Conférence : LOUVRE HOTELS GROUP

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Conférence : LOUVRE HOTELS GROUP"

Transcription

1 Mardi 25 Mars 2014 Office du Tourisme et des Congrès de Paris Conférence : LOUVRE HOTELS GROUP Thème : internationalisation et asset management de Louvre Hotels Groupe Conférence menée par Mathieu EVRARD, Directeur Exécutif du Développement et de l Asset Management Conférence retranscrite par les étudiants en M1 GATH

2 Sommaire I. La présentation de Louvre Hotels Group et de ses marques... 3 II. L internationalisation du groupe Cas l Allemagne : la financiarisation Autre cas l Afrique... 6 III. Asset management... 8 IV. Questions

3 Ancien étudiant à l IREST (en Stratégie Touristique et Hôtelière (ancien GATH) en 2004), Mathieu Evrard est, aujourd hui, Directeur Exécutif du Développement et de l Asset Management chez Louvre Hotels. Chez Louve Hotels depuis 2007, Mathieu Evrard était tout d abord en charge des acquisitions d hôtels puis a évolué pour s occuper du développement international, de la direction technique et de l asset management. L asset management consiste à gérer le portefeuille d actifs du groupe. I. La présentation de Louvre Hotels Group et de ses marques Louvre Hotels appartient au top 10 des groupes mondiaux (et 2ème groupe français après Accor) et possède un portefeuille de hôtels dans le monde à travers 45 pays soit chambres sous 6 marques allant de l économique à l hôtellerie 5 étoiles. Ces marques sont les suivantes : Première Classe, Kyriad, Campanile, Tulip Inn, Golden Tulip et Royal Tulip. Le groupe est très présent en Europe avec hôtels et aussi présent en Asie Pacifique, au Moyen-Orient (où il est le troisième opérateur), en Afrique (le nouveau centre émergeant pour l hôtellerie d affaire) ainsi qu en Amérique du Sud (où il est le troisième opérateur au Brésil). L Europe et l ensemble des pays émergents, en raison de leur forte croissance, sont un élément de motivation pour l internationalisation du groupe. Le plus gros du segment de marché est représenté par l hôtellerie 3 et 4 étoiles. Première Classe et Campanile sont des produits similaires, quant à Kyriad Prestige, il s agit du label de marque Kyriad qui n est plus une marque à part entière pour des raisons de synergie marketing. Enfin, la marque chapeau Golden Tulip se positionne sur du moyen de gamme, tandis que Tulip inn est 3 étoiles et Royal Tulip 5 étoiles. La différence entre un hôtel standardisé et non standardisé réside, majoritairement, dans l expérience du client au niveau local. Au sein des marques économiques du groupe, on standardise davantage en offrant une chambre complète avec tous les services au meilleur prix (la standardisation permet de mieux contrôler les coûts et donc de réduire les prix). Cette standardisation permet d obtenir une meilleure maîtrise des coûts. A l inverse, pour l hôtellerie 5 étoiles, l expérience client devient qualitative recherchant alors une expérience unique autrement dit loger dans un petit cocon avec une insertion locale tout en profitant pleinement de l ensemble des services. Mathieu Evrard donne l exemple suivant : un client ne s attend pas à une expérience à «l américaine» lorsqu il se rend dans un hôtel 5 étoiles au Maroc. Différence entre les différentes catégories d hébergement chez Louvre Hotels. Concernant les hôtels 5 étoiles, on retrouve un certain nombre de standards opérationnels ainsi qu une plus grande flexibilité sur le design. En milieu de gamme, le mix des deux (standardisation et non standardisation) s impose. Par exemple, chez Campanile, on s adapte sur le Food and Beverage, c est-à-dire que le groupe propose à sa clientèle une restauration différente en fonction de l emplacement de l hôtel (par emplacement on entend : centre-ville, périphérie urbaine), alors que les chambres sont très standardisées. Par définition, les marques Kyriad, Tulip Inn et Golden Inn sont non standardisées. 3

4 II. L internationalisation du groupe En 2007 le groupe possédait 800 hôtels en gestion et 7 % à l international. Aujourd hui, le groupe connait une forte expansion avec hôtels et 30 % à l'international. Le processus d internationalisation débute à partir d opportunités sur un pays ou une région en fonction des attentes des clients, le groupe se positionnera sur du moyen de gamme ou du haut de gamme. Par conséquent, il convient de s interroger sur la clientèle, la cible et l opportunité pour un groupe comme celui de Louvre Hotels. Le segment de prédilection du groupe est le segment affaires bien que Louvre Hotels possède quelques resorts qui s adressent à une clientèle loisir. En dehors des resorts, la clientèle loisir est considérée comme un complément pour le groupe. Le développement du groupe : Louvre Hotels se place dans le top 10/15 des groupes hôteliers avec une forte présence dans ce classement de groupes américains en raison d une base hôtelière conséquente aux Etats-Unis. L émergence depuis deux ans de groupes hôteliers chinois est également à prendre en compte avec un rythme d ouvertures d hôtels entre 200 et 400 hôtels par an, exemple de groupe chinois : Home Inn. Aujourd hui, hôtels soit 30 % du parc hôtelier de Louvre Hotels est situé en dehors de la France, à l international, contre 7 % en 2007, grâce à des opportunités de développement dans les pays émergents. En 2007, le groupe ouvrait 4 hôtels par an, aujourd hui, on dénombre 70 ouvertures dont 20 en France (et aussi 141 hôtels en pipeline, c'est-à-dire qu ils sont signés mais pas encore ouverts). Ces chiffres se traduisent par une moyenne de 10 % par an d augmentation du rythme de croissance devenant ainsi un challenge pour l internationalisation du groupe et des groupes hôteliers en général. Le groupe va donc chercher des opportunités chez les pays émergents. Mais, comment attaquer ces pays pour un groupe hôtelier français? Telle était la feuille de route de Le groupe s est rendu compte qu il ne pouvait pas être crédible c est-à-dire qu il ne pouvait pas lever des fonds suffisants pour faire des investissements offensifs. De ce fait, il a fait des acquisitions avec Golden Tulip afin de faire passer le groupe Louvre Hotels, initialement sur de l hôtellerie économique, à un groupe gérant un ensemble de gammes. Le groupe Golden Tulip avait un gros portefeuille aux Pays-Bas et Moyen-Orient (40 hôtels) ainsi que des petits portefeuilles partout dans le monde (entre 2 et 5 hôtels en Inde, au Brésil, en Afrique, en Chine). Les avantages sont les suivants : Se positionner sur du moyen de gamme et sur du haut de gamme Economiser 5 ans d investissement local sur les pays émergents en achetant un potentiel Le groupe Golden Tulip était en quasi faillite (redressement judiciaire), il a fallu deux ans pour redresser le groupe et recréer une dynamique de confiance à l égard des investisseurs en générant du potentiel. Louvre Hotels a transformé l essai en étant un acteur crédible sur l ensemble des marchés. 4

5 Le processus d internationalisation avec le cas de l Allemagne : les groupes hôteliers sont très peu présents sur ce marché. Pourtant, l Allemagne est le deuxième marché européen disposant d une stabilité économique et d une industrie importante, et est donc un des drivers de l économie européenne. Dans un contexte social similaire, en Angleterre, le taux de pénétration des chaines est de 65 % pour l hôtellerie économique et 50 % pour l hôtellerie super économique alors qu en Allemagne on dénombre à peine 10 % d hôtellerie de chaine. L Allemagne est sous pénétrée en terme d hôtellerie de chaine. Sur le marché allemand, le RevPar de l hôtellerie économique est de 34 euros, soit 2 euros de différence entre un hôtel économique et un hôtel moyen de gamme tel un Mercure. Par contre, le cout d investissement diffère de 30 % entre l hôtellerie économique et moyen de gamme. L hôtellerie moyenne gamme est complètement «sous pricé» : on peut loger dans un 4 étoiles à Berlin pour 90 euros. Le segment à cibler et donc l opportunité revient à la marque Première Classe, appuyée par une stabilité et un tissu industriel important en Allemagne : c est un terrain de jeu exceptionnel. 1. Cas l Allemagne : la financiarisation Depuis 2005 Louvre Hotels a été racheté par Starwood Investissement à la famille Taittinger lors d une acquisition globale avec un haut levier de financement. Starwood Investissement compte sur Louvre Hotels pour rembourser cette dette impliquant une contrainte financière extrêmement forte (c'est-à-dire que Louvre Hotels, alors qu il est en pleine expansion et a besoin de cash pour s épanouir, ne possède aucune trésorerie). Une fois l opportunité de croissance ciblée, on cherche les cibles et on monte des instruments de financement. L implantation de Première Classe en Allemagne a été découpée en trois phases avec une ambition globale de 50 hôtels pour un montant d investissement de 350 millions d euros. Phase 1 : conversion d un test et d une opportunité de marché 3 hôtels avec 20 millions d euros d Investissement dans les villes de Munich, Francfort et Düsseldorf. Reste à savoir à qui je peux le vendre : qui va nous accompagner sur cette prise de risque, plus particulièrement les investisseurs français qui connaissent Première Classe et l Allemagne (avec une implantation dans ce pays par exemple) puis vient alors le cours d acquisition des premiers terrains. L opportunité étant le bas de gamme : la croissance s organise avec une acquisition de terrains puisque le marché est sous-équipé. Phase 2 : déploiement du succès potentiel de ces trois premiers hôtels entrainant l envie de surfer sur leur risque d entrée (premier à rejouer si ça marche bien avec un droit de présence donnant les 7 hôtels suivants) Phase 3 : 40 hôtels : déjà dix hôtels en Allemagne et chiffres réels sur construction et opérationnel donc pourra s adresser à des investisseurs institutionnels qui ne sont pas prêts à prendre un risque sur les premières phases 5

6 La création d une société immobilière qui investit dans les trois premiers hôtels : holding pour diluer la prise de risque des investisseurs on a titrisé ces fonds propres auprès d investisseurs ciblés. Pour sécuriser ces investissements, la création d une société d asset management sur l ensemble des hôtels avec des procédures, une gouvernance sur la prise de décision pour gérer les investissements (marque, gestion opérationnelle, business plan). Louvre Hotels est minoritaire sur la stratégie mais l Allemagne permet d assoir son statut européen. Un autre segment est à prendre en compte sur l Allemagne : le segment moyen de gamme. Sur ce segment, il y a trop d offres par rapport à la demande donc les RevPar sont resserrés puisque chacun cherche à avoir des parts de marché. Aujourd hui, on assiste à un retournement de cycle : la rigueur allemande et le conservatisme allemand font que tout le monde croyait à cette stabilité en «pricant» très cher, le retournement de cycle, cet effet de levier, fait qu un certain nombre d hôtels se retrouve en déficit financier. Une deuxième opportunité s offre à eux : les investisseurs et les banques demandent à trouver des solutions car le marché est sous pénétré en chaine donc l objectif en tant que chaine hôtelière est de se porter acquéreur d hôtels. Il s agit donc d un autre véhicule d investissement (différent de Première Classe) pour Louvre Hotels, qui est minoritaire et coinvestisseur majoritaire sur des sites d acquisition avec pour objet de faire de la rénovation (repositionner sur segment haut du marché et les passer sous enseigne, améliorer le chiffre d affaires, le marketing et autres, améliorer les outils opérationnels en appliquant ses techniques à hôtellerie moyenne gamme en Allemagne. Question de François-Xavier DECELLE, professeur à l IREST : Le taux de pénétration des chaînes est faible en Allemagne, mais est-ce que c'est comme en France avec pas mal de chaînes en économique et HG sans trop de moyen de gamme? Réponse de Mathieu Evrard : Non pas du tout, en Allemagne c'est l'inverse on a beaucoup de chaînes de milieu de gamme contre BnB et Motel1 seulement en économique et quelques grands groupes en HG. 2. Autre cas l Afrique Avant d aller sur le marché il faut l analyser. On peut retenir deux éléments macroéconomiques importants concernant l Afrique : 1. Il n y a pas UNE Afrique. Il convient d analyser qui sont les acteurs, la région émergente malgré une fragmentation et une complexité importantes car un grand nombre de ces pays ont une culture et une langue différentes. Par ailleurs, un grand nombre de disparités subsistent, l Afrique du Sud était un pôle économique très structuré sur la partie sud donc sans opportunité d affaires. Les recherches se sont orientées sur : Le Maroc et autres pays du Maghreb en séparant le Maroc du reste du Maghreb L Afrique de l Ouest en raison de sa connexion avec la France puisqu il s agit de la partie Francophone et Anglophone 6

7 2. L instabilité sur le plan politique économique et sécuritaire et d un point de vue global, on retient une ville par pays deux maximum, pour y développer des hôtels ; à part deux exceptions dans lesquelles on a un vrai potentiel économique. Ces deux exceptions sont le Nigeria et l Angola en raison respectivement d une forte production pétrolière avec un réseau de villes et d une activité portuaire conséquente. Ensuite, il convient de savoir quelle clientèle se rend là-bas. Comme un billet d avion coûte entre et euros il s agit d une clientèle de cadres voire d expatriés souhaitant bénéficier des économies africaines pour déployer l export, le segment économique est par conséquent inapproprié. On sait donc qu on ne va pas y développer de Première Classe. On sait aussi que le luxe ne s est pas encore beaucoup développé en Afrique et qu il y a donc peu de clientèle sur ce segment : Royal Tulip ne serait donc pas rentable dans ce secteur. La stratégie du groupe s est donc tablée sur le 4 étoiles (comme Golden Tulip) car elle offre des standards internationaux, des services permettant aux clients de tout faire sur place sans avoir besoin de sortir du resort et donc d être en sécurité. Louvre Hotels a un peu limité sa prise de risque sur des pays à forte volatilité c est à dire gros rendement mais aussi «grosse pomme» dans le cas où il se planterait. D autres problèmes demeurent, par exemple : un sénégalais qui ne veut pas traiter avec un ivoirien (investissements). Yana MUSHCHITSKAYA, étudiante en M1 EDTI : Et la démarche est pareil pour les BRICS? Réponse de Mathieu Evrard : La démarche intellectuelle oui mais sinon on regarde au cas par cas. Karim RAOUD, étudiant en M1 EDTI : Cas du Maroc, êtes-vous en association avec l Hôtel Farah? Réponse de Mathieu Evrard : Donc, 3 hôtels golden Tulip sur Tanger Yana MUSHCHITSKAYA, étudiante en M1 EDTI : Partout dans le monde votre clientèle ciblée est le tourisme d affaires? Réponse de Mathieu Evrard : Essentiellement oui. 7

8 III. Asset management L asset management est une activité nouvelle pour Louvre Hotels puisqu elle n existait pas avant la venue de Mathieu Evrard qui gère cette activité depuis deux ans. Le groupe est propriétaire d'un tiers du parc et actionnaires sur 420 hôtels le reste sont des contrats de franchise / gestion. Le sujet de l asset management est de savoir : que faisons-nous de ces hôtels? Ce département a pour but de créer un cycle de croissance par les actifs c est-à-dire de mettre en route un cycle immobilier consistant à acheter ou construire des immeubles, à les gérer et à les vendre (cycle qui recommence). Là où auparavant le groupe ne faisait que de gérer et où l acquisition était un fait rare. Pour faire le service d asset management a créé 2 programmes : Un programme de rénovation et de repositionnement Un programme de cession Afin de garder les plus beaux hôtels et le reste on nettoie. Ces deux programmes ont eu plusieurs effets : en vendant les hôtels dont le groupe est propriétaire, on augmente les franchises ou contrats de gestion qui augmentent la capacité de la marque et la vente permet de financer la croissance organique du groupe. en repositionnant les hôtels, on crée des hôtels tests avec des services de gestion (comme le revenue management, les fonctions d'achats...) qui deviendront par la suite des standards pour les autres hôtels du groupe. Mais ce cycle avait pour problématique le nombre : 420 hôtels par où je commence? Je vends lequel, je garde lequel je rénove lequel? Il y a beaucoup de paramètres qui viennent en compte et c est un très gros travail en amont. Afin de répondre à cette problématique on a créé un processus de création de valeur. On a analysé la demande (si croissance on garde) l'offre (concurrence et produit substituable?) et la capture de la demande (suis-je capable de capturer la demande croissante?). On a rénové beaucoup des gros hôtels tout en se défaisant des petits. Sur le milieu de gamme on a surtout eu des améliorations sur le plan opérationnel grâce à la standardisation des services. Changement du profil du groupe grâce à une gestion du portefeuille toujours plus tournée vers le cycle de vie des hôtels. 8

9 IV. Questions François-Xavier DECELLE, professeur à l IREST : C est un nouveau métier, quand même, la gestion de portefeuille qui se différencie à la fois de la gestion hôtelière et de la gestion d immobilier...?! Réponse de Mathieu Evrard : L hôtellerie, devenue gestion hôtelière, s efface devant deux nouveaux sujets : la distribution/commercialisation : distribution électronique, nouveaux entrants, référencements web Asset management hôtelier Ces sujets sont émergents depuis 2 à 5 ans maximum. L asset management a été implanté chez Louvre Hotels il y a seulement deux ans. Les distributeurs commencent à être dans les sujets de menace dans les groupes hôteliers que depuis deux ans. On le voit aussi dans la restructuration d Accor qui crée un pôle hôtel-service qui est la marque de gestion hôtelière. Le recrutement d une personne de chez Orange au poste de responsable IT-distribution a permis de s attaquer au marché distribution en ligne/référencement/etc. comme étant une business unit à part. Et il crée Hôtel invest, qui correspond à la gestion immobilière de Accor. Ce modèle est déjà utilisé aux Etats-Unis. Le principe est de ne plus avoir d actif mais être seulement gestionnaire de marque, franchisseur. L immobilier est alors géré par des assets managers professionnels, des fonds d investissements qui sont des propriétaires immobiliers. Fanny BELLICHA, étudiante en M1 GATH : A quel point les fonctions de business développement et asset management sont liés? Réponse de Mathieu Evrard : Ceci dépend des groupes et des volumes. Chez Louvre Hotels, depuis l implantation de l asset management, cette fonction a été assemblée au business management déjà en place. Pour le cas de BnB Hotel, l asset management n est pas utilisé. Ils ne sont en effet qu en croissance, sans arbitrage. Ces deux fonctions restent liées : le site immobilier est un site complet d acquisition, de croissance, de positionnement et de vente. Toutefois, elles peuvent être traitées par des équipes séparées. Dans ce cas, les profils de recrutement sont séparés entre financiers et immobiliers. 9

10 Fanny BELLICHA, étudiante en M1 GATH : En quoi l absence de cash flow peut-elle influer votre manière de gérer votre portefeuille d actifs quand vous aurez fini de rembourser l emprunt? Réponse de Mathieu Evrard : Louvre Hotels n a pas de cash flow puisqu un emprunt a été effectué pour acheter initialement. Ainsi, se maintenir à cash flow quasi nul, il faut vendre l équivalent de ce qui est rénové ou acheté et que tout ceci dégage de la valeur. Une fois l emprunt remboursé, l appel de fond diminue. Nous obtenons alors un cash flow positif, il serait possible de déséquilibrer la balance en faisant plus d acquisition que de vente. Ceci n est toutefois pas un objectif en soi car une augmentation de fond n est pas automatiquement synonyme d une augmentation des ventes. L absence de cash flow permet de limiter les fonds et ainsi d en assurer la bonne gestion par une équipe de taille donnée. Une variation importante de fonds nécessiterait une réorganisation d équipes avec un gain nonassuré. Jean-Pierre SIMONNET, professeur à l IREST : Les marques présentes sur le marché vous accompagnent dans vos achats. En effet, la notion de marque, d image est aujourd hui prépondérante dans ces métiers. Les marques sontelles attribuées en fonction des achats ou, à l inverse, les achats sont-ils réalisés en fonction du développement stratégique de la marque? Réponse de Mathieu Evrard : Sur le plan immobilier, c est Louvre Hotels qui détermine où se situe l opportunité d investissement, de marché (pays, marque, nombre d hôtels, etc.). Une fois installé sur un marché, le groupe va essayer de s étendre en vendant son savoir-faire à des franchisés. Dans le cas où une requête de marque ne correspond pas à une opportunité, le groupe va préférer s adresser à des franchisés pour s implanter sur un marché spécifique plutôt que de viser un achat. En effet, les cycles d une marque étant différents des cycles des actifs immobiliers, l investissement ne se justifierait pas. Le travail de recherche et développement revient, dans tous les cas, au groupe Louvre Hotels. Au niveau de l IREST, il faudrait peut être se repositionner sur un apprentissage du financier immobilier plutôt que sur la seule gestion financière hôtelière. 10

Accor : une nouvelle dynamique

Accor : une nouvelle dynamique Communiqué de presse Paris, le 19 mai 2010 Accor : une nouvelle dynamique Accor devient un «pure player» hôtelier concentré sur : Son portefeuille de marques et ses clients Son métier d opérateur et de

Plus en détail

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance

Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Communiqué de Presse 20 février 2013 Croissance soutenue et résultats solides en 2012 *** Accor s engage dans un plan de transformation profond pour accélérer sa croissance Résultats solides en 2012 Progression

Plus en détail

Sébastien VALENTIN Directeur de la Communication Financière et des Relations Investisseurs de Accor

Sébastien VALENTIN Directeur de la Communication Financière et des Relations Investisseurs de Accor L E S C O N F E R E N C E S D E L I R E S T CYCLE 2014-2015 Institut de Recherche et d Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Sébastien VALENTIN Directeur de la Communication

Plus en détail

PRÉSENTATION D EXTENDAM

PRÉSENTATION D EXTENDAM MANDAT DE GESTION ISF 2015 PRÉSENTATION D EXTENDAM Un métier : l investissement pour compte de tiers Extendam est une société de gestion indépendante qui réalise des investissements pour le compte de clients,

Plus en détail

Résultats record en 2014 reflétant la bonne dynamique des marchés clés et la pertinence de la nouvelle stratégie du Groupe

Résultats record en 2014 reflétant la bonne dynamique des marchés clés et la pertinence de la nouvelle stratégie du Groupe Communiqué de presse 18 février 2015 Résultats record en 2014 reflétant la bonne dynamique des marchés clés et la pertinence de la nouvelle stratégie du Groupe Progression du chiffre d affaires : +3,8%

Plus en détail

7 SOURCES DE RENDEMENT Où placer son argent aujourd hui?

7 SOURCES DE RENDEMENT Où placer son argent aujourd hui? 7 SOURCES DE RENDEMENT Où placer son argent aujourd hui? Que vous soyez investisseur, CGP ou CIF, cet ebook est pour vous! Face à la baisse des taux de rendement des Livrets A, des contrats d assurance

Plus en détail

Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006

Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 Communiqué de presse Mardi 12 décembre 2006 RESULTATS ANNUELS 2006 Chiffre d affaires en hausse de 5,6% : première année de croissance depuis 4 ans Résultat net positif à 5 M vs 3 M en 2005 2006 : une

Plus en détail

HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE

HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE HONG KONG 香 港 GUANGZHOU 广 州 SHANGHAI 上 海 BUREAUX D ASIE LPA UNE PRESENCE FORTE EN CHINE Shanghai Francfort PARIS Guangzhou Hong Kong AlgER CASABLANCA Créé il y a 25 ans, Lefèvre Pelletier & associés (LPA)

Plus en détail

Progression soutenue du chiffre d affaires au T1 2015 Croissance de 5,6% à données comparables. * * * HotelServices : +7,6% - HotelInvest : +4,8%

Progression soutenue du chiffre d affaires au T1 2015 Croissance de 5,6% à données comparables. * * * HotelServices : +7,6% - HotelInvest : +4,8% Communiqué de presse Paris, le 16 avril 2015 Progression soutenue du chiffre d affaires au Croissance de 5,6 à données comparables * * * HotelServices : +7,6 - HotelInvest : +4,8 L activité au 1 er trimestre

Plus en détail

Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011

Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 Créer une filiale à l étranger Approche & Exemples LE TOUR DU MONDE EN 8H - 21 JUIN 2011 PRESENTATION Le groupe ALTIOS International Une société leader dans le conseil et le développement opérationnel

Plus en détail

étude de fonctions & rémunérations Hôtellerie Restauration et Tourisme

étude de fonctions & rémunérations Hôtellerie Restauration et Tourisme 2010 étude de fonctions & rémunérations Restauration et Tourisme SOMMAIRE Introduction A / LES MÉTIERS DE L HÔTELLERIE page 7 1 - Responsable des Ventes / Responsable Grands Comptes page 8 2 - Yield /

Plus en détail

FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER

FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5 Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER Jean-Marc Palhon Président d Extendam Pourquoi investir dans des PME du secteur hôtelier?

Plus en détail

2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée.

2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. COMMUNIQUE DE PRESSE 6 décembre 2013 Résultats annuels 2013 2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. Volume d activité Villages stable à taux

Plus en détail

WS32 Institutions du secteur financier

WS32 Institutions du secteur financier WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des

Plus en détail

DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank

DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank DWS Investments Société de gestion du Groupe Deutsche Bank Le Groupe Deutsche Bank Culture d excellence depuis 1870 Banque d investissement internationale de premier plan, dotée d un solide réseau de clientèle

Plus en détail

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 %

(en millions d euros) 2013-2014 2014-2015 Ventes 247,1 222,9 Marge brute (55,7) (30,8) En pourcentage du chiffre d affaires -22,5 % -13,8 % RESULTATS ANNUELS 2014-2015 Chiffre d affaires 2014-2015 consolidé : 222,9 millions d euros Perte opérationnelle courante 2014-2015 : 125,9 millions d euros Poursuite du recentrage stratégique sur le cœur

Plus en détail

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE Catarina Pascoal Equipe M Himali Patabendi 2013-2014 Sandrine Tan TABLE DES MATIERES I - Quimbaya Tours

Plus en détail

LES MATINALES DE. Avec le Soutien de la Délégation de l Union Européenne

LES MATINALES DE. Avec le Soutien de la Délégation de l Union Européenne LES MATINALES DE Avec le Soutien de la Délégation de l Union Européenne Yazid Taalba Hôtel Hilton - ALGER 3 Juin 2014 SOMMAIRE 1- Qu est ce qu est le capital investissement? 2- Qui intervient dans ce métier?

Plus en détail

La première SCPI d entreprise diversifiée Europe du marché

La première SCPI d entreprise diversifiée Europe du marché 11 septembre 2014 Communiqué de presse La Française lance LFP Europimmo, La première SCPI d entreprise diversifiée Europe du marché La Française REM lance LFP Europimmo, la première SCPI d entreprise dont

Plus en détail

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8

Plus en détail

Communiqué de presse 5 mars 2015

Communiqué de presse 5 mars 2015 RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des

Plus en détail

CONSEIL I EVALUATION I TRANSACTION. Conseil. Évaluation. Transaction. Christie + Co BUSINESS INTELLIGENCE

CONSEIL I EVALUATION I TRANSACTION. Conseil. Évaluation. Transaction. Christie + Co BUSINESS INTELLIGENCE Conseil Évaluation Transaction Depuis sa création en 1935, bénéficie d une expertise reconnue, diligentée à travers son réseau de bureaux européens Nos collaborateurs et experts du secteur de l hôtellerie

Plus en détail

Les investissements internationaux

Les investissements internationaux Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches

Plus en détail

Résultats annuels 2014

Résultats annuels 2014 Résultats annuels 2014 Chiffre d affaires ajusté en hausse de +5,1 % à 2 813,3 millions d euros, croissance organique du chiffre d affaires ajusté de +3,8 % Marge opérationnelle ajustée de 630,0 millions

Plus en détail

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.

Plus en détail

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne» «accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du

Plus en détail

Chiffre d'affaires par ligne de services

Chiffre d'affaires par ligne de services Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf

Plus en détail

RÉSULTATS ANNUELS 2014

RÉSULTATS ANNUELS 2014 RÉSULTATS ANNUELS 2014 Chiffre d affaires de 48,5 Mds, en progression organique de + 4,7 % En France : - Fin du cycle de repositionnement tarifaire des enseignes discount (Géant et Leader Price) - Développement

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et

Plus en détail

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques

RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques COMMUNIQUE DE PRESSE RÉSULTATS 2013 Excellente année de croissance profitable : chiffre d affaires et EBITDA ajusté historiques Points clés Paris-Nanterre, le 18 février 2014 Chiffre d affaires net record

Plus en détail

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009

Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Paris, le 27 août 2009 Bonne tenue de l activité au premier semestre 2009 Croissance organique hors essence et effet calendaire de +1,3% Quasi-stabilité de la marge d EBITDA en organique Résistance des

Plus en détail

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts L E S C O N F E R E N C E S D E L I R E S T CYCLE 2014-2015 L Institut de Recherche et d Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a le plaisir de vous inviter à la conférence

Plus en détail

Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats

Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats Dossier de presse Remise de diplômes EGC Réunion et Ecole d Ingénieurs BTP Vendredi 28 novembre 2014, Pôle Formation Nord de la CCI Réunion Les

Plus en détail

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes

Plus en détail

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M

Chiffre d affaires 2014 pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Communiqué de presse Chiffre d affaires pro forma : 3 370,1 M Résultat Net Part du Groupe pro forma : 92,8 M Paris, le 19 mars 2015 Le Conseil d administration du Groupe Sopra Steria, réuni le 17 mars

Plus en détail

BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011

BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011 BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011 En Tourisme de Loisirs comme en Affaires, de nombreux démarchages ont eu lieu, au cours du 2 ème trimestre, en France ainsi que sur les marchés

Plus en détail

Le build-up est-il la solution?

Le build-up est-il la solution? Développement des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France Le build-up est-il la solution? Paris - 10 janvier 2012 Oliver Gottschalg Pierre Mestchersky Stéphane Gilet Dominique Degand Observatoire

Plus en détail

Le retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante

Le retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante Septembre 2009 Le retard en matière de marketing en ligne» dans l industrie hôtelière: une tendance inquiétante par Max Starkov Comme spécialistes du marketing hôtelier en ligne depuis bientôt 15 ans,

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact

Plus en détail

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Ivry, le 27 février 2014 La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Progression du résultat opérationnel courant à 72 m (+13,3%) Résultat net positif

Plus en détail

M06/3/BUSMT/HP2/FRE/TZ0/XX+ COMMERCE ET Gestion. Mercredi 17 mai 2006 (matin) 2 heures 30 minutes

M06/3/BUSMT/HP2/FRE/TZ0/XX+ COMMERCE ET Gestion. Mercredi 17 mai 2006 (matin) 2 heures 30 minutes IB DIPLOMA PROGRAMME PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI COMMERCE ET Gestion Niveau supérieur ÉPREUVE 2 22065024 Mercredi 17 mai 2006 (matin) 2 heures 30 minutes Instructions destinées

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY

I) Le contexte HIGH HOSPITALITY ACADEMY. II) Le programme HIGH HOSPITALITY ACADEMY I) Le contexte II) Le programme I) Le contexte II) Le contexte La destination France 1 ère destination mondiale en nombre de touristes avec 84,7 millions de visiteurs étrangers (en 2013). 1 touriste sur

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE

IMMOBILIER D ENTREPRISE La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber

Plus en détail

étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009

étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009 étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009 Janvier 2010 Début 2009, Edouard Franklin avait réalisé une première étude sur la banque privée et sa population à Luxembourg. Initiative complémentaire

Plus en détail

NEGOCIER AVEC UN FONDS

NEGOCIER AVEC UN FONDS REPRISE D ENTREPRISE NEGOCIER AVEC UN FONDS INTERVENANT : Laurent JULIENNE HEC ENTREPRENEURS 9 septembre 2014 A. LE MONTAGE FINANCIER Obligations convertibles A. LA STRUCTURE TYPE 1. Structure financière

Plus en détail

4. Quels sont les investissements réalisés par les fonds de private equity?

4. Quels sont les investissements réalisés par les fonds de private equity? 1. Qu est ce que le private equity? Le private equity ou capital investissement désigne une forme spécifique d investissement institutionnel dans des entreprises privées avec comme objectif de financer

Plus en détail

À quoi sert une banque?

À quoi sert une banque? À quoi sert une banque? Trois fonctions clés La banque remplit trois fonctions essentielles. Elle collecte, gère vos dépôts, et vous fournit des moyens de paiement (chéquier, carte bancaire, ordre de virement

Plus en détail

MANDAT DE GESTION ISF 2015

MANDAT DE GESTION ISF 2015 MANDAT DE GESTION ISF 2015 1 AVERTISSEMENT Ce document n est pas contractuel et est réservé aux professionnels de la gestion de patrimoine (CIF) souhaitant obtenir des informations sur le mandat de gestion

Plus en détail

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises

CHAPITRE IV. 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises 72 CHAPITRE IV 1. La grande distribution française 4.1 Stratégies d internationalisation des enseignes françaises La distribution française est une des plus importantes au niveau mondial, en raison de

Plus en détail

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Principes de Finance d Entreprise Corporate Finance Création de valeur Philippe Thomas Table des matières Introduction... 9 Chapitre 1 L entreprise : l investissement

Plus en détail

Le Futur de la Banque de Détail

Le Futur de la Banque de Détail Forum d'été du Club des Dirigeants de Banques Africaines Le Futur de la Banque de Détail Présentation Roland Berger Ho Chi Minh ville, le 26 juin 2014 Roland Berger est le grand cabinet d'origine européenne

Plus en détail

Ou se situe La Rochelle?

Ou se situe La Rochelle? Ou se situe La Rochelle? La Rochelle est une ville du sud-ouest de la France, capitale historique de l Aunis et préfecture du département de la Charente-Maritime, en région Poitou-Charentes. Située en

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe

Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Perspectives sur les Politiques Voyages en Europe Synthèse de l étude Réalisé par TRW Travel & Expense Management LLC Synthèse de l étude Egencia, la Fondation NBTA et les consultants de TRW Travel and

Plus en détail

LEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE

LEADER MONDIAL DU PETIT ÉQUIPEMENT DOMESTIQUE 26 février 2015 Résultats de l exercice 2014 Groupe SEB : Des performances opérationnelles solides Des devises pénalisantes 1 Ventes de 4 253 M en croissance organique* de + 4,6 % Croissance organique*

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES

ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE

Plus en détail

Club MedColombus -Bahamas

Club MedColombus -Bahamas Les synergies entre les 2 groupes Les deux groupes ont commencé à mettre en place les synergies : Accroissement du chiffre d'affaires Optimisation des achats Échange de savoir-faire et d'expertises Ressources

Plus en détail

Troisième édition du Global Private Equity Report de Grant Thornton : le Private Equity s adapte aux nouvelles pratiques de la levée de fonds.

Troisième édition du Global Private Equity Report de Grant Thornton : le Private Equity s adapte aux nouvelles pratiques de la levée de fonds. Troisième édition du Global Private Equity Report de Grant Thornton : le Private Equity s adapte aux nouvelles pratiques de la levée de fonds. Paris, le 4 novembre 2013 Un regain d optimisme à l échelle

Plus en détail

OFFRE IR 2014 / ISF 2015

OFFRE IR 2014 / ISF 2015 OFFRE IR 2014 / ISF 2015 Patrimoine III 1Dans le cadre du FIP 123Patrimoine III (également le «Fonds»), le souscripteur choisit de bénéficier de l un ou l autre des dispositifs fiscaux ci-dessous (voire

Plus en détail

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF

Analyse Financière. Tunis Re en Bourse. En toute Ré Assurance. Souscrire à l OPF Analyse Financière Tunis Re en Bourse En toute Ré Assurance Souscrire à l OPF Mars 2010 2A n a l y s e F i n a n c i è r e I n t r o d u c t i o n e n b o u r s e : O f f r e à p r i x f e r m e Secteur

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Résultats du premier semestre 2014

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Résultats du premier semestre 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Résultats du premier semestre 2014 25 juillet 2014 Croissance du chiffre d affaires de +2,2% [2] au premier semestre et de +2,3% [2] au deuxième trimestre 2014 Marge opérationnelle

Plus en détail

Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France

Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France Les nouveaux enjeux et défis du marché immobilier Chaire Ivanhoé Cambridge ESG UQÀM Stratégie d entreprise, politique immobilière et création de valeur : les cas Casino, Carrefour et Accor en France 1

Plus en détail

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension

Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension Université ParisDauphine Démarche Prospective Métier Pub/Com : Enquête en extension L Observatoire des Métiers de la Publicité a confié à Luc Boyer et Aline Scouarnec, dans le cadre d une étude prospective,

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France. Atelier Solution

L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France. Atelier Solution L externalisation un vecteur de développement du cabinet BPO Services France Intervenants : Régis BIZIEN, EC et CAC Cabinet MBV, Paris Christophe BERNARD, Consultant NSG Phase 2 Brice BLAZY, Directeur

Plus en détail

I) Le diagnostic externe

I) Le diagnostic externe Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés

Plus en détail

Hôtellerie & Tourisme

Hôtellerie & Tourisme SALARY SURVEY 2014 & & Sélection et approche directe de cadres confirmés www.michaelpage.fr INTRODUCTION Michael Page & est une division de Michael Page, leader du conseil en recrutement, spécialiste de

Plus en détail

EN ACTION. La lettre des actionnaires MESSAGE DE PATRICK SAYER PRÉSIDENT DU DIRECTOIRE

EN ACTION. La lettre des actionnaires MESSAGE DE PATRICK SAYER PRÉSIDENT DU DIRECTOIRE JUIN EN ACTION La lettre des actionnaires eurazeo.com Numéro AG spécial L Assemblée Générale d Eurazeo s est tenue le 6 mai dernier et a réuni près de 300 actionnaires. MESSAGE DE PATRICK SAYER PRÉSIDENT

Plus en détail

ATELIER DE TRAVAIL. Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé»

ATELIER DE TRAVAIL. Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé» ATELIER DE TRAVAIL Mardi 27 mars 2012 Atelier de travail, Aspects juridiques et financiers de l entreprise familiale, sur le thème : «Accès au capital privé» Animé par Valérie Tandeau de Marsac, Avocat-

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail

Baloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements

Baloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements Baloise Fund Invest: donnez des ailes à vos placements La gestion de fortune par des professionnels, pour tous les investisseurs Edition pour la Suisse Fonds de diversification des actifs BFI Dynamic (CHF)

Plus en détail

Une performance annuelle conforme aux objectifs Résultat opérationnel courant : +13.5% (**)

Une performance annuelle conforme aux objectifs Résultat opérationnel courant : +13.5% (**) Paris, 17 juin 2015 Résultats annuels consolidés 2014-15 (avril 2014 mars 2015) Une performance annuelle conforme aux objectifs Résultat opérationnel courant : +13.5% (**) Au 31 mars 2015, Rémy Cointreau

Plus en détail

HAVAS : ACTIVITE DES 9 PREMIERS MOIS 2002

HAVAS : ACTIVITE DES 9 PREMIERS MOIS 2002 Communiqué de presse Paris, le 7 novembre 2002, 7h30 HAVAS : ACTIVITE DES 9 PREMIERS MOIS 2002 Marge brute des 9 premiers mois en données brutes : 5,0% Croissance organique des 9 premiers mois : 5,5% Croissance

Plus en détail

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions?

Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? en collaboration avec Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? Vous participez au concours organisé par l association Transaction l Investment Challenge, et vous avez bien

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2015 Principales Métropoles Mondiales 2011

Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2015 Principales Métropoles Mondiales 2011 Observatoire des Investissements Internationaux dans les 2015 Principales Métropoles Mondiales 2011 Présentation à la Presse 14 avril L édition 2015 de l Observatoire L Edition 2015 est la 6ème édition

Plus en détail

Nabil FAHER. General Manager de deux hôtels gros porteurs chez Louvre Hotels Group. 26 Ans. Né à Marrakech

Nabil FAHER. General Manager de deux hôtels gros porteurs chez Louvre Hotels Group. 26 Ans. Né à Marrakech Nabil FAHER 26 Ans Né à Marrakech General Manager de deux hôtels gros porteurs chez Louvre Hotels Group Master of Science in Hospitality Management - Institut Paul Bocuse Promotion 2012 2006 => 2009 -Licence

Plus en détail

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES

RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR AJOUTÉE DE SES PARTENAIRES LA GARANTIE DE L AUTOMOBILE LA COMPAGNIE AUTOMOBILE D ASSURANCE ET DE REASSURANCE ASSOCIÉES est une société de souscription et de gestion en assurance et en réassurance qui RENFORCE LA CHAÎNE DE VALEUR

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

BEST WESTERN France Meilleure innovation hôtel. Hospitality Awards

BEST WESTERN France Meilleure innovation hôtel. Hospitality Awards BEST WESTERN France Meilleure innovation hôtel Hospitality Awards Contexte Aujourd hui, le secteur de l hôtellerie est en pleine évolution : Les hôteliers sont confrontés à l omniprésence des agences de

Plus en détail

l intermédiation actions les dérivés actions l asset management

l intermédiation actions les dérivés actions l asset management TALENTS F RST PROFIL du Groupe Créée en 1990, Exane est une entreprise d investissement spécialisée sur trois métiers : l i n t e r m é d i at i o n ac t i o n s, exercée sous la marque Exane BNP Paribas,

Plus en détail

Exclusive Restaurant se lance en franchise

Exclusive Restaurant se lance en franchise Dossier de Presse / Décembre 2012 Exclusive Restaurant se lance en franchise Parce qu un bon moment peut faire toute la différence. Ex c l usi ve R esta u ran ts - SAS au capital de 44 560 - RCS Par i

Plus en détail

Actes des conférences Cycle Utilisateurs

Actes des conférences Cycle Utilisateurs Actes des conférences Cycle Utilisateurs Ces entreprises qui se réapproprient leur immobilier Débat animé par Marie-Pierre SANDILLON, Gérante M'PIERRE SERVICES ET CONSEIL et Présidente du Collège Immobilier

Plus en détail

MASTER GATH GESTIONS DES ACTIVITÉS TOURISTIQUES ET HÔTELIÈRES

MASTER GATH GESTIONS DES ACTIVITÉS TOURISTIQUES ET HÔTELIÈRES MASTER GATH GESTIONS DES ACTIVITÉS TOURISTIQUES ET HÔTELIÈRES OBJECTIF GÉNÉRAL Former les futurs dirigeants de l hôtellerie et des métiers de l accueil capables de gérer une unité ou un centre de profit

Plus en détail

Résultats annuels 2014 23 janvier 2015

Résultats annuels 2014 23 janvier 2015 Sommaire Points clés Résultats financiers 2014 Marché et perspectives 2 Points clés Résultats 2014 en ligne avec les objectifs annoncés «chiffre d affaires sensiblement comparable à celui de 2013 et marge

Plus en détail

Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks)

Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks) Cinq sources de création de valeur (et quelques benchmarks) Par Jean Estin Président, Estin & Co Il y a cinq véritables sources de création de valeur. La (profitable) Accélérer fortement la d un groupe.

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts

CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX. Corrigés des cas : Emprunts CORRIGES DES CAS TRANSVERSAUX Corrigés des cas : Emprunts Remboursement par versements périodiques constants - Cas E1 Objectifs : Construire un échéancier et en changer la périodicité, Renégocier un emprunt.

Plus en détail

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 :

Au second semestre 2010 : Sur l année 2010 : Perspectives 2011 : 11.05 Valeo : résultat net de 365 millions d euros en 2010, soit 3,8 % du chiffre d affaires ; performance opérationnelle en avance sur le plan stratégique présenté en mars 2010 Au second semestre 2010

Plus en détail

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000

GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA GLOBAL CONSULTING suarl 76, Avenue Habib Bourghiba App. A1-1 2080 Ariana - TUNISIA MF: 1260762R/A/M/000 GECA Global Consulting est une société de consultation internationale, constituée à Tunis. Cette

Plus en détail

Examiner les risques. Guinness Asset Management

Examiner les risques. Guinness Asset Management Examiner les risques Guinness Asset Management offre des produits d investissement à des investisseurs professionnels et privés. Ces produits comprennent : des compartiments de type ouvert et investissant

Plus en détail

Acquisition et transmission d entreprise

Acquisition et transmission d entreprise Petits déjeuners des start-ups Acquisition et transmission d entreprise Facteurs à considérer dans la vente de son entreprise Genève, le 31 janvier 2003 Agenda Les services de PwC Le processus de vente

Plus en détail

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque

Plus en détail

GFI Informatique. Présentation des Résultats Annuels 2008. 2009 - GFI Informatique

GFI Informatique. Présentation des Résultats Annuels 2008. 2009 - GFI Informatique GFI Informatique Présentation des Résultats Annuels 2008 2009 - GFI Informatique Sommaire L année 2008 Résultats financiers 2008 L activité début 2009 Objectifs 2009 Annexes Analyse du chiffre d affaires

Plus en détail