différents produits de la marque. > Les action menées par la marque. II. Etude de la
Plus en détailVins d Alsace. Recommandation actions Chine 2009
1 Vins d Alsace Recommandation actions Chine 2009 Les vins d Alsace aujourd hui 2 Un fort potentiel Un savoir-faire traditionnel Une véritable culture autour du produit et une identité régionale forte
Plus en détailFiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export
Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailDigital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014
Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte
Plus en détailAspirations et valeurs
Communiquer avec les électeurs Un exposé consiste d'un énoncé de cinq à sept paragraphes qui offre une rationale complète et cohérente en faveur du candidat et qui établit un lien entre l'histoire personnelle
Plus en détailwww.mediasurvey-dz.com Présentation de l agence
www.mediasurvey-dz.com Présentation de l agence Présentation de l agence Agence de communication globale (360 ). Un conseil 100 % local, une expertise média en développement depuis 2011. Différents pôles
Plus en détailAnalyse en temps réel du trafic des Internautes
Analyse en temps réel du trafic des Internautes Toute entreprise doit être en mesure d analyser le trafic de son site web et d obtenir une vue précise de son efficacité en temps réel SOMMAIRE Aperçu p.
Plus en détailMICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau secteur géographique
Session 2013 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : Management et gestion d activités commerciales VERSION 23 MAI 2013 MICHEL ET AUGUSTIN DOSSIER 1 : Conquérir un nouveau
Plus en détailMobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.
Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment
Plus en détailExemple de problématiques
Les prescriptions d achat émises par les internautes sur les sites d opinions de consommateurs jouissent-elles d une crédibilité suffisante pour déstabiliser les journaux consuméristes? H1 : Les sites
Plus en détailLa relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.
Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client
Plus en détailCe document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la
Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2012 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté
Plus en détailProgramme détaillé BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES. Objectifs de la formation. Les métiers. Durée des études DIPLÔME D ETAT
Objectifs de la formation Le BTS Management des unités commerciales a pour perspective de vous permettre de prendre la responsabilité de tout ou partie d une unité commerciale. Une unité commerciale est
Plus en détailINTRODUCTION AU MARKETING
INTRODUCTION AU MARKETING L avènement du marketing Le marketing est une fonction dont l aboutissement est le résultat d un long processus de développement de l entreprise. Phases principales identifient
Plus en détailLes jeunes et l'argent Vague 2
Les jeunes et l'argent Vague 2 Etude publiée pour Axa Banque Mars 2015 Sommaire 1 4 L argent, un univers d évocation ambivalent pour les jeunes 7 Des jeunes qui affichent un certain optimisme pour l avenir
Plus en détailDémarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension
Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détail- Les prestations Les enquêtes par téléphone Le télémarketing Les télé-services La formation aux métiers de la relation client à distance
SOMMAIRE - Qui sommes-nous? - Les prestations Les enquêtes par téléphone Le télémarketing Les télé-services La formation aux métiers de la relation client à distance - Les moyens L équipe L encadrement
Plus en détailCharte One Heart Spots
Charte One Heart Spots Bienvenue sur les One Heart Spots Merci d avoir choisi notre application mobile. Ce service est fourni par la SAS One Heart Communication (OHC), implantée à Paris (75009), au 2 rue
Plus en détailChap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :
Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailLA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION
LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à
Plus en détailBientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.
www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population
Plus en détailWebmarketing, révolution ou évolution?
Webmarketing, révolution ou évolution? Jean-Louis Chandon Mohamed Saber Chtourou L une des questions que nous nous sommes posées avant d aborder cette étude est la suivante : qu est-ce qui justifie l utilisation
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailComment faire parler les chiffres
Sondages d opinions Comment faire parler les chiffres Sept règles d or à l usage des journalistes et des communicants pour utiliser les données d un sondage d opinions sans se tromper ni tromper son audience
Plus en détailLes Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques
Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant
Plus en détailLa définition La méthode. Les échelles de mesure L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE
L ENQUETE PAR SONDAGE : LA METHODE La définition La méthode Le questionnaire Les biais La passation du questionnaire La validité des réponses Les échelles de mesure Les échelles d évaluation Les échelles
Plus en détailParis, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire
Introduction Paris, 9 heures du matin, siège social d une multinationale agroalimentaire Paul, chef de produit, s est réveillé ce matin avec un mauvais pressentiment qu il ne parvient pas encore à expliquer.
Plus en détailLes conditions de fiabilité des études online
Les conditions de fiabilité des études online Le Club Études et Internet Ambitions du «club études et internet»: Engager des programmes de «Research on Research» Diffuser et partager les résultats Identifier
Plus en détailNext Level 2. avec L OBSERVATOIRE DE REFERENCE DES GAMERS COMPORTEMENTS DE JOUEURS ET D ACHETEURS. 18 Octobre 2012
Next Level 2 L OBSERVATOIRE DE REFERENCE DES GAMERS COMPORTEMENTS DE JOUEURS ET D ACHETEURS avec 18 Octobre 2012 Un marché qui quadruple en 10 ans CA en M 45 000 40 000 35 000 30 000 25 000 20 000 Consoles
Plus en détailSONDAGE DE LA PRESSE ET DES MÉDIAS EN LIGNE 2014
SONDAGE DE LA PRESSE ET DES MÉDIAS EN LIGNE 2014 d augmenter votre couverture médiatique. 3 Introduction 4 Perspectives d évolution 6 Presse 8 Médias en ligne 18 Médias sociaux 21 Fournisseurs de contenu
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailLucie, Laurent et Elodie
Lucie, Laurent et Elodie Elo Relations Publiques D éf n itio n Les relations publiques se défnissent comme un ensemble de techniques de communication destinées à donner une image favorable à une personne
Plus en détailPlanification stratégique
Le marketing des services financiers Guide d auto-apprentissage LEÇON 3 Planification stratégique Objectif: Présenter la logique de la segmentation du marché et expliquer de quelle façon la décision relative
Plus en détail