Baromètre semestriel de conjoncture

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1 Baromètre semestriel de conjoncture 1 er semestre 7 Le degré d adéquation de la collecte et de la distribution du courrier aux besoins des entreprises meusiennes La gestion de la formation et des compétences Chambre de Commerce et d'industrie de la Meuse

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3 Observatoire Des Entreprises de la Meuse Baromètre de conjoncture 1 er semestre 7 SOMMAIRE Méthodologie 4 Résultats d ensemble 5 Le niveau d activité La situation financière L emploi L investissement Prévisions à 6 mois Résultats par secteurs d activité 9 Le niveau d activité L emploi L investissement Résultats par tranche d effectifs 1 Le niveau d activité L emploi L investissement Actualité 11 Le degré d adéquation de la collecte et de la distribution du courrier aux besoins des entreprises meusiennes Thématique : 12 La gestion de la formation et des compétences 3 CRCIL-ODEL Juin 7

4 Méthodologie L'Observatoire Des Entreprises de la Meuse est une émanation de l ODEL (Observatoire Des Entreprises de Lorraine) mis en place par la Chambre Régionale de Commerce et d Industrie de Lorraine. Les résultats présentés dans cette étude sont issus d une exploitation des données, relatives au département de la Meuse, à partir de la 31ème enquête semestrielle de conjoncture. Un échantillon de 83 entreprises meusiennes, de 5 salariés et plus des secteurs de l'industrie, du BTP, du commerce et des services marchands, a été sondé du 28 mai au 22 juin 7. Les traitements ont été effectués sur la base de 13 réponses, ce qui représente un taux de retour de 12,4 % des entreprises interrogées. Répartition des entreprises répondantes par secteurs d activité 5% 4% 3% Les entreprises répondantes emploient au total environ 4 6 salariés. Un redressement a été effectué afin d assurer une bonne représentativité du panel des répondants par secteurs d activité et par taille d établissements. Les analyses de cette observation sont donc à considérer non seulement pour les entreprises du panel mais pour l ensemble des entreprises du département répondant aux critères de l enquête. Chaque série d'indicateurs du baromètre est pondérée par le poids de l'entreprise en effectif salarié. Les indices sont exprimés sous forme de soldes représentant la différence entre le pourcentage des réponses indiquant une amélioration et celui témoignant d'une détérioration. Ces renseignements d ordre qualitatif ne prétendent pas se substituer aux indicateurs macro-économiques, mais permettent de savoir si, d après le plus grand nombre de chefs d entreprise interrogés, il y a eu amélioration, stabilité ou dégradation de la situation au cours de la période étudiée. % 1% % Industrie BTP Commerce Services Outre qu elles devancent, souvent largement, la parution des indicateurs statistiques " lourds ", les réponses des chefs d entreprises permettent de mesurer précisément les fluctuations de l activité économique et d estimer son évolution à court terme. Panel ODEL Meuse Total Meuse CRCIL-ODEL Juin 7 4

5 Résultats d ensemble Le niveau d activité Les principaux indicateurs conjoncturels du baromètre du premier semestre 7 révèlent une poursuite du redressement de la croissance en Meuse mais à un rythme moindre. En effet, après un net rebond de la croissance durant les deux derniers semestres, on enregistre un infléchissement qui confirme les anticipations formulées par les chefs d entreprise six mois auparavant. Le niveau des ventes est jugé actuellement satisfaisant par 46 % des entreprises contre seulement 9 % d avis défavorables (par rapport à respectivement 58 % et 8 % au second semestre 6). L évolution du taux de croissance en Meuse paraît légèrement inférieure à la moyenne régionale où les avis favorables progressent pour atteindre 53 % des réponses. Les ventes totales augmentent pour 32 % des répondants (en baisse de 2 points) contre une réduction des débouchés pour 16 % (9 % auparavant). Cette situation résulte d une augmentation simultanée de la consommation intérieure et des exportations de la même ampleur. Evolution du niveau d activité des entreprises meusiennes S1 Evolution du niveau d activité dans les départements lorrains Meurthe-et-Moselle Meuse Moselle Vosges Lorraine er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 Evolution de l activité des entreprises meusiennes La demande étrangère se situe légèrement en retrait par rapport au second semestre 6, avec une hausse pour 32 % des entreprises contre 36 % lors de la précédente mesure. Les capacités de production paraissent toutefois davantage sollicitées pour un tiers des répondants contre 23 % six mois auparavant. Le taux d utilisation est jugé normal par 65 % des entreprises. Niveau d'activité Ventes totales Ventes à l'étranger Capacité de production Stock de produits finis Carnet de commandes Défavorable Favorable er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 5 CRCIL-ODEL Juin 7

6 Evolution de la situation financière des entreprises meusiennes Défavorable Favorable Marges Rentabilité Trésorerie Situation financière er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 Evolution de l emploi dans les entreprises meusiennes S1 Evolution de l emploi dans les départements lorrains Meurthe-et-Moselle Meuse Moselle Vosges Lorraine er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 Les stocks de produits restent globalement bien maîtrisés par 59 % des entreprises et s allègent pour 21 % des répondants. Les carnets de commandes sont jugés bien garnis pour 19 % des répondants (en baisse de 9 points) contre une réduction pour 16 % (11 % six mois auparavant). La situation financière Les indicateurs financiers sont orientés favorablement avec un moindre recul des marges pour 17 % des répondants et un renforcement pour 14 % (respectivement 36 % et 1 % des réponses en décembre 6). La rentabilité garde la même tendance positive pour 26 % des répondants contre une réduction pour 18 %. La trésorerie paraît moins fragile. Elle s améliore pour 19 % des établissements contre 13 % six mois auparavant et les avis défavorables reculent de 6 points pour s établir à 17 %. Le solde d opinions concernant la situation financière garde la même tendance positive depuis plusieurs semestres. L évolution est jugée satisfaisante par un dirigeant sur trois contre 24 % d avis défavorables. L emploi Pour le second semestre consécutif, le solde de l emploi est positif malgré une légère inflexion. En effet, 17 % des entreprises accroissent actuellement leurs effectifs (14 % lors de la précédente mesure) contre une réduction pour 16 % (9 % au second semestre 6). La stabilité prévaut dans deux établissements sur trois. L intensité des embauches est toujours corrélée avec les résultats enregistrés ou prévus par les entreprises. Ainsi, parmi les entreprises qui jugent actuellement leur niveau d activité satisfaisant, 24 % s orientent vers un renforcement de l emploi contre 12 % CRCIL-ODEL Juin 7 6

7 pour celles dont les résultats sont moyens. Evolution de l investissement dans les entreprises meusiennes Le recours au travail temporaire s est accru avec une progression des contrats conclus pour 22 % des établissements contre une baisse pour seulement 4 % (1 % au second semestre 6). Après avoir réalisé la meilleure performance six mois auparavant, le taux de croissance des effectifs en Meuse se retrouve légèrement inférieur à la moyenne régionale L investissement S1 Second moteur de la croissance actuelle, les programmes d investissement progressent sensiblement après l évolution cyclique des semestres précédents. Les projets s accroissent pour 31 % des entreprises contre 12 % d avis opposés ; le solde atteint sa meilleure valeur depuis plus de 5 ans. La stabilité est observée dans 57 % des établissements. Les investissements sont destinés en priorité à l amélioration de la productivité et au renouvellement des équipements, respectivement pour 63 % et 49 % des répondants. Viennent ensuite, le développement commercial (3 %), la protection de l environnement et les économies d énergie (29 %) et pour moins de 15 %, les investissements destinés à l accroissement des capacités de production, à l innovation dans les produits et services et le lancement de nouvelles activités. La destination des investissements des entreprises meusiennes % d entreprises Amélioration de la productivité 63 Renouvellement des équipements 49 Développement commercial 3 Protection de l'environnement 29 Capacités de production 14 Innovation 1 Nouvelles activités Evolution de l investissement dans les départements lorrains Meurthe-et-Moselle Meuse Moselle Vosges Lorraine Le taux de croissance de l investissement en Meuse est plus élevé qu au niveau régional. Une tendance similaire est également observée dans le département de la Moselle. -1-1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 7 CRCIL-ODEL Juin 7

8 Baromètre des tendances actuelles et prévisionnelles à 6 mois des entreprises meusiennes Ventes totales Ventes à l'étranger Effectifs Travail temporaire Actions de formation Investissements Prix de vente Marges Trésorerie ème semestre 6 1er semestre 7 Prévisions Perspectives d évolution à 6 mois de l environnement général des entreprises meusiennes er sem 3 2ème sem 3 1er sem 4 2ème sem 4 1er sem 5 2ème sem 5 1er sem 6 2ème sem 6 1er sem 7 Prévisions à 6 mois Les chefs d entreprise anticipent pour le second semestre 7 une poursuite de l amélioration de l activité : 32 % des entreprises prévoient un nouvel accroissement des ventes sur le marché intérieur et à l export. Les projets d investissement progresseraient davantage ainsi que les actions de formations. Les chefs d entreprise retiennent également dans leurs prévisions à 6 mois, une moindre dégradation des marges, une trésorerie plus aisée et une nouvelle hausse des prix de vente déjà anticipée lors de la précédente enquête. Les prévisions en matière de créations d emplois sont également favorables : 15 % des répondants envisagent d embaucher du personnel supplémentaire contre une réduction pour seulement 9 % et 64 % prévoient de maintenir leurs effectifs. Les perspectives générales (opinions sur l'environnement économique des entreprises) sont une nouvelle fois orientées à la hausse : la proportion d entreprises qui s attend à une évolution plus favorable du climat économique progresse dans l ensemble des secteurs, et représente 37 % contre 11 % d avis opposés. Le solde d opinions est positif et progresse encore. Il laisse entrevoir une poursuite de la croissance à un rythme soutenu. CRCIL-ODEL Juin 7 8

9 Résultats par secteurs d activité Le niveau d activité Le léger ralentissement du rythme de croissance est enregistré dans les services et surtout dans le secteur du commerce où le solde d opinion se situe nettement en retrait. Les avis défavorables sont signalés par 22 % des établissements de ce secteur contre une progression de l activité pour 17 %. La situation se maintient à un haut niveau dans le BTP et l industrie avec un accroissement du volume d affaires pour respectivement 67 % et 57 % des répondants Niveau d activité des entreprises meusiennes Industrie BTP Commerce Services Ensemble ème semestre 5 1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 L emploi Le maintien d ensemble de l indicateur d emploi à un niveau stable et juste à l équilibre a été obtenu grâce à une dynamique soutenue dans le BTP (un quart d avis favorables) qui a compensé le recul dans % des entreprises commerciales. L évolution des effectifs dans l industrie et les services est pratiquement équivalente au second semestre 6, avec un solde de l emploi légèrement positif. La hausse dans l industrie atteint 24 % contre un recul pour %. Evolution de l emploi dans les entreprises meusiennes Industrie BTP Commerce Services Ensemble ème semestre 5 1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 Evolution de l investissement dans les entreprises meusiennes L investissement Les programmes d investissement sont en forte progression dans l industrie et le BTP (34 %) et se maintiennent à un haut niveau dans les services (37 % contre une baisse pour 16 %). Le commerce représente le seul secteur où un retournement de tendance défavorable touche plus de 22 % des entreprises. 5 Industrie BTP Commerce Services Ensemble ème semestre 5 1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 9 CRCIL-ODEL Juin 7

10 Résultats par tranche d effectifs Le niveau d activité des entreprises meusiennes (Solde des opinions - Répartition par taille) 6 Inf à 5 5 et plus Le niveau d activité L évolution de la croissance est contrastée par taille d entreprise. D un semestre à l autre, les plus grands établissements enregistrent une stabilisation du niveau d activité à un haut niveau avec 55 % d avis favorables. Les petites entreprises paraissent à l origine de l essoufflement actuel de la reprise avec une progression qui est signalée par 42 % des répondants contre 61 % six mois auparavant. 1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 L emploi dans les entreprises meusiennes L emploi (Solde des opinions - Répartition par taille) Inf à 5 5 et plus Le solde de l emploi est juste positif et à l équilibre dans une majorité d entreprises. L arrêt de la dégradation de l emploi dans les entreprises de 5 à 1 salariés a contribué au maintien d ensemble. La hausse des effectifs est en retrait de 3 points dans les établissements de moins de 5 salariés (12 % actuellement contre 15 % au second semestre 6). -3 1er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 L investissement dans les entreprises meusiennes (Solde des opinions - Répartition par taille) 3 Inf à 5 5 et plus er semestre 6 2ème semestre 6 1er semestre 7 CRCIL-ODEL Juin 7 1 L investissement Les projets d investissement paraissent plus soutenus. Ils progressent pour un tiers des entreprises de moins de 5 salariés (31 % pour les grandes unités) contre 27 % au second semestre 6. Les projets de renouvellement des équipements et d augmentation des capacités de production sont plus nombreux dans les établissements de plus de 5 salariés, respectivement 6 % et 27 % contre 43 % et 8 % pour les petites unités.

11 Degré d adéquation de la distribution et de la remise du courrier Dans le cadre de l entrée en vigueur de nouvelles mesures réglementant la limitation de la vitesse des poids lourds à 9km/h et la sûreté aérienne..., la Poste a été amenée à modifier ses heures de levée du courrier pour pouvoir garantir une distribution à J+1 des plis urgents qui lui sont confiés. Ces nouvelles dispositions se sont naturellement traduites par l avancement de l heure de la collecte du courrier. Cette derniere est jugée globalement inadaptée par 54 % des entreprises meusiennes contre 46 % d avis favorables. Tous les secteurs d activité semblent affectés par ce changement avec près de 6 % dans le BTP et 56 % dans les services. Ce taux culmine à 64 % dans les établissements de plus de 5 salariés. Degré d adéquation de la distribution et de la remise du courrier aux besoins des entreprises meusiennes % 42% Horaires distribution (en % d entreprises) Pas adaptés Adaptés 46% 54% Horaires collecte Degré d adéquation de la collecte du courrier aux besoins des entreprises meusiennes Industrie BTP (par secteur d activité(en %) L heure de la remise du courrier paraît également peu adaptée pour 42 % des répondants avec un degré moindre dans les établissements de plus de salariés (35 %) par rapport aux unités de moins de 1 salariés (46 %). Commerce Services Ensemble Les solutions ou services supplémentaires préconisés par les entreprises pour améliorer la collecte et la distribution du courrier sont par ordre d importance : L adaptation des horaires de collecte aux contraintes des entreprises en priorité avec un allongement des horaires de collecte le soir, la mise à disposition de points de dépôt tardifs sur les principales agglomérations, l introduction davantage de concurrence sur ce marché avec la recherche et le recours à d autres prestataires de services pour la prise en charge du courrier Pas adaptés Adaptés Degré d adéquation de la distribution et de la remise du courrier aux besoins des entreprises meusiennes (par taille d entreprise en %) Adaptés Pas adaptés < 1 1 à 49 5 et + < 1 1 à 49 5 et + 11 CRCIL-ODEL Juin 7

12 La gestion de la formation et des compétences Evolution des actions de formation (1er semestre 7) % d entreprises Evolution des actions de formation des entreprises meusiennes 6 Baisse 9% Hausse Stable 23% 68% 54% Evolution des actions de formation et leurs objectifs Actuellement, 23 % des entreprises meusiennes renforcent leurs actions dans le domaine de la formation contre une baisse pour seulement 9 %. Après un ralentissement continu entamé en 1, la tendance s est redressée depuis fin 3 pour connaître une relative stabilité. Les projets de formation sont plus nombreux dans le secteur tertiaire, surtout dans les services avec 35 % de hausse contre une moyenne de 23 %. L accroissement est par contre similaire par taille d entreprises. 4-97S S1 Les finalités de la formation en % d entreprise Elever le niveau de compétences 68 Appliquer la législation 31 Développer un projet précis 19 Répondre à un besoin ponctuel Près de 7 % des entreprises considèrent que la formation est destinée prioritairement à élever le niveau de compétences des salariés. Un tiers des répondants déclare que la formation vise plutôt à appliquer la législation en vigueur. Moins de % font appel à la formation pour accompagner le développement d un projet précis ou répondre à un besoin ponctuel. L élévation du niveau de compétences est surtout privilégiée dans le commerce (79 %) et l industrie (76 %) contre 5 % dans le BTP et dans les grands établissements de plus de 5 salariés (77 % contre 67 % pour la tranche inférieure). L application de la législation en vigueur recueille 42 % des avis des entreprises du BTP contre une moyenne de 31 %. Tandis que l accompagnement du développement d un projet précis est observé dans l industrie et dans les unités de plus de CRCIL-ODEL Juin 7 12

13 5 salariés (3 % contre une moyenne de %). Démarche de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) a pour objectif de faire correspondre les compétences des salariés à l activité de l entreprise et à ses perspectives d évolution en identifiant les compétences critiques qu il faut conserver, développer, et/ou acquérir à court ou moyen terme.. La proportion d entreprises ayant mis en place une démarche de gestion des compétences paraît inférieure (16 %) à la moyenne régionale (24 %). L écart pourrait s accentuer à moyen terme puisque seulement 5 % envisagent de le faire (12 % en Lorraine). Les secteurs des services et de l industrie paraissent davantage impliqués avec des proportions qui atteignent respectivement % et 18 % contre une moyenne de 12 % pour le commerce et le BTP. La répartition par tranches d effectifs révèle de fortes disparités. La gestion des compétences est corrélée avec la taille des entreprises ; 47 % des entreprises de plus de 5 salariés ont engagé cette démarche contre seulement 1 % pour les moins de salariés. Plusieurs besoins ont été avancés par les entreprises pour expliquer l origine de la mise en œuvre d une démarche de GPEC. Pour 71 % des entreprises, il s agit en premier lieu de qualifier les salariés, ensuite, de résorber des difficultés de recrutement pour plus de la moitié des répondants (un tiers en Lorraine) et d accompagner des changements dans l organisation du travail et de l activité pour 48 % des établissements. Mise en place d une démarche de gestion des compétences Les besoins à l origine de la démarche de gestion des compétences Moins de de à 49 5 et plus Ensemble Qualifier les salariés Difficultés de recrutement Accompagner les changements Evolution des conditions de travail Pyramide des âges Mobilité professionnelle Dialogue social 5 Oui Non Envisagé Les dispositions relatives à la loi du 4 mai 4 concernant la formation continue DIF Catégorisation du plan de formation Contrat de professionnalisation Période de professionnalisation Formation hors temps de travail Déjà mis en place Envisagé 13 CRCIL-ODEL Juin 7

14 Distinctions entre plan de formation et DIF 6 4 La démarche est également motivée, mais dans une moindre proportion (inférieure à 3 %) par le besoin de faire évoluer les conditions de travail, de faire face à un problème de pyramide des âges et développer la mobilité professionnelle (18 %). Une faible minorité déclare vouloir résoudre des difficultés de dialogue social (moins de 5 %). Les entreprises n ayant pas engagé une démarche de gestion de compétences l expliquent par le manque de temps, de moyens et d informations sur le sujet, l absence de besoins et la taille réduite de l entreprise. Dans ce cadre, elles souhaitent disposer davantage d informations, d aides financières et de conseils personnalisés. Le dispositif de formation continue dans les entreprises La loi du 4 mai 4 a profondément modifié le dispositif de formation continue dans les entreprises. Plusieurs dispositions ont été mises en place ou seront envisagées à court terme. Il s agit essentiellement du Droit Individuel à la Formation (DIF) pour une large majorité d entreprises 85 % (49 % l ont déjà mis en place), du contrat de professionnalisation pour 45 %, de la catégorisation du plan de formation (38 %), de la période de professionnalisation (26 %) et de la formation hors temps de travail (21 %) Inférieur à de à 49 5 et plus Ensemble S agissant du Droit Individuel à la Formation (DIF) qui permet à un salarié de disposer d un crédit de heures de formation par an cumulable Domaines de formation dans le cadre du DIF Techniques métiers 46 Bureautique Informatique 23 Organisation du travail 22 Techniques commerciales Langues 19 Intérêt personnel 18 Développement personnel 7 Logistique Achats 2 Formations générales % CRCIL-ODEL Juin 7 14

15 sur six ans, % des entreprises ont opéré une distinction entre les formations qui relèvent du plan de formation et celles qui relèvent du DIF (27 % en Lorraine). Cette proportion atteint 41 % dans les établissements de plus de 5 salariés contre seulement 14 % dans les TPE. Les domaines de formations demandés dans le cadre du DIF Les domaines de formation retenus prioritairement par les salariés dans le cadre du DIF sont : les techniques spécifiques à un métier (46 %), l informatique bureautique internet (23 %), l organisation du travail (22 %), les techniques commerciales ( %), les langues étrangères (19 %) et des domaines d intérêt strictement personnel (18 %). Les formations relatives au développement personnel lié à la fonction ainsi que les formations générales sont demandées dans moins de 1 % des entreprises. La majorité des formations sont davantage privilégiées dans les établissements de plus de 5 salariés avec des écarts très importants ; les techniques spécifiques aux métiers (56 % des réponses contre 4 % pour la tranche inférieure), l informatiquebureautique-internet (48 % contre 16 %) et les langues étrangères (36 % contre 16 %). Domaines de formation dans le cadre du DIF par taille d entreprise Techniques métiers 46 Bureautique Informatique 23 Organisation du travail 22 Techniques commerciales Langues 19 Intérêt personnel 18 Développement personnel 7 Logistique Achats 2 Formations générales % Le DIF et le temps de travail Autant sur et hors du temps de travail 4% 44% Sur le temps de travail 16% 54% Hors du temps de travail Le DIF et le temps de travail par taille d entreprises Plusieurs entreprises ont néanmoins indiqué une absence de demande de formation dans le cadre de ce dispositif malgré une information transmise à l ensemble du personnel. Moins de de à 49 Les départs en formation DIF se font majoritairement sur le temps de travail pour 44 % des répondants, autant sur le temps de travail qu en 5 et plus Sur le temps de travail Hors temps de travail Autant sur et hors temps de travail 15 CRCIL-ODEL Juin 7

16 dehors (4 % contre 32 % en moyenne régionale), et en dehors du temps de travail pour 16 % des entreprises. Autonomie de décision pour choisir un prestataire externe Partielle Jamais Localisation du prestataire % 21% Entière 54% 24 66% Lorraine Province Ile de France Critères de sélection du prestataire externe en matière de formation Réponse adaptée aux besoins Compétence des formateurs Coût de la prestation Proximité Respect des délais Notoriété de l'organisme Décision du groupe en % d entreprises % Les salariés des TPE, du secteur du BTP et du commerce partent en formation, dans plus de 5 % des cas, dans le cadre du temps de travail. Dans les services, les salariés suivent plutôt les formations autant sur le temps de travail qu en dehors (65 % contre une moyenne de 31 % pour les autres secteurs). Les prestataires dans le domaine de la formation La formation est l un des services où l autonomie de décision pour choisir un prestataire externe est élevée. Les trois quart des entreprises ont une entière autonomie dans la sélection du prestataire. 21 % bénéficient d une autonomie partielle et moins de 5 % des répondants n ont par contre aucune autonomie. Les établissements indépendants sont naturellement autonomes dans le choix de leurs prestataires de services. A l inverse, les filiales d'un groupe ou les établissements secondaires, voient leur autonomie fortement restreinte par les décisions prises au siège. Le domaine de la formation reste de proximité : les principaux prestataires sont localisés essentiellement dans la région pour 69 % des répondants, en province (24 %) et en Ile-de-France pour 7 % des entreprises. Les critères de sélection du prestataire externe dans le domaine de la formation sont nombreux. On relève par ordre d importance : la réponse adaptée aux besoins et la compétence des formateurs pour respectivement 82 % et 76 % des répondants. Le coût de la prestation (54 %), la proximité (46 %) et le respect des délais (3 %). CRCIL-ODEL Juin 7 16

17 La décision du groupe et la notoriété de l organisme sont deux raisons qui emportent le choix pour environ % des répondants. Les principales attentes vis-à-vis des organismes de formation sont prioritairement orientées vers la mise en place d une garantie qualité de la prestation pour 58 % des répondants, le renforcement de la qualification des formateurs (61 % contre 5 % en Lorraine), l évaluation des prestations (44 %), plus de souplesse dans leur fonctionnement horaire (aménagement de plages pour les formations hors temps de travail 4 %), la réalisation davantage de services sur mesure (conseil, assistance, ingénierie financière et pédagogique %), viennent ensuite pour moins de 35 % des citations, l augmentation de la lisibilité de l offre de formation, l aide au recrutement et à l intégration des nouveaux, la mise en place d innovations pédagogiques et une gestion des plans de carrière. Les principales attentes des entreprises vis-à-vis des organismes de formation Qualification formateurs Grantie qualité Evaluation prestations Souplesse fonctionnement Services sur mesure Lisibilité offres de formations Aides recrutement Innovations pédagogiques Mettre en place GPC 6 en % d entreprise % Projets de développement de la formation Développer en interne Les perspectives de développement de la demande de formation sont importantes. En effet, plus de 4 % des établissements souhaite recourir davantage à un intervenant externe dans ce domaine contre un développement en interne ou la création de ses propres capacités pour un quart des répondants. Le développement d une offre de proximité dans le domaine de la formation paraît largement souhaité par 59 % des entreprises meusiennes et indispensable pour 11 %. Davantage de prestataires Opinions sur le développement futur de l offre de proximité du service formation Inutile % 3% en % d entreprises Indispensable 11% Oui Non Souhaitable 59% 54% 17 CRCIL-ODEL Juin 7

18 La Chambre Régionale de Commerce et d Industrie de Lorraine et la Chambre de Commerce et d Industrie de la Meuse remercient les 13 chefs d entreprises qui ont bien voulu répondre à l enquête et ont ainsi contribué à l établissement de ce baromètre de conjoncture. Ce document est adressé à toutes les entreprises répondantes du panel. Reproduction autorisée sous réserve de l indication des sources fournies et de l Observatoire Des Entreprises de Lorraine (ODEL) de la Chambre Régionale de Commerce et d Industrie de Lorraine

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