Le traitement des troubles érectiles par les androgènes : Quand? Comment?
|
|
- Antonin Gagnon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FORMATION MÉDICALE CONTINUE Progrès en Urologie (1997), 7, Le traitement des troubles érectiles par les androgènes : Quand? Comment? Jacques TOSTAIN, Christophe LEGON, Thibault LUDOT, Raphaël CASTRO, Guo Rong LI Service d Urologie-Andrologie, Hôpital Nord, Saint-Etienne, France RESUME L insuffisance érectile par déficit en androgènes se caractérise biologiquement par un abaissement de la testostérone secondaire à un hypogonadisme d origine hypothalamo-hypophysaire ou testiculaire. Le traitement au long cours par les androgènes n est acceptable que si le bilan biologique a apporté la preuve de l hypogonadisme et éliminé une chute de la testostérone secondaire à une élévation de la prolactine. Il fait appel à la testostérone injectable ou à la dihydrotestostérone transdermique, avec une efficacité clinique comparable mais une différence biologique portant sur le rôle de l aromatase. Quelle que soit la forme de traitement choisie, il faut privilégier des posologies faibles à prises rapprochées autorisant le maintien de taux plasmatiques stables dans les fourchettes physiologiques. L action des androgènes sur la prostate et le système cardio-vasculaire impose, avant la mise en route du traitement chez un patient demandeur et averti, un bil an permettant d écarter un néop lasme méconnu et un risque de thrombose vasculaire. Une surveillance clinique et biologique régulière durant le traitement est indispensable. Mots clés : Impuissance, androgènes, hypogonadisme. Progrès en Urologie (1997), 7, On a longtemps cru que l insuffisance érectile par déficit en androgènes était rare. Il est vrai que la testostérone n est abaissée que chez 7% des hommes de 40 à 60 ans, et chez 20% de ceux de 60 à 80 ans [17]. En fait, dans le cadre d une consultation pour dysfonction sexuelle, l abaissement anormal de la testostérone est constaté dans 7,5% [4] à 15% des cas [7]. On sait par ailleurs que l âge s accompagne d une dégradation progressive de la fonction testiculaire [1, 18], responsable d une chute des androgènes circulants. Même si le phénomène n est pas aussi brutal et complet que chez la femme [5], il peut diminuer voire supprimer les capacités érectiles et motiver la consultation. Le dosage de la testostérone fait donc partie des examens de débrouillage de la plupart des dysfonctions érectiles, même en l absence de trouble de la libido ou d hypotrophie testiculaire [2, 7]. Il est plus délicat d affirmer qu une testostérone abaissée explique la dysérection dont se plaint le patient, car le mécanisme exact de l insuffisance érectile par déficit en androgènes est inconnu [2]. Le rôle bénéfique des androgènes sur l intérêt et l activité sexuelle est admis. L effet réel sur les capacités érectiles est moins clair [2]. Plusieurs niveaux sont peut-être en cause: le système nerveux central possède des récepteurs aux androgènes [2], mais la libération de NO, médiateur pro-érectile de la relaxation des fibres musculaires caverneuses, serait également androgénodépendante [10]. Quelle que soit l origine du déficit en androgènes, la prescription d hormones mâles dans le cadre d une insuffisance érectile n échappe pas au principe général des traitements endocriniens : la supplémentation n est utile que lorsqu il existe une insuffisance confirmée de la sécrétion testiculaire, dénommée hypogonadisme [11, 12]. Les effets secondaires cardio-vasculaires et la crainte de stimuler une pathologie prostatique méconnue [1] impliquent une surveillance étroite. L INSUFFISANCE DE LA SECRETION ANDROGENE EST LE REFLET D UN DEREGLEMENT DE L AXE HYPOTHALOMO-HYPOPHYSO-GONADIQUE L organisation générale de cet axe est bien connue (Figure l) La testostérone est sécrétée par les cellules de Leydig du testicule sous l influence de la LH hypophysaire, elle-même régulée par la sécrétion pulsatile de LHRH hypophysaire. Une boucle de rétrocontrôle négatif assure le maintien d un taux constant de testostérone plasmatique, avec toutefois des variations nycthémérales comportant un pic matinal. La testostérone totale (3-10 ng/ml) reflète mal l activité androgénique, car elle regroupe deux formes : la testostérone liée aux protéines : sérum-albumine, mais surtout protéine spécifique dénommée Te B G ( Testosterone Binding Globuli n) ou SHBG (Sex Hormone Binding Globulin) Manuscrit reçu : janvier 1996, accepté : avril Adresse pour correspondance : Dr. J. Tostain, Service d Urologie-Andrologie, Hôpital Nord, Saint-Etienne Cedex
2 Hypothalamus Hypophyse LHRH LH - absence de variation nette en cas d anomalie hypophysaire. Rétrocontrôle négatif FSH (Spermatogénèse) Boucles de régulation Testostérone libre Boucle principale Boucle accessoire T T 5 α Réductase Aromatase SHBG (ou TeBG) Testostérone liée aux protéines Oestradiol (Cellule prostatique) Figure 1. Axe hypothalamo-hypophyso-gonadique et métabo - lisme intra-prostatique de la testostérone libre. la testostérone libre, non liée aux protéines, qui est la seule forme biologiquement active. C est son taux plasmatique qui régule la boucle de rétrocontrôle, avant sa diffusion passive aux cellules-cibles. La testostérone biodisponible est la testostérone non fixée à la SHBG [5, 15]. Elle correspond à 52% de la testostérone totale, incluant 2% de t estostérone libre et 50% de testostérone liée à l albumine par une liaison aisément dissociable [2]. Son taux plasmatique varie avec l âge: elle diminuerait de 1% par an entre 40 et 70 ans [8], et globalement de 50% entre 20 et 80 ans [17]. Une testostérone totale abaissée peut donc traduire un déficit vrai en testostérone libre ou un simple trouble des prot éines spécifiques. A l inverse, une t estostérone totale normale est compatible avec une fraction biodisponible abaissée, par augmentation de la SHBG [5]. En théorie, seul l abaissement de la testostérone plasmatique libre [11] ou biodisponible [15] permet d'affirmer le déficit en a n d r o g è n e s. DHT La régulation de la sécrétion de testostérone fait en outre intervenir de façon plus accessoire : d une part la DHT (dihydrotestostérone), formée sur la membrane nucléaire des cellules-cibles, par transformation de la testostérone libre, sous l action de la 5α réductase, d autre part l oestradiol, formé par aromatisation de la testostérone. LE TRAITEMENT DE L INSUFFISANCE ERECTILE PAR LES ANDROGENES NE SE CONÇOIT QUE DEVANT UN HYPOGONADISME La traduction biologique de cet hypogonadisme est une diminution de la fraction biodisponible [15] ou de la testostérone libre [11]. Suivant le niveau anatomique du trouble sécrétoire, on distingue (Tableau 1) : Les hypogonadismes hypergonadotrophiques ou testiculaires La stimulation hypothalamo-hypophysaire est excellente, traduite par une élévation de la FSH et de la LH. L insuffisance Leydigienne, origine du trouble, ne permet pas une réponse sécrétoire satisfaisante. Les hypogonadismes hypogonadotrophiques d origine hypothalamo-hypophysaire Le tissu Leydigien est fonctionnel, mais une insuffisance de sécrétion de LHRH hypothalamique ou de LH hypophysaire l empêche d être stimulé. La traduction biologique associe: une FSH et une LH basses, alors que la testostérone est elle-même basse une réponse variable des taux de FSH et LH, suivant le niveau lésionnel, au test à la LHRH ou au clomiphène: - augmentation nette, voire explosive, en cas d anomalie hypothalamique LE BILAN HORMONAL EST DONC UN PASSAGE OBLIGE DU BILAN DE LA PLUPART DES DYSFONCTIONS ERECTILES (Figure 2) Chez le patient de moins de 40 ans, ne présentant ni chute de la libido ni signe clinique d hypogonadisme, le bilan hormonal est probablement inutile [4]. Chez les Tableau 1. Les différents types d hypogonadisme. Hypogonadotrophique Hypergonadotrophique Hypothalamique Hypophysaire (Testiculaire) FSH-LH Tests LHRH + - Sans objet Clomiphène 315
3 STOP DOSAGE MATINAL DE TESTOSTERONE Normal (Pas d origine hormonale aux troubles érectiles) Dosage FSH-LH Bas Nouveau dosage matinal Bas Dosage Prolactine Tableau 2. Coût du bilan hormonal. Dosage sanguin Coefficient B Coût FF (B=1,8 FF) Testostérone totale Testostérone libre SHBG FSH LH Prolactine Tableau 3. Etiologie des hypogonadismes. Hautes Basses Normale Haute Hypergonadotrophiques Hypogonadotrophiques STOP (Insuffisance Leydigienne) Bilan endocrinien (Origine hypothalamique ou hypophysaire?) STOP Figure 2. Bilan hormonal d une dysfonction érectile. Bilan crânien (Tumeur hypophysaire à Prolactine?) Syndrome de Kallman De Morsier, Déficit isolé en LH Panhypopituitarismes, Hyperprolactinémie Diabète, Hypo ou hyper thy- roïdie, Cushing, Hémochromatose Anorchie, castration Syndromes de Noonan, de Klinefelter Atteintes testiculaires par infection, alcoolisme, toxicomanie, iatrogénie, irradiation Vieillissement autres, le bilan de départ est réduit à un dosage matinal de la testostérone (Tableau 2). L utilité de dosages différenciés, plutôt qu un dosage de la testostérone totale est débattue: le dosage de testostérone libre [11] ou biodisponible [15] est indispensable pour certains, mais apparaît inutile pour BUVAT [4], d autant que dans son expérience le traitement androgénique n eut jamais d effet significatif en cas d abaissement sélectif avec testostérone totale normale. Si la testostérone est normale : Le bilan endocrinien est terminé et le traitement androgène n a pas de place. Si la la testostérone est basse : Un dosage de contrôle s impose : En raison des variations nycthémérales, il doit impérativement être prélevé le matin : - si le taux est normal, le bilan doit là aussi s arrêter, - si l abaissement est confirmé, le niveau de l anomalie responsable doit être situé par les dosages plasmatiques Le complément de bilan comporte un dosage de FSH et de LH, ainsi qu un dosage de prolactine: - si la FSH et la LH sont hautes, l origine du trouble est testiculaire. Le bilan est terminé. - si elles sont basses, seul un bilan endocrinien spécialisé permettra de différencier les insuffisances hypothalamiques des insuffisances hypophysaires, - l élévation importante de la prolactine, suffisante en l absence de toute autre anomalie pour expliquer la chute de la testostérone [2], doit conduire au bilan crânien pour rechercher une tumeur hypophysaire A l issue de ce bilan. on peut distinguer les différentes formes d'hypogonadisme (Tableau 3) Sans chercher à détailler ces étiologies classiques, on doit noter que : - si l hypogonadisme de l andropause est habituellement hypergonadotrophique, le vieillissement peut s accompagner d un trouble fonctionnel h y p o t h a l a m o-hypophysaire responsable d une chute primitive de la LH [16, 17], - en l absence de contre-indication, le traitement par les androgènes est la réponse unique à ces états, sauf dans les tumeurs hypophysaires à prolactine. Dans ce dernier cas, le traitement par la bromocriptine peut entraîner une normalisation de la prolactine et de la testostérone, alors que l administration de testostérone (formellement contre-indiquée) ne restaure pas la fonction sexuelle tant que la prolactine reste élevée [2]. LE TRAITEMENT PAR LES ANDROGENES Le risque de stimulation d un cancer prostatique occulte est la principale crainte On sait que le cancer de prostate est androgéno-dépendant. A l inverse, il n existe aucune publication impliquant un traitement par les androgènes dans l apparition d un cancer de prostate [2]. L élévation du PSA décrite chez 92% des patients de TENOVER [15] est modeste mais n avait pas totalement disparu 3 mois après l arrêt du traitement, témoignant d une stimulation de l épithélium prostatique. 316
4 Chez le patient porteur d un cancer de prostate, l androgénothérapie est contre-indiquée. Le traitement de la dysfonction érectile peut éventuellement avoir recours à la pompe à dépression, aux injections intra-c a v e r n e u s e s ou à la mise en place d une prothèse pénienne. Le risque réel est limité à la possible stimulation d un cancer occulte. L hypothèse selon laquelle il serait plus fréquent chez les patients hypogonadiques [3] est encore insuffisamment étayée, mais met l accent sur les précautions de rigueur avant de mettre en route le traitement [18] : hypogonadisme documenté, bilan prostatique (TR, PSA, échographie endo-rectale) strictement normal pour certains [3], biopsies de prostate systématiques après 60 ans, patient demandeur d un traitement de son insuffisance érectile, averti du risque potentiel vis-à-vis de sa prostate, acceptant un suivi régulier clinique, biologique et échographique Deux classes d androgènes sont utilisables : Le retour sur le schéma de régulation (Figure 1) permet de comprendre que la différence porte sur le rôle de l aromatase [5]. Suivant le produit administré, on peut distinguer : - la testostérone, aromatisable en oestradiol, - la DHT, non aromatisable. Les deux formes seraient également actives sur l hu - meur, la fonction sexuelle, le muscle et l os. Seules diffèrent certaines conséquences biologiques [5]: L administration de testostérone, aromatisable en oestradiol: Elle entraîne une chute de la LH si celle-ci était élevée. Parallèlement à la normalisation de la testostérone [11, 15], parfois sans traduction sur la testostérone libre [11], l action de l aromatase va entraîner une augmentation de l oestradiol [9, 14, 15] dont on connaît l action : - sur la SHBG qu elle augmente, - sur la cellule prostatique où, en conjonction avec la testostérone, il semble indispensable à la poussée d HBP ou à la croissance de la cellule prostatique [6, 13]. L administration de DHT, non aromatisable : Elle entraîne également une chute de la LH, mais aussi une chute de la testostérone [5], dont le patient doit être averti, et une chute de l oestradiol [5, 9] dont les effets nocifs sur la fraction biodisponible et la cellule prostatique seraient ainsi empêchés. Le risque vasculaire induit par ce traitement serait, pour les mêmes raisons, moins important [5]. En pratique, le traitement hormonal de l hypogona - disme responsable de troubles érectiles peut faire appel : A la testostérone: - les androgènes synthétiques administrés par voie orale, sous forme de méthyltestostérone (Proviron ), d undécanoate de testostérone (Pantestone ), ou de fluoxymestérone (Halotestin ) ne sont pas indiqués en raison d une faible absorption gastro-intestinale et de leur toxicité hépatique [1, 2, 12], - la forme injectable est la forme à privilégier (12), sous forme d énanthate (Androtardyl ) ou d heptylate de testostérone (Testostérone Théramex ), à raison de 200mg toutes les 2 semaines (2,18), voire 100mg par semaine [14, 15]. A la DHT : Sous forme de gel transdermique appliqué quotidiennement sur la peau scrotale (Andractim ) à la dose de 5 à 10g de gel/j [5]. A la bromocriptine (Parlodel ) Lorsque la prolactine est élevée, en notant que le traitement androgène est ici formellement contre-indiqué en raison de la possibilité de poussée évolutive d une tumeur hypophysaire. Quelle que soit la forme du traitement choisi, une évaluation régulière du patient est indispensable : L efficacité clinique se traduit très rapidement (15 jours-3 semaines) par la réapparition de la libido (si elle avait disparu, car on ne peut exclure un hypogonadisme vrai sur sa persistance), des érections nocturnes, enfin d une sensation de mieux-être général et de tempérament «offensif» [15]. Le bénéfice sur les capacités érectiles réelles est plus imprévisible et doit être apprécié individuellement: pour BUVAT [4], le facteur hormonal ne semblait impliqué que chez 23% des consultants présentant une testostérone totale abaissée. Les meilleurs répondeurs seraient les patients présentant un hypogonadisme profond [11]. Parallèlement à cette appréciation clinique: Il faut obtenir un taux plasmatique physiologique et stable de testostérone ou de DHT, reproduisant le sti - mulus androgène naturel : Les dosages plasmatiques de contrôle doivent être maintenus dans les fourchettes physiologiques. Ces taux physiologiques doivent être stabilisés par l utilisation de doses faibles mais rapprochées, en évitant les à coups liés à l utilisation de doses fortes mais espacées. On diminue ainsi les risques potentiels de stimulation tumorale et de perte progressive de l efficacité. 317
5 Il faut rechercher les effets secondaires du traite - ment : Augmentation du calcium et surtout de l hématocri - te, qui comporte un risque de thrombose vasculaire, notamment lorsqu on utilise la testostérone qui diminue l activité fibrinolytique. Les patients avec un hématocrite supérieur à 48% auraient un risque accru de thromboses vasculaires [2]. La rétention sodée secondaire à l androgénothérapie pourrait conduire à la décompensation d une insuffisance cardiaque congestive préexistante [2]. Acné, Gynécomastie, surtout avec la testostérone, du fait d une aromatisation accrue en périphérie, Oedèmes, Etude des fonctions hépatiques Enfin, il faut scrupuleusement surveiller l état des principaux organes-cibles : les seins (le cancer est possible même chez l homme...), la prostate par le TR, le dosage du PSA et l échographie endo-rectale. CONCLUSION Dans les cas d hypogonadisme franc, documenté par au moins deux dosages, l androgénothérapie apparaît comme un traitement licite de l insuffisance érectile [2, 5, 11, 12, 18], si le patient est demandeur et averti des risques potentiels. Ces risques s exercent principalement sur la prostate et le système cardio-vasculaire, ce qui implique un bilan préalable permettant d écarter un néoplasme méconnu et un risque de thrombose vasculaire. Le suivi clinique et biologique doit être régulier. Le traitement, qu il utilise des androgènes aromatisables ou non, doit rétablir des taux strictement physiologiques en utilisant des doses faibles et rapprochées plutôt que l inverse. Seule la disparition rapide des troubles érectiles, autorise, dans ce contexte, la poursuite du traitement [11]. Ces notions débouchent cependant sur de plus vastes perspectives, qui restent à ce jour à évaluer, comme le traitement de l andropause où la chute de l activité sexuelle n est pas obligatoirement le motif de plainte principal [5, 15, 16]. Dans ce contexte, la correction du déficit en androgènes pourrait avoir un impact positif sur les autres organes cibles comme l os, le muscle, la moelle osseuse, le système nerveux central et l humeur [15]. Si le but primaire du traitement diffère, les critères de sélection et de surveillance des patients restent toutefois identiques mettant en balance les effets bénéfiques et les risques potentiels. REFERENCES 1. BARDIN C.W., SWERDLOFF R.S., SANTEN R.J. Androgens : risks and benefits. J. Clin. Endocrinol. Metab., 1991, 73, BENSON G.S. Endocrine factors related to impotence. In : Bennett A.H. : Impotence. Diagnosis and management of erectile dysfunction. W.B. Saunders Company, Philadelphia, 1994, pp BRUNING C.O. III, De WOLF W.C., MORGENTALER A. Occult prostate cancer in hypogonadal men prior to testosterone therapy. J. Urol., Suppl., 1995, 153, 330A, BUVAT J., LEMAIRE A., HERBAUT-BUVAT M., RATAJCKYK J. Quel bilan hormonal dans les dysfonctions érectiles? Carrefour Européen de la Sexologie, Marseille, mars 1996, abst. pp DE LIGNIERES B. Transdermal dihydrotestosterone treatment of «Andropause». Ann. Med., 1993, 25, CHENG E., LEE C., GRAYHACK J. Endocrinology of the prostate. In : Prostate diseases, Lepor H. & Lawson R.K. Edit., W. B. Saunders Company, Philadelphia, 1993, pp GOVIER F.E., McCLURE R.D., WEISSMAN R.M., KRAMER- LEVIEN D. Endocrine screening for sexual dysfunction utilizing free testosterone determinations. J. Urol., Suppl., 1995, 153, 330A, GRAY A., FELDMAN H.A., McKINLAY J.B., LONGCOPE C. Age, disease and changing sex hormone levels in middle-aged men: results of the Massachussets Male Aging Study. J. Clin. Endocrinol. Metab., 1991, 73, KUHN J.M., LAUDAT M.H., DE LIGNIERES B., BRICAIRE H., LUTON J.P. Traitement androgénique percutané des hypogonadismes masculins. Efficacité comparée de la testostérone et de la dihydrotestostérone : étude de 40 observations. Contracept. Fert. Sex., 1986, 14, LUGG J.A., SCHLUNT K., RAJFER J., GONZALEZ-CADAVID N.F. Modulation of nitric oxide synthase activity in the penis by electrical stimulation of the cavernosal nerve. J. Urol., Suppl., 1995, 153, 509A, MORALES A., JOHNSTON B., HEATON J.W.P., CLARK A. Oral androgens in the treatment of hypogonadal impotent men. J. Urol., 1994, 152, National Institutes Consensus Development Conference on erectile impotence. I m p u i s s a n c e. J.A. M.A.-France, 1993, 18, POLLARD M., SNYDER D.L., LUCKERT P. H. Dihydrotestosterone does not induce prostate adenocarcinoma in L.W. rats. Prostate, 1987, 10, TENOVER J.S. Effects of testosterone supplementation in the aging male. J. Clin. Endocrinol. Metab., 1992, 75, TENOVER J.S. Androgen administration to aging men. Endocrinol. Metab. North. Am., 1994, 23, VERMEULEN A. Androgens in the aging male. J. Clin. Endocrinol. Metab., 1991, 73, VERMEULEN A., KAUFMAN J.M. Ageing of the hypothalamopituitary-testicular axis in men. Horm. Res., 1995, 43, ZONSZEIN J. Diagnosis and management of endocrine disorders of erectile dysfunction. Urol. Clin. North Am., 1995, 22,
6 Commentaire du lecteur (François Giuliano - CHU Bicêtre) Cet article a l intérêt de rendre compte d une pratique assez répandue, mais dont l évaluation en terme de résultats est insuffisante. Une lecture détaillée fera apparaître le peu d arguments scientifiques dont on dispose à ce jour pour envisager une régulation de la fonction érectile proprement dite par les androgènes. Le dosage de la testostérone ne doit pas être systématique chez un patient consultant pour un trouble de l érection en l absence de signe clinique d hypoandrogénie. Même lorsque ce dosage est bas à deux reprises l efficacité clinique de l androgénothérapie sur le trouble de l érection n est pas certaine. C o m m e n t a i re du lecte ur (Dominique Rossi - Hôpital Salvator, Marseille) Sur le plan clinique la baisse de libido est souvent une bonne indication du traitement par les androgènes. C est donc surtout dans ce cas de figure qu il faut rechercher un déficit. Le traitement par DHT (andractim ) semble avoir moins d eff e t s secondaires que celui par testostérone (androtardyl injectable). La présentation en gel et l absorption percutanée permet une application sur n importe quel point du corps et pas nécessairement sur les organes génitaux. D autre part, l injection d androtardyl nécessite une seringue de verre du fait de la structure du produit, matériel qui se trouve de plus en plus difficilement de nos jours. Pour ce qui est du traitement «préventif» de l andropause il est indispensable de rappeler que la prudence est de mise et qu il est hors de question de proposer un traitement androgénique sur une grande échelle. Les auteurs rappellent d ailleurs très justement que la supplémentation n est utile que lorsque l insuffisance de la sécrétion testiculaire est prouvée (seulement 20% des hommes entre 60 et 80 ans). SUMMARY Androgen treatment of erectile dysfunction : when? how? Erectile dysfunction associated to low circulating androgens is characterized by a low testosterone due to hypogonadism of hypothalamic-pituitary or testicular origin. Long term androgen administration is unacceptable unless bio - logy has demonstrated hypogonadism with a low testosterone level not related to hyperprolactinemia. Intramuscular testoste - rone or transdermal dihydrotestosterone can be used with a simi - lar clinical effect but a different biological impact regarding aro - matase activity. Whatever may be the type of androgen supple - mentation, one should use low dosage with frequent administra - tion in order to obtain stable and physiologic plasmatic values. On account of androgen impact on prostate and cardiovascular system, careful pretreatment screening should eliminate an occult prostate cancer and a vascular thrombosis risk in a complaining and informed patient. Clinical and biological parameters should be periodically followed throughout androgen therapy. Key words : Impotence, androgens, hypogonadism. 319
Dysfonctionnements sexuels et VIH
Dysfonctionnements sexuels et VIH Vus par le médecin hospitalier F. Borsa-Lebas Inter-COREVIH Nord/ Nord-Ouest Hardelot, 21 et 22 mars 2014 Les dysfonctionnements sexuels recouvrent les troubles: de la
Plus en détailSanté de l homme Rôle de l urologue dans la prise en charge globale de l homme de plus de 50 ans.
Santé de l homme Rôle de l urologue dans la prise en charge globale de l homme de plus de 50 ans. Spécialiste de l appareil urinaire de l homme, de la femme et de l enfant, l urologue est aussi le médecin
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailAuthor's personal copy
Revue générale Position de consensus : apport des examens biologiques dans le diagnostic de surentraînement Position statement: contribution of the biologic analyses in the diagnosis of overtraining syndrome
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailSexualité et VIH. Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris
Sexualité et VIH Dr F.Lallemand Hôpital St Antoine-Paris Introduction 1 Forte prévalence de dysfonctionnements Davantage de données concernant les hommes homosexuels ou bisexuels Pauvreté des informations
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détail«Docteur, j ai la prostate!»
«Docteur, j ai la prostate!» Texte D r Alain BITTON Urologue FMH Genève Conception et graphisme Comic Brains, Pécub Introduction 1 «Docteur, j ai la prostate! Pour moi, ce sera une opération au laser comme
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailLe traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir?
Le traitement pharmacologique du diabète de type 2 : que devez-vous savoir? Le diabète de type 2 est une maladie chronique et progressive dont l incidence va en augmentant. Il n existe pas de traitement
Plus en détailL impact des stéroïdes anabolisants sur la santé
L impact des stéroïdes anabolisants sur la santé Élaborée et animée par: Patricia Beaulac, infirmière clinicienne 23 octobre 2013 2 Objectifs Savoir les motifs de consommation des stéroïdes anabolisants
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailCe qu il fait savoir sur les troubles de l érection et les possibilités thérapeutiques actuelles
Ce qu il fait savoir sur les troubles de l érection et les possibilités thérapeutiques actuelles Troubles de l érection Ce n est pas un sujet tabou... 4 Time to love... Prenez du temps pour l amour...
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailPITUITARY. Growth Hormone (GH) NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES LIVER. IGF- I + IGFBPs. IGF- I + IGFBPs BLOOD TARGET TISSUES
PITUITARY Growth Hormone (GH) LIVER NUTRITIONAL FACTORS OTHER TISSUES IGF- I + IGFBPs BLOOD IGF- I + IGFBPs TARGET TISSUES Principales causes de déficit en GH (GHD) Anomalies moléculaires (GH-N; Récepteur
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailÉcho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP
Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailPrise en charge de la ménopause
N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailBilans : tableau de conversion des unités
ANNEXES Bilans : tableau de conversion des unités Il est difficile de résumer dans un tableau les normes biologiques des bilans hormonaux, car la plupart d entre elles sont variables en fonction des laboratoires.
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailPARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR. ANDROGEL Gel de testostérone à 1 %
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR ANDROGEL Gel de testostérone à 1 % Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie d une «monographie de produit» publiée à la suite de l
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détail